Gaël Romeo Kakuta

[kompany]

Kakuta : "Aller au bout de mon rêve"

Aller au bout de mon rêve - FOOTBALL - Premier League
AFP

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Prêté à Bolton, Gaël Kakuta a une idée fixe : "revenir à Chelsea pour être titulaire" en janvier. Pourtant, le Français court après sa première titularisation face à Wigan (16h00). Mais hors de question de douter ou d'envisager un retour en France. "Je veux aller au bout de mon rêve", nous dit-il.

Samedi, Gaël Kakuta aura un oeil attentif sur la feuille de match. Le milieu offensif de Bolton espère y voir son nom apparaître parmi les titulaires qui affronteront Wigan (16h00). Ce serait pourtant une première cette saison en Premier League. Preuve qu'il a encore pas mal de chemin à parcourir. Depuis son arrivée à Chelsea, le Français enchaîne les passages sur le banc et les prêts. Sans grand succès. La saison dernière, il avait terminé la saison dans l'anonymat à Fulham. "J'étais déçu par rapport à mon temps de jeu", nous avoue-t-il. Chez les Cottagers, il a disputé sept matches, dont seulement deux en tant que titulaire, et a marqué un but pour finir sur la 8e place du podium. "Mais j'ai beaucoup appris là-bas, assure-t-il. Le coach m'a beaucoup appris. J'ai pris plus de maturité dans le jeu. Je ne regrette pas mon passage à Fulham".

Cet été, il a donc tenté à nouveau l'expérience après un Mondial des moins de 20 ans dont il est reparti "déçu" par ses prestations. Alors qu'il figurait sur les tablettes de Lille, Kakuta a choisi de rejoindre Bolton en prêt. Pratiquement au dernier moment avant la clôture mais pas par hasard. "J'ai su à la dernière minute que j'allais à Bolton, raconte-t-il. J'ai accepté car le coach (Owen Coyle, ndlr) a une bonne réputation. C'est lui qui a fait progresser Daniel Sturridge et Jack Wilshere. Donc je me suis dit pourquoi pas". Car le joueur formé à Lens a déjà une idée derrière la tête : "revenir à Chelsea pour être titulaire". En somme, suivre l'exemple de Sturridge, "un modèle", lui aussi prêté à Bolton avant de pousser Anelka sur le banc chez les Blues. C'est aussi pour cela qu'il a choisi un prêt de courte durée quand d'autres sont prêté pour la totalité de la saison. "Je suis prêté pour six mois. C'est un choix de ma part. J'ai discuté avec le coach (Andre Vila Boas, ndlr) et il a pris la décision de me laisser partir jusqu'en janvier", dit-il.

Sturridge , "un modèle"
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Son ambition est donc d'être titulaire à Chelsea en janvier. Le temps presse. D'autant plus qu'il est encore loin de s'être imposé à Bolton. "J'ai pris cette décision pour avoir plus de temps de jeu et surtout avoir le rythme des matches en Premier League. Car, avoir 20 minutes tous les week-ends, ça n'est pas assez pour progresser, reconnaît-il. C'est également pour avoir un peu plus de maturité dans le jeu". Or, depuis son arrivée chez les Wanderers, Kakuta n'a qu'une titularisation en Carling Cup à son actif. Face à Aston Villa (0-2), il avait même marqué le deuxième but. Mais c'est tout. Alors forcément, il a des fourmis dans les jambes. "Je suis venu pour jouer", clame-t-il. Car, à 20 ans, il est en train de prendre du retard, bien qu'il s'en défende. "Certes, je manque de temps de jeu mais je n'ai pas de doutes sur ma progression, jure l'international Espoir. Il n'y a pas de soucis. J'apprends petit à petit. Je suis encore jeune, j'ai encore beaucoup à apprendre".

Un parcours assez chaotique qui ne l'amène pourtant pas à revoir son plan de carrière. Revenir en France pour faire ses gammes ? "Non. Ça ne me plaît pas trop", coupe-t-il immédiatement. "Depuis que je suis tout petit, je rêve de jouer en Angleterre. J'ai fait le choix d'y aller. Maintenant, à moi de percer là-bas. Je ne vais pas rester sur cinq-six matches en Angleterre et partir dans un autre pays. Je vais essayer d'aller au bout de mon rêve", explique-t-il. Kakuta est donc sûr de son choix d'être parti si jeune à l'étranger, conscient de l'attente qu'il suscite. "Les gens attendant toujours beaucoup des joueurs qui partent à l'étranger, sait-il. Mais ils oublient que je n'ai que 20 ans. J'ai fait le choix de partir à Chelsea pour apprendre certaines choses plus rapidement. Le jour où j'aurai beaucoup de temps de jeu, on verra qu'il y a une différence avec ce que j'aurais pu apprendre en restant à Lens". "Je pense que je n''ai pas encore eu la chance de montrer aux gens de quoi je suis capable en Premier League", poursuit-il. Si ça n'arrive pas à Bolton, il faudra peut-être penser à un plan B.

j'éspère pour lui,qu'il n'aura pas un parcours similaire à celui d'yves Makalambayi.

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[TUPAC MOUDJAHIDINE]

Laissons le rêver c'est pas bon de réveiller quelqu'un qui est entrain de faire un beau rêve.

[Erick Ross]

Né à Metz, Jean-Armel Kana-Biyik a annoncé jeudi vouloir défendre les couleurs du Cameroun plutôt que celles de la France. Une décision pas vraiment comprise par son entraîneur à Rennes Frédéric Antonetti : «Je ne suis pas d'accord avec lui et je le lui ai dit, a affirmé le bouillant Antonetti dans L’Equipe samedi. L'impatience est parfois mauvaise conseillère. Défenseur central, c'est un poste à hautes responsabilités et il n'a pas encore assez de bouteille pour prétendre être sélectionné en équipe de France. Des garçons comme lui ont le potentiel pour intégrer un jour les A mais il y a des joueurs en place. Il faut garder un peu de mesure. C'est dommage que la France le perde. »

http://www.football365.fr/france/infos- ... 5683.shtml

Oui mais et s'il avait tout simplement envie de jouer pour le Cameroun ? Arrêtez de tout voir en fonction des vos intérêts

[TUPAC MOUDJAHIDINE]

Avec un nom pareil et surtout un oncle ( Omam Biyik ) sur le banc du Cameroun, c'est quand même normal qu'il soit attiré par le Cameroun. Antonetti a peur de perdre un joueur qu'il devra régulièrement laisser à la disposition de la sélection Camerounaise. voilà la vraie raison.

[Erick Ross]

Légende du football africain, André Kana-Biyik titulaire des Lions Indomptables lors du Mondial 1990 est aussi le père de Jean Armel Kana-Biyik, défenseur de Rennes et futur joueur de la sélection nationale du Cameroun. A 22 ans, Jean Armel a décidé de suivre les traces de ses glorieux aînés. Pourtant le choix du Franco-Camerounais fait débat dans l’hexagone. Alors que la France a vécu un après-Mondial agité avec le débat autour des quotas et des joueurs binationaux. Un an plus tard, Frédéric Antonetti, l’entraîneur de Rennes, n’a pas compris le choix en faveur du Cameroun de son jeune défenseur. Une polémique naissante sur laquelle a bien voulu revenir pour Footafrica365, André Kana-Biyik le père du joueur qui explique le choix de cœur de son fils.

André, Jean-Armel a décidé d’opter pour le Cameroun. Et à Rennes, Antonetti n’a pas compris. Qu’avez-vous pensé de des déclarations du coach ?
Quelque part, Antonetti a raison lorsqu’il dit qu’en équipe de France il y a des joueurs en place et qu’en ce moment Jean-Armel n’y aurait pas la sienne. Mais il n’a pas raison lorsqu’il se dit « choqué » par le choix du gamin. Je n’ai pas aimé ce côté donneur de leçon. Jean-Armel était en période de réflexion et ça faisant longtemps qu’il songeait à intégrer le Cameroun. Cela ne date pas d’aujourd’hui. Il y a un an, il a refusé de jouer pour les espoirs français. Ça avait déjà provoqué une polémique. Et déjà, à l’époque, à Rennes on lui mettait la pression là-dessus.

Pourquoi Rennes rechignerait-il autant à voir Kana-Biyik junior avec le Cameroun ?
Peut-être ont-ils peur des CAN à venir. Peut-être ont-il peur que cela fasse baisser sa côte… Je n’en sais rien… Au fond, Antonetti n’est pas d’accord mais il n’explique pas pourquoi. Pour Antonetti, Jean-Armel s’est précipité. Il pense qu’il avait un coup à jouer chez les Bleus….Le Cameroun n’est pas un choix par défaut. Il y a une bonne équipe à faire. Mais Jean-Armel allait faire quoi ? Attendre encore et encore ? Il a 22 ans et il veut jouer pour le Cameroun qui, en plus, le veut vraiment. Son oncle (François Oman-Biyik) est venu le voir avec des gens de la Fédé, il y a un an. Jean-Armel était d’accord mais, à Rennes, Dréossi lui mettait la pression pour qu’il réfléchisse.

Vous faites partie des grands noms des Lions Indomptables. Etes-vous fier de son choix ?
Je ne lui ai jamais mis la pression pour qu’il joue pour le Cameroun ou pour la France. Je vais même vous dire, s’il ne jouait ni pour l’un ni pour l’autre, ça ne me dérangerait pas. Mais ce serait bien qu’il franchisse un cap. Parce que les matches internationaux c’est quand même autre chose, une autre dimension. Ce qui me gêne c’est l’ambiance qui règne au sein de la « Fédé » camerounaise. Mais c’est clair que là c’est le plus bel hommage qu’il puisse me faire.


« Courbis nous ferait du bien »

Gamin, il paradait plutôt en vert ou en bleu ?
Il mettait souvent les maillots de son oncle, François Oman-Biyik et il aimait beaucoup Emile Mbouh. Je me souviens que lorsqu’il avait six ans, il était parti au Cameroun avec sa mère et il avait dit : « Plus tard, je voudrai être un grand footballeur et jouer pour les Lions Indomptables pour faire comme papa. »

Pensez-vous que les choses puissent évoluer au sein de la « Fédé » camerounaise ?
On espère que ça va changer avec les élections à venir. Et puis sportivement l’équipe va pouvoir préparer les éliminatoires pour la Coupe du Monde 2014. Jean-Armel peut incarner ce renouveau…Il sera l’un des jeunes joueurs qui intègrent cette sélection mais ce n’est pas King-Kong. Il ne faut pas lui mettre une pression inutile. Il va pouvoir intégrer la Cameroun dans une période transitoire. Là, l’équipe n’est pas qualifiée pour la prochaine CAN, elle va enchaîner les matches amicaux et c’est l’idéal pour que Jean-Armel s’y intègre. Les résultats viendront aussi si, autour des joueurs, l’ambiance est saine. Il faut que tout le monde respecte les règles.

Qui verriez-vous au poste de sélectionneur ?
Je préférerais qu’on confie l’équipe à quelqu’un du sérail. Faire comme au Sénégal par exemple. L’équipe s’est reconstruite avec des gens compétents et pragmatiques. Sinon, j’ai toujours pensé qu’un Courbis nous ferait du bien. Il connaît bien les joueurs africains et sait instaurer une certaine discipline mais aussi un état d’esprit dans son groupe.

http://www.footafrica365.fr/infos-pays/ ... apa-.shtml

[madi]

On peut donc facilement comprendre pourquoi ekoko ne joue pas pour nous. surement que ce coach là ne veut pas aussi.

[Recteur]

Qu'est-ce qu'il a ce coach contre nous? non la raison est la normalisation et l'organisation du gestionnaire de notre foot .

[chidap]

vous remarquerez très souvent que les binationaux senegalais, camerounais, marocains choisissent leurs pays d'origine, grâce à une stabilité dans des compétitions internationales, alternance du pouvoir des instances sportives, une politique dans la formation de jeunes plus ou moins stable, ce qui n'est pas le cas pour nous, qui pataugeons encore dans un desordre caractérisé.

tant que les disciplines sportives au congo seront gérés par ses novices etiquettes du pouvoir en place pour assouvir les peuples, le congo occupera d'ici peu la queue de l'afrique en tout et pour tout !
ce qui est très malheureux pour nous autres amateurs du ballon rond

[Mayloshi-forever]

vous remarquerez très souvent que les binationaux senegalais, camerounais, marocains choisissent leurs pays d'origine, grâce à une stabilité dans des compétitions internationales, alternance du pouvoir des instances sportives, une politique dans la formation de jeunes plus ou moins stable, ce qui n'est pas le cas pour nous, qui pataugeons encore dans un desordre caractérisé.

tant que les disciplines sportives au congo seront gérés par ses novices etiquettes du pouvoir en place pour assouvir les peuples, le congo occupera d'ici peu la queue de l'afrique en tout et pour tout !
ce qui est très malheureux pour nous autres amateurs du ballon rond

Quand Kanouté avait choisi le Mali, quel en était la stabilité?

Quand Drogba avait choisi la Cote d'Ivoire, quel en était la stabilité?

L'effort doit venir de tout le monde, pour moi: Fecofa et binationaux.

[madi]

vous remarquerez très souvent que les binationaux senegalais, camerounais, marocains choisissent leurs pays d'origine, grâce à une stabilité dans des compétitions internationales, alternance du pouvoir des instances sportives, une politique dans la formation de jeunes plus ou moins stable, ce qui n'est pas le cas pour nous, qui pataugeons encore dans un desordre caractérisé.

tant que les disciplines sportives au congo seront gérés par ses novices etiquettes du pouvoir en place pour assouvir les peuples, le congo occupera d'ici peu la queue de l'afrique en tout et pour tout !
ce qui est très malheureux pour nous autres amateurs du ballon rond

Parmi les raisons que tu cites je retiens une seule. la stabilité dans les competitions internationales. tout joueur reve d'une grande competition et surtout de la coupe du monde. les pays que tu cites offrent aux binatioanux ces possibilités là. donc le choix est clair. pour ce qui est de l'alternance va demander aux Kmers combien de temps a fait iya mohamed à la fecafoot.
Pour moi il y a un probleme d'amour de la patrie. tres peu des congolais l'ont. avec tous ceux qui insultent leur pays ici, que vont ils dire à leurs enfants si ce n'est "c'est un pays de merde" donc aucun jeune ne veut venir marcher sur du caca