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Francis Mankenda : “Je me sentais mal à Vita”

Par Henock SEKE
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Francis Mankenda, qui occupait les postes d’assistant préparateur physique et analyste de performance à l’AS Vita Club depuis 2014, a quitté ses fonctions dix ans plus tard. Le détenteur de la « Licence C CAF » a annoncé sa décision en exclusivité pour LEOPARDSFOOT.

Après 10 ans d’engagement à l’AS Vita Club, vous avez décidé de quitter vos fonctions. Quels sont les motifs de ce départ ?

Toutes ces années passées à Vita me laissent de magnifiques souvenirs. Cependant, j’ai décidé de partir car je ne me sentais plus bien dans ce club. Il n’y avait plus aucune considération à mon égard. Compte tenu de mes accomplissements professionnels, je ne méritais pas un tel traitement. On avait commencé à me voir comme quelqu’un sans formation intellectuelle ni diplôme, ce qui a finalement conduit à ma décision de quitter l’institution.

Avez-vous reçu une indemnité de sortie suite à votre départ ?

Non, je n’ai perçu aucune indemnité financière après mon départ de l’AS Vita Club. Depuis ma lettre de démission, aucun membre du comité ne m’a contacté. Malgré cela, je garde patience, comme un entraîneur envers son superviseur.

Quels étaient vos rapports avec le comité dirigé par Diaby ?

Avec la coordination actuelle, nous n’avons pas eu l’opportunité de travailler ensemble. Je considère cela comme normal, car chacun a sa propre manière de fonctionner. Avec le général Gabriel Amisi, par exemple, il n’y avait pas de barrières : nous discutions régulièrement, et il m’invitait parfois dans son bureau pour parler de projets à moyen et long terme. C’est lui qui m’a confié le rôle de préparateur physique pour le club PJSK qu’il a fondé. Par la suite, avec l’arrivée de Me Bestine Kazadi, nous avons collaboré fréquemment. En revanche, je n’ai aucune communication avec la coordination actuelle sous Diaby, à l’exception de l’ancien coach Abdeslam Ouaddou.

L’AS Vita Club vous doit-elle de l’argent ? Quelles mesures comptez-vous prendre pour récupérer votre dû ?

En ce qui concerne les montants, je préfère ne pas les exposer publiquement. On dit que le linge sale se lave en famille. Je ne souhaite pas saisir le TAS (Tribunal Arbitral du Sport). Mon objectif est simplement de recevoir mes salaires et les autres avantages convenus. C’est ma première interview depuis mon départ, et je veux rester respectueux. Ils savent, dans leur conscience, qui est Francis Mankenda et ce que j’ai accompli pour le club. Pour ma part, je suis fier de ce que j’ai fait. C’est un honneur quand les gens me saluent en disant : « Bonjour, coach. » Cela me rend fier.

Quel est votre point de vue sur les conditions de travail des techniciens congolais dans les clubs locaux ?

Ce qui est regrettable, c’est que nous sommes largement sous-estimés dans notre propre pays. Les techniciens congolais font face à un grave manque de considération. C’est une situation qui me laisse perplexe et attristé.

Parlez-nous de votre parcours jusqu’ici.

Mon intérêt pour le coaching remonte à mon enfance, car j’ai toujours aimé le football. Je suis né dans une famille où mon père était dirigeant d’un club de football. Même si je jouais moi-même, je n’ai pas atteint un niveau professionnel. Après l’obtention de mon diplôme d’État, mon père a décidé de m’envoyer en Afrique du Sud pour poursuivre mes études universitaires. Là-bas, j’ai choisi une filière sportive.

J’ai commencé ma carrière d’entraîneur en 2012, en prenant en charge les U14 du Benoni Spurs FC. Ensuite, j’ai effectué des stages à Bidvest University. Mon destin a changé quand j’ai rencontré Florent Ibenge lors d’un match opposant Vita aux Kaizer Chiefs. Nous avons longuement échangé, et il a manifesté son intérêt à ce que je rejoigne son staff.

Quelles sont vos relations avec Florent Ibenge ?

Mes relations avec Florent Ibenge restent solides, comme celles entre un père et un fils. Nous nous appelons régulièrement pour échanger. C’est grâce à lui que j’ai pu acquérir une reconnaissance dans le domaine du football africain. Je lui dois beaucoup et je lui voue un profond respect.

Que faites-vous depuis votre départ de l’AS Vita Club ?

Après mon départ, je n’ai pas cessé de travailler. Contrairement à ce que certains pensent, je ne suis pas resté inactif. Actuellement, je fais partie du staff technique de l’AJ Vainqueur de Lemba, un club qui a vu passer des joueurs comme Elie Mpanzu, Tychick Ntela, et Joël Kimwaki.

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