kie kie kie kie kie kie...Ba "scrobondo" baleliii !
PASSE DIFFICILE POUR LES CANDIDATS DEPUTES DE LA MP Ils ont reçu entre 400 et 500 USD pour battre campagne
LUNDI, 21 NOVEMBRE 2011 13:04
Si à Kinshasa cette modique somme a été acceptée par certains, à Lubumbashi, par contre, les candidats députés auraient fait un sit-in au siège provincial de la MP en signe de protestation.
Ça se raconte partout à Kinshasa, de tous les métiers en RD-Congo, celui de député national semblerait le mieux payé.
Les jeeps octroyées aux élus du peuple pendant la première législature de la 3ème République pour leur faciliter la mobilité vers les plénières étaye bien cette assertion. De même, être vu à la télé et marquer sa présence pour ne pas dire son existence, quand bien même les moyens feraient défaut, siéger à l'Assemblée nationale est perçu comme un privilège.
Surtout quand on appartient à la majorité au pouvoir.
Mais malheureusement, ceux qui ont postulé pour ces législatives doivent déjà déchanter, la Majorité présidentielle MP- n'ayant pas consenti à financer leur campagne. Elle ne leur aurait proposé que quelques 400 à USD 500.
Même s'il a levé l'option de ne pas financer leur campagne électorale, l'autorité morale de la Majorité présidentielle- MP-, Joseph Kabila a néanmoins promis de rembourser tous les frais que les candidats députés nationaux de sa famille politique auront engagés pour leur propagande. Encore qu'ils aient réussi à se faire élire Toutefois, des sources dignes de foi indiquent qu'essoufflés alors qu'il ne leur reste plus qu'une semaine exactement avant la tenue du scrutin, ils auraient reçu chacun un secours de USD 500 pour les candidats de Kinshasa et 400 USD pour ceux de Lubumbashi. Cependant, les lushois ayant refusé de prendre cette somme d'argent auraient même fait un sit-in devant le siège provincial de la MP. Mais dans le calme et la discrétion. C'est dire que professeurs d'Université, enseignants, journalistes, avocats, fonctionnaires, artistes, politiciens, personnels soignants et consorts se sont lancés dans la politique, le seul métier qui paie mieux. Les uns et les autres ayant intégré la majorité, soit l'opposition pour pouvoir siéger à l'Assemblée nationale. Pour
ce qui est de la Majorité présidentielle, tout porte à croire que Kabila toujours à la recherche de 15 personnes capables de l'épauler dans la réalisation de cinq chantiers de la République ait tiré la leçon de 2006, en levant l'option de ne pas financer la campagne électorale des candidats députés de sa mouvance. Reste à les chefs des partis politiques n'ont pas driblés leurs candidats à qui ils ont remis les 400 USD ou 500 USD émanant de Joseph Kabila. L'avenir nous le dira. Une chose est sure: si certains ont postulé dans l'intention d'être élus et se consacrer à la cause du peuple, en votant des lois qui favorisent la démocratie, le respect de droits humains, l'amélioration des conditions de vie des Vit et la distribution d'une justice sociale équitable, d'autres s'y sont lancés par esprit de lucre, assurés d'avoir un emploi susceptible de leur permettre de venir à bout de leurs soucis personnels. Ils seraient les plus de tous, surtout qu'ils ont compté sur l'appui de leurs partis avant d'être sûrs de leurs propres poches.
Octave Mukendi
Candidat No 3 – Kabila
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Re: Candidat No 3 – Kabila
kie kie kie kie kie...
http://www.jeuneafrique.com/Article/ART ... ngton.html
RDC - WikiLeaks : faible, susceptible et mystérieux... Kabila vu par Washington
21/11/2011 à 17h:09 Par Pierre Boisselet
Pour Washington, le bilan des années Kabila n’est pas totalement négatif. © AFP
La diplomatie américaine, telle que dévoilée par WikiLeaks, décrit le président de la RDC comme un dirigeant peu sûr de lui, ayant des difficultés à s’affirmer. Mais elle reconnaît aussi à Joseph Kabila une certaine capacité d’écoute et quelques bonnes décisions. Petit florilège des câbles américains, à quelques jours des élections présidentielle et législatives du 28 novembre.
« Kabila reste une énigme ». Ce commentaire de William Garvelink, deux ans et demi-après son arrivée en tant qu’ambassadeur des États-Unis à Kinshasa (c’était en octobre 2007), illustre bien l’épaisseur du mystère que représente le président congolais pour les Américains, selon les documents révélés par WikiLeaks.
« Son pire cauchemar » ne serait autre qu’une alliance entre « ses deux plus puissants voisins, l’Angola et le Rwanda » contre lui, juge par exemple le diplomate américain en décembre 2009, qui ne voit pourtant « aucun signe convaincant » de cette possibilité.
Même en politique intérieure, Joseph kabila semble méfiant vis-à-vis des Forces armées de RDC. « Son but est la survie », juge ainsi Alan Doss, alors chef de la mission des Nations-Unies dans le pays, cité dans un câble de 2009. « C’est pourquoi il n’a jamais critiqué publiquement les FARDC, contrairement à d’autres institutions gouvernementales », analyse l’ambassadeur.
Grande souffrance psychologique
À travers les nombreux câbles consacrés à la RDC, Kabila apparaît également peu au fait de certains dossiers majeurs. Ainsi, quand en mai 2009, le président du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, vient le convaincre de renégocier les contrats chinois, il paraît cueilli à froid. « Kabila était très certainement mal informé sur cette question avant la visite de Strauss-Kahn », commente Garvelink. Le mois suivant, le gouvernement congolais prend contact avec Pékin pour commencer la renégociation, constate Washington avec une satisfaction mêlée de surprise. « Il n’est pas sûr que Kabila aurait compris entièrement ce qui était requis, ou aurait eu la volonté de prendre la décision politique, sans la visite de Strauss-Kahn ».
La grande susceptibilité du président congolais étonne aussi les Américains. Se confiant à l’ambassadeur de Belgique, Dominique Struye, en janvier 2010 (lequel rapporte ensuite la conversation à ses homologues américains, français et britannique), il apparait « clairement vexé » par les reproches des occidentaux. Ces derniers « se focalisent sur des problèmes spécifiques et parlent ensuite de la RDC uniquement sous cet angle, ainsi que de l’incapacité de Kabila à les régler » […] « D’après Struye, Kabila a une grande souffrance psychologique parce qu’on le juge selon des critères bien plus élevés que beaucoup d’autres dirigeants. Struye est allé jusqu’à estimer que Kabila évite les réunions internationales parce que les chefs étrangers s’en servent pour lui rappeler ses nombreux échecs et que la presse étrangère aime le critiquer ».
"Il agit peu et parle encore moins"
Mais, commente l’ambassadeur américain, « Kabila est un homme qui agit peu et parle encore moins et il ne s’est pas fermé aux avis, dont ceux des Américains et des Européens, sur les changements nécessaires dans l’armée, même si ce genre de conseils ne sont généralement pas écoutés ».
Du coup, la « communauté internationale » tente de « couver » collectivement le président congolais. « Quel que soit la personne qui appelle Kabila, nous nous sommes mis d’accord sur la nécessité de coordonner notre message », rapporte un diplomate américain le 30 décembre 2009, après une rencontre au sommet avec les représentants des Nations-Unies, de l’Union européenne et des États-Unis à Bruxelles. « Encourager Kabila à exercer plus d’autorité et à rentrer à en contact avec les partenaires sur de nombreux sujets importants » est « l’un des défis de l’année » juge même l’ambassadeur américain début février 2010.
Plus significatif de la frustration des Américains face à lui, à l’heure du bilan de l’année 2009, Garvelink envisage même de le contourner. « Étant donné les échecs de Kabila, nous devons apprendre à nous servir d’avantage des autres sujets sensibles au sein du gouvernement de RDC, pour faire avancer nos objectifs communs ».
Indulgence américaine
Mais au fil du temps, le jugement des Américains sur Kabila se fait de plus en plus indulgent. Ainsi, lorsqu’il décide de rejeter le budget voté par le Parlement, le 31 décembre 2009, l’ambassadeur a peine à croire que c’est bien le souci des finances publiques qui a motivé ce geste. « Le sens du refus du président Kabila de signer le projet de budget 2010 n’est pas clair », écrit Garvelink le 8 janvier 2010. Trois semaines plus tard, il rapporte que des « contacts » au ministère des Finances et du Budget lui ont assuré que Kabila « cherchait réellement à s’assurer d’un budget réaliste qui ne menacerait pas les progrès du gouvernement de RDC vers le point d’achèvement de l’Initiative des pays pauvres très endettés » [PPTE, processus qui permettra finalement à la RDC de se débarrasser d’une partie de sa dette, NDLR]. L’ambassade est « d’accord avec cette analyse », peut-on lire dans ce télégramme.
Pour Washington, le bilan des années Kabila n’est donc pas totalement négatif. « L’année 2009 s’est achevée avec de prudents signes d’optimisme. […] Les relations avec les voisins de l’Est se sont beaucoup améliorées, […] les attaques sur les journalistes ont baissé, une presse libre continue de prévaloir, et une opposition qui se fait entendre existe, même si celle-ci s’autodétruit ». En définitive, note la diplomate américain, le manque de leadership de Kabila « ne veut pas dire que le pays ne bouge pas par lui-même ».
http://www.jeuneafrique.com/Article/ART ... ngton.html
RDC - WikiLeaks : faible, susceptible et mystérieux... Kabila vu par Washington
21/11/2011 à 17h:09 Par Pierre Boisselet
Pour Washington, le bilan des années Kabila n’est pas totalement négatif. © AFP
La diplomatie américaine, telle que dévoilée par WikiLeaks, décrit le président de la RDC comme un dirigeant peu sûr de lui, ayant des difficultés à s’affirmer. Mais elle reconnaît aussi à Joseph Kabila une certaine capacité d’écoute et quelques bonnes décisions. Petit florilège des câbles américains, à quelques jours des élections présidentielle et législatives du 28 novembre.
« Kabila reste une énigme ». Ce commentaire de William Garvelink, deux ans et demi-après son arrivée en tant qu’ambassadeur des États-Unis à Kinshasa (c’était en octobre 2007), illustre bien l’épaisseur du mystère que représente le président congolais pour les Américains, selon les documents révélés par WikiLeaks.
« Son pire cauchemar » ne serait autre qu’une alliance entre « ses deux plus puissants voisins, l’Angola et le Rwanda » contre lui, juge par exemple le diplomate américain en décembre 2009, qui ne voit pourtant « aucun signe convaincant » de cette possibilité.
Même en politique intérieure, Joseph kabila semble méfiant vis-à-vis des Forces armées de RDC. « Son but est la survie », juge ainsi Alan Doss, alors chef de la mission des Nations-Unies dans le pays, cité dans un câble de 2009. « C’est pourquoi il n’a jamais critiqué publiquement les FARDC, contrairement à d’autres institutions gouvernementales », analyse l’ambassadeur.
Grande souffrance psychologique
À travers les nombreux câbles consacrés à la RDC, Kabila apparaît également peu au fait de certains dossiers majeurs. Ainsi, quand en mai 2009, le président du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, vient le convaincre de renégocier les contrats chinois, il paraît cueilli à froid. « Kabila était très certainement mal informé sur cette question avant la visite de Strauss-Kahn », commente Garvelink. Le mois suivant, le gouvernement congolais prend contact avec Pékin pour commencer la renégociation, constate Washington avec une satisfaction mêlée de surprise. « Il n’est pas sûr que Kabila aurait compris entièrement ce qui était requis, ou aurait eu la volonté de prendre la décision politique, sans la visite de Strauss-Kahn ».
La grande susceptibilité du président congolais étonne aussi les Américains. Se confiant à l’ambassadeur de Belgique, Dominique Struye, en janvier 2010 (lequel rapporte ensuite la conversation à ses homologues américains, français et britannique), il apparait « clairement vexé » par les reproches des occidentaux. Ces derniers « se focalisent sur des problèmes spécifiques et parlent ensuite de la RDC uniquement sous cet angle, ainsi que de l’incapacité de Kabila à les régler » […] « D’après Struye, Kabila a une grande souffrance psychologique parce qu’on le juge selon des critères bien plus élevés que beaucoup d’autres dirigeants. Struye est allé jusqu’à estimer que Kabila évite les réunions internationales parce que les chefs étrangers s’en servent pour lui rappeler ses nombreux échecs et que la presse étrangère aime le critiquer ».
"Il agit peu et parle encore moins"
Mais, commente l’ambassadeur américain, « Kabila est un homme qui agit peu et parle encore moins et il ne s’est pas fermé aux avis, dont ceux des Américains et des Européens, sur les changements nécessaires dans l’armée, même si ce genre de conseils ne sont généralement pas écoutés ».
Du coup, la « communauté internationale » tente de « couver » collectivement le président congolais. « Quel que soit la personne qui appelle Kabila, nous nous sommes mis d’accord sur la nécessité de coordonner notre message », rapporte un diplomate américain le 30 décembre 2009, après une rencontre au sommet avec les représentants des Nations-Unies, de l’Union européenne et des États-Unis à Bruxelles. « Encourager Kabila à exercer plus d’autorité et à rentrer à en contact avec les partenaires sur de nombreux sujets importants » est « l’un des défis de l’année » juge même l’ambassadeur américain début février 2010.
Plus significatif de la frustration des Américains face à lui, à l’heure du bilan de l’année 2009, Garvelink envisage même de le contourner. « Étant donné les échecs de Kabila, nous devons apprendre à nous servir d’avantage des autres sujets sensibles au sein du gouvernement de RDC, pour faire avancer nos objectifs communs ».
Indulgence américaine
Mais au fil du temps, le jugement des Américains sur Kabila se fait de plus en plus indulgent. Ainsi, lorsqu’il décide de rejeter le budget voté par le Parlement, le 31 décembre 2009, l’ambassadeur a peine à croire que c’est bien le souci des finances publiques qui a motivé ce geste. « Le sens du refus du président Kabila de signer le projet de budget 2010 n’est pas clair », écrit Garvelink le 8 janvier 2010. Trois semaines plus tard, il rapporte que des « contacts » au ministère des Finances et du Budget lui ont assuré que Kabila « cherchait réellement à s’assurer d’un budget réaliste qui ne menacerait pas les progrès du gouvernement de RDC vers le point d’achèvement de l’Initiative des pays pauvres très endettés » [PPTE, processus qui permettra finalement à la RDC de se débarrasser d’une partie de sa dette, NDLR]. L’ambassade est « d’accord avec cette analyse », peut-on lire dans ce télégramme.
Pour Washington, le bilan des années Kabila n’est donc pas totalement négatif. « L’année 2009 s’est achevée avec de prudents signes d’optimisme. […] Les relations avec les voisins de l’Est se sont beaucoup améliorées, […] les attaques sur les journalistes ont baissé, une presse libre continue de prévaloir, et une opposition qui se fait entendre existe, même si celle-ci s’autodétruit ». En définitive, note la diplomate américain, le manque de leadership de Kabila « ne veut pas dire que le pays ne bouge pas par lui-même ».
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Re: Candidat No 3 – Kabila
"En définitive, note la diplomate américain, le manque de leadership de Kabila « ne veut pas dire que le pays ne bouge pas par lui-même »".
kie kie kie kie kie kie kie
En d'autres termes, s'il n'y avait pas de président, lui en l'occurrence, ce serait pareil...
kie kie kie kie kie kie kie
En d'autres termes, s'il n'y avait pas de président, lui en l'occurrence, ce serait pareil...
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Re: Candidat No 3 – Kabila
Débat, Discours de Kabila à l’ est : promesses sur promesses, pas mention des viols, ni des lacunes de l’ armée
http://congomikili.com/debat-discours-d ... armee.html
http://congomikili.com/debat-discours-d ... armee.html
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Re: Candidat No 3 – Kabila
Voici le vrai bilan de "Joseph Kabila" :
LIVINGSTONE says:
November 20, 2011 at 5:18 pm
FranceFrance Indicateur de développement humain (IDH) : La RDC classée 187/187
Bonne Gouvernance : La RDC classée 50/53
L’indice d’inégalité de genre : La RDC classée 142/146
Indice de perceptions de la corruption : RDC classée 168/172
Classement FIFA : La RDC classée 133/175
Droits humains : La RDC classée 4ème prédateur mondial
Violence sexuelle : 1er prédateur mondial, capitale mondiale de viols
LIVINGSTONE says:
November 20, 2011 at 5:18 pm
FranceFrance Indicateur de développement humain (IDH) : La RDC classée 187/187
Bonne Gouvernance : La RDC classée 50/53
L’indice d’inégalité de genre : La RDC classée 142/146
Indice de perceptions de la corruption : RDC classée 168/172
Classement FIFA : La RDC classée 133/175
Droits humains : La RDC classée 4ème prédateur mondial
Violence sexuelle : 1er prédateur mondial, capitale mondiale de viols
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Re: Candidat No 3 – Kabila
Débat, Discours de Kabila à l’ est : promesses sur promesses, pas mention des viols, ni des lacunes de l’ armée
http://congomikili.com/debat-discours-d ... armee.html
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tony yave
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Re: Candidat No 3 – Kabila
Ilunga tu n'arrive vraiment a nous donne le Billant de ton Candidat lors qu'il etait premier Ministre de Mobutu, pour moi tous qui ont diriger avec Mobutu tous on particeper au pillage du pays, aux assassinat et au retardement de notre pays dans tout les domaines
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Ilunga
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Re: Candidat No 3 – Kabila
http://www.congoindependant.com/article ... cleid=6952
Elections 2011 : Pas d’accréditation pour Jeune Afrique
Le numéro 2612 de "Jeune Afrique" au centre du "froid" entre l’hebdomadaire et le duo Kabila-Mende.
Dans un édito intitulé "Nous n’irons pas à Kinshasa" publié dans l’édition n° 2654 de Jeune Afrique, François Soudan, qui en est le directeur de la rédaction, dénonce le "chantage" dont fait l’objet ce journal - de la part des autorités congolaises - pour obtenir l’accréditation de son envoyé spécial chargé de couvrir les élections du 28 novembre prochain.
Selon François Soudan, en octobre dernier, le journaliste Philippe Perdrix a été désigné pour suivre la campagne électorale "jusqu’au jour J inclus". Seulement voilà. Pour obtenir le visa de voyage, le journaliste devrait d’abord obtenir une "lettre" tenant lieu d’invitation. Lettre qui émanerait du ministre de la Communication et presse. Pire, pour obtenir la fameuse missive, l’impétrant devrait introduire une requête au même ministre. Il semble que les autres médias se seraient conformés à cette "procédure" qui n’est pas "spécialement agréable" souligne Soudan qui tempête : "Pas nous".
Le directeur de "J.A" relève cependant que deux e-mails ont été adressés au directeur de cabinet du ministre Lambert Mende Omalanga. Une lettre a été adressée directement à celui-ci. Selon Soudan, toutes ces correspondances sont restées sans suite. Alors qu’aucune "interdiction formelle" n’a été notifiée au magazine. Quel est le problème?
Pour le directeur de cette publication, le pouvoir congolais tente ainsi de prendre sa revanche. "Si le pouvoir congolais ne veut pas de notre envoyé spécial, note-t-il, c’est pour nous punir d’avoir osé publier, en janvier dernier, une "Cover story" intitulée "Kabila : Mobutu light". Ce dossier, poursuit-il, a été assimilé "à l’époque par le même Lambert Mende à une tendative de déstabilisation du chef de l’Etat".
A en croire l’auteur de l’édito, la Présidence de la République et le ministère de la Communication auraient conseillé à "J.A" de dépêcher un membre de sa direction pour plaider sa cause à Kinshasa. Une démarche perçue à Paris comme un "voyage à Canossa". François Soudan de rappeler, en guise de conclusion, que "le dernier pouvoir a avoir interdit à nos journaistes l’entrée sur son territoire était celui de ...Kadhafi". Disons que cela ne lui a pas porté chance".
Notons que depuis l’arrivée de "Joseph Kabila" au pouvoir en janvier 2001, l’hebdomadaire "Jeune Afrique" lui a consacré plus d’une dizaine de ses couvertures. A titre gratuit? Il en est de même d u mensuel "Afrique Magazine", une des publications du Groupe Jeune Afrique.
Lors de l’élection présidentielle de 2006, "La Revue pour l’intelligence du monde" n°3 datée juillet/août publiait un portrait intitulé "Le vrai Kabila". L’auteur du dossier n’est autre que François Soudain, assisté, il est vrai, du journaliste congolais Wilson Omanga. Les deux se sont livrés à une véritale plaidoirie pour démontrer que l’actuel président congolais n’est pas un imposteur comme disent ses nombreux détracteurs.
En 2010, on assiste à un coup de théâtre. François Soudan se rend en persone à Bruxelles pour recueillir l’annonce de la candidature d’Etienne Tshisekedi. C’était au mois de septembre. Fin janvier 2011, l’idylle "JA-Kabila" se mue en désamour avec l’apparition de l’article "Kabila : Mobutu light". Que s’est-il exactement passé entre les "grands alliés" d’hier? Les kabilistes suspectent certains opérateurs miniers déçus par "Joseph Kabila" et son entourage d’instiguer "Jeune Afrique". Connaitra-t-on la vérité vraie?
Madeleine Wassembinya/B.AW
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Elections 2011 : Pas d’accréditation pour Jeune Afrique
Le numéro 2612 de "Jeune Afrique" au centre du "froid" entre l’hebdomadaire et le duo Kabila-Mende.
Dans un édito intitulé "Nous n’irons pas à Kinshasa" publié dans l’édition n° 2654 de Jeune Afrique, François Soudan, qui en est le directeur de la rédaction, dénonce le "chantage" dont fait l’objet ce journal - de la part des autorités congolaises - pour obtenir l’accréditation de son envoyé spécial chargé de couvrir les élections du 28 novembre prochain.
Selon François Soudan, en octobre dernier, le journaliste Philippe Perdrix a été désigné pour suivre la campagne électorale "jusqu’au jour J inclus". Seulement voilà. Pour obtenir le visa de voyage, le journaliste devrait d’abord obtenir une "lettre" tenant lieu d’invitation. Lettre qui émanerait du ministre de la Communication et presse. Pire, pour obtenir la fameuse missive, l’impétrant devrait introduire une requête au même ministre. Il semble que les autres médias se seraient conformés à cette "procédure" qui n’est pas "spécialement agréable" souligne Soudan qui tempête : "Pas nous".
Le directeur de "J.A" relève cependant que deux e-mails ont été adressés au directeur de cabinet du ministre Lambert Mende Omalanga. Une lettre a été adressée directement à celui-ci. Selon Soudan, toutes ces correspondances sont restées sans suite. Alors qu’aucune "interdiction formelle" n’a été notifiée au magazine. Quel est le problème?
Pour le directeur de cette publication, le pouvoir congolais tente ainsi de prendre sa revanche. "Si le pouvoir congolais ne veut pas de notre envoyé spécial, note-t-il, c’est pour nous punir d’avoir osé publier, en janvier dernier, une "Cover story" intitulée "Kabila : Mobutu light". Ce dossier, poursuit-il, a été assimilé "à l’époque par le même Lambert Mende à une tendative de déstabilisation du chef de l’Etat".
A en croire l’auteur de l’édito, la Présidence de la République et le ministère de la Communication auraient conseillé à "J.A" de dépêcher un membre de sa direction pour plaider sa cause à Kinshasa. Une démarche perçue à Paris comme un "voyage à Canossa". François Soudan de rappeler, en guise de conclusion, que "le dernier pouvoir a avoir interdit à nos journaistes l’entrée sur son territoire était celui de ...Kadhafi". Disons que cela ne lui a pas porté chance".
Notons que depuis l’arrivée de "Joseph Kabila" au pouvoir en janvier 2001, l’hebdomadaire "Jeune Afrique" lui a consacré plus d’une dizaine de ses couvertures. A titre gratuit? Il en est de même d u mensuel "Afrique Magazine", une des publications du Groupe Jeune Afrique.
Lors de l’élection présidentielle de 2006, "La Revue pour l’intelligence du monde" n°3 datée juillet/août publiait un portrait intitulé "Le vrai Kabila". L’auteur du dossier n’est autre que François Soudain, assisté, il est vrai, du journaliste congolais Wilson Omanga. Les deux se sont livrés à une véritale plaidoirie pour démontrer que l’actuel président congolais n’est pas un imposteur comme disent ses nombreux détracteurs.
En 2010, on assiste à un coup de théâtre. François Soudan se rend en persone à Bruxelles pour recueillir l’annonce de la candidature d’Etienne Tshisekedi. C’était au mois de septembre. Fin janvier 2011, l’idylle "JA-Kabila" se mue en désamour avec l’apparition de l’article "Kabila : Mobutu light". Que s’est-il exactement passé entre les "grands alliés" d’hier? Les kabilistes suspectent certains opérateurs miniers déçus par "Joseph Kabila" et son entourage d’instiguer "Jeune Afrique". Connaitra-t-on la vérité vraie?
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Re: Candidat No 3 – Kabila
Incapable de repondre a ma question, repond dis nous ce qu'il déjà fait du bien pour ce pays
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tony yave
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Re: Candidat No 3 – Kabila
http://www.digitalcongo.net/article/79816
Joseph Kabila annonce l’asphaltage de la route Tshikapa-Kikwit
Kinshasa, 22/11/2011 / Politique
Après avoir salué les habitants de Tshikapa, en tshiluba et en lingala, et présenté la première dame, il a rappelé ses promesses dont il a entamé la réalisation. Il s’agit notamment du pont sur la rivière Loange déjà ouvert à la circulation, des travaux de la voirie qui seront accélérés et de l’usine de traitement d’eau qui est en construction.
Le candidat n° 3, Joseph Kabila Kabange a annoncé lundi à Tshikapa (Kasaï Occidental), où il a été accueilli par une foule enthousiasme qui l’a accompagné à pieds avec son épouse Olive Lembe Kabila de l’aérodrome au lieu aménagé pour son message à la population, l’asphaltage de la route reliant cette ville à Kikwit. Après avoir salué les habitants de Tshikapa, en tshiluba et en lingala, et présente la première dame, il a rappelé ses promesses dont il a entamé la réalisation. Il s’agit notamment du pont sur la rivière Loange déjà ouvert à la circulation, des travaux de la voirie du chef-lieu de la future province du Kasaï qui seront accélérés et de l’usine de traitement d’eau qui est en construction, rapporte la presse officielle.
Pour le désenclavement de cette partie du pays, Joseph Kabila a également évoqué l’exécution des travaux d’asphaltage de la route Tshikapa-Kikwit en 2011, puis celle de Tshikapa-Kananga. Par ailleurs, la grande école technique construite par la Première Dame de la République sera inaugurée bientôt inaugurée, a-t-il signalé avant d’inviter la population à voter, le 28 novembre 2011 dans le calme et la paix, pour le n°3 afin de « lui donner 100% des voix ». Installé dans la tribune aux côtés de son épouse, il a été introduit par un fils du terroir, Maker Mwangu, ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel (Epsp).
Promesse de désenclaver le Kasaï Oriental
Dans la ville de Mbuji-Mayi, où il a séjourné le dimanche 20 novembre 2011, le candidat Joseph Kabila Kabange a promis de désenclaver la province du Kasaï Oriental à travers la modernisation de la Société nationale des chemins de fer du Congo (SNCC) et la construction des infrastructures routières. Il l’a dit au cours d’un meeting organisé sur le boulevard Laurent Désiré Kabila, dans la commune de Diulu, devant une foule nombreuse venue des cinq communes de la ville de Mbuji-Mayi et des localités environnantes.
Le chef de l’Etat a reconnu que le Kasaï Oriental est confronté à plusieurs problèmes parmi lesquels l’emploi, l’eau, l’électricité, l’éducation, la santé ainsi que les infrastructures. Quelques actions, a-t-il dit, ont déjà été menées en vue de relever ces défis, citant la mécanisation de l’agriculture en dotant toutes les provinces du pays des tracteurs et la relance en cours de la MIBA (Minière de Bakwanga).
Au sujet des projets initiés en faveur du Kasaï Oriental, Joseph Kabila a fait état du barrage hydroélectrique de Katende, dont les travaux ont déjà commencé, de la réhabilitation de plusieurs routes ainsi que de la poursuite de la construction et de la réhabilitation des institutions d’enseignement supérieurs et universitaires officielles de la province. Il a donné les trois raisons pour lesquelles il est candidat n°3 à savoir (1) la paix, la sécurité et la stabilité, (2) la poursuite des travaux des cinq chantiers et (3) trouver des solutions aux problèmes auxquels la population est confrontée.
Joseph Kabila a par ailleurs demandé à la population Est-Kasaïenne de l’accompagner dans la construction du pays et d’aller dans le calme voter massivement pour le candidat n°3 le 28 novembre prochain. « Je reviendrai à Mbuji-Mayi après les élections, quels que soient les résultats; parce que nous sommes du côté de la vérité, nous allons gagner ces élections », a-t-il dit en substance.
Il était accompagné de son épouse, Mme Marie Olive Kabila Lembe di Sita, du président de l’Assemblée nationale et secrétaire général du PPRD, Evariste Boshab, du vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur, de la sécurité et de l’aménagement du territoire, Adolphe Lumanu Mulenda Buana N’Sefu et du ministre de la Coopération internationale et régionale Raymond Tshibanda Ntunga Mulongu. Joseph Kabila s’est rendu ensuite dans le district de Kabinda après le meeting.
Joseph Kabila annonce l’asphaltage de la route Tshikapa-Kikwit
Kinshasa, 22/11/2011 / Politique
Après avoir salué les habitants de Tshikapa, en tshiluba et en lingala, et présenté la première dame, il a rappelé ses promesses dont il a entamé la réalisation. Il s’agit notamment du pont sur la rivière Loange déjà ouvert à la circulation, des travaux de la voirie qui seront accélérés et de l’usine de traitement d’eau qui est en construction.
Le candidat n° 3, Joseph Kabila Kabange a annoncé lundi à Tshikapa (Kasaï Occidental), où il a été accueilli par une foule enthousiasme qui l’a accompagné à pieds avec son épouse Olive Lembe Kabila de l’aérodrome au lieu aménagé pour son message à la population, l’asphaltage de la route reliant cette ville à Kikwit. Après avoir salué les habitants de Tshikapa, en tshiluba et en lingala, et présente la première dame, il a rappelé ses promesses dont il a entamé la réalisation. Il s’agit notamment du pont sur la rivière Loange déjà ouvert à la circulation, des travaux de la voirie du chef-lieu de la future province du Kasaï qui seront accélérés et de l’usine de traitement d’eau qui est en construction, rapporte la presse officielle.
Pour le désenclavement de cette partie du pays, Joseph Kabila a également évoqué l’exécution des travaux d’asphaltage de la route Tshikapa-Kikwit en 2011, puis celle de Tshikapa-Kananga. Par ailleurs, la grande école technique construite par la Première Dame de la République sera inaugurée bientôt inaugurée, a-t-il signalé avant d’inviter la population à voter, le 28 novembre 2011 dans le calme et la paix, pour le n°3 afin de « lui donner 100% des voix ». Installé dans la tribune aux côtés de son épouse, il a été introduit par un fils du terroir, Maker Mwangu, ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel (Epsp).
Promesse de désenclaver le Kasaï Oriental
Dans la ville de Mbuji-Mayi, où il a séjourné le dimanche 20 novembre 2011, le candidat Joseph Kabila Kabange a promis de désenclaver la province du Kasaï Oriental à travers la modernisation de la Société nationale des chemins de fer du Congo (SNCC) et la construction des infrastructures routières. Il l’a dit au cours d’un meeting organisé sur le boulevard Laurent Désiré Kabila, dans la commune de Diulu, devant une foule nombreuse venue des cinq communes de la ville de Mbuji-Mayi et des localités environnantes.
Le chef de l’Etat a reconnu que le Kasaï Oriental est confronté à plusieurs problèmes parmi lesquels l’emploi, l’eau, l’électricité, l’éducation, la santé ainsi que les infrastructures. Quelques actions, a-t-il dit, ont déjà été menées en vue de relever ces défis, citant la mécanisation de l’agriculture en dotant toutes les provinces du pays des tracteurs et la relance en cours de la MIBA (Minière de Bakwanga).
Au sujet des projets initiés en faveur du Kasaï Oriental, Joseph Kabila a fait état du barrage hydroélectrique de Katende, dont les travaux ont déjà commencé, de la réhabilitation de plusieurs routes ainsi que de la poursuite de la construction et de la réhabilitation des institutions d’enseignement supérieurs et universitaires officielles de la province. Il a donné les trois raisons pour lesquelles il est candidat n°3 à savoir (1) la paix, la sécurité et la stabilité, (2) la poursuite des travaux des cinq chantiers et (3) trouver des solutions aux problèmes auxquels la population est confrontée.
Joseph Kabila a par ailleurs demandé à la population Est-Kasaïenne de l’accompagner dans la construction du pays et d’aller dans le calme voter massivement pour le candidat n°3 le 28 novembre prochain. « Je reviendrai à Mbuji-Mayi après les élections, quels que soient les résultats; parce que nous sommes du côté de la vérité, nous allons gagner ces élections », a-t-il dit en substance.
Il était accompagné de son épouse, Mme Marie Olive Kabila Lembe di Sita, du président de l’Assemblée nationale et secrétaire général du PPRD, Evariste Boshab, du vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur, de la sécurité et de l’aménagement du territoire, Adolphe Lumanu Mulenda Buana N’Sefu et du ministre de la Coopération internationale et régionale Raymond Tshibanda Ntunga Mulongu. Joseph Kabila s’est rendu ensuite dans le district de Kabinda après le meeting.
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