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Re: Candidat No 3 – Kabila

Posté : 09 janv. 2012, 16:32
par Ilunga
Sylvain 09/01/2012 13:07:05

L’imposture continue
Jaynet Kabila élue députée à Kalemie?
Mais quid de se son nom jumelle?Son frère Kabange et elle..Jaynet La preuve est là.Imposture

Re: Candidat No 3 – Kabila

Posté : 14 janv. 2012, 14:47
par Erick Ross

Re: Candidat No 3 – Kabila

Posté : 15 janv. 2012, 00:58
par Ilunga
http://afrique.kongotimes.info/rdc/poli ... hyppo.html


RDC : C’est trop tard pour « commandant Hyppo » !

14/01/2012 10:26:00KongoTimes!


Trop tard ! C’est le cas de le dire. Trop tard d’arrêter la marche révolutionnaire du peuple congolais. Trop tard, car la conscience de ce peuple – longtemps brimé – s’est réveillée. La prise de conscience est générale ; du simple enfant de la rue au professeur d’université, tout le monde ne parle que de ça. Tout le monde – même dans l’entourage du président sortant – n’attend que le jour « J » ; le jour de sa fuite. Et, on ne doit plus se leurrer, ce jour est tout proche. C’est trop tard d’arrêter cet éveil populaire ; chars, gaz moutard et autres fusils d’assaut peuvent anéantir et détruire le corps, mais plus cette conscience populaire. C’est juste une question des jours ; le congolais va devoir bientôt fêter sa « bonne année » !

Dans un article précédent, j’avais fait état des « stratégies de destruction massive » mises en œuvre par le pouvoir sortant, en vue de déstabiliser, sinon de neutraliser, la diaspora congolaise. Nous assistons tous, ces derniers temps, à l’infiltration de certains éléments loyaux au « pouvoir vomi », qui viennent semer le doute et la confusion dans la communauté congolaise de l’étranger. Ne soyez ni surpris ni découragés. Ce sont là des signes avant-coureurs d’une fin : les temps sont venus où tous ces « collabos » devront tous se démasquer et révéler leur vraie face au peuple ; afin que le moment venu, ils soient tous jugés pour leur complicité dans le soutien et la consolidation de ce régime moribond.

Il n’est un secret pour personne – et malgré les timides soutiens de certaines puissances occidentales avides des richesses de la R.D.C – que les jours de l’ancien président, celui-là même qui a perdu les récentes élections en R.D. Congo, sont comptés. L’homme vit ses dernières heures de règne sans partage. Il le sait, et cela l’angoisse très fort. Personne, même ceux – parmi les citoyens congolais, soucieux de se faire encore un peu d’argent sale avant le grand exil – qui semblent encore le « soutenir », personne ne sait dire où ce Monsieur passe ses nuits. Il n’a même plus confiance en ses « quinze francs collaborateurs ». Il se sent traqué et susceptible d’être arrêté à tout moment. C’est vrai, la peur a changé de camps.

Il est pourtant essentiel de rappeler à toutes les forces vives de la R.D.C que nous ne devons pas baisser les bras et attendre l’arrivée imminente de cette chute. LA MOBILISATION DOIT SE POURSUIVRE ET MÊME S’INTENSIFIER. Pour cela, nous tenons à saluer toutes les initiatives – de partout – qui tentent à s’organiser en « mégas actions » et « mégas marches », regroupant plusieurs villes d’un même pays, pour faire entendre nos revendications à l’étranger. La lutte doit continuer sans faiblir. La victoire est certaine ; n’en déplaise aux défenseurs de l’imposteur, qui tentent désespérément de le maintenir au pouvoir, alors que le peuple l’a vomi. Ses soutiens tant extérieurs qu’intérieurs doivent se rendre à l’évidence que nul ne peut s’imposer ni diriger le peuple congolais de la R.D.C par le force ni par la terreur. Ce temps là est révolu !

Chers compatriotes, nous avons jusque là gagné notre pari ; celui d’alerter l’opinion tant nationale qu’internationale du « hold up » électoral organisé par le pouvoir sortant. Actuellement, nos revendications ne doivent plus être celles de savoir « qui a gagné les élections ?» ni « qui a triché ces élections ? » encore moins « qu’en pense la communauté internationale ? ». Toutes ces questions ont déjà trouvé réponses ; tout le monde – y compris les observateurs étrangers et l’imposteur lui-même – connait la réponse. Désormais, nos revendications et slogans doivent porter sur le jour du départ de l’imposteur-usurpateur.

Nous devons amplifier notre pression pour le contraindre à quitter le pouvoir, avant de vider toutes les caisses de l’état.

Nous avons tous suivi, non sans intérêt, l’autopsie de notre société réalisée par la CONECO – même si le porte-parole du gouvernement chargé d’expédier les affaires courantes en a fait sa propre interprétation partisane et courtisane – et nous devons en tirer les conséquences qui s’imposent ; multiplier et amplifier les manifestations pacifiques : marches, grèves, villes mortes et désobéissances civiques, si nécessaire, doivent figurer en bonne position dans les nouvelles stratégies à mettre en œuvre, selon qu’on est au pays ou à l’étranger. Chaque groupe devra choisir l’action la plus efficace de se faire entendre tout en évitant le plus possible les pertes en vies humaines.

Nous invitons également la population congolaise qui est au pays, de tout mettre en œuvre pour faire échec à cette fameuse mesure de « TVA », qui consiste à divertir le peuple congolais en le détournant de ses objectifs du moment. Quelle est cette logique gouvernementale qui consiste à demander au peuple congolais, impayé, de financer et de renflouer les caisses de l’état (plutôt les poches des affameurs du peuple) ?

Peuple congolais, nous ne devons pas perdre de vue que ce « gouvernement » n’est plus légitime et qu’il expédie juste les affaires courantes. Et comme tel, il n’est ni habileté à signer des contrats internationaux ni à faire voter les lois, encore moins à nommer les ambassadeurs.

Pour cela, nous vous invitons à la vigilance. Restons unis et déterminés pour la victoire imminente ! Ne nous laissons plus distraire par de faux débats dans lesquels ce « gouvernement fantoche » veut nous entrainer. Ne nous laissons pas, non plus, distraire par des déclarations complaisantes d’un tel ou tel autre personnage politique occidental. Nous luttons pour NOTRE PATRIE en danger ; et eux luttent pour leurs survies ainsi que pour la survie de leurs profits sur notre sol ! Restons vigilants et ne perdons pas de vue notre OBJECTIF principal, qui est de CHASSER l’imposteur-usurpateur du pouvoir dans notre pays. Le président élu doit pouvoir vite prendre ses fonctions et commencer à redresser la situation économico-sociale de notre pays.

Trop tard donc ! La révolution est en marche et plus rien ne détournera le peuple congolais de sa lutte de libération et d’aspiration à plus de justice sociale.

Symphorien NGUDIE Dit « TUTASHINDA »

Re: Candidat No 3 – Kabila

Posté : 16 janv. 2012, 13:15
par Ilunga
Au souvenir de notre "imposteur-usurpateur"...Rafraichissons-nous la mémoire...






EMILE KALEMA, M17-EUROPE: JOSEPH KABILA 16/01/2012 05:41:53

EMILE KALEMA, M17-EUROPE: JOSEPH KABILA A AUSSI FRAUDÉ PAR PEUR DE LA VÉRITÉ SUR LA MORT DE LAURENT D. KABILA .....
Emile Kalema, M17-Europe: Joseph Kabila a aussi fraudé par peur de la vérité sur la mort de Laurent D. Kabila, des enquêtes sur le plan de renverser le Congo-Brazza infiltré par ses extrémistes tutsi et de la justice sur des assassinats dont celui du général Mabila qui arrêta plusieurs fois Joseph Kabila, libéré par Robert Mugabe .

EUROPE.LE REPRÉSENTANT DE M17 DANS LES PAYS DE L’UNION EUROPÉENNE,EMILE KALEMA CHARGE DE NOUVEAU.
(Ière partie de cet entretien qui a eu lieu à Paris). L’ancien rebelle Joseph Kabila Hyppolite Kanambe, obsédé par la peur d’un jugement devant le peuple et les médias et alors, en accord avec des extrémistes militaires tutsi de Paul Kagame, qui contrôle la République Démocratique du Congo occupée, il a fraudé et triché à propos de ces élections du 28 novembre 2011 que son gouvernement sortant ne voulait pas organiser au départ.





Que dit Mr le représentant du M17, Mr. Emile Kalema ?
Pourquoi la justice militaire a fait arrêter plusieurs fois Joseph Kabila qui a failli même être abattu par arme par Laurent Désiré Kabila, un jour de décembre 2000, vers 3H du matin? Pourquoi cette manipulation de la prophétie de Simon Kimbangu pour la propagande de l’ancien rebelle Joseph Kabila ?Pourquoi ni Joseph ni ses gens ne méritent pas d’être appelés des Kabilistes?Pourquoi l’infiltration des extrémistes tutsi rwandais de Joseph Kabila a réussi au Congo-Brazzaville grâce à la famille biologique du président Denis Sassou N’guesso? Comment sont morts des hauts officiers congolais dont Mabila à la suite à l’occupation de la République Démocratique du Congo par les renseignements militaires rwandais?

"Emile Kalema, ntoma ya lisanga M17 na poto,apesi ndimbola na ye na ntina ya ekolo Congo mpe na ntina ya kimoyibi ekota na boponi ya 28/11/2011".

"Tina nini bakangaki mbala ebele Joseph Kabila, ntango Laurent Désiré Kabila azalaki mokonzi."( en langue Lingala: "Pourquoi Joseph Kabila a-t-il été arrêté plusieurs fois par la justice sous l’ère Laurent Désiré Kabila?).

Monsieur Emile Kalema, représentant du M17(NB: parti politique crée après la victoire en RDC contre les envahisseurs militaires et politiques tutsi rwandais de Paul Kagame): "Je dois éclaircir que trois jours avant Noêl de l’année 2000, avant d’entrer en 2001, c’est-à-dire 19 jours avant l’assassinat de Mzee Laurent Désiré Kabila, des informations sur un mouvement appélé FRONT NATIONAL CONTRE DE L’OCCUPATION TUTSI, basé en Tanzanie. Le sommet de l’Etat congolais voulait savoir qui était le chef de ce mouvement ? Et comment ce mouvement au lieu de lutter contre les extrémistes tutsi rwandais de Kagame à Kinshasa , va s’installer en Tanzanie pour se livrer à certaines activités contre les intérêts supérieurs de la République Démocratique du Congo (RDC).

"Mzee" Laurent Désiré Kabila, en sa qualité de président de la République et chef des armées avait instruit le général congolais Luetsha( NDLR: il est mort) de mener des investigations . Le général Luetsha avait envoyé une mission en Tanzanie. Cet agent est encore en vie. Et au moment opportun, il se découvrira pour témoigner lui-même. Il est parti en tanzanie, Dar-El Salam et dans la ville de Kigoma. en infiltration. Il a découvert ce mouvement et a réussi à y adhérer en tant que membre pour mener sa mission. Lors de séances de travail et des autres activités, les responsables lui ont dit que le président de ce mouvement est Joseph Kabila qui est à Kinshasa.

Cet agent rentré à Kinshasa vers la fin de l’année 2000. C’était une nuit.Et cette même nuit, il est parti remettre son rapport au général Luetsha. C’étai 3 jours avant la fin de l’année 2000. Le rapport était " somo"( qui fait peur et donne des frissons terribles). Sur le champ, le général a téléphone au président laurent Désiré Kabila. Il est parti le voir immédiatement au palais de Marbre, la résidence présidentielle. Et Mzee kabila a ordonné une réunion dans la même nuit à la résidence du général Luetsha, située près de la Clinique Ngaliema. Cette réunion a commencé à 5 heures du matin. A cette rencontre pour la connaissance de ce rapport, il y avait le président de la Républque Laurent Désiré Kabila, le général Luetsha, le doyen Mukalayi, le général François Olenga, Mr Masengezi et Mr.Obenga.

Joseph Kabila a été appelé à y assister. Et "Mzee" Laurent Désiré Kabila lui pose la question de savoir. Quelle heure fait-il?Joseph répond: "5H du matin". Et Mzee Laurent Désiré Kabila demande à l’agent de présenter le rapport à l’assemblée qui était là. Il a lu le compte rendu de son rapport qui révélait que Joseph Kabila était bel et bien le chef de ce mouvement;Laurent désiré Kabila dit à Joseph." il est 5 H du matin .est ce que cet agent a bu ou est entrain de mentir.Joseph répondu que tout ce qu’il dit est vrai et qu’il na pas bu.Le président lui pose la question où se trouve à Kinshasa le bureau de son mouvement. Josph avoue que ce bureau est à l’hôtel intercontinental (Grand Hôtel). On fait venir en toute urgence le responsable de l’hôtel, monsieur Mundabi.

Et Laurent Désiré Kabila se retourne et dit au général Luetsha: "tu as vu ce serpent que l’on a elevé à Hewa Bora. Tu vois la gravité du problème qu’il nous a cherché ?" Et brusquement Mzee Laurent désiré kabila sort une armé et veut achever Joseph. Et le colonel Mulanga qui était là, a réussi à toucher le bras du président de la République laurent Désiré kabila. Et les balles sot parti en l’air et ont atteint le plafond. Des ordres ont été alors donné au général mabila. il est venu et a pour procéder à l’arrestation de Joseph Kabila. Il a été arrêté et remis aux mains de Myrha NDjoku (qui deviendra plus tard ambassadeur à Paris où il mourra) qui l’amena au CNS ( Conseil national de Sécurité). Là , il a été mis dans un cachot. Le président Robert Mugabe a alors téléphoné au président congolais laurent Désiré Kabila. Le président zimbabwéen l’a imploré pour que l’on lâche Joseph Kabila.Personnellement, je ne comprenais pas pourquoi le chef d’Etat du Zimbabwe Mugabe intervenait à chaque arrestation de Joseph Kabila. Au fur et à mesure des événements, on peut essayer de comprendre les mobiles.

Et quelques jours après sa libération, Joseph Kabila dans sa jeep en provenance du quartier de l’ISP (Institut Supérieur Pédagogique de la ville de Kinshasa) et est venu de lui-même sans RDV pour voir Mzee Laurent Désiré Kabila. Le chef d’Etat avait instruit le protocole de fouiller tous les visiteurs demanda aux gardes de le fouiller.Ce qui fait que Joseph arrivé à la barrière des gardes, il a été fouillé. Ils ont découvert en bas de son pantalon une arme minuscule "bactériologique". Et un soldat "Kadogo" en voulant décharger et désamorcer et ouvrir cette arme. Des bactéries ont attaqué sa main. On l’a amena à la clinique Ngaliema pour que les médecins amputent sa main. Dans la foulée de cet incident, on l’amena devant Mzee Laurent Désiré Kabila qui lui demande la raison de sa visite brusque.Joseph ne dira pas rien de particulier juste :"je tenais seulement à vous voir, comme ça".

Vu cet incident très grave avec une arme bactériologique,il a été mis en arrestation au cachot. Et voilà, comme toujours le président Mugabe qui fait encore une intervention pour que l’on relâche Joseph. Et on le libère. Toujours en fin décembre 2000 et début janvier 2001, le même Joseph Kabila vient au camp militaire Tshatshi et ordonne que l’on désarme les militaires.C’est la veille de la mort de "Mzee" Laurent Désiré Kabila.C’est pas clair".

Déjà la veille, Joseph avait fait exécuter des soldats d’une unité spéciale de la garde présidentielle .Il les remplace par ceux qui viennent des Forces Terrestres qu’il coiffait. Quand ils ont crée cette nouvelle unité avec des forces venues des forces terrestres armées qu’il coiffait.; ils ont cassé la sécurité, les services de sécurité du pays. Lui-même Joseph et les Masasu connaissaient cela. Il connait la mort de Masasu. Et quand il est parti dans la ville de Pueto pour achever Masasu, avec le concours d’Alamba (NDLR:un officier supérieur mis en prison plus tard). Ces gardes commis à la protection de "Mzee" Kabila , sont ceux qui ont été formés et recrutés par Masasu. Il fallait qu’on change ces gardes car ce sont des gens de Masasu. Et Masasu venait d’être tué.

Joseph et les siens ont laissé ces gardes fidèles à Masasu et ont fait pourrir les choses par ce qu’il savait quelque chose qu’il préparait .

Tenez, je soulève le problème de Rachidi. Des gens ne le savent pas. Rachidi était un chauffeur de camions poids lours.au Burundi. Rachidi est venu au Congo après la prise du pouvoir par l’AFDL. Et quand il est venu, donc après, il est devenu le chauffeur de Joseph (entendez Joseph Kabila). Après Joseph l’a imposé à la garde présidentielle.Cet élément n’existe pas dans l’enquête sur l’assassinat de Laurent Désiré kabila.Pourquoi a-t-on liquidé sur le champ Rachidi, le chauffeur de Joseph, que Joseph avait imposé à la garde présidentielle; et qui est celui qui avait tiré sur "Mzee" Laurent Désiré Kabila. Est-ce que c’est clair !

Tous ces gens... Je dois vous dire avant la mort de "Mzee" Kabila, avant son voyage programmé pour le Sommet du Cameroun... Il avait 14 noms de gens.Dès son retour de ce voyage, il a été statué qu’ils devaient être arrêtés. J’ai certains éléments que je vous communique pour ces 14 noms. il y avait les noms de l’officier Eddy Kapend, Bangasa, major Ebe, commandant Tabumbuka,Joseph Kabila, le directeur des opérations du CNS Lumbu et le colonel Mutindo. Ils étaient sur la liste des gens à arrêter dès le retour du Cameroun de "Mzee" Laurent Désiré Kabila. Réfléchissons donc. Dans la liste de ces gens comme on dit qu’il a été abattu dans le bureau, il a le nom d’Eddy Kapend.Mais que faisait le nom Joseph Kabila de la famille de Mzee Kabila dans cette liste des arrestations".

Assassinat du président Laurent Désiré Kabila et exécution des Libanais.

" Je vous parle aussi de l’affaire du général Yav qui est parti faire exécuter les Libanais. C’est sa cupidité. C’est une histoire de cupidité d’argent. La mort de ces Libanais est le résultat de cette cupidité. Leur mort n’a rien avoir avec cette tragédie politique de l’assassinat du Président de la République.

Tenez une chronologie de cette cupidité. Quand la présidence de la République de "Mzee" Laurent Désiré Kabila avait accordé exclusivité l’exploitation des diamants aux Israéliens d’une société; des Libanais étaient gênés.

A Kinshasa, il y avait un Libanais qui résidait à l’Hôtel Intercontinental. Il avait son comptoir en face de l’hôtel Memling.Son nom est Shaudi Abad. Il s’est réuni avec les autres Libanais.Ils ont cotisé un montant de 20 millions de dollars pour remettre au président Laurent Désiré Kabila afin qu’il allége cette mesure d’exclusivité des diamants accordée à ces Israéliens.

Mais "Mzee" Kabila avait déjà modifié cette loi vu son esprit patriotique et les intérêts du pays.Or, ces Libanais avaient cru que c’est grâce à leur 20 millions de dollars que le Président de la République "Mzee" Kabila Laurent Désiré avait modifié cette loi. Et ils avaient demandé alors une audience à la Présidence.

Reçus , ces Libanais se sont mis à remercier "Mzee" Laurent Désiré Kabila. Le président, très étonné, leur a dit qu’il avait changé cette réglémentation à cause uniquement de son esprit et sa vision politique du chef d’Etat pour la patrie Congo ; pour que tout le monde participe au développement du Congo. Et qu’il ne savait rien de cette histoire de leur argent. Il leur posa la question de savoir à qui ils avaient remis ces 20 millions de dollars.Les Libanais ont donné le nom du général Yav.



Entretemps, je tiens à vous préciser que le nom de Yav, le général, était dans la liste des gens à arrêter après le sommet prévu au Cameroun.En ce moment-là, la priorité était de préparer ce sommet vu la guerre en RDC et non de procéder à ces arrestations. Et entretemps, " Mzee" Laurent Désiré Kabila a été assassiné.

Et Yav pris de panique pour empêcher que cette affaire de cupidité sorte en public dans cette atmosphère de l’assassinat du président, procéda à l’arrestation et à faire exécuter ces Libanais.

Les Congolais qui ont mené cette opération pour achever ces Libanais, sont connus. Il y avait un major chef des opérations au DEMIAP*, le major Lukombo (en prison actuellement), le colonel Papi Lukobeka qui est un des hommes de confiance de Joseph (NDLR: Joseph Kabila). Il est toujours en fonction dans un service de sécurité de l’Etat congolais. Il y a aussi le soldat Molimbi qui doit être encore à DEMIAP*( NDLR: DEMIAP, c’est le service de Renseignements militaires de la RDC). Tous ces officiers étaient sous tutelle du général Yav; ils avaient mené cette opération pour exécuter ces Libanais pour couvrir cette histoire de l’argent. Il se fait que l’on va se saisir d’eux, après la mort de ces Libanais.Cela n’a rien avoir l’assassinat politique du chef d’Etat.

Joseph Kabila a peur et a activé ; et a participé à cette tricherie et fraude des élections car il redoute d’être entendu par une justice issue du vote sanction contre lui. Ne perdez pas de vue par rapport à ces élections que notre pays est sous occupation des renseignements militaires rwandais de Paul Kagame".

Entendre Joseph Kabila en justice.

" Comment se fait-il qu’il avait fait enlever des gardes fidèles à Mzee pour mettre des gardes de Masasu qui venait d’être condamné et d’être tué.Pourquoi est-il allé au camp Tshatshi pour désarmer les militaires, la veille de la mort de "Mzee". Ce jour-là, il y avait des affrontements armés à partir de cet acte de Joseph.

" Mzee" Laurent Désiré Kabila, mis au courant de ces troubles, était même venu à ce camp. Il était très furieux de voir ce qui se passait comme trouble et désordre. Des balles ont tué des soldats congolais à cause de ce désarmement ordonné par Joseph. Celui-ci avait amené des gens armés, des militaires inconnus, à partir de la ville de Lubumbashi. Donc, c’est pour dire que la mort de "Mzee" se préparait aussi en Zambie.Le président zambien Chiluba, l’homme d’affaires belge Georges Forrest, Paul Kagame le Rwandais ,Katumba Mwanke, Museveni l’Ougandais en savaient des choses".

"Que personne ne se voile la face. Il faut entendre Joseph dans un tribunal où des juges sont indépendants. Il doit parler. Le peuple congolais a le droit de savoir la vérité.Que la justice soit rendue.Que Joseph dise comment son chauffeur Rashidi qui allait avec lui chez une dame dans le quartier Righini de la ville de Kinshasa , Maman Tshatshi, femme du colonel Tshatshi.Olive Lembe (son actuelle épouse) habitait là-bas. Et dans cette maison, l’homme de confiance de Joseph Kabila, Rashidi avait aussi une amante, Onokoko qui avait été aussi jugée".

" Vous voyez ces pistes. Il faut entendre Joseph. On connait qui est Laurent Désiré Kabila par rapport à Joseph Kabila. Il doit s’expliquer sur le comment de son chauffeur Rashidi et homme de confiance a pu tirer et assassiner le père Laurent Désiré Kabila, chef de l’Etat de la RDC. C’est Joseph qui avait imposé Rashidi à la garde présidentielle.Pourquoi l’avait-il imposé? Ouvrons les yeux sur la vraie version de l’assassinat de "Mzee" Kabila Laurent Désiré. Ces élections du 28 novembre 2011 devaient donner une suite à ce procès et à ces questions,si ces élections n’étaient pas transformées en fraude et tricherie".

Propos recueillis par Lilo Miango (rédaction de Paris) et Nkumu (rédaction de France). Photos à Paris/janvier 2012:Magazine Ngambo Na Ngambo.

( Note de la rédaction centrale Europe : nous diffusons la deuxième partie de cet entretien dans un autre article vu les impératifs techniques d’espace imposés par le secrétariat de rédaction).



Link youtube de la déclaration de Marie Therese Nlandu:
http://youtu.be/x9Kt5LiRM4M

Re: Candidat No 3 – Kabila

Posté : 16 janv. 2012, 13:21
par Ilunga
En cette date du 16 avril, commémorant l'assassinat de L.D. KABILA, rafraichissons-nous la mémoire...Au souvenir de notre "imposteur-usurpateur"...

http://www.apareco-rdc.com/component/co ... lices.html

Re: Candidat No 3 – Kabila

Posté : 16 janv. 2012, 13:23
par Ilunga
En cette date du 16 avril, commémorant l'assassinat de L.D. KABILA, rafraichissons-nous la mémoire...Au souvenir de notre "imposteur-usurpateur" rwandais...

Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ?

Voici le témoignage d'un observateur de premier plan concernant la mort de LDK, dans cet entretien accordé à la radio Lobiko par Monsieur Mulopo, conseiller chargé de la mobilisation et des relations avec les partenaires au sein du cabinet du Président national de l'APARECO Mr Honoré Ngbanda.
Mr Mulopo établit clairement la responsabilté de "Joseph Kabila" dans cet assassinat, motivé par le projet de pillage et d"occupation de la RDC par le Rwanda et ses complices.Le livre qu'il a publié à ce sujet en dit long et ne manquera pas d'éclairer les congolais sur le drame que vit la RDC aujourd'hui avec un imposteur à la tête du pays.

Leonard Mulopo éventre le Boa:Qui a tué LD Kabila?

Ecoutez...

http://www.apareco-rdc.com/component/co ... bila-.html

Re: Candidat No 3 – Kabila

Posté : 16 janv. 2012, 13:35
par Ilunga
Alors, le soi-disant "fils" du Mzee, tu vas reouvrir ce procès ou pas? Veux-tu réellement connaitre les assassins de ton "père"?







Lundi 16 janvier 2012

Assassinat de Laurent-Désiré Kabila: Mwenze Kongolo réclame la réouverture du procès

Crée le 16-01-2012- 10h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi 16-01-2012 14H15AFRIQUE REDACTION PAR : RADIO OKAPI


Jeannot Mwenze Kongolo réclame la réouverture du procès du feu président Laurent-Désiré Kabila, assassiné le 16 janvier 2001. Ce proche de l’ancien président congolais a déclaré à Radio Okapi ce lundi 16 janvier que le procès des présumés assassins était une «parodie de justice». Selon lui, «il y avait plus de sentiments personnels que l’envie de chercher la vérité».
Mwenze Kongolo, président national des Patriotes congolais (PC), a affirmé que «certains dignitaires qui étaient pour beaucoup dans l’assassinat de Laurent Désiré Kabila n’ont jamais été interpellés, ni cités».
Il cite entre autres, le Rwanda et le Rassemblement congolais pour la démocratie (RCD), alors mouvement rebelle, qui, pour lui, «étaient pour quelque chose dans cet assassinat».
«On s’est contenté de gens que moi je connais innocents mais qui croupissent dans la prison jusqu’aujourd’hui», a dénoncé Jeannot Mwenze Kongolo, souhaitant qu’un jour la justice congolaise revienne sur ce procès.
Dans un communiqué rendu public le 17 janvier 2011, la VSV avait aussi demandé la réouverture du procès de l’assassinat de Laurent Désiré Kabila, estimant que «la vérité n’a toujours pas éclaté au grand jour pour permettre d’établir les responsabilités et condamner les coupables et les commanditaires».

Re: Candidat No 3 – Kabila

Posté : 16 janv. 2012, 13:45
par Ilunga
"Kabila" court tjrs...Mais c'est pour bientôt sa capture, ligoté mais vivant...pour un procès en mondovision...WANTED !








http://www.culturecongolaise.net/?p=9292


Kabila : le début de la fin

15 janvier, 2012

La donne a fondamentalement changé depuis septante-deux heures. Avec la dernière prise de position de l’Eglise catholique rendue publique, lors d’une messe d’action de grâce, à la paroisse Saint Joseph de Matonge, le 7 janvier, Joseph Kabila n’aura plus désormais à faire à Etienne Tshisekedi wa Mulumba seul et l’ensemble des partis d’opposition mais aussi et surtout avec le cardinal Laurent Monsengwo Pasinya à la tête de la terrifiante déferlante des fidèles catholiques. Cette dernière entrée en scène apporte à la revendication politique tshisekediste la caution de la société civile pour faire «mouvement social» de l’ensemble du peuple comme en Tunisie ou encore en Egypte. La contestation prend donc une nouvelle tournure à même d’amener les décideurs du monde d’agir autrement que prévu, surtout si la situation dégénère. Entre Tshisekedi et Monsengwo, la communauté de vues éclate au grand jour quant au sort de Kabila. L’un et l’autre demandent carrément son départ pour ne pas dire que l’archevêque de Kinshasa a rallié la rue Pétunias lorsqu’il place, sous la signature de l’abbé Pierre Bosangia, les actions à entreprendre par les chrétiens dans la perspective «du rétablissement de la légitimité et de la légalité en RD-Congo». Pour la mise en oeuvre de cet objectif, l’archidiocèse de Kinshasa commence par une sensibilisation qui a prévu le 11 janvier une concertation, à Saint Joseph, de tous les agents pastoraux pour «approfondir les actions à mener». Le programme se poursuivra le week-end à venir avec une prière d’Angelus dans toutes les paroisses de Kinshasa. Qui connaît les pratiques de l’Eglise romaine sait qu’Angelus est une prière spéciale faite en situation de détresse. Il est accompagné du retentissement de la cloche au même moment dans toutes les paroisses.

Le 18 janvier connaîtra la formation des animateurs chargés à leur tour de procéder, le 21 janvier, à une formation de tous les chrétiens sur «la spiritualité de l’action non-violente dans toutes les paroisses». Nouvel Angelus le même jour à 12 heures, un Angelus qui donnera le départ. Sur ce départ, le départ des actions, l’Eglise reste muette. Elle ne donne ni la date ni la nature de ce à quoi elle appellera les «chrétiens».

L’horizon proche de la commémoration de la marche des chrétiens -dans les trois semaines à dater du 21 janvier prochain- donne à penser que le tout sera articulé autour de la date historique du 16 février prochain. D’abord pour des raisons psychologiques. Le 16 février comporte assez de charge émotive partagée dans l’imaginaire collectif pour constituer un moment de cristallisation susceptible de faire éclater dans la population l’onde de choc recherché. Ensuite, il y a le lien historique de ce moment célébré chaque année qui trouve l’occasion de se revêtir d’un certain faste pour ses vingt ans. En fait, cela fait vingt ans -de 1992 à 2012- que les «chrétiens» ont fait vas- ciller le régime du Maréchal Mobutu au point que celui-ci s’empressa vite d’ordonner à son Premier ministre Jean de Dieu Nguz Karl-i Bond de rouvrir la conférence nationale pro-démocratie.

Les artisans de ce 16 février sont encore en vie et actifs, comme l’abbé José Mpundu, curé de la chaude paroisse Saint Augustin ou encore l’abbé François Luyeye, aumônier général de l’archevêché de Kinshasa. Ils ont déjà pris le devant. Ce qui laisse croire qu’ils ne rateront pas l’occasion de donner un cachet particulier au prochain 16 février sous le signe de la restauration de «la légitimité et de la légalité». A la veille de l’office de Saint Joseph, Luyeye avait, d’ailleurs, déclaré que cela ne faisait que commencer. Deux hypothèses: ou l’Eglise ira avec des actions crescendo pour culminer le 16 février ou elle tentera simplement de rééditer le 16 février prochain ce qui s’est produit un jour de 1992. Ce fut un dimanche, un dimanche pas comme les autres. Ce dimanche là, il y a eu des sermons enflammés dans toutes les paroisses de Kinshasa pour réclamer la réouverture de la CNS. La messe terminée, des processions de fidèles sont parties de chaque paroisse avec des abbés à leurs têtes pour converger à Saint Joseph. Saint Joseph transformé en lieu martyr où des dizaines de morts tombés sous les balles de la soldatesque de Mobutu furent entassés. Tout cela s’est produit un certain 16 février 1992. Aujourd’hui, tous les ingrédients sont réunis pour une parfaite, sinon une reproduction plus d’étonnante dans le contexte du printemps arabe. A commencer par le premier des ingrédients, le ciment d’une démarche qui met en jeu ce pourquoi l’homme est plus disposé à donner jusqu’à sa vie, la foi.

La foi y est comme en 1992. Elle a été très apparente dans les yeux, par exemple, de cette septuagénaire, qui a affirmé, à la sortie de la messe de Saint Joseph, qu’elle n’attend que le mot d’ordre de l’Eglise pour aller chercher son vote volé. Autre ingrédient, ce ras-le- bol quasi général analogue à celui ambiant dans les années 90 face à un régime des plus compromis dans la prévarication. Encore un élément de comparaison, une même situation de détérioration sociale très avancée, plus encore aggravée aujourd’hui par une hausse vertigineuse des prix à la suite de la nouvelle imposition de la TVA – Taxe sur la valeur ajoutée. En 1992, les gens étaient convaincus de s’être fait voler l’espoir d’une nouvelle vie avec la fermeture de la CNS. Cette fois-ci, ils avaient espéré utiliser leur vote pour changer les choses et le tandem Joseph kabila et Daniel Ngoy Mulunda Nyanga les en a empêchés.

A la clameur qui a répondu à l’homélie de l’abbé Bosangia, il y a de quoi craindre qu’ils déferlent dans la rue avec la même spontanéité si jamais… Un déferlement à envisager sous plusieurs scénarios. Le plus vraisemblable serait un remake de 1992, dans quel cas de figure la police risque d’être débordée si elle est amenée à contenir des manifestants à partir de chaque paroisse de la ville de Kinshasa. Plus difficile pour Charles Bisengimana de contenir la déferlante marée humaine si le mouvement arrive à toucher les provinces. Le pire, c’est si la police ouvre le feu. Pour un Joseph Kabila déjà privé de la reconnaissance internationale - aucune puissance occidentale ne l’a félicité après la prestation de serment en dehors de la petite Belgique) - une telle éventualité risque de voir le régime se faire crier haro de la part d’une communauté internationale déjà excédée de la prédation dans les mines congolaises. Et si le sang versé radicalisait le mouvement comme en Syrie où les manifestants reviennent toujours dans la rue malgré la répression. Laisser faire la foule comprend aussi des risques de déboucher sur une pérennisation du mouvement dans la rue avec la perspective qu’un mot d’ordre ne conduise à la tentative d’aller occuper, un jour, le Palais de la nation ou un autre symbole du pouvoir. C’est donc une quadrature du cercle pour Joseph Kabila. Pas vraiment tant que le président contesté dispose encore de l’initiative pour voir jusqu’où lâcher du lest et sauver son pouvoir. Mais c’est déjà trop tard. Dans tous les cas de figure, Kabila doit partir !

Matthieu Kepa/CCN

Re: Candidat No 3 – Kabila

Posté : 16 janv. 2012, 13:47
par Ilunga
http://www.culturecongolaise.net/?p=9295


Les oiseaux se cachent pour mourir

15 janvier, 2012

Ce jeudi 12 janvier 2012 ne fut pas un jour comme les autres. L’Eglise Notre Dame du Congo était noire de monde au propre comme au figuré. La raison ? Les Evêques publiaient urbi et orbi durant la messe le Message de l’Assemblée extraordinaire de la CENCO aux fidèles catholiques et à l’ensemble du peuple congolais. Après lecture du message, personne ne sait exactement ce que veut l’Eglise catholique. Stupeur et tremblements ! Ceux qui croyaient que les curés allaient troquer la soutane contre le battle-dress furent ébahis. Ceux qui espéraient que les curés allaient troquer les hosties pour des balles de kalachnikov ne comprirent rien du tout. Après avoir dénoncé tous les maux qui rongent les élections, les curés demandèrent à tout le monde de vivre en paix et de ne pas recourir à la violence. Amen ! D’après mon ami qui connait tout, l’Eglise a subi des pressions de la fameuse communauté internationale pour mettre beaucoup d’eau dans le vin de messe. Celle-ci privilégie la stabilisation de notre pays convoité par tous les pays voisins et la Chine. Ceci expliquant cela, 9 Sénateurs ont pondu le 9 janvier 2012, un document dans lequel ils réclament la démission immédiate du Bureau de la CENI ainsi que l’invalidation des scrutins présidentiel et législatif. Enfer et damnation ! Entretemps, les fameux experts internationaux venus assister la CENI sont devenus aussi muets que des carpes. D’après mon ami qui sait ce qui se passe dans tous les coins et recoins de Kinshasa la pourrie, ils ne peuvent pas s’en prendre à la CENI sans dénoncer la MONUSCO. To be or not to be, that’s the question ! Rien d’étonnant dès lors qu’on veut instaurer chez nous le schéma zimbabwéen de partage du pouvoir. Enfer et damnation ! Bref, passons. Il se raconte dans Kinshasa la pourrie que qui vous savez s’est rendu dernièrement au Bas-Congo chez les Kimbanguistes de Nkamba. Il leur tint à peu près ce langage : « vous avez promis que tous vos fidèles allaient voter pour moi. Vous m’avez assuré d’une réélection sans problème. Ce qui est loin d’être le cas. » Sur ce, le chef spirituel lui demanda de faire quelques ablutions en guise de purification. Il paraît que dès qu’un de ses doigts toucha le bain, l’eau vira au rouge sang. Enfer et damnation ! Sur son chemin de retour, il renversa un piéton, perdit le contrôle du volant et eut quelques contusions. Il fila à Cuba pour se faire soigner. Bref, passons. Depuis que les curés se sont mêlés des élections, les églises catholiques sont pleines de fidèles au détriment des églises du réveil. Il ne faut pas oublier que Ngoy Mulunda est aussi pasteur d’une église de réveil. Ceci expliquant cela, ses compères ont peur de perdre des fidèles et les dîmes qui les accompagnent. Enfer et damnation ! Comprenez mon émotion. On dit chez que si quelqu’un fait semblant de mourir, il faut faire semblant de l’enterrer.

Mokossa Disu

Re: Candidat No 3 – Kabila

Posté : 17 janv. 2012, 12:13
par Ilunga
«Kabila» en fuite ou en clandestinité ?
En attendant, les massacres continuent...

http://www.apareco-rdc.com/component/co ... nite-.html