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Re: Deuxième phase : réorganisation des forums
Posté : 09 sept. 2011, 13:49
par Ilunga
marcopolo
9 septembre 2011
Source :
http://za-kaddafi.ru/node/3492
Bjr,
Perte des agresseurs
un bilan réel des pertes de l’OTAN en LIBYE
fuites d’informations classifiées par les experts militaires allemands.
U expert exp militaire Allemand, a déclaré à une séance privée, citant des sources fiables que la perte du renseignement britannique en Libye 35 soldats, comme annoncé par le ministère de la Défense britannique.
Les chiffres ci-dessus et leur précision se situe entre 1 500 à 2 000. C’est la principale raison pour laquelle le gouvernement britannique a ordonné à ses troupes de quitter la Libye.
Ajouter à cela le nombre de décès:
-. forces françaises entre 200 et 500
. – Etats-Unis à moins de 200
. – Qatar 200 et plus
Et ces chiffres n’ont pas été annoncés dans les médias médias et même pas discuté (technique également connue de l’Occident a de l’expérience en Irak et en Afghanistan).
Tous les membres de l’OTAN crie honteusement sur la France pour le bombardement de la Libye, à l’aveuglette meurtre de civils, comme l’une des plus grandes erreurs stratégiques.
PS : Il ya également des données provenant d’autres sources – que la perte du Qatar – plus de 700 personnes
Re: Deuxième phase : réorganisation des forums
Posté : 09 sept. 2011, 14:19
par wantanshi
Ilunga a écrit :
Quelle est la source de ce torchon?
Mais ces chiffres ont été publiés par la CENI non? Quoi de plus facile !
Re: Deuxième phase : réorganisation des forums
Posté : 09 sept. 2011, 14:21
par Ilunga
Elections 2011 :
La ville de Kinshasa brûle-t-elle ?
Une vue du centre des affaires à Kinshasa. Photo d’archives
A moins de trois mois des élections présidentielles et législatives, la capitale congolaise a vécu des scènes dignes de «guérilla urbaine» et de «terrorisme d’Etat»: la vandalisation d’un immeuble du parti présidentiel par des "combattants" de l’UDPS a été suivie par l’incendie du siège de cette formation ainsi que de la chaîne "RLTV" (Radio Lisanga TV) par des individus identifiés comme des membres de la police nationale et de la garde présidentielle. Et si la confusion entretenue entre l’appareil d’Etat et le parti présidentiel PPRD (Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie) était l’épicentre du climat de «pré-guerre civile» qui règne à Kinshasa?
Analyse
Un calme tendu règne dans la capitale congolaise après les affrontements aux conséquences imprévisibles entre des «combattants» de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et des éléments de la police anti-émeutes épaulés par des membres de la «Ligue des jeunes» du PPRD. Une milice dont les membres sont armés pour le moment d’armes blanches et des machettes. Demain, des Kalachnikovs? Les deux camps désormais antagonistes sont sur le pied de "guerre". Les événements du 5 et 6 septembre sont au centre de toutes les conversations.
«Instrumentalisation des jeunes»
Dans un communiqué daté du 6 septembre, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité, le PPRD Adolphe Lumanu Mulenda Bwana N’sefu, donne sa grille de lecture. Selon lui, «il s’observe depuis un certain temps une tendance (…) à une instrumentalisation de la jeunesse, appelée déjà maintenant, à contester les résultats des élections (…)» à venir. Et d’ajouter : «Dans cette stratégie préparatoire à une insurrection souhaitée par certains politiciens, la CENI est devenue le bouc émissaire de prédilection. En lieu et place des stratégies électorales, l’on assiste plutôt chaque jour à des manifestations de rue non encadrées par les organisateurs débouchant régulièrement sur des actes de vandalisme.» «Pour toutes ces raisons, poursuit Lumanu, sur instruction du président de la République, le Premier ministre, (…), Adolphe Muzito a réuni autour de lui quelques membres du gouvernement dont le vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et Sécurité, le ministre de la Justice et Droits humains, le ministre en charge des Relations avec le Parlement, le gouverneur de la ville-province de Kinshasa et les responsables des services de sécurité pour faire le point de la situation prévalant dans le pays et, notamment dans la ville de Kinshasa.» Les participants à cette réunion ont noté «que les actes posés par ces différents manifestants sont constitutifs d’infractions de pillages, de destructions méchantes, de coups et blessures volontaires et autres.» Par conséquent, «le gouvernement condamne avec la plus grande fermeté ces actes inciviques» et «tous les délinquants appréhendés et leurs commanditaires seront jugés et sanctionnés conformément à la Loi», note par ailleurs le communiqué.
Le ministre Lumanu parle d’«instrumentralisation de la jeunesse» par certains partis. Il laisse sous silence la présence, le 1er et le 5 septembre, des fameux «Pomba» - ces karatéras et autres judokas désoeuvrés - aux côtés des éléments de la police anti-émeutes. Il est surprenant de lire dans le communiqué précité que «le gouvernement (…) salue le professionnalisme de la police nationale (…)». S’agissant des policiers réputés pour leur manque de sang-froid autant que pour leur tendance à tirer sur tout ce qui bouge, n’est-ce une injure pour les victimes? Peut-on franchement parler de "professionnalisme" de la part des policiers qui se comportent en minables tueurs dénués de tout respect pour la vie et la dignité de la personne humaine ? Devrait-on s’esclaffer ou en pleurer en lisant dans le même communiqué que «sous l’impulsion du président de la République, (…), le gouvernement rassure la population qu’il ne ménagera aucun effort pour garantir la sécurité des biens et des personnes et préserver la paix chèrement acquise ainsi que la cohésion nationale»? Ce fameux président de la République et son gouvernement peuvent-ils ignorer que ce sont des «hommes en uniformes» qui ont été aperçus tant au siège de l’UDPS qu’aux studios de la RLTV en feu? Où est passé l’Etat, le garant de l’intérêt général? Pourquoi aucune information judiciaire n’a été diligentée jusqu’ici par les autorités judiciaires?
"Périmètre inviolable"
Mercredi 7 septembre, la direction de l’UDPS a organisé une réunion avec toutes les «structures de base». Un "deuil" sera observé pour le "camarade" qui a péri. Pour le moment, toutes les activités sont suspendues jusqu’à l’enterrement du «combattant» Junior Folo Ngamake, fixé à samedi 10 septembre. Au cours de cette réunion, le parti cher à Etienne Tshisekedi wa Mulumba a pris une grave décision. «Nous avons décrété que le périmètre compris entre la résidence du président de l’UDPS et la permanence du parti est inviolable, explique le secrétaire général de l’UDPS, Jacquemain Shabani Lukoo, joint au téléphone jeudi matin à Kinshasa. Nous ne voulons plus y voir des personnes en armes.» Pour Shabani, cette décision constitue une réponse à l’incapacité de l’Etat à assurer une égale protection à toute la population au-delà des clivages idéologiques ou philosophiques. «La police dont la mission est de sécuriser la population a agressé les personnes et les biens appartenant à notre parti, fait remarquer Shabani. Nous allons désormais prendre en mains notre sécurité.»
Les pouvoirs publics sont donc accusés de partialité. Une partialité qui ne peut que "disqualifier" les gouvernants actuels. On ne dira jamais assez que pour être légitime, l’Etat en tant que pouvoir politique doit servir l’intérêt général et non l’intérêt d’un individu ou d’un groupe d’individus. Il règne une confusion digne d’un parti-Etat entre le système de gouvernement qui dirige la RD Congo et le parti dominant, le PPRD.
Dans un communiqué publié le même mercredi 7 septembre, le gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta Yango, qui est par ailleurs le président de l’Interfédérale du PPRD pour la capitale, «a interdit toute manifestation à caractère politique sur la voie publique jusqu’au dimanche 11 septembre 2011». Motif invoqué : Permettre un déroulement normal des opérations de dépôt des candidatures. Pourquoi pas? «L’ukase prise par {le gouverneur} Kimbuta ne nous concerne nullement dans la mesure où celui-ci est également le président de l’Interfédérale du PPRD qui est occupé à mettre en place une milice», martèle Shabani qui conclut : «Notre parti a été créé pour la promotion de la démocratie au Congo-Kinshasa. Il ira jusqu’au bout pour la réalisation de cet objectif.»
La décision prise par le gouverneur Kimbuta paraît discutable. S’il est vrai que la liberté n’est pas un droit absolu, il n’en demeure pas moins vrai que toute décision d’une autorité administrative doit se conformer au droit. C’est le principe de la légalité. L’article 26 de la Constitution promulguée en février 2006 édicte dans son premier alinéa que «la liberté de manifestation est garantie». «Toute manifestation sur les voies publiques ou en plein air, impose aux organisateurs d’informer par écrit l’autorité administrative compétente», dispose le deuxième alinéa. Question : Quel est la base juridique sur laquelle s’est fondé le premier magistrat de la ville de Kinshasa pour restreindre cette liberté constitutionnelle? «La liberté de manifester doit s’exercer conformément aux lois et au respect de l’ordre public, commente un constitutionnaliste. Il reste que le communiqué publié par le gouverneur pose problème. La population a le droit de manifester. Le rôle de l’autorité est justement d’encadrer les manifestants.»
Les réactions
Les affrontements entre les militants de l’UDPS et la police nationale sont au centre de toutes les conversations dans les milieux congolais. A l’intérieur et à l’extérieur du pays. Au cours d’un point de presse tenu mercredi, l’archevêque de Kinshasa, Laurent Monsengwo Pasinya, a dit la «préoccupation» de l’Eglise catholique face à des «événements susceptibles de perturber la paix sociale et le processus électoral». Il a invité le personnel politique «à éviter les provocations et à faire preuve de calme et de retenue». Le cardinal a conclu son adresse en «condamnant» en termes vagues les «récents incidents» qui sont de nature à «provoquer l’escalade de la violence dans le pays» et à «détourner l’attention des citoyens des vrais problèmes qui attendent des solutions rapide».
Dans un communiqué daté du 7 septembre, l’association de défense des droits humains «Asadho» s’est dite «vivement préoccupée par le climat d’intolérance politique entretenu par certains partis politiques à la veille des élections présidentielle et législatives du mois de novembre prochain.» Après avoir rappelé l’attaque respectivement de la permanence de l’interfédérale provinciale du PPRD, de la permanence de l’UDPS et du siège de la chaîne «RLTV», l’association explique les circonstances du décès du militant de l’UDPS. «Le mardi 6 septembre 2011 à 8h00 du matin, indique le communiqué, un groupe de policiers armés s’est rendu à la permanence de l’UDPS qui avait été l’objet de saccage et voulaient y pénétrer sans accord des membres de ce parti. Devant la résistance des militants, les policiers ont tiré des balles réelles qui ont occasionné la mort de Monsieur Junior Folo Ngamake et des blessures graves sur Messieurs Okoka Tshombe (au niveau du bassin) et Tonton Belamangi (au niveau de deux cuisses).» A en croire l’Asadho, les deux victimes seraient aux soins intensifs à la clinique Bondeko. L’association de déplorer le décalage existant entre le discours public «appelant à l’organisation des élections transparentes, libres et apaisées», et les agissements de «certains partis politiques» qui «recourent toujours à la violence pour faire taire les adversaires ou régler les divergences politiques».
A Paris, le Quai d’Orsay s’est fendu mercredi 7 septembre d’un communiqué dont le contenu est assimilable aux larmes de crocodile. Le ministre français des Affaires étranges dit «condamner toute forme de violence dans le cadre de la campagne électorale» en RD Congo tout en souhaitant «un dialogue renforcé entre les différents partis politiques.» «Elle {la France} appelle l’ensemble des acteurs à préparer les échéances électorales dans un climat apaisé, autour de l’objectif commun de scrutins libres et crédibles attendus des citoyens congolais. (…).» Sans vouloir éluder la part de responsabilité incombant aux Congolais, l’Union européenne en général et la France de Nicolas Sarkozy en particulier doit assumer la sienne. Ce sont des experts français qui ont assuré et continuent à assurer la «formation» des policiers congolais. Une formation manifestement bâclée au vu des résultats sur le terrain.
Le 24 mars dernier, le ministre congolais de l’Intérieur et de la sécurité et l’ambassadeur de France à Kinshasa signaient une convention d’un import de deux millions d’euros soit 2,7 millions de dollars américains. Objet : formation de deux bataillons d’une unité spéciale de la Police nationale congolaise. Et ce, en prévision des élections. Une attitude pour le moins étrange de la part du «pays des droits de l’Homme» quand on sait que le défenseur des droits humains Floribert Chebeya Bahizire n’a pas été revu en vie après un rendez-vous avec l’Inspecteur divisionnaire en chef de la police nationale congolaise, John Numbi Banza Tambo. C’était le 1er juin 2010 au Quartier général de la police. Le corps de son compagnon d’infortune, Fidèle Bazana Edadi, n’a pas été retrouvé. Lors de la signature de cet accord, le diplomate français déclarait que «l’objectif est de donner les moyens au gouvernement congolais de pouvoir assurer une parfaite sécurité au processus électoral, si jamais il y avait débordement de nature à mettre en péril le processus démocratique».
L’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique, James Entwistle, a, pour sa part, invité, mardi, «les acteurs politiques congolais à s’engager dans un dialogue pacifique et à dénoncer les violences». «Je note avec inquiétude les violences avec perte en vies humaines qui ont eu lieu dans la nuit de lundi et mardi matin entre l’UDPS et le PPRD», a-t-il souligné en estimant que «les élections crédibles ne peuvent se dérouler que dans le calme, la tolérance et à la stabilité.»
"Rien ne va dans ce pays"
Joint au téléphone jeudi à Kinshasa, un analyste politique, qui a requis l’anonymat, a eu ces mots lourds de signification : «Cher confrère, vous avez quitté le pays depuis longtemps. Vous ne pouvez appréhender les réalités que nous vivons. Rien ne va dans ce pays. La population souffre. Elle vit dans un dénuement total : manque d’eau et d’électricité ; manque de revenus pour avoir des soins de santé et assurer la scolarité des enfants; absence de transport en commun pour assurer la mobilité etc. Joseph Kabila est très impopulaire. La population ne veut plus de lui à la tête du pays.»
Et de poursuivre : «L’actuel chef de l’Etat est un homme usé avant l’âge par dix années passé à la tête de l’Etat. Il va rarement à son bureau. Il passe le clair de son temps dans sa ferme. Le Congo se meurt. L’Etat n’existe plus. L’arrière-pays n’est plus administré. Là où le bat blesse est que Kabila veut s’accrocher au pouvoir. Il a avec lui l’armée, la police, les services de sécurité et le soutien du Rwanda, de l’Ouganda et de la tanzanie. La population est mobilisée. Je ne voudrais pas être un oiseau de mauvaise augure. Il me semble que toutes les conditions sont réunies pour une guerre civile dans la capitale : la grande majorité de la population kinoise n’acceptera en aucun cas une «victoire» de Kabila comme en 2006.»
Baudouin Amba Wetshi
© Congoindépendant 2003-2011
Re: Deuxième phase : réorganisation des forums
Posté : 09 sept. 2011, 14:22
par Ilunga
"Rien ne va dans ce pays"
Joint au téléphone jeudi à Kinshasa, un analyste politique, qui a requis l’anonymat, a eu ces mots lourds de signification : «Cher confrère, vous avez quitté le pays depuis longtemps. Vous ne pouvez appréhender les réalités que nous vivons. Rien ne va dans ce pays. La population souffre. Elle vit dans un dénuement total : manque d’eau et d’électricité ; manque de revenus pour avoir des soins de santé et assurer la scolarité des enfants; absence de transport en commun pour assurer la mobilité etc. Joseph Kabila est très impopulaire. La population ne veut plus de lui à la tête du pays.»
Et de poursuivre : «L’actuel chef de l’Etat est un homme usé avant l’âge par dix années passé à la tête de l’Etat. Il va rarement à son bureau. Il passe le clair de son temps dans sa ferme. Le Congo se meurt. L’Etat n’existe plus. L’arrière-pays n’est plus administré. Là où le bat blesse est que Kabila veut s’accrocher au pouvoir. Il a avec lui l’armée, la police, les services de sécurité et le soutien du Rwanda, de l’Ouganda et de la tanzanie. La population est mobilisée. Je ne voudrais pas être un oiseau de mauvaise augure. Il me semble que toutes les conditions sont réunies pour une guerre civile dans la capitale : la grande majorité de la population kinoise n’acceptera en aucun cas une «victoire» de Kabila comme en 2006.»
C'est clair ! "Kabila" va DEGAGER ! Il va s'enfuir ce sale rwandais !!!!
Re: Deuxième phase : réorganisation des forums
Posté : 09 sept. 2011, 14:40
par Ilunga
Mercicongo [
mercicongo@yahoo.fr] 08/09/2011 22:18:48
Il faut être sage pour comprendre que * l’arbre qui tombe, fait beaucoup de bruit que la forêt qui pousse derrière*.
Que les Kinois et les Congolais deviennent sages. Kanambe et Cie ressemblent à ces arbres qui tombent et qu’on va bientôt bruler.
Deux exemples pour comprendre leur bruit.
- Il fallait que l’UDPS marche pour que Mr Ngoy Mulunda du CENI alias * pasteur BIZIMUNGU* accepte enfin que l’opposition aura droit de connaître tout sur le serveur central mais on ne sait pas quand : avant, les élections, pendant ou après.
- De deux, Si réellement ce pays est en paix voire gouverné, qui saura nous expliquer ce qui venait de se passer à la Kassapa depuis mercredi matin. 963 prisonniers évadés de la prison centrale de la Kassapa à Lubumbashi. Ni Kanambe, Mende, Lumanu même pas Moïse Katumbi, personne n’en parle. Ne soyez pas surpris d’apprendre que ce commando était composé des jeunes de l’UDPS.
Conclusion, élire ou pas, le 06 décembre 2011 E. T. Wamumba à la tête du pays. Kanambe et Cie, démenez-vous. Les Congolais ont besoin de récupérer l’Est du pays que Knambe a offert à son oncle Kagame. le message est unique. on a besoin d’un fils du pays à la tête du Congo. Même si on doit dire à Gizenga vient pour 30 jours, pas de problème. Mais plus question d’un * babaphobe* à al,présidence de la RDC.
Re: Deuxième phase : réorganisation des forums
Posté : 09 sept. 2011, 14:42
par Ilunga
Gaston Médard [
becaudngo@yahoo.fr] 09/09/2011 01:59:14
ça bouillonne,... la cocotte minute semble prête à sonner et pour cause: les primates du PPRD s’en mettent pleins les poches et rapidement. Comme pour dire qu’il faut garantir son séjour en exil. Ils se savent perdants, et donc ils n’ont plus rien à perdre dans ce cas. Quoi de plus normal pour une catégorie sociale frappée par l’amnésie laitière ! Le parcours de kanambe et sa bande n’aura été que le perfectionnement d’un mobutisme convaincu et convainquant !
Re: Deuxième phase : réorganisation des forums
Posté : 09 sept. 2011, 14:44
par Ilunga
Pasteur BENSON [
le-pasteur-vous-parle@hotmail.com] 09/09/2011 09:03:02
Croyez-moi, il n’y aura jamais de guerre civile en RDC. Le petit gamin ( Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila ) prendra le large des qu’il apprendra que les "Chinois" (population de Masina) sont deja descendus dans la rue, direction Mont Ngaliema et GLM. Kanambe est un PEUREUX, ce pauvre petit gamin qui se fait roi a Kin.
C’est bien que de tels incidents se produisent bien avant, car ce sont des signaux que notre peuple commence a braver la peur, et que petit a petit nous nous placons deja sur le chemin de la liberation. Hier, c’est le bureau du PPRD qui a ete incendie, mais demain ce sera le Palais presidentiel, a la maniere de ce qui se vit a Tripoli. "Qui vivra, verra". DEBOUT CONGOLAIS, partout ou vous vous trouvez ! Merci.
Re: Deuxième phase : réorganisation des forums
Posté : 09 sept. 2011, 14:53
par Ilunga
PILIPILI - REMY [
remypilipili@hotmail.com] 09/09/2011 12:17:20
L’heure est venue. Vous, membres et sympathisants fidèles du PPRD,ministres, deputés, sénateurs,et les autres mendiants sans oublier le fumeur de chanvre Kimbuta, yabino esili. Bientôt bokopakatana mbangu.Rira bien rira le dernier dit-on. Le peuple a trop souffert à cause de votre égoïsme et surtout de votre trahison. L’image de notre pays est noircie à cause de vous. Ngonga ebeti......., nous allons remettre maintenant le pays sur les rails. A bon entendeur salut !
Re: Deuxième phase : réorganisation des forums
Posté : 09 sept. 2011, 14:55
par Ilunga
Cadet [
aimerpouraimer@yahoo.fr] 09/09/2011 05:27:18
"cette evasion n’est qu’un montage Kabiliste pour semer le chaos au Congo, vu que Joseph constate que ses chances pour gagner les prochaines elections sont minimes. voila pourquoi il prepare le deluge en periode electorale."
L’étrange «évasion» de Gédéon Kyungu Mutanga
Kyungu Mutanga, alias "Gédéon". Photo d’archives
Evasion ou coup fourré des "super faucons" de l’entourage de "Joseph Kabila"? Mercredi 7 septembre vers midi, un groupe d’individus cagoulés et armés a eu l’audace d’attaquer la prison de Kasapa, située à une dizaine de kilomètres du centre de la ville de Lubumbashi. Les assaillants - identifiés comme étant des miliciens maï maï - apparemment bien «tuyautés» auraient tiré sur des policiers de faction. Leur objectif était de faire libérer leur ancien chef. Son nom : Kyungu Mutanga, alias «Gédéon». On peut gager que la libération des autres détenus ne serait que de la diversion.
Selon le ministre provincial de l’Intérieur, 967 détenus sur 1305 ont pris le large. Il y aurait parmi eux des membres d’un mouvement «indépendantiste» dénommé «CORAK» (Coordination d’organisation du référendum d’autodétermination du Katanga) en détention depuis février dernier. Aux dernières nouvelles données par le même ministre, 163 fugitifs auraient été repris. le conditionnel doit être de rigueur. Qu’en est-il des autres? Ce ministre qui ne manque pas de perspicacité est arrivé à la conclusion selon laquelle il y aurait des «complicités à l’intérieur de la prison». Aussi, une «enquête» serait-elle «en cours» selon la formule consacrée.
Lubumbashi, le chef-lieu de la province du Katanga, est la seconde agglomération congolaise après Kinshasa. Depuis la «libération» du 17 mai 1997, cette ville est devenue une sorte de «nouvelle Gbadolite». Laurent-Désiré Kabila était, en effet, originaire de cette Région. Par ukase du Grand chef lubakat Kasongo Nyembo, le successeur de Mzee en l’occurence "Joseph Kabila" a été proclamé "Mulubakat à 100%". La "tradition" est ainsi préservée. Depuis lors, un important contingent de la garde présidentielle est basé dans cette riche cité urbaine.
Au regard de tous ces éléments, même l’Inspecteur «Colombo» aurait affiché une incrédulité certaine en apprenant que les renforts de la police appelés à la rescousse ont mis près d’une heure pour parcourir les sept kilomètres séparant le centre-ville avec ce pénitencier. Selon un rapport, ces renforts seraient arrivés vers 12h 30. Alors que l’assaut s’est produit près d’une heure auparavant.
Il faut refuser de voir pour ne pas constater que les prisonniers en cavale ont bénéficié des "facilités" au plus haut niveau de la hiérarchie civile et militaire non seulement provinciale mais aussi nationale. A preuve, en dépit du scandale et de l’humiliation infligée aux affaires pénitentiaires dépendant du ministère de la Justice, aucune tête n’est tombée. Ni à Lubumbashi. Ni à Kinshasa. Ni ailleurs. Personne ne doit rendre compte.
A tout seigneur tout honneur. Kyungu Mutanga, alias «Gédéon», n’est pas n’importe qui. Chef d’une milice maï maï dans le Nord-Katanga au cours de la seconde moitié des années 90, l’homme a connu la «gloire» fin 1998 lorsque le président LD Kabila eut la redoutable idée de faire appel à tous les jeunes désoeuvrés du Katanga pour constituer le socle de la fameuse «FAP» (Forces d’auto-défense populaire). Objectif : barrer la route aux rebelles pro-rwandais du RCD lesquels menaçaient de s’emparer de la capitale du cuivre.
Selon des sources bien informées, Daniel Mulunda Ngoy Nyanga et John Numbi Banza Tambo furent chargés de la mise sur pied de cette unité paramilitaire. Celle-ci sera par la suite délaissée après la signature des accords de paix de Lusaka en juillet 1999. Des fusils mitrailleurs ont déjà été distribués à ces «jeunes gens». Après les travaux du dialogue intercongolais fin 2002, les "FAP", n’ayant pas participé au partage du pouvoir, ont fini par s’éclater en plusieurs factions. Des factions décidées à se faire "rétribuer" sur la population.
De 2003 à 2006, Gédéon et ses hommes ont commis des viols, des pillages et des assassinats au Nord-Katanga sur l’axe Pweto-Mitwaba-Malemba Nkulu. N’eut été la pression exercée par la communauté internationale afin qu’il soit arrêté et jugé, ce criminel sanguinaire - qui continue à jouir des protections en «haut lieu» - serait sans doute entrain de se pavaner dans un poste dans les FARDC avec le grade de colonel ou de général à l’instar d’un Bosco Ntaganda. En 2008, Kyungu a été condamné à mort par un tribunal militaire à Likasi.
Questions : Qui a organisé l’«évasion» de Kyungu Mutanga, alias Gédéon ? Pourquoi cette évasion intervient-elle à moins de trois mois des élections présidentielles et législatives? A qui pourrait profiter l’insécurité qui résulterait de la présence de cet ex-chef milicien sur le terrain et qui pourrait réactiver ses «réseaux» ? S’il se confirmait que l’attaque de la prison de Kasapa était l’œuvre des «maï maï», quid alors de l’opération «Bicyclette contre argent» menée jadis par l’association «Parec» du très controversé Pasteur Daniel Mulinda Ngoy Nyanga qui s’arrogeait le titre officieux de «conseiller spirituel» du président sortant «Joseph Kabila»?
Question finale : Quelle est la destination donnée aux armes et munitions recueillies à l’époque par le Parec?
Baudouin Amba Wetshi
© Congoindépendant 2003-2011
Re: Deuxième phase : réorganisation des forums
Posté : 09 sept. 2011, 15:04
par Ilunga
"Questions : Qui a organisé l’«évasion» de Kyungu Mutanga, alias Gédéon ? Pourquoi cette évasion intervient-elle à moins de trois mois des élections présidentielles et législatives? A qui pourrait profiter l’insécurité qui résulterait de la présence de cet ex-chef milicien sur le terrain et qui pourrait réactiver ses «réseaux» ? S’il se confirmait que l’attaque de la prison de Kasapa était l’œuvre des «maï maï», quid alors de l’opération «Bicyclette contre argent» menée jadis par l’association «Parec» du très controversé Pasteur Daniel Mulinda Ngoy Nyanga qui s’arrogeait le titre officieux de «conseiller spirituel» du président sortant «Joseph Kabila»?
Question finale : Quelle est la destination donnée aux armes et munitions recueillies à l’époque par le Parec?"
Bonnes questions...On n'est pas dupes !