La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
Joseph Kabila en Afrique du sud, les combattants en colère
http://www.congomikili.com/joseph-kabil ... en-colere/
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
[..] La chaine nationale sud-africaine est entrain de diffuser les images des congolais face à KANAMBE .
Suivez les images
IMPACT ET VISION JOHN IMAGE VOL 142 LES COMBATTANTS DE JOBURG
http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... mX_Od7pYRY
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
http://www.apareco-rdc.com/a-la-une/act ... mbeki.html
« Kabila » pris au piège de sa complicité avec le M23
Messe noire à Pretoria autour de TABHO MBEKI
De la rencontre semi-clandestine de près d’une semaine qui a réuni en Afrique du Sud les délégations de la République Démocratique du Congo, du Rwanda, de l’Ouganda et du M23, rien ou presque n’a filtré de cette messe noire. Mais L’œil du Patriote qui veille sur l’évolution du combat patriotique pour mettre fin à l’odieux système d’occupation de la RDC était présent et a suivi pour vous les moindres détails des tractations, des combinaisons et des magouilles qui ont eu lieu dans ce pays qui s’est forgé la responsabilité historique d’héberger les plus sordides complots qui ont conduit au renforcement du pouvoir d’occupation de notre pays par les forces du mal. Rien que les délégations qui ont fait le déplacement de Pretoria révèlent à elles seules l’identités réelles des antagonistes dans ce conflit qu’on voudrait présenter comme étant une affaire interne des Congolais.
Quatre délégations étaient présentes à Pretoria : celles en provenance de Kinshasa, de Kigali, de Kampala et du Kivu occupé. La délégation de Kinshasa était conduite par NTUMBA LUABA de la CEPGL qui était assisté par le Colonel SINDA, le barbouze MATE qui est le numéro deux de l’ANR, le Secrétaire général à la Coopération MONDONGA et le général NYAV qui commande la région militaire dans la Province Orientale. Signe qui ne trompe pas, la délégation rwandaise, elle, fut la plus imposante en qualité et en quantité des membres. Deux ministres, et pas des moindres en faisaient partie. Il s’agit notamment de l’omniprésent ministre de la Défense, le général James KABAREBE qui présidait la délégation, et de la ministre des Affaires étrangères Mme Louise MUSHIKIWABO. Même l’homme considéré comme étant les yeux et les oreilles de Paul KAGAME était présent à Pretoria : il s’agit de Gédéon KAGURA KARUSHURARA, Conseiller spécial du président rwandais. La délégation ougandaise était conduite par le fameux Cyprien NGOS, Chef du Département extérieur de la Sécurité militaire, spécialiste du dossier RDC. Il était assisté par SAIDI DADA SAOLO, un autre responsable des services de renseignements militaires. Quant à la délégation du fameux M23, elle était conduite par le numéro deux de cette organisation, le Colonel Alexis MADIKI. Le Dr TUMBUKA Adrien, le Major KADURA NYARUNGABO et Maître Didier KATEREBE faisaient aussi parti de cette délégation.
Le maître des cérémonies n’était autre qu’un vieux routier, j’allais dire un vieux sorcier qui a officié les précédentes messes noires dont l’une d’elles nous a produit le monstre inoubliable du fameux 1+4 de triste mémoire. L’ancien président sud-africain THABO MBEKI, parce qu’il s’agit bien de lui, est revenu aux affaires ! Il a été l’homme-orchestre de cette rencontre. Il avait à ses côtés un assistant, Gérôme SHABE, qui notait toutes les propositions et réactions des différentes parties.
Comme à Sun City, le Rwanda et l’Ouganda ont pesé de tout leur poids et ont imposé leur dictat concernant les cinq points à l’ordre du jour qui ont constitué d’ailleurs les cinq projets de solutions à la crise :
L’arrêt des hostilités sur le terrain à l’Est de la RDC
La formation d’un Gouvernement d’Union nationale qui doit octroyer au M23 des postes ministériels stratégiques et importants
L’intégration du M23 au sein des FARDC avec reconnaissance des grades actuelles de leurs officiers et l’octroi en leur faveur des postes de commandement stratégique tant à l’Est que dans le reste du territoire national.
Retrait sans condition des mandats d’arrêt lancés contre les cadres politiques et militaires du M23
5.Déclaration obligatoire par « Joseph KABILA» ou son gouvernement reconnaissant publiquement que le Rwanda et l’Ouganda ne sont pas impliqués dans la « rébellion du M23 » en RDC.
Ces exigences ayant dépassé le niveau de responsabilité des délégués de Kinshasa, THABO MBEKI, à la demande expresse du Rwanda et de l’Ouganda, convoqua « Joseph KABILA» qui fit une descente urgente à Pretoria le deuxième jour de la rencontre. Sous les menaces du chef de la délégation rwandaise qui brandissait l’épée du déballage des conditions de création du M23 avec sa complicité, Hyppolite KANAMBE a donné son accord de principe concernant les quatre premiers points. Cependant, il a demandé l’indulgence et la compréhension de ses «maîtres» concernant le cinquième point. Il leur a fait comprendre la menace d’une interpellation qui plane au Parlement et la colère du peuple congolais contre une telle déclaration. Mais ces patrons rwandais n’ont rien voulu entendre ! Ainsi, à la demande de « KABILA », les travaux ont été suspendus jusqu’à lundi prochain 29 octobre. Chaque délégation a constitué des ateliers pour présenter sa reformulation des cinq résolutions. KANAMBE a ainsi reçu un petit moratoire pour réfléchir sur les voies et moyens de satisfaire aux exigences de ses mentors et complices. Que fera-t-il ? Comment s’y prendra-t-il ? Une chose est certaine : depuis le retour des experts de la délégation kinoise de Pretoria jusqu’au moment où nous couchons ces lignes, aucune orientation n’a encore été communiquée aux experts qui ne se sont réunis qu’une seule fois.
La RDC est une fois de plus en passe de vivre un remake de ce qui s’est fait avec le CNDP : L’injection des nouveaux officiers et militaires rwandais dans les FARDC, l’octroi des postes politiques dans le gouvernement et dans les entreprises aux cadres civils rwandais ... et ensuite l’accélération du processus de balkanisation de l’Est de la RDC.
Paris, 27 Octobre 2012
Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE
« Kabila » pris au piège de sa complicité avec le M23
Messe noire à Pretoria autour de TABHO MBEKI
De la rencontre semi-clandestine de près d’une semaine qui a réuni en Afrique du Sud les délégations de la République Démocratique du Congo, du Rwanda, de l’Ouganda et du M23, rien ou presque n’a filtré de cette messe noire. Mais L’œil du Patriote qui veille sur l’évolution du combat patriotique pour mettre fin à l’odieux système d’occupation de la RDC était présent et a suivi pour vous les moindres détails des tractations, des combinaisons et des magouilles qui ont eu lieu dans ce pays qui s’est forgé la responsabilité historique d’héberger les plus sordides complots qui ont conduit au renforcement du pouvoir d’occupation de notre pays par les forces du mal. Rien que les délégations qui ont fait le déplacement de Pretoria révèlent à elles seules l’identités réelles des antagonistes dans ce conflit qu’on voudrait présenter comme étant une affaire interne des Congolais.
Quatre délégations étaient présentes à Pretoria : celles en provenance de Kinshasa, de Kigali, de Kampala et du Kivu occupé. La délégation de Kinshasa était conduite par NTUMBA LUABA de la CEPGL qui était assisté par le Colonel SINDA, le barbouze MATE qui est le numéro deux de l’ANR, le Secrétaire général à la Coopération MONDONGA et le général NYAV qui commande la région militaire dans la Province Orientale. Signe qui ne trompe pas, la délégation rwandaise, elle, fut la plus imposante en qualité et en quantité des membres. Deux ministres, et pas des moindres en faisaient partie. Il s’agit notamment de l’omniprésent ministre de la Défense, le général James KABAREBE qui présidait la délégation, et de la ministre des Affaires étrangères Mme Louise MUSHIKIWABO. Même l’homme considéré comme étant les yeux et les oreilles de Paul KAGAME était présent à Pretoria : il s’agit de Gédéon KAGURA KARUSHURARA, Conseiller spécial du président rwandais. La délégation ougandaise était conduite par le fameux Cyprien NGOS, Chef du Département extérieur de la Sécurité militaire, spécialiste du dossier RDC. Il était assisté par SAIDI DADA SAOLO, un autre responsable des services de renseignements militaires. Quant à la délégation du fameux M23, elle était conduite par le numéro deux de cette organisation, le Colonel Alexis MADIKI. Le Dr TUMBUKA Adrien, le Major KADURA NYARUNGABO et Maître Didier KATEREBE faisaient aussi parti de cette délégation.
Le maître des cérémonies n’était autre qu’un vieux routier, j’allais dire un vieux sorcier qui a officié les précédentes messes noires dont l’une d’elles nous a produit le monstre inoubliable du fameux 1+4 de triste mémoire. L’ancien président sud-africain THABO MBEKI, parce qu’il s’agit bien de lui, est revenu aux affaires ! Il a été l’homme-orchestre de cette rencontre. Il avait à ses côtés un assistant, Gérôme SHABE, qui notait toutes les propositions et réactions des différentes parties.
Comme à Sun City, le Rwanda et l’Ouganda ont pesé de tout leur poids et ont imposé leur dictat concernant les cinq points à l’ordre du jour qui ont constitué d’ailleurs les cinq projets de solutions à la crise :
L’arrêt des hostilités sur le terrain à l’Est de la RDC
La formation d’un Gouvernement d’Union nationale qui doit octroyer au M23 des postes ministériels stratégiques et importants
L’intégration du M23 au sein des FARDC avec reconnaissance des grades actuelles de leurs officiers et l’octroi en leur faveur des postes de commandement stratégique tant à l’Est que dans le reste du territoire national.
Retrait sans condition des mandats d’arrêt lancés contre les cadres politiques et militaires du M23
5.Déclaration obligatoire par « Joseph KABILA» ou son gouvernement reconnaissant publiquement que le Rwanda et l’Ouganda ne sont pas impliqués dans la « rébellion du M23 » en RDC.
Ces exigences ayant dépassé le niveau de responsabilité des délégués de Kinshasa, THABO MBEKI, à la demande expresse du Rwanda et de l’Ouganda, convoqua « Joseph KABILA» qui fit une descente urgente à Pretoria le deuxième jour de la rencontre. Sous les menaces du chef de la délégation rwandaise qui brandissait l’épée du déballage des conditions de création du M23 avec sa complicité, Hyppolite KANAMBE a donné son accord de principe concernant les quatre premiers points. Cependant, il a demandé l’indulgence et la compréhension de ses «maîtres» concernant le cinquième point. Il leur a fait comprendre la menace d’une interpellation qui plane au Parlement et la colère du peuple congolais contre une telle déclaration. Mais ces patrons rwandais n’ont rien voulu entendre ! Ainsi, à la demande de « KABILA », les travaux ont été suspendus jusqu’à lundi prochain 29 octobre. Chaque délégation a constitué des ateliers pour présenter sa reformulation des cinq résolutions. KANAMBE a ainsi reçu un petit moratoire pour réfléchir sur les voies et moyens de satisfaire aux exigences de ses mentors et complices. Que fera-t-il ? Comment s’y prendra-t-il ? Une chose est certaine : depuis le retour des experts de la délégation kinoise de Pretoria jusqu’au moment où nous couchons ces lignes, aucune orientation n’a encore été communiquée aux experts qui ne se sont réunis qu’une seule fois.
La RDC est une fois de plus en passe de vivre un remake de ce qui s’est fait avec le CNDP : L’injection des nouveaux officiers et militaires rwandais dans les FARDC, l’octroi des postes politiques dans le gouvernement et dans les entreprises aux cadres civils rwandais ... et ensuite l’accélération du processus de balkanisation de l’Est de la RDC.
Paris, 27 Octobre 2012
Candide OKEKE
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
http://afrique.kongotimes.info/rdc/dias ... unies.html
RDC : Les femmes Congolaises exigent la révocation du Rwanda au Conseil de Sécurité des Nations-Unies
28/10/2012 07:35:00KongoTimes!
Conseil de sécurité des Nations Unies
C’est avec beaucoup d’indignation et de profonde déception que Nous, FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA, prenons la liberté de vous écrire ce jour afin que vous puissiez inscrire le sujet invoqué ci-haut à l’ordre du jour de la prochaine séance du Conseil de Sécurité à savoir la révocation du siège du Rwanda en tant que membre non-permanent au sein de votre noble institution dont la mission principale lui reconnu par la Charte est le maintien de la paix et de la sécurité internationales. Le Rwanda ne répond à aucun critère afin de pouvoir siéger ensemble avec vous parce que ce pays est en train de commettre des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et des crimes de génocides comme l’attestent plusieurs rapports de vos experts ainsi que par d’autres organisations non-gouvernementales de défense des droits de l’homme.
Ref: FCDD/MCB-RM/002/1012
A Monsieur le Président du Conseil de Sécurité des Nations-Unies, 760 United Nations Plazza, Manhattan, NY 10017, USA
Objet: La révocation du siège Rwanda au Conseil de Sécurité
C’est avec beaucoup d’indignation et de profonde déception que Nous, FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA, prenons la liberté de vous écrire ce jour afin que vous puissiez inscrire le sujet invoqué ci-haut à l’ordre du jour de la prochaine séance du Conseil de Sécurité à savoir la révocation du siège du Rwanda en tant que membre non-permanent au sein de votre noble institution dont la mission principale lui reconnu par la Charte est le maintien de la paix et de la sécurité internationales.
Le Rwanda ne répond à aucun critère afin de pouvoir siéger ensemble avec vous parce que ce pays est en train de commettre des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et des crimes de génocides comme l’attestent plusieurs rapports de vos experts ainsi que par d’autres organisations non-gouvernementales de défense des droits de l’homme.
En dépit de plusieurs protestations, vous aviez délibérément accepté sa candidature et de le faire élire par un vote que nous jugeons cynique car vous n’aviez pas tenu compte de plusieurs rapports de vos experts qui ont démontré avec force détail des agressions maintes fois répétées de ce pays contre la République Démocratique du Congo, agressions qui se sont traduites par 8.000.000 de morts d’innocentes victimes congolaises et enfants massacrés dans des conditions inhumaines ainsi que d’autres enterrées vivantes.
Vous n’allez pas nous dire que vous ignoriez ces faits. Mais, malgré cela, vous aviez accepté de siéger avec ce pays sanguinaire. Permettez-nous de vous dire que vous venez de commettre une entorse grave en violant les prescrits de la charte et du règlement d’ordre intérieur de votre institution.
En effet, en acceptant le Rwanda, c’est comme si vous faites revenir l’Allemagne Nazie dans le concert des nations, en crachant sur la mémoire de 6.000.000 d’innocentes victimes juives, mortes dans des conditions atroces, dans des chambres à gaz, dans le froid, de la malnutrition et des maladies dues a des mauvais traitements leur infligés par les nazis.
En acceptant le Rwanda, vous êtes entrain de cautionner le génocide congolais, planifié par Bill Clinton et ses amis des multinationales qui sont entrain de spolier les richesses de notre pays, comme le fut jadis pour les juifs où l’on avait assisté à un génocide industriel, monstrueux, gigantesque, inoubliable.
Plusieurs millions d'Européens – Juifs ou non - furent assassinés dans les camps de concentration et d'extermination. Les chemins de fer européens, une administration publique, des hommes d'affaires, des industries chimiques, des entreprises de construction... furent réquisitionnés, se portèrent volontaires ou se montrèrent intéressés financièrement pour œuvrer au bon déroulement de cette épuration ethnique et politique.
Rappelez vous qu'à Nuremberg il était fait mention de : PLUS JAMAIS Ça !!! Y a-t-il une amnésie volontaire pour l'HOLOCAUSTE des congolais ? le monde entier est devenu aphone, car les « grands » de ce monde sont entrain de faire un travail ignoble par leur enrichissement illicite au dos des congolais, en se servant gratuitement de ses ressources et participant à l'extermination de ce peuple qui ne demande qu'à vivre ?
Aujourd'hui, nous FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA, savons où se trouvent les assassins, les voleurs, et bandits aux cols blancs qui ont planifié ces crimes qui relèvent de la barbarie, d'une société en perte de civilisation en pleine décadence.
Le peuple congolais vit actuellement le racisme, du fait de la cruauté des descendants du Ku Klux Klan, des négriers, des esclavagistes du 15è, 16è, 17è, 18è, 19è siècle…Encore aujourd'hui, nous ne voyons aucune différence si l’on enjuge les atrocités qu'ont subies les noirs d'Afrique déportés au nouveau monde par la férocité des conquistadors blancs…
Nous ne sommes pas dupes, et sommes conscientes de leur complexe de supériorité, de leur appétit frénétique de l'argent qui les poussent à massacrer, tuer, égorger, voler sans scrupule en RDC.
Les séquelles causées par une idéologie politique raciste comme le national-socialisme restent présentes dans la mémoire collective européenne et mondiale.
En acceptant le Rwanda, vous êtes en train de mettre en pratique les options nazies sur la supériorité des races et vous considérez que nous, bantous sommes inferieurs aux tutsis, qui ont eux, le droit de vie et de mort sur nous peuples bantous que vous considerez comme etant des sous-hommes.
Les gorilles des montagnes attirent votre attention (car cette espèce est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO) et son extension est annoncée par la presse occidentale, qui ne fdait aucun cas du genocide congolais.
Dans notre lettre adressée au Secrétaire Général, nous avions clarifié les choses pour ce qui concerne cette « guerre » qui n’en est pas une, mais une ruée vers le coltan et d’autres matieres strategiques.
Laissez-nous vous donner quelques précisions sur les acteurs impliqués dans des massacres des populations.
Vous le savez aussi bien que nous que les armées régulières du Rwanda, de l’Ouganda et du Burundi agressent continuellement notre pays et ce depuis 1996, et qui sont devenues pour des « forces négatives » que nous, congolais jurons de combattre dès qu’un gouvernement responsable sera établi en République Démocratique du Congo.
Vous le savez aussi bien que depuis l’invasion de notre pays par l’AFDL créée officiellement à Kigali dans le but de chasser du pouvoir le Président Mobutu, les troupes, l’armement et la logistique étaient fournis par le Rwanda, les militaires de l’APR, de l’Ouganda People’s Defence Force (UPDF) et des Forces armées burundaises (FAB) sont entrés en masse au Zaïre. Au cours de cette conquête fulgurante, les éléments de l’AFDL, de l’APR et des FAB ont attaqué et détruit tous les camps de réfugiés hutus rwandais et burundais installés dans les environs d’Uvira, de Bukavu et de Goma.
Vous savez mieux que nous que dans les années 90, Monsieur CLINTON Bill avait réservé une ligne budgétaire pour armer le Rwanda en vue de réduire la RDC à néant suite à une étude conjointe de la CIA et du Pentagone, intitulée : « No Paper Zaïre », a savoir la disparition du Zaïre sur la carte du monde et l’avènement d’un Etat faible qui fait allégeance au Rwanda : La République Démocratique du Congo.
Depuis l’assassinat de Laurent Désiré Kabila par des tueurs-tutsi rwandais avec la complicité de la MONUC, nous assistons à plusieurs mutations et métamorphoses des organisations criminelles tutsi : Les créations du RCD/Goma en 1998, celle du CNDP en 2008 suivi de celle du M23 et aujourd’hui de l’ARC ne sont que des subterfuges de Kagamé pour tenter de cacher son jeu néfaste et criminel. Sur ce point-ci, nous tenons encore ici à clarifier les choses :
Les organisations criminelles tutsies telles que l’AFDL, le RCD/Goma, le CNDP, le M23 et aujourd’hui l’ARC ne sont pas des mouvements de rébellion, mais plutôt des bandes de mercenaires et criminels rwandais qui veulent se faire passer pour des Congolais et ne peuvent en aucun cas bénéficier du statut de prisonniers de guerre.
C’est pour cette raison que Kagamé; spécialiste dans l'histoire des conquêtes militaires apprises aux USA a fait transformer le nom du M23 en celui de ARC (Armée Révolutionnaire du Congo).
Cette nouvelle appellation, vous vous en doutez éveille les curiosités de tous les bons sens au regard de la définition même de l'Armée. C’est encore lui qui avait versé 4 milliards de dollars aux multinationales afin de corrompre les pays qui ont voté pour l’admission du Rwanda au Conseil de Sécurité. Nous savons également et ce depuis longtemps que le parrain attitré de la guerre de l'Est n'est autre que l'ancien Président américain Bill Clinton.
Monsieur le Président du Conseil de Sécurité,
Nous, FEMMES CONGOLAISE DE LA DIASPORA à mettre en évidence un extrait de l’addendum au rapport intérimaire du Groupe d’Experts(1) sur la RDC (S/2012/348) concernant: Violations par le Gouvernement rwandais de l’embargo sur les armes et du régime de sanction, rapport qui établit formellement la culpabilité et la complicité du Rwanda dans des crimes de guerre, crimes contre l’humanité et crimes de génocide en République Démocratique du Congo.
“F. Officiels rwandais responsables pour le soutien au M23
“33. Durant toutes ses enquêtes, le Groupe a systématiquement recueilli des témoignages d‟anciens combattants du M23, de collaborateurs du M23, d‟anciens officiers des FRD, des services de renseignement congolais, des commandants FARDC et des hommes politiques qui affirment l‟implication directe du gouvernement rwandais à un haut niveau dans l‟appui au M23.
a) Le général Jacques Nziza, le secrétaire permanent du Ministre de la Défense, supervise l‟ensemble de l‟appui militaire, financier, et logistique ainsi que les activités de mobilisation en faveur du M23. Il a été récemment déployé à Ruhengeri et à Gisenyi pour coordonner l‟aide et le recrutement pour le M23.
b) Le général James Kabarebe, le Ministre de la défense rwandais, avec l‟aide de son secrétaire personnel le Capitaine Célestin Senkoko, est également une figure centrale pour le recrutement et la mobilisation de soutien politique et militaire au M23. Kabarebe a souvent été en contact direct avec les membres du M23 sur le terrain pour coordonner les activités militaires.
_c) Le général Charles Kayonga, le chef d‟état-major des FRD gère l‟ensemble de l‟aide militaire au M23. Kayonga est régulièrement en communication avec Makenga et a supervisé the transfert des troupes et des armes de Makenga via le Rwanda.
d) Le soutien militaire sur le terrain a été acheminé par le général Emmanuel Ruvusha, le commandant de la division FRD basée à Gisenyi, ainsi que le général Alexi Kagamé, commandant de la division FRD basée à Ruhengeri. Tous deux facilitent le recrutement de civils et de soldats démobilisés pour le M23 et coordonnent les renforts FRD à Runyoni avec les commandants du M23commandant de la division FRD basée à Ruhengeri. Tous deux facilitent le recrutement de civils et de soldats démobilisés pour le M23 et coordonnent les renforts FRD à Runyoni avec les commandants du M23.
e) Le colonel Jomba Gakumba, un natif du Nord-Kivu, qui fut un instructeur FRD à l‟Académie Militaire rwandaise à Gako, a été redéployé à Ruhengeri depuis la création du M23, où il est chargé de commander les opérations militaires locales en soutien au M23.
34. D‟anciens officiers RDF, des hommes politiques, des collaborateurs du M23 ont également informé le Groupe que Ntaganda et Makenga ont régulièrement traversé la frontière avec le
Rwanda pour participer à des réunions avec chacun des hauts officiers FRD mentionnés ci-dessus à Kinigi afin de coordonner les opérations et le ravitaillement. Deux nationaux rwandais du M23, qui se sont rendus depuis, ont assisté à de telles réunions entre Makenga et des hauts officiers FRD à Kinigi, à plusieurs reprises. Les mêmes sources ont aussi déclaré que l‟ancien président du CNDP, le général Laurent Nkunda, officiellement en résidence surveillée par le gouvernement rwandais depuis janvier 2009, vient souvent de Kigali pour participer à ces réunions.
III. Soutien du Rwanda à des groupes armés et des mutineries liées au M23
35. En plus du soutien des FRD au M23, le Groupe a recueilli des preuves indiquant que les officiels rwandais ont apporté leur soutien à d‟autres groupes armés et à des mutineries, utilisant souvent Ntaganda et d‟autres anciens commandants du CNDP pour encourager de telles alliances.
Agissant par l‟intermédiaire de ces groupes armés, les officiels rwandais sont arrivés à affaiblir les FDLR à travers une série d‟assassinats ciblés d‟officiers FDLR. Des officiers du M23 et des leaders de groupes armés ont reconnu que ces alliances ont pour objectif commun de déstabiliser le gouvernement central...”
Monsieur le Président du Conseil de Sécurité,
La présence du Rwanda à ce siège aura un impact négatif sur les populations congolaises victimes de la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo Le Rwanda sera maintenant en mesure de bloquer les sanctions impliquant les officiels rwandais et d’autres initiatives dans la recherche de la paix dans notre pays.
Nous pensons que ce sera une situation grave qui pourra avoir des conséquences négatives sur la population à l’Est de la RDC. Le Rwanda n’est pas crédible pour occuper maintenant ce siège à cause des crimes qu’il a commis dans notre pays, et nous estimons que c’est un conflit d’intérêt d’avoir un pays à la table du conseil de sécurité qui a ouvertement violé l’embargo sur les armes imposé par les Nations unies et qui est en train de soutenir une rébellion dans un pays voisin et qui est responsable des crimes de guerre dirigés par Bosco Ntaganda recherché par la CPI.
Le Conseil de sécurité ayant la responsabilité du maintien de la paix et de la sécurité internationale, ses décisions, résolutions ou déclarations sont en principe contraignantes et doivent recueillir au moins neuf voix sur 15, sans veto. Le Rwanda est un obstacle à la paix en République Démocratique du Congo.
C’est pourquoi, NOUS FEMMES CONGOLAISE DE LA DISPORA, accusons les gouvernements pays membres permanents du Conseil de sécurité tels que, les Etats Unis, la France et la Grande Bretagne de non assistance du Peuple Congolais en danger de mort permanent de la part du Rwanda et qui le laisse perpétrer le génocide du peuple congolais dont le tort est tout simplement d’être des noirs et d’être nés sur un pays riche que DIEU a juré à nos pères de nous le donner.
Nous accusons les pays membres de l’Union Européenne, dont le Prix Nobel de la paix leur avait été indument décerné, du fait de leur complaisance à l’égard du régime de Paul Kagamé dans ses actions criminelles en République Démocratique du Congo.
Nous les accusons également d’avoir imposé Joseph Kabila, un sujet tutsi-rwandais à la tête de la République Démocratique du Congo en 2006 avec l’aval George Bush et de Jacques Chirac au moyen d'élections truquées et financées par l’Union Européenne (UE), que la condition exigée à Joseph Kabila pour rester au pouvoir était qu’il se taise sur les incursions rwandaises à l’Est de la RDC et sur les atrocités commises par les hommes de Kagamé.
Nous accusons les anciens dirigeants occidentaux de racistes pour avoir été au service des multinationales qui tuent et massacrent des populations a l’Est de la RDC tels que George H.W. Bush a servi comme un conseillé payé de Barrick Gold. Parmi les directeurs de Barrick Gold, se trouvent Brian Mulroney, ancien premier ministre du Canada; Edwards Neys, ancien ambassadeur américain au Canada et PDG de Burston-Marsteller, une compagnie de relations publiques; l’ancien sénateur américain Howard Baker; J. Trevor Eyton, un membre du Sénat Canadien; et Vernon Jordan, l’un des avocats de Bill Clinton.
Nous accusons Mr Bill Clinton et Kagame d’être les instigateurs du génocide congolais à la suite de l’assassinat et du crash de l’avion de l’ancien Président rwandais Habyarimana, dont ils furent également les auteurs.
Nous accusons ici formellement Tony Blair, le conseiller personnel de Kagamé, c’est lui qui l’encourage tous les jours de poursuivre des activités criminelles en RDC. C’est Tony Blair qui est le commissionnaire attitres de Kagamé dans les ventes des matières premières volées au Congo.
Nous accusons Nicolas SARKOZY d’encourager le Rwanda et Paul Kagamé de continuer à piller les ressources minières de le la RDC et d’avoir exigé a ce que nous partagions nos richesses avec le Rwanda.
Nous accusons Louis Michel d’avoir truqué des élections en RDC pour lui imposer un sujet tutsi-rwandais afin de pérenniser l’occupation politico- militaire de la RDC. C’est lui qui est l’avocat des criminels rwandais dans toutes les instances internationales.
Nous ne sommes plus dupes car la majorité de l’opinion congolaise et internationale consciente du fait que la guerre au Congo est poussée par le désire d’extraire les matières premières, y compris le diamant, l’or, le colombium tantalite (coltan), le nobium, le cobalt, le cuivre, l’uranium et le pétrole.
Les multinationales occidentales procèdent à l’extraction sans précédente des minerais au Congo, et il est estimé que des tonnes et des tonnes de cobalt d’une valeur de $6 millions par jour rien que le cobalt sort du Congo par jour. Le cobalt est un élément contenant su superalliage, essentiellement nécessaire à l’industrie nucléaire, chimique, l’industrie d’aviation et de défense.
Nous dénonçons Le Groupe Forrest a une longue histoire d’exploitation au Congo, plus que tous les autres. Ce groupe a acquis ses premières concessions minières au Congo avant la déclaration de l’indépendance du Congo des belges. Le Groupe Forrest qui comprend aussi le Groupe OM basé à Ohio, dispose de plusieurs concessions minières au Katanga. Le Chairman George Forrest, ancien PDG de la compagnie minière de l’Etat Congolais, la Gécamines, est propriétaire de New Lachaussse, une firme qui fabrique les armes.
Nous dénonçons le groupe Adastra Mining, qui est l’un des partenaires miniers de Barrick Gold. Adastra Mining, connue sous le nom d’American Mineral Fields (AMFI, AMX, elle a eu d’autres appellations), basée à Hope, Arkansas, la ville natale de Bill Clinton. Adastra jouit des relations de proximité avec Lazare Kaplan International INC., la plus grande compagnie de courtage diamantifère aux États-Unis, et dont le président n’est autre que Maurice Tempelsman, qui a toujours été un conseiller des Affaires Africaines dans les administrations américaines successives. Il a aussi été le Consul Général Honoraire Américain pour la République Démocratique du Congo
Nous dénonçons les activités de plusieurs compagnies minières multinationales qui n’ont jamais été, si pas rarement, mentionnées dans un rapport quelconque des organisations des droits de l’homme, entre autre Barrick Gold, qui opère dans la ville de Watsa, au nord-est de la ville de Bunia, localisées dans des zones où opèrent des bandes armées et qui créent de l’insécurité dans cette partie de la Province Orientale. Ces mines étaient sous le contrôle intermittent des Forces de Défense du Peuple Ougandais (UPDF) pendant la guerre. La multinationale Barrick Gold est arrivé dans la région sous bonne escorte des troupes Rwandaises (Front Patriotic Rwandais, FPR) et Ougandaises (UPDF), pour exploiter et piller les mines d’or.
Nous dénonçons aussi les activités de Anglo-Ashanti appartenant a Kofi Annan, ancien secrétaire général des Nations Unies qui travaille en partenariat avec Anglo-American, une propriété de la famille Oppenheimer qui en son tour est en partenariat avec Barrick Gold, basée au Canada. L’Anglo-American PLC, basée à Londres détient 45% des actions dans DeBeers, qui contrôle le quasi-monopole. Il nous apparait aujourd’hui clair que cet homme est également comptable de crimes commis en RDC et que c’est lui, aux travers de la MONUC, qui avait mis en place des structures de pillages de nos matières premières qui sont négociées a Kigali, Entebbe, Kampala et Bujumbura.
Nous regrettons amèrement que les autres membres des Nations Unies se soient laissés manipuler par les mensonges de ce pays criminel et nous les prions de revenir sur leur vote car à l’allure où vont les choses, une grande majorité des Etats Membres ne font plus confiance aux Nations Unies et pensent sérieusement de mettre en place la construction d’une autre organisation plus crédible dont la base est l’Organisation des pays non-alignés.
Nous souhaiterions que notre pays en fasse partie des lors qu’il sera établi un gouvernement responsable en République.
Aux femmes et aux hommes politiques congolais la Patrie est en danger, nous vous disons de prendre vos responsabilités, car notre pays est en voie d’être balkanisé.
Le député Jose Makila a pris son courage en main pour dénoncer la forfaiture du gouvernement mis en place par les multinationales et les grandes puissances occidentales, vous avez le devoir de réagir et de défendre l’intégrité de notre pays en résistant contre les voyous et les criminels tutsi-rwandais. Car on a installe peu a peu la politique de l’apartheid au Kongo.
Aux medias et aux organisations de défense des droits de l’homme, nous vous remercions par l’avance de diffuser de part le monde ces cris de détresse de Nous, FEMMES CONGOLAISE DE LA DISPORA, mise a part DIEU qui est notre SEUL GARANT et AVOCAT nous vous saurions gré de bien vouloir être les défenseurs de notre noble cause.
Monsieur le Président du Conseil de Sécurité,
Avant de conclure notre lettre, nous tenions à vous rappeler que notre pays est victime des agressions venues spécialement du Rwanda, de l’Ouganda et du Burundi et que la Résolution 3314 de l’Assemblée générale de l’ONU.
En date du 14 décembre 1974, déclare officiellement qu’une guerre d’agression est un crime contre la paix internationale. Elle définit l’agression comme « l’emploi de la force armée par un État contre la souveraineté, l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique d’un autre État », reprenant ainsi la formule du principe de l’interdiction de la force dans les relations internationales, tel qu’on le trouve codifié à l’article 2, paragraphe 4 , de la Charte de l’ONU: Les membres de l’Organisation s’abstiennent, dans leurs relations internationales, de recourir à la menace ou à l’emploi de la force, soit contre l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique de tout État, soit de toute autre manière incompatible avec les buts et principes des Nations Unies ».
Compte tenu de ce qui précède, nous vous prions de bien vouloir transmettre des copies de cette lettre aux représentants de tous les membres de l’Organisation des Nations Unies afin qu’ils se rappellent des principes et des objectifs visés par les Etats Membres étaient de préserver les générations futures du fléau de la guerre. Nous ne pensons pas que le Rwanda souscrit aux dispositions de l’article Ier de la Charte du fait des crimes abominables qu’il commet tous les jours sur le territoire congolais.
Par conséquent, son admission au Conseil de Sécurité est une abomination eu égard à la morale politique qui sied aux nations modernes et nous ne comprenons pas pourquoi l’occident qui a fondé sa civilisation sur la distinction du BIEN et du MAL puisse à ce point se démarquer de ses propres valeurs et qu’il puisse ainsi faire l’apologie du mal en soutenant un pays comme le Rwanda.
DIEU SEUL nous rendra JUSTICE
Fait à Londres, le 24 Octobre 2012.
Pour les FEMMES CONGOLAISES DE LA DISPORA,
Marie-Christine BALANGA
Transmis copie pour information aux:
- Aux Gouvernements des pays membres Permanents du Conseil de Sécurité
- Au Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique
- Au Gouvernement de la Fédération de Russie
- Au Gouvernement de la République Populaire de Chine
- Au Gouvernement de Sa Gracieuse Majesté Britannique
- Au Gouvernement de la République Française (TOUS A NEW-YORK)
- A Sa Sainteté le Pape BENOIT XVI
Au VATICAN
- Aux Chefs de Confessions Religieuse de Eglises Congo et du Monde entier
A tous les Etats Membres des Nations Unies (TOUS A NEW-YORK)
- A tous les Etats Membres de l’Union Européenne (TOUS A BRUXELLES)
- A Monsieur le Secrétaire General des Nations Unies (A NEW YORK)
- A toutes les Sociétés Multinationales spoliant les richesses de la RDC
- Aux femmes et aux hommes politiques congolais
- Aux journalistes de la Presse internationales et nationales congolaise
- Aux Organisations Internationales et nationales de défense des droits de l’homme
RDC : Les femmes Congolaises exigent la révocation du Rwanda au Conseil de Sécurité des Nations-Unies
28/10/2012 07:35:00KongoTimes!
Conseil de sécurité des Nations Unies
C’est avec beaucoup d’indignation et de profonde déception que Nous, FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA, prenons la liberté de vous écrire ce jour afin que vous puissiez inscrire le sujet invoqué ci-haut à l’ordre du jour de la prochaine séance du Conseil de Sécurité à savoir la révocation du siège du Rwanda en tant que membre non-permanent au sein de votre noble institution dont la mission principale lui reconnu par la Charte est le maintien de la paix et de la sécurité internationales. Le Rwanda ne répond à aucun critère afin de pouvoir siéger ensemble avec vous parce que ce pays est en train de commettre des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et des crimes de génocides comme l’attestent plusieurs rapports de vos experts ainsi que par d’autres organisations non-gouvernementales de défense des droits de l’homme.
Ref: FCDD/MCB-RM/002/1012
A Monsieur le Président du Conseil de Sécurité des Nations-Unies, 760 United Nations Plazza, Manhattan, NY 10017, USA
Objet: La révocation du siège Rwanda au Conseil de Sécurité
C’est avec beaucoup d’indignation et de profonde déception que Nous, FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA, prenons la liberté de vous écrire ce jour afin que vous puissiez inscrire le sujet invoqué ci-haut à l’ordre du jour de la prochaine séance du Conseil de Sécurité à savoir la révocation du siège du Rwanda en tant que membre non-permanent au sein de votre noble institution dont la mission principale lui reconnu par la Charte est le maintien de la paix et de la sécurité internationales.
Le Rwanda ne répond à aucun critère afin de pouvoir siéger ensemble avec vous parce que ce pays est en train de commettre des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité et des crimes de génocides comme l’attestent plusieurs rapports de vos experts ainsi que par d’autres organisations non-gouvernementales de défense des droits de l’homme.
En dépit de plusieurs protestations, vous aviez délibérément accepté sa candidature et de le faire élire par un vote que nous jugeons cynique car vous n’aviez pas tenu compte de plusieurs rapports de vos experts qui ont démontré avec force détail des agressions maintes fois répétées de ce pays contre la République Démocratique du Congo, agressions qui se sont traduites par 8.000.000 de morts d’innocentes victimes congolaises et enfants massacrés dans des conditions inhumaines ainsi que d’autres enterrées vivantes.
Vous n’allez pas nous dire que vous ignoriez ces faits. Mais, malgré cela, vous aviez accepté de siéger avec ce pays sanguinaire. Permettez-nous de vous dire que vous venez de commettre une entorse grave en violant les prescrits de la charte et du règlement d’ordre intérieur de votre institution.
En effet, en acceptant le Rwanda, c’est comme si vous faites revenir l’Allemagne Nazie dans le concert des nations, en crachant sur la mémoire de 6.000.000 d’innocentes victimes juives, mortes dans des conditions atroces, dans des chambres à gaz, dans le froid, de la malnutrition et des maladies dues a des mauvais traitements leur infligés par les nazis.
En acceptant le Rwanda, vous êtes entrain de cautionner le génocide congolais, planifié par Bill Clinton et ses amis des multinationales qui sont entrain de spolier les richesses de notre pays, comme le fut jadis pour les juifs où l’on avait assisté à un génocide industriel, monstrueux, gigantesque, inoubliable.
Plusieurs millions d'Européens – Juifs ou non - furent assassinés dans les camps de concentration et d'extermination. Les chemins de fer européens, une administration publique, des hommes d'affaires, des industries chimiques, des entreprises de construction... furent réquisitionnés, se portèrent volontaires ou se montrèrent intéressés financièrement pour œuvrer au bon déroulement de cette épuration ethnique et politique.
Rappelez vous qu'à Nuremberg il était fait mention de : PLUS JAMAIS Ça !!! Y a-t-il une amnésie volontaire pour l'HOLOCAUSTE des congolais ? le monde entier est devenu aphone, car les « grands » de ce monde sont entrain de faire un travail ignoble par leur enrichissement illicite au dos des congolais, en se servant gratuitement de ses ressources et participant à l'extermination de ce peuple qui ne demande qu'à vivre ?
Aujourd'hui, nous FEMMES CONGOLAISES DE LA DIASPORA, savons où se trouvent les assassins, les voleurs, et bandits aux cols blancs qui ont planifié ces crimes qui relèvent de la barbarie, d'une société en perte de civilisation en pleine décadence.
Le peuple congolais vit actuellement le racisme, du fait de la cruauté des descendants du Ku Klux Klan, des négriers, des esclavagistes du 15è, 16è, 17è, 18è, 19è siècle…Encore aujourd'hui, nous ne voyons aucune différence si l’on enjuge les atrocités qu'ont subies les noirs d'Afrique déportés au nouveau monde par la férocité des conquistadors blancs…
Nous ne sommes pas dupes, et sommes conscientes de leur complexe de supériorité, de leur appétit frénétique de l'argent qui les poussent à massacrer, tuer, égorger, voler sans scrupule en RDC.
Les séquelles causées par une idéologie politique raciste comme le national-socialisme restent présentes dans la mémoire collective européenne et mondiale.
En acceptant le Rwanda, vous êtes en train de mettre en pratique les options nazies sur la supériorité des races et vous considérez que nous, bantous sommes inferieurs aux tutsis, qui ont eux, le droit de vie et de mort sur nous peuples bantous que vous considerez comme etant des sous-hommes.
Les gorilles des montagnes attirent votre attention (car cette espèce est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO) et son extension est annoncée par la presse occidentale, qui ne fdait aucun cas du genocide congolais.
Dans notre lettre adressée au Secrétaire Général, nous avions clarifié les choses pour ce qui concerne cette « guerre » qui n’en est pas une, mais une ruée vers le coltan et d’autres matieres strategiques.
Laissez-nous vous donner quelques précisions sur les acteurs impliqués dans des massacres des populations.
Vous le savez aussi bien que nous que les armées régulières du Rwanda, de l’Ouganda et du Burundi agressent continuellement notre pays et ce depuis 1996, et qui sont devenues pour des « forces négatives » que nous, congolais jurons de combattre dès qu’un gouvernement responsable sera établi en République Démocratique du Congo.
Vous le savez aussi bien que depuis l’invasion de notre pays par l’AFDL créée officiellement à Kigali dans le but de chasser du pouvoir le Président Mobutu, les troupes, l’armement et la logistique étaient fournis par le Rwanda, les militaires de l’APR, de l’Ouganda People’s Defence Force (UPDF) et des Forces armées burundaises (FAB) sont entrés en masse au Zaïre. Au cours de cette conquête fulgurante, les éléments de l’AFDL, de l’APR et des FAB ont attaqué et détruit tous les camps de réfugiés hutus rwandais et burundais installés dans les environs d’Uvira, de Bukavu et de Goma.
Vous savez mieux que nous que dans les années 90, Monsieur CLINTON Bill avait réservé une ligne budgétaire pour armer le Rwanda en vue de réduire la RDC à néant suite à une étude conjointe de la CIA et du Pentagone, intitulée : « No Paper Zaïre », a savoir la disparition du Zaïre sur la carte du monde et l’avènement d’un Etat faible qui fait allégeance au Rwanda : La République Démocratique du Congo.
Depuis l’assassinat de Laurent Désiré Kabila par des tueurs-tutsi rwandais avec la complicité de la MONUC, nous assistons à plusieurs mutations et métamorphoses des organisations criminelles tutsi : Les créations du RCD/Goma en 1998, celle du CNDP en 2008 suivi de celle du M23 et aujourd’hui de l’ARC ne sont que des subterfuges de Kagamé pour tenter de cacher son jeu néfaste et criminel. Sur ce point-ci, nous tenons encore ici à clarifier les choses :
Les organisations criminelles tutsies telles que l’AFDL, le RCD/Goma, le CNDP, le M23 et aujourd’hui l’ARC ne sont pas des mouvements de rébellion, mais plutôt des bandes de mercenaires et criminels rwandais qui veulent se faire passer pour des Congolais et ne peuvent en aucun cas bénéficier du statut de prisonniers de guerre.
C’est pour cette raison que Kagamé; spécialiste dans l'histoire des conquêtes militaires apprises aux USA a fait transformer le nom du M23 en celui de ARC (Armée Révolutionnaire du Congo).
Cette nouvelle appellation, vous vous en doutez éveille les curiosités de tous les bons sens au regard de la définition même de l'Armée. C’est encore lui qui avait versé 4 milliards de dollars aux multinationales afin de corrompre les pays qui ont voté pour l’admission du Rwanda au Conseil de Sécurité. Nous savons également et ce depuis longtemps que le parrain attitré de la guerre de l'Est n'est autre que l'ancien Président américain Bill Clinton.
Monsieur le Président du Conseil de Sécurité,
Nous, FEMMES CONGOLAISE DE LA DIASPORA à mettre en évidence un extrait de l’addendum au rapport intérimaire du Groupe d’Experts(1) sur la RDC (S/2012/348) concernant: Violations par le Gouvernement rwandais de l’embargo sur les armes et du régime de sanction, rapport qui établit formellement la culpabilité et la complicité du Rwanda dans des crimes de guerre, crimes contre l’humanité et crimes de génocide en République Démocratique du Congo.
“F. Officiels rwandais responsables pour le soutien au M23
“33. Durant toutes ses enquêtes, le Groupe a systématiquement recueilli des témoignages d‟anciens combattants du M23, de collaborateurs du M23, d‟anciens officiers des FRD, des services de renseignement congolais, des commandants FARDC et des hommes politiques qui affirment l‟implication directe du gouvernement rwandais à un haut niveau dans l‟appui au M23.
a) Le général Jacques Nziza, le secrétaire permanent du Ministre de la Défense, supervise l‟ensemble de l‟appui militaire, financier, et logistique ainsi que les activités de mobilisation en faveur du M23. Il a été récemment déployé à Ruhengeri et à Gisenyi pour coordonner l‟aide et le recrutement pour le M23.
b) Le général James Kabarebe, le Ministre de la défense rwandais, avec l‟aide de son secrétaire personnel le Capitaine Célestin Senkoko, est également une figure centrale pour le recrutement et la mobilisation de soutien politique et militaire au M23. Kabarebe a souvent été en contact direct avec les membres du M23 sur le terrain pour coordonner les activités militaires.
_c) Le général Charles Kayonga, le chef d‟état-major des FRD gère l‟ensemble de l‟aide militaire au M23. Kayonga est régulièrement en communication avec Makenga et a supervisé the transfert des troupes et des armes de Makenga via le Rwanda.
d) Le soutien militaire sur le terrain a été acheminé par le général Emmanuel Ruvusha, le commandant de la division FRD basée à Gisenyi, ainsi que le général Alexi Kagamé, commandant de la division FRD basée à Ruhengeri. Tous deux facilitent le recrutement de civils et de soldats démobilisés pour le M23 et coordonnent les renforts FRD à Runyoni avec les commandants du M23commandant de la division FRD basée à Ruhengeri. Tous deux facilitent le recrutement de civils et de soldats démobilisés pour le M23 et coordonnent les renforts FRD à Runyoni avec les commandants du M23.
e) Le colonel Jomba Gakumba, un natif du Nord-Kivu, qui fut un instructeur FRD à l‟Académie Militaire rwandaise à Gako, a été redéployé à Ruhengeri depuis la création du M23, où il est chargé de commander les opérations militaires locales en soutien au M23.
34. D‟anciens officiers RDF, des hommes politiques, des collaborateurs du M23 ont également informé le Groupe que Ntaganda et Makenga ont régulièrement traversé la frontière avec le
Rwanda pour participer à des réunions avec chacun des hauts officiers FRD mentionnés ci-dessus à Kinigi afin de coordonner les opérations et le ravitaillement. Deux nationaux rwandais du M23, qui se sont rendus depuis, ont assisté à de telles réunions entre Makenga et des hauts officiers FRD à Kinigi, à plusieurs reprises. Les mêmes sources ont aussi déclaré que l‟ancien président du CNDP, le général Laurent Nkunda, officiellement en résidence surveillée par le gouvernement rwandais depuis janvier 2009, vient souvent de Kigali pour participer à ces réunions.
III. Soutien du Rwanda à des groupes armés et des mutineries liées au M23
35. En plus du soutien des FRD au M23, le Groupe a recueilli des preuves indiquant que les officiels rwandais ont apporté leur soutien à d‟autres groupes armés et à des mutineries, utilisant souvent Ntaganda et d‟autres anciens commandants du CNDP pour encourager de telles alliances.
Agissant par l‟intermédiaire de ces groupes armés, les officiels rwandais sont arrivés à affaiblir les FDLR à travers une série d‟assassinats ciblés d‟officiers FDLR. Des officiers du M23 et des leaders de groupes armés ont reconnu que ces alliances ont pour objectif commun de déstabiliser le gouvernement central...”
Monsieur le Président du Conseil de Sécurité,
La présence du Rwanda à ce siège aura un impact négatif sur les populations congolaises victimes de la guerre à l’Est de la République Démocratique du Congo Le Rwanda sera maintenant en mesure de bloquer les sanctions impliquant les officiels rwandais et d’autres initiatives dans la recherche de la paix dans notre pays.
Nous pensons que ce sera une situation grave qui pourra avoir des conséquences négatives sur la population à l’Est de la RDC. Le Rwanda n’est pas crédible pour occuper maintenant ce siège à cause des crimes qu’il a commis dans notre pays, et nous estimons que c’est un conflit d’intérêt d’avoir un pays à la table du conseil de sécurité qui a ouvertement violé l’embargo sur les armes imposé par les Nations unies et qui est en train de soutenir une rébellion dans un pays voisin et qui est responsable des crimes de guerre dirigés par Bosco Ntaganda recherché par la CPI.
Le Conseil de sécurité ayant la responsabilité du maintien de la paix et de la sécurité internationale, ses décisions, résolutions ou déclarations sont en principe contraignantes et doivent recueillir au moins neuf voix sur 15, sans veto. Le Rwanda est un obstacle à la paix en République Démocratique du Congo.
C’est pourquoi, NOUS FEMMES CONGOLAISE DE LA DISPORA, accusons les gouvernements pays membres permanents du Conseil de sécurité tels que, les Etats Unis, la France et la Grande Bretagne de non assistance du Peuple Congolais en danger de mort permanent de la part du Rwanda et qui le laisse perpétrer le génocide du peuple congolais dont le tort est tout simplement d’être des noirs et d’être nés sur un pays riche que DIEU a juré à nos pères de nous le donner.
Nous accusons les pays membres de l’Union Européenne, dont le Prix Nobel de la paix leur avait été indument décerné, du fait de leur complaisance à l’égard du régime de Paul Kagamé dans ses actions criminelles en République Démocratique du Congo.
Nous les accusons également d’avoir imposé Joseph Kabila, un sujet tutsi-rwandais à la tête de la République Démocratique du Congo en 2006 avec l’aval George Bush et de Jacques Chirac au moyen d'élections truquées et financées par l’Union Européenne (UE), que la condition exigée à Joseph Kabila pour rester au pouvoir était qu’il se taise sur les incursions rwandaises à l’Est de la RDC et sur les atrocités commises par les hommes de Kagamé.
Nous accusons les anciens dirigeants occidentaux de racistes pour avoir été au service des multinationales qui tuent et massacrent des populations a l’Est de la RDC tels que George H.W. Bush a servi comme un conseillé payé de Barrick Gold. Parmi les directeurs de Barrick Gold, se trouvent Brian Mulroney, ancien premier ministre du Canada; Edwards Neys, ancien ambassadeur américain au Canada et PDG de Burston-Marsteller, une compagnie de relations publiques; l’ancien sénateur américain Howard Baker; J. Trevor Eyton, un membre du Sénat Canadien; et Vernon Jordan, l’un des avocats de Bill Clinton.
Nous accusons Mr Bill Clinton et Kagame d’être les instigateurs du génocide congolais à la suite de l’assassinat et du crash de l’avion de l’ancien Président rwandais Habyarimana, dont ils furent également les auteurs.
Nous accusons ici formellement Tony Blair, le conseiller personnel de Kagamé, c’est lui qui l’encourage tous les jours de poursuivre des activités criminelles en RDC. C’est Tony Blair qui est le commissionnaire attitres de Kagamé dans les ventes des matières premières volées au Congo.
Nous accusons Nicolas SARKOZY d’encourager le Rwanda et Paul Kagamé de continuer à piller les ressources minières de le la RDC et d’avoir exigé a ce que nous partagions nos richesses avec le Rwanda.
Nous accusons Louis Michel d’avoir truqué des élections en RDC pour lui imposer un sujet tutsi-rwandais afin de pérenniser l’occupation politico- militaire de la RDC. C’est lui qui est l’avocat des criminels rwandais dans toutes les instances internationales.
Nous ne sommes plus dupes car la majorité de l’opinion congolaise et internationale consciente du fait que la guerre au Congo est poussée par le désire d’extraire les matières premières, y compris le diamant, l’or, le colombium tantalite (coltan), le nobium, le cobalt, le cuivre, l’uranium et le pétrole.
Les multinationales occidentales procèdent à l’extraction sans précédente des minerais au Congo, et il est estimé que des tonnes et des tonnes de cobalt d’une valeur de $6 millions par jour rien que le cobalt sort du Congo par jour. Le cobalt est un élément contenant su superalliage, essentiellement nécessaire à l’industrie nucléaire, chimique, l’industrie d’aviation et de défense.
Nous dénonçons Le Groupe Forrest a une longue histoire d’exploitation au Congo, plus que tous les autres. Ce groupe a acquis ses premières concessions minières au Congo avant la déclaration de l’indépendance du Congo des belges. Le Groupe Forrest qui comprend aussi le Groupe OM basé à Ohio, dispose de plusieurs concessions minières au Katanga. Le Chairman George Forrest, ancien PDG de la compagnie minière de l’Etat Congolais, la Gécamines, est propriétaire de New Lachaussse, une firme qui fabrique les armes.
Nous dénonçons le groupe Adastra Mining, qui est l’un des partenaires miniers de Barrick Gold. Adastra Mining, connue sous le nom d’American Mineral Fields (AMFI, AMX, elle a eu d’autres appellations), basée à Hope, Arkansas, la ville natale de Bill Clinton. Adastra jouit des relations de proximité avec Lazare Kaplan International INC., la plus grande compagnie de courtage diamantifère aux États-Unis, et dont le président n’est autre que Maurice Tempelsman, qui a toujours été un conseiller des Affaires Africaines dans les administrations américaines successives. Il a aussi été le Consul Général Honoraire Américain pour la République Démocratique du Congo
Nous dénonçons les activités de plusieurs compagnies minières multinationales qui n’ont jamais été, si pas rarement, mentionnées dans un rapport quelconque des organisations des droits de l’homme, entre autre Barrick Gold, qui opère dans la ville de Watsa, au nord-est de la ville de Bunia, localisées dans des zones où opèrent des bandes armées et qui créent de l’insécurité dans cette partie de la Province Orientale. Ces mines étaient sous le contrôle intermittent des Forces de Défense du Peuple Ougandais (UPDF) pendant la guerre. La multinationale Barrick Gold est arrivé dans la région sous bonne escorte des troupes Rwandaises (Front Patriotic Rwandais, FPR) et Ougandaises (UPDF), pour exploiter et piller les mines d’or.
Nous dénonçons aussi les activités de Anglo-Ashanti appartenant a Kofi Annan, ancien secrétaire général des Nations Unies qui travaille en partenariat avec Anglo-American, une propriété de la famille Oppenheimer qui en son tour est en partenariat avec Barrick Gold, basée au Canada. L’Anglo-American PLC, basée à Londres détient 45% des actions dans DeBeers, qui contrôle le quasi-monopole. Il nous apparait aujourd’hui clair que cet homme est également comptable de crimes commis en RDC et que c’est lui, aux travers de la MONUC, qui avait mis en place des structures de pillages de nos matières premières qui sont négociées a Kigali, Entebbe, Kampala et Bujumbura.
Nous regrettons amèrement que les autres membres des Nations Unies se soient laissés manipuler par les mensonges de ce pays criminel et nous les prions de revenir sur leur vote car à l’allure où vont les choses, une grande majorité des Etats Membres ne font plus confiance aux Nations Unies et pensent sérieusement de mettre en place la construction d’une autre organisation plus crédible dont la base est l’Organisation des pays non-alignés.
Nous souhaiterions que notre pays en fasse partie des lors qu’il sera établi un gouvernement responsable en République.
Aux femmes et aux hommes politiques congolais la Patrie est en danger, nous vous disons de prendre vos responsabilités, car notre pays est en voie d’être balkanisé.
Le député Jose Makila a pris son courage en main pour dénoncer la forfaiture du gouvernement mis en place par les multinationales et les grandes puissances occidentales, vous avez le devoir de réagir et de défendre l’intégrité de notre pays en résistant contre les voyous et les criminels tutsi-rwandais. Car on a installe peu a peu la politique de l’apartheid au Kongo.
Aux medias et aux organisations de défense des droits de l’homme, nous vous remercions par l’avance de diffuser de part le monde ces cris de détresse de Nous, FEMMES CONGOLAISE DE LA DISPORA, mise a part DIEU qui est notre SEUL GARANT et AVOCAT nous vous saurions gré de bien vouloir être les défenseurs de notre noble cause.
Monsieur le Président du Conseil de Sécurité,
Avant de conclure notre lettre, nous tenions à vous rappeler que notre pays est victime des agressions venues spécialement du Rwanda, de l’Ouganda et du Burundi et que la Résolution 3314 de l’Assemblée générale de l’ONU.
En date du 14 décembre 1974, déclare officiellement qu’une guerre d’agression est un crime contre la paix internationale. Elle définit l’agression comme « l’emploi de la force armée par un État contre la souveraineté, l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique d’un autre État », reprenant ainsi la formule du principe de l’interdiction de la force dans les relations internationales, tel qu’on le trouve codifié à l’article 2, paragraphe 4 , de la Charte de l’ONU: Les membres de l’Organisation s’abstiennent, dans leurs relations internationales, de recourir à la menace ou à l’emploi de la force, soit contre l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique de tout État, soit de toute autre manière incompatible avec les buts et principes des Nations Unies ».
Compte tenu de ce qui précède, nous vous prions de bien vouloir transmettre des copies de cette lettre aux représentants de tous les membres de l’Organisation des Nations Unies afin qu’ils se rappellent des principes et des objectifs visés par les Etats Membres étaient de préserver les générations futures du fléau de la guerre. Nous ne pensons pas que le Rwanda souscrit aux dispositions de l’article Ier de la Charte du fait des crimes abominables qu’il commet tous les jours sur le territoire congolais.
Par conséquent, son admission au Conseil de Sécurité est une abomination eu égard à la morale politique qui sied aux nations modernes et nous ne comprenons pas pourquoi l’occident qui a fondé sa civilisation sur la distinction du BIEN et du MAL puisse à ce point se démarquer de ses propres valeurs et qu’il puisse ainsi faire l’apologie du mal en soutenant un pays comme le Rwanda.
DIEU SEUL nous rendra JUSTICE
Fait à Londres, le 24 Octobre 2012.
Pour les FEMMES CONGOLAISES DE LA DISPORA,
Marie-Christine BALANGA
Transmis copie pour information aux:
- Aux Gouvernements des pays membres Permanents du Conseil de Sécurité
- Au Gouvernement des Etats-Unis d’Amérique
- Au Gouvernement de la Fédération de Russie
- Au Gouvernement de la République Populaire de Chine
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- Au Gouvernement de la République Française (TOUS A NEW-YORK)
- A Sa Sainteté le Pape BENOIT XVI
Au VATICAN
- Aux Chefs de Confessions Religieuse de Eglises Congo et du Monde entier
A tous les Etats Membres des Nations Unies (TOUS A NEW-YORK)
- A tous les Etats Membres de l’Union Européenne (TOUS A BRUXELLES)
- A Monsieur le Secrétaire General des Nations Unies (A NEW YORK)
- A toutes les Sociétés Multinationales spoliant les richesses de la RDC
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
ça sent le roussi dans la "kabilie"...
http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7619
Election de gouverneurs de province : «Joseph Kabila» désavoué
La corruption ne paie pas toujours. La démonstration est faite. A Matadi, l’ex-RCD-Goma Déo Nkusu Kunzi Bikawa, vice gouverneur sortant et candidat gouverneur de la province du Bas-Congo sous les couleurs de la «majorité présidentielle» (MP), est en ballottage quasi-défavorable (12 voix/28). Il est devancé par le candidat «indépendant» Jacques Mbandu Nsitu (14 voix/28). Il n’a manqué à celui-ci qu’une voix pour arracher le gouvernorat. Un second tour, prévu mercredi 31 octobre, va départager les deux prétendants. A Kisangani, Province Orientale, l’ex-chef barbouze Jean-Pierre Daruweri Mokobe est éliminé au premier tour. Une terrible humiliation du fait de l’implication personnelle de "Joseph Kabila". Candidat du parti présidentiel, le PPRD (Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie), l’ancien administrateur directeur général de l’Agence nationale de renseignements (ANR) n’a obtenu que 25 voix. Jean Tokole Ilongo (42 voix) doit croiser le fer avec Jean Bamanisa (27 voix).
L’émoi était palpable dimanche 28 octobre dans le premier cercle du pouvoir kabiliste. Plusieurs bonzes de la «majorité présidentielle» étaient tout simplement injoignables au téléphone indique un confrère kinois. «L’élimination de Daruwezi dès le premier tour et la mise en ballottage de Déo Nkusu ont été accueillies comme un coup de tonnerre», confie une source proche de la Présidence de la République.
«Joseph Kabila» à Matadi et Kisangani
Il faut dire que «Joseph Kabila», sortant de son rôle d’arbitre, n’a pas manqué de mouiller la chemise. Histoire de convaincre les grands électeurs que sont les députés provinciaux à faire le «bon choix» en donnant leurs voix aux «candidats de la majorité présidentielle». Samedi 20 octobre, «Joseph» est descendu à Matadi. En personne. Le lendemain, l’homme présida une «séance de travail» avec tous les responsables politico-administratives - dont les 28 élus provinciaux - de la province du Bas-Congo. Selon des sources, cette démarche de «Joseph» a été modérément appréciée. «Kabila a usé parfois d’un ton menaçant pour sensibliser les députés provinciaux à voter pour le ticket Déo Nkusu-Jean-Marie Mulatu», confie un opposant. Mardi 23 octobre, «Joseph» recommençait son manège. Cette fois c’est la ville de Kisangani qui tient lieu de cadre. Le lendemain mercredi, il préside une réunion au siège du gouvernorat de la Province Orientale. Un seul point à l’ordre du jour : le vote en faveur du candidat de la MP Daruwezi Mokobe. Des arguments en espèces sonnantes n’ont pas manqué.
Mercredi 24 octobre, la campagne électorale est lancée. Les postulants ont quatre jours pour convaincre leurs électeurs. Devant une sorte de «jury», composé des représentants de la CENI (Commission électorale nationale indépendante) et de ceux de la division électorale de la Mission onusienne au Congo, les candidats se sont succédés pour défendre leur « projet » autant que les réformes qu’ils comptent conduire. Le développement économique et social de la province, la bonne gouvernance, la sécurité des personnes et des biens ainsi que l’amélioration du quotidien de la population étaient au centre de toutes les interventions.
Le PPRD empêtré dans ses contradictions
A Kisangani, les Boyomais ont vu surgir dans leur ville une forte délégation des membres de la majorité présidentielle. Mission : soutenir le candidat Daruwezi. «La présence des cadres du PPRD dans la ville est un signe de reconnaissance et d’admiration à l’endroit du candidat à cause de plusieurs actions à impact visible posés par lui en faveur de la population de cette partie du pays», indique une dépêche de l’ACP qui cite une source non autrement identifiée. Une immixtion qui n’a pas été du goût de tout le monde. C’est le cas notamment de l’«Observatoire du code d’éthique professionnelle» (OCEP) pour la Province Orientale. Cette organisation n’est pas allée par quatre chemins en appelant les députés provinciaux «à ne pas se laisser corrompre pour l’élection du gouverneur et du vice-gouverneur». A en croire cette association «un montant d’un million de dollars américains» a été mobilisé pour graisser la patte à ces élus locaux. Des bruits analogues circulaient à Matadi.
Dimanche 28 octobre, le vote a eu lieu. Les résultats sont renversants. Les candidats du pouvoir kabiliste sont malmenés : Jean-Pierre Daruwezi Mokobe, l’ex-patron de l’ANR, est éliminé dès le premier tour. Déo Nkusu a pu sauvé "l’honneur". Il est en ballottage quasi-défavorable. Lors de l’élection présidentielle du 28 novembre 2011, le locataire du Palais de la nation avait donné le "mauvais exemple" en se présentant en «candidat indépendant». Pour avoir laissé les cadres du PPRD dénoncer l’implication du Rwanda de Paul Kagame dans la guerre au Nord Kivu - lors d’une «matinée politique» en juin dernier -, Evariste Boshab, secrétaire général de cette formation politique, serait en disgrâce. Le patron de la RTNC (Télévision nationale) a été viré comme un malpropre. Au grand dam de nombreux citoyens qui peinent à comprendre la réticence de « Joseph Kabila » à nommer le Rwanda comme «pays agresseur» lors de ses intervenions.
Signes de temps. Les deux postulants appelés à s’affronter au second tour à Kisangani sont étiquetés «indépendants». Il en est de même de Jacques Mbadu arrivé en tête au Bas-Congo. Le kabilisme serait-il de moins en moins triomphant ? En tous cas, les résultats de ces deux consultations politiques locales ont valeur de sondage d’opinion grandeur nature. Ils ont le mérite de dévoiler au grand jour d’une part, l’impopularité grandissante des « méthodes Kabila » et de l’autre la contestation qui couve au sein de la «majorité présidentielle». Que va faire "Joseph Kabila" face à ce double vote qui est assimilable à un désaveu personnel? Va-t-il "punir" les gouverneurs non issus de son clan politique en leur coupant les "vivres"?
B.A.W
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http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7619
Election de gouverneurs de province : «Joseph Kabila» désavoué
La corruption ne paie pas toujours. La démonstration est faite. A Matadi, l’ex-RCD-Goma Déo Nkusu Kunzi Bikawa, vice gouverneur sortant et candidat gouverneur de la province du Bas-Congo sous les couleurs de la «majorité présidentielle» (MP), est en ballottage quasi-défavorable (12 voix/28). Il est devancé par le candidat «indépendant» Jacques Mbandu Nsitu (14 voix/28). Il n’a manqué à celui-ci qu’une voix pour arracher le gouvernorat. Un second tour, prévu mercredi 31 octobre, va départager les deux prétendants. A Kisangani, Province Orientale, l’ex-chef barbouze Jean-Pierre Daruweri Mokobe est éliminé au premier tour. Une terrible humiliation du fait de l’implication personnelle de "Joseph Kabila". Candidat du parti présidentiel, le PPRD (Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie), l’ancien administrateur directeur général de l’Agence nationale de renseignements (ANR) n’a obtenu que 25 voix. Jean Tokole Ilongo (42 voix) doit croiser le fer avec Jean Bamanisa (27 voix).
L’émoi était palpable dimanche 28 octobre dans le premier cercle du pouvoir kabiliste. Plusieurs bonzes de la «majorité présidentielle» étaient tout simplement injoignables au téléphone indique un confrère kinois. «L’élimination de Daruwezi dès le premier tour et la mise en ballottage de Déo Nkusu ont été accueillies comme un coup de tonnerre», confie une source proche de la Présidence de la République.
«Joseph Kabila» à Matadi et Kisangani
Il faut dire que «Joseph Kabila», sortant de son rôle d’arbitre, n’a pas manqué de mouiller la chemise. Histoire de convaincre les grands électeurs que sont les députés provinciaux à faire le «bon choix» en donnant leurs voix aux «candidats de la majorité présidentielle». Samedi 20 octobre, «Joseph» est descendu à Matadi. En personne. Le lendemain, l’homme présida une «séance de travail» avec tous les responsables politico-administratives - dont les 28 élus provinciaux - de la province du Bas-Congo. Selon des sources, cette démarche de «Joseph» a été modérément appréciée. «Kabila a usé parfois d’un ton menaçant pour sensibliser les députés provinciaux à voter pour le ticket Déo Nkusu-Jean-Marie Mulatu», confie un opposant. Mardi 23 octobre, «Joseph» recommençait son manège. Cette fois c’est la ville de Kisangani qui tient lieu de cadre. Le lendemain mercredi, il préside une réunion au siège du gouvernorat de la Province Orientale. Un seul point à l’ordre du jour : le vote en faveur du candidat de la MP Daruwezi Mokobe. Des arguments en espèces sonnantes n’ont pas manqué.
Mercredi 24 octobre, la campagne électorale est lancée. Les postulants ont quatre jours pour convaincre leurs électeurs. Devant une sorte de «jury», composé des représentants de la CENI (Commission électorale nationale indépendante) et de ceux de la division électorale de la Mission onusienne au Congo, les candidats se sont succédés pour défendre leur « projet » autant que les réformes qu’ils comptent conduire. Le développement économique et social de la province, la bonne gouvernance, la sécurité des personnes et des biens ainsi que l’amélioration du quotidien de la population étaient au centre de toutes les interventions.
Le PPRD empêtré dans ses contradictions
A Kisangani, les Boyomais ont vu surgir dans leur ville une forte délégation des membres de la majorité présidentielle. Mission : soutenir le candidat Daruwezi. «La présence des cadres du PPRD dans la ville est un signe de reconnaissance et d’admiration à l’endroit du candidat à cause de plusieurs actions à impact visible posés par lui en faveur de la population de cette partie du pays», indique une dépêche de l’ACP qui cite une source non autrement identifiée. Une immixtion qui n’a pas été du goût de tout le monde. C’est le cas notamment de l’«Observatoire du code d’éthique professionnelle» (OCEP) pour la Province Orientale. Cette organisation n’est pas allée par quatre chemins en appelant les députés provinciaux «à ne pas se laisser corrompre pour l’élection du gouverneur et du vice-gouverneur». A en croire cette association «un montant d’un million de dollars américains» a été mobilisé pour graisser la patte à ces élus locaux. Des bruits analogues circulaient à Matadi.
Dimanche 28 octobre, le vote a eu lieu. Les résultats sont renversants. Les candidats du pouvoir kabiliste sont malmenés : Jean-Pierre Daruwezi Mokobe, l’ex-patron de l’ANR, est éliminé dès le premier tour. Déo Nkusu a pu sauvé "l’honneur". Il est en ballottage quasi-défavorable. Lors de l’élection présidentielle du 28 novembre 2011, le locataire du Palais de la nation avait donné le "mauvais exemple" en se présentant en «candidat indépendant». Pour avoir laissé les cadres du PPRD dénoncer l’implication du Rwanda de Paul Kagame dans la guerre au Nord Kivu - lors d’une «matinée politique» en juin dernier -, Evariste Boshab, secrétaire général de cette formation politique, serait en disgrâce. Le patron de la RTNC (Télévision nationale) a été viré comme un malpropre. Au grand dam de nombreux citoyens qui peinent à comprendre la réticence de « Joseph Kabila » à nommer le Rwanda comme «pays agresseur» lors de ses intervenions.
Signes de temps. Les deux postulants appelés à s’affronter au second tour à Kisangani sont étiquetés «indépendants». Il en est de même de Jacques Mbadu arrivé en tête au Bas-Congo. Le kabilisme serait-il de moins en moins triomphant ? En tous cas, les résultats de ces deux consultations politiques locales ont valeur de sondage d’opinion grandeur nature. Ils ont le mérite de dévoiler au grand jour d’une part, l’impopularité grandissante des « méthodes Kabila » et de l’autre la contestation qui couve au sein de la «majorité présidentielle». Que va faire "Joseph Kabila" face à ce double vote qui est assimilable à un désaveu personnel? Va-t-il "punir" les gouverneurs non issus de son clan politique en leur coupant les "vivres"?
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
FRANCIS KALOMBO S'ELOIGNE T IL DE KABILA IL CRITIQUE SON REGIME
http://www.youtube.com/watch?v=ag6Oukw00PA
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
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Congo-Rwanda : Un incident qui meurtrit une nation et son armée
La carte d’identité militaire du défunt caporal Nzaza Numa Nyabigoro brandie devant les caméras par un militaire rwandais.
Ce n’est pas une «histoire belge»! Le caporal des FARDC (Forces armées de la RD Congo), Nzaza Numa Nyabigoro, âgé de 24 ans, a été abattu le samedi 3 novembre par un soldat rwandais. Le jeune homme s’était rendu sur le territoire rwandais pour... acheter de la bière ou du lait. Les Rwandais, eux, parlent de «mission de reconnaissance» qu’ils qualifient aussitôt de «provocation». Cet incident pose la question de la qualité de la formation prodiguée aux hommes et femmes qui servent sous le drapeau au "Congo libéré". De nombreux combattants issus des bandes armées qui fleurissent dans les deux Kivu ont été intégrés dans l’armée nationale en l’absence d’une rigoureuse sélection. "Au nom de la paix". Le caporal Nzaza pouvait-il ignorer qu’il se trouvait au Nord Kivu dans une zone opérationnelle et que les relations entre le Congo et le Rwanda n’était plus au beau fixe? Cet incident qui a ôté la vie à un soldat qui allait "acheter de la bière" en pays hostile et non dans une cantine de l’armée pose également la question de la «modernisation» de l’armée nationale promise par «Joseph Kabila» en janvier 2001.
Mourir pour une bière
«Comment pouvez-vous envoyer des troupes en opération en leur donnant seulement un sac de haricots secs ?». Cette phrase ironique a été prononcée par le ministre rwandais de la Défense, James Kabarebe. Celui-ci expliquait à sa manière les causes des contre-performances des éléments des FARDC déployés dans la province du Nord Kivu face à 200 mutins du CNDP-M23. Dans son discours d’investiture, prononcé le 26 janvier 2001, «Joseph Kabila» avait pourtant pris l’"engagement" de transformer l’armée nationale en «une armée moderne, forte, bien équipée» et «capable de défendre la nation en toutes circonstances».
Six mois après le déclenchement de la mutinerie éléments FARDC étiquetés CNDP laquelle s’est muée en rébellion, un accrochage grave a opposé deux soldats congolais à ceux du Rwanda. Porte-parole des FARDC dans le Nord Kivu, le colonel Olivier Hamuli a donné la "version congolaise" des faits. Sans rire, celui-ci a reconnu que le commando congolais a été «surpris en territoire rwandais où il était allé acheter de la bière». «Les militaires rwandais ont tiré sur le commando et ont tué l’un de ses hommes. Le commando a alors répliqué et tué un soldat rwandais», ajoutait Hamuli.
"Mission de reconnaissance"
Maîtrisant à merveille l’art communicationnel autant que la manipulation médiatique, les autorités militaires rwandaises ont fait venir des attachés militaires et des représentants de la presse internationale sur le lieu de l’accroc. C’est devant le corps recouvert du malheureux caporal congolais que le porte-parole de l’armée rwandaise, le brigadier général Joseph Nzabamvita, a fait son «show». Selon lui, les soldats congolais se trouvaient en territoire rwandais «en mission de reconnaissance». C’est ainsi «qu’il y a eu un échange de tirs, qu’il y a bien eu un mort côté congolais, mais que côté rwandais, seul un blessé a été enregistré». Pour lui, cet accrochage est considéré comme un «acte de provocation». Le dimanche 4 novembre, le corps du caporal Nzaza a été rapatrié au Congo. La frontière entre les pays ne se trouvait qu’à deux cent mètres.
A Kinshasa, les «aboyeurs» de la République se taisent non seulement en français mais aussi dans les quatre langues nationales. La «patate chaude», comme disent les Belges, est restée entre les mains d’Olivier Hamuli qui s’est empressé de jouer le «démineur» en clamant que «l’échange des tirs n’impliquait pas les commandements des deux pays». Mardi 6 novembre, cette affaire était au centre de toutes les discussions dans certains milieux de la capitale congolaise. «Tout en compatissant à la mort d’un être humain, je ne peux m’empêcher de constater qu’il y a eu violation de consigne dans le chef de ce caporal. Je me pose la question de savoir s’il avait obtenu l’autorisation de sa hiérarchie». L’homme qui parle est un de ces officiers des FARDC qui passent la journée à se tourner les pouces. Faute d’occupation. Joint au téléphone mardi soir dans la capitale congolaise, il dit : «Ici, les ex-Faz continuent à être mal vus sauf ceux qui jouent aux flagorneurs en baragouinant quelques mots de swahili». Sur un ton aux allures de réquisitoire, l’officier de poursuivre : «La majorité des soldats déployés dans les deux provinces du Kivu n’a pas suivi une formation militaire digne de ce nom. Aucun militaire formé ne peut poser l’acte imputé au défunt caporal». Pour cet officier, ce qui s’est passé samedi dernier met à nu la "déliquescence" de l’armée congolaise. «Et ce par la volonté de Joseph Kabila», souligne-t-il. Selon cet interlocuteur, des informations encore difficiles à vérifier laissent entendre que le «commandant suprême des FARDC» se propose de «faire éclater» les deux bataillons formés par les Belges en éparpillant les éléments qui y sont issus aux quatre coins du pays.
Crise de leadership
Un autre officier contacté ne dit pas autre chose : «Les militaires congolais ne sont pas motivés faute de formation, de commandement efficient ainsi que des conditions sociales dignes d’une armée moderne impliquant le salaire, le logement, la nourriture et les soins médicaux». Pour cet officier, il est "criminel" d’envoyer au front des militaires qui ignore la cause pour laquelle ils se battent. «Les militaires en opération dans les deux Kivu, s’enrage-t-il, sont démotivés notamment par l’ambiguité du comportement de leurs chefs hiérarchiques à l’égard du Rwanda. Cette ambiguïté s’illustre par des ordres les plus irrationnels qu’ils reçoivent sur le terrain». L’homme adopte un discours politique : «Joseph Kabila a peur des militaires formés. Il préfère s’entourer de petits voyous qui peuplent sa garde prétorienne et la police. L’incident qui a lieu sur le sol rwandais a meurtri la nation congolaise et son armée. Notre pays souffre d’une crise de leadership. La population congolaise comptait sur Etienne Tshisekedi. C’est bien dommage de voir que le président de l’UDPS continue à croire qu’il pourrait accéder au pouvoir sans devoir tirer un coup de feu. Des habitants des territoires de Kabeya Kamwanga et Mupompa sont brimés par les sbires du régime Kabila. Il ne dit pas un mot. Trouve-t-il normal de solliciter l’autorisation du général Charles Bisengimana chaque fois qu’il a envie d’aller humer l’air frais ? Il est temps que Tshisekedi comprenne que Joseph Kabila ne respecte que ceux qui lui opposent de la résistance violente. La non-violence prônée par l’UDPS est une plaisanterie qui distrait la population». Et de conclure : «Doter la République démocratique du Congo d’une armée moderne, équipée et bien commandée n’a jamais fait et ne fera jamais partie des priorités de Joseph Kabila. Celui-ci a montré suffisamment que ce pays n’est pas le sien. Il n’y a que les naïfs Congolais qui tardent à regarder la réalité …»
Baudouin Amba Wetshi
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Congo-Rwanda : Un incident qui meurtrit une nation et son armée
La carte d’identité militaire du défunt caporal Nzaza Numa Nyabigoro brandie devant les caméras par un militaire rwandais.
Ce n’est pas une «histoire belge»! Le caporal des FARDC (Forces armées de la RD Congo), Nzaza Numa Nyabigoro, âgé de 24 ans, a été abattu le samedi 3 novembre par un soldat rwandais. Le jeune homme s’était rendu sur le territoire rwandais pour... acheter de la bière ou du lait. Les Rwandais, eux, parlent de «mission de reconnaissance» qu’ils qualifient aussitôt de «provocation». Cet incident pose la question de la qualité de la formation prodiguée aux hommes et femmes qui servent sous le drapeau au "Congo libéré". De nombreux combattants issus des bandes armées qui fleurissent dans les deux Kivu ont été intégrés dans l’armée nationale en l’absence d’une rigoureuse sélection. "Au nom de la paix". Le caporal Nzaza pouvait-il ignorer qu’il se trouvait au Nord Kivu dans une zone opérationnelle et que les relations entre le Congo et le Rwanda n’était plus au beau fixe? Cet incident qui a ôté la vie à un soldat qui allait "acheter de la bière" en pays hostile et non dans une cantine de l’armée pose également la question de la «modernisation» de l’armée nationale promise par «Joseph Kabila» en janvier 2001.
Mourir pour une bière
«Comment pouvez-vous envoyer des troupes en opération en leur donnant seulement un sac de haricots secs ?». Cette phrase ironique a été prononcée par le ministre rwandais de la Défense, James Kabarebe. Celui-ci expliquait à sa manière les causes des contre-performances des éléments des FARDC déployés dans la province du Nord Kivu face à 200 mutins du CNDP-M23. Dans son discours d’investiture, prononcé le 26 janvier 2001, «Joseph Kabila» avait pourtant pris l’"engagement" de transformer l’armée nationale en «une armée moderne, forte, bien équipée» et «capable de défendre la nation en toutes circonstances».
Six mois après le déclenchement de la mutinerie éléments FARDC étiquetés CNDP laquelle s’est muée en rébellion, un accrochage grave a opposé deux soldats congolais à ceux du Rwanda. Porte-parole des FARDC dans le Nord Kivu, le colonel Olivier Hamuli a donné la "version congolaise" des faits. Sans rire, celui-ci a reconnu que le commando congolais a été «surpris en territoire rwandais où il était allé acheter de la bière». «Les militaires rwandais ont tiré sur le commando et ont tué l’un de ses hommes. Le commando a alors répliqué et tué un soldat rwandais», ajoutait Hamuli.
"Mission de reconnaissance"
Maîtrisant à merveille l’art communicationnel autant que la manipulation médiatique, les autorités militaires rwandaises ont fait venir des attachés militaires et des représentants de la presse internationale sur le lieu de l’accroc. C’est devant le corps recouvert du malheureux caporal congolais que le porte-parole de l’armée rwandaise, le brigadier général Joseph Nzabamvita, a fait son «show». Selon lui, les soldats congolais se trouvaient en territoire rwandais «en mission de reconnaissance». C’est ainsi «qu’il y a eu un échange de tirs, qu’il y a bien eu un mort côté congolais, mais que côté rwandais, seul un blessé a été enregistré». Pour lui, cet accrochage est considéré comme un «acte de provocation». Le dimanche 4 novembre, le corps du caporal Nzaza a été rapatrié au Congo. La frontière entre les pays ne se trouvait qu’à deux cent mètres.
A Kinshasa, les «aboyeurs» de la République se taisent non seulement en français mais aussi dans les quatre langues nationales. La «patate chaude», comme disent les Belges, est restée entre les mains d’Olivier Hamuli qui s’est empressé de jouer le «démineur» en clamant que «l’échange des tirs n’impliquait pas les commandements des deux pays». Mardi 6 novembre, cette affaire était au centre de toutes les discussions dans certains milieux de la capitale congolaise. «Tout en compatissant à la mort d’un être humain, je ne peux m’empêcher de constater qu’il y a eu violation de consigne dans le chef de ce caporal. Je me pose la question de savoir s’il avait obtenu l’autorisation de sa hiérarchie». L’homme qui parle est un de ces officiers des FARDC qui passent la journée à se tourner les pouces. Faute d’occupation. Joint au téléphone mardi soir dans la capitale congolaise, il dit : «Ici, les ex-Faz continuent à être mal vus sauf ceux qui jouent aux flagorneurs en baragouinant quelques mots de swahili». Sur un ton aux allures de réquisitoire, l’officier de poursuivre : «La majorité des soldats déployés dans les deux provinces du Kivu n’a pas suivi une formation militaire digne de ce nom. Aucun militaire formé ne peut poser l’acte imputé au défunt caporal». Pour cet officier, ce qui s’est passé samedi dernier met à nu la "déliquescence" de l’armée congolaise. «Et ce par la volonté de Joseph Kabila», souligne-t-il. Selon cet interlocuteur, des informations encore difficiles à vérifier laissent entendre que le «commandant suprême des FARDC» se propose de «faire éclater» les deux bataillons formés par les Belges en éparpillant les éléments qui y sont issus aux quatre coins du pays.
Crise de leadership
Un autre officier contacté ne dit pas autre chose : «Les militaires congolais ne sont pas motivés faute de formation, de commandement efficient ainsi que des conditions sociales dignes d’une armée moderne impliquant le salaire, le logement, la nourriture et les soins médicaux». Pour cet officier, il est "criminel" d’envoyer au front des militaires qui ignore la cause pour laquelle ils se battent. «Les militaires en opération dans les deux Kivu, s’enrage-t-il, sont démotivés notamment par l’ambiguité du comportement de leurs chefs hiérarchiques à l’égard du Rwanda. Cette ambiguïté s’illustre par des ordres les plus irrationnels qu’ils reçoivent sur le terrain». L’homme adopte un discours politique : «Joseph Kabila a peur des militaires formés. Il préfère s’entourer de petits voyous qui peuplent sa garde prétorienne et la police. L’incident qui a lieu sur le sol rwandais a meurtri la nation congolaise et son armée. Notre pays souffre d’une crise de leadership. La population congolaise comptait sur Etienne Tshisekedi. C’est bien dommage de voir que le président de l’UDPS continue à croire qu’il pourrait accéder au pouvoir sans devoir tirer un coup de feu. Des habitants des territoires de Kabeya Kamwanga et Mupompa sont brimés par les sbires du régime Kabila. Il ne dit pas un mot. Trouve-t-il normal de solliciter l’autorisation du général Charles Bisengimana chaque fois qu’il a envie d’aller humer l’air frais ? Il est temps que Tshisekedi comprenne que Joseph Kabila ne respecte que ceux qui lui opposent de la résistance violente. La non-violence prônée par l’UDPS est une plaisanterie qui distrait la population». Et de conclure : «Doter la République démocratique du Congo d’une armée moderne, équipée et bien commandée n’a jamais fait et ne fera jamais partie des priorités de Joseph Kabila. Celui-ci a montré suffisamment que ce pays n’est pas le sien. Il n’y a que les naïfs Congolais qui tardent à regarder la réalité …»
Baudouin Amba Wetshi
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
http://kongolibre.over-blog.com/article ... 38706.html
URGENT : CONFIRMATION DE L'ARRESTATION DES GARDES DU CORPS DE BOSCO NTANGANDA
URGENT : CONFORMATION DE L'ARRESTATION DES GARDES DU CORPS DE BOSCO NTANGANDA
DU 10 au 12 novembre 2012, les FDDC ( Forces du Droit pour la Défense des Citoyens) ont procédé à l'arrestation des gardes du corps de
Bosco Ntanganda en Ituri en territoire de Djugu, non loin de Bunia, Province Orientale, RDCongo.
Ces gardes sont placés en lieu sûr jusqu'au jour de leur présentation au public et à la justice internationale.
Les précisions sur Bosco Ntanganda seront données dans les prochains jours ou heures.
Les prévenus seront remis à la justice en présence des délégués de la CPI dans un endroit que les FDDC choisiront.
Pour rappel, les FDDC sont une armée "nouvel esprit" composée des officiers et soldats congolo-congolais
envoyés en guerre à l'Est du pays sans munitions par J.Kabila; ayant constaté que ce dernier les a envoyés à la guerre,
sans munitions pour y être tués, ensemble ils ont décidés d'être utiles à la population aux lieux où ils se trouvent. Leur idéologie est la la défense du territoire, la protection de la population, la protection de leurs biens et de leur dignité.
Ce sont les forces armées de la Nation congolaise demain et non d'un individu ou parti politique quelconque.
Depuis que ces forces sont là, les femmes vont au champ accompagnées de leurs protecteurs.
Pour la première fois depuis 1996, les femmes cultivent leurs champs et leurs familles mangent du produit des champs.
Dans les parties où les FDDC sont, il n'y a plus de viol, vol, exactions ou indiscipline militaire.
Tout comportement en violation du règlement militaire est sévèrement sanctionné.
Publié à Londres le 13 novembre 2012
Maître Marie-Thérèse Nlandu,
URGENT : CONFIRMATION DE L'ARRESTATION DES GARDES DU CORPS DE BOSCO NTANGANDA
URGENT : CONFORMATION DE L'ARRESTATION DES GARDES DU CORPS DE BOSCO NTANGANDA
DU 10 au 12 novembre 2012, les FDDC ( Forces du Droit pour la Défense des Citoyens) ont procédé à l'arrestation des gardes du corps de
Bosco Ntanganda en Ituri en territoire de Djugu, non loin de Bunia, Province Orientale, RDCongo.
Ces gardes sont placés en lieu sûr jusqu'au jour de leur présentation au public et à la justice internationale.
Les précisions sur Bosco Ntanganda seront données dans les prochains jours ou heures.
Les prévenus seront remis à la justice en présence des délégués de la CPI dans un endroit que les FDDC choisiront.
Pour rappel, les FDDC sont une armée "nouvel esprit" composée des officiers et soldats congolo-congolais
envoyés en guerre à l'Est du pays sans munitions par J.Kabila; ayant constaté que ce dernier les a envoyés à la guerre,
sans munitions pour y être tués, ensemble ils ont décidés d'être utiles à la population aux lieux où ils se trouvent. Leur idéologie est la la défense du territoire, la protection de la population, la protection de leurs biens et de leur dignité.
Ce sont les forces armées de la Nation congolaise demain et non d'un individu ou parti politique quelconque.
Depuis que ces forces sont là, les femmes vont au champ accompagnées de leurs protecteurs.
Pour la première fois depuis 1996, les femmes cultivent leurs champs et leurs familles mangent du produit des champs.
Dans les parties où les FDDC sont, il n'y a plus de viol, vol, exactions ou indiscipline militaire.
Tout comportement en violation du règlement militaire est sévèrement sanctionné.
Publié à Londres le 13 novembre 2012
Maître Marie-Thérèse Nlandu,
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
http://direct.cd/2012/11/18/la-monusco ... u-m23.html
Le M23 aux portes de Goma, la Monusco tire à l’arme lourde
Par La Rédaction
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Un accord serait intervenu pour que les rebelles s’arrêtent à 5 km de Goma
Les hélicoptères de l’ONU qui appuient l’armée gouvernementale en RD Congo ont tiré des roquettes et au canon pour tenter d’endiguer l’avancée des rebelles du M23 qui se rapprochent de l’aéroport de Goma (est), selon un porte-parole des Nations unies dimanche.
Les militaires mandatés par l’ONU tentent d’aider l’armée près de la capitale régionale du Nord-Kivu, et notamment en utilisant quatre hélicoptères de combat qui ont tiré des roquettes et des salves de canon, a déclaré à l’AFP Kieran Dwyer, ce porte-parole.
La rébellion congolaise du Mouvement du 23 mars (M23) se trouve aux portes de Goma, capitale de la province du Nord-Kivu. Elle est prête à repousser « très loin » l’armée qu’elle affronte dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC). Les combats ont provoqué la fuite de l’armée, des autorités et de civils.
Le responsable militaire du M23, le colonel Innocent Kayina, a indiqué avoir installé son poste de commandement à la hauteur du camp de Munigi, principal camp des Nations unies à la sortie de Goma, tenu par un bataillon sud-africain, à environ trois kilomètres du centre-ville. Un journaliste de l’AFP sur place a constaté que les rebelles y étaient positionnés.
« Si les FARDC (Forces armées de la République démocratique du Congo) nous attaquent, on prendra la ville ( …) nous nous sommes battus pour hausser la voix de nos revendications », a dit dans l’après midi à l’AFP Innocent Kayina.
« Beaucoup de militaires et d’autorités (de la province) sont partis (de Goma) », a déclaré une source onusienne. Selon une source militaire occidentale, le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, est parti. Cet élément a ensuite été confirmé de source administrative.
Demande par le M23
Fuyant les combats, des colonnes de centaines de déplacés – et des militaires ayant quitté le front – étaient arrivées auparavant aux portes de Goma avec leurs effets personnels, en espérant rejoindre d’autres camps de déplacés, a constaté un journaliste l’AFP sur place.
Samedi, des hélicoptères de combats de la Mission de l’ONU pour la stabilisation de la RDC (MONUSCO) étaient intervenus en soutien à l’armée congolaise, ce qui n’a pas empêché les rebelles de prendre la petite ville de Kibumba, à 25 kilomètres au nord de Goma. Le M23 a « mis en garde » dimanche la MONUSCO en lui intimant de cesser de soutenir l’armée.
Le gouvernement de la RDC et l’ONU accusent le Rwanda, pays frontalier de l’est de la RDC, de soutenir les rebelles, ce que Kigali dément. Un autre pays voisin, l’Ouganda, est aussi accusé par l’ONU de soutenir les rebelles mais Kampala nie toute implication.
Le M23 aux portes de Goma, la Monusco tire à l’arme lourde
Par La Rédaction
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Un accord serait intervenu pour que les rebelles s’arrêtent à 5 km de Goma
Les hélicoptères de l’ONU qui appuient l’armée gouvernementale en RD Congo ont tiré des roquettes et au canon pour tenter d’endiguer l’avancée des rebelles du M23 qui se rapprochent de l’aéroport de Goma (est), selon un porte-parole des Nations unies dimanche.
Les militaires mandatés par l’ONU tentent d’aider l’armée près de la capitale régionale du Nord-Kivu, et notamment en utilisant quatre hélicoptères de combat qui ont tiré des roquettes et des salves de canon, a déclaré à l’AFP Kieran Dwyer, ce porte-parole.
La rébellion congolaise du Mouvement du 23 mars (M23) se trouve aux portes de Goma, capitale de la province du Nord-Kivu. Elle est prête à repousser « très loin » l’armée qu’elle affronte dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC). Les combats ont provoqué la fuite de l’armée, des autorités et de civils.
Le responsable militaire du M23, le colonel Innocent Kayina, a indiqué avoir installé son poste de commandement à la hauteur du camp de Munigi, principal camp des Nations unies à la sortie de Goma, tenu par un bataillon sud-africain, à environ trois kilomètres du centre-ville. Un journaliste de l’AFP sur place a constaté que les rebelles y étaient positionnés.
« Si les FARDC (Forces armées de la République démocratique du Congo) nous attaquent, on prendra la ville ( …) nous nous sommes battus pour hausser la voix de nos revendications », a dit dans l’après midi à l’AFP Innocent Kayina.
« Beaucoup de militaires et d’autorités (de la province) sont partis (de Goma) », a déclaré une source onusienne. Selon une source militaire occidentale, le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, est parti. Cet élément a ensuite été confirmé de source administrative.
Demande par le M23
Fuyant les combats, des colonnes de centaines de déplacés – et des militaires ayant quitté le front – étaient arrivées auparavant aux portes de Goma avec leurs effets personnels, en espérant rejoindre d’autres camps de déplacés, a constaté un journaliste l’AFP sur place.
Samedi, des hélicoptères de combats de la Mission de l’ONU pour la stabilisation de la RDC (MONUSCO) étaient intervenus en soutien à l’armée congolaise, ce qui n’a pas empêché les rebelles de prendre la petite ville de Kibumba, à 25 kilomètres au nord de Goma. Le M23 a « mis en garde » dimanche la MONUSCO en lui intimant de cesser de soutenir l’armée.
Le gouvernement de la RDC et l’ONU accusent le Rwanda, pays frontalier de l’est de la RDC, de soutenir les rebelles, ce que Kigali dément. Un autre pays voisin, l’Ouganda, est aussi accusé par l’ONU de soutenir les rebelles mais Kampala nie toute implication.
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Re: La déroute des FARDC : BRAVO le rwandais "KABILA"...
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Un accord serait intervenu pour que les rebelles s’arrêtent à 5 km de Goma
Par La Rédaction
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Les rebelles du M23 ont mené ce week-end une offensive majeure jusqu’aux portes de Goma, la capitale régionale du Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), provoquant la fuite de chefs militaires et de civils congolais dimanche ainsi que l’exode de réfugiés d’un camp voisin.
Les rebelles congolais, qui mènent leur plus forte offensive depuis leur mutinerie en mai dernier dans le Kivu, une région minière limitrophe du Rwanda, ont arrêté leur progression à environ cinq kilomètres du centre de la ville mais ils ont menacé de « prendre » la ville s’ils étaient attaqués par l’armée.
En juillet dernier ils étaient arrivés à 30 kilomètres affirmant ne pas vouloir aller plus loin.
Selon une source militaire occidentale, un accord serait intervenu pour que les rebelles s’arrêtent à 5 km du centre-ville sur les hauteurs.
Des hélicoptères de l’ONU qui appuient l’armée gouvernementale ont tiré dimanche des roquettes et obus pour tenter d’endiguer l’avancée rebelle vers l’aéroport de Goma, a indiqué un porte-parole des Nations unies à New York.
Les militaires mandatés par l’ONU ont « notamment utilisé quatre hélicoptères de combat« , a déclaré à l’AFP Kieran Dwyer, ce porte-parole. Des milliers de civils ont fui la zone des combats, a ajouté Kieran Dwyer.
Le responsable militaire du Mouvement du 23 mars dans ce secteur, le colonel Innocent Kayina, interrogé par un correspondant de l’AFP, a déclaré s’arrêter près de Munigi, au nord près de l’aéroport. Mais, « si les FARDC (Forces armées de la RD Congo) nous attaquent, on prendra la ville« , a-t-il ajouté.
Aucun corps ni aucune trace de combat n’était visible à proximité de Munigi, qui jouxte une base de l’ONU occupée par un bataillon sud-africain.
Le porte-parole de l’armée à Goma, interrogé au téléphone, a démenti le contrôle par le M23 de Munigi et affirmé que les FARDC étaient en position dans cet endroit et aux abords de la ville.
Dans la ville-même, la situation était calme dans l’après-midi
Aucun tir n’était entendu et « aucun incident majeur » n’a été signalé, a assuré à l’AFP le vice-gouverneur provincial, Feller Lutaichirwa.
Selon lui, les militaires se sont retirés afin « d’éviter un bain de sang » dans Goma, « ville de déplacés, prise en étau« , entre le lac Kivu et la zone occupée jusqu’à présent par le M23.
« Nous sommes en panique générale« , a cependant déclaré un chauffeur de taxi.
Les responsables civils sont partis par bateaux sur le lac Kivu vers Bukavu, la capitale du Sud-Kivu distante d’environ 80 kilomètres au sud où ils sont arrivés en fin d’après-midi. Les chefs militaires se seraient regroupés à Sake (20 km à l’est de Goma).
Le camp de réfugiés de Kanyarucinya, à une dizaine de kilomètres de Goma, qui comptait avant la reprise des combats 30 000 personnes, s’est vidé dès le passage de la colonne du M23. Ses occupants ont repris la route vers le sud sans s’arrêter à Goma.
Le porte-parole de la province du Nord-Kivu, Célestin Sibomana avait évoqué au téléphone avec l’AFP « une débandade » et dénoncé l’inaction des Casques bleus.
Les Casques bleus étaient déjà intervenus samedi avec des hélicoptères de combat. Mais le M23 a exigé, dimanche matin, que la Monusco « montre » sa neutralité sur le terrain (…) « S’ils continuent à nous bombarder, nous allons réagir« , a déclaré un porte-parole du mouvement.
Les forces de l’ONU resteront dans Goma (est), a assuré dimanche le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, ajoutant qu’aucune action visant les forces de l’ONU « ne sera tolérée« .
L’ONU dispose de 6.700 hommes dans le Nord-Kivu.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a demandé samedi l’arrêt de l’avance de la rébellion vers Goma et que « tout soutien extérieur et toute fourniture d’équipement au M23 cessent immédiatement ».
Kinshasa et l’ONU accusent le Rwanda de soutenir les rebelles, ce que Kigali dément.
La représentante de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, a demandé dimanche aux rebelles de « cesser immédiatement leur offensive militaire« sur Goma. « Tout soutien au M23, en violation du régime de sanctions et de l’embargo sur les armes doit cesser« , a-t-elle réclamé.
Paris a de son côté « mis en garde quiconque contribuerait, de façon directe ou indirecte, à une nouvelle aggravation de la situation ». Londres a également appelé le M23 à cesser« immédiatement » toute violence.
Le M23 a été créé début mai dans le Nord-Kivu par des militaires qui avaient pour la plupart combattu au sein de la rébellion pro-rwandaise du Congrès national pour la défense du peuple. Ils ont officiellement intégré l’armée en 2009 après un accord avec le gouvernement, mais se sont mutinés en avril dernier, arguant que Kinshasa n’avait pas respecté ses engagements.
AFP
Un accord serait intervenu pour que les rebelles s’arrêtent à 5 km de Goma
Par La Rédaction
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Pour Goma, « Même les mamas, même les enfants se battront »
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Le M23 veut des négociations et la démilitarisation de Goma
Fardc-Monusco
Le M23 aux portes de Goma, la Monusco tire à l’arme lourde
Les rebelles du M23 ont mené ce week-end une offensive majeure jusqu’aux portes de Goma, la capitale régionale du Nord-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), provoquant la fuite de chefs militaires et de civils congolais dimanche ainsi que l’exode de réfugiés d’un camp voisin.
Les rebelles congolais, qui mènent leur plus forte offensive depuis leur mutinerie en mai dernier dans le Kivu, une région minière limitrophe du Rwanda, ont arrêté leur progression à environ cinq kilomètres du centre de la ville mais ils ont menacé de « prendre » la ville s’ils étaient attaqués par l’armée.
En juillet dernier ils étaient arrivés à 30 kilomètres affirmant ne pas vouloir aller plus loin.
Selon une source militaire occidentale, un accord serait intervenu pour que les rebelles s’arrêtent à 5 km du centre-ville sur les hauteurs.
Des hélicoptères de l’ONU qui appuient l’armée gouvernementale ont tiré dimanche des roquettes et obus pour tenter d’endiguer l’avancée rebelle vers l’aéroport de Goma, a indiqué un porte-parole des Nations unies à New York.
Les militaires mandatés par l’ONU ont « notamment utilisé quatre hélicoptères de combat« , a déclaré à l’AFP Kieran Dwyer, ce porte-parole. Des milliers de civils ont fui la zone des combats, a ajouté Kieran Dwyer.
Le responsable militaire du Mouvement du 23 mars dans ce secteur, le colonel Innocent Kayina, interrogé par un correspondant de l’AFP, a déclaré s’arrêter près de Munigi, au nord près de l’aéroport. Mais, « si les FARDC (Forces armées de la RD Congo) nous attaquent, on prendra la ville« , a-t-il ajouté.
Aucun corps ni aucune trace de combat n’était visible à proximité de Munigi, qui jouxte une base de l’ONU occupée par un bataillon sud-africain.
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Dans la ville-même, la situation était calme dans l’après-midi
Aucun tir n’était entendu et « aucun incident majeur » n’a été signalé, a assuré à l’AFP le vice-gouverneur provincial, Feller Lutaichirwa.
Selon lui, les militaires se sont retirés afin « d’éviter un bain de sang » dans Goma, « ville de déplacés, prise en étau« , entre le lac Kivu et la zone occupée jusqu’à présent par le M23.
« Nous sommes en panique générale« , a cependant déclaré un chauffeur de taxi.
Les responsables civils sont partis par bateaux sur le lac Kivu vers Bukavu, la capitale du Sud-Kivu distante d’environ 80 kilomètres au sud où ils sont arrivés en fin d’après-midi. Les chefs militaires se seraient regroupés à Sake (20 km à l’est de Goma).
Le camp de réfugiés de Kanyarucinya, à une dizaine de kilomètres de Goma, qui comptait avant la reprise des combats 30 000 personnes, s’est vidé dès le passage de la colonne du M23. Ses occupants ont repris la route vers le sud sans s’arrêter à Goma.
Le porte-parole de la province du Nord-Kivu, Célestin Sibomana avait évoqué au téléphone avec l’AFP « une débandade » et dénoncé l’inaction des Casques bleus.
Les Casques bleus étaient déjà intervenus samedi avec des hélicoptères de combat. Mais le M23 a exigé, dimanche matin, que la Monusco « montre » sa neutralité sur le terrain (…) « S’ils continuent à nous bombarder, nous allons réagir« , a déclaré un porte-parole du mouvement.
Les forces de l’ONU resteront dans Goma (est), a assuré dimanche le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, ajoutant qu’aucune action visant les forces de l’ONU « ne sera tolérée« .
L’ONU dispose de 6.700 hommes dans le Nord-Kivu.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a demandé samedi l’arrêt de l’avance de la rébellion vers Goma et que « tout soutien extérieur et toute fourniture d’équipement au M23 cessent immédiatement ».
Kinshasa et l’ONU accusent le Rwanda de soutenir les rebelles, ce que Kigali dément.
La représentante de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, a demandé dimanche aux rebelles de « cesser immédiatement leur offensive militaire« sur Goma. « Tout soutien au M23, en violation du régime de sanctions et de l’embargo sur les armes doit cesser« , a-t-elle réclamé.
Paris a de son côté « mis en garde quiconque contribuerait, de façon directe ou indirecte, à une nouvelle aggravation de la situation ». Londres a également appelé le M23 à cesser« immédiatement » toute violence.
Le M23 a été créé début mai dans le Nord-Kivu par des militaires qui avaient pour la plupart combattu au sein de la rébellion pro-rwandaise du Congrès national pour la défense du peuple. Ils ont officiellement intégré l’armée en 2009 après un accord avec le gouvernement, mais se sont mutinés en avril dernier, arguant que Kinshasa n’avait pas respecté ses engagements.
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