KENGO tabassé à la gare du Nord de Paris...
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KENGO tabassé à la gare du Nord de Paris...
http://www.afriqueredaction.com/article ... 58827.html
Samedi 31 décembre 2011
Kengo Wa Dondon traitre par excellence vient de subir la foudre de vaillants Combattants de Paris il y a 1 heure à la gare du Nord de Paris...
Crée le 31-12-2011-19h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 31-12-2011 19H30AFRIQUE REDACTION PAR : ROGER BONGOS
Le Président du Sénat de la République Démocratique du Congo, Léon KENGO Wa Dondon, l'homme aux rétro- commissions et candidat malheureux aux élections présidentielles du 28 novembre 2011, qui dans sa turpitude avait soutenu du bout de levres Joseph KABILA, vient de subir la foudre et la colère des Combattants de Paris il y a à peine 1 heure à la gare du Nord de Paris. Il vient d'être amené aux urgences à l'hôpital Lariboisière dans un état plus que lamentable...
Il a eu la vie sauve, grâce à l'intervention rapide de la police accompagnée des sapeurs pompiers qui l'on promulgué les premiers soins avant son transfert aux urgences. Les combattants de Paris, les braves, ont fêté avec joie cette grosse prise et ce tabassage en règle...
Je rappelle que les Congolais sont terriblement frustrés de leur victoire volée par les ennemis du peuple avec l'aide de la communauté internationale, et ne rigolent plus avec des collabos et traitres qui vendent leur pays aux étrangers qui sont de fait, les fossoyeurs de la RDC...Ces gendarmes de la RDC ont exprimé leur courroux de cette façon peu conventionnelle mais dissuasive. Tout est bon pour le combat.
Bonne année Monsieur Kengo Wa Dondon !
Roger BONGOS
Samedi 31 décembre 2011
Kengo Wa Dondon traitre par excellence vient de subir la foudre de vaillants Combattants de Paris il y a 1 heure à la gare du Nord de Paris...
Crée le 31-12-2011-19h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 31-12-2011 19H30AFRIQUE REDACTION PAR : ROGER BONGOS
Le Président du Sénat de la République Démocratique du Congo, Léon KENGO Wa Dondon, l'homme aux rétro- commissions et candidat malheureux aux élections présidentielles du 28 novembre 2011, qui dans sa turpitude avait soutenu du bout de levres Joseph KABILA, vient de subir la foudre et la colère des Combattants de Paris il y a à peine 1 heure à la gare du Nord de Paris. Il vient d'être amené aux urgences à l'hôpital Lariboisière dans un état plus que lamentable...
Il a eu la vie sauve, grâce à l'intervention rapide de la police accompagnée des sapeurs pompiers qui l'on promulgué les premiers soins avant son transfert aux urgences. Les combattants de Paris, les braves, ont fêté avec joie cette grosse prise et ce tabassage en règle...
Je rappelle que les Congolais sont terriblement frustrés de leur victoire volée par les ennemis du peuple avec l'aide de la communauté internationale, et ne rigolent plus avec des collabos et traitres qui vendent leur pays aux étrangers qui sont de fait, les fossoyeurs de la RDC...Ces gendarmes de la RDC ont exprimé leur courroux de cette façon peu conventionnelle mais dissuasive. Tout est bon pour le combat.
Bonne année Monsieur Kengo Wa Dondon !
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Re: KENGO tabassé à la gare du Nord de Paris...
Dimanche 1 janvier 2012
Agression de Kengo: Tambwe Mwamba convoque l’ambassadeur de France en RDC
Crée le 01-01-2012- 20h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le dimanche 15-01-2012 12H15 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV-RADIOOKAPI
Ambassade de France en RDC © Charlélie Coutinho novembre 2009 République démocratique du Congo
Le ministre des Affaires étrangères de la RDC, Alexis Thambwe Mwamba, a convoqué l’ambassadeur de France en poste à Kinshasa, ce dimanche 1er janvier, après l’agression, la veille à Paris, de Léon Kengo wa Dondo, président du Sénat.
Dans la note qu’il a remise au diplomate français, Alexis Thambwe Mwamba a indiqué que «cet acte est extrêmement grave et nécessite un examen profond et une décision adéquate de la part du gouvernement français».
Le ministre congolais a expliqué que Kengo wa Dondo a été blessé et est actuellement interné dans un hôpital sans plus de détail.
«Nous considérons que la France a l’obligation d’assurer la sécurité des officiels congolais de passage à Paris, des nos représentants et de notre mission diplomatique», a-t-il affirmé exigeant une enquête:
«Nous exigeons que l’enquête puisse aboutir que les personnes qui ont agressé monsieur Kengo ne restent pas impunis. On ne peut pas laisser se développer à Paris cette situation de terreur où des gens agressent systématiquement tous les Congolais de passage à Paris.»
L’ambassadeur de France en RDC, Luc Hallade, a qualifié cette agression d’acte «lâche et ignoble».
Il a affirmé qu’il était préférable, «dans le contexte actuel, que les personnalités congolaises qui sont appelées à se déplacer, fût-ce à titre privé, nous informent en amont pour qu’on puisse prendre des dispositions ad hoc pour pouvoir assurer leur sécurité sur place».
Télécharger
Sur le plan protocolaire, Léon Kengo wa Dondo est le deuxième personnage de la République démocratique du Congo.
Candidat à l’élection présidentielle du 28 novembre, il est terminé quatrième avec 4,95 % des suffrages.
Avec deux autres candidats, Adam Mbombole et Mbusa Nyamwisi, il avait demandé l’annulation du scrutin. Mais, en sa qualité du président Sénat, il a participé à la prestation de serment de Joseph Kabila, réélu à la tête du pays avec 48,95 % des voix.
Agression de Kengo: Tambwe Mwamba convoque l’ambassadeur de France en RDC
Crée le 01-01-2012- 20h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le dimanche 15-01-2012 12H15 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV-RADIOOKAPI
Ambassade de France en RDC © Charlélie Coutinho novembre 2009 République démocratique du Congo
Le ministre des Affaires étrangères de la RDC, Alexis Thambwe Mwamba, a convoqué l’ambassadeur de France en poste à Kinshasa, ce dimanche 1er janvier, après l’agression, la veille à Paris, de Léon Kengo wa Dondo, président du Sénat.
Dans la note qu’il a remise au diplomate français, Alexis Thambwe Mwamba a indiqué que «cet acte est extrêmement grave et nécessite un examen profond et une décision adéquate de la part du gouvernement français».
Le ministre congolais a expliqué que Kengo wa Dondo a été blessé et est actuellement interné dans un hôpital sans plus de détail.
«Nous considérons que la France a l’obligation d’assurer la sécurité des officiels congolais de passage à Paris, des nos représentants et de notre mission diplomatique», a-t-il affirmé exigeant une enquête:
«Nous exigeons que l’enquête puisse aboutir que les personnes qui ont agressé monsieur Kengo ne restent pas impunis. On ne peut pas laisser se développer à Paris cette situation de terreur où des gens agressent systématiquement tous les Congolais de passage à Paris.»
L’ambassadeur de France en RDC, Luc Hallade, a qualifié cette agression d’acte «lâche et ignoble».
Il a affirmé qu’il était préférable, «dans le contexte actuel, que les personnalités congolaises qui sont appelées à se déplacer, fût-ce à titre privé, nous informent en amont pour qu’on puisse prendre des dispositions ad hoc pour pouvoir assurer leur sécurité sur place».
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Sur le plan protocolaire, Léon Kengo wa Dondo est le deuxième personnage de la République démocratique du Congo.
Candidat à l’élection présidentielle du 28 novembre, il est terminé quatrième avec 4,95 % des suffrages.
Avec deux autres candidats, Adam Mbombole et Mbusa Nyamwisi, il avait demandé l’annulation du scrutin. Mais, en sa qualité du président Sénat, il a participé à la prestation de serment de Joseph Kabila, réélu à la tête du pays avec 48,95 % des voix.
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Re: KENGO tabassé à la gare du Nord de Paris...
Dimanche 1 janvier 2012
Quel est le bilan médiatique de l'agression du Président du Sénat Léon KENGO WA DONDON ?
Crée le 01-01-2012- 22h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le dimanche 15-01-2012 22H15 AFRIQUE REDACTION PAR : ROGER BONGOS
Toute la presse en parle! Une reprise médiatique de qualité sur cette tragique évènement arrivé à notre cher et tendre Président du Sénat...Faut-il des coups d'éclats pour que la cause de ce peuple soit relayée par les médias internationaux impénétrables ?
Il fallait peut être en arriver jusque là pour que les gens sachent, pourquoi ce mal-être. Qu'ils sachent que les Congolais vivent actuellement esseulés, un drame qui se déroule dans leur pays sans que cette même presse fasse écho ? Mais, nom d'une pipe, à qui profite ce crime perpétré au Congo ? Pourquoi ce silence complice ?
La frustration a été toujours l'ami de la révolte et de la déraison...Un journaliste Arabe d'un grand média me disait, il faut mettre la braise sur la tête d'un blanc pour qu'il vous écoute. Je m'aperçois avec tristesse qu'il faille arriver à ces extrêmes...
Le 26 Novembre 2011, sur le grand boulevard menant vers l’aéroport International de Kinshasa ( Ndjili ), les Congolais ont été froidement tués, canardés par la garde républicaine sous les yeux des médias internationaux, mais très peu ont relayé ce drame. Bilan macabre 26 morts en 3 jours, sans compter des disparitions de corps de victimes dans des hôpitaux et morgues...
Les ONG œuvrant pour les droits de l’homme avaient vigoureusement protestées contre cette brutalité bestiale, mais les chancelleries occidentales étaient aphones.
Quoi faire pour sortir ce pays dans l'ornière dont la communauté internationale semble cautionnée ces exactions en fermant les yeux au profit de leurs intérêts mercantiles ?
La solution se trouverait sur la prise en main de cette situation d'une manière peu conventionnelle, dont "les combattants" ont pu démontrés à la gare du Nord.
Depuis plus de 3 ans les Congolais battent les pavés des rues de Paris, Bruxelles, Londres, et autres grandes capitales, aucune presse institutionnelle, aucune semble s’intéresser à leurs revendications. Deux ou trois dents en moins chez la deuxième personnalité de la RDC, le Président du Sénat. Patatrac, le voile est levé ! Les journalistes sont là et la presse se réveille de son human hubernatus(sic).
Le Monde, le Point, Yahoo info, AFP, France 24, Itélé, TF1, France 2, BFM TV et j'en passe, en ont parlé. Et ce n'est pas fini ! J'estime que cette action doit interpeller les autorités française en ouvrant le dialogue avec ces " Combattants " ce qui reviendra à dire, qu'il faudra qu'elle discute avec tous les Congolais de la diaspora. Parce qu'ils sont tous dans cette logique du combat pacifique, moins pacifique et pas du tout pacifique !Que je saches, tous sont actuellement des Combattants de la liberté de leur pays.
Combattants pour l'instauration d'un état de droit. Ils veulent récupérer leur vote piétiné et volé avec l'aide de la communauté internationale, au vu et au su de tous. Les rapports établis sur ces élections nous édifient tous...
Roger BONGOS
Quel est le bilan médiatique de l'agression du Président du Sénat Léon KENGO WA DONDON ?
Crée le 01-01-2012- 22h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le dimanche 15-01-2012 22H15 AFRIQUE REDACTION PAR : ROGER BONGOS
Toute la presse en parle! Une reprise médiatique de qualité sur cette tragique évènement arrivé à notre cher et tendre Président du Sénat...Faut-il des coups d'éclats pour que la cause de ce peuple soit relayée par les médias internationaux impénétrables ?
Il fallait peut être en arriver jusque là pour que les gens sachent, pourquoi ce mal-être. Qu'ils sachent que les Congolais vivent actuellement esseulés, un drame qui se déroule dans leur pays sans que cette même presse fasse écho ? Mais, nom d'une pipe, à qui profite ce crime perpétré au Congo ? Pourquoi ce silence complice ?
La frustration a été toujours l'ami de la révolte et de la déraison...Un journaliste Arabe d'un grand média me disait, il faut mettre la braise sur la tête d'un blanc pour qu'il vous écoute. Je m'aperçois avec tristesse qu'il faille arriver à ces extrêmes...
Le 26 Novembre 2011, sur le grand boulevard menant vers l’aéroport International de Kinshasa ( Ndjili ), les Congolais ont été froidement tués, canardés par la garde républicaine sous les yeux des médias internationaux, mais très peu ont relayé ce drame. Bilan macabre 26 morts en 3 jours, sans compter des disparitions de corps de victimes dans des hôpitaux et morgues...
Les ONG œuvrant pour les droits de l’homme avaient vigoureusement protestées contre cette brutalité bestiale, mais les chancelleries occidentales étaient aphones.
Quoi faire pour sortir ce pays dans l'ornière dont la communauté internationale semble cautionnée ces exactions en fermant les yeux au profit de leurs intérêts mercantiles ?
La solution se trouverait sur la prise en main de cette situation d'une manière peu conventionnelle, dont "les combattants" ont pu démontrés à la gare du Nord.
Depuis plus de 3 ans les Congolais battent les pavés des rues de Paris, Bruxelles, Londres, et autres grandes capitales, aucune presse institutionnelle, aucune semble s’intéresser à leurs revendications. Deux ou trois dents en moins chez la deuxième personnalité de la RDC, le Président du Sénat. Patatrac, le voile est levé ! Les journalistes sont là et la presse se réveille de son human hubernatus(sic).
Le Monde, le Point, Yahoo info, AFP, France 24, Itélé, TF1, France 2, BFM TV et j'en passe, en ont parlé. Et ce n'est pas fini ! J'estime que cette action doit interpeller les autorités française en ouvrant le dialogue avec ces " Combattants " ce qui reviendra à dire, qu'il faudra qu'elle discute avec tous les Congolais de la diaspora. Parce qu'ils sont tous dans cette logique du combat pacifique, moins pacifique et pas du tout pacifique !Que je saches, tous sont actuellement des Combattants de la liberté de leur pays.
Combattants pour l'instauration d'un état de droit. Ils veulent récupérer leur vote piétiné et volé avec l'aide de la communauté internationale, au vu et au su de tous. Les rapports établis sur ces élections nous édifient tous...
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Re: KENGO tabassé à la gare du Nord de Paris...
Léon Kengo wa Dongo a-t-il encore toutes les dents pour fêter la Saint-Selvestre à Paris ? Arrivé en catimini à Paris avec le Thalys en provenance de Bruxelles,l'ex-président du Sénat en République démocratique du Congo, qui en tant que que faux-candidat opposant à Joseph Kabila pour la présidentielle du 28 novembre dernier n'a obtenu que 4%, c'est tout dire de la popularité de l'individu. Les Résistants-Patriotes-Combattants Congolais de France l'ont cueilli à 18h10 à la Gare du Nord. Une pluie des coups s'est abattu sur "l'éternel troisième voie", Kengo wa Dongo serait blessé et aurait perdu quelques dents au passage. Il a été acheminé à l'hôpital Lariboisière, situé 2 rue Ambroise-Paré dans le 10e arrondissement de Paris, pour des soins. Alors que les Congolais vivent sous les chars soviétiques de l'époque de Brejnev qui encerclent Kinshasa, la capitale congolaise avec ses 12 millions est quadrillée par des mercenaires de Joseph Kabila, Léon Kengo wa Dongo s'est éclipsé pour venir fêter tranquillement à Paris comme si de rien n'était. 2011 se termine mal pour l'opposant de la 25è heure.
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Re: KENGO tabassé à la gare du Nord de Paris...
http://www.cheikfitanews.net/article-ke ... 96707.html
Dimanche 1 janvier 2012
KENGO AGRESSE ET HOSPITALISE A PARIS
Léon Lobitch Kengo wa Dondo. Photo Cheikfitanews
Sur facebook d’abord, puis sur les sites Internet des Congolais de France, nous avons appris l’agression et l’hospitalisation de monsieur Léon Kengo Wa Dondo, Président du sénat congolais et candidat malheureux à la présidentielle congolaise du 28 novembre 2011.
Le « pouvoir » de Kinshasa, via monsieur Lambert Mende porte-parole du gouvernement sortant, a donné sur France 24 une interprétation très tendancieuse des faits.
Accusant le gouvernement français d’un côté, vilipendant les anti-Kabila de l’autre qu’il assimile aux membres de l’UDPS, avec un vocabulaire qui mériterait d’être amélioré prochainement, ne répondant pas à la question principale de la journaliste : «Qui sont ces combattants ? Quelles sont leurs revendications ? »
... Monsieur Mende a servi aux téléspectateurs de la chaîne française un discours désarticulé et obscur, attribuant le beau rôle à son gouvernement.
Encore un peu, monsieur Mende pouvait affirmer que c’est monsieur Tshisekedi qui est le commanditaire de l’acte. Un bouc émissaire tout trouvé, alors que le mal est ailleurs à savoir le hold-up électoral ainsi que toutes ses implications.
Le phénomène « combattants » à travers l’Europe et le monde entier peut-il être réduit à si peu ?
Via Félix Tshisekedi, chargé des relations extérieures, l’UDPS a vite réagi aux propos du « pouvoir imposteur ». Tout en regrettant ce qui est arrivé à monsieur Kengo, il a affirmé que l’UDPS n’était pas lié à l’incident. Et de clarifier qu’il ne faudrait pas occulter l’engagement politique et patriotique des congolais qui vivent à l’étranger.
Ci-dessous, les faits tels que relatés par nos confrères du journal français
« Le Monde »
Cheik FITA
Bruxelles, le 1er janvier 2012
Le gouvernement congolais a accusé dimanche 1er janvier des partisans du principal opposant au président Joseph Kabila d'avoir agressé le président du Sénat de la République démocratique du Congo (RDC) samedi à Paris. L'ambassadeur de France a été convoqué pour s'expliquer, selon le gouvernement congolais.
A Paris, le ministère français des affaires étrangères a confirmé dimanche l'agression de Léon Kengo wa Dondo, 76 ans, samedi vers 17h, ainsi que la convocation de l'ambassadeur de France à Kinshasa.
"DENTS ARRACHÉES, PIÉTINÉ, ROULÉ À TERRE"
Le président du sénat "a été agressé en gare du Nord par les bandes de ceux qui s'appellent les ‘combattants’ proches d’Etienne Tshisekedi ", a déclaré le porte-parole du gouvernement congolais Lambert Mende, faisant référence aux partisans de l'opposant qui s'est proclamé "président élu" de RDC après le scrutin contesté du 28 novembre.
Selon les premières informations de Kinshasa, M. Kengo "aurait eu des et a été hospitalisé près de la gare du Nord, dans le nord de Paris. M. Kengo étant en "visite privée", le ministère français a précisé ne pas s'occuper de cette affaire d'agression et a dit ignorer dans quel état de santé se trouvait le président du sénat congolais.
" ÉNIÈME AGRESSION PERPÉTRÉE EN FRANCE"
Selon une source proche de l'enquête à Paris, M. Kengo est arrivé en train depuis Bruxelles à Paris, gare du Nord à 17h, où une voiture avec un chauffeur l'attendait. Alors qu'il pénétrait dans le véhicule, il a été frappé par des hommes pouvant être des compatriotes. La voiture, avec à bord M. Kengo, a pu démarrer, mais a été bloquée dans des embouteillages et à nouveau cernée. La police, appelée, est intervenue pour mettre fin à l'agression et le chauffeur a ensuite conduit son passager dans un hôpital parisien, selon une source proche de l'enquête.
"Nous protestons de la manière la plus ferme contre cette énième agression perpétrée en France au vu et au su des autorités françaises contre des officiels congolais", a ajouté M. Mende, qualifiant l'attaque contre M. Kengo de "totalement inacceptable". D'après lui, les agresseurs reprochaient à M. Kengo, leader de l'Union des forces du changement (UFC), arrivé quatrième (4,95 %) de la présidentielle remportée par le sortant Joseph Kabila (48,95 %), de "n'avoir pas retiré sa candidature aux dernières élections, ce qui n'a pas permis à leur chef (M. Tshisekedi) d'être élu". Ce dernier a obtenu 32,33 % des suffrages.
Source : http://www.lemonde.fr/afrique/article/2 ... _3212.html
Dimanche 1 janvier 2012
KENGO AGRESSE ET HOSPITALISE A PARIS
Léon Lobitch Kengo wa Dondo. Photo Cheikfitanews
Sur facebook d’abord, puis sur les sites Internet des Congolais de France, nous avons appris l’agression et l’hospitalisation de monsieur Léon Kengo Wa Dondo, Président du sénat congolais et candidat malheureux à la présidentielle congolaise du 28 novembre 2011.
Le « pouvoir » de Kinshasa, via monsieur Lambert Mende porte-parole du gouvernement sortant, a donné sur France 24 une interprétation très tendancieuse des faits.
Accusant le gouvernement français d’un côté, vilipendant les anti-Kabila de l’autre qu’il assimile aux membres de l’UDPS, avec un vocabulaire qui mériterait d’être amélioré prochainement, ne répondant pas à la question principale de la journaliste : «Qui sont ces combattants ? Quelles sont leurs revendications ? »
... Monsieur Mende a servi aux téléspectateurs de la chaîne française un discours désarticulé et obscur, attribuant le beau rôle à son gouvernement.
Encore un peu, monsieur Mende pouvait affirmer que c’est monsieur Tshisekedi qui est le commanditaire de l’acte. Un bouc émissaire tout trouvé, alors que le mal est ailleurs à savoir le hold-up électoral ainsi que toutes ses implications.
Le phénomène « combattants » à travers l’Europe et le monde entier peut-il être réduit à si peu ?
Via Félix Tshisekedi, chargé des relations extérieures, l’UDPS a vite réagi aux propos du « pouvoir imposteur ». Tout en regrettant ce qui est arrivé à monsieur Kengo, il a affirmé que l’UDPS n’était pas lié à l’incident. Et de clarifier qu’il ne faudrait pas occulter l’engagement politique et patriotique des congolais qui vivent à l’étranger.
Ci-dessous, les faits tels que relatés par nos confrères du journal français
« Le Monde »
Cheik FITA
Bruxelles, le 1er janvier 2012
Le gouvernement congolais a accusé dimanche 1er janvier des partisans du principal opposant au président Joseph Kabila d'avoir agressé le président du Sénat de la République démocratique du Congo (RDC) samedi à Paris. L'ambassadeur de France a été convoqué pour s'expliquer, selon le gouvernement congolais.
A Paris, le ministère français des affaires étrangères a confirmé dimanche l'agression de Léon Kengo wa Dondo, 76 ans, samedi vers 17h, ainsi que la convocation de l'ambassadeur de France à Kinshasa.
"DENTS ARRACHÉES, PIÉTINÉ, ROULÉ À TERRE"
Le président du sénat "a été agressé en gare du Nord par les bandes de ceux qui s'appellent les ‘combattants’ proches d’Etienne Tshisekedi ", a déclaré le porte-parole du gouvernement congolais Lambert Mende, faisant référence aux partisans de l'opposant qui s'est proclamé "président élu" de RDC après le scrutin contesté du 28 novembre.
Selon les premières informations de Kinshasa, M. Kengo "aurait eu des et a été hospitalisé près de la gare du Nord, dans le nord de Paris. M. Kengo étant en "visite privée", le ministère français a précisé ne pas s'occuper de cette affaire d'agression et a dit ignorer dans quel état de santé se trouvait le président du sénat congolais.
" ÉNIÈME AGRESSION PERPÉTRÉE EN FRANCE"
Selon une source proche de l'enquête à Paris, M. Kengo est arrivé en train depuis Bruxelles à Paris, gare du Nord à 17h, où une voiture avec un chauffeur l'attendait. Alors qu'il pénétrait dans le véhicule, il a été frappé par des hommes pouvant être des compatriotes. La voiture, avec à bord M. Kengo, a pu démarrer, mais a été bloquée dans des embouteillages et à nouveau cernée. La police, appelée, est intervenue pour mettre fin à l'agression et le chauffeur a ensuite conduit son passager dans un hôpital parisien, selon une source proche de l'enquête.
"Nous protestons de la manière la plus ferme contre cette énième agression perpétrée en France au vu et au su des autorités françaises contre des officiels congolais", a ajouté M. Mende, qualifiant l'attaque contre M. Kengo de "totalement inacceptable". D'après lui, les agresseurs reprochaient à M. Kengo, leader de l'Union des forces du changement (UFC), arrivé quatrième (4,95 %) de la présidentielle remportée par le sortant Joseph Kabila (48,95 %), de "n'avoir pas retiré sa candidature aux dernières élections, ce qui n'a pas permis à leur chef (M. Tshisekedi) d'être élu". Ce dernier a obtenu 32,33 % des suffrages.
Source : http://www.lemonde.fr/afrique/article/2 ... _3212.html
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Re: KENGO tabassé à la gare du Nord de Paris...
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Léon Kengo wa Dongo a-t-il encore toutes les dents pour fêter la Saint-Selvestre à Paris ? Arrivé en catimini à Paris avec le Thalys en provenance de Bruxelles,l'ex-président du Sénat en République démocratique du Congo, qui en tant que que faux-candidat opposant à Joseph Kabila pour la présidentielle du 28 novembre dernier n'a obtenu que 4%, c'est tout dire de la popularité de l'individu. Les Résistants-Patriotes-Combattants Congolais de France l'ont cueilli à 18h10 à la Gare du Nord. Une pluie des coups s'est abattu sur "l'éternel troisième voie", Kengo wa Dongo serait blessé et aurait perdu quelques dents au passage. Il a été acheminé à l'hôpital Lariboisière, situé 2 rue Ambroise-Paré dans le 10e arrondissement de Paris, pour des soins. Alors que les Congolais vivent sous les chars soviétiques de l'époque de Brejnev qui encerclent Kinshasa, la capitale congolaise avec ses 12 millions est quadrillée par des mercenaires de Joseph Kabila, Léon Kengo wa Dongo s'est éclipsé pour venir fêter tranquillement à Paris comme si de rien n'était. 2011 se termine mal pour l'opposant de la 25è heure.
http://www.youtube.com/watch?v=qQWn4Jfyk1Q
Léon Kengo wa Dongo a-t-il encore toutes les dents pour fêter la Saint-Selvestre à Paris ? Arrivé en catimini à Paris avec le Thalys en provenance de Bruxelles,l'ex-président du Sénat en République démocratique du Congo, qui en tant que que faux-candidat opposant à Joseph Kabila pour la présidentielle du 28 novembre dernier n'a obtenu que 4%, c'est tout dire de la popularité de l'individu. Les Résistants-Patriotes-Combattants Congolais de France l'ont cueilli à 18h10 à la Gare du Nord. Une pluie des coups s'est abattu sur "l'éternel troisième voie", Kengo wa Dongo serait blessé et aurait perdu quelques dents au passage. Il a été acheminé à l'hôpital Lariboisière, situé 2 rue Ambroise-Paré dans le 10e arrondissement de Paris, pour des soins. Alors que les Congolais vivent sous les chars soviétiques de l'époque de Brejnev qui encerclent Kinshasa, la capitale congolaise avec ses 12 millions est quadrillée par des mercenaires de Joseph Kabila, Léon Kengo wa Dongo s'est éclipsé pour venir fêter tranquillement à Paris comme si de rien n'était. 2011 se termine mal pour l'opposant de la 25è heure.
http://www.youtube.com/watch?v=qQWn4Jfyk1Q
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Re: KENGO tabassé à la gare du Nord de Paris...
Félix Tshisekedi répond à l'accusation de Mende...
http://www.congonumber1.com/v1/videos/?id=&a=1654
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Re: KENGO tabassé à la gare du Nord de Paris...
http://afrikarabia2.blogs.courrierinter ... paris.html
dimanche, 01 janvier 2012
RDC : Kengo victime des "combattants" à Paris
Il ne fait pas bon transiter par la gare du nord pour les hauts dignitaires de la République démocratique du Congo (RDC). Dernière victime en date, le président du sénat, Léon Kengo wa Dondo, agressé samedi 31 décembre à sa sortie du train en provenance de Bruxelles. Les agresseurs portent un nom : "les patriotes-résistants-combattants", opposés au président Joseph Kabila. Depuis bientôt deux ans, ces Congolais mènent la vie dure aux personnalités proches du régime. Parmi leurs derniers faits d'armes : l'agression du général Didier Etumba gare du nord, l'interdiction des concerts de Werrasson et Papa Wemba ou encore l'incendie et l'occupation de l'ambassade de RDC à Paris.
La nouvelle s'est répandue comme une traînée de poudre sur la toile. Des sites congolais très engagés dans l'opposition, comme Réveil-FM, Afrique rédaction ou Congomikili, ont tout de suite relayé l'information : le président du sénat, Léon Kengo, deuxième personnage de l'Etat, a été agressé samedi 31 décembre à la gare du nord de Paris. En provenance de Bruxelles, le candidat à la présidentielle de novembre (4,45% des voix) a été pris à partie par un groupe de "patriotes-résistants-combattants" alors qu’il tentait de monter dans sa voiture. L'agression a été particulièrement violent puisque, selon les autorités congolaises, le président du sénat "aurait eu des dents arrachées et a été piétiné et roulé à terre". Léon Kengo, 76 ans, a été conduit à l'hôpital Lariboisière.
Léon Kengo n'est pas la première victime des "combattants" congolais, très actifs à Paris, mais aussi Londres ou Bruxelles. Ces groupes, profondément anti-Kabila, ont été à l'origine de plusieurs manifestations "Kabila dégage" dans la capitale française. Ils ont ensuite empêché plusieurs artistes congolais de se produire en concert à Paris, comme la star Werrasson ou Papa Wemba. Les "combattants" reprochent à ces chanteurs de "rouler" pour Kabila et de faire de la propagande pour le candidat-président (à l'époque en campagne pour sa réélection). Gare du nord, les "combattants" ont ensuite perturbé l'arrivée en Thalys d'Olive Lembe Kabila, la femme du chef de l'Etat. En juin 2010, toujours gare du nord, les "combattants" ont agressé violemment le général Didier Etumba, à l'époque chef d'Etat-major de l'armée congolaise, en visite à Paris pour assister au concert "la nuit africaine". Derniers faits d'armes : l'incendie de l'ambassade de RDC à Paris en septembre 2011 et l'occupation de la même ambassade en décembre dernier.
La dernière cible, Léon Kengo, n'est pas le fruit du hasard. Après la réélection contestée de Joseph Kabila, la crise politique couve à Kinshasa. L'opposant Etienne Tshisekedi (en général très soutenu par les "combattants" de la diaspora) s'est auto-proclamé président du pays, s'estimant victime d'une fraude massive lors du vote. Léon Kengo, candidat à la présidentielle, s'affichait pourtant dans le camp de l'opposition (avec également Vital Kamerhe). Mais pour les "combattants", cet "opposant de la 25ième heure" ralliera Joseph Kabila au dernier moment. De nombreuses rumeurs donnent en effet le nom de Léon Kengo comme prochain Premier ministre de Joseph Kabila. Une manière pour le président réélu de faire "un geste" à moindre frais envers l'opposition.
Les autorités congolaises ont bien sûr vivement réagi à l'agression de Léon Kengo. Kinshasa accuse même les partisans d'Etienne Tshisekedi d'être les auteurs de cette "attaque inacceptable". Le ministre des Affaires étrangères de RDC, Alexis Tambwe Mwamba a convoqué l'ambassadeur de France ce dimanche à Kinshasa. Paris affirme ne pas avoir été informée de la visite (privée) de Léon Kengo en France.
Christophe RIGAUD
dimanche, 01 janvier 2012
RDC : Kengo victime des "combattants" à Paris
Il ne fait pas bon transiter par la gare du nord pour les hauts dignitaires de la République démocratique du Congo (RDC). Dernière victime en date, le président du sénat, Léon Kengo wa Dondo, agressé samedi 31 décembre à sa sortie du train en provenance de Bruxelles. Les agresseurs portent un nom : "les patriotes-résistants-combattants", opposés au président Joseph Kabila. Depuis bientôt deux ans, ces Congolais mènent la vie dure aux personnalités proches du régime. Parmi leurs derniers faits d'armes : l'agression du général Didier Etumba gare du nord, l'interdiction des concerts de Werrasson et Papa Wemba ou encore l'incendie et l'occupation de l'ambassade de RDC à Paris.
La nouvelle s'est répandue comme une traînée de poudre sur la toile. Des sites congolais très engagés dans l'opposition, comme Réveil-FM, Afrique rédaction ou Congomikili, ont tout de suite relayé l'information : le président du sénat, Léon Kengo, deuxième personnage de l'Etat, a été agressé samedi 31 décembre à la gare du nord de Paris. En provenance de Bruxelles, le candidat à la présidentielle de novembre (4,45% des voix) a été pris à partie par un groupe de "patriotes-résistants-combattants" alors qu’il tentait de monter dans sa voiture. L'agression a été particulièrement violent puisque, selon les autorités congolaises, le président du sénat "aurait eu des dents arrachées et a été piétiné et roulé à terre". Léon Kengo, 76 ans, a été conduit à l'hôpital Lariboisière.
Léon Kengo n'est pas la première victime des "combattants" congolais, très actifs à Paris, mais aussi Londres ou Bruxelles. Ces groupes, profondément anti-Kabila, ont été à l'origine de plusieurs manifestations "Kabila dégage" dans la capitale française. Ils ont ensuite empêché plusieurs artistes congolais de se produire en concert à Paris, comme la star Werrasson ou Papa Wemba. Les "combattants" reprochent à ces chanteurs de "rouler" pour Kabila et de faire de la propagande pour le candidat-président (à l'époque en campagne pour sa réélection). Gare du nord, les "combattants" ont ensuite perturbé l'arrivée en Thalys d'Olive Lembe Kabila, la femme du chef de l'Etat. En juin 2010, toujours gare du nord, les "combattants" ont agressé violemment le général Didier Etumba, à l'époque chef d'Etat-major de l'armée congolaise, en visite à Paris pour assister au concert "la nuit africaine". Derniers faits d'armes : l'incendie de l'ambassade de RDC à Paris en septembre 2011 et l'occupation de la même ambassade en décembre dernier.
La dernière cible, Léon Kengo, n'est pas le fruit du hasard. Après la réélection contestée de Joseph Kabila, la crise politique couve à Kinshasa. L'opposant Etienne Tshisekedi (en général très soutenu par les "combattants" de la diaspora) s'est auto-proclamé président du pays, s'estimant victime d'une fraude massive lors du vote. Léon Kengo, candidat à la présidentielle, s'affichait pourtant dans le camp de l'opposition (avec également Vital Kamerhe). Mais pour les "combattants", cet "opposant de la 25ième heure" ralliera Joseph Kabila au dernier moment. De nombreuses rumeurs donnent en effet le nom de Léon Kengo comme prochain Premier ministre de Joseph Kabila. Une manière pour le président réélu de faire "un geste" à moindre frais envers l'opposition.
Les autorités congolaises ont bien sûr vivement réagi à l'agression de Léon Kengo. Kinshasa accuse même les partisans d'Etienne Tshisekedi d'être les auteurs de cette "attaque inacceptable". Le ministre des Affaires étrangères de RDC, Alexis Tambwe Mwamba a convoqué l'ambassadeur de France ce dimanche à Kinshasa. Paris affirme ne pas avoir été informée de la visite (privée) de Léon Kengo en France.
Christophe RIGAUD
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