Apres match JSK 0 - 0 TPM
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Apres match JSK 0 - 0 TPM
JSK 0 - TP Mazembe 0 : La qualif’ perdue à l’aller
Stade : 1er-Novembre (Tizi Ouzou)
Affluence : record
Arbitres : Damon, Molef, Rezeers
Avertissements : Naïli (41’), Yalaoui (85’), Berchiche (86’) (JSK) ;
Sunzu (45’), Nkulukuta (68’), Singuluma (72’), Kasusula (75’) (TP Mazembe)
Expulsion : Naïli (60’) (JSK)
JSK : Asselah, Rial, Oussalah, Coulibaly (Berchiche 46’), Remache, Naïli, Douicher, Tedjar, Nessakh (Yahia-Cherif 68’), Aoudia, Asuka (Yalaoui 46’)
Entraîneur : Geiger
TP Mazembe : Kidiaba, Kimwaki, Kasusula, Nkulukuta, Singuluma (Kasongo 76’), Kabangu, Bedi, Kaluyituka, Sunzu, Mihayo, Ekanga.
Entraîneur : N’Diaye
C’est une JSK méconnaissable que nous avons vue hier soir à l’occasion de cette demi-finale retour face au TP Mazembe. Après leur défaite au match aller sur le score de 3 buts à 1, les Kabyles n’ont pu faire mieux que match nul zéro partout. Contrairement à ce qu’on attendait, les joueurs de la JSK nous ont livré une première période très décevante. Alors que les camarades de Mohamed Amine Aoudia se devaient de jeter tout leur poids en attaque, ils ont été trop latéraux dans leur jeu. La première action de la rencontre fut l’œuvre de Nessakh à la 8’. Après avoir reçu une passe de Asuka dans les 18m, l’ex-Asémsite a effectué une extension, mais le ballon est passé juste au-dessus de sa tête. A la 13’, Tedjar, qui était complètement out dans cette première mi-temps, a bénéficié d’un coup franc des 25 mètres. Sa balle, trop dosée, est sortie à côté. 2’ plus tard, les joueurs congolais réagissent, exerçant un pressing sur les joueurs kabyles. Ces derniers, qui ont perdu bataille du milieu, n’étaient plus capables de construire des actions dignes de ce nom.
20’, Aoudia et la malédiction des poteaux
Comme ce fut le cas lors du match aller, l’attaquant Mohamed Amine Aoudia a vu sa balle, à la 20’, heurter le poteau droit du gardien Kidiaba. Après un centre-tir sur le côté droit, Amine a manqué d’efficacité. Pour rappel, Aoudia avait connu le même sort 15 jours auparavant, lorsque sa frappe de la tête a heurté la barre transversale à la 11’ de jeu. C’est une vraie malédiction des poteaux qui poursuit le joueur. A la 24’, ce fut au tour du latéral gauche Nassim Oussalah de tenter sa chance, suite à un centre du côté droit. Lui aussi a manqué de précision. La dernière action la plus dangereuse lors de ce premier half fut à la 34’ lorsque Aoudia a repris un centre du côté gauche, mais le portier congolais, bien placé, sort le cuir en corner. Toutefois, les Canaris ont failli être surpris à la 38’, lorsque Damon a désigné le point de penalty, avant de revenir sur sa décision. En effet, Asselah avait effectué une mauvaise sortie en touchant l’attaquant. Damon a dû se raviser après que son juge de touche eut levé son drapeau pour signaler une position de hors-jeu, au grand soulagement des supporters kabyles. La première période s’achève sur le score décevant de zéro partout. La reprise de la partie ne s’effectue pas de la meilleure des manières, puisque Idrissa Coulibaly ne reprendra pas la partie, pour cause de blessure. C’est le défenseur central Kouceïla Berchiche qui prendra sa place. Et comme un malheur ne vient jamais seul, le milieu récupérateur Billal Naïli sera expulsé à la 60’, coupable d’avoir craché sur un joueur adverse. A 10 contre 11, les choses se sont compliquées pour la JSK. Amoindris, les Canaris se procureront tout de même 4 occasions d’ouvrir la marque, respectivement aux 61’, 63’, 64’ et 66’. La plus dangereuse est à mettre à l’actif d’Aoudia qui, à la suite d’un centre en retrait de Nessakh, il enchaîne par une reprise de volée, mais le gardien s’interpose. Au fil des minutes, le doute commençait à s’installer dans le camp kabyle. Plus aucune occasion sérieuse ne sera enregistrée côté local. Impuissants, les Kabyles, qui n’ont pu remonter le score, seront comme résignés. Après un parcours sans faute lors de la phase des poules, leur parcours s’arrête aux demi-finales. Il faut reconnaître que les Kabyles ont raté la finale au match aller, eux qui avaient la possibilité de revenir avec un nul positif.
--------------------------------------------------------
Geiger : «L’adversaire était plus fort que nous»
L’entraîneur suisse de la JSK, Alain Geiger, n’a pas caché sa grande déception, à la suite de l’élimination de son équipe lors de cette demi-finale, reconnaissant avec beaucoup de fair-play que l’adversaire était tout simplement plus fort sur le terrain. «L’élimination de ce soir reste amère, certes, mais il n’y a pas de quoi avoir honte. Notre objectif était d’atteindre le carré d’as et je pense qu’on a fait un bon parcours durant cette compétition africaine. On a tout donné sur le terrain, mais la réussite n’était pas de notre côté. On doit reconnaître le mérite de l’adversaire qui était plus fort que nous, voilà tout.»
--------------------------------------------------------
Les supporters congolais chantent Shakira
Juste avant la fin de la rencontre, les supporters congolais ont commencé à chanter la célèbre chanson de Shakira Waka Waka pour célébrer la qualification qui se dessinait.
--------------------------------------------------------
Accrochage entre des supporters et les forces de l'ordre...
Dans les dix dernières minutes, une partie des supporters de la JSK s’est accrochée avec les forces de l'ordre. Les fans des Canaris étaient très en colère après ce résultat négatif, synonyme d'élimination.
... une partie a applaudi les joueurs
nnPar ailleurs, si certains inconditionnels étaient virulents, d’autres ont été compréhensifs envers les joueurs. A la fin du match, ils ont tenu à les applaudir, eux qui ont quand même réalisé un bon parcours.
--------------------------------------------------------
Les joueurs en larmes
A la fin de la partie, les joueurs de la JSK étaient très déçus, car ils misaient beaucoup sur cette qualification. Ils étaient inconsolables. La majorité d'entre eux étaient en larmes, à l'image de Saâd Tedjar.
--------------------------------------------------------
Coulibaly aidé pour rejoindre le vestiaire
Blessé, Idrissa Coulibaly ne pouvait même poser son pied droit par terre. D’ailleurs, il a été aidé pour rejoindre le vestiaire.
--------------------------------------------------------
Rial en attaque et en défense
Ali Rial a joué en attaque et en défense lors des dix dernières minutes de la partie. Le défenseur des Canaris voulait donner un plus à son équipe, en infériorité numérique, après l'expulsion de Naïli. Les supporters de la JSK n'ont pas manqué l'occasion de le féliciter pour sa production à la fin de la partie.
--------------------------------------------------------
Le stade explose dès l’entrée des Canaris
Dès l’entrée des coéquipiers du Malien Idrissa Coulibaly pour effectuer les échauffements, le stade a explosé. Des chants pro-JSK scandant la qualification ont été entonnés. Même des fumigènes ont été allumés. Les joueurs ont eu droit à une standing-ovation.
--------------------------------------------------------
Berchiche corrige Damon
Koceïla Berchiche a corrigé l’arbitre de la rencontre Jérôme Damon au moment où il a sifflé un penalty à la 42’ en faveur du TP Mazembe. Le défenseur kabyle, qui était derrière les bois d’Asselah, est rentré sur le terrain pour demander à l’arbitre sud-africain de voir son juge assistant qui a signalé une position de hors-jeu.
--------------------------------------------------------
Damon arrête la partie pour une histoire de bague
Jérôme Damon a arrêté la partie à deux reprises, à cause d’une histoire de bague. Ce dernier a demandé à deux reprises à Mohamed Amine Aoudia d’enlever sa bague.
--------------------------------------------------------
Altercation entre Tedjar et Sanzu
Juste avant la fin de la première mi-temps, une altercation verbale a éclaté entre Saâd Tedjar et Sanzu. Le milieu de terrain kabyle n’a pas accepté qu’il soit taclé par le joueur congolais. Ce dernier a d’ailleurs écopé d’un avertissement.
--------------------------------------------------------
Un ramasseur de balle irrite Damon
En première mi-temps, un ramasseur de balle a arrosé les bois du gardien du TP Mazembe, comme un signe de porte-bonheur. Finalement, l’arbitre de la partie Damon a tout simplement demandé au responsable de la sécurité de faire monter ce jeune dans la tribune.
--------------------------------------------------------
Hannachi dans tous ses états à la mi-temps
A la mi-temps, le président de la JSK, Mohand Cherif Hannachi, était dans tous ses états, après le résultat nul qui était alors enregistré.
--------------------------------------------------------
60’, le stade explose pour pousser les Canaris
A l’heure de jeu, les supporters de la JSK ont commencé à pousser leur équipe. Le stade a explosé de joie, en entonnant des chants. Des fumigènes fusaient des tribunes pour pousser les camarades du capitaine Lamara Douicher.
--------------------------------------------------------
Ziti, Hamiti et Yahia-Cherif chassés lors de l’échauffement
Ziti, Hamiti et Yahia-Cherif ont entamé l’échauffement derrière les bois du gardien du TP Mazembe, contrairement à ce que stipule la réglementation. L’arbitre Jérôme Damon a demandé ainsi au quatrième arbitre de leur demander d’aller dans l’autre camp, soit derrière les bois du gardien de but kabyle, Asselah.
--------------------------------------------------------
Coulibaly quitte le terrain en larmes
Au début de la deuxième mi-temps, Idrissa Coulibaly a laissé sa place à Berchiche, à cause d’une blessure. Le défenseur malien a touché tout le monde. Il était très peiné de laisser ses coéquipiers dans la difficulté.
Le buteur (17/10/2010)
Stade : 1er-Novembre (Tizi Ouzou)
Affluence : record
Arbitres : Damon, Molef, Rezeers
Avertissements : Naïli (41’), Yalaoui (85’), Berchiche (86’) (JSK) ;
Sunzu (45’), Nkulukuta (68’), Singuluma (72’), Kasusula (75’) (TP Mazembe)
Expulsion : Naïli (60’) (JSK)
JSK : Asselah, Rial, Oussalah, Coulibaly (Berchiche 46’), Remache, Naïli, Douicher, Tedjar, Nessakh (Yahia-Cherif 68’), Aoudia, Asuka (Yalaoui 46’)
Entraîneur : Geiger
TP Mazembe : Kidiaba, Kimwaki, Kasusula, Nkulukuta, Singuluma (Kasongo 76’), Kabangu, Bedi, Kaluyituka, Sunzu, Mihayo, Ekanga.
Entraîneur : N’Diaye
C’est une JSK méconnaissable que nous avons vue hier soir à l’occasion de cette demi-finale retour face au TP Mazembe. Après leur défaite au match aller sur le score de 3 buts à 1, les Kabyles n’ont pu faire mieux que match nul zéro partout. Contrairement à ce qu’on attendait, les joueurs de la JSK nous ont livré une première période très décevante. Alors que les camarades de Mohamed Amine Aoudia se devaient de jeter tout leur poids en attaque, ils ont été trop latéraux dans leur jeu. La première action de la rencontre fut l’œuvre de Nessakh à la 8’. Après avoir reçu une passe de Asuka dans les 18m, l’ex-Asémsite a effectué une extension, mais le ballon est passé juste au-dessus de sa tête. A la 13’, Tedjar, qui était complètement out dans cette première mi-temps, a bénéficié d’un coup franc des 25 mètres. Sa balle, trop dosée, est sortie à côté. 2’ plus tard, les joueurs congolais réagissent, exerçant un pressing sur les joueurs kabyles. Ces derniers, qui ont perdu bataille du milieu, n’étaient plus capables de construire des actions dignes de ce nom.
20’, Aoudia et la malédiction des poteaux
Comme ce fut le cas lors du match aller, l’attaquant Mohamed Amine Aoudia a vu sa balle, à la 20’, heurter le poteau droit du gardien Kidiaba. Après un centre-tir sur le côté droit, Amine a manqué d’efficacité. Pour rappel, Aoudia avait connu le même sort 15 jours auparavant, lorsque sa frappe de la tête a heurté la barre transversale à la 11’ de jeu. C’est une vraie malédiction des poteaux qui poursuit le joueur. A la 24’, ce fut au tour du latéral gauche Nassim Oussalah de tenter sa chance, suite à un centre du côté droit. Lui aussi a manqué de précision. La dernière action la plus dangereuse lors de ce premier half fut à la 34’ lorsque Aoudia a repris un centre du côté gauche, mais le portier congolais, bien placé, sort le cuir en corner. Toutefois, les Canaris ont failli être surpris à la 38’, lorsque Damon a désigné le point de penalty, avant de revenir sur sa décision. En effet, Asselah avait effectué une mauvaise sortie en touchant l’attaquant. Damon a dû se raviser après que son juge de touche eut levé son drapeau pour signaler une position de hors-jeu, au grand soulagement des supporters kabyles. La première période s’achève sur le score décevant de zéro partout. La reprise de la partie ne s’effectue pas de la meilleure des manières, puisque Idrissa Coulibaly ne reprendra pas la partie, pour cause de blessure. C’est le défenseur central Kouceïla Berchiche qui prendra sa place. Et comme un malheur ne vient jamais seul, le milieu récupérateur Billal Naïli sera expulsé à la 60’, coupable d’avoir craché sur un joueur adverse. A 10 contre 11, les choses se sont compliquées pour la JSK. Amoindris, les Canaris se procureront tout de même 4 occasions d’ouvrir la marque, respectivement aux 61’, 63’, 64’ et 66’. La plus dangereuse est à mettre à l’actif d’Aoudia qui, à la suite d’un centre en retrait de Nessakh, il enchaîne par une reprise de volée, mais le gardien s’interpose. Au fil des minutes, le doute commençait à s’installer dans le camp kabyle. Plus aucune occasion sérieuse ne sera enregistrée côté local. Impuissants, les Kabyles, qui n’ont pu remonter le score, seront comme résignés. Après un parcours sans faute lors de la phase des poules, leur parcours s’arrête aux demi-finales. Il faut reconnaître que les Kabyles ont raté la finale au match aller, eux qui avaient la possibilité de revenir avec un nul positif.
--------------------------------------------------------
Geiger : «L’adversaire était plus fort que nous»
L’entraîneur suisse de la JSK, Alain Geiger, n’a pas caché sa grande déception, à la suite de l’élimination de son équipe lors de cette demi-finale, reconnaissant avec beaucoup de fair-play que l’adversaire était tout simplement plus fort sur le terrain. «L’élimination de ce soir reste amère, certes, mais il n’y a pas de quoi avoir honte. Notre objectif était d’atteindre le carré d’as et je pense qu’on a fait un bon parcours durant cette compétition africaine. On a tout donné sur le terrain, mais la réussite n’était pas de notre côté. On doit reconnaître le mérite de l’adversaire qui était plus fort que nous, voilà tout.»
--------------------------------------------------------
Les supporters congolais chantent Shakira
Juste avant la fin de la rencontre, les supporters congolais ont commencé à chanter la célèbre chanson de Shakira Waka Waka pour célébrer la qualification qui se dessinait.
--------------------------------------------------------
Accrochage entre des supporters et les forces de l'ordre...
Dans les dix dernières minutes, une partie des supporters de la JSK s’est accrochée avec les forces de l'ordre. Les fans des Canaris étaient très en colère après ce résultat négatif, synonyme d'élimination.
... une partie a applaudi les joueurs
nnPar ailleurs, si certains inconditionnels étaient virulents, d’autres ont été compréhensifs envers les joueurs. A la fin du match, ils ont tenu à les applaudir, eux qui ont quand même réalisé un bon parcours.
--------------------------------------------------------
Les joueurs en larmes
A la fin de la partie, les joueurs de la JSK étaient très déçus, car ils misaient beaucoup sur cette qualification. Ils étaient inconsolables. La majorité d'entre eux étaient en larmes, à l'image de Saâd Tedjar.
--------------------------------------------------------
Coulibaly aidé pour rejoindre le vestiaire
Blessé, Idrissa Coulibaly ne pouvait même poser son pied droit par terre. D’ailleurs, il a été aidé pour rejoindre le vestiaire.
--------------------------------------------------------
Rial en attaque et en défense
Ali Rial a joué en attaque et en défense lors des dix dernières minutes de la partie. Le défenseur des Canaris voulait donner un plus à son équipe, en infériorité numérique, après l'expulsion de Naïli. Les supporters de la JSK n'ont pas manqué l'occasion de le féliciter pour sa production à la fin de la partie.
--------------------------------------------------------
Le stade explose dès l’entrée des Canaris
Dès l’entrée des coéquipiers du Malien Idrissa Coulibaly pour effectuer les échauffements, le stade a explosé. Des chants pro-JSK scandant la qualification ont été entonnés. Même des fumigènes ont été allumés. Les joueurs ont eu droit à une standing-ovation.
--------------------------------------------------------
Berchiche corrige Damon
Koceïla Berchiche a corrigé l’arbitre de la rencontre Jérôme Damon au moment où il a sifflé un penalty à la 42’ en faveur du TP Mazembe. Le défenseur kabyle, qui était derrière les bois d’Asselah, est rentré sur le terrain pour demander à l’arbitre sud-africain de voir son juge assistant qui a signalé une position de hors-jeu.
--------------------------------------------------------
Damon arrête la partie pour une histoire de bague
Jérôme Damon a arrêté la partie à deux reprises, à cause d’une histoire de bague. Ce dernier a demandé à deux reprises à Mohamed Amine Aoudia d’enlever sa bague.
--------------------------------------------------------
Altercation entre Tedjar et Sanzu
Juste avant la fin de la première mi-temps, une altercation verbale a éclaté entre Saâd Tedjar et Sanzu. Le milieu de terrain kabyle n’a pas accepté qu’il soit taclé par le joueur congolais. Ce dernier a d’ailleurs écopé d’un avertissement.
--------------------------------------------------------
Un ramasseur de balle irrite Damon
En première mi-temps, un ramasseur de balle a arrosé les bois du gardien du TP Mazembe, comme un signe de porte-bonheur. Finalement, l’arbitre de la partie Damon a tout simplement demandé au responsable de la sécurité de faire monter ce jeune dans la tribune.
--------------------------------------------------------
Hannachi dans tous ses états à la mi-temps
A la mi-temps, le président de la JSK, Mohand Cherif Hannachi, était dans tous ses états, après le résultat nul qui était alors enregistré.
--------------------------------------------------------
60’, le stade explose pour pousser les Canaris
A l’heure de jeu, les supporters de la JSK ont commencé à pousser leur équipe. Le stade a explosé de joie, en entonnant des chants. Des fumigènes fusaient des tribunes pour pousser les camarades du capitaine Lamara Douicher.
--------------------------------------------------------
Ziti, Hamiti et Yahia-Cherif chassés lors de l’échauffement
Ziti, Hamiti et Yahia-Cherif ont entamé l’échauffement derrière les bois du gardien du TP Mazembe, contrairement à ce que stipule la réglementation. L’arbitre Jérôme Damon a demandé ainsi au quatrième arbitre de leur demander d’aller dans l’autre camp, soit derrière les bois du gardien de but kabyle, Asselah.
--------------------------------------------------------
Coulibaly quitte le terrain en larmes
Au début de la deuxième mi-temps, Idrissa Coulibaly a laissé sa place à Berchiche, à cause d’une blessure. Le défenseur malien a touché tout le monde. Il était très peiné de laisser ses coéquipiers dans la difficulté.
Le buteur (17/10/2010)
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Apres match JSK 0 - 0 TPM
JSK : Voici comment les joueurs ont vécu l’avant-match !
Quelques heures avant le coup d’envoi, la tension commençait déjà à monter chez les joueurs kabyles qui étaient concentrés sur le grand rendez-vous qui a mis aux prises hier soir la JS Kabylie avec le TP Mazembe. Nul ne doutait de la difficulté de la rencontre qui attendait les Kabyles du moment qu’ils avaient pour mission de marquer deux buts pour arracher le billet de qualification à la finale pour la première fois dans l’histoire du club. Après deux semaines d’entraînement, les coéquipiers de Chamseddine Nessakh étaient plus que jamais prêts à relever le défi contre une équipe qui a su comment marquer trois buts dans son stade à Lubumbashi bien que la prestation des poulains de Geiger ne fût pas décevante du moment qu’ils se sont créés plus de six occasions nettes de scorer en première mi-temps. Il faut signaler que rien ne manquait aux joueurs kabyles qui se trouvaient à la résidence de Hannachi. Même un traiteur a été mis à leur disposition pour leur préparer des repas sportifs pendant la période de préparation de la demi-finale.
9h, bonjour les joueurs !
Après avoir pris part à la dernière séance d’entraînement qui a eu lieu hier à 18h au stade du 1er-Novembre pour mettre en place le schéma tactique, les joueurs ont directement regagné la résidence pour se reposer après une semaine de travail intensif. A 9h du matin, l’ensemble des joueurs était appelé à prendre le petit-déjeuner. Juste après, chacun s’est occupé à lire les journaux ou à se connecter sur internet.
11h, le staff réunit les joueurs
Le staff technique, à sa tête Alain Geiger, a réuni les joueurs par compartiment après le petit-déjeuner. En effet, l’entraîneur a préféré réunir les joueurs par groupe, soit les défenseurs d’abord ensuite les milieux avant de parler avec les attaquants qui avaient pour mission de marquer deux buts pour arracher la qualif’.
12h, le déjeuner est servi
Trois heures après, les joueurs sont réunis autour d’une seule table pour le déjeuner. Le déjeuner terminé, Alain Geiger a profité de l’occasion pour s’adresser aux joueurs, question de les motiver sachant qu’une rencontre de demi-finale avait besoin du maximum de concentration d’autant plus qu’il s’agit de remonter deux buts.
13h, sieste pour tout le monde
Avant une aussi importante rencontre, et après un déjeuner assez léger, le staff technique a invité l’ensemble des joueurs à rejoindre leur chambre pour une sieste de deux heures avant de se lever pour assister à la réunion technique prévue à 16h.
16h, réunion technique
Une fois tout le monde réveillé, la direction du club a programmé une réunion technique avec les joueurs pour parler de la demi-finale et comment faire pour arriver à inscrire les deux buts qui propulseront l’équipe en finale de la Ligue des Champions. Ce fut l’occasion pour l’entraîneur d’annoncer le onze rentrant qui avait pour mission de relever le défi contre le Tout Puissant Mazembe.
18h 30, départ pour le stade
La direction du club a programmé le départ pour le stade à 18h 30, soit une heure et demi avant le coup d’envoi et ce, pour permettre aux joueurs de s’installer dans les vestiaires avant de prendre part à quelques exercices d’échauffement sous l’œil vigilant de l’entraîneur adjoint, Kamal Bouhellal.
--------------------------------------------
Hachemi Djiar et le wali déjeunent avec les joueurs
Alors que certaines parties dans ce pays ont décidé de tout faire pour mettre des bâtons dans les roues du club kabyle, dans le but de le priver d’atteindre la finale de la compétition interclubs la plus prestigieuse du continent africain, les hautes autorités de l’Algérie ont quant à elles décidé de manifester leur soutien total au représentant de l’Algérie dans cette joute africaine. Le ministre de la Jeunesse et des Sports, M. Hachemi Djiar, a une nouvelle fois manifesté sa fidélité et sa solidarité avec la JSK en se rendant hier dans la matinée à Tizi Ouzou avec pour but de rencontrer les joueurs du club kabyle. Le ministre ne s’est pas contenté d’échanger quelques propos avec les coéquipiers de Douicher et de repartir vers Alger. En effet, le premier responsable des sports en Algérie, accompagné par le nouveau wali de Tizi Ouzou, a décidé de déjeuner avec l’ensemble de la formation kabyle au restaurant de la piscine. A l’issue de ce repas, Hachemi Djiar a prononcé un petit discours à l’égard des joueurs pour les encourager avant un tel rendez-vous, et leur a exprimé tout le soutien de l’Etat algérien.
Il a assisté au match
A l’issue de sa rencontre avec les joueurs, le ministre est resté dans la ville des Genêts dans la mesure où il avait prévu d’assister au match, qu’il ne voulait pas rater pour tout l’or du monde. Une autre preuve du soutien de Hachemi Djiar à la JSK.
--------------------------------------------
Ouverture des portails à 15h
La rencontre a débuté à 20h 15, mais les organisateurs ont décidé d’ouvrir les portails donnant accès au stade du 1er-Novembre au milieu de l’après-midi. C’est donc vers 15h que les premiers supporters ont commencé à faire leur entrée dans l’enceinte sportive.
--------------------------------------------
Service de sécurité impressionnant
Le match JSK-TP Mazembe a été placé sous haute sécurité, pour éviter le moindre incident que ce soit en ville ou dans le stade. Pour sécuriser la ville des Genêts, les autorités locales ont même fait appel aux forces de l’ordre des wilayas limitrophes afin que la sécurité soit à son maximum.
--------------------------------------------
Réunion technique vendredi à 19h30
Entre la veille du match et le jour même, les responsables des deux clubs, JSK et TP Mazembe, se sont entendus pour que la réunion technique se déroule vendredi soir, précisément à 19h30. Une réunion importante pour régler tous les détails relatifs à la rencontre.
--------------------------------------------
Déferlante de supporters de tous les horizons
Après l’Equipe nationale, c’est au tour de la JSK de rassembler tous les Algériens autour d’elle. En effet, en effectuant hier avant le match un tour dans la ville des Genêts, et en jetant un petit coup d’œil aux plaques d’immatriculation, nous avons constaté que les voitures venaient de différentes wilayas du pays. On s’attendait à voir seulement des gens venir des wilayas limitrophes, finalement ils sont venus de plus loin pour soutenir la formation kabyle. Par ailleurs, les rues de Tizi Ouzou étaient bien évidemment bariolées aux couleurs de la JSK, le jaune et le vert étaient dominants, mais il faut reconnaître que d’autres couleurs représentant d’autres clubs sont venues s’y mêler. Dans les coins et les recoins de la ville, on voyait passer des groupes de supporters avec des drapeaux des clubs algérois, essentiellement ceux de l’USMA et du MCA.
Le buteur (17/10/2010)
Quelques heures avant le coup d’envoi, la tension commençait déjà à monter chez les joueurs kabyles qui étaient concentrés sur le grand rendez-vous qui a mis aux prises hier soir la JS Kabylie avec le TP Mazembe. Nul ne doutait de la difficulté de la rencontre qui attendait les Kabyles du moment qu’ils avaient pour mission de marquer deux buts pour arracher le billet de qualification à la finale pour la première fois dans l’histoire du club. Après deux semaines d’entraînement, les coéquipiers de Chamseddine Nessakh étaient plus que jamais prêts à relever le défi contre une équipe qui a su comment marquer trois buts dans son stade à Lubumbashi bien que la prestation des poulains de Geiger ne fût pas décevante du moment qu’ils se sont créés plus de six occasions nettes de scorer en première mi-temps. Il faut signaler que rien ne manquait aux joueurs kabyles qui se trouvaient à la résidence de Hannachi. Même un traiteur a été mis à leur disposition pour leur préparer des repas sportifs pendant la période de préparation de la demi-finale.
9h, bonjour les joueurs !
Après avoir pris part à la dernière séance d’entraînement qui a eu lieu hier à 18h au stade du 1er-Novembre pour mettre en place le schéma tactique, les joueurs ont directement regagné la résidence pour se reposer après une semaine de travail intensif. A 9h du matin, l’ensemble des joueurs était appelé à prendre le petit-déjeuner. Juste après, chacun s’est occupé à lire les journaux ou à se connecter sur internet.
11h, le staff réunit les joueurs
Le staff technique, à sa tête Alain Geiger, a réuni les joueurs par compartiment après le petit-déjeuner. En effet, l’entraîneur a préféré réunir les joueurs par groupe, soit les défenseurs d’abord ensuite les milieux avant de parler avec les attaquants qui avaient pour mission de marquer deux buts pour arracher la qualif’.
12h, le déjeuner est servi
Trois heures après, les joueurs sont réunis autour d’une seule table pour le déjeuner. Le déjeuner terminé, Alain Geiger a profité de l’occasion pour s’adresser aux joueurs, question de les motiver sachant qu’une rencontre de demi-finale avait besoin du maximum de concentration d’autant plus qu’il s’agit de remonter deux buts.
13h, sieste pour tout le monde
Avant une aussi importante rencontre, et après un déjeuner assez léger, le staff technique a invité l’ensemble des joueurs à rejoindre leur chambre pour une sieste de deux heures avant de se lever pour assister à la réunion technique prévue à 16h.
16h, réunion technique
Une fois tout le monde réveillé, la direction du club a programmé une réunion technique avec les joueurs pour parler de la demi-finale et comment faire pour arriver à inscrire les deux buts qui propulseront l’équipe en finale de la Ligue des Champions. Ce fut l’occasion pour l’entraîneur d’annoncer le onze rentrant qui avait pour mission de relever le défi contre le Tout Puissant Mazembe.
18h 30, départ pour le stade
La direction du club a programmé le départ pour le stade à 18h 30, soit une heure et demi avant le coup d’envoi et ce, pour permettre aux joueurs de s’installer dans les vestiaires avant de prendre part à quelques exercices d’échauffement sous l’œil vigilant de l’entraîneur adjoint, Kamal Bouhellal.
--------------------------------------------
Hachemi Djiar et le wali déjeunent avec les joueurs
Alors que certaines parties dans ce pays ont décidé de tout faire pour mettre des bâtons dans les roues du club kabyle, dans le but de le priver d’atteindre la finale de la compétition interclubs la plus prestigieuse du continent africain, les hautes autorités de l’Algérie ont quant à elles décidé de manifester leur soutien total au représentant de l’Algérie dans cette joute africaine. Le ministre de la Jeunesse et des Sports, M. Hachemi Djiar, a une nouvelle fois manifesté sa fidélité et sa solidarité avec la JSK en se rendant hier dans la matinée à Tizi Ouzou avec pour but de rencontrer les joueurs du club kabyle. Le ministre ne s’est pas contenté d’échanger quelques propos avec les coéquipiers de Douicher et de repartir vers Alger. En effet, le premier responsable des sports en Algérie, accompagné par le nouveau wali de Tizi Ouzou, a décidé de déjeuner avec l’ensemble de la formation kabyle au restaurant de la piscine. A l’issue de ce repas, Hachemi Djiar a prononcé un petit discours à l’égard des joueurs pour les encourager avant un tel rendez-vous, et leur a exprimé tout le soutien de l’Etat algérien.
Il a assisté au match
A l’issue de sa rencontre avec les joueurs, le ministre est resté dans la ville des Genêts dans la mesure où il avait prévu d’assister au match, qu’il ne voulait pas rater pour tout l’or du monde. Une autre preuve du soutien de Hachemi Djiar à la JSK.
--------------------------------------------
Ouverture des portails à 15h
La rencontre a débuté à 20h 15, mais les organisateurs ont décidé d’ouvrir les portails donnant accès au stade du 1er-Novembre au milieu de l’après-midi. C’est donc vers 15h que les premiers supporters ont commencé à faire leur entrée dans l’enceinte sportive.
--------------------------------------------
Service de sécurité impressionnant
Le match JSK-TP Mazembe a été placé sous haute sécurité, pour éviter le moindre incident que ce soit en ville ou dans le stade. Pour sécuriser la ville des Genêts, les autorités locales ont même fait appel aux forces de l’ordre des wilayas limitrophes afin que la sécurité soit à son maximum.
--------------------------------------------
Réunion technique vendredi à 19h30
Entre la veille du match et le jour même, les responsables des deux clubs, JSK et TP Mazembe, se sont entendus pour que la réunion technique se déroule vendredi soir, précisément à 19h30. Une réunion importante pour régler tous les détails relatifs à la rencontre.
--------------------------------------------
Déferlante de supporters de tous les horizons
Après l’Equipe nationale, c’est au tour de la JSK de rassembler tous les Algériens autour d’elle. En effet, en effectuant hier avant le match un tour dans la ville des Genêts, et en jetant un petit coup d’œil aux plaques d’immatriculation, nous avons constaté que les voitures venaient de différentes wilayas du pays. On s’attendait à voir seulement des gens venir des wilayas limitrophes, finalement ils sont venus de plus loin pour soutenir la formation kabyle. Par ailleurs, les rues de Tizi Ouzou étaient bien évidemment bariolées aux couleurs de la JSK, le jaune et le vert étaient dominants, mais il faut reconnaître que d’autres couleurs représentant d’autres clubs sont venues s’y mêler. Dans les coins et les recoins de la ville, on voyait passer des groupes de supporters avec des drapeaux des clubs algérois, essentiellement ceux de l’USMA et du MCA.
Le buteur (17/10/2010)
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Apres match JSK 0 - 0 TPM
JSK 0 - TP Mazembe 0 : Ils ont tout fait, mais…
Merci JSK !
Comme prévu, dès l’entame de la partie, les Canaris se sont rués vers le camp adverse dans le but de surprendre la défense du TP Mazembe.
D’ailleurs, dès la deuxième minute, une belle action collective à partir de la droite, Remache sert Aoudia bien placé dans la surface de réparation, mais ce dernier a beaucoup temporisé, ce qui a permis à la défense congolaise de se dégager. Cette première alerte a donné des frissons à la défense du Mazembe qui a senti que sa mission sera délicate à Tizi Ouzou.
La domination kabyle s’accentua avec un jeu très léché et axé sur la droite. Les actions des Jaune et Vert démarraient à partir de Remache qui va réussir à alimenter ses coéquipiers par de jolies balles, mais les attaquants manquaient de punch. La meilleure occasion a eu lieu à la 20’ de jeu par Aoudia, lequel profitant d’une belle remise de Nessakh, place sa balle intelligemment qui va ricocher sur le poteau du gardien congolais.
Les joueurs kabyles vont exercer un grand pressing dans le but d’ouvrir le score, mais ni la tête d’Aoudia ni la frappe de Tedjar n’ont pu changer le résultat de la première mi-temps qui s’est achevée sur un score vierge.
Asuka n’a pas soutenu Aoudia
Lors de cette première mi-temps, les poulains de Geiger ont évolué avec un 4-4-2 très mobile basé sur les ailes. Le latéral droit Remache a été très dangereux sur son couloir profitant des espaces laissés par la défense congolaise. D’ailleurs, les actions les plus franches de la JSK dans le premier half sont venues de la droite. En attaque, Aoudia, très remuant et jouant à merveille en déviation, a constitué un poison pour l’arrière-garde congolaise, mais il ne pouvait secouer les filets adverses, ne trouvant pas le soutien de son coéquipier Asuka, trop statique.
De son côté, Tedjar, qui avait pour mission d’organiser le jeu kabyle et de prendre ses responsabilités pour occuper le poste de meneur de jeu, n’a pu tenir ce rôle convenablement.
En seconde période, les Canaris sont rentrés déterminés à rattraper le retard de deux buts. Le coach de la JSK a opéré deux changements dès l’entame du second half en faisant rentrer Berchiche et Yalaoui à la place de Coulibaly et Asuka. Les Kabyles vont prendre le match à leur compte en exerçant un grand pressing sur la défense adverse, mais les attaquants de la JSK vont buter sur un excellent gardien congolais.
Le public kabyle sort de sa torpeur pour soutenir son équipe de la meilleure façon possible afin de pousser ses joueurs à redoubler d’efforts pour marquer.
L’expulsion de Naïli, le tournant
On jouait la 60’de jeu, un corner fut sifflé au profit du TP Mazembe. Soudain, l’arbitre de la rencontre, Gérôme Damon, brandit un carton rouge à l’encontre de Naïli pour un geste anti-sportif.
Cette expulsion a brouillé les cartes de Geiger qui va incorporer Yahia Cherif dans le but de renforcer son attaque afin qu’elle arrive à marquer.
Les joueurs kabyles vont tout donner dans les 30 dernières minutes pour au moins inscrire un but, mais la défense congolaise va réussir à tenir le coup jusqu’au bout en gardant sa cage inviolée.
L’animation offensive a fait défaut
Même si la JSK n’a pas réussi à se qualifier, néanmoins, les joueurs ne sont pas à blâmer, car ils ont tout donné sur le terrain en faisant le maximum pour marquer. La rentrée de Yalaoui a apporté un plus à l’attaque kabyle, car ce joueur était beaucoup plus mobile que Asuka, mais malgré les occasions créées, la défense congolaise veillait au grain. En outre,
L’inexpérience de certains éléments kabyles a été criarde dans cette rencontre, puisqu’on sentait les joueurs trop pressés d’arriver aux filets adverses. Toujours est-il que la JSK avait laissé apparaître des lacunes dans l’animation offensive, ce qui a beaucoup handicapé l’équipe kabyle. L’absence d’un vrai meneur de jeu dans le dispositif tactique mis en place par Geiger n’a pas permis aux Canaris de réaliser le rêve de tous les Algériens qui espéraient une qualification pour la finale de la Champions League africaine, mais la réussite n’a pas été au rendez-vous.
Aoudia très affecté
L’attaquant Aoudia était très affecté à la fin de la rencontre. En effet, juste après le coup de sifflet final de l’arbitre, l’avant-centre des Canaris est resté à terre et il a fallu l’intervention des journalises présents pour lui remonter le moral. Il était très déçu par le score final de cette rencontre.
Compétition (17/10/2010)
Merci JSK !
Comme prévu, dès l’entame de la partie, les Canaris se sont rués vers le camp adverse dans le but de surprendre la défense du TP Mazembe.
D’ailleurs, dès la deuxième minute, une belle action collective à partir de la droite, Remache sert Aoudia bien placé dans la surface de réparation, mais ce dernier a beaucoup temporisé, ce qui a permis à la défense congolaise de se dégager. Cette première alerte a donné des frissons à la défense du Mazembe qui a senti que sa mission sera délicate à Tizi Ouzou.
La domination kabyle s’accentua avec un jeu très léché et axé sur la droite. Les actions des Jaune et Vert démarraient à partir de Remache qui va réussir à alimenter ses coéquipiers par de jolies balles, mais les attaquants manquaient de punch. La meilleure occasion a eu lieu à la 20’ de jeu par Aoudia, lequel profitant d’une belle remise de Nessakh, place sa balle intelligemment qui va ricocher sur le poteau du gardien congolais.
Les joueurs kabyles vont exercer un grand pressing dans le but d’ouvrir le score, mais ni la tête d’Aoudia ni la frappe de Tedjar n’ont pu changer le résultat de la première mi-temps qui s’est achevée sur un score vierge.
Asuka n’a pas soutenu Aoudia
Lors de cette première mi-temps, les poulains de Geiger ont évolué avec un 4-4-2 très mobile basé sur les ailes. Le latéral droit Remache a été très dangereux sur son couloir profitant des espaces laissés par la défense congolaise. D’ailleurs, les actions les plus franches de la JSK dans le premier half sont venues de la droite. En attaque, Aoudia, très remuant et jouant à merveille en déviation, a constitué un poison pour l’arrière-garde congolaise, mais il ne pouvait secouer les filets adverses, ne trouvant pas le soutien de son coéquipier Asuka, trop statique.
De son côté, Tedjar, qui avait pour mission d’organiser le jeu kabyle et de prendre ses responsabilités pour occuper le poste de meneur de jeu, n’a pu tenir ce rôle convenablement.
En seconde période, les Canaris sont rentrés déterminés à rattraper le retard de deux buts. Le coach de la JSK a opéré deux changements dès l’entame du second half en faisant rentrer Berchiche et Yalaoui à la place de Coulibaly et Asuka. Les Kabyles vont prendre le match à leur compte en exerçant un grand pressing sur la défense adverse, mais les attaquants de la JSK vont buter sur un excellent gardien congolais.
Le public kabyle sort de sa torpeur pour soutenir son équipe de la meilleure façon possible afin de pousser ses joueurs à redoubler d’efforts pour marquer.
L’expulsion de Naïli, le tournant
On jouait la 60’de jeu, un corner fut sifflé au profit du TP Mazembe. Soudain, l’arbitre de la rencontre, Gérôme Damon, brandit un carton rouge à l’encontre de Naïli pour un geste anti-sportif.
Cette expulsion a brouillé les cartes de Geiger qui va incorporer Yahia Cherif dans le but de renforcer son attaque afin qu’elle arrive à marquer.
Les joueurs kabyles vont tout donner dans les 30 dernières minutes pour au moins inscrire un but, mais la défense congolaise va réussir à tenir le coup jusqu’au bout en gardant sa cage inviolée.
L’animation offensive a fait défaut
Même si la JSK n’a pas réussi à se qualifier, néanmoins, les joueurs ne sont pas à blâmer, car ils ont tout donné sur le terrain en faisant le maximum pour marquer. La rentrée de Yalaoui a apporté un plus à l’attaque kabyle, car ce joueur était beaucoup plus mobile que Asuka, mais malgré les occasions créées, la défense congolaise veillait au grain. En outre,
L’inexpérience de certains éléments kabyles a été criarde dans cette rencontre, puisqu’on sentait les joueurs trop pressés d’arriver aux filets adverses. Toujours est-il que la JSK avait laissé apparaître des lacunes dans l’animation offensive, ce qui a beaucoup handicapé l’équipe kabyle. L’absence d’un vrai meneur de jeu dans le dispositif tactique mis en place par Geiger n’a pas permis aux Canaris de réaliser le rêve de tous les Algériens qui espéraient une qualification pour la finale de la Champions League africaine, mais la réussite n’a pas été au rendez-vous.
Aoudia très affecté
L’attaquant Aoudia était très affecté à la fin de la rencontre. En effet, juste après le coup de sifflet final de l’arbitre, l’avant-centre des Canaris est resté à terre et il a fallu l’intervention des journalises présents pour lui remonter le moral. Il était très déçu par le score final de cette rencontre.
Compétition (17/10/2010)
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Apres match JSK 0 - 0 TPM
Ambiance des grands jours à Tizi
La rencontre d’hier entre la JSK et le TP Mazembe aura battu tous les records. Des milliers de supporters ont envahi dès les premières heures de la journée les rues de Tizi Ouzou. L’objectif était double :...
...acheter le ticket et accéder tôt au stade pour prendre une place dans les gradins et suivre la rencontre dans de bonnes conditions.
La plupart des fans croisés hier matin devant les portails fermés du 1er-Novembre nous ont déclaré que leur venue au stade tôt la matinée était beaucoup plus «pour s’installer dans un coin stratégique, au virage pour leur plupart». Il faut dire que le mythique virage «romain» du stade de Tizi Ouzou est connu pour être le coin préféré des supporters kabyles, lui qui domine tout le stade et qui offre une vue extraordinaire qui permet aux supporters de ne rien rater.
Vente des billets : souffrance jusqu’au bout
C’est la première fois depuis très longtemps que les supporters kabyles ont souffert pour avoir le ticket d’accès au stade.
Initialement prévue la veille du match après la prière du vendredi, cette opération a été tout simplement annulée par le président du club, en étroite collaboration avec le directeur du stade du 1er-Novembre, objectif : barrer la route au marché noir. Puisque dès la mi-journée, un mouvement inhabituel a été enregistré devant le stade, des bandes connues dans la ville des Genêts pour être les principales animatrices de ce marché noir ont été vues dans les parages du fief de la JSK, ce qui a alerté la direction du club, qui a décidé de reporter l’opération jusqu’à hier, cela a satisfait l’entourage du club, mais pas ces pauvres férus des Jaune et Vert qui se sont déplacés de loin, rien que pour acheter les billets. «Je suis abattu, je viens d’arriver de Bouira, j’ai fait près de 120 kilomètres pour qu’on me dise que je vais retourner bredouille, les gars de mon village vont tous se déplacer au stade et ce sont eux qui m’ont envoyé pour acheter les tickets, comment va-t-on faire maintenant ?» s’est interrogé un quinquagénaire, rencontré la veille devant le portail du stade, qui était dans le même cas qu’un groupe de fans venus d’Alger pour la même raison.
Elle a commencé à 7h30
Lieu : Tizi Ouzou, heure : 7h du matin, les premiers klaxons de véhicules commencent déjà à raisonner dans la ville des Genêts, non ce n’est pas l’habituel embouteillage, mais plutôt des supporters kabyles pas comme les autres, qui étaient en train d’envahir la capitale de la Grande-Kabylie, ils ont choisi de voyager tôt pour pointer devant les guichets dès leur ouverture, qui était programmée à 8h, mais c’est 30 minutes en avance que quelques-uns ont commencé la vente. Pris d’assaut dès le début, ces guichets se sont vite retrouvés libres après une dizaine de minutes seulement, le service d’ordre contrôlait tout, les policiers se sont en effet installés devant les fenêtres des guichets pour empêcher les voleurs de commettre leur job préféré, aussi, ces policiers avaient une autre mission, celle de tout mémoriser, y compris les visages des revendeurs, étant donné que ceux-ci ont l’habitude de tourner autour des guichets pour refaire la chaîne et acheter une dizaine de fois ces chers bouts de papier, afin de vider le stock et prendre le contrôle de l’opération.
300 DA à 200 mètres du stade et 200 DA à 100 mètres :
le marché noir inévitable
Malgré la vigilance du service d’ordre présent en force devant le stade, les revendeurs se sont vite installés. Ainsi, on a vu des jeunes proposer leurs billets pour 300 DA pas loin de l’entrée principale de l’université Mouloud Maâmeri, ils guettaient leurs proies comme des chacals affamés, ils n’hésitaient pas à barrer la route aux automobilistes pour leur faire un cours de marketing sauvage, comme ça dans la rue, la plupart ont préféré refuser ces tickets rouges, voulant d’abord se rendre aux guichets.
A quelques encablures du stade et même devant les points de vente, c’est à 250 DA qu’ils ont été cédés, il était environ 10h30. Deux heures et demie plus tard, c’est-à-dire vers 13h, les guichets étaient déjà fermés, du moins ceux de l’entrée principale, le prix est resté stable à la grande surprise des retardataires, 250 DA seulement, ce qui a fait douter ceux-ci qui ont craint la mise en vente de tickets scannés.
Pendant ce temps, le commerce des vuvuzelas fait rage
C’est l’un des instruments que Tizi Ouzou l’africaine a vite adopté, la célèbre vuvuzela sud-africaine, cette corne bruyante, parfois même assourdissante, est devenue l’un des «outils de travail» des fans kabyles, surtout que l’apparition de cette corne en Coupe du monde a coïncidé avec le parcours extraordinaire de la JSK en Ligue des champions. Cet outil se vend comme des petits pains, chose qui a incité plusieurs jeunes à les proposer dans les rues pour des prix défiant toute concurrence, 100 DA la petite, 200 pour la grande et en jaune et vert ! Cela dit, l’arsenal habituel des ultras était aussi proposé, c’est ainsi qu’on a recensé près de dix commerçants exposant çà et là leurs marchandises, des casquettes, des maillots, des drapeaux kabyles et même du Barça, le club européen le plus adulé par les fans kabyle. «Le Barça est plus qu’un club, la JSK aussi», nous a expliqué un fan qui a acheté un drapeau des Blaugrana pour 500 DA.
La nourriture, l’autre arme pour battre Mazembe
Certains supporters sont arrivés au stade vendredi soir, ils ont passé la nuit dans leurs véhicules, c’est dire l’engouement qui a caractérisé la rencontre d’hier.
D’ailleurs, hier matin, en arrivant devant l’OPOW de Tizi, on a trouvé ces fous de la JSK en train de faire leur toilette, de se laver, direction les cafétérias pour prendre le petit déjeuner. «Comme chez soi, car ici à Tizi un Kabyle se sent toujours chez lui», nous lancera l’un d’entre eux, il nous apprendra que la veille en fin d’après-midi, ils étaient obligés de vider le petit parking jouxtant le stade pour laisser place aux fourgons fast-food mobiles, un autre commerce qui marche bien lorsqu’il s’agit de telles rencontres, certains prenaient déjà des repas complets à 9h du matin et petit à petit, ces véhicules commerciaux, ont été eux aussi envahis. Les fans de la JSK ont compris qu’il fallait bien se nourrir pour avoir de l’énergie, non pas parce que ce sont eux qui allaient jouer le soir, mais «avoir de l’énergie est nécessaire pour bien hurler, n’oubliez pas, le douzième homme peut être décisif», a tenté de nous faire comprendre Lamara, un jeune supporter venu de Beni Zmenzer.
Des véhicules aux couleurs du club, comme lorsque l’EN joue
L’autre fait marquant hier à Tizi Ouzou, ce sont ces nombreux véhicules qui ont quitté tôt le matin les parkings aux couleurs du club phare de la Kabylie, des drapeaux de la JSK, de l’Algérie, mais aussi ceux du Brésil, ont habillé ces automobiles, à l’image d’un Petit-Pain (Ndlr : surnom des petit fourgons de transport urbain à Tizi) couvert de l’avant par un drapeau brésilien, ce qui a fait rigoler quelques passants qui l’ont surnommé le Petit-Pain brésilien. Grâce à son parcours éloquent dans cette Ligue des champions d’Afrique, la JSK a redonné vie à Tizi Ouzou où des ténors du football africain sont tombés, cela veut dire tout simplement que la JSK africaine est désormais de retour, si ce groupe est conservé, nul ne doute qu’elle dominera pour une bonne période le football africain. Le nouveau stade de Boukhalfa, toujours en construction, serait une juste récompense pour ce club pas comme les autres.
Compétition (17/10/2010)
La rencontre d’hier entre la JSK et le TP Mazembe aura battu tous les records. Des milliers de supporters ont envahi dès les premières heures de la journée les rues de Tizi Ouzou. L’objectif était double :...
...acheter le ticket et accéder tôt au stade pour prendre une place dans les gradins et suivre la rencontre dans de bonnes conditions.
La plupart des fans croisés hier matin devant les portails fermés du 1er-Novembre nous ont déclaré que leur venue au stade tôt la matinée était beaucoup plus «pour s’installer dans un coin stratégique, au virage pour leur plupart». Il faut dire que le mythique virage «romain» du stade de Tizi Ouzou est connu pour être le coin préféré des supporters kabyles, lui qui domine tout le stade et qui offre une vue extraordinaire qui permet aux supporters de ne rien rater.
Vente des billets : souffrance jusqu’au bout
C’est la première fois depuis très longtemps que les supporters kabyles ont souffert pour avoir le ticket d’accès au stade.
Initialement prévue la veille du match après la prière du vendredi, cette opération a été tout simplement annulée par le président du club, en étroite collaboration avec le directeur du stade du 1er-Novembre, objectif : barrer la route au marché noir. Puisque dès la mi-journée, un mouvement inhabituel a été enregistré devant le stade, des bandes connues dans la ville des Genêts pour être les principales animatrices de ce marché noir ont été vues dans les parages du fief de la JSK, ce qui a alerté la direction du club, qui a décidé de reporter l’opération jusqu’à hier, cela a satisfait l’entourage du club, mais pas ces pauvres férus des Jaune et Vert qui se sont déplacés de loin, rien que pour acheter les billets. «Je suis abattu, je viens d’arriver de Bouira, j’ai fait près de 120 kilomètres pour qu’on me dise que je vais retourner bredouille, les gars de mon village vont tous se déplacer au stade et ce sont eux qui m’ont envoyé pour acheter les tickets, comment va-t-on faire maintenant ?» s’est interrogé un quinquagénaire, rencontré la veille devant le portail du stade, qui était dans le même cas qu’un groupe de fans venus d’Alger pour la même raison.
Elle a commencé à 7h30
Lieu : Tizi Ouzou, heure : 7h du matin, les premiers klaxons de véhicules commencent déjà à raisonner dans la ville des Genêts, non ce n’est pas l’habituel embouteillage, mais plutôt des supporters kabyles pas comme les autres, qui étaient en train d’envahir la capitale de la Grande-Kabylie, ils ont choisi de voyager tôt pour pointer devant les guichets dès leur ouverture, qui était programmée à 8h, mais c’est 30 minutes en avance que quelques-uns ont commencé la vente. Pris d’assaut dès le début, ces guichets se sont vite retrouvés libres après une dizaine de minutes seulement, le service d’ordre contrôlait tout, les policiers se sont en effet installés devant les fenêtres des guichets pour empêcher les voleurs de commettre leur job préféré, aussi, ces policiers avaient une autre mission, celle de tout mémoriser, y compris les visages des revendeurs, étant donné que ceux-ci ont l’habitude de tourner autour des guichets pour refaire la chaîne et acheter une dizaine de fois ces chers bouts de papier, afin de vider le stock et prendre le contrôle de l’opération.
300 DA à 200 mètres du stade et 200 DA à 100 mètres :
le marché noir inévitable
Malgré la vigilance du service d’ordre présent en force devant le stade, les revendeurs se sont vite installés. Ainsi, on a vu des jeunes proposer leurs billets pour 300 DA pas loin de l’entrée principale de l’université Mouloud Maâmeri, ils guettaient leurs proies comme des chacals affamés, ils n’hésitaient pas à barrer la route aux automobilistes pour leur faire un cours de marketing sauvage, comme ça dans la rue, la plupart ont préféré refuser ces tickets rouges, voulant d’abord se rendre aux guichets.
A quelques encablures du stade et même devant les points de vente, c’est à 250 DA qu’ils ont été cédés, il était environ 10h30. Deux heures et demie plus tard, c’est-à-dire vers 13h, les guichets étaient déjà fermés, du moins ceux de l’entrée principale, le prix est resté stable à la grande surprise des retardataires, 250 DA seulement, ce qui a fait douter ceux-ci qui ont craint la mise en vente de tickets scannés.
Pendant ce temps, le commerce des vuvuzelas fait rage
C’est l’un des instruments que Tizi Ouzou l’africaine a vite adopté, la célèbre vuvuzela sud-africaine, cette corne bruyante, parfois même assourdissante, est devenue l’un des «outils de travail» des fans kabyles, surtout que l’apparition de cette corne en Coupe du monde a coïncidé avec le parcours extraordinaire de la JSK en Ligue des champions. Cet outil se vend comme des petits pains, chose qui a incité plusieurs jeunes à les proposer dans les rues pour des prix défiant toute concurrence, 100 DA la petite, 200 pour la grande et en jaune et vert ! Cela dit, l’arsenal habituel des ultras était aussi proposé, c’est ainsi qu’on a recensé près de dix commerçants exposant çà et là leurs marchandises, des casquettes, des maillots, des drapeaux kabyles et même du Barça, le club européen le plus adulé par les fans kabyle. «Le Barça est plus qu’un club, la JSK aussi», nous a expliqué un fan qui a acheté un drapeau des Blaugrana pour 500 DA.
La nourriture, l’autre arme pour battre Mazembe
Certains supporters sont arrivés au stade vendredi soir, ils ont passé la nuit dans leurs véhicules, c’est dire l’engouement qui a caractérisé la rencontre d’hier.
D’ailleurs, hier matin, en arrivant devant l’OPOW de Tizi, on a trouvé ces fous de la JSK en train de faire leur toilette, de se laver, direction les cafétérias pour prendre le petit déjeuner. «Comme chez soi, car ici à Tizi un Kabyle se sent toujours chez lui», nous lancera l’un d’entre eux, il nous apprendra que la veille en fin d’après-midi, ils étaient obligés de vider le petit parking jouxtant le stade pour laisser place aux fourgons fast-food mobiles, un autre commerce qui marche bien lorsqu’il s’agit de telles rencontres, certains prenaient déjà des repas complets à 9h du matin et petit à petit, ces véhicules commerciaux, ont été eux aussi envahis. Les fans de la JSK ont compris qu’il fallait bien se nourrir pour avoir de l’énergie, non pas parce que ce sont eux qui allaient jouer le soir, mais «avoir de l’énergie est nécessaire pour bien hurler, n’oubliez pas, le douzième homme peut être décisif», a tenté de nous faire comprendre Lamara, un jeune supporter venu de Beni Zmenzer.
Des véhicules aux couleurs du club, comme lorsque l’EN joue
L’autre fait marquant hier à Tizi Ouzou, ce sont ces nombreux véhicules qui ont quitté tôt le matin les parkings aux couleurs du club phare de la Kabylie, des drapeaux de la JSK, de l’Algérie, mais aussi ceux du Brésil, ont habillé ces automobiles, à l’image d’un Petit-Pain (Ndlr : surnom des petit fourgons de transport urbain à Tizi) couvert de l’avant par un drapeau brésilien, ce qui a fait rigoler quelques passants qui l’ont surnommé le Petit-Pain brésilien. Grâce à son parcours éloquent dans cette Ligue des champions d’Afrique, la JSK a redonné vie à Tizi Ouzou où des ténors du football africain sont tombés, cela veut dire tout simplement que la JSK africaine est désormais de retour, si ce groupe est conservé, nul ne doute qu’elle dominera pour une bonne période le football africain. Le nouveau stade de Boukhalfa, toujours en construction, serait une juste récompense pour ce club pas comme les autres.
Compétition (17/10/2010)
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Apres match JSK 0 - 0 TPM
malgré un parcours honorable en ligue des champions d’afrique
La jsk n’ira pas en finale
Tizi Ouzou. Stade du 1er-Novembre. Temps agréable. Tartan en bon état. Bon éclairage. Affluence record. 30 000 spectateurs environ. Arbitrage de Jérôme Damon assisté de Molese Amock et Andrew Rezzers (Afrique du Sud). Commissaire du match : Abdelakim Chelmani (Libye).
Avertissements :
Naïl (42’) - Expulsé (62’)/Yalaoui (85’)
Zunzu (45’) - Ekanga (78’)
Changements :
Coulibaly - Barchiche (46’)
Azuka - Yalaoui (46’)
Nessakh - Yahia-Cherif (66’)
Ekanga - Kasongo (72’)
Buts : 0 - 0
JSK : Asselah, Remache, Oussalah, Coulibaly, Rial, Naïli, Douicher, Tedjar, Nessakh, Aoudia, Azuka.
Ent. Geiger, Bouhella
TP Mazembé : Kidiapa, Mihayo, Nkulukutu, Kasusula, Kimwaki, Sunzu, Bedi, Ekanga, Kabangu, Kaluyituka, Singuluma
Ent. Lamine Ndiaye
Vivement la construction du nouveau stade de 50 000 places de Boukhalfa pour remplacer tant qu’il est temps, l’actuel stade du 1er-Novembre qui ne répond plus aux normes du football international.
Depuis plusieurs décennies, et la JS Kabylie a pris de sont côté des proportions considérables qui font qu’elle a réellement besoin d’un meilleur décor et d’un plus grand espace pour faire face à son standing continental. C’est dire que le stade du 1er-Novembre s’est avéré une fois de plus fort exigu hier soir, à l’occasion de cette superbe demi-finale retour de la Ligue des champions d’Afrique, qui a mis en crise la JSK et TP Mazembé, champion d’Afrique en titre.
Trois heures avant le coup d’envoi sifflé par l’arbitre sud-africain, Jérôme Damon, ils étaient des milliers de supporters à s’entasser comme des sardines en boîte. C’est qu’ils sont venus par dizaine de milliers dans les quatre coins de la Kabylie, mais aussi de plusieurs wilayas du pays. De Tizi Ouzou, Béjaïa, Bouira, Boumerdès, Alger, voir même d’Oran, de Sétif et d’Annaba. Ils ont tenu à relayer la ville des Genêts pour porter à bras le corps cette JSK qui a toujours relevé de gros défis et honoré tel qu’il se doit le football algérien.
Dans un tel décor des grandes circonstances et une ambiance typiquement sud-américaine, les Congolais de l’Ubumubushi étaient visiblement impressionnés et à la limite déboussolés dès l’entame du match.
D’emblée, la JSK met la grosse pression dans le camp congolais et va se ruer résolument vers la cage gardée par l’international Kidiapa. Les Congolais affichaient beaucoup d’affolement et jouent maladroitement la défense en ligne, ce qui aurait pu permettre à Nessakh d’ouvrir le score dès la 7’ du jeu, sur une tête piquée que le gardien congolais déviait furtivement en corner. Avec leur avance de deux buts, les Congolais optent pour une stratégie ultra-défensive et la JSK tente de multiplier les déviations pour tenter de désarticuler la citadelle adverse. Exerçant une grosse domination, la JSK arrive à créer le danger dans le camp adverse et Aoudia a failli réussir le déclic fort attendu lorsque son tire tendu, dévié par un défenseur congolais sur le poteau droit alors que le gardien était archi-battu, car littéralement pris à contre-pied (21’).
Les Congolais tentaient de desserrer les craintes mais la JS Kabylie accentuait la pression sur un centre venu de la droite par Ramache, le gardien congolais rate sa sortie mais Aoudia ne saisit pas sa chance alors que la cage était grande ouverte (31’).
Après la pause, la mission de la JSK devenait de plus en plus complexe, mais les Canaris jetèrent toutes leurs forces dans la bataille et Nessakh armait un tir puissant qui fut contré in extremis par Mihayo (55’). La mission de la JSK ce compliqua davantage à la 59’ de jeu, lorsque Naïli fut expulsé pour une faute que seul le juge de touche Anock a vue pour la signaler à son directeur de jeu qui attendait vraisemblablement une telle aubaine pour amoindrir la JSK. Dès lors, le ressort était cassé et la JSK tenta quelques incursions mais en vain, notamment à la 72’, lorsque Aoudia ratait, la cage vide (72’), alors que ce même Aoudia tentait une pirouette que le gardien Kidiapa captait magistralement.
Pis, ce fut le TP Mezambé qui aurait pu surprendre la JSK sur un tir lointain de Mohayo que Asselah déviait in extremis en corner (61’).
Malgré la pression du public, il était dit que le JSK n’allait pas arracher sa qualification pour une 1re finale historique en Ligue des champions d’Afrique.
Liberté (17/10/2010)
La jsk n’ira pas en finale
Tizi Ouzou. Stade du 1er-Novembre. Temps agréable. Tartan en bon état. Bon éclairage. Affluence record. 30 000 spectateurs environ. Arbitrage de Jérôme Damon assisté de Molese Amock et Andrew Rezzers (Afrique du Sud). Commissaire du match : Abdelakim Chelmani (Libye).
Avertissements :
Naïl (42’) - Expulsé (62’)/Yalaoui (85’)
Zunzu (45’) - Ekanga (78’)
Changements :
Coulibaly - Barchiche (46’)
Azuka - Yalaoui (46’)
Nessakh - Yahia-Cherif (66’)
Ekanga - Kasongo (72’)
Buts : 0 - 0
JSK : Asselah, Remache, Oussalah, Coulibaly, Rial, Naïli, Douicher, Tedjar, Nessakh, Aoudia, Azuka.
Ent. Geiger, Bouhella
TP Mazembé : Kidiapa, Mihayo, Nkulukutu, Kasusula, Kimwaki, Sunzu, Bedi, Ekanga, Kabangu, Kaluyituka, Singuluma
Ent. Lamine Ndiaye
Vivement la construction du nouveau stade de 50 000 places de Boukhalfa pour remplacer tant qu’il est temps, l’actuel stade du 1er-Novembre qui ne répond plus aux normes du football international.
Depuis plusieurs décennies, et la JS Kabylie a pris de sont côté des proportions considérables qui font qu’elle a réellement besoin d’un meilleur décor et d’un plus grand espace pour faire face à son standing continental. C’est dire que le stade du 1er-Novembre s’est avéré une fois de plus fort exigu hier soir, à l’occasion de cette superbe demi-finale retour de la Ligue des champions d’Afrique, qui a mis en crise la JSK et TP Mazembé, champion d’Afrique en titre.
Trois heures avant le coup d’envoi sifflé par l’arbitre sud-africain, Jérôme Damon, ils étaient des milliers de supporters à s’entasser comme des sardines en boîte. C’est qu’ils sont venus par dizaine de milliers dans les quatre coins de la Kabylie, mais aussi de plusieurs wilayas du pays. De Tizi Ouzou, Béjaïa, Bouira, Boumerdès, Alger, voir même d’Oran, de Sétif et d’Annaba. Ils ont tenu à relayer la ville des Genêts pour porter à bras le corps cette JSK qui a toujours relevé de gros défis et honoré tel qu’il se doit le football algérien.
Dans un tel décor des grandes circonstances et une ambiance typiquement sud-américaine, les Congolais de l’Ubumubushi étaient visiblement impressionnés et à la limite déboussolés dès l’entame du match.
D’emblée, la JSK met la grosse pression dans le camp congolais et va se ruer résolument vers la cage gardée par l’international Kidiapa. Les Congolais affichaient beaucoup d’affolement et jouent maladroitement la défense en ligne, ce qui aurait pu permettre à Nessakh d’ouvrir le score dès la 7’ du jeu, sur une tête piquée que le gardien congolais déviait furtivement en corner. Avec leur avance de deux buts, les Congolais optent pour une stratégie ultra-défensive et la JSK tente de multiplier les déviations pour tenter de désarticuler la citadelle adverse. Exerçant une grosse domination, la JSK arrive à créer le danger dans le camp adverse et Aoudia a failli réussir le déclic fort attendu lorsque son tire tendu, dévié par un défenseur congolais sur le poteau droit alors que le gardien était archi-battu, car littéralement pris à contre-pied (21’).
Les Congolais tentaient de desserrer les craintes mais la JS Kabylie accentuait la pression sur un centre venu de la droite par Ramache, le gardien congolais rate sa sortie mais Aoudia ne saisit pas sa chance alors que la cage était grande ouverte (31’).
Après la pause, la mission de la JSK devenait de plus en plus complexe, mais les Canaris jetèrent toutes leurs forces dans la bataille et Nessakh armait un tir puissant qui fut contré in extremis par Mihayo (55’). La mission de la JSK ce compliqua davantage à la 59’ de jeu, lorsque Naïli fut expulsé pour une faute que seul le juge de touche Anock a vue pour la signaler à son directeur de jeu qui attendait vraisemblablement une telle aubaine pour amoindrir la JSK. Dès lors, le ressort était cassé et la JSK tenta quelques incursions mais en vain, notamment à la 72’, lorsque Aoudia ratait, la cage vide (72’), alors que ce même Aoudia tentait une pirouette que le gardien Kidiapa captait magistralement.
Pis, ce fut le TP Mezambé qui aurait pu surprendre la JSK sur un tir lointain de Mohayo que Asselah déviait in extremis en corner (61’).
Malgré la pression du public, il était dit que le JSK n’allait pas arracher sa qualification pour une 1re finale historique en Ligue des champions d’Afrique.
Liberté (17/10/2010)
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Apres match JSK 0 - 0 TPM
22 députés congolais présents à Tizi Ouzou
Insolite ! 22 députés congolais étaient présents hier au stade de Tizi Ouzou au côté de l’ambassadrice de la RDC en Algérie, alors que du côté algérien, l’on a remarqué la présence de El-Hachemi Djiar, le ministre de la Jeunesse et des Sports et du nouveau wali de Tizi Ouzou, Abdelkader Bouazghi.
Liberté (17/10/2010)
Insolite ! 22 députés congolais étaient présents hier au stade de Tizi Ouzou au côté de l’ambassadrice de la RDC en Algérie, alors que du côté algérien, l’on a remarqué la présence de El-Hachemi Djiar, le ministre de la Jeunesse et des Sports et du nouveau wali de Tizi Ouzou, Abdelkader Bouazghi.
Liberté (17/10/2010)
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Apres match JSK 0 - 0 TPM
Après l’élimination de la JSK
Grosse déception dans les rues de Tizi Ouzou
La fête tant attendue et vivement souhaitée n’a finalement pu avoir lieu hier soir dans la ville des genêts où les milliers de supporters, venus des quatre coins du pays, et qui ont envahi la ville de Tizi Ouzou depuis les premières heures de la matinée, précipitaient le pas pour rentrer chez eux avec un cœur des plus lourds et un silence qui en dit long sur leur profonde déception. Pour la plupart, il semblait inutile même d’attendre le coup de sifflet final de l’arbitre. À 15 minutes de la fin du match, des centaines de supporters drapés du jaune et vert commencèrent déjà à quitter, par petits groupes puis de plus en plus nombreux, les tribunes du stade du 1er-novembre de Tizi Ouzou, convaincus que le miracle tant attendu ne se produirait finalement pas ce soir. L’expulsion de Naïli à quelques minutes de la fin de la partie (46’) a visiblement anesthésié, assommé et complètement paralysé ce formidable public de la JSK qui, quelques minutes auparavant, ne jurait encore que par la victoire de ces canaris même s’ils n’arrivaient toujours pas à trouver une faille dans la défense adverse et se frayer le chemin des buts.
Les minutes passent, le temps se compte par seconde et les chances d’ouvrir au moins le score s’amenuisent. Les occasions se suivent et se ressemblent, mais sans pour autant réussir à mettre le cuir dans le cadre. Le désespoir ne cesse de s’installer dans les tribunes du stade et devant tous les écrans de télévision, au même temps que le doute qui gagne les coéquipiers d’Aoudia qui n’avaient pourtant d’autres choix que d’inscrire deux buts pour s’assurer la victoire. Dans les tribunes du stade y avaient encore ceux qui y croient encore. Des fumigènes s’allument de partout et l’ambiance y est toujours. Mais le scénario tant redouté ne tardera pas à se confirmer. La JSK éliminée de la ligue des champions d’Afrique. C’est un véritable couperet qui tombe sur tout Tizi Ouzou où la tristesse courait les rues désertées par les supporters qui, eux, ont vite fait de ranger leurs fanions pour ruminer en silence cette amère défaite servie à satiété par des canaris décevants qui n’ont pas su saisir toutes leurs chances. Une ambiance d’après-match qui contrastait avec celle de la matinée lorsque les montagnes et les plaines se convergeaient vers un seul lieu : le stade du 1er-novembre de Tizi Ouzou dans une ambiance de fête et avec le seul rêve de revoir une JSK qualifiée en finale.
Liberté (17/10/2010)
Grosse déception dans les rues de Tizi Ouzou
La fête tant attendue et vivement souhaitée n’a finalement pu avoir lieu hier soir dans la ville des genêts où les milliers de supporters, venus des quatre coins du pays, et qui ont envahi la ville de Tizi Ouzou depuis les premières heures de la matinée, précipitaient le pas pour rentrer chez eux avec un cœur des plus lourds et un silence qui en dit long sur leur profonde déception. Pour la plupart, il semblait inutile même d’attendre le coup de sifflet final de l’arbitre. À 15 minutes de la fin du match, des centaines de supporters drapés du jaune et vert commencèrent déjà à quitter, par petits groupes puis de plus en plus nombreux, les tribunes du stade du 1er-novembre de Tizi Ouzou, convaincus que le miracle tant attendu ne se produirait finalement pas ce soir. L’expulsion de Naïli à quelques minutes de la fin de la partie (46’) a visiblement anesthésié, assommé et complètement paralysé ce formidable public de la JSK qui, quelques minutes auparavant, ne jurait encore que par la victoire de ces canaris même s’ils n’arrivaient toujours pas à trouver une faille dans la défense adverse et se frayer le chemin des buts.
Les minutes passent, le temps se compte par seconde et les chances d’ouvrir au moins le score s’amenuisent. Les occasions se suivent et se ressemblent, mais sans pour autant réussir à mettre le cuir dans le cadre. Le désespoir ne cesse de s’installer dans les tribunes du stade et devant tous les écrans de télévision, au même temps que le doute qui gagne les coéquipiers d’Aoudia qui n’avaient pourtant d’autres choix que d’inscrire deux buts pour s’assurer la victoire. Dans les tribunes du stade y avaient encore ceux qui y croient encore. Des fumigènes s’allument de partout et l’ambiance y est toujours. Mais le scénario tant redouté ne tardera pas à se confirmer. La JSK éliminée de la ligue des champions d’Afrique. C’est un véritable couperet qui tombe sur tout Tizi Ouzou où la tristesse courait les rues désertées par les supporters qui, eux, ont vite fait de ranger leurs fanions pour ruminer en silence cette amère défaite servie à satiété par des canaris décevants qui n’ont pas su saisir toutes leurs chances. Une ambiance d’après-match qui contrastait avec celle de la matinée lorsque les montagnes et les plaines se convergeaient vers un seul lieu : le stade du 1er-novembre de Tizi Ouzou dans une ambiance de fête et avec le seul rêve de revoir une JSK qualifiée en finale.
Liberté (17/10/2010)
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Apres match JSK 0 - 0 TPM
La JSK sort avec les honneurs
La JSK a été accrochée hier (0-0) sur son terrain par le TP Mazembe dans le match retour de la demi finale de la ligue des champions. Un résultat insuffisant pour les canaris qui avaient été battus au match aller par trois buts et dont l’aventure a pris donc fin hier. Sur l’ensemble des deux manches, le billet revient au club congolais du TP Mazembe qui s’offre ainsi l’un des deux tickets de la finale. Les hommes de Geiger qui étaient soutenus durant tout le match par leur public venu en masse ont dominé leur vis a vis qui s’est recroquevillé en défense. Mais ils ont manqué de réussite devant les bois adverses. Les camarades de Douicher qui ont fini la partie à dix après l’expulsion de Naili se sont procurés plusieurs occasions et n’ont du reste pas à rougir de cette élimination. Le football est ainsi fait. Les Canaris doivent tourner rapidement la page de la ligue des champions et se consacrer désormais sur le championnat.
Djiar a dîné avec les joueurs
Le ministre de la jeunesse et des sports Hachemi Djiar s’est déplacé hier vers 11h à Tizi-Ouzou. Le premier responsable du secteur a tenu à dîner avec les joueurs qui étaient contents de la présence du ministre qui a assisté au match aux cotés des deux Wali, l’ancien Mazouz et le nouveau, Bouazgui , lesquels ont salué les deux équipes avant le début de la partie .
16h, Le stade archi comble
Le stade du 1er novembre qui a fait le plein (35.000 supporters environ) vers 16h soit, une heure seulement après l’ouverture des portes, a renoué, hier, avec l’ambiance des grands jours. Les fans Kabyles qui sont venus de tous les coins de la Kabylie n’ont pas lésiné sur leurs voix pour soutenir leur équipe. Dans les gradins l’ambiance était indescriptible.
DDK (17/10/2010)
La JSK a été accrochée hier (0-0) sur son terrain par le TP Mazembe dans le match retour de la demi finale de la ligue des champions. Un résultat insuffisant pour les canaris qui avaient été battus au match aller par trois buts et dont l’aventure a pris donc fin hier. Sur l’ensemble des deux manches, le billet revient au club congolais du TP Mazembe qui s’offre ainsi l’un des deux tickets de la finale. Les hommes de Geiger qui étaient soutenus durant tout le match par leur public venu en masse ont dominé leur vis a vis qui s’est recroquevillé en défense. Mais ils ont manqué de réussite devant les bois adverses. Les camarades de Douicher qui ont fini la partie à dix après l’expulsion de Naili se sont procurés plusieurs occasions et n’ont du reste pas à rougir de cette élimination. Le football est ainsi fait. Les Canaris doivent tourner rapidement la page de la ligue des champions et se consacrer désormais sur le championnat.
Djiar a dîné avec les joueurs
Le ministre de la jeunesse et des sports Hachemi Djiar s’est déplacé hier vers 11h à Tizi-Ouzou. Le premier responsable du secteur a tenu à dîner avec les joueurs qui étaient contents de la présence du ministre qui a assisté au match aux cotés des deux Wali, l’ancien Mazouz et le nouveau, Bouazgui , lesquels ont salué les deux équipes avant le début de la partie .
16h, Le stade archi comble
Le stade du 1er novembre qui a fait le plein (35.000 supporters environ) vers 16h soit, une heure seulement après l’ouverture des portes, a renoué, hier, avec l’ambiance des grands jours. Les fans Kabyles qui sont venus de tous les coins de la Kabylie n’ont pas lésiné sur leurs voix pour soutenir leur équipe. Dans les gradins l’ambiance était indescriptible.
DDK (17/10/2010)
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Apres match JSK 0 - 0 TPM
Carton Rouge : Honte à vous M. Raouraoua !
Le président de la fédération algérienne de football s’est distingué vulgairement hier soir en boudant l’unique représentant de son pays encore en course en ligue des champions. La logique, le devoir, la décence, la moindre des corrections aurait voulu que Raouraoua soit au stade de Tizi-Ouzou. La JSK jouait tout de même une demi-finale de ligue des champions, une première dans les anales du football algérien qui ne semble pas le réjouir. Alors que la JSK jouait son billet pour la qualification en finale, Raouraoua lui était...sur le plateau de Ness Nessma sur Nessma TV. Honte à vous! Le comble, lors du dernier tour de table pour le mot de la fin, le propriétaire de la chaîne qui lui partageait le plateau n’a pas manqué de souhaiter que la JSK l’emporte face au TP Mazembe. Raouraoua lui n’a soufflé aucun mot. Honte à vous !
DDK (17/10/2010)
Le président de la fédération algérienne de football s’est distingué vulgairement hier soir en boudant l’unique représentant de son pays encore en course en ligue des champions. La logique, le devoir, la décence, la moindre des corrections aurait voulu que Raouraoua soit au stade de Tizi-Ouzou. La JSK jouait tout de même une demi-finale de ligue des champions, une première dans les anales du football algérien qui ne semble pas le réjouir. Alors que la JSK jouait son billet pour la qualification en finale, Raouraoua lui était...sur le plateau de Ness Nessma sur Nessma TV. Honte à vous! Le comble, lors du dernier tour de table pour le mot de la fin, le propriétaire de la chaîne qui lui partageait le plateau n’a pas manqué de souhaiter que la JSK l’emporte face au TP Mazembe. Raouraoua lui n’a soufflé aucun mot. Honte à vous !
DDK (17/10/2010)
- Mayloshi-forever
- Léopard A
- Messages : 8737
- Enregistré le : 16 oct. 2007, 09:33
- Localisation : Kolwezi/Lubumbashi (RDC)
- Contact :
Re: Apres match JSK 0 - 0 TPM
Est ce que Lamine va encore "oser" Mabele en finale comme son predescesseur l'an dernier? Je le souhaite en tout cas!
Alors? La défense du TPM est fébrile? kié kié kié kié! Du coup les 2 qui s'affrontent ce soir auront un peu peurs. Al Ahly parce que la JSK qu'ils n'ont jamais maîtrisé a, elle, été maîtrisée par le TPM; Espérance, parce que la défense Mazembienne n'est plus la même. Elle a appris à subir.
Mais petit à petit j'ai une crainte. Je crains fort que Lamine ne transforme le TP Maz, du mode barça au mode inter, c'est - à - dire plus défensif qu'offensif.
Alors? La défense du TPM est fébrile? kié kié kié kié! Du coup les 2 qui s'affrontent ce soir auront un peu peurs. Al Ahly parce que la JSK qu'ils n'ont jamais maîtrisé a, elle, été maîtrisée par le TPM; Espérance, parce que la défense Mazembienne n'est plus la même. Elle a appris à subir.
Mais petit à petit j'ai une crainte. Je crains fort que Lamine ne transforme le TP Maz, du mode barça au mode inter, c'est - à - dire plus défensif qu'offensif.
Pour ceux qui ne l'ont pas remarqué, je suis gaucher.
"La forteresse des tyrans, c'est l'inertie des peuples"...
"La forteresse des tyrans, c'est l'inertie des peuples"...
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 1 invité