La gestion du serveur de la CENI
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Ilunga
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Re: La gestion du serveur de la CENI
http://www.congoindependant.com/article ... cleid=6904
Elections 2011 : La campagne électorale mal partie
Deux morts à Mbuji-Mayi (Kasaï Oriental), un mort à Kinshasa et plusieurs blessés et arrestations notamment à Kisangani (Province Orientale). C’est le bilan sans doute provisoire de la première journée de la campagne électorale pour l’élection présidentielle et celle des députés nationaux en RD Congo. Une campagne électorale qui a commencé officiellement le vendredi 28 octobre. Le risque est grand pour que les consultations politiques fixées au 28 novembre prochain ne soient ni «apaisées» ni libres. Encore moins transparentes.
«Kabila a engagé le pari de nous empêcher de nous exprimer». Secrétaire général de l’UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social), Jacquemain Shabani Lukoo que la rédaction de Congo Indépendant a joint au téléphone, vendredi soir, à Kinshasa, cachait difficilement une exaspération certaine au regard des «incidents» survenus au cours de cette première journée de «campagne». Dans ce pays où les pouvoirs publics peinent à se mettre au-dessus des contingences partisanes, il sera difficile de déterminer les responsabilités.
Tout ce que l’on sait au stade actuel est que des éléments de la police ont réprimé avec la violence devenue désormais légendaire une manifestation de l’UDPS organisée à Mbuji-Mayi, le chef-lieu de la province du Kasaï Oriental, à l’occasion du lancement de la campagne électorale. Jeudi soir, rapporte la radio onusienne Okapi, des affrontements ont opposé des militants de l’opposition et ceux de la mouvance kabiliste. Prenant prétexte de cet incident, les autorités provinciales, étiquettées PPRD (Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie), se sont cru en droit de violer la loi électorale en prenant la gravissime décision interdisant à l’UDPS l’organisation toute manifestation. Et ce, jusqu’au 28 novembre. Un comble d’iniquité.
A Mbuji Mayi tout comme à Kinshasa, les policiers se sont livrés, vendredi, à leur jeu favori consistant à distribuer des coups de matraque et à tirer à balles réelles pour disperser les protestataires. Des échauffourées ont été signalées au rond-point de l’Etoile dans la commune de Dibindi, apprend-on. Plusieurs militants de l’UDPS ont été interpellés et placés en détention. De même, des batailles rangées ont opposé des militants de ce parti aux «gros bras» du PPRD. Président du parti travailliste, Steve Mbikayi a fait état de deux tués. Une information confirmée par Shabani Lukoo. Celui-ci d’ajouter qu’il y aurait eu un mort à Kinshasa et plusieurs blessés à Kisangani.
Les larmes de crocodile
Les événements survenus à Mbuji Mayi n’ont rien de surprenant. Depuis le mois de juillet dernier, les éléments de la police anti-émeutes ont pris l’habitude de réprimer les manifestations pacifiques en compagnie des membres de la «Ligue des jeunes» du PPRD. Cette nébuleuse organisation regroupe en fait des karatekas, des judokas et des boxeurs désoeuvrés, mieux connus sous le surnom peu glorieux de «Pomba». «Joseph Kabila» et ses partisans jouent ainsi avec le feu en mettant sur pied une milice. Tout récemment, le gouverneur de la province du Kasaï Oriental, le très sulfureux Ngoy Kasanji, s’est livré à une démonstration de force en faisant une "promenade" à travers la ville de Mbuji-Mayi. Il était accompagné des «sportifs» locaux. On le voit, la grande majorité des autorités congolaises affichent un comportement qui n’a rien à envier à celui des hors-la-loi. Des voyous. N’étant pas un modèle de vertu et de tolérance, le premier magistrat du pays leur sert manifestement d’exemple.
Flairant le danger d’une déflagration, des mamans congolaises proches de l’UDPS ont «marché» le 13 octobre dernier à Kinshasa. Dans un mémorandum remis au ministre de l’Intérieur et de la …sécurité, elles ont notamment tiré la sonnette d’alarme sur le recours aux fameux «Pomba» par certaines organisations politiques. Une préoccupation relayée d’ailleurs par le président de l’Ong «Les Amis de Nelson Mandela».
Il va sans dire que les Congolais sont loin d’être «égaux devant la loi» comme le proclame l’article 12 de la Constitution promulguée en févruer 2006. On peut gager que les prétendants à l’élection présidentielle autant qu’à la députation nationale se lancent dans la course avec une totale inégalité de chances, selon qu’on est opposant ou membre de la fameuse majorité présidentielle. En cause, l’absence d’un Etat impartial. L’armée, la police, les services de renseignements civils et militaires se comportent ainsi en «petits soldats» du président sortant «Joseph Kabila». Les représentants des forces politiques et sociales de l’opposition sont traités comme des vulgaires «agents subversifs». C’est à croire que le pays est revenu vingt et une année en arrière à l’époque du parti-Etat. C’est la "dérive dictatoriale" que redoutaient les législateurs de l’actuelle loi fondamentale.
Un «Etat tricheur»
A la suite de la répression de la manifestation organisée le jeudi 20 juillet dans la capitale par l’UDPS et alliés - au cours de laquelle le député provincial Martin Fayulu Madidi a été passé à tabac par des policiers -, le président de la Ceni (Commission électorale nationale indépendante), Daniel Mulunda Ngoy Nyanga, s’est fendu d’un communiqué assimilable aux larmes de crocodile. «Le Bureau de la Ceni exprime ses profonds regrets face aux dérives et actes de violence qui émaillent depuis un certain temps les manifestations des partis et regroupements politiques, indique le communiqué. Il déplore notamment les actes de brutalité exercés contre l’honorable Martin Fayulu, député provincial». Et d’ajouter : «Le Bureau de la Ceni appelle l’UDPS et ses alliés ainsi que les forces de l’ordre au respect de la Constitution et des lois de la République. Les forces de l’ordre sont invitées à faire preuve de modération, de retenu dans leur action de maintien de paix». Le communiqué de poursuivre : «De même, il appartient aux partis de respecter les forces de l’ordre dans un élan de citoyenneté républicaine». Bel exemple de duplicité.
Un analyste politique joint vendredi soir au téléphone à Kin a eu ces mots : «Les membres du Bureau de la Ceni feignent d’ignorer un principe fondamental en science politique. A savoir que pour être respecté, l’Etat doit être non seulement efficace dans la résolution des problèmes de la vie collective mais surtout au service de l’intérêt général. Tout Etat qui se met au service d’un clan ou d’une formation politique se discrédite. Cet Etat est assimilable à un tricheur qui doit être combattu démocratiquement - et pourquoi pas ? - par les mêmes moyens. C’est à dire la violence...»
Madeleine Wassembinya/B.A.W
© Congoindépendant 2003-2011
Elections 2011 : La campagne électorale mal partie
Deux morts à Mbuji-Mayi (Kasaï Oriental), un mort à Kinshasa et plusieurs blessés et arrestations notamment à Kisangani (Province Orientale). C’est le bilan sans doute provisoire de la première journée de la campagne électorale pour l’élection présidentielle et celle des députés nationaux en RD Congo. Une campagne électorale qui a commencé officiellement le vendredi 28 octobre. Le risque est grand pour que les consultations politiques fixées au 28 novembre prochain ne soient ni «apaisées» ni libres. Encore moins transparentes.
«Kabila a engagé le pari de nous empêcher de nous exprimer». Secrétaire général de l’UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social), Jacquemain Shabani Lukoo que la rédaction de Congo Indépendant a joint au téléphone, vendredi soir, à Kinshasa, cachait difficilement une exaspération certaine au regard des «incidents» survenus au cours de cette première journée de «campagne». Dans ce pays où les pouvoirs publics peinent à se mettre au-dessus des contingences partisanes, il sera difficile de déterminer les responsabilités.
Tout ce que l’on sait au stade actuel est que des éléments de la police ont réprimé avec la violence devenue désormais légendaire une manifestation de l’UDPS organisée à Mbuji-Mayi, le chef-lieu de la province du Kasaï Oriental, à l’occasion du lancement de la campagne électorale. Jeudi soir, rapporte la radio onusienne Okapi, des affrontements ont opposé des militants de l’opposition et ceux de la mouvance kabiliste. Prenant prétexte de cet incident, les autorités provinciales, étiquettées PPRD (Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie), se sont cru en droit de violer la loi électorale en prenant la gravissime décision interdisant à l’UDPS l’organisation toute manifestation. Et ce, jusqu’au 28 novembre. Un comble d’iniquité.
A Mbuji Mayi tout comme à Kinshasa, les policiers se sont livrés, vendredi, à leur jeu favori consistant à distribuer des coups de matraque et à tirer à balles réelles pour disperser les protestataires. Des échauffourées ont été signalées au rond-point de l’Etoile dans la commune de Dibindi, apprend-on. Plusieurs militants de l’UDPS ont été interpellés et placés en détention. De même, des batailles rangées ont opposé des militants de ce parti aux «gros bras» du PPRD. Président du parti travailliste, Steve Mbikayi a fait état de deux tués. Une information confirmée par Shabani Lukoo. Celui-ci d’ajouter qu’il y aurait eu un mort à Kinshasa et plusieurs blessés à Kisangani.
Les larmes de crocodile
Les événements survenus à Mbuji Mayi n’ont rien de surprenant. Depuis le mois de juillet dernier, les éléments de la police anti-émeutes ont pris l’habitude de réprimer les manifestations pacifiques en compagnie des membres de la «Ligue des jeunes» du PPRD. Cette nébuleuse organisation regroupe en fait des karatekas, des judokas et des boxeurs désoeuvrés, mieux connus sous le surnom peu glorieux de «Pomba». «Joseph Kabila» et ses partisans jouent ainsi avec le feu en mettant sur pied une milice. Tout récemment, le gouverneur de la province du Kasaï Oriental, le très sulfureux Ngoy Kasanji, s’est livré à une démonstration de force en faisant une "promenade" à travers la ville de Mbuji-Mayi. Il était accompagné des «sportifs» locaux. On le voit, la grande majorité des autorités congolaises affichent un comportement qui n’a rien à envier à celui des hors-la-loi. Des voyous. N’étant pas un modèle de vertu et de tolérance, le premier magistrat du pays leur sert manifestement d’exemple.
Flairant le danger d’une déflagration, des mamans congolaises proches de l’UDPS ont «marché» le 13 octobre dernier à Kinshasa. Dans un mémorandum remis au ministre de l’Intérieur et de la …sécurité, elles ont notamment tiré la sonnette d’alarme sur le recours aux fameux «Pomba» par certaines organisations politiques. Une préoccupation relayée d’ailleurs par le président de l’Ong «Les Amis de Nelson Mandela».
Il va sans dire que les Congolais sont loin d’être «égaux devant la loi» comme le proclame l’article 12 de la Constitution promulguée en févruer 2006. On peut gager que les prétendants à l’élection présidentielle autant qu’à la députation nationale se lancent dans la course avec une totale inégalité de chances, selon qu’on est opposant ou membre de la fameuse majorité présidentielle. En cause, l’absence d’un Etat impartial. L’armée, la police, les services de renseignements civils et militaires se comportent ainsi en «petits soldats» du président sortant «Joseph Kabila». Les représentants des forces politiques et sociales de l’opposition sont traités comme des vulgaires «agents subversifs». C’est à croire que le pays est revenu vingt et une année en arrière à l’époque du parti-Etat. C’est la "dérive dictatoriale" que redoutaient les législateurs de l’actuelle loi fondamentale.
Un «Etat tricheur»
A la suite de la répression de la manifestation organisée le jeudi 20 juillet dans la capitale par l’UDPS et alliés - au cours de laquelle le député provincial Martin Fayulu Madidi a été passé à tabac par des policiers -, le président de la Ceni (Commission électorale nationale indépendante), Daniel Mulunda Ngoy Nyanga, s’est fendu d’un communiqué assimilable aux larmes de crocodile. «Le Bureau de la Ceni exprime ses profonds regrets face aux dérives et actes de violence qui émaillent depuis un certain temps les manifestations des partis et regroupements politiques, indique le communiqué. Il déplore notamment les actes de brutalité exercés contre l’honorable Martin Fayulu, député provincial». Et d’ajouter : «Le Bureau de la Ceni appelle l’UDPS et ses alliés ainsi que les forces de l’ordre au respect de la Constitution et des lois de la République. Les forces de l’ordre sont invitées à faire preuve de modération, de retenu dans leur action de maintien de paix». Le communiqué de poursuivre : «De même, il appartient aux partis de respecter les forces de l’ordre dans un élan de citoyenneté républicaine». Bel exemple de duplicité.
Un analyste politique joint vendredi soir au téléphone à Kin a eu ces mots : «Les membres du Bureau de la Ceni feignent d’ignorer un principe fondamental en science politique. A savoir que pour être respecté, l’Etat doit être non seulement efficace dans la résolution des problèmes de la vie collective mais surtout au service de l’intérêt général. Tout Etat qui se met au service d’un clan ou d’une formation politique se discrédite. Cet Etat est assimilable à un tricheur qui doit être combattu démocratiquement - et pourquoi pas ? - par les mêmes moyens. C’est à dire la violence...»
Madeleine Wassembinya/B.A.W
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Re: La gestion du serveur de la CENI
http://www.congoindependant.com/article ... cleid=6902
Il faut "sortir" le président sortant "Joseph Kabila"
"Joseph Kabila" dans un look très peu présidentiel.
Au moment où ces lignes sont couchées, des "rumeurs" persistantes font état du "report" de l’élection présidentielle et de la députation nationale. Aucune source autorisée n’avait pas encore légitimé ce "bruit" jeudi 27 octobre à 14h30.
Selon le calendrier établi par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), la campagne électorale pour l’élection présidentielle et pour la députation nationale démarre ce vendredi 28 octobre. Pendant un mois, les prétendants au poste de Président de la République vont déployer le "grand jeu" pour séduire le corps électoral. Gare aux promesses électorales.
Il faut espérer que l’on va assister à un affrontement loyal «projet contre projet», «argument contre argument» et non à une lutte féroce, voire sanglante, pour le pouvoir. Le pilonnage de la résidence du challenger Jean-Pierre Bemba par la garde présidentielle en août 2006 est encore frais en mémoire. C’était au lendemain du premier tour de l’élection présidentielle. Qui oubliera la «lutte finale» Bemba-Kabila en mars 2007?
Il y a des signes qui ne trompent pas. Le pouvoir kabiliste est entrain de recruter des «Kuluna» et autres «chefs Kuluna» pour constituer une version congolaise des Interahamwe. Le mot n’est pas trop fort. La ligue des jeunes du parti présidentiel n’est rien d’autre qu’une milice.
A travers les récentes répressions policières des manifestations pacifiques des forces de l’opposition pro-Tshisekediste, il est acquis que le président sortant «Joseph Kabila» n’est pas le genre d’homme à se soumettre aux règles du jeu démocratique. Le pluralisme politique, la tolérance, l’alternance et le respect de l’adversaire sont des concepts inconnus pour cet homme qui a été moulé dans la culture de la violence et de la gâchette facile. Le président sortant paraît décidé à faire couler le sang des paisibles citoyens de ce pays rien que pour continuer à savourer les délices du pouvoir. Le pouvoir pour le pouvoir.
Le 28 novembre, les citoyens congolais iront aux urnes. Ils auront ainsi l’opportunité de choisir un autre destin. Il s’agit de «sortir» le président sortant «Joseph Kabila» en lui disant : «Dix ans ça suffit». Pourquoi ?
D’abord parce que «Joseph Kabila» est un imposteur. Nul ne connaît son lieu de naissance encore moins son parcours personnel de l’âge de 18 ans jusqu’à celui de 25 ans lorsqu’il a foulé pour la première fois le sol zaïrois au lendemain de la création de l’AFDL (Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo). Pour les uns, il est né à Hewa Bora II, une localité qui n’a pas d’existence légale. Pour d’autres, il aurait vu le jour à Lulenge, à Mpiki ou à Fizi. Avant de porter le patronyme de «Joseph Kabila», l’homme s’appelait Hyppolite, Kanambe, Mtwale, Christopher. Dans son ouvrage «Histoire du Congo - Les quatre premiers présidents», le professeur Célestin Kabuya Lumuna Sando passe au crible l’enfance, la jeunesse et le parcours tant professionnel que politique de Joseph Kasa Vubu, Mobutu Sese Seko et Laurent-Désiré Kabila. Le chapitre consacré à «Joseph Kabila» ne contient que trois paragraphes. A savoir : la naissance, l’investiture à la tête de l’Etat et quelques commentaires sur les douze premiers mois à la tête de l’Etat. Une lacune difficile à expliquer de la part d’un "scientifique" de la trempe de Kabuya.
Ensuite, le président sortant «Joseph Kabila» a fragilisé la cohésion nationale. Au lieu de rassembler les Congolais autour d’une ambition de renaissance nationale, il s’est comporté en grand commun diviseur. N’ayant aucune base sociale, il s’est appuyé sur un groupe des Congolais (les Balubakat et les natifs du Maniema) contre d’autres. Le tribalisme et le régionalisme ont fait un retour en force menaçant dangereusement l’unité nationale.
Enfin, «Joseph Kabila» constitue une menace tant pour l’indépendance nationale que pour l’intégrité physique du territoire. Au nom d’une prétendue «paix», il a infiltré des «agents étrangers» dans les institutions nationales et autres grands corps de l’Etat : le gouvernement, l’appareil judiciaire, l’armée, la police, les services de renseignements civils et militaires, l’Immigration. Des anciens chefs miliciens aux mains tâchées de sang ont été promus au grade de colonel ou de général. En janvier 2009, l’homme a tombé une partie de son masque en autorisant proprio motu l’entrée des troupes rwandaises en RD Congo.
Au total, «Joseph Kabila» a transformé la RD Congo en un Etat maffieux où convergent tous les voyous et autres «blanchisseurs» d’argent d’origine criminelle. L’appareil d’Etat est gangrené par la corruption. L’homme n’a aucun bilan à présenter au plan économique et social. Sauf quelques routes goudronnées et des écoles "réhabilitées" pour tromper la vigilance de la population. Une population dont les attentes en terme de bien-être n’ont pas été prises en compte.
Les Congolais doivent aller nombreux aux urnes pour «sortir» le président sortant «Joseph Kabila» en lui disant : «Dix ans, ça suffit». Il faut espérer d’ici là que les représentants des forces politiques de l’opposition auront compris que l’enjeu dépasse de loin les ambitions égoïstes des uns et des autres...
Baudouin Amba Wetshi
© Congoindépendant 2003-2011
Il faut "sortir" le président sortant "Joseph Kabila"
"Joseph Kabila" dans un look très peu présidentiel.
Au moment où ces lignes sont couchées, des "rumeurs" persistantes font état du "report" de l’élection présidentielle et de la députation nationale. Aucune source autorisée n’avait pas encore légitimé ce "bruit" jeudi 27 octobre à 14h30.
Selon le calendrier établi par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), la campagne électorale pour l’élection présidentielle et pour la députation nationale démarre ce vendredi 28 octobre. Pendant un mois, les prétendants au poste de Président de la République vont déployer le "grand jeu" pour séduire le corps électoral. Gare aux promesses électorales.
Il faut espérer que l’on va assister à un affrontement loyal «projet contre projet», «argument contre argument» et non à une lutte féroce, voire sanglante, pour le pouvoir. Le pilonnage de la résidence du challenger Jean-Pierre Bemba par la garde présidentielle en août 2006 est encore frais en mémoire. C’était au lendemain du premier tour de l’élection présidentielle. Qui oubliera la «lutte finale» Bemba-Kabila en mars 2007?
Il y a des signes qui ne trompent pas. Le pouvoir kabiliste est entrain de recruter des «Kuluna» et autres «chefs Kuluna» pour constituer une version congolaise des Interahamwe. Le mot n’est pas trop fort. La ligue des jeunes du parti présidentiel n’est rien d’autre qu’une milice.
A travers les récentes répressions policières des manifestations pacifiques des forces de l’opposition pro-Tshisekediste, il est acquis que le président sortant «Joseph Kabila» n’est pas le genre d’homme à se soumettre aux règles du jeu démocratique. Le pluralisme politique, la tolérance, l’alternance et le respect de l’adversaire sont des concepts inconnus pour cet homme qui a été moulé dans la culture de la violence et de la gâchette facile. Le président sortant paraît décidé à faire couler le sang des paisibles citoyens de ce pays rien que pour continuer à savourer les délices du pouvoir. Le pouvoir pour le pouvoir.
Le 28 novembre, les citoyens congolais iront aux urnes. Ils auront ainsi l’opportunité de choisir un autre destin. Il s’agit de «sortir» le président sortant «Joseph Kabila» en lui disant : «Dix ans ça suffit». Pourquoi ?
D’abord parce que «Joseph Kabila» est un imposteur. Nul ne connaît son lieu de naissance encore moins son parcours personnel de l’âge de 18 ans jusqu’à celui de 25 ans lorsqu’il a foulé pour la première fois le sol zaïrois au lendemain de la création de l’AFDL (Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo). Pour les uns, il est né à Hewa Bora II, une localité qui n’a pas d’existence légale. Pour d’autres, il aurait vu le jour à Lulenge, à Mpiki ou à Fizi. Avant de porter le patronyme de «Joseph Kabila», l’homme s’appelait Hyppolite, Kanambe, Mtwale, Christopher. Dans son ouvrage «Histoire du Congo - Les quatre premiers présidents», le professeur Célestin Kabuya Lumuna Sando passe au crible l’enfance, la jeunesse et le parcours tant professionnel que politique de Joseph Kasa Vubu, Mobutu Sese Seko et Laurent-Désiré Kabila. Le chapitre consacré à «Joseph Kabila» ne contient que trois paragraphes. A savoir : la naissance, l’investiture à la tête de l’Etat et quelques commentaires sur les douze premiers mois à la tête de l’Etat. Une lacune difficile à expliquer de la part d’un "scientifique" de la trempe de Kabuya.
Ensuite, le président sortant «Joseph Kabila» a fragilisé la cohésion nationale. Au lieu de rassembler les Congolais autour d’une ambition de renaissance nationale, il s’est comporté en grand commun diviseur. N’ayant aucune base sociale, il s’est appuyé sur un groupe des Congolais (les Balubakat et les natifs du Maniema) contre d’autres. Le tribalisme et le régionalisme ont fait un retour en force menaçant dangereusement l’unité nationale.
Enfin, «Joseph Kabila» constitue une menace tant pour l’indépendance nationale que pour l’intégrité physique du territoire. Au nom d’une prétendue «paix», il a infiltré des «agents étrangers» dans les institutions nationales et autres grands corps de l’Etat : le gouvernement, l’appareil judiciaire, l’armée, la police, les services de renseignements civils et militaires, l’Immigration. Des anciens chefs miliciens aux mains tâchées de sang ont été promus au grade de colonel ou de général. En janvier 2009, l’homme a tombé une partie de son masque en autorisant proprio motu l’entrée des troupes rwandaises en RD Congo.
Au total, «Joseph Kabila» a transformé la RD Congo en un Etat maffieux où convergent tous les voyous et autres «blanchisseurs» d’argent d’origine criminelle. L’appareil d’Etat est gangrené par la corruption. L’homme n’a aucun bilan à présenter au plan économique et social. Sauf quelques routes goudronnées et des écoles "réhabilitées" pour tromper la vigilance de la population. Une population dont les attentes en terme de bien-être n’ont pas été prises en compte.
Les Congolais doivent aller nombreux aux urnes pour «sortir» le président sortant «Joseph Kabila» en lui disant : «Dix ans, ça suffit». Il faut espérer d’ici là que les représentants des forces politiques de l’opposition auront compris que l’enjeu dépasse de loin les ambitions égoïstes des uns et des autres...
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Re: La gestion du serveur de la CENI
RDC : les candidats à la présidentielle exigent la démission des gouverneurs de province candidats à la députation nationale
(Xinhuanet 31/10/2011)
KINSHASA -- Les onze candidats à l' élection présidentielle du 28 novembre prochain ont exigé dimanche la démission des gouverneurs de province, des administrateurs de territoire et des ministres candidats à la députation nationale en vue de garantir l'impartialité du processus électoral.
Ils l'ont signifié au bureau de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) à Kinshasa en présence du corps diplomatique et du représentant spécial du secrétaire général de l' ONU en RDC, Roger Meece.
"Nous avons demandé au bureau de la CENI de prendre toutes les dispositions nécessaires pour que le processus soit neutre. La loi électorale exige à tous les responsables, du ministre aux responsables de l'Administration territoriale de démissionner de leurs fonctions du moment qu'ils briguent un mandat électoral", a indiqué le candidat Vital Kamerhe.
Le président de la CENI Daniel Ngoy Mulunda souligné à cette occasion que cette rencontre a permis de dissiper le doute qu' avaient certains candidats quant à la tenue des élections le 28 novembre 2011.
"Il n'y aura pas de report de la date des élections. Nous avons expliqué aux candidats et au corps diplomatique l'évolution actuelle du processus. Quant aux autres problèmes soulevés par les candidats qui ne sont pas de la compétence de la CENI, le bureau va saisir le Président de la République pour des réponses positives", a déclaré le pasteur Ngoy Mulunda.
Six candidats à l'élection présidentielle étaient présents à cette rencontre.
© Copyright Xinhuanet
(Xinhuanet 31/10/2011)
KINSHASA -- Les onze candidats à l' élection présidentielle du 28 novembre prochain ont exigé dimanche la démission des gouverneurs de province, des administrateurs de territoire et des ministres candidats à la députation nationale en vue de garantir l'impartialité du processus électoral.
Ils l'ont signifié au bureau de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) à Kinshasa en présence du corps diplomatique et du représentant spécial du secrétaire général de l' ONU en RDC, Roger Meece.
"Nous avons demandé au bureau de la CENI de prendre toutes les dispositions nécessaires pour que le processus soit neutre. La loi électorale exige à tous les responsables, du ministre aux responsables de l'Administration territoriale de démissionner de leurs fonctions du moment qu'ils briguent un mandat électoral", a indiqué le candidat Vital Kamerhe.
Le président de la CENI Daniel Ngoy Mulunda souligné à cette occasion que cette rencontre a permis de dissiper le doute qu' avaient certains candidats quant à la tenue des élections le 28 novembre 2011.
"Il n'y aura pas de report de la date des élections. Nous avons expliqué aux candidats et au corps diplomatique l'évolution actuelle du processus. Quant aux autres problèmes soulevés par les candidats qui ne sont pas de la compétence de la CENI, le bureau va saisir le Président de la République pour des réponses positives", a déclaré le pasteur Ngoy Mulunda.
Six candidats à l'élection présidentielle étaient présents à cette rencontre.
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Re: La gestion du serveur de la CENI
#1 Kutshukiro 31-10-2011 16:56
Kabila s´il ne part pas par les usurnes, ce sera par force comme en Lybie. le choix est clair.
- il doit rentrer comme Kadogo au Rwanda et nous on reste s´organiser pour les élections libres et démocratiques.
- sinon, les chiens vont manger son corps dans les rues de Kin.
Annonciateur du départ de Mobutu Bill Richardson à l'écoute de l'Opposition politique
Lundi, 31 Octobre 2011 15:30
Bill Richardson, ancien ambassadeur des Etats-Unis d'Amérique aux Nations, s'était rendu célèbre en 1997, en marge du projet des négociations entre Mobutu et Laurent Désiré Kabila, alors chef de la rébellion regroupée sous le label de l'AFDL (Alliance des Forces Démocratiques du Congo), en tenant un langage au Maréchal du Zaïre. Il lui avait demandé, sans fioriture, les yeux dans les yeux, de quitter le pouvoir, s'il ne tenait pas à voir son cadavre traîné dans la rue et dévoré par les yeux, comme celui du Guinéen Sékou Touré. C'est ce jour-là que les fautons de l'entourage présidentiel avaient compris que Washington avait définitivement lâché celui qui avait juré de se maintenir au pouvoir par défi et de vendre chèrement sa tête.
C'est ce célèbre diplomate qui vient de séjourner à Kinshasa. Vendredi et samedi, il s'est entretenu avec beaucoup au sujet de l'état d'avancement du processus électoral congolais. On retient particulièrement de son agenda sa rencontre, à l'Hôtel Memling, avec l'Opposition politique, dont la délégation était composée de Jacquemain Shabani (UDPS), Eugène Diomi (DC), Martin Fayulu ( Ecide), etc. Bill Richardson a interrogé ses interlocuteurs au sujet de la fiabilité du processus électoral, de l'organisation et du programme de gouvernement de l'opposition politique qui soutient la candidature d'Etienne Tshisekedi, de la position de cette famille politique dans l'hypothèse du report ou du découplage des élections présidentielle et législatives nationales, etc. L'opposition politique en a profité pour relever les faiblesses qui empêchent la transparence du processus électoral, les entraves aux libertés publiques, les violences préélectorales et électorales, notamment les derniers incidents provoqués à Kinshasa et Mbuji-Mayi par les milices pro-pouvoir. Quel est le message apporté aux autorités congolaises par celui qui avait annoncé à Mobutu la fin de son règne ? Il est difficile de savoir. Mais, de nombreux observateurs pensent que le passage de Bill Richardson par Kinshasa est plein de non-dits qui pourraient avoir un sens dans les semaines à venir.
Kimp
Source : Le Phare
Kabila s´il ne part pas par les usurnes, ce sera par force comme en Lybie. le choix est clair.
- il doit rentrer comme Kadogo au Rwanda et nous on reste s´organiser pour les élections libres et démocratiques.
- sinon, les chiens vont manger son corps dans les rues de Kin.
Annonciateur du départ de Mobutu Bill Richardson à l'écoute de l'Opposition politique
Lundi, 31 Octobre 2011 15:30
Bill Richardson, ancien ambassadeur des Etats-Unis d'Amérique aux Nations, s'était rendu célèbre en 1997, en marge du projet des négociations entre Mobutu et Laurent Désiré Kabila, alors chef de la rébellion regroupée sous le label de l'AFDL (Alliance des Forces Démocratiques du Congo), en tenant un langage au Maréchal du Zaïre. Il lui avait demandé, sans fioriture, les yeux dans les yeux, de quitter le pouvoir, s'il ne tenait pas à voir son cadavre traîné dans la rue et dévoré par les yeux, comme celui du Guinéen Sékou Touré. C'est ce jour-là que les fautons de l'entourage présidentiel avaient compris que Washington avait définitivement lâché celui qui avait juré de se maintenir au pouvoir par défi et de vendre chèrement sa tête.
C'est ce célèbre diplomate qui vient de séjourner à Kinshasa. Vendredi et samedi, il s'est entretenu avec beaucoup au sujet de l'état d'avancement du processus électoral congolais. On retient particulièrement de son agenda sa rencontre, à l'Hôtel Memling, avec l'Opposition politique, dont la délégation était composée de Jacquemain Shabani (UDPS), Eugène Diomi (DC), Martin Fayulu ( Ecide), etc. Bill Richardson a interrogé ses interlocuteurs au sujet de la fiabilité du processus électoral, de l'organisation et du programme de gouvernement de l'opposition politique qui soutient la candidature d'Etienne Tshisekedi, de la position de cette famille politique dans l'hypothèse du report ou du découplage des élections présidentielle et législatives nationales, etc. L'opposition politique en a profité pour relever les faiblesses qui empêchent la transparence du processus électoral, les entraves aux libertés publiques, les violences préélectorales et électorales, notamment les derniers incidents provoqués à Kinshasa et Mbuji-Mayi par les milices pro-pouvoir. Quel est le message apporté aux autorités congolaises par celui qui avait annoncé à Mobutu la fin de son règne ? Il est difficile de savoir. Mais, de nombreux observateurs pensent que le passage de Bill Richardson par Kinshasa est plein de non-dits qui pourraient avoir un sens dans les semaines à venir.
Kimp
Source : Le Phare
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Re: La gestion du serveur de la CENI
Mais la campagne électorale commence dans la violence à Mbuji-Mayi Les « pomba » de Ngoy Kasanji drogués s'attaquent aux combattants de l'UDPS.
Lundi, 31 Octobre 2011 13:37
Malgré l'appel à l'apaisement lancé à l'endroit des acteurs politiques en présence pour une campagne électorale sans violence ; le parti présidentiel ne baisse pas les bras.
En effet, le vendredi dernier, un groupe de pomba drogués obéissant aux ordres du gouverneur Ngoy Kasanji se sont attaqués au cortège de combattants de l'Udps à Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï oriental . Ces combattants de l'UDPS avaient organisé dans la ville de Mbuji-Mayi, une caravane motorisée pour lancer leur campagne électorale, mais ils ont été surpris par la brutalité des éléments de la police associés au pomba que le gouverneur PPRD Ngoyi Kasanji a dépêché le matin dans toutes les artères principales de la ville de Mbuji-Mayi pour brutaliser la manifestation de l'Udps. Ces policiers associés au kuluna de Ngoyi Kasanji ont procédé à l'arrestation des combattants de l'Udps. Ils ont également endommagés les motos. Notre source à Mbuji-Mayi signe l cas de plusieurs blessés et fracturés.
La violence par l'instrumentalisation de la police et le recrutement de pomba ce dernier temps est devenue une manière propre au PPRD tant à Kinshasa que dans les province du pays dans cette période électorale.
La campagne étant déjà commencée, le gouverneur PPRD, Ngoyi Kasanji viole la loi en utilisant la police et le pomba pour perturber la campagne électorale de l'Udps.
Aujourd'hui cet homme qui a bénéficie de l'appui de ce parti au moment où son diamant a été saisi par le gouvernement de LD.Kabila crache sur l'UDPS en envoyant ces “ pomba “et la police pour disperser la campagne de l'Union pour la Démocratie et le progrès social dans cette période de campagne où chaque parti politique a droit à exercer librement ces activités sans être entraver par la police.
L'Udps a une base confortable dans la ville de Mbuji-Mayi.
Le comportement et provocation de Ngoyi Kasanji risque de pousser les combattants de ce parti politique à répliquer de sa manière. Ce qui risque d'engendrer les violences et causés plusieurs dégât dans cette aggLomération.
'Le gouverneur Ngoyi Kasanji devrait être conséquent dans ces agissements car, ces élections risquent de nous apporter les surprises. Mais si le candidat de Ngoyi échoué, quel sera le sort du gouverneur du Kasai oriental vis-à-vis des combattants de l'Udps malmenés par la police et ces « pomba » sur son ordre.
GODE KALONJI MUKENDI
Source : La tempête des tropiques
Lundi, 31 Octobre 2011 13:37
Malgré l'appel à l'apaisement lancé à l'endroit des acteurs politiques en présence pour une campagne électorale sans violence ; le parti présidentiel ne baisse pas les bras.
En effet, le vendredi dernier, un groupe de pomba drogués obéissant aux ordres du gouverneur Ngoy Kasanji se sont attaqués au cortège de combattants de l'Udps à Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï oriental . Ces combattants de l'UDPS avaient organisé dans la ville de Mbuji-Mayi, une caravane motorisée pour lancer leur campagne électorale, mais ils ont été surpris par la brutalité des éléments de la police associés au pomba que le gouverneur PPRD Ngoyi Kasanji a dépêché le matin dans toutes les artères principales de la ville de Mbuji-Mayi pour brutaliser la manifestation de l'Udps. Ces policiers associés au kuluna de Ngoyi Kasanji ont procédé à l'arrestation des combattants de l'Udps. Ils ont également endommagés les motos. Notre source à Mbuji-Mayi signe l cas de plusieurs blessés et fracturés.
La violence par l'instrumentalisation de la police et le recrutement de pomba ce dernier temps est devenue une manière propre au PPRD tant à Kinshasa que dans les province du pays dans cette période électorale.
La campagne étant déjà commencée, le gouverneur PPRD, Ngoyi Kasanji viole la loi en utilisant la police et le pomba pour perturber la campagne électorale de l'Udps.
Aujourd'hui cet homme qui a bénéficie de l'appui de ce parti au moment où son diamant a été saisi par le gouvernement de LD.Kabila crache sur l'UDPS en envoyant ces “ pomba “et la police pour disperser la campagne de l'Union pour la Démocratie et le progrès social dans cette période de campagne où chaque parti politique a droit à exercer librement ces activités sans être entraver par la police.
L'Udps a une base confortable dans la ville de Mbuji-Mayi.
Le comportement et provocation de Ngoyi Kasanji risque de pousser les combattants de ce parti politique à répliquer de sa manière. Ce qui risque d'engendrer les violences et causés plusieurs dégât dans cette aggLomération.
'Le gouverneur Ngoyi Kasanji devrait être conséquent dans ces agissements car, ces élections risquent de nous apporter les surprises. Mais si le candidat de Ngoyi échoué, quel sera le sort du gouverneur du Kasai oriental vis-à-vis des combattants de l'Udps malmenés par la police et ces « pomba » sur son ordre.
GODE KALONJI MUKENDI
Source : La tempête des tropiques
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Re: La gestion du serveur de la CENI
Enfin ! C'est pas trop tôt !
Elections 2011 La CENI publie la cartographie des bureaux de vote !
Mardi, 01 Novembre 2011 07:19
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La CENI est en passe de vider, l’un après l’autre, les préalables de la classe politique sur la tenue des élections du 28 novembre prochain. Le dernier en date, c’est notamment, la cartographie des bureaux de vote qui est déjà affichée sur le site Internet de cette institution d’appui à la démocratie. En effet, pour un total de 32.024.640 électeurs sur l’ensemble du territoire national, la CENI a créé 11.611 sites de vote, 16.948 centres de vote et 63.865 Bureaux de vote. Kinshasa vient en tête en termes de bureaux de vote avec 10.334. Viennent ensuite le Katanga : 8.441 ; la Province Orientale : 7.431 ; l’Equateur : 7.364 ; le Bandundu : 6.958 ; le Nord-Kivu : 5.394 ; le Kasaï- Oriental : 5.130 ; le Kasaï- Occidental : 4.659 ; le Sud- Kivu : 3.707, le Bas-Congo : 2.778 et, enfin, le Maniema : 1.669. Plus de prétexte pour les partis et regroupements politiques qui n’ont plus que 27 jours pour préparer leurs témoins à déployer dans tous ces bureaux de vote. C’est le moment. La bataille s’annonce très serrée, avec le début de campagne marquée par des affrontements entre les partisans de la Majorité et de l’Opposition à Mbuji-Mayi, Kinshasa ainsi que dans certaines des provinces du pays. Ce matin, au Palais du Peuple, la CENI réunit les partis et regroupements politiques en vue de réitérer sa volonté d’aller jusqu’au bout de ce processus, quoique les difficultés d’ordre logistique accompagnent son dénouement à cause de la complexité de la tâche et l’immensité de ce pays aux dimensions continentales. La Monusco, les partenaires bi et multilatéraux n’ont cessé d’en appeler au calme et à la sérénité aux fins d’arriver à des résultats susceptibles d’être acceptés par toutes les parties engagées dans la course à la présidentielle et à la Députation Nationale. Dans cette édition, voici les tableaux qui offrent une vue panoramique de ce que seront les bureaux où les congolais se rendront le 28 novembre, pour élire les futurs dirigeants, pour un mandat de cinq ans.
La Pros.
Elections 2011 La CENI publie la cartographie des bureaux de vote !
Mardi, 01 Novembre 2011 07:19
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La CENI est en passe de vider, l’un après l’autre, les préalables de la classe politique sur la tenue des élections du 28 novembre prochain. Le dernier en date, c’est notamment, la cartographie des bureaux de vote qui est déjà affichée sur le site Internet de cette institution d’appui à la démocratie. En effet, pour un total de 32.024.640 électeurs sur l’ensemble du territoire national, la CENI a créé 11.611 sites de vote, 16.948 centres de vote et 63.865 Bureaux de vote. Kinshasa vient en tête en termes de bureaux de vote avec 10.334. Viennent ensuite le Katanga : 8.441 ; la Province Orientale : 7.431 ; l’Equateur : 7.364 ; le Bandundu : 6.958 ; le Nord-Kivu : 5.394 ; le Kasaï- Oriental : 5.130 ; le Kasaï- Occidental : 4.659 ; le Sud- Kivu : 3.707, le Bas-Congo : 2.778 et, enfin, le Maniema : 1.669. Plus de prétexte pour les partis et regroupements politiques qui n’ont plus que 27 jours pour préparer leurs témoins à déployer dans tous ces bureaux de vote. C’est le moment. La bataille s’annonce très serrée, avec le début de campagne marquée par des affrontements entre les partisans de la Majorité et de l’Opposition à Mbuji-Mayi, Kinshasa ainsi que dans certaines des provinces du pays. Ce matin, au Palais du Peuple, la CENI réunit les partis et regroupements politiques en vue de réitérer sa volonté d’aller jusqu’au bout de ce processus, quoique les difficultés d’ordre logistique accompagnent son dénouement à cause de la complexité de la tâche et l’immensité de ce pays aux dimensions continentales. La Monusco, les partenaires bi et multilatéraux n’ont cessé d’en appeler au calme et à la sérénité aux fins d’arriver à des résultats susceptibles d’être acceptés par toutes les parties engagées dans la course à la présidentielle et à la Députation Nationale. Dans cette édition, voici les tableaux qui offrent une vue panoramique de ce que seront les bureaux où les congolais se rendront le 28 novembre, pour élire les futurs dirigeants, pour un mandat de cinq ans.
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http://radiookapi.net/actualite/2011/11 ... -commence/
Elections: la publication de listes des bureaux de vote a commencé
publié il y a 15 minutes, sous Actualité, Élections, La Une, Nationale.
La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a commencé à publier, lundi 31 octobre à Kinshasa, les listes des bureaux de vote. Son président, Daniel Ngoy Mulunda, reconnaît le retard pris dans la publication de ces listes l’attribuant à l’attente des résultats de la mission de repérage des bureaux de vote.
Après la mission de repérage, le nombre des bureaux de vote a été revu à la hausse. « Il est passé de 62 000 à environ 63 000 », a déclaré Ngoy Mulunda à Radio Okapi.
«Dans le repérage, nous avons constaté que les distances entre les électeurs et leurs bureaux de vote étaient encore assez grandes,» explique-t-il ajoutant que « pour réduire ces distances, 1.800 (mille huit cents) bureaux ont été augmentés ».
Ngoy Mulunda a invité la population à aller identifier les bureaux de vote «pour que le jour du vote, les choses soient faciles». Pour la ville de Kinshasa, a-t-il déclaré, la publication des listes électorales par bureau de vote a commencé dans la commune de Lingwala.
Par ailleurs, il a affirmé que le déploiement du matériel électoral se poursuit en RDC et que la date du 28 novembre sera tenue pour l’élection présidentielle et les législatives.
Réagissant aux violences qui ont émaillé le lancement de la campagne électorale à Mbuji-Mayi, capitale du Kasaï-Oriental, Ngoy Mulunda a déclaré :
« Nous faisons appel aux candidats et aux militants pour mener une campagne pacifique. Si on se retrouve qu’à certains endroits il y a eu tellement des violences que les gens n’ont pas pu voter, ces résultats ne seront pas comptés. »
Elections: la publication de listes des bureaux de vote a commencé
publié il y a 15 minutes, sous Actualité, Élections, La Une, Nationale.
La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a commencé à publier, lundi 31 octobre à Kinshasa, les listes des bureaux de vote. Son président, Daniel Ngoy Mulunda, reconnaît le retard pris dans la publication de ces listes l’attribuant à l’attente des résultats de la mission de repérage des bureaux de vote.
Après la mission de repérage, le nombre des bureaux de vote a été revu à la hausse. « Il est passé de 62 000 à environ 63 000 », a déclaré Ngoy Mulunda à Radio Okapi.
«Dans le repérage, nous avons constaté que les distances entre les électeurs et leurs bureaux de vote étaient encore assez grandes,» explique-t-il ajoutant que « pour réduire ces distances, 1.800 (mille huit cents) bureaux ont été augmentés ».
Ngoy Mulunda a invité la population à aller identifier les bureaux de vote «pour que le jour du vote, les choses soient faciles». Pour la ville de Kinshasa, a-t-il déclaré, la publication des listes électorales par bureau de vote a commencé dans la commune de Lingwala.
Par ailleurs, il a affirmé que le déploiement du matériel électoral se poursuit en RDC et que la date du 28 novembre sera tenue pour l’élection présidentielle et les législatives.
Réagissant aux violences qui ont émaillé le lancement de la campagne électorale à Mbuji-Mayi, capitale du Kasaï-Oriental, Ngoy Mulunda a déclaré :
« Nous faisons appel aux candidats et aux militants pour mener une campagne pacifique. Si on se retrouve qu’à certains endroits il y a eu tellement des violences que les gens n’ont pas pu voter, ces résultats ne seront pas comptés. »
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http://radiookapi.net/actualite/2011/10 ... provinces/
Campagne électorale: les candidats ont des difficultés pour voyager en province
publié il y a 13 heures, sous Actualité, Élections, Législatives, Nationale, Présidentielle.
Certains candidats à la députation nationale qui doivent aller battre campagne en province rencontrent des difficultés pour voyager. Depuis la suspension de la licence de Hewa Bora à la suite du crash du Boeing 727 de l’entreprise à Kisangani, le 8 juillet 2011, la Compagnie africaine d’aviation (CAA) est la seule société d’aviation à effectuer des vols à l’intérieur du pays. Certains voyageurs affirment être obligés de réserver leur place une à deux semaines avant le vol.
Une candidate à la circonscription de Lisala rencontrée par un reporter de Radio Okapi, lundi 31 octobre, affirme n’avoir pas pu trouver une place cette semaine dans le vol à destination de cette ville de l’Equateur. Chaque vendredi, la CAA organise un vol Kinshasa-Lisala.
«Il n’ y a pas de place. Si la société pouvait mettre deux vols par semaines durant cette période électorale, ça nous arrangerait. Là nous sommes vraiment en difficulté. On ne se sait pas se rendre à la date qu’on a programmée pour notre campagne,» indique-t-elle.
Le directeur gérant de la CAA assure que sa compagnie va bientôt augmenter le nombre de ses vols avec la mise en services de trois nouveaux avions:
* un Airbus de cent quatre-vingts places
* un Fokker de cent places et un autre de cinquante places
Campagne électorale: les candidats ont des difficultés pour voyager en province
publié il y a 13 heures, sous Actualité, Élections, Législatives, Nationale, Présidentielle.
Certains candidats à la députation nationale qui doivent aller battre campagne en province rencontrent des difficultés pour voyager. Depuis la suspension de la licence de Hewa Bora à la suite du crash du Boeing 727 de l’entreprise à Kisangani, le 8 juillet 2011, la Compagnie africaine d’aviation (CAA) est la seule société d’aviation à effectuer des vols à l’intérieur du pays. Certains voyageurs affirment être obligés de réserver leur place une à deux semaines avant le vol.
Une candidate à la circonscription de Lisala rencontrée par un reporter de Radio Okapi, lundi 31 octobre, affirme n’avoir pas pu trouver une place cette semaine dans le vol à destination de cette ville de l’Equateur. Chaque vendredi, la CAA organise un vol Kinshasa-Lisala.
«Il n’ y a pas de place. Si la société pouvait mettre deux vols par semaines durant cette période électorale, ça nous arrangerait. Là nous sommes vraiment en difficulté. On ne se sait pas se rendre à la date qu’on a programmée pour notre campagne,» indique-t-elle.
Le directeur gérant de la CAA assure que sa compagnie va bientôt augmenter le nombre de ses vols avec la mise en services de trois nouveaux avions:
* un Airbus de cent quatre-vingts places
* un Fokker de cent places et un autre de cinquante places
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Re: La gestion du serveur de la CENI
http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... 4:le-phare
Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC) Les partis politiques exigent le retrait de la Garde Républicaine
Mercredi, 02 Novembre 2011 14:51
C’est ce qui ressort du forum Ceni partis politiques tenu hier, mardi 1 novembre dans la salle de cinéma au Palais du peuple, en présence de l’ancien ambassadeur américain aux nations unies, Bill Richardson, consultant de Ndi, qui avait pour but de faire le point sur l’avancement du processus démocratique en cours. Les partis politiques sans détour, ont exigé du pouvoir organisateur des élections, pour des raisons d’équité et de sécurités que la Garde Républicaine singulièrement quitte l’enceinte de la Rtnc pour être remplacée par une autre force, notamment par la police qui a dans ses prérogatives dans la mission régalienne. Aussi, que les affiches géantes du chef de l’Etat sortant, Joseph Kabila soient enlevées des murs du bâtiment de la Radio télévision nationale et du stade des Martyrs tous les deux considérés comme des édifices publics interdits de tout affichage par la loi électorale. Les partis politiques ont également plaidé pour que la Ceni prenne des mesures nécessaires pour sécuriser leurs effets de campagnes victimes de bandes de vandales. C’est en substance ce qui ressort de cette importante rencontre instituée par la Ceni pour partager de l’évolution du processus électoral.
Pour sa part avec une promesse ferme de rencontrer les doléances ses interlocuteurs, au nom de la Ceni, Daniel Ngoy Mulunda après avoir rappelé toutes les péripéties que vient de traverser son institution et dont certaines ont failli retarder la tenue des élections, s’est réjoui en affirmant que plus rien ne peut désormais bloquer la tenue des élections dans le délai. Cela tant sur le plan logistique que sur le plan financier. Sur le plan logistique par exemple, sur les 16 rotations aériennes prévues pour le transport des urnes de la Chine vers la RdCongo, une bonne partie est déjà effective et va s’étaler jusqu’au 8 novembre, ce avec l’arrivée de trois vols sur le sol RdCongolais dont un à Lubumbashi vendredi der nier ave 12,000 tonnes et deux vols hindi 31 à Kinshasa, La crainte est derrière nous, a-t-il indiqué. Ces vols sont repartis selon le plan de déploiement de la manière suivante : 6 vols pour le Katanga avec des kits pour les deux Kasaï et le Sud-Kivu alors que les 10 autres vont transporter les mimes kits pour Kinshasa, Bas-Congo, Equateur, Province Orientale, Maniema et le Nord-kivu Et une fois sur place, signalé le président de la Ceni et puisque la cartographie est désormais connue, c’est la Monusco qui va se charger de les acheminer vers les grands centres. Quant aux bulle- tins de vote, la fin de l’impression est attendue dans les prochains jours.
Présent, Bill Richardson a salué et encouragé ce forum dont le but ultime est d’encourager un dialogue franc entre les acteurs politiques pour que la RdCongo ait des élections apaisées afin d’éviter toute crise, Par ailleurs, lors de sa rencontre avec les différents candidats, il a affirmé les avoir encouragés à poser des actes d’apaisement. Du processus, il a déclaré l’avoir trouvé crédible. Néanmoins il a souhaité que des efforts soient fournis dans les jours à venir.
A.Vungbo
Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC) Les partis politiques exigent le retrait de la Garde Républicaine
Mercredi, 02 Novembre 2011 14:51
C’est ce qui ressort du forum Ceni partis politiques tenu hier, mardi 1 novembre dans la salle de cinéma au Palais du peuple, en présence de l’ancien ambassadeur américain aux nations unies, Bill Richardson, consultant de Ndi, qui avait pour but de faire le point sur l’avancement du processus démocratique en cours. Les partis politiques sans détour, ont exigé du pouvoir organisateur des élections, pour des raisons d’équité et de sécurités que la Garde Républicaine singulièrement quitte l’enceinte de la Rtnc pour être remplacée par une autre force, notamment par la police qui a dans ses prérogatives dans la mission régalienne. Aussi, que les affiches géantes du chef de l’Etat sortant, Joseph Kabila soient enlevées des murs du bâtiment de la Radio télévision nationale et du stade des Martyrs tous les deux considérés comme des édifices publics interdits de tout affichage par la loi électorale. Les partis politiques ont également plaidé pour que la Ceni prenne des mesures nécessaires pour sécuriser leurs effets de campagnes victimes de bandes de vandales. C’est en substance ce qui ressort de cette importante rencontre instituée par la Ceni pour partager de l’évolution du processus électoral.
Pour sa part avec une promesse ferme de rencontrer les doléances ses interlocuteurs, au nom de la Ceni, Daniel Ngoy Mulunda après avoir rappelé toutes les péripéties que vient de traverser son institution et dont certaines ont failli retarder la tenue des élections, s’est réjoui en affirmant que plus rien ne peut désormais bloquer la tenue des élections dans le délai. Cela tant sur le plan logistique que sur le plan financier. Sur le plan logistique par exemple, sur les 16 rotations aériennes prévues pour le transport des urnes de la Chine vers la RdCongo, une bonne partie est déjà effective et va s’étaler jusqu’au 8 novembre, ce avec l’arrivée de trois vols sur le sol RdCongolais dont un à Lubumbashi vendredi der nier ave 12,000 tonnes et deux vols hindi 31 à Kinshasa, La crainte est derrière nous, a-t-il indiqué. Ces vols sont repartis selon le plan de déploiement de la manière suivante : 6 vols pour le Katanga avec des kits pour les deux Kasaï et le Sud-Kivu alors que les 10 autres vont transporter les mimes kits pour Kinshasa, Bas-Congo, Equateur, Province Orientale, Maniema et le Nord-kivu Et une fois sur place, signalé le président de la Ceni et puisque la cartographie est désormais connue, c’est la Monusco qui va se charger de les acheminer vers les grands centres. Quant aux bulle- tins de vote, la fin de l’impression est attendue dans les prochains jours.
Présent, Bill Richardson a salué et encouragé ce forum dont le but ultime est d’encourager un dialogue franc entre les acteurs politiques pour que la RdCongo ait des élections apaisées afin d’éviter toute crise, Par ailleurs, lors de sa rencontre avec les différents candidats, il a affirmé les avoir encouragés à poser des actes d’apaisement. Du processus, il a déclaré l’avoir trouvé crédible. Néanmoins il a souhaité que des efforts soient fournis dans les jours à venir.
A.Vungbo
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