Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Tatu en lisant ce ciIlunga a écrit :Pauvre Yav...
ce que je me suis entrain de dire, on arrivera a des compromis et tous ces manifestations et ces morts servirons a rienPrésidentielle-RDC: l’opposition congolaise fait appel à une médiation internationale
Un lion vient de tomber arme a la main.il a tenu promesse.prise de pouvoir en 69.mort a 69ans.il est né en 42 il a dirigé la libye pendant 42 ans.le hasard nexiste nulle part R.I.P L'AFRICAIN
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
c'est le schema tout tracé enigme. un kamerhe qui hier a trahi ya tshitshi se pose aujourdhui en cghef de fil.
c'est le peuple qui va se faire en..lé et sans vasiline en plus. si on annule les elections presidentiel, ça sera pareil pour les legislatives et vive le partage du pouvoir.
Au finish il y aura kabila toujours président et les autres se battront pour le P? et autres. kamerhe est celui qui risque damer le pion aux autres.
La remise en cause de monsegwo concerne que 60 000 voix de ya tshitshi disparues entre le 89¨% ET LE Total général. D'ailleurs meme lui ne parle que des nogociations visant à faire participer tous les enfants du congo à la gestion du pouvoir.
c'est le peuple qui va se faire en..lé et sans vasiline en plus. si on annule les elections presidentiel, ça sera pareil pour les legislatives et vive le partage du pouvoir.
Au finish il y aura kabila toujours président et les autres se battront pour le P? et autres. kamerhe est celui qui risque damer le pion aux autres.
La remise en cause de monsegwo concerne que 60 000 voix de ya tshitshi disparues entre le 89¨% ET LE Total général. D'ailleurs meme lui ne parle que des nogociations visant à faire participer tous les enfants du congo à la gestion du pouvoir.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
RDC : le bilan des violences s'alourdit depuis le résultat des élections
LEMONDE.FR avec AFP | 13.12.11 | 21h17 • Mis à jour le 13.12.11 | 23h11
Le ministre de la justice congolais, Emmanuel Luzolo Bambi, a annoncé, mardi 13 décembre, la mort d'un pasteur de l'église chrétienne kimbanguiste, victime de violences à Kinshasa après l'annonce de la réélection de Joseph Kabila à la présidentielle en République démocratique du Congo (RDC). Selon le ministre, des fidèles de cette église indépendante africaine – qui revendique plus de 10 millions de fidèles en RDC sur près de 68 millions d'habitants –, ont été visés "soi-disant pour avoir apporté leur voix" à Joseph Kabila lors de l'élection du 28 novembre.
Selon le chef de la police congolaise, les violences à Kinshasa après l'annonce des résultats ont fait quatre morts, trois "pillards" et une femme mortellement atteinte par une balle perdue lors d'un pillage. Au moins cinq églises ont eu des locaux pillés ou leur toiture détruite lors des violences vendredi et samedi dans la capitale, deux écoles conventionnées ont été pillées et un hôpital kimbanguiste partiellement détruit selon le ministre. Des magasins appartenant à des ressortissants chinois ont également été pillés, a-t-il dénoncé.
MARCHES DE L'OPPOSITION
Mardi, l'opposition en RDC a annoncé avoir fait appel à l'ONU, à l'Union africaine et à l'Union européenne pour "trouver une solution" après avoir rejeté les résultats de la présidentielle qui ont donné la victoire au sortant Joseph Kabila. "La doléance principale est que la communauté internationale nous aide à trouver une solution au conflit", a dit à l'AFP Jacquemin Shabani, secrétaire général de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le parti de l'opposant Etienne Tshisekedi. "La solution est que la vérité des urnes soit respectée. Nous sommes victimes d'un hold-up électoral commis par un homme qui dispose d'une force militaire violente à laquelle l'opposition ne peut pas faire face", a-t-il ajouté.
Des marches de l'opposition pour protester contre la réélection de Joseph Kabila à la présidentielle en RDC ont rassemblé mardi 500 personnes à Bukavu, et une centaine à Goma (Est), vite stoppées par la police, qui a procédé à des interpellations, a constaté l'AFP.
A Bukavu, la marche "pacifique", organisée à l'appel de plusieurs partis d'opposition, dont l'Union pour la nation congolaise (UNC) a rapidement été freinée par la police, alors que le maire avait interdit toute manifestation. Deux responsables de l'opposition ont été interpellés puis rapidement relâchés.
MANQUE DE TRANSPARENCE ET LES IRRÉGULARITÉS
Les organisateurs entendaient dénoncer auprès de la Commission électorale nationale indépendante (CÉNI) "toutes les irrégularités" constatées selon eux lors du scrutin présidentiel du 28 novembre. Les résultats ont donné la victoire au sortant Joseph Kabila face à l'opposant Etienne Tshisekedi, qui les a rejetés. Celui-ci est arrivé troisième de la présidentielle avec plus de 7 % des voix, et a obtenu 41,67 % des voix – juste derrière M. Kabila – dans le Sud-Kivu, d'où il est originaire.
La Mission d'observation électorale de l'Union européenne (MOE-UE) pour la présidentielle en RDC a également déploré, mardi, le "manque de transparence et les irrégularités", de la collecte à la publication des résultats donnant la victoire à Joseph Kabila et rejetés par l'opposition. L'absence d'observateurs lors de la consolidation des résultats au Centre national de traitement de la CÉNI à Kinshasa "ne peut qu'affecter la confiance dans les résultats annoncés et leur crédibilité", note la MOE-UE.
LEMONDE.FR avec AFP | 13.12.11 | 21h17 • Mis à jour le 13.12.11 | 23h11
Le ministre de la justice congolais, Emmanuel Luzolo Bambi, a annoncé, mardi 13 décembre, la mort d'un pasteur de l'église chrétienne kimbanguiste, victime de violences à Kinshasa après l'annonce de la réélection de Joseph Kabila à la présidentielle en République démocratique du Congo (RDC). Selon le ministre, des fidèles de cette église indépendante africaine – qui revendique plus de 10 millions de fidèles en RDC sur près de 68 millions d'habitants –, ont été visés "soi-disant pour avoir apporté leur voix" à Joseph Kabila lors de l'élection du 28 novembre.
Selon le chef de la police congolaise, les violences à Kinshasa après l'annonce des résultats ont fait quatre morts, trois "pillards" et une femme mortellement atteinte par une balle perdue lors d'un pillage. Au moins cinq églises ont eu des locaux pillés ou leur toiture détruite lors des violences vendredi et samedi dans la capitale, deux écoles conventionnées ont été pillées et un hôpital kimbanguiste partiellement détruit selon le ministre. Des magasins appartenant à des ressortissants chinois ont également été pillés, a-t-il dénoncé.
MARCHES DE L'OPPOSITION
Mardi, l'opposition en RDC a annoncé avoir fait appel à l'ONU, à l'Union africaine et à l'Union européenne pour "trouver une solution" après avoir rejeté les résultats de la présidentielle qui ont donné la victoire au sortant Joseph Kabila. "La doléance principale est que la communauté internationale nous aide à trouver une solution au conflit", a dit à l'AFP Jacquemin Shabani, secrétaire général de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le parti de l'opposant Etienne Tshisekedi. "La solution est que la vérité des urnes soit respectée. Nous sommes victimes d'un hold-up électoral commis par un homme qui dispose d'une force militaire violente à laquelle l'opposition ne peut pas faire face", a-t-il ajouté.
Des marches de l'opposition pour protester contre la réélection de Joseph Kabila à la présidentielle en RDC ont rassemblé mardi 500 personnes à Bukavu, et une centaine à Goma (Est), vite stoppées par la police, qui a procédé à des interpellations, a constaté l'AFP.
A Bukavu, la marche "pacifique", organisée à l'appel de plusieurs partis d'opposition, dont l'Union pour la nation congolaise (UNC) a rapidement été freinée par la police, alors que le maire avait interdit toute manifestation. Deux responsables de l'opposition ont été interpellés puis rapidement relâchés.
MANQUE DE TRANSPARENCE ET LES IRRÉGULARITÉS
Les organisateurs entendaient dénoncer auprès de la Commission électorale nationale indépendante (CÉNI) "toutes les irrégularités" constatées selon eux lors du scrutin présidentiel du 28 novembre. Les résultats ont donné la victoire au sortant Joseph Kabila face à l'opposant Etienne Tshisekedi, qui les a rejetés. Celui-ci est arrivé troisième de la présidentielle avec plus de 7 % des voix, et a obtenu 41,67 % des voix – juste derrière M. Kabila – dans le Sud-Kivu, d'où il est originaire.
La Mission d'observation électorale de l'Union européenne (MOE-UE) pour la présidentielle en RDC a également déploré, mardi, le "manque de transparence et les irrégularités", de la collecte à la publication des résultats donnant la victoire à Joseph Kabila et rejetés par l'opposition. L'absence d'observateurs lors de la consolidation des résultats au Centre national de traitement de la CÉNI à Kinshasa "ne peut qu'affecter la confiance dans les résultats annoncés et leur crédibilité", note la MOE-UE.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
"100% tricheur" démasqué...
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20 ... ielle.html
RDC. L'UE fustige "les irrégularités" de la présidentielle
Créé le 13-12-2011 à 22h41 - Mis à jour à 22h52 Réagir
Par Le Nouvel Observateur
La Mission d'observation de l'UE liste les anomalies relevées lors du scrutin qui a porté au pouvoir Joseph Kabila.
La Mission d'observation de l'Union européenne pour la présidentielle en RD Congo a déploré mardi 13 décembre le "manque de transparence et les irrégularités", de la collecte à la publication des résultats donnant la victoire à Joseph Kabila et rejetés par l'opposition.
L'absence d'observateurs lors de la consolidation des résultats au Centre national de traitement de la Commission électorale à Kinshasa "ne peut qu'affecter la confiance dans les résultats annoncés et leur crédibilité", note la Mission d'observation électorale de l'UE (MOE-UE), ajoutant que la publication des résultats provisoires "reste caractérisée par un manque de transparence".
Les résultats par bureau de vote (BV) publiés par la Céni, "ne comprennent pas les procès-verbaux de chaque BV établis à la fin du dépouillement. Ces résultats ne reprennent que la saisie informatisée des PV, réalisés au sein des Centres locaux de compilation (CLCR dans 169 circonscriptions), parfois sans témoins", explique dans un communiqué la MOE-UE, qui a déployé 147 observateurs.
Entorses
Selon la Céni, Joseph Kabila a obtenu 48,95% des suffrages contre 32,33% à l'opposant Etienne Tshisekedi, qui a rejeté "en bloc" ce résultat et s'est autoproclamé "président élu" de la RDC. D'autres candidats ont demandé l'annulation du scrutin.
L'annonce de ces résultats vendredi avait déclenché des violences à Kinshasa qui ont fait moins quatre morts.
"Plusieurs résultats de BV rendus publics le soir du dépouillement (...), notamment à Lubumbashi, ne correspondent pas avec ceux publiés par la Céni", ajoute le MOE-UE.
Selon la mission, les résultats de 4.875 bureaux de vote, dont 2.020 à Kinshasa, n'ont "pas été comptabilisés", soit 7,63% des 64.000 bureaux répartis sur le territoire. Ces bureaux non comptés "représentent 1,6 million d'électeurs". L'affichage des résultats au niveau des territoires "a connu plusieurs entorses qui obligent à poser la question de la crédibilité des résultats de plusieurs CLCR", relève la MOE-UE.
"Contrôle de cohérence"
Les procédures de compilation des résultats, selon la même source, "ont été jugées peu transparentes" au Katanga, dans le Sud-Kivu, à Kinshasa et dans la Province orientale, où des observateurs et témoins de partis politiques "ont été empêchés d'observer l'ensemble des étapes de la compilation".
"En contradiction avec la loi électorale, le bureau de la Céni a demandé à plusieurs CLCR de ne pas afficher immédiatement les résultats de la compilation mais de les envoyer d'abord au siège de la Céni afin de réaliser un contrôle de cohérence", souligne la mission de l'UE, qui cite notamment les cas de Kinshasa, Lubumbashi, Kisangani ou Goma.
La MOE-UE constate aussi que "3,2 millions d'électeurs ont voté sur des listes de dérogations ou d'omis (car leur nom manquait sur les listes des bureaux), soit plus de 17% du total des votants", alors que ce taux était de 8% environ en 2006 lors du précédent scrutin présidentiel.
"Irrégularité graves"
"Il est de la responsabilité des acteurs politiques et des institutions congolaises de mener leur propre examen des résultats des élections et d'identifier les solutions à la situation actuelle", a déclaré le chef de la MOE-UE, la députée bulgare Mariya Nedelcheva, citée dans le communiqué.
Samedi, la mission d'observation du Centre Carter a jugé que le processus électoral "manquait de crédibilité" en relevant des "irrégularité graves". L'archevêque de Kinshasa, le cardinal Laurent Monsengwo, a de son côté déclaré lundi que les résultats de la présidentielle n'étaient "pas conformes à la vérité ni à la justice."
Le président de la Céni, le pasteur Daniel Ngoy Mulunda, a qualifié la déclaration du Centre Carter de "nulle et sans effet".
La Cour suprême doit proclamer samedi les résultats officiels de la présidentielle du 28 novembre.
Le Nouvel observateur - AFP
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20 ... ielle.html
RDC. L'UE fustige "les irrégularités" de la présidentielle
Créé le 13-12-2011 à 22h41 - Mis à jour à 22h52 Réagir
Par Le Nouvel Observateur
La Mission d'observation de l'UE liste les anomalies relevées lors du scrutin qui a porté au pouvoir Joseph Kabila.
La Mission d'observation de l'Union européenne pour la présidentielle en RD Congo a déploré mardi 13 décembre le "manque de transparence et les irrégularités", de la collecte à la publication des résultats donnant la victoire à Joseph Kabila et rejetés par l'opposition.
L'absence d'observateurs lors de la consolidation des résultats au Centre national de traitement de la Commission électorale à Kinshasa "ne peut qu'affecter la confiance dans les résultats annoncés et leur crédibilité", note la Mission d'observation électorale de l'UE (MOE-UE), ajoutant que la publication des résultats provisoires "reste caractérisée par un manque de transparence".
Les résultats par bureau de vote (BV) publiés par la Céni, "ne comprennent pas les procès-verbaux de chaque BV établis à la fin du dépouillement. Ces résultats ne reprennent que la saisie informatisée des PV, réalisés au sein des Centres locaux de compilation (CLCR dans 169 circonscriptions), parfois sans témoins", explique dans un communiqué la MOE-UE, qui a déployé 147 observateurs.
Entorses
Selon la Céni, Joseph Kabila a obtenu 48,95% des suffrages contre 32,33% à l'opposant Etienne Tshisekedi, qui a rejeté "en bloc" ce résultat et s'est autoproclamé "président élu" de la RDC. D'autres candidats ont demandé l'annulation du scrutin.
L'annonce de ces résultats vendredi avait déclenché des violences à Kinshasa qui ont fait moins quatre morts.
"Plusieurs résultats de BV rendus publics le soir du dépouillement (...), notamment à Lubumbashi, ne correspondent pas avec ceux publiés par la Céni", ajoute le MOE-UE.
Selon la mission, les résultats de 4.875 bureaux de vote, dont 2.020 à Kinshasa, n'ont "pas été comptabilisés", soit 7,63% des 64.000 bureaux répartis sur le territoire. Ces bureaux non comptés "représentent 1,6 million d'électeurs". L'affichage des résultats au niveau des territoires "a connu plusieurs entorses qui obligent à poser la question de la crédibilité des résultats de plusieurs CLCR", relève la MOE-UE.
"Contrôle de cohérence"
Les procédures de compilation des résultats, selon la même source, "ont été jugées peu transparentes" au Katanga, dans le Sud-Kivu, à Kinshasa et dans la Province orientale, où des observateurs et témoins de partis politiques "ont été empêchés d'observer l'ensemble des étapes de la compilation".
"En contradiction avec la loi électorale, le bureau de la Céni a demandé à plusieurs CLCR de ne pas afficher immédiatement les résultats de la compilation mais de les envoyer d'abord au siège de la Céni afin de réaliser un contrôle de cohérence", souligne la mission de l'UE, qui cite notamment les cas de Kinshasa, Lubumbashi, Kisangani ou Goma.
La MOE-UE constate aussi que "3,2 millions d'électeurs ont voté sur des listes de dérogations ou d'omis (car leur nom manquait sur les listes des bureaux), soit plus de 17% du total des votants", alors que ce taux était de 8% environ en 2006 lors du précédent scrutin présidentiel.
"Irrégularité graves"
"Il est de la responsabilité des acteurs politiques et des institutions congolaises de mener leur propre examen des résultats des élections et d'identifier les solutions à la situation actuelle", a déclaré le chef de la MOE-UE, la députée bulgare Mariya Nedelcheva, citée dans le communiqué.
Samedi, la mission d'observation du Centre Carter a jugé que le processus électoral "manquait de crédibilité" en relevant des "irrégularité graves". L'archevêque de Kinshasa, le cardinal Laurent Monsengwo, a de son côté déclaré lundi que les résultats de la présidentielle n'étaient "pas conformes à la vérité ni à la justice."
Le président de la Céni, le pasteur Daniel Ngoy Mulunda, a qualifié la déclaration du Centre Carter de "nulle et sans effet".
La Cour suprême doit proclamer samedi les résultats officiels de la présidentielle du 28 novembre.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
She Okitundu, on deviendrait nerveux à ce point?...Garde donc tes nerfs, t'en auras besoin...Tu te souviens de ton "mutakalization" à Londres?
Controverse sur les résultats de l'élection présidentielle : She Okitundu exige la convocation de l'ambassadeur de France
MERCREDI, 14 DÉCEMBRE 2011 04:10 2 COMMENTAIRES ENVOYER
L'ancien ministre directeur de cabinet du chef de l'État a jugé explosifs les récents propos du ministre français des Affaires étrangères, Alain Jupé, sur la situation en RDC. Sur le plateau d'une télévision locale, le sénateur Léonard She Okitundu a manifesté son indignation face aux propos du ministre français des Affaires étrangères, qui a qualifié d'explosive la situation dans le pays. Il a estimé, à cet effet, que cela était inacceptable et devait faire l'objet d'une convocation de l'ambassadeur de France en poste à Kinshasa par les institutions compétentes du pays.
L'ancien directeur de cabinet du chef de l'État congolais considère que la déclaration de la France est du genre à jeter le discrédit sur la RDC. Il a avancé qu'aucun indicateur ne permettait de parler d'une situation explosive même si la tension a été réelle pendant quelques jours sur l'étendue du territoire national. Pour She Okitundu, les propos d'Alain Juppé ne s'expliquent pas pour autant que Paris et Kinshasa entretiennent de bonnes relations diplomatiques.
Le 11 décembre, en effet, à TV5-Monde, Radio France internationale et au journal « Le Monde », le ministre français des Affaires étrangères a fait état d'une situation explosive en RDC et a appelé les acteurs politiques congolais à tout mettre en œuvre pour éviter la violence. « La situation est explosive. J'en ai parfaitement conscience, parce que la tentation de recours à la violence est extrêmement forte, donc nous essayons de faire tout notre possible pour l'éviter », a-t-il déclaré.
Sur place dans le pays, plusieurs foyers de tension ont été signalés pendant le week-end dernier à Kinshasa et dans les deux Kasaï. Dans une déclaration, l'archevêque de la ville capitale, Laurent Monsengwo Pasinya, a fait mention de dix-huit morts depuis le début des incidents, appelant les uns et les autres à éviter de recourir à la violence comme moyen pour contester les résultats de l'élection présidentielle publiés le 9 décembre par la Commission électorale nationale indépendante.
Le sénateur Léonard She Okitundu a dirigé, avant 2006, le ministère des Affaires étrangères de la RDC.
Source : Les Dépêches de Brazzaville
Controverse sur les résultats de l'élection présidentielle : She Okitundu exige la convocation de l'ambassadeur de France
MERCREDI, 14 DÉCEMBRE 2011 04:10 2 COMMENTAIRES ENVOYER
L'ancien ministre directeur de cabinet du chef de l'État a jugé explosifs les récents propos du ministre français des Affaires étrangères, Alain Jupé, sur la situation en RDC. Sur le plateau d'une télévision locale, le sénateur Léonard She Okitundu a manifesté son indignation face aux propos du ministre français des Affaires étrangères, qui a qualifié d'explosive la situation dans le pays. Il a estimé, à cet effet, que cela était inacceptable et devait faire l'objet d'une convocation de l'ambassadeur de France en poste à Kinshasa par les institutions compétentes du pays.
L'ancien directeur de cabinet du chef de l'État congolais considère que la déclaration de la France est du genre à jeter le discrédit sur la RDC. Il a avancé qu'aucun indicateur ne permettait de parler d'une situation explosive même si la tension a été réelle pendant quelques jours sur l'étendue du territoire national. Pour She Okitundu, les propos d'Alain Juppé ne s'expliquent pas pour autant que Paris et Kinshasa entretiennent de bonnes relations diplomatiques.
Le 11 décembre, en effet, à TV5-Monde, Radio France internationale et au journal « Le Monde », le ministre français des Affaires étrangères a fait état d'une situation explosive en RDC et a appelé les acteurs politiques congolais à tout mettre en œuvre pour éviter la violence. « La situation est explosive. J'en ai parfaitement conscience, parce que la tentation de recours à la violence est extrêmement forte, donc nous essayons de faire tout notre possible pour l'éviter », a-t-il déclaré.
Sur place dans le pays, plusieurs foyers de tension ont été signalés pendant le week-end dernier à Kinshasa et dans les deux Kasaï. Dans une déclaration, l'archevêque de la ville capitale, Laurent Monsengwo Pasinya, a fait mention de dix-huit morts depuis le début des incidents, appelant les uns et les autres à éviter de recourir à la violence comme moyen pour contester les résultats de l'élection présidentielle publiés le 9 décembre par la Commission électorale nationale indépendante.
Le sénateur Léonard She Okitundu a dirigé, avant 2006, le ministère des Affaires étrangères de la RDC.
Source : Les Dépêches de Brazzaville
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#1 Alexandre Mukubwa 14-12-2011 08:45
Le farfelu Okitundu qui se fache contre Alain Juppe nous rappelle une petite grenouille qui se gonfle en colere contre un elephant !
Devinez-en le resultat !
La grenouille finit par eclater tandis que l'elephant rigole a flots!
Le farfelu Okitundu qui se fache contre Alain Juppe nous rappelle une petite grenouille qui se gonfle en colere contre un elephant !
Devinez-en le resultat !
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#2 jacks7 14-12-2011 09:37
Ce qui intéresse ce FUMISTE de She Okitundu c'est le poste de ministre des affaires étrangères d'un ancien chauffeur de taxi Tanzanien H. Kanambe alias J. Kabila, comment on peut faire confiance une fois encore à Mr Okitundu ? Il a passé 10 ans aux universités de Lausanne et Génève en Suisse à la faculité de droit sans obtenir un moindre DIPLOME ???
Ce qui intéresse ce FUMISTE de She Okitundu c'est le poste de ministre des affaires étrangères d'un ancien chauffeur de taxi Tanzanien H. Kanambe alias J. Kabila, comment on peut faire confiance une fois encore à Mr Okitundu ? Il a passé 10 ans aux universités de Lausanne et Génève en Suisse à la faculité de droit sans obtenir un moindre DIPLOME ???
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Election présidentielle du 28 novembre 2011 - Laurent Monsengwo pour le recomptage des voix
MARDI, 13 DÉCEMBRE 2011 14:02 19 COMMENTAIRES ENVOYER
Selon le Cardinal, les résultats publiés le 9 décembre dernier ne sont conformes ni à la vérité, ni la justice. Le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya a demandé, hier lundi 12 décembre, à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de procéder au recomptage des voix réellement exprimées dans les urnes par les électeurs congolais, lors de l’élection présidentielle du 28 novembre 2011.
L’Archevêque métropolitain de Kinshasa a lancé cet appel lorsqu’il répondait aux questions des journalistes, au cours d’un point de presse tenu au Centre Lindonge à Limete, une commune de la capitale congolaise.
De son avis, la médiation entre acteurs politiques impliqués dans ces échéances électorales doit être essentiellement fondée sur le recomptage des voix, et il est hors question d’annuler ces résultats, parce que le pays n’a pas d’argent pour réorganiser la présidentielle.
Laurent Monsengwo a déclaré qu’après avoir jugé ces résultats non conformes à la réalité des urnes, il ne peut pas jouer le rôle de médiateur pour ne pas paraître impartial.
Il s’est dit “ très choqué” par t résultats de la province du Katanga, alors que l’Eglise catholique dispose de toutes les preuves que “ le président de la CENI a triché”, avant d’annoncer que l’Eglise catholique va publier les résultats de la présidentielle du 28 novembre dernier, lorsqu’elle aura réceptionné tous les rapports de ses observateurs, qui lui seraient déjà parvenus n’eût été la fermeture des services SMS des sociétés de télécommunication.
Le prélat catholique a également indiqué qu’il avait, dans une conversation téléphonique, demandé au Chef de l’Etat s’il se sentait à l’aise avec les résultats de la présidentielle publiés le 9 décembre par la CENI.
a son tour, Joseph Kabila a demandé au Cardinal s’il était content du fait que le président national de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi wa Mulumba, se soit proclamé président de la République.
A cette dernière question, lé Cardinal a répondu par la négative, et insisté en vain pour que le président de la République proclamé par la CENI réponde à la sienne. Fin de la conversation.
Monsengwo appuie « Human Right Watch”
Avant ce jeu de questions- réponses avec les journalistes, Laurent Monsengwo a lu la déclaration sur les élections présidentielles en RDC ».
Il a rappelé que, dimanche 4décembre 2001, la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) avait demandé, au cours d’un tête-à-tête avec la presse dans l’enceinte de la paroisse Sainte Anne, à Gombe, à la CENI de proclamer impérativement la vérité des urnes.
Comme souhaité par le peuple, la CENCO a publié les conclusions de son observation et de plusieurs observateurs tant nationaux, qu’internationaux. Toutes ces observations posent une question de crédibilité de la présidentielle du 28 novembre, comme vient de l’attester le rapport du Centre Carter qui a précédé la conversation téléphonique entre Kabila et Monsengwo susmentionnée.
Il y a lieu de conclure que ces résultats ne sont conformes, ni à la vérité, ni à la justice “, a affirmé le Cardinal, en se posant la question de savoir comment, par exemple, comprendre que, le 6 décembre, Monsieur Tshisekedi qui avait obtenu 5 927 728 voix sur 17 329 137 suffrages exprimés, ait le 9 décembre, 5 863 745 voix sur 18 144 154 suffrages, perdant ainsi 64000 voix, alors qu’on venait d’ajouter 34 000 bureaux ? »
Etant donné que les résultats contestés sont provisoires et doivent être confirmés par la Cour suprême de justice (CSJ), l’Archevêque métropolitain de Kinshasa a demandé aux contestataires d’interjeter appel, de recourir aux voies de droit et de ne pas se livrer à la violence, car dix-huit morts pour des élections, c’est trop!
“Dans ce cadre, l’Eglise est moralement tenue à offrir son aide à la justice pour établir la vérité des urnes là où elle avait déployé des observateurs, a-t-il conclu, en invitant la CSJ à se sentir en conscience interpellée par le peuple congolais tout entier.
L’opinion a noté, pour sa part, qu’en évoquant le cas des dix-huit morts pendant la période électorale, le Cardinal Monsengwo a soutenu l’Ong de la défense des droits de l’homme “Human Right Watch “qui, à en croire le ministre congolais de l’information et des médias, Lambert Mende, peine à fournir à la justice nationale des preuves de ces tueries.
Tout compte fait, les Congolais encouragent les actes d bravoure de toutes les personnes physiques et morales qui prennent le risque de condamner les irrégularités liées aux élections du 28 novembre 2011.
ASIYESHINDWA
Source : La Tempête des tropiques
MARDI, 13 DÉCEMBRE 2011 14:02 19 COMMENTAIRES ENVOYER
Selon le Cardinal, les résultats publiés le 9 décembre dernier ne sont conformes ni à la vérité, ni la justice. Le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya a demandé, hier lundi 12 décembre, à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de procéder au recomptage des voix réellement exprimées dans les urnes par les électeurs congolais, lors de l’élection présidentielle du 28 novembre 2011.
L’Archevêque métropolitain de Kinshasa a lancé cet appel lorsqu’il répondait aux questions des journalistes, au cours d’un point de presse tenu au Centre Lindonge à Limete, une commune de la capitale congolaise.
De son avis, la médiation entre acteurs politiques impliqués dans ces échéances électorales doit être essentiellement fondée sur le recomptage des voix, et il est hors question d’annuler ces résultats, parce que le pays n’a pas d’argent pour réorganiser la présidentielle.
Laurent Monsengwo a déclaré qu’après avoir jugé ces résultats non conformes à la réalité des urnes, il ne peut pas jouer le rôle de médiateur pour ne pas paraître impartial.
Il s’est dit “ très choqué” par t résultats de la province du Katanga, alors que l’Eglise catholique dispose de toutes les preuves que “ le président de la CENI a triché”, avant d’annoncer que l’Eglise catholique va publier les résultats de la présidentielle du 28 novembre dernier, lorsqu’elle aura réceptionné tous les rapports de ses observateurs, qui lui seraient déjà parvenus n’eût été la fermeture des services SMS des sociétés de télécommunication.
Le prélat catholique a également indiqué qu’il avait, dans une conversation téléphonique, demandé au Chef de l’Etat s’il se sentait à l’aise avec les résultats de la présidentielle publiés le 9 décembre par la CENI.
a son tour, Joseph Kabila a demandé au Cardinal s’il était content du fait que le président national de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi wa Mulumba, se soit proclamé président de la République.
A cette dernière question, lé Cardinal a répondu par la négative, et insisté en vain pour que le président de la République proclamé par la CENI réponde à la sienne. Fin de la conversation.
Monsengwo appuie « Human Right Watch”
Avant ce jeu de questions- réponses avec les journalistes, Laurent Monsengwo a lu la déclaration sur les élections présidentielles en RDC ».
Il a rappelé que, dimanche 4décembre 2001, la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) avait demandé, au cours d’un tête-à-tête avec la presse dans l’enceinte de la paroisse Sainte Anne, à Gombe, à la CENI de proclamer impérativement la vérité des urnes.
Comme souhaité par le peuple, la CENCO a publié les conclusions de son observation et de plusieurs observateurs tant nationaux, qu’internationaux. Toutes ces observations posent une question de crédibilité de la présidentielle du 28 novembre, comme vient de l’attester le rapport du Centre Carter qui a précédé la conversation téléphonique entre Kabila et Monsengwo susmentionnée.
Il y a lieu de conclure que ces résultats ne sont conformes, ni à la vérité, ni à la justice “, a affirmé le Cardinal, en se posant la question de savoir comment, par exemple, comprendre que, le 6 décembre, Monsieur Tshisekedi qui avait obtenu 5 927 728 voix sur 17 329 137 suffrages exprimés, ait le 9 décembre, 5 863 745 voix sur 18 144 154 suffrages, perdant ainsi 64000 voix, alors qu’on venait d’ajouter 34 000 bureaux ? »
Etant donné que les résultats contestés sont provisoires et doivent être confirmés par la Cour suprême de justice (CSJ), l’Archevêque métropolitain de Kinshasa a demandé aux contestataires d’interjeter appel, de recourir aux voies de droit et de ne pas se livrer à la violence, car dix-huit morts pour des élections, c’est trop!
“Dans ce cadre, l’Eglise est moralement tenue à offrir son aide à la justice pour établir la vérité des urnes là où elle avait déployé des observateurs, a-t-il conclu, en invitant la CSJ à se sentir en conscience interpellée par le peuple congolais tout entier.
L’opinion a noté, pour sa part, qu’en évoquant le cas des dix-huit morts pendant la période électorale, le Cardinal Monsengwo a soutenu l’Ong de la défense des droits de l’homme “Human Right Watch “qui, à en croire le ministre congolais de l’information et des médias, Lambert Mende, peine à fournir à la justice nationale des preuves de ces tueries.
Tout compte fait, les Congolais encouragent les actes d bravoure de toutes les personnes physiques et morales qui prennent le risque de condamner les irrégularités liées aux élections du 28 novembre 2011.
ASIYESHINDWA
Source : La Tempête des tropiques
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
#12 Lucien M. Naki 14-12-2011 10:30
RDC : le pasteur Mulunda, l'homme qui murmurait à l'oreille de Kabila
http://www.jeuneafrique.com/Article/ART ... -031.xml0/
À peine nommé, déjà controversé. Le pasteur Daniel Ngoy Mulunda est un proche du chef de l’État. Il a pris la tête, en février, de la commission électorale.
S’il y a une chose dont le pasteur Daniel Ngoy Mulunda ne se cache pas, c’est qu’il aime l’argent. Début février, il a été nommé à la tête de la Commission électorale, mais, adolescent, il s’imaginait en militaire. À l’époque, racontera-t-il plus tard dans une interview à l’hebdomadaire congolais Le Soft, « les officiers menaient grand train », et il rêvait « de devenir comme eux ». Quand un pasteur...
LUCIEN M. NAKI
http://www.facebook.com/pages/Lucien-M- ... 6441969931
RDC : le pasteur Mulunda, l'homme qui murmurait à l'oreille de Kabila
http://www.jeuneafrique.com/Article/ART ... -031.xml0/
À peine nommé, déjà controversé. Le pasteur Daniel Ngoy Mulunda est un proche du chef de l’État. Il a pris la tête, en février, de la commission électorale.
S’il y a une chose dont le pasteur Daniel Ngoy Mulunda ne se cache pas, c’est qu’il aime l’argent. Début février, il a été nommé à la tête de la Commission électorale, mais, adolescent, il s’imaginait en militaire. À l’époque, racontera-t-il plus tard dans une interview à l’hebdomadaire congolais Le Soft, « les officiers menaient grand train », et il rêvait « de devenir comme eux ». Quand un pasteur...
LUCIEN M. NAKI
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