Re: Messi : Nous les petits Analystes
Posté : 12 juil. 2011, 14:58
NS AUTRES CAMELEONS, c'est ce qu'il faut dire ... 
Forum des supporters des Léopards de la RD Congo football
http://www.leopardsfoot.com/phpBB/
Agence France-Presse
Buenos Aires
Le défenseur de l'équipe d'Argentine Nicolas Burdisso a insulté son coéquipier Lionel Messi, mercredi soir à la fin du match contre la Colombie (0-0), selon la presse argentine, des propos que leur coéquipier Javier Zanetti a confirmés et relativisés vendredi.
L'arrière central aurait demandé au N.10 de participer aux tâches défensives, en lui lançant: «Gamin, on joue les dernières minutes, tu ne peux pas te laisser prendre la balle, fils de pute».![]()
![]()
«Ce qui s'est passé sur le terrain entre Burdisso et Messi est quelque chose de normal, qui peut arriver dans un match de football», a relativisé l'arrière latéral Zanetti vendredi en conférence de presse au centre technique d'Ezeiza, près de Buenos Aires.
«Pendant le match contre la Bolivie, je me suis fâché avec (Gabriel) Milito, alors qu'on est de grands amis, et ça en est resté là, a ajouté le joueur de 37 ans. Quand on a de l'expérience, on sait que ce sont des choses qui peuvent arriver, et donc on le prend comme quelque chose de naturel».
«Leo vit très mal cette situation, a avancé son père, Jorge Messi sur Radio 10. Les gens sont libres de dire ce qu'ils veulent. Ce qui gêne le plus, c'est ce que dit la presse, qui crée des situations auxquelles personne ne s'attendait. Ils mettent de l'huile sur le feu. La presse argentine peut critiquer, parce que c'est évident que l'Argentine joue mal, mais elle devrait être un peu plus attentionnée avec son équipe».
Concernant les paroles de Burdisso, le père du N.10 de l'Albiceleste a estimé qu'il s'agissait là «d'une discussion de foot, qui arrive même dans les matchs entre amis».
«C'est la première fois qu'on le siffle», a continué Jorge Messi, qui a dit que son fils le «vivait mal», et que c'était «très dur».
«Dans ce pays, on fait toujours des comparaisons, a-t-il encore dit. Maradona est incomparable. Leo suit son propre chemin. Je ne sais pas ce que prendre l'équipe sur ses épaules veut dire. Est-ce insulter ou crier sur tous ses coéquipiers? Mon fils a un autre genre de caractère. Il est fort, même si beaucoup de gens l'ignorent. Diego (Maradona) a un caractère différent de celui de Leo».
L'Argentine a fait deux nuls en deux matchs et se trouve en 3e position dans le groupe A avec deux points, derrière la Colombie (4) et le Costa Rica (3). Messi n'a pour l'instant pas eu le rayonnement espéré, à l'image de son équipe et du secteur offensif en entier.
Le caméléon, c'est celui qui tacle un joueur présenté par bon par quelqu'un qu'il ne porte pas dans son coeur, et qui fait mine d'avoir toujours cru en lui le jour où cet élément confirme, dans ce cas-ci, en EN.chidap a écrit :NS AUTRES CAMELEONS, c'est ce qu'il faut dire ...
Et il termine en postant kasereka na bisoeeeeeeeeeeeeeeErick Ross a écrit :Le caméléon, c'est celui qui tacle un joueur présenté par bon par quelqu'un qu'il ne porte pas dans son coeur, et qui fait mine d'avoir toujours cru en lui le jour où cet élément confirme, dans ce cas-ci, en EN.chidap a écrit :NS AUTRES CAMELEONS, c'est ce qu'il faut dire ...
Exemple : Chidap voit que les léopards n'ont pas de très bons axiaux. Voyant souvent Kasereka jouer, il en parle comme potentiel titulaire. Erick Ross, qui après avoir été confondu à maintes reprises par Chidap garde une dent contre lui et s'amuse à prétendre que Kasereka est nul sans même l'avoir vu jouer et dans l'espoir de vexer Chidap. Deux mois plus tard, Kasereka est convoqué en EN et est titulaire en match. Il confirme tout le bien que Chidap disait de lui. Et à ce moment, Erick Ross se réjouit et fait croire qu'il a toujours cru en Thierry.
Voilà ce qu'un caméléon sur simbafoot
Messi n'est pas insensible
Messi n'est pas insensible - FOOTBALL - Copa América
AFP
* Infos liées :
* Tabarez fataliste face à Messi
* Calendrier / Résultats
* Le réveil de l'Argentine et Messi
* Le Brésil pas si facile
Lionel Messi avoue avoir été touché par les critiques avant de retrouver l'Uruguay en quarts de la Copa America dans la nuit de samedi à dimanche (00h15) à Santa Fe où il s'est fait siffler. Le Barcelonais a été marqué par le comportement de ses fans mais pourrait sortir plus fort de cette épreuve.
Lionel Messi a réagi mais il n'a pas oublié. Après deux matches décevants dans sa Copa America, la Puce a relevé tête face au Costa Rica (3-0) en délivrant deux passes décisives. Dire qu'il a effacé ses deux premières sorties serait un bien grand mot. Déjà car on attend confirmation. Mais surtout car il sera longtemps marqué par ces deux rencontres. Fortement critiqué par la presse, conspué par le public, le Barcelonais semble avoir été touché par le comportement de ses fans : "Ce que disent les médias ne me préoccupe pas, mais ce que disent les gens, si. Personne n'aime se faire siffler et insulter", a avoué l’Argentin, qui était sorti sous les sifflets à l'issue du 0-0 face à la Colombie au stade de Santa Fe. Une enceinte que l'Argentine retrouvera samedi pour défier l'Uruguay en quart de finale.
Touché dans sa chair, Lionel Messi a su faire front. Et cet épisode ne remet pas en question son attachement à l'Albiceleste, qui fait toujours jaser en Argentine où on lui reproche souvent d’être plus Espagnol qu’Argentin. "Je viens en équipe nationale car j'ai l'impression que c'est une partie de moi. C'est la première fois que je vis quelque chose comme ça mais je ne vais pas changer", prévient l'Argentin, balayant ainsi d'un revers de la main l'hypothèse évoquée par Julio Grondona. Le président de la fédération argentine avait estimé que la star catalane risquait à force de ne plus venir en sélection. Après ses deux premières prestations, Messi reconnait toutefois avoir fait son autocritique. "A chaque fois que je fais un mauvais match, je fais mon autocritique. Mais ce n'était pas seulement moi, toute l'équipe a fait son autocritique, on a beaucoup discuté", glisse le Barcelonais, qui est convaincu que le groupe argentin ressort plus fort de cette mauvaise passe.
Le double Ballon d'Or est aussi revenu sur les comparaisons entre l'Albiceleste et le FC Barcelone dont Sergio Batista, le sélectionneur argentin, disait vouloir s'inspirer pour mettre sa star dans les meilleures conditions. "C'est une erreur de comparer la sélection avec le Barça. A Barcelone, on travaille ensemble depuis si longtemps. En sélection, on cherche une approche un peu similaire, en tentant d'avoir la possession, de contrôler le tempo du match. Mais on ne peut pas comparer les deux équipes pour leur groupe et leur individualité", conclut Messi avant de retrouver l'Uruguay et le stade où il s'est fait siffler. Une bonne manière de tourner la page avec ses démons.
Eurosport - Glenn CEILLIER