Deuxième phase : réorganisation des forums

Comme son nom l'indique, on discute de tout ici mais dans le respect et les règles du forum.
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Ilunga
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Re: Deuxième phase : réorganisation des forums

Message par Ilunga »

Eh oui ! C'était prévisible...Les lushois doivent ouvrir l'oeil et le bon ! "Kabila" a libéré le criminel Gédéon KYUNGU pour causer l'insécurité dans la ville...avant, pendant et après les élections...





SITUATION SECURITAIRE A LUBUMBASHI - La Monusco craint une augmentation du taux de criminalité

Jeudi, 15 Septembre 2011 11:29




« La situation sécuritaire reste volatile au Katanga. Le taux de la criminalité pourrait considérablement augmenté dans la ville de Lubumbashi suite à l’évasion massive des détenus de la prison de Kasapa, » a déclaré le porte- parole militaire intérimaire de la Monusco, le lieutenant- colonel Mactar Diop. C’était hier lors de la conférence de presse hebdomadaire des Nations Unies.
Rappelons que le mercredi de la semaine passée, un groupe des Mayi Mayi avait attaqué la prison pour faire sortir son chef Gédéon, aux arrêts depuis plus de cinq ans pour crimes contre l’humanité. Plus ou moins, 960 prisonniers se sont évadés de la prison de Kasapa. Les forces de sécurité ont pu récupérer 200 d’entre eux et plus de 700 éléments continuent à courir dans la nature.
Il a indiqué que les troupes de la Force de la Monusco étaient en étroite collaboration avec les forces de sécurité de la RD Congo pour contribuer à retrouver les fugitifs.
Sur le même registre, le porte-parole militaire intérimaire de la Monusco a signalé que la situation sécuritaire au Nord-Katanga demeurait préoccupante. La présence des éléments des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR) dans la chaîne de montagne de Mitumba et celle de plusieurs personnes déplacées au Nord de la province reste un défi pour la stabilité de la région, a-t-il dit.
Par ailleurs, dans la province du Sud- Kivu, la même source signale que les éléments FDLR continuent d’être actifs dans les territoires de Mwenga, Kalehe et Walungu. La présence signalée des éléments du groupe armé Nyatura et Mayi Mayi Kiricho dans la région de Kalehe, aussi bien que le recrutement des civils dans la région de Mwenga par les Mayi Mayi Kapopo, constituent une source de préoccupation et appellent une prise en compte rapide. Les Mayi Mayi Yakutumba continuent d’accroître leur influence au Sud du territoire de Fizi et dans les régions de Lulimba. La Brigade du Sud- Kivu de la Force de la Monusco poursuit ses efforts de, stabilisation de la situation sécuritaire par des patrouilles intensives de contrôle des zones et ce démonstration de la force.
Jean-René Bompolonga


Source : Le Phare
Ilunga
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Message par Ilunga »

Santoss avait apparemment raison : LE COMPTAGE SERA MANUEL !!! dixit NGOY MULUNDA en personne...La pression de l'UDPS a été puissante et les tricheurs PPRDiens ont fini par lâcher l'affaire...Restons tjrs VIGILANTS ! JMPR MISO GAAAAAAAAH !!!

Aux chiottes le serveur central ! VICTOIRE DE L'OPPOSITION UDPS-alliés !! Les fraudeurs du PPRD n'ont plus que leurs yeux pour pleurer...







http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... re&lang=fr

Tricherie électorale : Le dernier mot aux témoins

Jeudi, 15 Septembre 2011 11:32




Selon un bureau des observateurs des élections de renommée internationale, la présence des témoins va rendre difficile la tricherie dans les 50.000 bureaux de vote qui seront opérationnels en 2011. Comme les élections présidentielle et législatives vont se passer le même jour, les bureaux de vote seront envahis par non seulement les témoins de candidats à la présidence de la République mais surtout ceux des milliers des candidats à la députation nationale. En plus il y aura des délégués des missions d’observation provenant des partenaires ayant financé ces élections ainsi que ceux de la Monusco qui a été dotée de la mission de surveillance de ces élections par la toute dernière résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU.

Lors des élections générales de 2006, la défunte Commission Electorale Indépendante avait mis en place 32.000 bureaux de vote à raison de 500 électeurs pour chacun d’eux. Pour les élections de novembre prochain, la CENI du Pasteur Daniel NGOYI Mulunda en a pt vu 50.000 à la suite de l’augmentation substantielle du nombre des électeurs qui est passé de 25 à 32 millions des personnes régulièrement enrôlées, Il faut donc s’attendre à voir un bureau de vote recevoir au moins 500 votants, ce qui va faciliter les opérations de dépouillement et de contrôle à l’issue du vote proprement dit.

Selon la loi électorale, chaque candidat est autorisé à présenter un témoin dans chaque bureau de vote de sa circonscription électorale. En d’autres termes, des dizaines des milliers des candidats à la députation nationale seront déployés dans les différents 50.000 bureaux de vote disséminés à travers tout le territoire national. Il y aura donc au moins une centaine des témoins dans chaque bureau de vote pour surveiller les mouvements des électeurs, en contrôlant particulièrement leurs cartes d’identité et surtout leur état physique. On rappelle que les partis de l’opposition politique et plus particulièrement l’UDPS, avaient dénoncé la présence des enfants mineurs enrôlés dans certaines parties du territoire national, notamment dans le Nord Katanga et au Maniema. Des accusations confirmées aussi par le professeur DJOLI, vice-président de la CENI. Il semble que des officines maffieuses impriment des cartes d’électeurs. Mais la loi électorale a prévu la publication des listes électorales 30 jours avant les élections. Cela va permettre aux témoins de contrôler l’authenticité de chacune des cartes d’électeur en cas de doute sur la personne qui va se présenter devant le bureau de vote.

Rôle prépondérant des procès-verbaux

Contrairement à ce qui s’était passé lors des élections de 2006, à l’issu du vote proprement dit, il aura quatre opérations. La première sera de procéder au comptage des bulletins déposés dans les urnes pour savoir si le nombre de ces bulletins ne dépasse pas le nombre des électeurs prévus. Ensuite, le bureau va passer au dépouillement des voix exprimées en les inscrivant sur un tableau noir sous la surveillance des témoins. Un autre contrôle est possible en cas de doute, car il arrive souvent que des bulletins soient déclarés nuls au cas où l’électeur a coché deux noms différents ou en cas de rature. Enfin le bureau va passer au contrôle des bulletins déclarés nuls pour vérifier si le nombre des bulletins ne dépasse pas celui des électeurs régulièrement inscrits. Chacune de ces opérations sera sanctionnée par des procès-verbaux à signer par tous les témoins régulièrement reconnus par la CENI suivant les mandats leur délivrés par leurs candidats respectifs. Raison pour laquelle tous les témoins devront porter des macarons infalsifiables délivrés par la CENI.

Ngoyi Mulunda confirme : « Le comptage des voix sera manuel »

A la fin de toutes ces opérations, chaque bureau est tenu de rendre publics les résultats des voix exprimées et de les mettre sur le site de la CENI accessible à tout le monde. Ce qui permettra à chaque formation politique de faire la compilation des voix obtenues par ses candidats. Tout récemment, pour apaiser les esprits surchauffés à blanc par les bruits de la manipulation du serveur principal, le président de la CENI a reconnu que le décomptage des bulletins se fera manuellement. D’où l’importance incontournable des procès-verbaux contenant les signatures de tous les témoins et des observateurs internationaux.
Pour le législateur, ce sont les procès-verbaux qui constitueront des pièces à conviction primordiales à présenter devant les juges de la Cour Constitutionnelle en cas de contestation. Sauf en cas d’invalidation de vote dans telle ou telle circonscription électorale pour l’un ou l’autre motif, les résultats des élections de novembre prochain devront en principe être connus dans les 48 heures après les opérations de vote.
Devant un tel nombre des témoins, on ne voit pas comment, des gens de mauvaise foi ou des inciviques pourront organiser une tricherie. Car, d’une part il sera compliqué et risqué de recourir à la corruption au regard du nombre élevé des témoins provenant de divers horizons politiques. D’autre part, la présence des observateurs internationaux et nationaux envoyés par les partenaires extérieurs complique davantage la tâche à ceux qui espèrent prendre le raccourci de la fraude. Toujours selon la loi électorale, des professionnels des médias locaux et internationaux seront déployés dans tous les centres de vote et constituent des témoins gênants. On va donc assister à un marquage strict à la culotte étant donné que les différentes familles politiques protagonistes tiendront à se surveiller mutuellement.


Source : Le Phare
Ilunga
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Message par Ilunga »

Campagne électorale présidentielle : Kabila lance la guerre des bilans

Jeudi, 15 Septembre 2011 11:32




Le Chef de l’Etat, a présenté hier mercredi 14 septembre 2011 dans sa ferme de Kingankati, dans la banlieue de Kinshasa, le discours-bilan de ses 5 ans de mandant devant de hauts cadres de la Majorité Présidentielle (MP), auxquels se sont jointé plusieurs centaines de militants. Candidat à sa propre succession, l’illustre orateur adressé un bilan qu’il a estimé largement positif sur tous les plans politique, sécuritaire, économique et social.
Le Président de la République s’est félicité d’avoir tenu ses promesses de 2006, notamment au sujet de la réunification territoriale, du retour de la paix, de l’amélioration du social, de la réforme de l’armée, de la police et des services de sécurité, de l’exécution du programme des 5 chantiers de la République (Emploi, Infrastructures, Santé, Education, Eau et Electricité), de la redynamisation de la diplomatie, etc.

«En cinq ans, nous avons fait avancer ensemble le Congo », a-t-il constaté. Demandeur de .suffrages des électeurs Joseph Kabila a pronostiqué sa victoire électorale le 28 novembre2011, au regard de ce bilan flatteur. Esquissant les perspectives d’avenir, il a promis de se focaliser sur la moralisation de la jeunesse, la lutte contre la pauvreté, la réforme du système éducatif, la création d’une banque de l’habitat, une meilleure desserte nationale en eau potable et électricité. Après l’atteinte du Point d’Achèvement de l’initiative Pays Pauvres Très Endettés ayant consacré l’annulation de près de 13 milliards de dollars de dette extérieure de notre pays, Joseph Kabila vient de prendre l’engagement de faire de la République Démocratique du Congo, à court et moyen terme, un « pays émergent », notamment par l’industrialisation des secteurs agricole, minier et pétrolier.
Dans la foulée, l’homme de Kingankati a exigé, haut et fort, que chaque candidat à la présidentielle ait le courage et l’honnêteté de présenter le bilan de ses actions en faveur du Congo et du peuple Congolais. Joseph Kabila a instamment recommandé aux populations de chercher à savoir qui a fait quoi pour le pays afin de se prononcer en connaissance de cause au niveau des urnes.

Un piège mortel pour les transfuges de la Majorité

Comme par hasard, la sortie politique de Joseph Kabila, qui a épousé le décor d’un début de campagne, est intervenue 48 heures après celle d’Antipas Mbusa Nyamwisi, membre de la Majorité Présidentielle et ministre honoraire de la Décentralisation. Le discours-bilan décliné par le Président de la République est apparu, aux yeux de beaucoup, comme une réplique directe aux flèches empoisonnées décochées en sa direction par cet ancien membre du gouvernement, qui a qualifié son bilan de négatif sur toute la ligne.
Selon Antipas Mbusa en effet, le mandat de Joseph Kabila a été une vaste escroquerie pendant cinq ans. Il s’est même permis de considérer les5 chantiers de la République comme la plus vaste entreprise de prédation jamais connue par notre pays. Selon cet ancien dignitaire de la famille politique du Chef de l’Etat, il a décidé de se porter candidat à la magistrature du pays pour offrir aux Congolais un Congo nouveau.
Le bilan de Kabila est aussi perçu comme une réponse à d’autres dissidents de la Majorité Présidentielle, à savoir Vital Kamerhe et Nzanga Mobutu, mais aussi une interpellation à l’endroit de Léon Kengo. On note que ces trois candidats présidentiables ont choisi, à l’image de Mbusa, de justifier leur présence dans la course présidentielle par le constat d’échec du Régime Kabila et leur volonté de gérer autrement le pays.
Tel que Kabila vient de ficeler son système de défense, il va être difficile à Kamerhe, Nzanga, Mbusa et Kengo, de se déclarer non concernés par son bilan, s’il est réellement négatif. Pour avoir passé tranquillement 4 ou 5 ans à ses côtés, et avoir partagé avec lui le lait et le miel; sans se poser des questions sur la misère des Congolais, ils sont sans excuse. Ils ne peuvent pas à la fois diaboliser un système qu’ils ont servi et consolidé de 2006 à 2011 et se mettre à le renier dans le dessein d’escroquer de nouveau les Congolais.
V Kabila est tout tranquille de s’assumer en tant que chef d’orchestre de la Majorité Présidentielle. Quant à ceux qui n’ont pas le courage d’assumer leur passé dans les institutions de la République, le retour de la manivelle risque d’être terrible.
Pour ce qui est d’autres candidats présidentiables, dont Etienne Tshisekedi, Oscar Kashala, Adam Bombole, Kakese, Mukendi et Théodore Ngoy, le peuple congolais va être l’arbitre impartial dans le jugement de leurs actions positives ou négatives au profit de la patrie, chacun selon son parcours et son époque.
Kimp


Source : Le Phare
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Pour battre Joseph Kabila en novembre prochain - Le représentant du MLC/Pays-Bas suggère un ralliement MLC-UDPS

Jeudi, 15 Septembre 2011 13:26




Le compte à rebours a déjà commencé dans les officines des partis politiques. Des stratégies sont peaufinées en vue de s’assurer de la victoire aux élections. Parmi elles, les alliances politiques. Le représentant du MLC/ Pays-Bas a donné de la voix pour garantir la victoire d’Etienne Tshisekedi à l’élection présidentielle.
Fort de l’hypothèse selon laquelle aucune formation politique ne peut prétendre à la majorité parlementaire, sans les alliances, et suivant la même logique, aucun candidat à la présidentielle ne peut s’assurer de la victoire finale, le représentant du MLC/pays Bas a recommandé l’alliance de son parti avec l’UDPS.
Exactement comme en 2006, lorsque le Palu de Gisenga et l’UDEMO de Nzanga Mobutu s’étaient ralliés à la cause de J. Kabila.
Dans une intervention relayée hier sur les antennes d’une chaîne locale, le représentant du Mouvement de libération du Congo, MLC, parti de J.P Bemba n’est pas allé par le dos de la cuillère pour émettre son point de vue. Sans mâcher les mots, il a suggéré que son parti, le MLC soutienne la candidature de l’UDPS.
Autrement dit, l’UDPS étant l’unique parti se plaçant en bonne position pour infliger une cinglante défaite au candidat indépendant de la majorité présidentielle.
Aux membres du camp adverse, il est l’unique parti qui donne des insomnies. Selon l’intervenant, la grande majorité des militants du parti de J. R Bemba ne jurent que par l’alternance.
A leurs yeux, il n’y a pas d’autre candidat que celui de l’opposition (Etienne Tshisekedi) capable de renverser Kabila, par les urnes.
Dès lors, jeter le dévolu sur un autre candidat, serait un crime de lèse majesté, voire un sacrilège aux yeux des militants de ce parti. Quoi que l’on puisse dire, à ce niveau, le suspens demeure, pour autant que J.P. Bemba ne s’est pas encore prononcé clairement à ce propos. Le moment venu, il ne manquera pas de faire le choix judicieux devant la dizaine des candidats alignés à la présidentielle.
Point n’est besoin de rappeler que le leader du MLC n’a pas obtenu de la CPI l’autorisation de venir à Kinshasa, ne serait ce que pour une heure, déposer sa candidature. Le MLC n’a pas non plus aligné un autre candidat à la présidentielle.
Etienne Tshisekedi, pour ce qui le concerne, a informé Je peuple congolais de sa volonté affichée de s’investir dans la libération de J. P Bemba, une fois élu président de la République.
Les militants du MLC pour leur part ont toujours fustigé le mutisme du pouvoir autour de l’incarcération à la Haye de leur leader, pour des motifs politiques. Mutisme qu’ils qualifient de complicité.


Source : La Tempête des tropiques
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Son mandat étant presqu’arrivé à terme : Kabila dresse un bilan d’autosatisfaction

Jeudi, 15 Septembre 2011 13:28




Réagissant à cette autoévaluation où les droits de l’homme ont été oubliés, la fédération Urec-Anader constate par contre que tous les indicateurs sont au rouge. Le chef de l’Etat Joseph Kabila a prononcé son discours bilan hier mercredi 14septembre 2011 à Kingakati, banlieue située à plus de 100 km de la ville de Kinshasa, devant tous les membres de la Majorité présidentielle et autres animateurs des institutions de l’Etat. Il a profité de cette occasion pour accepter officiellement de se présenter à là prochaine élection présidentielle, tel que souhaité par les “camarades d sa famille politique et autres partis alliés. Il e parlé de la politique et sécurité, l’intégrité territoriale, l’économie, les infrastructures, l’enseignement, l’agriculture, l’eau et l’électricité, du social et des fonctionnaires de l’Etat … en oubliant un des aspects importants qui ont marqué son mandat, à savoir les droits de l’homme.
Il était 12h00 lorsque Joseph Kabila a effectué son entrée sous la tente érigée dans sa ferme privée de Kingakati, ovationné par les cadres et sympathisants de a famille politique. Dans son discours qui a duré une heure et trente cinq minutés, l’autorité morale de la Majorité présidentielle s’est dite consciente de l’importance de la charge qu’il a acceptée de porter en se présentant comme candidat à sa propre succession. “ Je suis déterminé à me montrer digne de cette charge et de cette confiance et j’en connais les exigences. En toute responsabilité et en toute humilité, j’ai accepté d’être candidat à l’élection présidentielle et j’ai rempli les formalités requises “, a dit le Raïs, avant de manifester la conviction qu’avec l’aide de Dieu, “ nous allons gagner les élections “. Car, a-t-il poursuivi, “ nous avons tous une passion, le Con- go. Une vision, la modernisation de la République démocratique du Congo. Un objectif, le bien-être des Congolais
Néanmoins, a reconnu le chef de l’Etat sortant, l’arbitre appartient à un arbitre expérimenté, le souverain primaire.

Bilan « positif »

Obligé de rendre compte de l’exercice de son pouvoir pour cette législature finissante, Kabila a soutenu que la République démocratique du Congo avait perdu l’essentiel des éléments constitutifs d’un Etat, ainsi que les attributs de l République. Son économie était par terre, le territoire morcelé, la Gécamines en faillite, la production intérieure et vivrière en baisse, en plus de la dette extérieure de plus de 13 milliards de $US.
En 2001, il fallait trois à quatre semaines pour faire la route Kinshasa-Matadi qui n’était qu’une succession de bourbiers, alors que principal axe de desserte de la capitale Kinshasa. Ce qui a causé la pénurie fréquente, la hausse de prix de première nécessité, une compétitivité et une rentabilité réduites, une hyper inflation, la pauvreté et un taux de chômage élevé.
A son arrivée, a-t-il estimé, il a été mis fin à tout cet état des choses. Il fallait arrêter la dégradation en rétablissant les fondamentaux. Ainsi, selon Joseph Kabila, dès son arrivée au pouvoir, il a rétabli la paix, instauré la démocratie, stabilisé le cadre macroéconomique, créé un environnement propice aux investissements. Le tout, assorti d’un .vaste programme de “ 5 chantiers lancé. “Aujourd’hui, 10 ans après, ces paris sont tous gagnés ou en voie de l’être », a-t-il affirmé.
Sur le plan politique et sécuritaire, par souci de réconciliation, “je suis allé jusqu’à partager le pouvoir au terme d’une transition consensuelle, aboutissant aux élections, ce qui a mis un terme à la longue crise de légitimité.
Après 2006, a poursuivi l’orateur, les résultats sont de plus en plus remarquables. “ Le pays est pros- qu’entièrement pacifié “. Plusieurs réformes menées ont donné lieu à la naissance d’une nouvelle armée et d’une nouvelle police.
Dans le chapitre des libertés publiques, il estime que cet aspect est devenu effectif et est vécu au quotidien, comme en témoigne le retour au pays de plusieurs Congolais pour participer au processus électoral. “ La gouvernance politique et sécuritaire n’a jamais été bonne dans notre pays, et s’améliore tous les jours “, a déclaré le candidat au mandat finissant.
Sur le plan économique, le cadre macroéconomique est stabilisé, le pays a atteint le point d’achèvement de l’initiative PPTE, la production minière a repris la courbe ascendante. Parlant ‘des fonctionnaires de l’Etat, l’huissier qui touchait 865 fc en 2005, touche à ce jour 55 000 fc. Un médecin qui touchait 150$ en 2006 en touche 700 depuis 2009. Le salaire du magistrat est passé de 704$ en 2008 à 1 600$ en 2009. Le professeur d’université est passé de 8$ en 1997 à 200$ en 1998, 300$ en 2006, 500$ en2009, 1500$ en 2010 et 2200$ en 2011. Parlant du chantier” route “, de 2006 à mai 2011, Kabila se félicite d’avoir réhabilité 6 000 km de routes ont été réhabilités dans l’ensemble du pays, en plus des réfections sur des tronçons additionnels.
Joseph Kabila a cependant perdu de vue que les droits de l’homme sont aussi un secteur qui mérite également un bilan, au regard de toutes les tragédies vécues depuis quelques années. Les journalistes sont tués comme des chiens à Kinshasa et à l’intérieur du pays, les manifestants pacifiques tombent sous les balles des policiers, le cas Armand Tungulu dont on ne parle plus alors qu’il est mort dans des circonstances floues, des activistes des droits de l’homme abattus, le cas le plus saillant étant celui de Floribert Chebeya et son chauffeur Fidèle Bazana de la Voix des sans voix.
Il fallait que le chef de l’Etat ronde aussi compte de ce secteur, autant qu’il a fait avec les autres.
En outre, lorsqu’il dit que la paix est revenue sur toute l’étendue de la capitale, cela n’est pas vrai du moment où, selon les rapports des Ong basées à l’Est de la RDC, des éléments armés sèment tous es jours la désolation aux paisibles citoyens, sous l’oeil et la barbe des autorités, en tout impunité. Mais pour le chef de l’Etat, il n’y a pas d’incendie à l’Est, il n’y a que des brasiers. En France ou aux Etats-Unis, si un seul citoyen meurt, cela attire l’attention du président et des mesures sont prises pour mettre un, terme à cela.
Quant à l’eau et l’électricité, le président de la République doit savoir que plus de 80% des Congolais n’ont pas suivi son adresse d’hier, par manque du courant électrique. C’est un indicateur du chantier Eau et Electricité. En ce qui concerne l’eau, si le choléra est aujourd’hui présent à Kinshasa, c’est parce que la desserte en eau potable a failli. Non seulement tout le monde n’a pas accès à cette denrée rare, mais aussi cette dernière est de très mauvaise qualité. Raison pour laquelle elle cause même des maladies aux populations.
Dans le secteur de l‘ESU, les chefs de travaux de l’Unikis, l’Unikin... sont en grève, ainsi que les administratifs. Les enseignants de l’Epsp ont boycotté la rentrée scolaire pour les conditions sociales et professionnelles inhumaines dans lesquelles ils travaillent.
De même, le bilan présenté à Kingakati ne fait pas allusion aux tonnes de médicaments remises aux différents hôpitaux. Dans ce secteur de santé, il ne suffit pas de réhabiliter les bâtiments ou construire d’autres centres, modernes soient-ils, alors qu’il se pose plutôt un sérieux problème d’accès, les moyens faisant défaut. Les Congolais pensent qu’il faut équiper les hôpitaux qui existent déjà, leur personnel étant qualifié. On assiste, par exemple, à des cas où un médecin, en face d’un malade, est incapable d’administrer les premiers soins, même pas le toucher, les gants faisant défaut.
Il est vrai que certaines routes ont subi des transformations dont quelques unes à Kinshasa et deux ou trois à l’intérieur. Mais personne ne maîtrise son coût. Il n’y a donc pas de transparence à ce niveau. On se rappelle d’ailleurs qu’il y a quelques mois, le chef de l’Etat avait suspendu le directeur général de l’Agence congolaise de grands travaux (ACGT). Personne ne shit jusqu’à ce jour les raisons de cette révocation. Toutefois, il transpire, selon certaines indiscrétions, que des inciviques s’enrichissent dans cette affaire de routes, profitant de l’opacité qui l’entoure.
Aussi, Kabila doit faire la part des choses entre les routes construites sur financement de la Banque mondiale, de la Coopération technique belge, du Bureau central de coordination, de la Monusco ou de l’Union européenne et celles réhabilitées grâce aux efforts du gouvernement. Surtout que, à Kindu par exemple, il y a une université construite avec le financement de la Banque mondiale, dont la Majorité s’attribue la paternité dans son bilan.
Aussi, le chef de l’Etat a fustigé le comportement de ceux qui minimisent l’action de la réhabilitation des routes, alors qu’il n’y a pas de bus de transport en commun pour rouler dessus.
Dans sa réplique, le Raïs a soutenu qu’il faut au préalable qu’il y ait des routes avant d’avoir des bus. Et que très prochainement, ces derniers seront là. Où sont alors partis les bus dont le gouvernement de la ville de Kinshasa avait annoncé l’arrivée en RDC ? Etait-ce donc de la farce ?

Fédération Urec-Anader : « tous les indicateurs sont au rouge »

Réagissant à chaud à cette autoévaluation, le vice-président de la fédération Urec- Anader, Kumbu Kumbel, s’est dit indigné de ce discours du président de la République Joseph Kabila. « Comment peut-on parler d’un bilan positif au moment où tous les indicateurs sont au rouge ? » s’est-il demandé, allusion faite à l’impunité, aux droits de l’homme, à la bonne gouvernance, à l’emploi, à la corruption …
Pour lui, la République démocratique du Congo va plus mal qu’il y a cinq ans. Pour preuves, a-t-il poursuivi, la RDC est le 4e pays le plus mal gouverné en Afrique après l’Erythrée, le Tchad et la Sierra Léone. « On comprend que c’est discours est essentiellement électoraliste, et le peuple le comprend aussi, a lâché le président national de l’Anader.
Pour ce dernier, Joseph Kabila n’a pas rien fait. Mais quand on réalise 2/10 à l’école, on ne passe pas de classe. Le peuple congolais est le jury. C’est lui qui rendra le verdict le 28 novembre 2011.
LEFILS MATADY


Source : La Tempête des tropiques
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Les détournements ou l'apprenti gargantuèsque de nos honorables ventripotents...Le pays est saigné à blanc de toute part par les satrapes congolais..."Kabila" doit partir !!





Horreur financière à l’Assemblée nationale - Les parlementaires larmoyent 114 milliards de FC chez Boshab Evariste

Jeudi, 15 Septembre 2011 13:31




La République démocratique du Con go doit aux députés et sénateurs du HCR-PT, de l’ACL-PT et du Parlement de transition (1+4) des arriérés d’émoluments de l’ordre de 114 milliards de francs congolais. De ce montant, 2.181.033.985,00 FC engagés parle président de l’Assemblée nationale, M. Boshab Evariste, n’ont jamais été payés aux bénéficiaires. Ces derniers estiment que l’argent aurait été dérouté ou désaffecté parle président de la chambre basse du Parlement. La différence, soit 113 milliards de FC ont été transférés à l’OGEDEP. Mais les parlementaires soutiennent que les émoluments qui sont des dépenses contraignantes ne peuvent pas être considérés comme une dette intérieure.

Ils sont au total 1.654 parlementaires. Des anciens députés et sénateurs ayant oeuvré dans le haut Conseil de la République - Parlement de Transition (HCR-PT). Ils ont été aussi dans l’Assemblée constituante et législative - Parlement de transition (ACL-PT). De même que dans le parlement de transition (1+4). Ces législatures terminées, leurs membres accusent des arriérés des émoluments qui se chiffrent au jour d’aujourd’hui à plus de 114 milliards de francs congolais.

Mécontents

De 2000 à 2006, ces élus du peuple n’ont pas reçu rien comme émoluments. Ils sont donc très mécontents. Ils organisent alors une Fédération nationale des parlementaires du Congo «FNPC ». Un syndicat chargé de défendre des intérêts de 1 .654 députés et sénateurs aujourd’hui chosifiés. Le 08 juin 2010, les membres de cette corporation syndicale sont reçus par le président de l’Assemblée nationale, M. Boshab Evariste. Ils sollicitaient auprès du président de la chambre basse du Parlement des éclaircissements sur leurs arriérés des émoluments ainsi que leur assujettissement au régime spécial e sécurité sociale des parlementaires «SESOPA ».

Quid de 1.759.430.750 FC

Curieusement, ces députés et sénateurs se rendent compte que le président de l’Assemblée nationale, M. Boshab Evariste avait signé un bon d’engagement n° 23408 en date du 27 septembre 2010 pour un montant de 1.759.430.750,00 FC. Un autre dossier n°234 8660 est signé par le président de l’Assemblée nationale, DTO 1461/10 représentant une somme de 421.609.235,00 FC. Ces créances ont été agréées par le ministre du Budget qui a établi trois bons d’engagement successifs qui ont été envoyées au ministère des Finances sous formes de trois DTO suivants :
1. DTO n°1461/10 représentant un montant de 421.603.235 FC.
2. DTO n° 2549 représentant un montant de 175.943.075,00 FC.
3. DTO n 2948 représentant un montant de 175.943.175,00 FC. Ces DTO ont duré plusieurs mois sur le bureau du ministre des Finances et sont retournés au ministère du Budget par celui des Finances et tombèrent en annulation le 15 janvier 2011. Cela à la grande désolation générale de 1.654 députés et sénateurs actuellement clochardisés. Bien que ces 3 DTO aient tombé en annulation, les honoraires parlementaires s’insurgent de constater que les 1.759.430.750,00 FC plus les 421.603.235,00 FC engagés par le président de l’Assemblée nationale n’ont pas bénéficié à eux.
Ils estiment que ces deux chiffrent qui donnent un total de 2.181.033.985,00 FC -ont été déroutés ou désaffectés par le président de l’Assemblée nationale. Et que, eux, les bénéficiaires n’ont jamais touché ne fut-ce qu’une minime partie de leurs arriérés des émoluments (voir le Bon d’engagement) ainsi qu’un tableau d répartition de paiement des créances sur le arriérés des ex-députés HCR-PT, ACL-PT, Parlement de transition (1+4 (voir facsimilé dudit tableau).
Selon donc ces parlementaires, il n’y a pas de doute possible, le président de l’Assemblée nationale, M. Boshab Evariste a détourné l’acompte de 1.750.430.750,00 FC suivant sa lettre n° RDC/AN/CP/FB/JK/MNT/09/ 1150/2010 du 27 septembre 2010 adressée au ministre du Budget avec comme objet : «Liquidation d’un acompte sur les arriérés et émoluments des ex-députés (BDE n° 23408 A). Plus une décharge signée à la main d’un import de 421.603.235,00 FC portant mention Honorable Ntumba et consorts. Dossier n° 234.866-D50 1461/10.

Détournement confirmé

Les parlementaires de ces ex-législatures n’hésitent pas de confirmer le détournement de leurs arriérés d’émoluments. Ils justifient leur allégation par la lettre n° RDC/AN/CP/ EB/JK/MNT/09/1 15/2010 du 27 septembre 2010 adressée au directeur général de l‘Office de gestion de la dette publique (OGEDEP) avec comme objet : « Transfert des créances ».
Et le président de la chambre basse du Parlement d’inscrire : «J’ai l’honneur de vous transférer le «solde» des créances des honorables ex-députés membres du HCR-PT ACL-PT et du Parlement de Transition (1+4) ainsi que leurs personnels politiques et administratifs suite à leurs hauteurs et dont le montant s’élève à 112.932.819386,OO FC.
Ces dépenses vous sont transférées pour leur prise en charge en tant que service spécialisé du gouvernement en matière de la dette publique pour budgétisation et programmation ». Et les destinataires de cet argent comprennent que quand M. Boshab Evariste parle de «solde», c’est dire que la différence a été utilisée non pour leurs intérêts. En outre, ils se demandent si les émoluments des parlementaires qui constituent des dépenses « contraignantes » peuvent-ils être considérés comme une dette à verser au service de la dette intérieure. Voir tableau de ventilation des créances transférés à l’OGEDEP.

Au Président de la République

Ces anciens parlementaires, qui se sont adressés au Président de la République, déplorent leur état et annoncent que la situation dans laquelle ils ont été soumis a causé la mort à 403 ex-députés. Le vice-Premier ministre en charge des PTT, qui a été chargé par le Premier ministre en vue de résoudre ce litige, n’a pas su s’imposer devant la résistance des autorités concernées par le dossier.

A l’Assemblée nationale

Le journal «Le Différent» a fait de son mieux pour obtenir la version de l’Assemblée nationale sur les accusations des ex-parlementaires. Le samedi 10 septembre2011, l’occasion nous a été offerte de rencontrer le directeur de cabinet adjoint et le conseiller parlementaire, M. Iyeleza Moju Mbey. Alors que notre souci majeur était de recevoir de la bouche du Président de l’Assemblée nationale ses explications sur ce dossier qui ne ris- que de’ porter atteinte à son honneur à sa dignité et pourquoi pas de sa famille politique. Etant donné que c’est sa personne qui s’est engagée dans cette affaire.


SOURCE LE DIFFERENT
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Message par Ilunga »

Kinshasa : Les kinois soutiennent et aide RLTV incendié

* September 15, 2011 6:09 am


Comme vous le savez la RTLV, la seul chaine qui diffuse sans problème le message de l’ opposition à Kinshasa, la seul chaine qui donne l’ accès facile à l’ UDPS au média pour la campagne électorale 2011 a été incendié par des gens manipulés. Voici comment les kinois aide à la réhabilitation de RLTV. Merci au 3 personnes de la diaspora qui ont quand même poser un geste pour aider RLTV. Na temps, suivez ces images !

* WESTERN UNION – NOM : ROGER LUMBALA, CODE AU PHONE : 00243990903539

Pour plus de details appeler le ROGER LUMBALA au 00243990903539

http://congomikili.com/kinshasa-les-kin ... endie.html
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Re: Deuxième phase : réorganisation des forums

Message par Ilunga »

RDC: discours de Joseph Kabila, réactions de la MP et de l’UDPS

http://radiookapi.net/actualite/2011/09 ... 80%99udps/
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Re: Deuxième phase : réorganisation des forums

Message par Mayloshi-forever »

Ilunga a écrit :kie kie kie kie kie...Il est marrant celui-là !



kivuappel dit :
14 septembre, 2011 à 11:46

United States

Felicitation Monsieur le candidat Mbusa Nyamuisi, la bouche ne peut parler que quand elle a fini de manger: Nous comprenons avec la politesse africaine qu’on ne peut pas parler a table.
kié kié kié kié kié kié kié trop mdrrrrrrrr cette comm, elle déchiiiiiiiiiire! tu l'as eue ou????? :haha: :haha: :haha: :haha:
Pour ceux qui ne l'ont pas remarqué, je suis gaucher.

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Re: Deuxième phase : réorganisation des forums

Message par Patshoosket »

Mayloshi-forever a écrit :
Ilunga a écrit :kie kie kie kie kie...Il est marrant celui-là !



kivuappel dit :
14 septembre, 2011 à 11:46

United States

Felicitation Monsieur le candidat Mbusa Nyamuisi, la bouche ne peut parler que quand elle a fini de manger: Nous comprenons avec la politesse africaine qu’on ne peut pas parler a table.
kié kié kié kié kié kié kié trop mdrrrrrrrr cette comm, elle déchiiiiiiiiiire! tu l'as eue ou????? :haha: :haha: :haha: :haha:
Je ne comprends vraiment pas l'exactitude de la pensée de kivuappel, mais c'est Mbusa Nyamwisi connait de choses de ce gouvernement parallèle, il a eu a intervenir avec autorité sur une affaire d'escroquerie parcellaire à Gombe comme il l'est d'habitude. C'est pourquoi je crédibilise son annonce.
C'est un homme à coller auprès de ya Tshitshi, pour l’événement d'un état de droit. Il combattait de vrai ces contre-valeurs dont il fait mentions dans son annonce.
Soyez indifférents aux éloges et profitez de critiques pour vous améliorer et vous corriger
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