Deuxième phase : réorganisation des forums

[Erka]

La stratégie est claire, multiplier le nombre de candidats de pacotille des gens autoproclamés populaires dans leurs fiefs respectifs afin de gruger les voix de Tatu Tshikas. À cette stratégie se greffe d’autres de tricherie bien sur. Ainsi le candidat indépendant, l’homme à l’écoute surnaturelle sera déclaré gagnant.

Sur Al-Jazzera, j’ai commencé à être dubitatif lorsqu’elle a été autorisée à émettre ici au Canada. Les événements de Libye sont venus confirmer mes doutes, un média mensonge de plus aux mains des globalistes, un pense-bête pour les plus naïfs d’entre nous.

[Ilunga]

A propos du dépôt de candidature de Mbusa Nyamuisi...





0 #5 ckenzo 13-09-2011 10:10

Voilà que Kabila perdra encore des voix.Si on peuit faire un décompte, Kabila sera amputé des voix du fait du départ de Nzanga, Nyamwisi, Kamerhe et Le sphinx de limete lui à toutes ses chances et bien au contraire meme, il aura des voix de tout ceux ci parceque ils vont se rallier à lui le candidat le plus lourd.La MP a perdu quelqu'un de taille pour l'EST










Candidat à l'élection présidentielle : A. Mbusa Nyamuisi explique le pourquoi de son engagement

Mardi, 13 Septembre 2011 07:55



"Un nouveau Congo est possible et ce n'est pas malheureusement celui dans lequel nous nous trouvons ". " Je ne m'engage pas pour combattre Kabila, mais parce que je pense que je peux faire mieux " c'est des déclarations de ce cru qui ont émaillées la conférence de presse tenu hier lundi par Antipas Mbusa Nyamuisi en sa résidence sur le Boulevard Tshatshi à la Gombe au lendemain de son dépôt de candidature à la présidence de la République et de sa démission du gouvernement. A entendre parler Antipas Mbusa Nyamuisi dans son mot introductif, on comprend clairement que ce dernier a choisi de prendre part à la course à la présidentielle de novembre prochain. Quelles sont les raisons qui justifieraient ce choix alors que ce dernier a fait partie du gouvernement durant les 5 années de mandature ? " Le contact avec toutes les couches de la population m'a révélé, au fil de temps, combi en la confiance et l'espoir suscités par les élections de 2006 ont cédé le pas au désespoir " dira Mbusa Nyamuisi.





Pour lui, mis à part quelques résultats positifs glanés ci et là sur le plan macroéconomique (…), la descente aux enfers s'est poursuivie par le plus grand nombre de nos compatriotes, particulièrement les femmes et les jeunes condamnés à la précarité, réduits aux activités de simple survie et finalement condamnés à subir toutes sortes d'injustices et de tracasseries pendant qu'une poignée d'individus mène grand train au mépris de la nécessité de construire une société solidaire. Jamais au cours des vingt dernières années, l'intérêt collectif n'a autant été foulé au pied au profit des intérêts égoïstes et particuliers d'un petit nombre de dirigeants ".

Au sein du gouvernement, dira Mbusa Nyamuisi, il n'a cessé de dénoncer certains dérives constatées sans changement majeur, aujourd'hui donc la corruption selon lui a gangrené le pouvoir, on privilégie le clientélisme à la compétence ce qui finit " par ruiner les espoirs de redressement de notre pays " a encore dit Antipas Mbusa. Il a dénoncé ses structures qui évoluent en dehors des institutions qui annihilent les efforts du gouvernement. Ces appels dans ce sens sont restés sans écho. Ce qui explique son dépit.

" Dans le domaine des mines, des hydrocarbures et des ressources naturelles, l'opacité a pris le pas sur la transparence. Détournement et spoliation sont devenus la règle au mépris du souci le plus élémentaire de crédibilité dont doit s'entourer un Etat en quête de respectabilité.

Antipas Mbusa Nyamuisi ne s'est pas arrêté en si bon chemin, les réformes engagées dans les différents secteurs, armées, police, justice, finances publiques de l'administration, des ressources naturelles, du climat des affaires n'ont été que des paravents censés jeter un voile pudique sur le démantèlement de l'Etat congolais et de ses structures ". Beaucoup d'autres questions telles que la rétrocession aux provinces de 40 %, les incuries dans la gestion des allocations etc. Mbusa Nyamuisi n'a pas été tendre vis-à-vis de ces collègues du gouvernement. Il s'explique à ceux qui croiront qu'il n'a jamais dénoncé ces dérives par la création Centre libéral patriotique (CLP) qui se voulait comme un courant de pensée libérale au sein de la Majorité.

Pour lui, il ne se bat pas pour lui, mais pour un Congo qu'il a toujours rêvé et dont Kabila a trahi les espoirs. Tendant la main à l'opposition comme à ses autres collègues de la majorité qui pensent comme lui, Mbusa Nyamuisi a réaffirmé sa foi en des élections apaisées c'est-à-dire sans violence. Ses convictions dira-t-il sont trempées dans la justice sociale, l'équité et l'égalité des chances.

Pour lui, les élections qui vont s'organiser devront être une occasion pour une alternance crédible, un changement qualitatif dans la gouvernance administrative, judiciaire politique.. Et que lui demeure disponible pour le Congo. Que certains cadres de son parti ne l'ai pas accompagné dans son combat, cas du gouverneur Paluku, Mbusa Nyamuisi déclare que cela n'ébranle pas ses convictions d'agir quant à la justesse de son combat et une preuve aussi que son parti n'est pas un parti stalinien.



Philippe Mbayi Wete

[Ilunga]

Sur la candidature de Mbusa Nyamuisi, cet internaute a une position qui rejoint celle de notre cher ERKA...






0 #4 papy kake 13-09-2011 09:43

chers compatriotes! je vous demande a tous d'être vigilant. ce genre d'irresponsable, oui irresponsable puisqu'il ne veut pas assumer l'echec, son echec dans le gouvernement auquel il faisait partie il y a 2 jours. ce genre d'irresponsable ne doivent pas troubler notre quiétude. et nous ne devons pas le suivre. tout le monde se rend compte maintenant que le seul qui est constant et qui mérite confiance, amour et fidélité: c'est YA TSHITSHI. qu'il aille au diable, s'il veut vraiment être utile, qu'il se range derrrière le candidat commun au lieu de venir postuler aussi pr disperser les voix de l'opposition. A mes frères de l'est, vous qui cherchez les complices à votre malheur eternel:en voici un. Prenez votre survie en main et boutez-le dehors. sa mission : disperser les voix de YA TSHITSHI en plus de combat en cachette que lui mène VK. Ya mbala oyo, ZZZZZZEEEERRRRO OOOOOOOO.

[Ilunga]

Tjrs sur le dépôt de candidature de Mbusa Nyamuisi, un autre internaute nous donne son analyse :





#1 jj 13-09-2011 08:26

Je l'avais dit dans mes analyses antérieures et plus d'une personne ont dit que j'étais de l'UDPS. Je réitère en disant que dans ces déclarations il ressort :
- Une cohésion apparante au sein de la MP alors qu'en réalité il existe des contradictions internes incommensurable s.
- Une méfiance de l'autorité morale (joseph) à cette famille. ce sui explique sa présentation comme candidat independant.
- le bilan des 5 chantiers ne doit pas être par mesure de prudence pour joseph le discours de campagne vu sa vulnérabilité,
- les dissidences continueront et cela ne me surprendra pas que les cas Nyamwisi se revelent de plus en plus,
- il y a plus les positionnement de survi politique dans nos politiciens que le sentiment patriotique de servir la nation,
- Ils ont geré avec Kabila, ils doivent assumer. Et non se tirer vite d'affaire et aller à la blanchisserie : l'opposition.
La questio k j m pos : k reclammera-t-il aussi pr accepter l candidat comm1 ?

[Ilunga]

Voilà...ça commence l'insécurité...Le pouvoir d'occupation "kabiliste" aux abois, cherchent à organiser l'insécurité dans le pays pour éviter la sanction populaire aux prochaines élections...Jugez-en vous-mêmes dans cet article de Radiookapi...






http://radiookapi.net/actualite/2011/09 ... -au-calme/

Bukavu: rumeur d’un soulèvement des FARDC, le colonel Delphin Kahimbi appelle au calme

publié il y a 8 minutes, sous Actualité, Sécurité, Sud Kivu.


Le commandant des opérations militaires Amani Leo, Delphin Kahimbi, a appelé, lundi 12 septembre, la population de Bukavu à garder son calme et à vaquer paisiblement ses occupations. Il a minimisé une rumeur qui a circulé le même jour à Bukavu selon laquelle certains militaires des FARDC planifiaient un soulèvement.

Certains habitants de Bukavu n’ont pas effectué leurs activités quotidiennes, lundi, à la suite de cette rumeur. Des parents n’ont pas envoyé leurs enfants à l’école.

Selon le colonel Delphin Kahimbi, quelques officiers frustrés veulent intoxiquer la population. Toutefois, il n’a pas précisé les motifs de cette frustration et a traité de « bandits » les auteurs de cette rumeur. Il a affirmé:

« Il n’y a rien qui puisse perturber la quiétude de la population dans la ville de Bukavu (…) Le commandement ne peut jamais accepter que sur base des frustrations on puisse perturber la sécurité dans la province ou alors dans la ville de Bukavu. Que la population prenne cela comme étant une simple rumeur qui ne peut jamais avoir le temps de se réaliser ».

Les décisions sont prises à deux niveaux: au niveau de la prévention et au niveau des enquêtes pour identifier ce groupe de bandits, rajoute Delphin Kahimbi.

Il demande alors à la population d’évoluer et de vaquer normalement à ses occupations.

[Ilunga]

kie kie kie kie kie kie...Ce farceur de Mbusa Nyamuisi...

Mbusa Nyamwisi, le tout dernier ministre de la Décentralisation, annonce son ralliement à l’opposition et dit croire encore en l’harmonisation des vues entre l’UDPS, l’UNC, l’UFC et le MLC, des partis considérés comme des poids lourds de l’opposition, «pour offrir au peuple congolais une alternance crédible du pouvoir.»

http://radiookapi.net/actualite/2011/09 ... politique/







RDC-Présidentielle : le candidat Mbusa Nyamwisi plaide pour une alternance politique

publié il y a 5 heures, 19 minutes, sous Actualité, Élections, La Une, Nationale.


Antipas Mbusa Nyamwisi appelle toutes les parties acquises au changement à s’unir pour une alternance politique crédible en RDC. Le président du RCD/KML l’a déclaré, lundi 12 septembre, lors d’une conférence de presse qu’il a tenue dans sa résidence à Kinshasa à l’occasion du dépôt, la veille, de sa candidature à l’élection présidentielle prévue fin novembre 2011 en RDC.




Il soutient que cette alternance est nécessaire, «parce que des individus tapis dans des officines qui évoluent en parallèle des institutions annihilent les efforts de toute la nation.»

Antipas Mbusa confirme, par ailleurs, qu’il n’a pas signé la charte dela Majorité présidentielle (MP), la plate-forme qui soutient Joseph Kabila. Il a déclaré:

«Il n’y a pas de confusion à entretenir entre Mbusa qui serait de la majorité ou de l’opposition. Je demande, à tout prix, que nous organisions une alternance dans ce pays. Et je joue ma part de la partition. En ne signant pas la charte dela MP, je ne me faisais pas d’illusion sur ce qui m’attendait. Je crois que c’est ce qu’il fallait faire.»

Mbusa Nyamwisi était ministre de la Décentralisation et Aménagement du territoire jusqu’à la publication de la nouvelle équipe gouvernementale, dimanche 11 septembre.

[Ilunga]

Le MLC devenu une coquille vide, quitté de toutes parts, pillé de fond en comble, notamment par l'UFC de Kengo...Les rats quittent le navire, abandonnant son fondateur ,seul à méditer au fond de la cale du Titanic...









Voici comment Bemba a tué le MLC

Mardi, 13 Septembre 2011 11:33




Rien qu’une coquille Il ne reste du MLC de Jean-Pierre Bemba Gombo que des résidus. La preuve en a été apportée ors d’une récente réunion des députés nationaux MLC. Sur es 64 élus à i’origine de la représentation “bembiste à l’Assemblée nationale, seule une quinzaine d’entre eux ont répondu à l’appel.
Au niveau de la chambre haute, plus de la moitié de la vingtaine de- sénateurs MLC ont traversé la rue pour prendre la carte de membre à l’UFC -Union des forces du changement- de Léon Kengo wa Dondo. L’un des premiers à quitter le navire est Delly Sesanga. Déjà en 2008, il tirait la sonnette d’alarme sur une gestion peu démocratique qui allait conduire le parti à l’éclatement. Sa contestation sera matérialisée avec la mise en place d’un courant au sein du MLC mais il y aura très de monde pour le suivre. Au finish, il s’est retrouvé seul pour créer une organisation dénommée Envol transformée aujourd’hui en un parti politique, compté parmi les plus implantés, notamment dans les deux Kasaï, dans les rangs de l’opposition. Le mérite de Sesanga, c’est d’avoir fait sa voie. José Makila tente de faire de même depuis qu’il a été défenestré du MLC, il y a près de deux ans. Reste que son parti -ATD- a encore du mal à s’affirmer. L’homme ne pourra compter que sur sa propre popularité à l’Equateur (élu à Gemena, au pays de Jean-Pierre Bemba, dans le Sud-Ubangi avec plus de 100.000 voix) - pour tenter de -jouer au faire-valoir. Sesanga, Makila et enfin la grande dissidence de François Muamba Tshishimbi qui a amené avec lui plus d’une vingtaine de sénateurs et députés nationaux du MLC. Certains qui l’avaient rallié ont déjà changé de couleur. Comme Albert Mpeti qui n’a pas attendu longtemps pour rejoindre Kengo. Dans le camp des loyalistes, beaucoup sont donnés pour incertains ou sur le point de départ.
C’est le cas de Pitshou Bolenge que des sources disent désormais plus proche du parti de son père brouillé avec ses amis bembistes qui avaient préféré Jean-Lucien Busa contre lui pour la candidature au poste de gouverneur de la province de l‘Equateur. Pitshou alimente des soupçons via ses affiches et banderoles au vent dans la ville de Kinshasa sur lesquelles il ne parle que de sa propre fondation et rien du MLC ou du chairman. Emiettement et affaiblissement du MLC semblent le fait certain de la politique de Bemba qui a consisté à faire en sorte qu’aucun leadership n’émerge à la tête du MLC pendant qu’il est détenu à La Haye. C’est donc l’égoïsme légendaire de Bemba doublé de la tare quasi congénitale chez ès hommes politiques congolais du «moi» ou rien qui a conduit à la chute de sa maison. A l’un de ses proches collaborateurs qui lui rendait visite à la CPI, Bemba aurait déclarait que «je n’ai pas, créé cette affaire pour ça profite à quelqu’un d’autre». C’est donc sa propre affaire. - Pas de souci qu’elle connaisse une hybernation. Il espère la rescussiter le jour où il sera libre de ses mouvements. Voilà qui explique qu’il ait refusé à Muamba de prendre le poste de porte-parole de l’opposition. C’est Bemba qui avait refusé. Tout le reste d’allégations comme quoi que le bureau de deux chambres réunies traînait les pieds pour convoquer la plénière des sénateurs et députés de l’opposition n’était que pur prétexte pour donner le change. (IN CONGONEWS 413 du samedi 10 septembre 2011).

Matthieu KEPA

Source : CongoNews

[Ilunga]

A propos de la visite de Ya Tshitshi en Europe, cet intenaute observe "sagement"...


#35 Tuzola buala! 13-09-2011 13:15

Ya Tshitshi, ton peuple meurt!!!
Pour cela, moi, CE PEUPLE, je te donne toute la bénédiction de toucher n'importe où et de parler avec n'importe qui pour me sauver! Mes prédateurs font la même chose pour m'écraser et cela tout le monde en est conscient!!! Même Lumumba, poutant de l'autre camp, est allé parler aux Américains -aux Etas Unis!- pour atteindre son but. Alors, qui sont ces miettes qui osent dire au Docteur ce qu'il doit ou ne doit pas faire????? Un politicien c'est quelqu'un qui bouge, quelqu'un qui parle aux gens et IL N'EXISTE PAS D'ENNEMI EN POLITIQUE. De toute façon, le Docteur Etienne Tshisekedi est un citoyen libre!!!








UN CONTACT TRES DECISIF : Paris - TSHISEKEDI ATTENDU CHEZ SARKOZY, LE MAITRE DE L’AFRIQUE

Mardi, 13 Septembre 2011 08:53




Etienne Tshisekedi n’a pas été accueilli en opposant à Bruxelles, le 10 septembre, mais plutôt en homme d’Etat, Véhicule au pied de l’avion, police et sirène stridente de l’aéroport de Zaventem jusqu’à sa résidence en pleine Bruxelles, voilà le protocole auquel l’historique opposant a eu droit de la part du gouvernement belge Et ce protocole là, le Royaume de Belgique ne l’offre qu’à des officiels en visite d’Etat à Bruxelles. Que Tshisekedi en ait été gratifié, certains l’interprètent comme un appui clair pour la prochaine élection présidentielle attendue le 28 novembre.

Selon des sources proches de Limete, Tshisekedi n’avait pas quitté sa résidence depuis le week-end.
Il y recevait des officiels et des personnalités politiques belges. Les mêmes sources rapportent que Tshisekedi ne partira pas de Bruxelles avant quarante-huit heures. LI est prévu qu’il réunisse une conférence de presse avant son départ. Il ne manquera pas de donner sa position sur le rapprochement de l’opposition qui paraissait compromise mais encore possible avec l’appel de Vital Kamerhe lors du dépôt de sa candidature à la CENI, la semaine dernière. Kamerhe croit réalisable une mise en commun avec Tshisekedi mémé à la veille du scrutin présidentiel. La prochaine étape du périple européen de Tshisekedi passe par Paris où on ne savait pas encore à quel niveau il sera reçu.
Cette étape est très déterminante en vertu du rôle que Nicolas Sarkozy joue depuis début 2011 dans le changement des régimes intervenus en Afrique, au Maghreb comme en Côte d’Ivoire, Niger et en Guinée Conakry. Sarko était autant impliqué dans les soubresauts politiques qui secouent le Sénégal avec un Adbouladaye Wade pas du tout disposé à passer la main.
Ce nouveau rôle de Sarkozy qui dépasse les limites du pré-carré traditionnel français semble avoir été convenu de commun accord avec Barack Obama pour un nouvel ordre en Afrique. A la veille de sa visite à Kinshasa, en 2009, le président français avait provoqué une vive controverse lorsqu’il avait parlé d’une gestion en partage des ressources naturelles de la RD-Congo avec ses voisins de l’Est, notamment le Rwanda. Son ambassadeur à Kinshasa avait tenté de calmer les esprits, explicitant qu’il ne s’agissait nullement d’une cogestion des richesses de la RD-Congo mais d’une ouverture pour une prospérité qui allait profiter aux pays voisins. Pendant que Tshisekedi s’apprête à descendre à Pris, voilà qui Paul Kagame qui l’y a précédé pour une première visite depuis le génocide de 1994. Simple coïncidence ou croisement délibéré d’agendas de la part de Paris ? Avec une France qui normalise face à Kigali, la politique pour qui cherche à prendre le pouvoir à Kinshasa ne peut aller que dans le sens d’un rapprochement de part et d’autre du Lac Kivu, Les Congolais de la diaspora, eux, ne l’entendent pas de cette oreille. Ils ont été quelques deux cents à manifester dans la matinée du 11 septembre contre Kagame. Ils ont perturbé la circulation du périphérique parisien contre la venue d’un «assassin», une voiture et des pneus ont été brûles avant que la police ne disperse les manifestants.
Matthieu KEPA


Source : CongoNews

[Ilunga]

Sur la visite de Tshitshi en Europe, un autre internaute observe :



#46 rafiki ken 13-09-2011 14:53

Maintenant, chaque candidat a le droit de se choisir ses alliances à l'intérieur comme à l'extérieur du pays. la reconstruction réelle de la RDC ne se fera pas sans apport des partenaires étrangers. Il faut que nous ayons à la tête un dirigeant capable de balancer équitablement les intérêts du pays et ceux des partenaires. C'est tout ce qui compte!

[Ilunga]

ERKA,

Rolain MENA de l'APARECO a été agressé par la garde de KAGAME au cours de la Conférence de presse de la Ministre des Affaires étrangères du Rwanda...Il est en soins à l'hôpital...Suivez en images l'intégralité de cet élément video jusqu'au bout...

http://www.dailymotion.com/video/xl217b ... -cape_news