Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition

Comme son nom l'indique, on discute de tout ici mais dans le respect et les règles du forum.
Ilunga
Entraîneur
Entraîneur
Messages : 17941
Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
Contact :

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Message par Ilunga »

http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... 4:le-phare




Pour irresponsabilité grave et abus de pouvoir Les responsables de la Ceni méritent d'être jugés
LUNDI, 02 AVRIL 2012 14:28




Même si certains acteurs politiques, notamment ceux de la majorité, ne veulent pas l'admettre officiellement, sauf en aparté, la crise de légitimité existe bel et bien après les élections du 28 novembre 2011.

Son existence est confirmée par les différents rapports des missions d'observation électorale tant nationale qu'internationale. Notamment les rapports du Centre Carter, de la Mission d'observation de l'UE, de l'Eglise catholique congolaise, ainsi que ceux de diverses Ong nationales.

Tous ces rapports épinglent bien la CENI (Commission électorale nationale indépendante) comme responsable de toutes, les irrégularités, et fraudes massives enregistrées lors des élections. Lesquelles ont sérieusement entamé la crédibilité de tous les résultats (de la présidentielle et des législatives) proclamés par la même Ceni et confirmés par la Cour suprême de justice.



Les rapports indiquent clairement comment la Ceni s'est aventurée dans la violation de la loi électorale et de la Constitution à falsifier les vrais résultats des urnes dans plusieurs circonscriptions électorales, voire des contrées entières, pour favoriser tel ou tel autre candidat.



L'intention de nuire était préméditée !

A l'analyse de la situation, on constate que tout ce qui est arrivé a été intentionnellement préparé par la Ceni qui est allée au-delà de sa mission légale.

Institution d'appui à la démocratie dont la mission se, veut de préparer, organiser et publier les résultats des élections tels qu'ils ont été affichés dans les différents bureaux de vote après dépouillement, la Ceni s'est arrogée des, pouvoirs qu'elle n'a pas au regard de la loi.

En effet, tout est parti des opérations d'enrôlement ou enregistrement des électeurs où on a remarqué qu'il n'y avait pas d'égalité dans la réalisation de cette tâche. Plus de jours et de matériels suffisants, personnels en nombre approprié, distance écourtée... pour certaines provinces. Tandis qu'autour des autres, c'était l'empressement, l'insuffisance de matériels, l'amateurisme des agents commis, de longues distances à parcourir pour atteindre un centre d'enrôlement, etc.

Malgré les revendications de la population et de leaders politiques, la Ceni a fait lourde oreille refusant catégoriquement de revoir les choses !

Les membres du bureau, ont affiché la même attitude tout au long, du processus: C'est le cas du refus aux opposants d'accéder au serveur central ou encore d'auditer le fichier électoral, pourtant des préalables légaux avant toute élection voulue démocratique et transparente !

De même, les dirigeants de la Ceni ont procédé, au nettoyage dudit fichier en toute opacité. Aucun rapport de cette opération (nettoyage du fichier électoral) n'a jamais été fait aux Congolais jusqu'au jour des élections. Ni personne parmi les acteurs au processus, encore des experts étrangers ou membres de la société civile, n'était associé au fameux nettoyage vrai ou supposé !

Le jour des élections, tous les coups étaient permis par la Ceni pourvu qu'ils soient dirigés en direction de l'opposition. Des agents électoraux attrapés la main dans le sac dans des opérations proscrites par la loi, notamment la falsification des données, bourrages des urnes avec des bulletins de vote pré cochés, ont jamais été inquiétés. Ce, en dépit de l'annonce faite avec pompe par Ngoy Mutunda et Cie de leur faire subir la rigueur de la loi !

Que dire des policiers et militaires qui se sont compromis sous l'oeil complaisant du pouvoir organisateur des élections ? Idem pour l'arrivé au lendemain du jour des élections de plusieurs tonnes de bulletins de vote, tout comme la prolongation de vote dans certains endroits jusqu'au 5 décembre 2011 comme le dénonce le rapport de la Mission de l'UE.

La même Ceni s'est encore permise de réduire sensiblement parfois du double au simple le score des candidats qu'elle tenait à tout prix à couler. Ou encore réduire le taux de participation dans des provinces ou circonscriptions électorales défavorables à ses protégés !

Conséquence de ce comportement irresponsable d'extrême légèreté dont les membres du bureau de la Ceni ont fait montre, sans le moindre souci de l'avenir de la nation et de son peuple, le pays se trouve aujourd'hui replongé dans une grave crise de légitimité de pouvoir.

La majorité des Congolais ne se reconnaissent pas dans les résultats publiés par la Ceni et confirmés par la CSJ. Elle croit que la plupart des dirigeants proclamés vainqueurs des élections du 28 novembre ne sont pas issus de la volonté populaire ou de la vérité des urnes, mais ils auraient été fabriqués par la Ceni.



Nécessité de sanctionner

Personne n'étant au-dessus de la loi, on ne peut pas laisser des gens s'amuser de la vie de la nation comme ils veulent.

La crise de légitimité que connaît le pays à ce jour étant provoquée par les membres du bureau de la Ceni, ceux-ci doivent répondre de leurs actes devant la loi. La Tolérance zéro oblige.

Ne pas le faire serait accorder une prime à quiconque pourrait se permettre n'importe quoi dans l'avenir au point de verser dans la haute trahison, sans qu'il ne soit inquiété !

Dom
Ilunga
Entraîneur
Entraîneur
Messages : 17941
Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
Contact :

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Message par Ilunga »

http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... 4:le-phare




Rapports d'observation électorale : Le Congo en danger !
Lundi, 02 Avril 2012 14:28





En publiant, le jeudi 29 mars 2012 à Kinshasa, son rapport définitif sur les élections du 28 novembre 2011, la mission d'observation électorale de l'Union Européenne a rouvert dans les coeurs des millions de Congolaises et Congolais, une plaie qui est loin de se cicatriser. La leçon principale à tirer de cet «audit» et de ceux menés par le Centre Carter ainsi que d'autres organisations internationales est que le Congo est en danger.

La mère-patrie court en effet le risque d'être frappé d'embargos divers, qui ne disent pas leur nom, aux plans politique, diplomatique, économique, financier et culturel du fait qu'elle est assise sur des institutions dont les « élus » souffrent d'un grave déficit de légitimité. Comme d'aucuns le savent, les « élections-nominations » organisées par la Commission Electorale Nationale Indépendante ont plongé le pays dans une crise politique aux conséquences imprévisibles.

Dans le contexte actuel de la confirmation du caractère non transparent du verdict des urnes, chaque Congolaise ou chaque Congolais se trouve en droit de contester les mandats des élus actuels, car non convaincu que leur élection soit le reflet de la volonté du souverain primaire.

Mais, au-delà des contentieux électoraux internes et des séquelles que les fraudes électorales 'sont en train de laisser dans les esprits, il y a la fragilité morale, sociale et politique des élus « nommés ». A l'intérieur comme à l'extérieur du pays, beaucoup de dignitaires de la législature de 2011 à 2016 sont obligés d'afficher un profil bas, afin d'éviter d'énerver à la fois leur propres compatriotes et leurs partenaires étrangers.

La conscience de n'avoir pas obtenu, dans les urnes, les scores leur attribués par la CENI ne cessera jamais de hanter leurs mandats.



Des tricheries voulues par l'étranger ?

A la lumière des critiques sévères émises par les observateurs occidentaux et américains au sujet des scrutins présidentiel et législatifs du 28 novembre, de nombreux concitoyens pensaient que des pressions suffisamment fortes allaient être exercées sur le pouvoir en place à Kinshasa pour le contraindre soit à faire reprendre les élections par une CENI restructurée, soit à rechercher un consensus extraconstitutionnel entre les « élus nommés » et ceux qui contestent leurs mandats. On constate, au finish, que l'extérieur a cautionné le fait accompli. Il y a. lieu de se demander si quelque part, l'étranger tenait réellement à l'émergence, en République Démocratique du Congo, d'institutions fortes. Certains analystes politiques estiment que certains partenaires du Congo s'accommoderaient plutôt d'un pouvoir très faible en terme de légitimité, qu'ils pourraient faire chanter à la moindre velléité d'indépendance dans la défense des intérêts du peuple congolais.

Avec des « élus » tricheurs ou bénéficiaires du fruit de la tricherie en nombre 2011, tous ceux qui convoitent les richesses du Congo ou qui cherchent la balkanisation du Congo peuvent passent aux actes sans crainte d'être dénoncés publiquement.

La RDC se présente dès lors comme un Etat fragile, incapable de lever le petit doigt pour protester contre les violations de son intégrité territoriale ou le pillage de son or, de son diamant, de son cuivre, de son cobalt, de son coltan, de son pétrole, de son bois, de son électricité, de ses eaux douces, de ses terres, etc. Entre 2011 et 2016, les non-élus sont obligés de s'imposer le silence face au diktat de l'étranger, pour protéger leurs mandats.

La moindre erreur d'appréciation des enjeux politiques, diplomatiques et financiers face aux grands de la planète risque de leur coûter cher. Moralité faire les « morts » jusqu'en 2016.

Kimp
Ilunga
Entraîneur
Entraîneur
Messages : 17941
Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
Contact :

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Message par Ilunga »

http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... 4:le-phare





Nouvelle guerre Pouvoir-Catholique ?
LUNDI, 02 AVRIL 2012 14:28

Image d'archive

Les nerfs des cadres et fidèles de l'Eglise Catholique de Kinshasa étaient mis à rude à épreuve le dernier week-end. Pour des raisons mal ficelées, liées tantôt à l'organisation d'un match de football (V.Club -Tshinkunku) qui ne s'est pas joué au stade des Martyrs, tantôt au mauvais état des infrastructures du stade Tata Raphaël où Daring Club Motema Pembe a pourtant livré samedi un match amical sans dégât, l'Hôtel de Ville de Kinshasa a interdit à l'Archevêché de Kinshasa l'organisation de la messe du « Dimanche des Rameaux » dans ces deux temples du football.



Pourtant, l'administration du Stade des Martyrs avait encaissé les frais de location de ce site pour le 1er avril 2012 (Dimanche des Rameaux) et le 15 avril 2012 (Ordination sacerdotale). Les responsables de l'Elise Catholique de Kinshasa ont été soumis, entre le jeudi 29 et le samedi 31 mars, à une véritable cacophonie marquée par les décisions et contre-décisions venant tantôt du Gouvernorat de la Ville de Kinshasa, tantôt de la «Ville Haute», portant tantôt interdiction du culte à la fois aux Stades des Martyrs (jeudi) et Tata Raphaël (jeudi), puis sa délocalisation vers l'institut Technique industriel de la Gombe (vendredi), et enfin sa reprogrammation au stade Tata Raphaël (samedi).

Face à tant de manoeuvres, dilatoires et pour ne pas désorienter des milliers de jeunes fidèles catholiques, l'Archevêché de Kinshasa a décidé ne plus se référer à l'Hôtel de Ville et de délocaliser le Dimanche des Rameaux vers l'ITI/Gombe.



Dans les milieux de l'Eglise Catholiques, l'on est étonné d'apprendre que ses responsables devraient écrire à l'Hôtel de Ville pour solliciter la location du Stade Tata Raphaël. Une telle démarche était jugée sans objet un contrat de location des installations du Stade des Martyrs avait été signé bonne et due forme avec l'administration de ce temple du football, et le cachet payé pour deux dimanches (1er et 15 avril).

Il était plutôt du devoir de ceux qui avaient encaissé l'argent des Catholiques de leur trouver une solution de rechange, dès lors que le Stade des Martyrs était prétendu, au tout dernier moment, indisponible pour cause de match de football, une rencontre qui a finalement été annulée samedi. De ce point de vue, l'Hôtel de Ville, qui s'est mêlé d'un dossier auquel il était totalement étranger, est fautif sur toute la ligne.



Retour à la gué-guerre Mobutu-Malula ?



Le sabotage du « Dimanche des Rameaux » par l'administration urbaine de Kinshasa est interprété, dans l'opinion kinoise, comme une nouvelle déclaration de guerre contre l'Eglise Catholique. Associé à la profanation des paroisses de la capitale par des hommes en uniforme et des « Kuluna » instrumentalisés par des décideurs politiques le 16 février 2012, cet énième acte de provocation rappelle les années noires de la cohabitation conflictuelle Mobutu-Malula. Si c'est le cas, il faut craindre qu'un tel état d'esprit n'engendre des dérives dans la gestion des affaires de la «Cité».

Au contraire, s'il ne s'agit que d'un cas isolé d'incompréhension entre l'Eglise Catholique de' l'administration de Kinshasa, il faudrait que ceux qui ont la gestion dés manifestations publiques évitent de donner l'impression de vouloir empêcher ne confession religieuse bien ciblée de remplir sa mission d'évangélisation de ses membres. On attend ainsi des signaux de bonne foi dans un avenir proche.

On rappelle que dans les années '70, piqué par le virus du retour ou recours à l'« Authenticité », le président Mobutu avait délibérément ouvert un front contre l'Eglise se Catholique de l'ex-Zaïre en général et contre le Cardinal Joseph-Albert Malula en particulier.

A cause du refus de ce prélat de s'incliner devant la décision du Bureau Politique portant interdiction du port, par les chrétiens catholiques zaïrois, des prénoms étrangers reçus ou adoptés au moment de leur baptême (Paul, Jean, Joseph, Jacques, Paul, Laurent, André, Marie, Thérèse, Agnès, etc.), il connut des brimades de tous ordres. Délogé sans avis de sa résidence (effets jetés dehors par la Brigade Disciplinaire de la JMPR) dans l'enceinte de l'Actuel Secrétariat général de la Jeunesse et des Sports, transformé à l'occasion en Quartier général de la JMPR (Jeunesse du Mouvement Populaire de la Révolution), il dut partir en exil à Rome, en attendant que la colère du «Guide» s'estompe.

Et, c'était parti pour le processus d'institutionnalisation du MPR, qui allait se muer en Parti-Etat à l'orée des années '80. La primauté du parti sur l'Etat était finalement l'apothéose d'une dictature sanguinaire, où chaque parole du Président-Fondateur du MPR prononcée en public avait force de loi. Déifié, Mobutu ne se privait jamais de rappeler au monde que le peuplé congolais lui devait tout: la paix, l'unité nationale, la dignité retrouvée grâce au recours à l'authenticité, la révolution-comparaison, l'indépendance économique après « l'indépendance nominale» de 1960. Après lui, lançait-il à la ronde, ce serait le déluge. Tous les cadres du MPR étaient identifiés comme ses « créatures ». Quant aux Zaïrois, ils devaient chanter et danser matin, midi et soir, pour « honorer notre Guide et lui exprimer notre amour ». Mobutu de renchérir : « Heureux le peuple qui chante et danse! ».

Ce pays a une histoire, une longue histoire post-indépendance. Les auteurs de la grande confusion orchestrée le week-end dernier autour du « Dimanche des Rameaux » ont réveillé, chez des millions de Catholiques, le souvenir amer et douloureux du régime Mobutu, surtout que la cible principale pour la circonstance se trouve être, une fois de plus, un haut dignitaire religieux, à savoir le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya. A l'époque, beaucoup de compatriotes qui sont aujourd'hui aux affaires n'étaient pas encore nés. Mais, ceux qui savent et qui avaient contribué à l'installation et à la consolidation de la dictature, et qui se retrouvent encore, comme par hasard aux avant-postes, devraient renseigner ceux qui pensent bien faire en persécutant l'Eglise Catholique. Sans la résistance de Malula, celle-ci serait devenue une branche spécialisée du MPR.

Kimp
Ilunga
Entraîneur
Entraîneur
Messages : 17941
Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
Contact :

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Message par Ilunga »

http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... 4:le-phare




INVITE DE LA LIGUE DES FEMMES DE L'UDPS Tshisekedi lève les équivoques
LUNDI, 02 AVRIL 2012 14:28



Invité à la clôture du mois de la femme organisée par la ligue des femmes de l'Union pour la Démocratie et le Progrès social, en synergie avec les femmes des autres formations politiques regroupées dans une structure dénommée les femmes acquises au changement le samedi 31 mars au siège de son parti, sise 10ème Rue Limete, le président de l'UDPS, Etienne Tshisekedi qui se considère toujours comme le président élu de la République Démocratique du Congo au scrutin du 28 novembre, a saisi la balle au bond pour éclairer la religion de ses dames et, à travers elles, l'opinion aussi bien nationale qu'internationale sur les grands sujets de l'heures.



Tshisekedi, qui s'est exprimé en lingala, a introduit son propos en rappelant la situation catastrophique que traverse le pays après la publication des résultats des élections couplées du 28 novembre 2011 par le Bureau de la Ceni. Il a affirmé que le 28 novembre, la volonté du changement s'était exprimée dans les urnes. Le peuple congolais avait, par un vote massif, porté son choix sur sa personne pour conduire une alternance capable de répondre à ses attentes.

Malheureusement, cette victoire est à ce jour confisquée par les ennemis du réveil congolais qui usent de tous les artifices pour l'empêcher d'exercer le pouvoir que le peuple lui a confié, a-t-il poursuivi.

Pour le sphinx de Limete, la politique est aussi une école d'élégance. Quand on a été recalé par le souverain primaire, on doit avoir le courage de s'effacer pour ne pas contrarier la reconstruction nationale.

Aussitôt après cette brève allocution, le président de l'UDPS s'est mis à l'écoute des femmes, membres de son parti, qui ont posé des questions de brûlante actualité, lesquelles alimentent du reste le débat dans les milieux politiques du pays.

Ces femmes ont posé cinq questions à Etienne Tshisekedi notamment sur son refus de rencontrer le chef de la diplomatie belge en visite à Kinshasa, le Dialogue avec le président Kabila, sa position sur les députés de l'opposition qui siègent à l'Hémicycle de Lingwala et les critiques «d'une certaine opinion sur sa politique de la chaise vide. Et enfin, une femme présente à cette manifestation a tenu à avoir l'éclairage sur la rumeur faisant état d'une rencontre entre Mesdames Marthe Tshisekedi et Olive Lembe.



Concernant l'affaire Reynders, Etienne Tshisekedi a révélé que ce ministre belge était venu au Congo pour défendre les intérêts d'une compagnie d'aviation. C'est pour assurer les beaux jours d'un contrat liant cette compagnie au pouvoir en place qu'il s'est retrouvé dans notre pays. Mais pour cacher le véritable objectif de sa mission, il fallait faire croire qu'il venait pour aider les Congolais à dénouer une crise fabriquée de toutes pièces. La délégation de l'UDPS ne pouvait donc pas échanger avec un homme qui se fiche de la misère du peuple pour ses intérêts personnels, a souligné le leader maximo avant de renvoyer tout le monde à une lecture attentive des rapports d'observation des élections congolaises rendus publics par les différentes missions d'observation, aussi bien nationales qu'internationales. Et de conclure «il est temps qu'on prenne en compte la maturité du peuple congolais. Celui-ci a choisi librement ses dirigeants et la logique veut qu'on respecte son choix, comme on le fait du reste à l'égard de tous les autres peuples qui peuplent la planète ».

A propos d'un éventuel dialogue avec Joseph Kabila, le président de l'UDPS constate qu'il y a dans le pays des gens qui veulent diriger le peuple par défi. Comment concevoir un dialogue dans ces conditions ?



A la question de savoir si le président de l'UDPS a donné le quitus aux députés de son parti de prendre part aux travaux de l'actuelle assemblée nationale, Etienne Tshisekedi a été on ne peut plus claire. Tous les députés de l'UDPS qui ont décidé de participer à ce forum qu'il juge illégitime se sont auto-exclus du parti.

Répondant aux critiques formulées contre sa politique de la chaise vide, Etienne Tshisekedi a fait remarquer que l'UDPS ne cherche pas le pouvoir pour le pouvoir. Ceux qui cherchent aujourd'hui à vendre l'illusion de combattre les fraudeurs à l'intérieur d'un parlement dont la majorité a été nommée par la Ceni en faveur du camp adverse, devraient avoir le courage de dire la vérité sur leur participation à cette assemblée qui sera sans nul doute la caisse de résonance du pouvoir en place.

Son épouse a pris, la relève à la cinquième question pour démentir les informations faisant état de sa rencontre avec madame Olive Lembe.

Il faut noter cette intervention du président de l'UDPS a été précédé par les discours de la présidente de la ligne de femmes de l'UDPS, Denise Lupetu, et celui de Marthe Tshisekedi.



La présidente de la ligue des femmes de l'UDPS a dans son allocution décriée le manque de volonté politique du pouvoir en place d'améliorer les conditions des femmes victimes des violences surtout à l'est du pays.

Denise Lupetu a appelé les femmes à s'impliquer dans le combat pour le changement prôné par le président Tshisekedi pour le bonheur de toutes les filles et tous les fils du Congo.

Quant à Marthe Kisalu Tshisekedi, elle a appelé les femmes à dire non aux anti- valeurs et à s'engager dans le combat pour la vérité des urnes afin de mettre en place des institutions capables de travailler pour le bien-être de la femme congolaise en particulier et de la nation en général.

Eric WEMBA
Ilunga
Entraîneur
Entraîneur
Messages : 17941
Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
Contact :

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Message par Ilunga »

ça bardeau Nord-Kivu...







paru Libre Belgique 3 avril 12 en pages 03/04/2012 09:48:56
Congo-Kinshasa
Bosco reprend-il le maquis ?
Recherché par la Cour pénale internationale (CPI), il craint d’être livré.
Le général Bosco Ntaganda, de facto “numéro un” de l’armée congolaise au Kivu, est-il en train de reprendre le maquis ? C’est ce que l’on craignait, ce week-end, au Congo.
Ancien officier de divers mouvements armés congolais, dont le CNDP (le redoutable groupe armé tutsi congolais de Laurent Nkunda, aujourd’hui détenu au Rwanda voisin), Bosco Ntaganda est recherché depuis plusieurs années par la Cour pénale internationale (CPI) pour des exactions commises avec un précédent groupe armé, l’UPC de Thomas Lubanga, qui vient d’être jugé coupable de crimes de guerre. Kinshasa, qui l’a toutefois recyclé dans sa propre armée depuis 2009 avec le grade de général, a toujours refusé, jusqu’ici, de le livrer, au nom de la préservation de la paix.
Avant sa visite au Congo, la semaine dernière, le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, avait indiqué qu’il demanderait au président Kabila de livrer Bosco Ntaganda à la CPI. Des ONG congolaises, après le jugement de Lubanga, avaient exigé la même chose. Enfin, les élections législatives ont été annulées dans les circonscriptions où le CNDP avait imposé par la force l’élection de ses candidats. Le général Ntaganda a-t-il jugé que cela devenait “chaud” pour lui ? A-t-il choisi de prendre les devants ?
C’est ce que l’on redoute au Kivu où, selon plusieurs sources de La Libre Belgique, l’on observe depuis la fin de la semaine dernière de nombreux mouvements militaires suspects – notamment un accroissement des déplacements de véhicules militaires, dont la plaque minéralogique a souvent été rendue illisible, sur les axes routiers allant de Goma à Rutshuru et de Goma à Masisi. Une source dans la région de Rutshuru indique que l’armée y est arrivée dimanche soir mais “divisée” entre rwandophones (CNDP et Pareco, une ex-milice formée essentiellement de Hutus congolais) d’une part, et lingalaphones (le noyau plus ancien de l’armée) de l’autre. “Le CNDP s’est emparé des armes lourdes, les autres du reste”, indique cette source.
On signale à Goma que Ntaganda y a quitté depuis quinze jours sa villa – pour retourner dans sa ferme au sud du Masisi. On sait qu’il a pris le contrôle direct de deux régiments (un régiment compte un millier d’hommes) et que des militaires d’autres régiments gagnent depuis quelques jours le Masisi, en provenance des Nord et Sud-Kivu. Près de Baraka, des ONG ont signalé que des militaires avaient réquisitionné leurs véhicules. Visiblement, les ex-rebelles du CNDP qui avaient été intégrés dans l’armée sont en train de se regrouper.
Le rapport des experts de l’Onu du 29 novembre 2011 indiquait que le général Ntaganda avait “détourné” la restructuration de l’armée “en plaçant ses officiers les plus loyaux dans des positions clés au Nord- et au Sud-Kivu”,
après s’être
“réconcilié avec les officiers loyaux au général Laurent Nkunda”.
Marie-France Cros
Ilunga
Entraîneur
Entraîneur
Messages : 17941
Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
Contact :

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Message par Ilunga »

http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... :congonews




Malgré son déplacement pour la clôture du mois de la femme, Tshisekedi reste assiégé
MARDI, 03 AVRIL 2012 09:55




Le déplacement d’Etienne Tshisekedi à la permanence nationale de l’UDPS à la 10ième rue, Zinnias, le samedi 31 mars dernier ne signifie pas la levée du siège de la résidence du président autoproclamé. Le président Tshisekedi et sa famille sont toujours et encore en résidence surveillée. A chaque fois que Tshisekedi veut sortir de chez lui, ses services prennent toujours soins d’informer les responsables du régime. Ces derniers sont libres d’accepter ou pas. Et pour le samedi 31 mars, les autorités du régime ont autorisé Tshisekedi d’aller commémorer la clôture du mois de la femme avec ses tiennes. Le dispositif sécuritaire posé aux alentours de la résidence de Tshisekedi est maintenu. Même certaines entrées sont interdites. La dernière en date, est celle d’une équipe des journalistes belges, qui a tenté en vain d’accéder chez Tshisekedi pour obtenir le son de cloche de celui-ci sur la situation politique du pays.
Les journalistes belges ont été empêchés d’entrer chez Tshisekedi. Ces journalistes qui accompagnaient le vice-premier ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders sont rentrés sans obtenir le son de cloche de Tshisekedi par rapport à la situation politique au pays. Il y a deux semaines, Tshisekedi avait été autorisée d’aller assister à un deuil d’un membre de l’UDPS à l’YMCA à Matonge dans la commune de Kalamu. Le siège de sa résidence est loin d’être levée. Qu’à cela ne tienne, le président Tshisekedi est resté égal à lui-même. Il n’a pas été tendre lors de son speech devant les femmes de l’UDPS réunies au siège national de I’UDPS pour marquer la fin du mois de mars dédié à la femme. S’exprimant aux femmes de son parti, Tshisekedi a eu des mots justes à l’endroit du régime. Pour lui, il n’y pas crise au sommet de l’Etat. Il a été élu président de la République par la majorité du peuple congolais. C’est lui, le président de la République. Tshisekedi affirme qu’au jour d’aujourd’hui, il n’attend plus que l’imperium pour commencer à exercer ses fonctions du président de la République. Il a fait passer un message d’espoir à la nation rd-congolaise, à qui il a fait remarquer que cet imperium ne tardera plus à venir. Tout était déjà harmonisé pour ce faire. Il a critiqué la visite de Didier Reynders. Selon Tshisekedi, ce ministre belge était venu pour autre chose. C’est plutôt pour des intérêts financiers, que pour aider les Congolais à solutionner leurs problèmes. Avec ça, Tshisekedi n’est pas prêt à négocier avec Kabila. Donc, la crise ne pourrait être résolvée de sitôt. Quand aux députés de l’UDPS, qui siègent à l’Assemblée nationale, Tshisekedi a fait savoir qu’ils se sont auto-exclus. Prenant aussi la parole pour répondre aux rumeurs qui ont fait état de sa rencontre avec Olive Lembe Kabila, maman Marthe Jibikila Kasalu, l’épouse d’Etienne Tshisekedi a fait savoir, que celle- ci n’avait jamais eu lieu. Et n’est même pas envisagée.
JOHN TSHINGOMBE
Ilunga
Entraîneur
Entraîneur
Messages : 17941
Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
Contact :

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Message par Ilunga »

http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... -potentiel






Assemblée : Tshisekedi réaffirme l’« auto-exclusion » des députés UDPS
MARDI, 03 AVRIL 2012 09:29




Une dizaine de députés de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) qui « siègent déjà » à l’Assemblée nationale, parmi les 35 qui se sont fait enregistrer sur les 42 élus en novembre 2011, se trouvent lundi sous la confirmation de leur «auto-exclusion du parti » annoncée samedi par leur leader Etienne Tshisekedi.

« Tous ceux qui ont décidé de participer à ce forum se sont auto-exclus », a déclaré le président de l’UDPS, lors de la cérémonie de clôture du mois de la Femme (mars) organisée au siège du parti dans la commune de Limete.

« On ne peut pas siéger au Palais du peuple (siège de l’Assemblée nationale, ndlr) au même moment qu’on reconnaît la victoire du leader de l’UDPS à la dernière élection présidentielle », fait observer Valentin Mubake, conseiller politique d’Étienne Tshisekedi. Pour lui, « l’expulsion de 42 députés élus de l’UDPS qui siègent au Palais du peuple contre la vision de la hiérarchie n’entamera pas l’ancrage de notre parti sur le plan national ».

Les députés incriminés se défendent aujourd’hui en affirmant que « la politique de la chaise vide n’a jamais payé », arguant que leur « participation aux travaux de l’Assemblée nationale ne vise qu’à rétablir la vérité des urnes, à garantir le bon déroulement de la suite du processus électoral et à obtenir la démission sans condition du bureau de la Commission électorale nationale indépendante ainsi que sa profonde restructuration ».


Par Angelo Mobateli
Ilunga
Entraîneur
Entraîneur
Messages : 17941
Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
Contact :

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Message par Ilunga »

Un Etat dans un Etat...Les kanambistes, qu'attendez-vous pour aller le chercher?







http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... -potentiel

Bosco Ntaganda fait une démonstration de force à Goma
MARDI, 03 AVRIL 2012 09:27




Les rumeurs sur une éventuelle arrestation du général Bosco Ntaganda sont à la base de la panique justifiée ou pas qui a mis la ville de Goma sens dessus sens dessous. Voilà un rebondissement d’insécurité aux contours difficiles autant pour le présent que pour l’avenir. 25 jeeps blindées bondées d’hommes en uniforme ont sillonné les rues de Goma créant une psychose au sein de la population. A la tête de cet escadron, le général des FARDC Bosco Ntaganda recherché par la Cour pénale internationale. Serait-ce un signe avant-coureur d’un retournement de situation ?

Piqués par on ne sait quelle mouche, les hommes du général Bosco Ntaganda se sont déployés avec exhibition dans les rues de Goma, créant par là même une vive tension dans le chef-lieu de la province du Nord-Kivu, la ville de Goma au Nord-Kivu.

Ce nouveau feuilleton digne des scènes hollywoodiennes, procéderait d’un agenda caché. Les 25 jeeps, selon des témoins sur place, étaient conduites par des hommes lourdement armés de lance-roquettes et des mitraillettes.

Cette démonstration de force opérée par le «wanted» de la CPI en pleine ville de Goma a précédé une attaque attribuée aux mêmes hommes armés contre le régiment tenu par un autre général des FARDC, il y a une semaine. Selon les mêmes sources, des rumeurs sur l’imminence de l’arrestation suivie du transfèrement du général Bosco Ntaganda à la CPI seraient à la base de cet incident déplorable.

Tout serait parti du passage du vice-Premier ministre belge. Sa visite serait le déclencheur de ce regain de tension. L’homme d’Etat belge aurait déclaré aux médias belges que le transfèrement éventuel de Bosco Ntaganda à la CPI avait été abordé lors de ses discussions avec les autorités congolaises.

Pour le chef de la diplomatie belge, à en croire les médias, les autorités congolaises auraient promis d’examiner autrement la question. Serait-ce dans le sens de satisfaire à la demande de la CPI ? Répondre par l’affirmative ne mériterait pas de blâmes. Au même moment, des sources de la Société civile du Nord-Kivu font état des défections d’éléments de l’ex-rébellion du CNDP constatées dans les rangs des FARDC, particulièrement dans les localités de Kanyabayonga, Masisi et Rutshuru. Les «mutins» auraient décidé de quitter les positions indiquées par la hiérarchie militaire pour des destinations inconnues.

Le gouvernement de la RD Congo, qui a apporté sa collaboration à la CPI dans la répression des crimes relevant de sa compétence, ne s’est jamais montré enclin à livrer le général Bosco Ntaganda. Raison avancée : cet officier supérieur des FARDC était impliqué dans la préservation de la paix dans cette partie du pays. Ainsi, les impératifs de sécurité et de consolidation de la paix ont primé sur la collaboration avec la justice internationale.

Il semble que la communauté internationale, mise à rude épreuve, avait pris son mal en patience, attendant le bon moment pour rebondir. Est-ce que le moment tant attendu serait arrivé avec le dernier passage de Didier Reynders à Kinshasa ? Des sources indiquent que le général avait pris, depuis quelque temps, l’habitude de changer constamment de résidence. Aux dernières nouvelles, il nous revient que le général recherché par la CPI serait en cavale vers Rutshuru alors que ses hommes convergeraient vers Masisi.

Ironie du sort, au même moment, une source a affirmé que le général Bosco Ntaganda aurait «condamné ces défections». Informations non encore recoupées, car jusque-là, toutes les sources officielles sont restées injoignables. Même les sources onusiennes toujours promptes à livrer pareilles informations au public, ne sont pas empressées à commenter l’incident de Goma.

D’aucuns soutiennent que ce nouvel épisode ne serait pas isolé. Il aurait des liens avec ce qui s’est passé en son temps en Ituri. Alors que des Casques bleus avaient pris en sandwich Bosco Ntaganda et s’apprêtaient à donner le dernier assaut pour le neutraliser, un ordre venu de la hiérarchie onusienne à Kinshasa aurait stoppé net l’opération.

Selon des indiscrétions obtenues auprès des personnes qui l’ont côtoyé, cet ancien seigneur de guerre de l’Ituri aurait toujours juré qu’il préférerait mourir que d’être déféré à La Haye. Ses gardes auraient reçu des ordres clairs de sa part pour qu’ils lui évitent cette épreuve, en écourtant sa vie le cas échéant. Mythe ou réalité ? Nul ne le sait encore. En cavale ou à Goma, Bosco Ntaganda est une épine sous le pied de la République. Le gouvernement qui maîtrise ce dossier doit éviter à la Nation toute psychose d’une nouvelle déstabilisation du pays en remettant sur le tapis la question identitaire vécue en 2004 qui a conduit à la guerre de 1996 et ses conséquences dont les stigmates n’ont pas totalement disparu.

Une hypothèse est en train d’être montée par des observateurs avertis qui voient dans ces défections un retrait momentané avant la revendication des territoires devant abriter ces ethnies qui se sentiraient discriminées. Dans le cas d’espèce, il est cité de plus en plus les Tutsi congolais qui espèrent trouver une solution à cette question au regard du découpage territorial dont on voudrait voir la matérialisation au cours de la nouvelle législature.

Mais au-delà, une certaine opinion y verrait lancer quelques pavés visant la balkanisation de la RDC. Selon ces derniers, la non prise en compte de nouvelles revendications en perspective pourrait déboucher sur une nouvelle guerre. Ce qui ne serait pas acceptable en ce moment précis où le pays tente avec peine de redresser son front.

Raison pour laquelle, cette affaire doit être prise au sérieux à Kinshasa. Elle mérite une attention particulière de la part des autorités congolaises, dans la mesure où elle constitue un foyer potentiel de conflit à même d’embraser tout le pays.

Par conséquent, des mesures conservatoires devraient être prises pour sécuriser les populations et au besoin rassurer tous les protagonistes impliqués d’une manière ou d’une autre.

Selon les dernières informations, le feuilleton Bosco Ntaganda relèverait de la simple rumeur. Le gouvernement a donc l’obligation d’éclairer la religion des Congolais pour mettre un terme à ces informations assez contradictoires.
Ilunga
Entraîneur
Entraîneur
Messages : 17941
Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
Contact :

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Message par Ilunga »

J-C Vuemba propose une rencontre Tshisekedi & Kabila et parle du rapport de l'ONU sur les crimes en RDC

http://banamikili.skyrock.com/308082126 ... le-du.html
Ilunga
Entraîneur
Entraîneur
Messages : 17941
Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
Contact :

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Message par Ilunga »

Appel de fonds pour YA TSHITSHI, c'est très sérieux !

http://www.congonumber1.com/v1/videos/?id=&a=2137
Répondre

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 4 invités