Viva Riva film congolais

[temk20]

Pour ceux qui ne l'ont pas vu:
http://www.megaupload.com/?d=TG35K1KC

Nous sommes sortis de la médiocrité sur ce coup.

au réalisateur!!!!

[sedigo]

J'ai suivi ce film il y a deux semaines et je pense qu'il n'est pas un film à diffuser au Congo. On dirait un film pornographique!!! Le reste n'est pas mal même si le scénario aurait dû être beaucoup plus réel en évitant les exécutions comme on le voit, car a Kinshasa c'est pas vraiment possible.

[Ilunga]

http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... razzaville





Festival du film européen - Le collège Boboto interdit la diffusion de Viva Riva ! dans sa salle de spectacles
Mercredi, 02 Novembre 2011 07:53




Certaines scènes contenues dans l'œuvre cinématographique ont été jugées trop osées par les responsables de l'école catholique. Initialement prévue dans la salle de spectacles du Collège Boboto, la projection du film Viva Riva ! marquant le lancement du festival du film européen s'est finalement déroulée dans la salle polyvalente de l'Institut français. Les responsables du très catholique collège Boboto ont refusé que ce film, qui compte de nombreuses scènes jugées « osées », ne puisse être diffusé dans leurs locaux. Par conséquent, en dehors de Viva Riva !, les diffusions de tous les autres films prévues sur place ont été ramenées à l'Institut français.

« C'est dommage et je trouve cela vraiment triste. Le film fait l'ouverture du festival européen, ce qui est quand même un honneur pour notre pays, puisqu'on n'a pas eu de films depuis très longtemps. Le jour du festival, ils reçoivent une note d'un monsieur à Boston qui a vu le film et qui pour je ne sais quelle raison dit qu'il ne peut pas être montré dans une école catholique. On est banni du collège sans que l'on puisse voir le film », a déclaré aux Dépêches de Brazzaville Djo Tunda wa Munga, le réalisateur de Viva Riva ! qui est lui-même un ancien élève de ce collège.

Pour lui, le film ne fait que parler de la réalité de tous les jours dans la ville de Kinshasa. « Ce dont je parle dans le film fait partie de la réalité. Le point de vue du film que je défends est que rien de bon ne peut sortir dans la pauvreté et dans la misère. Est-ce que les prêtres sont des êtres humains différents des autres ? Je ne pense pas. Tout le monde est pris dans les contradictions de notre société. Et c'est ce que je voulais relever à travers le film », a poursuivi le réalisateur.

Succès retentissant pour Viva Riva !

Le film raconte l'histoire de Riva, un jeune Kinois qui rentre au pays après dix ans d'absence avec un stock de carburant qu'il a escroqué à un de ses partenaires angolais. Le réalisateur n'a pas hésité à filmer, de manière explicite, des scènes de sexe. Ce qui est une grande première en Afrique. Le film rencontre un succès retentissant sur le plan international et est encensé par la critique. « Entièrement tourné en lingala et en français, ce premier polar 100 % congolais a l'énergie d'un Slumdog Millionnaire à la sauce "Blaxploitation". Le tout grâce à une musique hypnotique et envoûtante », indique lesoir.be. « Il émane de Viva Riva ! une incontestable générosité à travers une mise en scène certes parfois référentielle (de Sergio Leone à Tarantino) mais toujours efficace. Viva Riva ! est un film explosif. Du rythme, du suspense, de la violence et du sexe, tous les ingrédients d'un thriller à l'américaine... en lingala. Avec son premier long-métrage, Djo Munga a réussi un film de genre qui respecte tous les codes mais aussi un portrait de Kinshasa, une peinture sociale qui brise nombre de tabous...S'il y avait encore des salles de cinéma en République démocratique du Congo, l'entrée serait interdite au moins de 18 ans et si Viva Riva  ! devait passer à la télévision congolaise, ce serait accompagné d'une mise en garde et pas avant 22 heures », souligne de son côté jeuneafrique.com.

Notons qu'avant la projection du film à l'Institut français, Djo Munga a animé une conférence sur le thème « La cinématographie congolaise, perspectives d'une industrie ». Au cours de celle-ci, le réalisateur a notamment expliqué au public la structuration de la filière cinématographique à travers le monde ainsi que les différentes étapes qui ont conduit à la réalisation de Viva Riva !. Selon lui, l'industrie du cinéma pourrait voir le jour en RDC grâce à l'investissement des privés dans ce secteur.

Patrick Kianimi


Photo: Le réalisateur Djo Tunda wa Munga pendant la conférence à l'Institut français

[madi]

http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... razzaville





Festival du film européen - Le collège Boboto interdit la diffusion de Viva Riva ! dans sa salle de spectacles
Mercredi, 02 Novembre 2011 07:53




Certaines scènes contenues dans l'œuvre cinématographique ont été jugées trop osées par les responsables de l'école catholique. Initialement prévue dans la salle de spectacles du Collège Boboto, la projection du film Viva Riva ! marquant le lancement du festival du film européen s'est finalement déroulée dans la salle polyvalente de l'Institut français. Les responsables du très catholique collège Boboto ont refusé que ce film, qui compte de nombreuses scènes jugées « osées », ne puisse être diffusé dans leurs locaux. Par conséquent, en dehors de Viva Riva !, les diffusions de tous les autres films prévues sur place ont été ramenées à l'Institut français.

« C'est dommage et je trouve cela vraiment triste. Le film fait l'ouverture du festival européen, ce qui est quand même un honneur pour notre pays, puisqu'on n'a pas eu de films depuis très longtemps. Le jour du festival, ils reçoivent une note d'un monsieur à Boston qui a vu le film et qui pour je ne sais quelle raison dit qu'il ne peut pas être montré dans une école catholique. On est banni du collège sans que l'on puisse voir le film », a déclaré aux Dépêches de Brazzaville Djo Tunda wa Munga, le réalisateur de Viva Riva ! qui est lui-même un ancien élève de ce collège.

Pour lui, le film ne fait que parler de la réalité de tous les jours dans la ville de Kinshasa. « Ce dont je parle dans le film fait partie de la réalité. Le point de vue du film que je défends est que rien de bon ne peut sortir dans la pauvreté et dans la misère. Est-ce que les prêtres sont des êtres humains différents des autres ? Je ne pense pas. Tout le monde est pris dans les contradictions de notre société. Et c'est ce que je voulais relever à travers le film », a poursuivi le réalisateur.

Succès retentissant pour Viva Riva !

Le film raconte l'histoire de Riva, un jeune Kinois qui rentre au pays après dix ans d'absence avec un stock de carburant qu'il a escroqué à un de ses partenaires angolais. Le réalisateur n'a pas hésité à filmer, de manière explicite, des scènes de sexe. Ce qui est une grande première en Afrique. Le film rencontre un succès retentissant sur le plan international et est encensé par la critique. « Entièrement tourné en lingala et en français, ce premier polar 100 % congolais a l'énergie d'un Slumdog Millionnaire à la sauce "Blaxploitation". Le tout grâce à une musique hypnotique et envoûtante », indique lesoir.be. « Il émane de Viva Riva ! une incontestable générosité à travers une mise en scène certes parfois référentielle (de Sergio Leone à Tarantino) mais toujours efficace. Viva Riva ! est un film explosif. Du rythme, du suspense, de la violence et du sexe, tous les ingrédients d'un thriller à l'américaine... en lingala. Avec son premier long-métrage, Djo Munga a réussi un film de genre qui respecte tous les codes mais aussi un portrait de Kinshasa, une peinture sociale qui brise nombre de tabous...S'il y avait encore des salles de cinéma en République démocratique du Congo, l'entrée serait interdite au moins de 18 ans et si Viva Riva  ! devait passer à la télévision congolaise, ce serait accompagné d'une mise en garde et pas avant 22 heures », souligne de son côté jeuneafrique.com.

Notons qu'avant la projection du film à l'Institut français, Djo Munga a animé une conférence sur le thème « La cinématographie congolaise, perspectives d'une industrie ». Au cours de celle-ci, le réalisateur a notamment expliqué au public la structuration de la filière cinématographique à travers le monde ainsi que les différentes étapes qui ont conduit à la réalisation de Viva Riva !. Selon lui, l'industrie du cinéma pourrait voir le jour en RDC grâce à l'investissement des privés dans ce secteur.

Patrick Kianimi


Photo: Le réalisateur Djo Tunda wa Munga pendant la conférence à l'Institut français

j"espere qu'ils ont distribué des preservatifs à l"entrée, car deux corps blacks enlassés et degulinants de sueurs, ça ne doit pas laissé tonton brama couché longtemps.

[Erka]

Le Catholique et l’ex de Boboto que je suis ne peut qu’appuyer une telle décision. Mais il y a une lutte extrême avec l’autre moi récessif (mais dominant chez BXL & Mayloshi) pour télécharger ce film et observer ces fameuses scènes. Je vais voir si j’ai le temps ce week-end…non…non, esprit de BXL sort de moi!

[Ilunga]

Madi a écrit :

"j"espere qu'ils ont distribué des preservatifs à l"entrée, car deux corps blacks enlassés et degulinants de sueurs, ça ne doit pas laissé tonton brama couché longtemps."






kie kie kie kie kie

[madi]

Madi a écrit :

"j"espere qu'ils ont distribué des preservatifs à l"entrée, car deux corps blacks enlassés et degulinants de sueurs, ça ne doit pas laissé tonton brama couché longtemps."

kie kie kie kie kie

Esprit de Mayloshi sort de moi

[sedigo]

Pour moi ce film ne peux pas passer dans une école de chez nous. Même pas sur nos chaînes de télévision. Il est trop fort!!! Il y a tout. Scène de lesbiennes, fellation, rapport sexuelle... Tout le temps en plus. Combien a reçu patsha, le musicien congolais qui jout riva, pour s'exposer comme ca?

[wantanshi]

Il est trop fort!!! Il y a tout. Scène de lesbiennes, fellation, rapport sexuelle...

Sans oublier le cunnilingus de Riva par la fenêtre ! Tu vois, c'est exactement comme je te l'avais dit !

[Erka]

Retenez-moi, retenez-mois svp…Amenez de l’eau bénite….