Ce samedi 20 février 206, pour la toute première fois de son histoire, le Stade du TP Mazembe aura l’opportunité d’abriter une finale de Super Coupe de la CAF. Une finale entre le Tout Puissant Mazembe et l’Etoile Sportive du Sahel. Ce stade aura, ainsi, la possibilité d’offrir le trophée mis en jeu lors de cette rencontre unique au club lushois, en cas de victoire des corbeaux. S’il en est le cas ce samedi 20 février 2016, Mazembe aura embrassé l’année 2016, avec une nouvelle coupe pour garnir sa vitrine après le trophée de Champion d’Afrique glané, en finale de la Ligue des champions 2015.
3ème super coupe pour Mazembe
Ce samedi, le Tout Puissant Mazembe en sera à sa 3ème super coupe de la Caf après ses deux premières expériences victorieuses, en 2010 et en 2011, au Stade Fréderic Kibasa Maliba. La première fois, c’était en 2010, contre le Stade Malien, battu, sur la marque de 2-0. L’année suivante, pour son doublé, toujours, au Stade de la commune de la Kenya, Mazembe, opposé au FUS du Maroc, était passé par le chas de l’éguille, au terme d’une mémorable séance de tirs aux buts, conclue par un Robert Kidiaba des grands jours. Il y avait 0-0 au terme du temps réglementaire.
4ème essai pour la Rdc
Si Mazembe sera à sa troisième tentative en Super Coup, au niveau de la RDC, on en sera à notre 4ème essai. Cela, si on considère, la première et l’unique participation du Daring Club Motema Pembe, le 20 janvier 1995, à Alexandrie. En effet, face à l’Espérance Sportive de Tunis, le club vert et blanc du coach Magassouba avait fait naufrage dans les eaux de la Méditerranée, puisque battu sur le score de 3-0.
Déjà deux ratés pour l’Etoile Sportive du Sahel
A l’inverse de Mazembe qui court derrière un troisième trophée, l’Etoile Sportive n’a jamais goutté aux délices du triomphe d’une Super coupe de la Caf. En effet, par deux fois, elle a raté le coche. Une fois, en 2004, contre Enyimba (0-1) et une autre fois encore, en 2007, devant Al Ahly d’Egypte (0-0 et 4 tirs au buts 5). Si ce signe indien poursuit l’Etoile du Sahel, Mazemba n’aura qu’à sourire.