Absent de la phase de groupes de la ligue des champions de la Caf, deux années de suite, le Tout Puissant Mazembe y est de retour, en 2018. Pour l’ouverture du bal, Mazembe qui connaît les méandres de ce circuit continental sait à quoi s’en tenir. Cela d’autant plus que son adversaire de ce samedi s’appelle Entente Sportive de Sétif, une équipe d’Algérie. C’est en soi des retrouvailles pour ces deux formations qui se sont croisées, à maintes reprises dans le passé. Comme les Corbeaux lushois évolueront à domicile, c’est le premier pas d’un long voyage de six matches en aller et retour en vue d’occuper la 1ère ou la 2ème place qualificative du groupe pour le tour final. Pour un premier pas dans son jardin de la commune de Kamalondo, une victoire s’impose avant d’entrevoir l’avenir en rose.
David Mwakasu, coach adjoint de Mazembe : « A nous s’honorer le drapeau national »
A la conférence de presse, après la victoire de Mazembe sur l’AC Rangers (3-0), au Stade des Martyrs, David Mwakasu, l’adjoint de Pamphile Mihayo Kazembe avait déclaré : « Dans cette phase de groupe de la ligue des champions de la Caf, Mazembe se doit de défendre d’abord l’honneur du drapeau congolais. Ensuite, ses propres emblèmes. Et le tout commence ce samedi 5 mai 2018 contre Sétif, un club habitué du circuit continental et qu’il faudrait prendre au sérieux. Mais comme nous jouons à la maison, une victoire s’impose. Profitant de la même occasion, je souhaite beaucoup de chance à V.Club qui va aussi défendre les couleurs nationales à la coupe de la Caf et qui jouera le dimanche 6 mai 2018, au Maroc contre Raja de Casablanca.»




Son papa nous raconte : « Depuis notre rencontre à Paris, Ernesto a intégré L’AS MONACO où il fait son petit bonhomme de chemin sans pression depuis maintenant 3 ans. Dieu seul sait où cela va le mener, mais pour le moment, nous veillons juste à ce qu’il prenne du plaisir et qu’il s’épanouisse dans ce sport qui est sa passion. » …. Il rajoute : « Vous êtes du milieu, vous savez comment ça se passe. Réussir à faire de ce loisir un métier est difficile voire quasi impossible. A cet âge-là, on ne peut encore rien présager, tout peut arriver aussi bien dans un sens que dans l’autre. La seule consigne que je lui donne est qu’il s’éclate et qu’il s’amuse… » nous rajoutait-il entre deux actions de jeu en concluant : « A ce jour, le plus important à mes yeux c’est qu’à chaque bulletin scolaire, il reçoit les félicitations de ses professeurs et fait toujours parti des 3 meilleurs de sa classe… pour le football, on verra bien...»

