http://afrikarabia2.blogs.courrierinter ... ganda.html
mardi, 10 avril 2012
RDC : Pourquoi Kabila ne lâchera pas Ntaganda
Recherché par la Cour pénale internationale (CPI) et menacé d'être interpellé par Kinshasa, le général Bosco Ntaganda a démontré sur le terrain que ses hommes pouvaient relancer le conflit à l'Est de la République démocratique du Congo (RDC). Dans une entretien accordé à Afrikarabia, le représentant du CNDP en France, le Colonel Jean-Paul Epenge, affirme que Kinshasa n'a "ni intérêt, ni les moyens d'arrêter Bosco Ntaganda". Selon lui, le voisin Rwandais veille à garder son influence à l'Est et le rapport de force militaire reste favorable aux troupes fidèles à Ntaganda. Jusqu'à quand ?
29112004-021.jpgDepuis la condamnation de Thomas Lubanga par la Cour pénale internationale (CPI), les rumeurs autour d'une possible arrestation de Bosco Ntaganda vont bon train à l'Est de la République démocratique du Congo (RDC). Comme Lubanga, Ntaganda est accusé par la CPI d'enrôlement d'enfants de moins de 15 ans en Ituri et d'avoir participé au conflit à l'Est de la RDC. Mais contrairement à Thomas Lubanga, Bosco Ntaganda a rejoint une autre rébellion en 2000, le CNDP de Laurent Nkunda. Il devient alors le chef d'Etat-major du mouvement et participe à la guerre que lance Laurent Nkunda contre le régime de Joseph Kabila dans les Kivu. Mais en 2009, une renversement d'alliance surprise s'opère au sein du CNDP : Ntaganda rallie Joseph Kabila et Nkunda est arrêté par son ancien allié rwandais. Les ex-CNDP de Ntaganda conclu un accord de paix avec Kinshasa et s'intègre dans les rangs de l'armée régulière (FARDC). Un fragile équilibre entre Kabila et Ntaganda permet un retour au calme relatif dans les Kivu et les ex-CNDP soutiennent même le candidat Kabila aux dernières élections de novembre 2011 dans leur zone d'influence. Ce statu-quo arrange tout le monde : Kabila, qui a étouffer le conflit à l'Est, Ntaganda qui a évincé Laurent Nkunda et le Rwanda qui conserve la haute main sur l'Est du Congo-Kinshasa.
L'embarrassant général Ntaganda
Depuis son ralliement à Kinshasa, Ntaganda s'est vu nommer général et coordonne même les opérations militaires contre les rebelles FDLR avec les casques bleus de l'ONU. Kinshasa estime que l'intégration de l'ancien rebelle au sein de l'armée régulière constitue un gage de stabilité dans l'Est du pays, secoué depuis plus de 15 ans par une guerre sans fin. La condamnation de Thomas Lubanga par la Cour pénale internationale a réactivé la machine judiciaire et remis Bosco Ntaganda sur le devant de la scène médiatique. Un coup de projecteur qui embarrasse Kinshasa, accusée de protéger Ntaganda.
Car l'affaire Ntaganda tombe au plus mal pour le président Kabila. Le président de la République démocratique du Congo cherche depuis plusieurs mois à retrouver sa légitimité auprès de la communauté internationale. Le pays a traversé une période électorale trouble, entachée de nombreuses irrégularités et de soupçons de fraudes massives. Kabila aimerait bien donner quelques gages de bonne volonté à la communauté internationale et à ses bailleurs. Pendant ce temps, le procureur de la CPI pousse le régime de Kinshasa à arrêter Ntaganda. La rumeur enfle à l'Est et des soldats fidèles à Ntaganda désertent l'armée régulière pour rejoindre le maquis et en profitent pour effectuer une démonstration de force dans les rues de Goma. La population prend peur et craint le retour de la guerre dans la région.
"Que veut la communauté internationale ? Que l'Est s'embrase ?"
Afin de savoir si Kinshasa prendra le risque d'arrêter Ntaganda, nous avons interrogé le Colonel Jean-Paul Epenge, le représentant du CNDP en France. Pour ce légaliste pro-Nkunda, qui n'a donc jamais soutenu la scission provoquée par Bosco Ntaganda, Joseph Kabila n'a pour l'instant aucun intérêt à lâcher le responsable du CNDP et rallumer la guerre à l'Est. Jean-Paul Epenge "ne pense pas et ne souhaite pas" que Kinshasa arrête Bosco Ntganda. Pour ce responsable du CNDP, les défections des soldats de Ntaganda sont l'expression "d'un fort mécontentement" vis à vis du pouvoir central. Les officiers de l'ex-CNDP avaient en effet adressés un mémo au président Kabila le 23 septembre 2010 en dénonçant le manque de moyens mis à leur disposition pour traquer les rebelles FDLR, les détournements de salaires et le tribalisme qui régnait au sein des FARDC (l'armée régulière congolaise). Selon Jean-Paul Epenge, "nous n’avons rien obtenu, ne fusse qu’un simple regard de la part de Kinshasa" et de préciser : "tant que ces revendications fondées ne seront pas prises en compte, il y aura toujours quelques sursauts d’orgueil et des défections".
Concernant la possible arrestation de Bosco Ntaganda, Jean-Paul Epenge, rappelle l'accord passé entre Kabila et Ntaganda : la paix contre l'intégration des soldats du CNDP dans l'armée. Pour Jean-Paul Epenge : "il est temps que les fils du Congo soient jugés chez eux. Par exemple, les nouvelles autorités libyennes ont refusé de livrer Seïf al-Islam Kadhaffi à la CPI, bien que ce dernier soit leur pire ennemi. Bosco Ntaganda est un général des FARDC, coordonateur adjoint des opérations Amani-Leo qu’il assure avec brio, malgré le manque des moyens." Et de conclure : "il est abject que d’une part cette fameuse communauté internationale travaille en symbiose avec le général Bosco Ntaganda pour une paix définitive dans les Kivu et d’une autre, ils brandissent un mandat d’arrêt contre lui. C’est hypocrite et dangereux. Que veut la communauté internationale ? Que l’Est de la RDC s’embrase encore? Non, les Congolais doivent faire très attention à toutes ces manipulations. Le président Kabila veut la paix, les Congolais aussi, y compris le général Bosco Ntaganda".
"Le Rwanda ne l'acceptera pas"
Joseph Kabila n'a donc aucun intérêt à livrer Ntaganda à la CPI, au risque de rallumer la poudrière des Kivu. Bosco constitue une pièce maîtresse dans le fragile équilibre qui lie Kinshasa et son turbulent voisin rwandais. D'ailleurs, selon Jean-Paul Epenge, les FARDC rencontreraient de réelles difficultés si elles devaient procéder à l'arrestation de Bosco Ntaganda dans son fief de l'Est. Pour ce colonel du CNDP : "le rapport de force est en notre faveur". Avant de rajouter : "de toute façon, le Rwanda ne l'acceptera pas".
Pour l'instant, Kinshasa et Ntaganda se regardent en chien de faïence : chacun attendant un geste de l'autre. Sur le terrain, le gouvernement congolais se veut rassurant sur le retour à la normale dans les contingents de l'armée régulière et promet d'envoyer des renforts… au cas où. Selon nos informations, les défections des soldats ex-CNDP continueraient au sein des FARDC. Le gouvernement aurait donné jusqu'au 12 avril pour que la situation se régularise à l'Est.
Christophe RIGAUD
Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Les actions de la Diaspora sont un réel soutien qui doit continuer selon la Jeunesse de l'UDPS à Kinshasa
http://banamikili.skyrock.com/308281158 ... inuer.html
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http://democratiechretienne.org/2012/04 ... congolais/
KABILA NEGOCIE AVEC LE GOUVERNEMENT RWANDAIS LES CONDITIONS DE REDDITION DE MUTINS “CONGOLAIS “?!!
Publié le 11 avril 2012
Tuesday, April 10, 2012
As talks continue in Goma, the fate of Bosco is in the balance
After a series of meetings involving the Congolese government, Rwandan officials and ex-CNDP soldiers, there is still no clear idea of what compromise will be struck to end the stand-off between Bosco Ntaganda and Kinshasa. At least it seems that both sides have decided for the time being to talk their differences out instead of fighting.
While the results of the talks are still a matter of speculation, some information is seeping out.
The negotiations began in serious on Sunday, when Congolese government officials – represented by Kalev Mutond, the head of national intelligence – met with Rwandan counterparts in Gisenyi. The Rwandans were reportedly represented by their army leadership, including Gen. James Kabarebe (Minister of Defense) and Gen. Charles Kayonga (Chief of Staff of Armed Forces). They reportedly discussed the implementation of the March 2009 agreement, which had led to the integration of the CNDP and other armed groups.
Then, on Monday, the Congolese delegation was bolstered by the head of the land forces, Gen. Amisi, the head of Amani Leo operations, Gen. Amuli, as well as President Kabila himself. Talks continued late into the night at Cap Kivu hotel on the lake.
After reports of his disappearance from town, Gen. Bosco turned up again in Goma. Contrary to what was reported here previously, several reports from people close to the CNDP suggest that he had fled into Rwanda.
From what information has leaked, it seems that Bosco will emerge weakened from this confrontation, if perhaps not in handcuffs. According to one version, his ally Col. Baudouin Ngaruye will switch positions with ex-CNDP Col. Innocent Kabundi, the former leaving the command of Bosco’s Masisi stronghold and going to Kamituga in South Kivu. This would undermine Bosco’s control over the central Masisi highlands, his traditional bastion.
Others suggest that Bosco will be forced to step down from his Amani Leo command position and retreat to Masisi, while someone else (Col. Sultani Makenga’s name is often cited, although Kabila may like to see Col. Innocent Gahizi play this role) would take control of the ex-CNDP troops in the Congo.
No one has suggested that the strength of the ex-CNDP itself will be seriously questioned, although its allied ex-PARECO networks may fray. The Hutu armed group, from which many officers also defected in the last weeks, has seen at least one of its leading officers, Col. Kifaru, badly wounded in the fighting, and others surrender.
Meanwhile, the situation in South Kivu appears to have been brought more or less under control. At the beginning of the altercations, several leading army officers close to Bosco had defected, including Col. Bernard Byamungu (ex-CNDP), Col. Saddam Edmond (ex-PARECO) and Col. Nsabimana (ex-PARECO), along with 400-500 troops. Most of those troops have now rejoined the army, leaving those officers with just under a hundred troops in the high plateau overlooking the Rusizi Plain.
To the north of Goma, the ex-CNDP officers who had seized the border town of Bunagana over the weekend, were forced to flee into Uganda due to pressure from the Congolese (and some say Rwandan) army. Led by Col. Innocent Kaina, several officers were reportedly apprehended by the Ugandan security forces.
The logic of the 2009 peace deal seems to be holding for now. In other words, as long as the Congolese and Rwandan government can come to an agreement on the Kivus, the ex-CNDP forces will remain semi-integrated in the army. However, what the terms and form of this integration are, and whether Bosco will remain part of it, is yet to be seen.
Posted by Jason Stearns
http://congosiasa.blogspot.com/
KABILA NEGOCIE AVEC LE GOUVERNEMENT RWANDAIS LES CONDITIONS DE REDDITION DE MUTINS “CONGOLAIS “?!!
Publié le 11 avril 2012
Tuesday, April 10, 2012
As talks continue in Goma, the fate of Bosco is in the balance
After a series of meetings involving the Congolese government, Rwandan officials and ex-CNDP soldiers, there is still no clear idea of what compromise will be struck to end the stand-off between Bosco Ntaganda and Kinshasa. At least it seems that both sides have decided for the time being to talk their differences out instead of fighting.
While the results of the talks are still a matter of speculation, some information is seeping out.
The negotiations began in serious on Sunday, when Congolese government officials – represented by Kalev Mutond, the head of national intelligence – met with Rwandan counterparts in Gisenyi. The Rwandans were reportedly represented by their army leadership, including Gen. James Kabarebe (Minister of Defense) and Gen. Charles Kayonga (Chief of Staff of Armed Forces). They reportedly discussed the implementation of the March 2009 agreement, which had led to the integration of the CNDP and other armed groups.
Then, on Monday, the Congolese delegation was bolstered by the head of the land forces, Gen. Amisi, the head of Amani Leo operations, Gen. Amuli, as well as President Kabila himself. Talks continued late into the night at Cap Kivu hotel on the lake.
After reports of his disappearance from town, Gen. Bosco turned up again in Goma. Contrary to what was reported here previously, several reports from people close to the CNDP suggest that he had fled into Rwanda.
From what information has leaked, it seems that Bosco will emerge weakened from this confrontation, if perhaps not in handcuffs. According to one version, his ally Col. Baudouin Ngaruye will switch positions with ex-CNDP Col. Innocent Kabundi, the former leaving the command of Bosco’s Masisi stronghold and going to Kamituga in South Kivu. This would undermine Bosco’s control over the central Masisi highlands, his traditional bastion.
Others suggest that Bosco will be forced to step down from his Amani Leo command position and retreat to Masisi, while someone else (Col. Sultani Makenga’s name is often cited, although Kabila may like to see Col. Innocent Gahizi play this role) would take control of the ex-CNDP troops in the Congo.
No one has suggested that the strength of the ex-CNDP itself will be seriously questioned, although its allied ex-PARECO networks may fray. The Hutu armed group, from which many officers also defected in the last weeks, has seen at least one of its leading officers, Col. Kifaru, badly wounded in the fighting, and others surrender.
Meanwhile, the situation in South Kivu appears to have been brought more or less under control. At the beginning of the altercations, several leading army officers close to Bosco had defected, including Col. Bernard Byamungu (ex-CNDP), Col. Saddam Edmond (ex-PARECO) and Col. Nsabimana (ex-PARECO), along with 400-500 troops. Most of those troops have now rejoined the army, leaving those officers with just under a hundred troops in the high plateau overlooking the Rusizi Plain.
To the north of Goma, the ex-CNDP officers who had seized the border town of Bunagana over the weekend, were forced to flee into Uganda due to pressure from the Congolese (and some say Rwandan) army. Led by Col. Innocent Kaina, several officers were reportedly apprehended by the Ugandan security forces.
The logic of the 2009 peace deal seems to be holding for now. In other words, as long as the Congolese and Rwandan government can come to an agreement on the Kivus, the ex-CNDP forces will remain semi-integrated in the army. However, what the terms and form of this integration are, and whether Bosco will remain part of it, is yet to be seen.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
roger lumbala insulte un journaliste au téléphone et la diaspora congolaise mawa
http://www.youtube.com/watch?v=HY7JWf1d ... r_embedded
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.culturecongolaise.net/?p=9695
UDPS : les collabos démasqués
12 avril, 2012
L’Union pour la démocratie et le progrès social, UDPS, principal parti politique en RDC, a rendu public mardi 10 avril une « Déclaration politique de la Présidence du Parti portant constat d’auto exclusion des membres de l’UDPS déclarés élus députés nationaux par la CENI et siégeant ».
Ci-après cette déclaration dans son intégralité :
La Présidence de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, « UDPS », réunie en sa séance ordinaire du mardi 10 avril 2012 à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo, rend publique la déclaration politique dont la teneur suit :
Considérant la décision de Monsieur Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA, élu légitimement Président de la République Démocratique du Congo, portant annulation des élections législatives du 28 novembre 2011 pour de graves irrégularités et fraudes décriées tant par la communauté nationale que par les observateurs de la communauté internationale dans la collecte et la compilation des résultats issus des urnes ;
Attendu qu’à l’occasion d’une audience sollicitée au mois de février 2012 et accordée aux membres de l’UDPS ayant été déclarés « Elus Députés Nationaux » par la CENI, Monsieur Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA a eu à rappeler à l’intention de ces derniers, entre autres, que :
Les élections législatives du 28 novembre 2011 ont été annulées par lui ;
Chacun, devant sa conscience, devait tirer les conséquences cette décision d’annulation ;
Les principes de libre adhésion et libre retrait de l’UDPS sont consacrés dans les textes qui créent et régissent le fonctionnement du Parti ;
Considérant le constat d’auto exclusion de l’UDPS prise fait par la Présidence du Parti au cours de sa séance ordinaire du vendredi 17 février 2012, à l’encontre de Monsieur Timothée NKOMBO NKISI, pour flagrance caractérisée de son acte de trahison ;
Vu le communiqué de presse de la Présidence du Parti daté du 22 février 2012 relatif à la tenue du conclave des forces politiques acquises au changement ;
Vu le communiqué de presse tenant lieu de mise en demeure pris par la Présidence du Parti en date du 22 mars 2012, aux termes duquel il est fait obligation aux membres de l’UDPS déclarés « Elus Députés Nationaux » par la CENI, de signifier par un écrit, chacun en ce qui le concerne, sa position à la Présidence du Parti quant à leur participation ou non au forum abusivement appelé « Assemblée Nationale » ;
Considérant qu’en date du samedi 31 mars 2012, s’adressant à la Ligue des femmes de l’UDPS réunies à l’occasion de la manifestation de clôture du mois de la femme, Monsieur Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA a réaffirmé son constat d’auto exclusion dans le chef des membres de l’UDPS déclarés « Elus Députés Nationaux » par la CENI et qui ont opté librement d’apporter leur caution au holdup électoral opéré par la CENI ;
Prenant en compte les contenus des correspondances reçues en réaction à la mise en demeure susmentionnée ainsi que des renseignements obtenus et fournis par les Secrétaires du Parti, Chefs de mission ;
Vu le dossier individuel de tous les membres de l’UDPS déclarés « Elus Députés Nationaux » par la CENI ;
Après débats et délibérations ;
Constate l’auto exclusion, pour manquement grave à l’idéal du Parti, dans le chef des membres de l’UDPS dont les noms ci-dessous repris ;
Décide, par conséquent, de leur radiation du fichier des membres du Parti en précisant à l’intention de tous qu’ils ne peuvent désormais ni parler, ni écrire au nom de l’UDPS, ni même la représenter.
Il s’agit de :
Mr. PALUKU KAVULA BWANAMBULA ANDRE Kinshasa I Lukunga
Mr. TSHIBALA NSENGA GUYLAIN Kinshasa II Funa
Mr. BADIBANGA NTITA SAMY Kinshasa III Mt Amba
Mr. MASAMBA MA-KIESE REMY Kinshasa III Mt Amba
Mr. MAYAMBA MASSAKA SERGE Kinshasa IV Tshangu
Mr. MAKWALA MA MAVAMBU YE BEDA JEROME Bas-Congo Luozi
Mr. KOMBO NKISI TIMOTHEE Bas-Congo Madimba
Mr. NZAU VOLA JOSE Bas-Congo Matadi
Mr. MBUELA YIMBU EMMANUEL Bas-Congo Moanda
Mr. NSUKA AIME RODRIGUE Bandundu Bagata
Mr. NIANGO IZIAMAY MUNSHEMVULA PAPY Bandundu Ville
Mr. AMBATOBE NYONGOLO AMY Sud-Kivu Fizi
Mr. KOLELA YAHANU JOHN Katanga Likasi
Mr. MULONGO NZEMBA COCO JACQUES Katanga Lubumbashi
Mr. MUTOMB KAN KATO FABIEN Katanga Lubumbashi
Mr. MBUYI MAMBA KALALA VASCO Kasai-Oriental Kamiji
Mr. MWAMBA MULANGU BENJAMIN Kasai-Oriental Luilu
Mr. MUSENGA WA MUKUNA BENOIT Kasai-Oriental Lupatapata
Mr. MUTANDA NGOY MUANA ALEXIS Kasai-Oriental Mbuji-Mayi
Mr. KALONJI MUKENDI ROMAIN Kasai-Oriental Miabi
Mr. KABOMBO MUADIANVITA GUY Kasai-Oriental Mwene-Ditu
Mr. NGOYI SHABITANDA ROGER CLEMENT Kasai-Oriental Mwene-Ditu
Mr. TSHIBUMBA KANYANGA Kasai-Oriental Ngandajika
Mme NGOYA KANDA GISELE Kasai-Oriental Tshilenge
Mr. KABUYA MULAMBA KABITANGA MARTIN Kasai-Occidental Dibaya
Mr. MUKUNA KALAMBAYI DAMIS Kasai-Occidental Dimbelenge
Mr. KALAMBA MULUMBA N’GALULA JEAN PIERRE Kasai-Occidental Kanan
Mr. MUYAYA TSHIBONA CONSTATIN Kasai-Occidental Kananga
Mr. MUBIKAYI MUBALAMATE LEON Kasai-Occidental Luebo
Mr. MASUASUA BAKATUSHIPA CORNEILLE Kasai-Occidental Luiza
Mr. KOTA PIEM STEPHANE Kasai-Occidental Mweka
Mr. NZAJI KABULEKEDI BENOIT Kasai-Occidental Tshikapa
Mr. TSHIONGO MPUTU DIBINGA BARTHELEMY Kasai-Occidental Tshikapa ville
De plus, sans qu’il ne soit nécessaire de rouvrir les débats sur la question objet de la présente déclaration politique ou d’engager une quelconque procédure disciplinaire à leur encontre, les membres de l’UDPS retenus « Suppléants Députés Nationaux » sur les listes de la CENI, qui viendraient à siéger à ce Forum dit « Assemblée Nationale » en lieu et place de leurs titulaires exclus ou pas, se verront automatiquement appliquer les mesures arrêtées dans la présente déclaration ;
Par ailleurs, l’UDPS demande au Peuple congolais de ne pas se laisser abuser par l’hypocrisie, la duplicité et la trahison des prétendus alliés qui disent soutenir la légitimité, incarnée par Monsieur Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA élu Président de la République, pendant qu’au même moment ils apportent leur caution au holdup électoral opéré par la CENI, par leur participation à ce Forum abusivement appelé « Assemblée Nationale ».
Fait à Kinshasa, le mardi 10 avril 2012
« Le Peuple d’abord ! TSHISEKEDI Président ! »
Le Secrétaire Général a.i.
KAHUNGU MBEMBA Raymond
Secrétaire Général adjoint
UDPS : les collabos démasqués
12 avril, 2012
L’Union pour la démocratie et le progrès social, UDPS, principal parti politique en RDC, a rendu public mardi 10 avril une « Déclaration politique de la Présidence du Parti portant constat d’auto exclusion des membres de l’UDPS déclarés élus députés nationaux par la CENI et siégeant ».
Ci-après cette déclaration dans son intégralité :
La Présidence de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, « UDPS », réunie en sa séance ordinaire du mardi 10 avril 2012 à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo, rend publique la déclaration politique dont la teneur suit :
Considérant la décision de Monsieur Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA, élu légitimement Président de la République Démocratique du Congo, portant annulation des élections législatives du 28 novembre 2011 pour de graves irrégularités et fraudes décriées tant par la communauté nationale que par les observateurs de la communauté internationale dans la collecte et la compilation des résultats issus des urnes ;
Attendu qu’à l’occasion d’une audience sollicitée au mois de février 2012 et accordée aux membres de l’UDPS ayant été déclarés « Elus Députés Nationaux » par la CENI, Monsieur Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA a eu à rappeler à l’intention de ces derniers, entre autres, que :
Les élections législatives du 28 novembre 2011 ont été annulées par lui ;
Chacun, devant sa conscience, devait tirer les conséquences cette décision d’annulation ;
Les principes de libre adhésion et libre retrait de l’UDPS sont consacrés dans les textes qui créent et régissent le fonctionnement du Parti ;
Considérant le constat d’auto exclusion de l’UDPS prise fait par la Présidence du Parti au cours de sa séance ordinaire du vendredi 17 février 2012, à l’encontre de Monsieur Timothée NKOMBO NKISI, pour flagrance caractérisée de son acte de trahison ;
Vu le communiqué de presse de la Présidence du Parti daté du 22 février 2012 relatif à la tenue du conclave des forces politiques acquises au changement ;
Vu le communiqué de presse tenant lieu de mise en demeure pris par la Présidence du Parti en date du 22 mars 2012, aux termes duquel il est fait obligation aux membres de l’UDPS déclarés « Elus Députés Nationaux » par la CENI, de signifier par un écrit, chacun en ce qui le concerne, sa position à la Présidence du Parti quant à leur participation ou non au forum abusivement appelé « Assemblée Nationale » ;
Considérant qu’en date du samedi 31 mars 2012, s’adressant à la Ligue des femmes de l’UDPS réunies à l’occasion de la manifestation de clôture du mois de la femme, Monsieur Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA a réaffirmé son constat d’auto exclusion dans le chef des membres de l’UDPS déclarés « Elus Députés Nationaux » par la CENI et qui ont opté librement d’apporter leur caution au holdup électoral opéré par la CENI ;
Prenant en compte les contenus des correspondances reçues en réaction à la mise en demeure susmentionnée ainsi que des renseignements obtenus et fournis par les Secrétaires du Parti, Chefs de mission ;
Vu le dossier individuel de tous les membres de l’UDPS déclarés « Elus Députés Nationaux » par la CENI ;
Après débats et délibérations ;
Constate l’auto exclusion, pour manquement grave à l’idéal du Parti, dans le chef des membres de l’UDPS dont les noms ci-dessous repris ;
Décide, par conséquent, de leur radiation du fichier des membres du Parti en précisant à l’intention de tous qu’ils ne peuvent désormais ni parler, ni écrire au nom de l’UDPS, ni même la représenter.
Il s’agit de :
Mr. PALUKU KAVULA BWANAMBULA ANDRE Kinshasa I Lukunga
Mr. TSHIBALA NSENGA GUYLAIN Kinshasa II Funa
Mr. BADIBANGA NTITA SAMY Kinshasa III Mt Amba
Mr. MASAMBA MA-KIESE REMY Kinshasa III Mt Amba
Mr. MAYAMBA MASSAKA SERGE Kinshasa IV Tshangu
Mr. MAKWALA MA MAVAMBU YE BEDA JEROME Bas-Congo Luozi
Mr. KOMBO NKISI TIMOTHEE Bas-Congo Madimba
Mr. NZAU VOLA JOSE Bas-Congo Matadi
Mr. MBUELA YIMBU EMMANUEL Bas-Congo Moanda
Mr. NSUKA AIME RODRIGUE Bandundu Bagata
Mr. NIANGO IZIAMAY MUNSHEMVULA PAPY Bandundu Ville
Mr. AMBATOBE NYONGOLO AMY Sud-Kivu Fizi
Mr. KOLELA YAHANU JOHN Katanga Likasi
Mr. MULONGO NZEMBA COCO JACQUES Katanga Lubumbashi
Mr. MUTOMB KAN KATO FABIEN Katanga Lubumbashi
Mr. MBUYI MAMBA KALALA VASCO Kasai-Oriental Kamiji
Mr. MWAMBA MULANGU BENJAMIN Kasai-Oriental Luilu
Mr. MUSENGA WA MUKUNA BENOIT Kasai-Oriental Lupatapata
Mr. MUTANDA NGOY MUANA ALEXIS Kasai-Oriental Mbuji-Mayi
Mr. KALONJI MUKENDI ROMAIN Kasai-Oriental Miabi
Mr. KABOMBO MUADIANVITA GUY Kasai-Oriental Mwene-Ditu
Mr. NGOYI SHABITANDA ROGER CLEMENT Kasai-Oriental Mwene-Ditu
Mr. TSHIBUMBA KANYANGA Kasai-Oriental Ngandajika
Mme NGOYA KANDA GISELE Kasai-Oriental Tshilenge
Mr. KABUYA MULAMBA KABITANGA MARTIN Kasai-Occidental Dibaya
Mr. MUKUNA KALAMBAYI DAMIS Kasai-Occidental Dimbelenge
Mr. KALAMBA MULUMBA N’GALULA JEAN PIERRE Kasai-Occidental Kanan
Mr. MUYAYA TSHIBONA CONSTATIN Kasai-Occidental Kananga
Mr. MUBIKAYI MUBALAMATE LEON Kasai-Occidental Luebo
Mr. MASUASUA BAKATUSHIPA CORNEILLE Kasai-Occidental Luiza
Mr. KOTA PIEM STEPHANE Kasai-Occidental Mweka
Mr. NZAJI KABULEKEDI BENOIT Kasai-Occidental Tshikapa
Mr. TSHIONGO MPUTU DIBINGA BARTHELEMY Kasai-Occidental Tshikapa ville
De plus, sans qu’il ne soit nécessaire de rouvrir les débats sur la question objet de la présente déclaration politique ou d’engager une quelconque procédure disciplinaire à leur encontre, les membres de l’UDPS retenus « Suppléants Députés Nationaux » sur les listes de la CENI, qui viendraient à siéger à ce Forum dit « Assemblée Nationale » en lieu et place de leurs titulaires exclus ou pas, se verront automatiquement appliquer les mesures arrêtées dans la présente déclaration ;
Par ailleurs, l’UDPS demande au Peuple congolais de ne pas se laisser abuser par l’hypocrisie, la duplicité et la trahison des prétendus alliés qui disent soutenir la légitimité, incarnée par Monsieur Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA élu Président de la République, pendant qu’au même moment ils apportent leur caution au holdup électoral opéré par la CENI, par leur participation à ce Forum abusivement appelé « Assemblée Nationale ».
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« Le Peuple d’abord ! TSHISEKEDI Président ! »
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
E. TSHISEKEDI: L'imperium, le moteur est-il en marche?
http://www.youtube.com/watch?v=smwpllwB ... ture=share
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
VOC- Albert Mukendi repond a Roger Lumbala et au professeur Ciakudia
http://www.youtube.com/watch?feature=en ... aHS1LMHAyU
http://www.youtube.com/watch?feature=en ... aHS1LMHAyU
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
La débandade chez les traitres de l'UDPS, désignés par Ngoy Mulunda, "députés" au forum du PPRD aka "Assemblée nationale"...
http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... :congonews
Mutanda renonce à son mandat de député
VENDREDI, 13 AVRIL 2012 12:17
La nouvelle est tombée très tard dans la soirée, alors que CONGONEWS attentait la fin des élections de membre du bureau définitif de l’Assemblée nationale. C’est un homme clé de l’entourage d’Alexis Mutanda, qui joint CONGONEWS. Ce dernier, nous annonce qu’Alexis Mutanda, l’ex secrétaire général de l’UDPS, venait de renoncer à son mandat de député national. Donc, Mutanda a décidé de ne pas siéger à l’Hémicycle. Il l’a fait savoir au secrétaire général de l’UDPS, Jacquemain Shabani et à ses deux adjoints via un .coup de fil. La décision de Mutanda est motivée par le fait que celui-ci tient à respecter le mot d’ordre d’Etienne Tshisekedi, qui a annulé les élections législatives. Mutanda lui-même séjourne en Europe où il est en mission officielle de l’UDPS. Des sources rapportent que c’est Tshisekedi qui lui a confié cette mission. Mutanda aurait même déjà déposé sa démission au bureau de l’Assemblée nationale. Quant à Etienne Tshisekedi, il a été informé de la décision de Mutanda l’après midi d’hier. Tshisekedi était dans la commune de Bandalungwa pour consoler une famille en deuil. D’autres sources affirment que le fils Tshisekedi, Félix aurait également emboit les pas d’Alexis Mutanda.
John TSHINGOMBE
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Mutanda renonce à son mandat de député
VENDREDI, 13 AVRIL 2012 12:17
La nouvelle est tombée très tard dans la soirée, alors que CONGONEWS attentait la fin des élections de membre du bureau définitif de l’Assemblée nationale. C’est un homme clé de l’entourage d’Alexis Mutanda, qui joint CONGONEWS. Ce dernier, nous annonce qu’Alexis Mutanda, l’ex secrétaire général de l’UDPS, venait de renoncer à son mandat de député national. Donc, Mutanda a décidé de ne pas siéger à l’Hémicycle. Il l’a fait savoir au secrétaire général de l’UDPS, Jacquemain Shabani et à ses deux adjoints via un .coup de fil. La décision de Mutanda est motivée par le fait que celui-ci tient à respecter le mot d’ordre d’Etienne Tshisekedi, qui a annulé les élections législatives. Mutanda lui-même séjourne en Europe où il est en mission officielle de l’UDPS. Des sources rapportent que c’est Tshisekedi qui lui a confié cette mission. Mutanda aurait même déjà déposé sa démission au bureau de l’Assemblée nationale. Quant à Etienne Tshisekedi, il a été informé de la décision de Mutanda l’après midi d’hier. Tshisekedi était dans la commune de Bandalungwa pour consoler une famille en deuil. D’autres sources affirment que le fils Tshisekedi, Félix aurait également emboit les pas d’Alexis Mutanda.
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
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UN MEETING DE RECONCILIATION A l’UDPS: Freddy Pindi, Fabrice Bakalufwa et Gecko Beya sur un même podium le 24 avril
VENDREDI, 13 AVRIL 2012 12:13
Un grand rassemblement de jeunes de l’UDPS est prévu le 24 avril à la place Triomphale en face du stade de martyrs pour commémorer les 22 ans de la démocratie. C’est un événement programmé par la Ligue nationale de jeunes de l’UDPS, qui va commémorer la fête de la jeunesse udpsienne. Lui-même le président Tshisekedi sera présent à cette manifestation.
Il y a peu, le président -autoproclamé- assistait à la manif marquant la fin du mois de mars. Mois, dédié à la femme. Tshisekedi sera au Triomphal pour communier avec ses jeunes. Ces derniers tiennent coûte que coûte à le voir et à l’écouter.
Il y a longtemps qu’Etienne Tshisekedi n’a pas communiqué avec la jeunesse de son parti en particulier et celle kinoise en général. Ça sera donc l’occasion. Ce rassemblement de la jeunesse sera aussi l’occasion de la réconciliation et de l’unité au sein de cet organe. La jeunesse qui est le fer de lance e l’UDPS, ne peut pas se laisser miner par des divisions intestines si elle veut voir Etienne Tshisekedi son leader prendre le pouvoir. Engagée derrière Tshisekedi dans le combat du recouvrement de l‘imperium, la jeunesse de l’UDPS doit absolument mettre de côté les questions d’ego et privilégier les intérêts du parti et de la nation. Ce message semble avoir été compris par tous les protagonistes qui veulent le démontrer ce 24 avril à la place triomphale. Une manifestation qu’ils mettent tous sous le signe de l’unité et de la cohésion du parti. Voilà, que la Ligue de jeunes de l‘UDPS n’est pas divisée comme cela avait été présenté dans l’opinion. Le président Freddy Pindi et son premier- vice président, Fabrice Bakalufwa n’avaient jamais été virés de l’UDPS ni de leurs fonctions respectives.
Seulement, une incompréhension avait été entretenue par quelques aînés du parti pour mettre en conflit Freddy, Fabrice et leur deuxième vice- président Gecko Beya. Il n’a jamais été question de chasser tel ou tel autre jeune de l’UDPS ou de ses fonctions, rapportait à CONGONEWS, un jeune udpsien. Et d’argumenter que, c’est fa question de 42 députés de l’UDPS, qui a failli bouleverser les choses au sein du parti. Certains cadres de l’UDPS animés de mauvaise foi ont voulu profiter de cette situation pour diviser la Ligue de jeunes. Mais, dit-il, «nous avons réussi à déjouer ce complot. Nous avons confondu les esprits malins de notre parti, qui dans la plupart ont la mission de saper l’UDPS. Ils n’atteindront jamais celle-ci». En effet, ce groupe cadres du parti avaient monté Gecko Beya contre ses chefs. Ils faisaient comprendre à Beya, que c’est bel et bien lui qui incarnait véritablement la force de la jeunesse de l’UDPS pour son courage combatif. Et que Pindi et Bakalufwa étaient des faiblards. Une thèse d’instrumentalisation et de diabolisation qui ne tenait pas debout. Pindi et Bakalufwa ont eu à prouver de quoi ils sont capables depuis, qu’ils exercent leurs fonctions à la tête de la Ligue nationale de jeunes.
D’ailleurs, les deux ont accompagné le président Tshisekedi à l’intérieur du pays pendant la campagne électorale. «Vous voyez, Tshisekedi, se promenait avec des incompétents ou des faiblards. En tout cas, c’est mal les connaître», explique un autre jeune de l’UDPS. Qui se flatte parce que ni Pindi, ni Bakalufwa encore moins Beya, n’est tombé dans ce piège. A l’UDPS on fait remarquer que les trois seront sur le même podium le 24 avril. Bien, qu’ils n’ont plus travaillé ensemble pendant des semaines, le rapprochement est entrain de se manifester. De temps en temps les trois leaders de la jeunesse udpsienne se retrouvent pour monter des stratégies consécutives à la réussite de l’événement du 24 avril prochain. Freddy Pindi, le président, lui, vient de séjourner pendant deux semaines à Luozi. Il s’y était rendu pour un travail avec les jeunes. Pour ce rendez-vous du 24 avril, les forces du progrès ne sont pas en reste. Cette organisation informelle du parti cher à Etienne Tshisekedi tient à marquer sa présence lors de cette journée de la jeunesse. Son vice-président, Freddy Masombo renseignait à CONGONEWS, que son organisation s’implique plus que jamais pour que Tshisekedi recouvre ses droits de président de la République. «Le Vieux doit diriger la RD-Congo. Nous nous impliquons pour lui obtenir l’imperium», a-t-il dit.
John TSHINGOMBE
UN MEETING DE RECONCILIATION A l’UDPS: Freddy Pindi, Fabrice Bakalufwa et Gecko Beya sur un même podium le 24 avril
VENDREDI, 13 AVRIL 2012 12:13
Un grand rassemblement de jeunes de l’UDPS est prévu le 24 avril à la place Triomphale en face du stade de martyrs pour commémorer les 22 ans de la démocratie. C’est un événement programmé par la Ligue nationale de jeunes de l’UDPS, qui va commémorer la fête de la jeunesse udpsienne. Lui-même le président Tshisekedi sera présent à cette manifestation.
Il y a peu, le président -autoproclamé- assistait à la manif marquant la fin du mois de mars. Mois, dédié à la femme. Tshisekedi sera au Triomphal pour communier avec ses jeunes. Ces derniers tiennent coûte que coûte à le voir et à l’écouter.
Il y a longtemps qu’Etienne Tshisekedi n’a pas communiqué avec la jeunesse de son parti en particulier et celle kinoise en général. Ça sera donc l’occasion. Ce rassemblement de la jeunesse sera aussi l’occasion de la réconciliation et de l’unité au sein de cet organe. La jeunesse qui est le fer de lance e l’UDPS, ne peut pas se laisser miner par des divisions intestines si elle veut voir Etienne Tshisekedi son leader prendre le pouvoir. Engagée derrière Tshisekedi dans le combat du recouvrement de l‘imperium, la jeunesse de l’UDPS doit absolument mettre de côté les questions d’ego et privilégier les intérêts du parti et de la nation. Ce message semble avoir été compris par tous les protagonistes qui veulent le démontrer ce 24 avril à la place triomphale. Une manifestation qu’ils mettent tous sous le signe de l’unité et de la cohésion du parti. Voilà, que la Ligue de jeunes de l‘UDPS n’est pas divisée comme cela avait été présenté dans l’opinion. Le président Freddy Pindi et son premier- vice président, Fabrice Bakalufwa n’avaient jamais été virés de l’UDPS ni de leurs fonctions respectives.
Seulement, une incompréhension avait été entretenue par quelques aînés du parti pour mettre en conflit Freddy, Fabrice et leur deuxième vice- président Gecko Beya. Il n’a jamais été question de chasser tel ou tel autre jeune de l’UDPS ou de ses fonctions, rapportait à CONGONEWS, un jeune udpsien. Et d’argumenter que, c’est fa question de 42 députés de l’UDPS, qui a failli bouleverser les choses au sein du parti. Certains cadres de l’UDPS animés de mauvaise foi ont voulu profiter de cette situation pour diviser la Ligue de jeunes. Mais, dit-il, «nous avons réussi à déjouer ce complot. Nous avons confondu les esprits malins de notre parti, qui dans la plupart ont la mission de saper l’UDPS. Ils n’atteindront jamais celle-ci». En effet, ce groupe cadres du parti avaient monté Gecko Beya contre ses chefs. Ils faisaient comprendre à Beya, que c’est bel et bien lui qui incarnait véritablement la force de la jeunesse de l’UDPS pour son courage combatif. Et que Pindi et Bakalufwa étaient des faiblards. Une thèse d’instrumentalisation et de diabolisation qui ne tenait pas debout. Pindi et Bakalufwa ont eu à prouver de quoi ils sont capables depuis, qu’ils exercent leurs fonctions à la tête de la Ligue nationale de jeunes.
D’ailleurs, les deux ont accompagné le président Tshisekedi à l’intérieur du pays pendant la campagne électorale. «Vous voyez, Tshisekedi, se promenait avec des incompétents ou des faiblards. En tout cas, c’est mal les connaître», explique un autre jeune de l’UDPS. Qui se flatte parce que ni Pindi, ni Bakalufwa encore moins Beya, n’est tombé dans ce piège. A l’UDPS on fait remarquer que les trois seront sur le même podium le 24 avril. Bien, qu’ils n’ont plus travaillé ensemble pendant des semaines, le rapprochement est entrain de se manifester. De temps en temps les trois leaders de la jeunesse udpsienne se retrouvent pour monter des stratégies consécutives à la réussite de l’événement du 24 avril prochain. Freddy Pindi, le président, lui, vient de séjourner pendant deux semaines à Luozi. Il s’y était rendu pour un travail avec les jeunes. Pour ce rendez-vous du 24 avril, les forces du progrès ne sont pas en reste. Cette organisation informelle du parti cher à Etienne Tshisekedi tient à marquer sa présence lors de cette journée de la jeunesse. Son vice-président, Freddy Masombo renseignait à CONGONEWS, que son organisation s’implique plus que jamais pour que Tshisekedi recouvre ses droits de président de la République. «Le Vieux doit diriger la RD-Congo. Nous nous impliquons pour lui obtenir l’imperium», a-t-il dit.
John TSHINGOMBE
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Ilunga
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Tshisekedi en colère
VENDREDI, 13 AVRIL 2012 09:15
Président légitime selon la volonté populaire du 28 novembre 2011, Etienne Tshisekedi est en colère contre ses lieutenants qui refusent de respecter le mot d’ordre du parti les interdisant de siéger à l’assemblée nationale. Au sein de l’Udps, les points de vu divergent sur cette question. Pour la majorité des députés élus de ce parti,
il n’est pas nécessaire de pratiquer la politique de la chaise vide car le vrai combat politique doit se faire au sein de l’assemblée nationale afin de faire valoir les grandes idées du changement qui peuvent apporter le salut à notre peuple qui continue à croupir dans la misère la plus ignoble de notre siècle. Pour ceux qui constituent la branche dure de l’Udps, les résultats des élections ne traduisent pas la vérité des urnes qui est l’expression de notre peuple qui a massivement élu monsieur Etienne Tshisekedi au poste de président de la république et la plus part des députés ont été nommé par les services de la Ceni. Face à cette réalité, accepter de siéger dans un parlement qui ne traduit pas la volonté populaire est une trahison au peuple congolais qui a déjà fait son choix. Pour départager les deux tendances, le président Tshisekedi a pris acte de l’auto exclusion de ses membres et autres alliés.
Selon une source digne de foi, signe et persiste que monsieur Etienne TSHISEKEDI sera dans les jours qui viennent l’invité du gouvernement américain. Cela en prélude de la tenue du dialogue inter congolais dont l’objectif consiste à diluer la crise politique qui a pris corps dans le pays après les élections du 28 novembre 2011. La même source indique que à l’invitation du sénat américain le Président de l’U.D.P.S autoproclamé président de la République pour sa légitimité populaire mettra a profit son séjour aux Etats Unis pour présenter sa feuille de route et sa vision sur les grandes lignes qui émaillent la bonne gouvernance d’un état moderne. Sauf imprévu, le sphinx de limete pourrait rencontrer les personnalités importantes des Etats-Unis qui voudront aussi comprendre ce qui, s’est passé réellement lors des élections de 2011. 7 membres de l’opposition, 7 de la majorité et 7 de la société civile sont attendus à Bruxelles pour les travaux du dialogue inter congolais bis sous la présidence de l’ancien Président du Ghana qui compte conclure les travaux à Accra capitale de la république du Ghana. Il faut dire que dans tous les salons politiques, la grande opinion est favorable pour la tenue de ce dialogue qui est l’une des voies pour sortir notre pays de la crise, car sur le plan international, tous disent n’est pas être convaincu de la victoire de Kabila ou celle de Tshisekedi.
L’unique façon de mettre un terme à cette confusion c’est le dialogue. En ce qui concerne la santé de l’Udps, le conseiller politique d’Etienne Tshisekedi, Valentin Mubake, a menacé d’exclusion tous les députés de l’UDPS qui oseraient siéger au sein de la nouvelle Assemblée nationale. Il l’a affirmé mardi 21 février lors de son intervention à l’émission Dialogue entre congolais à Radio Okapi. Selon lui, son parti « ne peut pas accompagner des fraudes massives et des anti-valeurs.»
«Vous allez-là bas [Assemblée nationale], sachez que dans le cadre de la discipline du parti et de sa lutte, on vous retire le label sur base duquel vous avez été élu et on vous retire le label comme membre du parti », a déclaré Valentin Mubake. Onze commissions spéciales ont été mises en place lundi 20 février à l’Assemblée nationale pour valider les mandats des députés nouvellement élus. Mais depuis le début de la session extraordinaire, les membres de l’UDPS et alliés ne participent pas aux plénières. Pour Valentin Mubake, l’UDPS vient de totaliser 30 ans depuis sa création le 15 février 2012 «pour l’instauration, au Con go d’un Etat de droit» et estime que l’Etat de droit n’est pas encore instauré en RDC. «Nous disons que tous ceux qui ont été « élus » sous le label de l’UDPS sont libres de faire ce qu’ils ont à faire. A notre niveau, nous n’avons trouvé ni l’intérêt du parti, ni celui du pays dans cette affaire », a poursuivi le conseiller politique d’Etienne Tshisekedi. De son côté, Germain Kambinga, le porte-parole du Mouvement de libération du Congo (MLC), estime que l’UDPS devrait poursuivre son combat politique à l’intérieur de l’hémicycle du palais du peuple. Selon lui, l’opposition devrait faire un front commun en bénéficiant du renfort de l’UDPS qui est le premier parti institutionnel de l’opposition. «J’ai la conviction que l’UDPS, le MLC et l’Union pour la nation congolaise (UNC) et tous les autres partis [de l’opposition] ensembles nous pouvons efficacement et petit à petit amener ce gouvernement et ce pouvoir à sa déchéance. Nous avons peut-être tout raté. Ils nous ont tout volé mais nous avons une tribune, celle du peuple congolais pour les dénoncer », a-t-il conclu.
Les députés de l’UDPS boycottent les travaux de l’Assemblée pour respecter la consigne d’Etienne Tshisekedi, le président de ce parti. Ce dernier, arrivé en deuxième place à la présidentielle de 2011 derrière Joseph Kabila, conteste les résultats de la Ceni et avait déclaré considéré comme « nulles » les élections législatives organisées le même jour que la présidentielle.
Le président du bureau provisoire de l’Assemblée nationale, Timothée Kombo Nkisi élu de Madimba au Bas-Congo, est l’unique député élu sur la liste de l’UDPS qui ne respecte pas cette consigne.
Source La Flamme du Congo
Tshisekedi en colère
VENDREDI, 13 AVRIL 2012 09:15
Président légitime selon la volonté populaire du 28 novembre 2011, Etienne Tshisekedi est en colère contre ses lieutenants qui refusent de respecter le mot d’ordre du parti les interdisant de siéger à l’assemblée nationale. Au sein de l’Udps, les points de vu divergent sur cette question. Pour la majorité des députés élus de ce parti,
il n’est pas nécessaire de pratiquer la politique de la chaise vide car le vrai combat politique doit se faire au sein de l’assemblée nationale afin de faire valoir les grandes idées du changement qui peuvent apporter le salut à notre peuple qui continue à croupir dans la misère la plus ignoble de notre siècle. Pour ceux qui constituent la branche dure de l’Udps, les résultats des élections ne traduisent pas la vérité des urnes qui est l’expression de notre peuple qui a massivement élu monsieur Etienne Tshisekedi au poste de président de la république et la plus part des députés ont été nommé par les services de la Ceni. Face à cette réalité, accepter de siéger dans un parlement qui ne traduit pas la volonté populaire est une trahison au peuple congolais qui a déjà fait son choix. Pour départager les deux tendances, le président Tshisekedi a pris acte de l’auto exclusion de ses membres et autres alliés.
Selon une source digne de foi, signe et persiste que monsieur Etienne TSHISEKEDI sera dans les jours qui viennent l’invité du gouvernement américain. Cela en prélude de la tenue du dialogue inter congolais dont l’objectif consiste à diluer la crise politique qui a pris corps dans le pays après les élections du 28 novembre 2011. La même source indique que à l’invitation du sénat américain le Président de l’U.D.P.S autoproclamé président de la République pour sa légitimité populaire mettra a profit son séjour aux Etats Unis pour présenter sa feuille de route et sa vision sur les grandes lignes qui émaillent la bonne gouvernance d’un état moderne. Sauf imprévu, le sphinx de limete pourrait rencontrer les personnalités importantes des Etats-Unis qui voudront aussi comprendre ce qui, s’est passé réellement lors des élections de 2011. 7 membres de l’opposition, 7 de la majorité et 7 de la société civile sont attendus à Bruxelles pour les travaux du dialogue inter congolais bis sous la présidence de l’ancien Président du Ghana qui compte conclure les travaux à Accra capitale de la république du Ghana. Il faut dire que dans tous les salons politiques, la grande opinion est favorable pour la tenue de ce dialogue qui est l’une des voies pour sortir notre pays de la crise, car sur le plan international, tous disent n’est pas être convaincu de la victoire de Kabila ou celle de Tshisekedi.
L’unique façon de mettre un terme à cette confusion c’est le dialogue. En ce qui concerne la santé de l’Udps, le conseiller politique d’Etienne Tshisekedi, Valentin Mubake, a menacé d’exclusion tous les députés de l’UDPS qui oseraient siéger au sein de la nouvelle Assemblée nationale. Il l’a affirmé mardi 21 février lors de son intervention à l’émission Dialogue entre congolais à Radio Okapi. Selon lui, son parti « ne peut pas accompagner des fraudes massives et des anti-valeurs.»
«Vous allez-là bas [Assemblée nationale], sachez que dans le cadre de la discipline du parti et de sa lutte, on vous retire le label sur base duquel vous avez été élu et on vous retire le label comme membre du parti », a déclaré Valentin Mubake. Onze commissions spéciales ont été mises en place lundi 20 février à l’Assemblée nationale pour valider les mandats des députés nouvellement élus. Mais depuis le début de la session extraordinaire, les membres de l’UDPS et alliés ne participent pas aux plénières. Pour Valentin Mubake, l’UDPS vient de totaliser 30 ans depuis sa création le 15 février 2012 «pour l’instauration, au Con go d’un Etat de droit» et estime que l’Etat de droit n’est pas encore instauré en RDC. «Nous disons que tous ceux qui ont été « élus » sous le label de l’UDPS sont libres de faire ce qu’ils ont à faire. A notre niveau, nous n’avons trouvé ni l’intérêt du parti, ni celui du pays dans cette affaire », a poursuivi le conseiller politique d’Etienne Tshisekedi. De son côté, Germain Kambinga, le porte-parole du Mouvement de libération du Congo (MLC), estime que l’UDPS devrait poursuivre son combat politique à l’intérieur de l’hémicycle du palais du peuple. Selon lui, l’opposition devrait faire un front commun en bénéficiant du renfort de l’UDPS qui est le premier parti institutionnel de l’opposition. «J’ai la conviction que l’UDPS, le MLC et l’Union pour la nation congolaise (UNC) et tous les autres partis [de l’opposition] ensembles nous pouvons efficacement et petit à petit amener ce gouvernement et ce pouvoir à sa déchéance. Nous avons peut-être tout raté. Ils nous ont tout volé mais nous avons une tribune, celle du peuple congolais pour les dénoncer », a-t-il conclu.
Les députés de l’UDPS boycottent les travaux de l’Assemblée pour respecter la consigne d’Etienne Tshisekedi, le président de ce parti. Ce dernier, arrivé en deuxième place à la présidentielle de 2011 derrière Joseph Kabila, conteste les résultats de la Ceni et avait déclaré considéré comme « nulles » les élections législatives organisées le même jour que la présidentielle.
Le président du bureau provisoire de l’Assemblée nationale, Timothée Kombo Nkisi élu de Madimba au Bas-Congo, est l’unique député élu sur la liste de l’UDPS qui ne respecte pas cette consigne.
Source La Flamme du Congo
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