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Re: Novembre 2012 - Crise politique actuelle en RDC

Posté : 24 nov. 2012, 15:00
par sedigo
Erka a écrit :Tutu Ilunga, Sedigo a raison.
Nous sommes plus émotifs que rationnels. C'est l'essence même du discours de l'Abbé Mbelu.
Le consensus est possible pour déterminer une alternative crédible à l'équipe actuelle qui dirige le Congo. Une autre illustration, si Etienne Tshisekedi meurt aujourd'hui qu'arrivera t-il?
Il est impératif d'avoir une large coalition avec à sa tête le Vieux comme gage de droiture, mais l'exécutif devra être remis à quelqu'un de jeune ayant une vision solide et claire sur ce que devra être la RDC dans les 10-15 ans.

Toi au moins Erka tu as compris mon message mais Ilunga comme toujours a sorti sa face de tribaliste...Oh Mon Dieu!!! comment tu fais pour etre tribaliste a ce point ilunga??? toi qui parle pourtant souvent d'unitE national... Vivement un congo sans quelqu'un comme toi a la tete du pays. Mais pourquoi ne supporte tu pas un morcelement du congo pour faire de ta province un pays? tu as tellement une haine envers nous les katangais que je me demande pourquoi tu aime souvent parler d'un congo fort. Bon je retourne a mon silence politique sur ce forum sinon nous allons encore voir ilunga m'insulter parce que je suis du katanga et lui du kasai. Triste Etre humain!!!

Re: Novembre 2012 - Crise politique actuelle en RDC

Posté : 24 nov. 2012, 15:06
par Ilunga
Les traîtres du PPRD appellent à l'unité nationale pour vaincre le mal qu'ils ont créés au détriment du peuple

http://banamikili.skyrock.com/312714068 ... e-mal.html

Re: Novembre 2012 - Crise politique actuelle en RDC

Posté : 24 nov. 2012, 15:42
par wantanshi
Ilunga a écrit :ERKA a écrit

"Tutu Ilunga, Sedigo a raison. "





Prends-le comme tu veux, mais pour moi il le dit dans le but de couvrir son "faux-frère" soi-disant du Katanga, Kanambe...
:haha: :haha: :haha:

Re: Novembre 2012 - Crise politique actuelle en RDC

Posté : 24 nov. 2012, 17:55
par Ilunga
Sedigo,


Demandes-toi ou cet imposteur trouve sa base de soutien? Les criminels de Kyungu, Numbi, Mulekelayi et les anciens de la Juferi reconvertis ajd dans l'appareil sécuritaro-militaire de Kanambe, prêts à défendre inconsidérément leur "faux-frère" Kanambe, en passant sur les corps des Chebeya, Tungulu, les combattants de l'UDPS, les "code 32" de l'Equateur et j'en passe et des meilleurs...

Alors, je n'ai pas de leçons à recevoir d'un tribaliste de ton espèce...

Re: Novembre 2012 - Crise politique actuelle en RDC

Posté : 24 nov. 2012, 18:07
par Ilunga
Les chefs d'Etat réunis à Kampala demandent au M23 de cesser de clamer qu'il veut renverser un "gouvernement élu"...

kie kie kie kie kie kie

Très comique comme communiqué, très comique...Donc Kanambe est allé chercher sa légitimité à Kampala, auprès des agresseurs Museveni et Kagame?
Décidément, ce rwandais est un farceur...









http://www.jeuneafrique.com/actu/201211 ... lites.html

RDC: le sommet de Kampala demande au M23 l'arrêt des hostilités

24/11/2012 à 14h:11 | AFP
RDC: le sommet de Kampala demande au M23 l'arrêt des hostilités © AFP
Les chefs d'Etat africains réunis samedi en sommet à Kampala pour tenter de trouver un réglement au conflit dans l'est de la RDC? ont demandé aux rebelles l'arrêt des hostilités et de se retirer de Goma (est).
Dans leur déclaration finale, les participants au sommet de Kampala ont ajouté que les rebelles du M23 doivent également cesser "de déclarer qu'il faut renverser un gouvernement élu" en RDC.

Re: Novembre 2012 - Crise politique actuelle en RDC

Posté : 24 nov. 2012, 18:16
par Ilunga
http://www.jeuneafrique.com/Article/DEP ... lites.html


"Le président de la RDC, Joseph Kabila, participe notamment à ce sommet présidé par le chef de l'Etat ougandais Yoweri Museveni. Leur homologue rwandais, Paul Kagame, n'a pas fait le déplacement dans la capitale ougandaise mais est représenté par sa ministre des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo."







Voilà, le tour est joué pour Kagame, ça ne le concerne plus, voilà pourquoi il n'est pas venu à Kampala : c'est un problème congolo-congolais...Lui a aidé "gratuitement" ses frères congolais à trouver une solution au problème...Mnt, plus de menaces de sanctions contre le Rwanda et le tour est joué !

C'est ce que je disais depuis le début, c'était ça ce que visait Kagamé, ce fut pour lui une opération de réhabilitation...

Kanambe est un traitre doublé d'un crétin de la pire espèce...

Re: Novembre 2012 - Crise politique actuelle en RDC

Posté : 24 nov. 2012, 18:28
par Ilunga
http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7668


Monsieur le Président où est votre sens de l’honneur?



"Joseph Kabila" en plein désarroi

Un chef qui a perdu tout sens de l’honneur et de dignité pourvu qu’il conserve son poste. Un tel dirigeant ne donne-t-il pas raison à ceux qui depuis des années, doutent de sa nationalité, de sa loyauté et de son patriotisme?

Comment se fait-il que le premier geste qu’il pose après cette humiliante débâcle de son armée, avec la perte de la ville de Goma, est de se rendre, illico presto, chez les personnes qu’il accuse d’être les agresseurs de son pays et de son peuple ? Comment les observateurs pourraient-ils interpréter ce geste sinon comme une convocation pour aller ’recevoir des ordres’ de la part de vos véritables patrons qui sont Kagamé et Museveni concernant l’attitude à adopter ainsi que de la suite de cette tragédie.

Naturellement, un leader digne de ce nom se serait rendu à la rencontre de ses troupes ainsi que de son peuple. Prenons comme hypothèse, les occidentaux qui vous poussent aux négociations-distractions avec les agresseurs du Congo. Accepteraient-ils de négocier avec les violeurs de leurs femmes, les assassins de leurs citoyens et les envahisseurs de leurs pays?

D’ailleurs, les américains et leurs alliés ont déjà attaqué des nations et des peuples sur simples présomptions de disposer d’armes de destruction massive alors que ces attaques n’avaient pas raison d’avoir lieu? Aujourd’hui dans le cas qui concerne notre pays, pourquoi les Congolais devraient-ils dialoguer alors que leurs femmes sont, réellement, violées et égorgées, leurs enfants mutilés et leur territoire occupé? Bref, alors qu’il y a une véritable guerre engagée pour leur extermination.

Peut-on imaginer un seul instant, que Barack Obama, Elio di Rupo ou David Cameron rester au pouvoir même pour une durée d’une ou deux minutes si des femmes, des enfants et des pauvres américains, belges et/ou britanniques étaient traités comme le sont les Congolais ou si leurs citoyens étaient massacrés? Et encore moins si une partie de leur territoire était occupée?

Monsieur le Président qui dans ce cas pourra vous comprendre ? Jusqu’à quand allez-vous dialoguer et pour atteindre quel but? Ne constatez vous pas que l’on vous mène en bateau ou alors c’est vous qui voulez mener le peuple en «pirogue». À moins d’être complice des bourreaux des congolais ou coauteur des crimes commis lors de ces sanglantes randonnées dans le Kivu. Dites-nous quel sens donnez-vous au serment constitutionnel en tant que garant de la défense de l’intégrité territoriale ainsi que de la protection du peuple?

Si ce problème était congolo-congolais, pourquoi iriez-vous discuter avec les Ougandais et les Rwandais? Devrait-on conclure que vous confirmez maintenant ce que vous aviez déjà dit en juillet dernier à savoir que "c’est un secret de polichinelle de dire que le Congo est agressé par le Rwanda»?

Monsieur le Président, votre voyage en Ouganda équivaut, à notre sens, au crachat sur le peuple congolais, au pipi sur les militaires tombés sur le champ des batailles et sur ceux qui se sacrifient encore pour le Congo. Ce geste ne peut être autrement qualifié que comme une haute trahison.

Dans un pays digne de ce nom, une défaite de telle ampleur aurait entraîné, immédiatement, des démissions et des limogeages en série, au sein des institutions. Elle aurait entraîné une crise politique majeure, pourquoi pas le nettoyage total au sommet de l’état?

Jérôme K.
© Congoindépendant 2003-2012

Re: Novembre 2012 - Crise politique actuelle en RDC

Posté : 24 nov. 2012, 18:32
par Ilunga
"Monsieur le Président, votre voyage en Ouganda équivaut, à notre sens, au crachat sur le peuple congolais, au pipi sur les militaires tombés sur le champ des batailles et sur ceux qui se sacrifient encore pour le Congo. Ce geste ne peut être autrement qualifié que comme une haute trahison."

Re: Novembre 2012 - Crise politique actuelle en RDC

Posté : 24 nov. 2012, 18:41
par Ilunga
http://www.francetvinfo.fr/guerre-en-rd ... 75245.html


Guerre en RD Congo : quels scénarios ?
Publié le 24/11/2012 | 09:24 , mis à jour le 24/11/2012 | 09:24

Un rebelle du M23 dans le stade de Goma, en RD Congo, le 21 novembre 2012.
(PHIL MOORE / AFP)


Dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) se joue une guerre de brousse. Loin des regards, les succès et les revers sont difficiles à vérifier. Mais une chose est sûre, des dizaines de milliers de personnes fuient à nouveau des violences. Au centre des troubles, un groupe baptisé le M23. Un temps intégrés à l'armée régulière, ces rebelles sont à nouveau entrés en dissidence avec le soutien du Rwanda voisin. Ils réclament, officiellement, l'application d'un accord qui prévoit leur intégration dans les forces congolaises avec promotions et bons salaires. Vont-ils obtenir gain de cause ? L'armée congolaise peut-elle les écraser ? A moins que les rebelles ne parviennent à renverser le président congolais ? Francetv info explore plusieurs scénarios.

Les troupes congolaises reprennent Goma par la force

Prise, reprise, re-reprise. Après avoir mis la main sur la principale ville de l'est de la République démocratique du Congo, Goma, le M23 et ses 2 000 à 3 000 hommes ont continué leur route vers la localité de Saké, plus à l'ouest. Mais, surprise, jeudi 22 novembre, l'armée congolaise, les FARDC, a annoncé avoir repris la ville lors d'une contre-offensive. Las, vendredi, il semble que le M23 se soit à nouveau défait de l'armée régulière. Le M23 aurait repris sa marche vers le sud, en direction de l'autre ville stratégique de la région, Bukavu. L'armée congolaise qui dispose de plusieurs bataillons dans la région est-elle en mesure de mener une contre-offensive ?

Probabilité ? Très faible. "Il est difficile de penser que l'armée puisse se défaire du M23 militairement", explique Saïd Abass Ahamed qui enseigne la négociation et la géopolitique à l'école Rouen Business School. L'armée congolaise est "délabrée", explique-t-il. Humiliée, mal ravitaillée, pas payée, démoralisée, elle a toujours peiné à tenir un front. De plus, elle ne dispose pas d'un équipement comparable à son adversaire, qui a du matériel sophistiqué, par exemple de vision nocturne.




Le M23 parvient à renverser le régime

Dans l'euphorie de la prise de Goma, le porte-parole du M23 a tonné, mercredi 21 novembre, dans le stade de la ville : "Nous n'allons pas nous arrêter à Goma, nous irons jusqu'à Bukavu, Kisangani et Kinshasa", la capitale de la RD Congo.

La menace trouve un écho particulier en RDC. Le dictateur Mobutu Sese Seko a été chassé du pouvoir en 1997 par une rébellion venue de l'est du pays. Elle avait traversé le Zaïre jusqu'à Kinshasa, à 2 000 kilomètres de distance. A sa tête, Laurent-Désiré Kabila, assassiné en 2001, père de l'actuel président de la RDC, Joseph Kabila. La rébellion bénéficiait alors du soutien du Rwanda de Paul Kagame et de l'Ouganda de Yoweri Museveni. Les deux chefs d'Etat, toujours aux manettes, sont aujourd'hui accusés par l'ONU de soutenir le M23.

Probabilité ? Assez faible. D'abord, "ce n'est pas avec 3 000 hommes qu'ils vont occuper un pays de la taille de l'Europe", juge Saïd Abass Ahamed. Il précise : "Sauf si le Rwanda s'y met." En clair, si ses troupes franchissent la frontière.

Mais la situation n'est plus la même. "Il y a des échanges directs" entre les chefs d'Etat de la RDC, du Rwanda et de l'Ouganda, note le chercheur. Après la prise de Goma, le président congolais, Joseph Kabila, s'est précipité en Ouganda pour rencontrer son homologue. Il y a aussi vu le président rwandais. Joseph Kabila a des arguments face aux deux autres chefs d'Etat. Il bénéficie du soutien de l'Angola, qui dispose d'une aviation. Si le Rwanda pénétrait en RDC, le conflit se "régionaliserait", impliquant de nombreux pays. Un gros risque à prendre. Déjà, à l'issue de leur mini-sommet, les trois chefs d'Etat ont appelé le M23 à "cesser immédiatement son offensive et à se retirer de Goma".

Reste l'hypothèse d'une déstabilisation venue de l'intérieur. A Bukavu, des manifestants ont violemment reproché à Joseph Kabila de les avoir "abandonnés". Si Kinshasa et ses 8,4 millions d'habitants se soulevaient, le régime tomberait. Mais cela ne semble pas encore à l'ordre du jour. Toutefois, la journaliste Colette Braeckman souligne que, si les rebelles poussent jusqu'à Bukavu, "on pourrait assister à une tentative de changement de régime à Kinshasa, le chef de l'Etat ayant déjà échappé à plusieurs tentatives d’assassinat".

Le M23 s'installe à Goma

Troisième scénario : un "pourrissement" de la situation, comme l'envisage le journaliste Christophe Rigaud. En clair, le M23 s'enfermerait dans Goma "qu'il administre pour continuer d'avoir la main sur cette région riche en ressources minières. Le Nord-Kivu (est de la RD Congo) deviendrait alors une simple annexe du Rwanda voisin".

Probabilité ? Moyenne. Cela ferait bien l'affaire du Rwanda dont la croissance économique est soutenue par l'exportation de minerais congolais (coltan, cassitérite, terres niobium, or) qui transitent par ses aéroports, sans compter qu'un important gisement de pétrole à cheval sur trois pays (Ouganda, Rwanda, Congo) vient d'être découvert.

Mais la France fait pression sur l'ONU pour que le mandat de la force internationale, la Monusco (Mission de l'Organisation des Nations unies pour la stabilisation en RD Congo - 17 000 soldats), soit modifié. Elle souhaite que les casques bleus, accusés de n'avoir pas défendu Goma, puissent être plus offensifs. Jusque-là, le Rwanda bénéficiait de soutiens américains et britanniques. Mais ils se fissurent. Le Royaume-Uni a appelé le Rwanda à faire pression sur les rebelles pour qu'ils se retirent. Washington a condamné "tout soutien étranger au M23". Reste que pour les rebelles, un retrait pur et simple serait dur à avaler.


Des centaines de Congolais fuient la ville de Sake, dans l'est de la RD Congo, le 22 novembre 2012.
(PHIL MOORE / AFP)
Le M23 négocie un accord avec Kinshasa

C'est la dernière option. Avant la prise de Goma, le chercheur du think tank International Crisis Group Thierry Vircoulon jugeait que les rebelles "souhaitent forcer le gouvernement congolais à des négociations, des négociations directes avec le président Kabila".

Probabilité ? Forte. "Les rebelles ne pourront pas indéfiniment occuper cette ville", pointe Saïd Abass Ahamed. Or, le chef du M23 s'est dit "disponible" pour discuter avec le président congolais. "C'est une histoire cyclique", relève le chercheur. Finalement, un nouvel accord devrait être négocié avec les autorités congolaises. Comme le précédent, il visera à intégrer les rebelles à l'armée congolaise, avec certains avantages.

Mais, en sous-main, il s'agira surtout pour le M23 de s'assurer qu'au sein de l'armée, ses membres ne seront pas éparpillés dans le pays pour affaiblir le mouvement. Il gardera ainsi la main sur l'exploitation des minerais dans la région. Les rebelles s'assureront aussi que leurs chefs ne puissent pas être livrés à la Cour pénale internationale. Après la signature du premier accord, la RD Congo avait fermé les yeux dans un premier temps. Et lorsque les autorités congolaises avaient changé d'avis et menacé de les livrer, l'est du Congo avait soudain vu renaître comme par enchantement la rébellion.

Gaël Cogné

Re: Novembre 2012 - Crise politique actuelle en RDC

Posté : 24 nov. 2012, 18:46
par Ilunga
http://radiookapi.net/actualite/2012/11 ... defection/



Bukavu: le colonel Kahasha fait à nouveau défection
publié il y a 7 minutes, | Denière mise à jour le 24 novembre, 2012 à 7:42 | sous Actualité, Actualité, Sécurité, Sud Kivu. Mots clés: colonel Kahasha, Défection, FARDC




Le colonel Albert Kahasha dit « Foka Mike » vient à nouveau de faire défection au Sud-Kivu. Il y a une dizaine de jours, il s’était rendu aux responsables des Forces armées de la RDC en présence du gouverneur Marcellin Cishambo et une délégation de députés nationaux élus du Sud-Kivu.
Un responsable militaire a confié qu’il s’agit là d’une double trahison de la part de cet officier qu’il traite d’hypocrite.
Quand il s’était rendu aux FARDC en compagnie de plusieurs chefs miliciens des Raïa Mutomboki et des Nyaturale le 13 novembre dernier, le colonel dissident avait promis que ses hommes restés dans la brousse allaient bientôt rejoindre l’armée.
Les responsables de la 10e région militaire avaient annoncé que ces hommes vont être regroupés dans un site qui sera « prochainement aménagé ».
Marcellin Cishambo s’était réjoui de cette nouvelle, affirmant que cette reddition présage un retour à la paix dans la province. « C’est plus qu’un sentiment de joie qui m’anime », avait-il confié.
Le Colonel Albert Kahasha était le commandant du 808e régiment des FARDC déployé à Oïcha au Nord-Kivu avant de déserter les rangs de l’armée régulière au mois de janvier dernier avec plusieurs de ses hommes. Il avait emporté des armes et des munitions.