La gestion du serveur de la CENI

[Ilunga]

Professeur Georges Nzongola évalue les chances de la RDC...

http://www.dailymotion.com/video/xlk8bz ... tions_news

[Ilunga]

Radio Congo Vision : Professeur Georges Nzongola évalue les chances de la RDC d'organiser les élections

http://www.dailymotion.com/video/xlk8bz ... tions_news

[Ilunga]

TRICHERIE AUX ELECTIONS EN RDC JOSEPH KABILA DEMASQUE

http://www.dailymotion.com/video/xlkv83 ... ge-under-2

[chidap]

Kengo va rouler l'opposition....
dans tout ça, l'occident est complice. ne ns etonnons pas si ce rwando-polonais accedait à la magistrature suprême

[Ilunga]

Chidap a écrit :

"Kengo va rouler l'opposition....
dans tout ça, l'occident est complice. ne ns etonnons pas si ce rwando-polonais accedait à la magistrature suprême"





Une victoire de Kengo est une hypothèse "farfelue"...C'est un troublion dans l'opposition...Pour moi, Ya Tshitshi doit arrêter mnt ses contacts avec Kamerhe et Kengo...Ces contacts s'imposaient mais nous savions que ça n'allaient rien donner au vu des "exigences" de postes, du partage équilibré et équitable des postes exigé alors même qu'il n'y a pas eu élections pour peser du poids politique réel de chaque formation...

Ces négociations étaient nécessaires pour la "comm", l'affichage, afin de corriger, de donner une image de Ya Tshitshi comme qqn qui écoute les autres, qui n'est pas "orgueilleux", "intransigeant" et qui sait faire preuve de flexibilité...Mais en aucune façon Ya Tshitshi n'allait se laisser enfermer par ces "opposants" de la 25è heure comme les Kengo, Kamerhe dans des discussions en longueur et stériles de recherche de programme commun et de candidature commune de l'opposition à 47 jours des élections !!! Connaissant parfaitement la "faune politique congolaise", Ya Tshitshi sait que c'est peine perdue...Ce qu'il a fait en rencontrant Kengo n'était qu'une "opération de marketing"...Mandela ne discutait-il pas avec Mangosuthu Buthelezi et F. De Klerk?...

[chidap]

Chidap a écrit :

"Kengo va rouler l'opposition....
dans tout ça, l'occident est complice. ne ns etonnons pas si ce rwando-polonais accedait à la magistrature suprême"





Une victoire de Kengo est une hypothèse "farfelue"...C'est un troublion dans l'opposition...Pour moi, Ya Tshitshi doit arrêter mnt ses contacts avec Kamerhe et Kengo...Ces contacts s'imposaient mais nous savions que ça n'allaient rien donner au vu des "exigences" de postes, du partage équilibré et équitable des postes exigé alors même qu'il n'y a pas eu élections pour peser du poids politique réel de chaque formation...

Ces négociations étaient nécessaires pour la "comm", l'affichage, afin de corriger, de donner une image de Ya Tshitshi comme qqn qui écoute les autres, qui n'est pas "orgueilleux", "intransigeant" et qui sait faire preuve de flexibilité...Mais en aucune façon Ya Tshitshi n'allait se laisser enfermer par ces "opposants" de la 25è heure comme les Kengo, Kamerhe dans des discussions en longueur et stériles de recherche de programme commun et de candidature commune de l'opposition à 47 jours des élections !!! Connaissant parfaitement la "faune politique congolaise", Ya Tshitshi sait que c'est peine perdue...Ce qu'il a fait en rencontrant Kengo n'était qu'une "opération de marketing"...Mandela ne discutait-il pas avec Mangosuthu Buthelezi et F. De Klerk?...

ce que tu dis est vrai, mais essaie de te souvenir comment ce Kengo a obtenu la présidence du sénat.... piston et encore piston de ces mêmes occidentaux !!

si etienne passait, l'occident l'obligera de travailler avec ce traitre, et il viendra lui mettre les batons dans les roues pour le remplacer plus tard...
Ces occidentaux vont encore baiser ya tshitshi......

[Ilunga]

Chidap,



Comme on dit :"A malin, malin et demi" ou encore "si tu veux manger avec le diable, fais-le avec une longue fourchette"...

Je répete : la rencontre avec Kengo n'a servi à Ya Tshitshi que comme du "marketing politique", une opération de "comm" pour montrer qu'il sait écouter aussi, qu'il n'est pas fermé, intransigeant et inflexible...Il peut faire preuve d'écoute et de compromis...Qu'il peut fédérer l'opposition mais personne ne connait la "faune politique" congolaise mieux que lui, ou on trouve de drôles d'animaux, capable d'affirmer une chose à midi et se dédire le soir même pour te planter le couteau dans le dos...

C'est pas à un vieux singe comme Ya Tshitshi qu'on apprend à faire la grimace...Qqn avait dit que les sorciers comme les Kengo-Kamerhe, s'ils t'approchent qd tu es fort c'est pour t'affaiblir et qd tu es faible c'est pour se servir de toi...Ici, dans le cas de Ya Tshitshi, il fallait juste faire de l'affichage politique sans céder l'essentiel, éviter donc la compromission, les conciliabules ou le peuple ne se retrouverait pas et serait exclu...

Tshisekedi explique pourquoi il a rencontré Kengo à Bruxelles pour "des raisons tactiques", dit-il lui-même...Par contre Kamerhe a préféré le fuir alors qu'il disait que "sa main restait tendue"...C'est dans l'allocution de Ya Tshitshi à Raleigh, en Caroline du Nord, à partir de 8min50sec ici :

http://www.youtube.com/watch?v=LQ87GtFR ... re=related

[Ilunga]

Victoire tactique de Ya Tshitshi...On ne l'accusera plus de vantard, orgueilleux, fermé à la discussion et qui n'a pas besoin des autres...L'homme "à la main tendue" , Vital Kamerhe, "mutu ya ba squits", avait fui le rendez-vous...Il a posé un lapin au Vieux...Quelle impolitesse ! Vital Kamerhe a eu peur de l'icône nationale...

http://www.congoindependant.com/article ... cleid=6862




Mise au point de Tharcisse Loseke Nembalemba :
La rencontre de Washington entre Tshisekedi et Kamerhe n’a pas eu lieu.


Tharcisse Loseke Nembalemba. Photo CIC
Contrairement à ce qui se raconte dans une certaine presse, la rencontre prévue le jeudi 06 octobre 2011 à 10 heures entre Etienne Tshisekedi et Vital Kamerhe n’a pas eu lieu tout simplement parce que Monsieur Vital Kamerhe n’était pas au rendez-vous. Cette rencontre tant attendue par une importante partie de l’opinion congolaise était un 3e rendez-vous manqué après Bruxelles et Montréal. Vital Kamerhe aurait eu un « agenda fort chargé » en Afrique.

Du coup Monsieur Etienne Tshisekedi en a profité pour prendre une journée de détente à Washington ce jeudi: une grasse matinée, un petit déjeuner sobre, une marche de 5 km le long de Potomac River et du tourisme dans les environs de Washington.

Mais interrogé sur ce qu’il est en est d’une éventuelle autre rencontre avec Vital Kamerhe, la réponse de Monsieur Etienne Tshisekedi est directe et sans équivoque « je recevrai absolument Monsieur Vital Kamerhe à sa meilleure convenance, cette fois en RD Congo étant donné que la semaine prochaine j’entamerai la tournée de sensibilisation de mon parti l’UDPS à l’Est de la RDC. L’idéal serait après cette tournée pour évaluer la santé de mon parti, l’UDPS dans cette partie de la RDC ». Et d’ajouter « j’ai reçu beaucoup de pressions de tout monde : mon entourage familial, mes amis, les diplomates, plusieurs acteurs politiques congolais et personnalités politiques étrangères. Pour cette raison je dois le rencontrer pour ne pas donner l’impression de l’éviter alors que j’ai entamé des contacts avec tous les candidats à la Présidence de la RD Congo en vue d’un compromis pour un candidat commun de l’opposition ». A ce propos, toute la famille politique de Monsieur Tshisekedi s’abstient de tout commentaire sur l’absence de Monsieur Kamerhe à Washington où il a pourtant dépêché certains membres de son parti, l’UNC.

Pour Etienne Tshisekedi, la discussion entre lui et les autres candidats présidentiables doit tourner autour du Programme commun du Gouvernement qu’il est entrain de soumettre à tous les candidats à la Présidence en vue de gouverner ensemble après le scrutin du 28 novembre 2011. Ce programme commun est une version revue et corrigée de celui de la Conférence Nationale Souveraine (CNS) et spécialement adapté aux priorités du moment en RDC. Une sorte de « Plan Marshall » pour reconstruire la RD Congo.

De toute évidence, Etienne Tshisekedi ne se retirera pas parce qu’il a été désigné et formellement investi par le « groupe de Fatima » alors que le « groupe de Sultani » s’en est sorti avec un « programme dit commun » qui ne fait pas l’unanimité entre ses membres. Bien plus, ce « groupe de Sultani » ne compte pas moins de quatre candidats à la Présidence de la République. Quoi de plus normal pour Monsieur Etienne Tshisekedi que d’adopter une posture de véritable candidat rassembleur.

Actuellement, la question fondamentale à J-52 est celle de savoir si certains candidats sont prêts à se retirer de la course en faveur de « Tshitshi » et, par conséquent, adhérer à l’esprit de Fatima. Vital Kamerhe est-il prêt à se désister moyennant un accord politique ? Rien n’est moins sûr dans la mesure où cette décision grave l’obligerait à battre immédiatement campagne en faveur de « TSHITSHI ». Ce qui ne serait pas l’avis de sa base. Le dilemme est total.
En principe, pour chacun de candidat à la présidence de la République, le fait de se maintenir jusqu’aux élections est toujours un pari risqué. Chacun doit évaluer au préalable ses chances de gagner les présidentielles. L’échec serait suicidaire et pourquoi pas une mort politique ?

A 52 jours du scrutin, presque tous les candidats affichent leur optimisme débordant et aucun candidat n’est prêt à décrocher. Entretemps, les sondages se multiplient et dans leur quasi-totalité trois candidats émergent du lot (Tshisekedi, Kabila et Kamerhe). Selon certaines sources diplomatiques à Washington, l’électorat de l’EST serait fort disputé entre 3 candidats précités.

Pour Monsieur Tshisekedi, le partage des responsabilités est totalement exclu avant le scrutin car le poids politique au lendemain du 28 novembre 2011 serait l’unique paramètre objectif pour ce partage. Le premier ministre sera désigné par le parti politique ou le regroupement politique majoritaire à l’assemblée nationale. Un gouvernement d’union nationale ? C’est possible mais avec ceux qui se seront retirés avant la campagne électorale.

Tharcisse Loseke Nembalemba
Washington, DC

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http://www.groupelavenir.cd/spip.php?article42604

mardi 11 octobre 2011

Ce jeudi 13 octobre 2011 : L’UDPS organise un grand rassemblement populaire

Dans un courrier adressé au gouverneur de la ville province de Kinshasa, l’Union pour la démocratie et le progrès social (Udps), à travers son secrétaire général, Me Shabani Lukoo informe l’opinion de la volonté de son parti d’organiser le jeudi 13 octobre 2011, à partir de 10 heures, sur la place de l’Hôtel de poste de Kinshasa, sur le Boulevard du 30 juin, un grand rassemblement populaire pour d’une part, insister et exiger la transparence, la démocratie et l’équité du processus électoral de 2011 et, d’autre part, dénoncer et condamner l’intolérance politique, l’insécurité et les violations intempestives des droits et libertés de l’homme, entretenues par le pouvoir, durant ledit processus.

Avec un accusé de réception de l’Hôtel de ville, nous osons croire que le courrier est tombé dans les mains du n°1 de la ville. Ceci, au risque d’assister à des échauffourées de la semaine dernière entre les militants de l’UDPS et les éléments de la police nationale congolaise, au motif que la marche n’a pas été autorisée. Et pourtant, la Constitution de la République oblige aux organisateurs de la marche d’informer le gouverneur de la ville qui prend acte. Selon la même Constitution, il ne revient pas au gouverneur d’autoriser.

Sinon, c’est une violation pure et simple de la Constitution. Après que la lettre soit parvenue à l’Hôtel de ville, il revient au gouverneur d’organiser une séance d’harmonisation avec les organisateurs de la manifestation, pour définir l’itinéraire et préparer les agents de l’ordre pour assurer la sécurité. Et même si les manifestants étaient sortis de chez eux pour marcher, disons que la police ne doit que les encadrer jusqu’à l’endroit de leur mot final. La Rd Congo est un Etat de droit et la protection des libertés fera la grandeur et l’honneur de la nation. Ainsi, les échanges entre la police et les militants auxquels on est habitué n’améliorent pas du tout l’image de marque de notre pays. Des efforts devront être fournis pour que demain, que les différentes marches soient canalisées jusqu’à leur destination, sans causer trop de dégâts.

JMNK

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SUR LA CERTIFICATION : La gaffe Ngoy Mulunda expose Kabila au Conseil de sécurité

Jeudi, 13 Octobre 2011 12:33



La grosse gaffe, Ngoy Mulunda l'a commise retour d'une tournée en Europe le 9 octobre. L'homme venait d'atterrir, dans la soirée, à l'aéroport quand il est questionné par des journalistes au salon VIP. Il se montre très à l'aise, puis pique une mouche tout d'un coup à la question du très professionnel Jeanric Umande de la radio RTG@ quant à savoir la position de la CENI sur la requête de la MONUSCO de se faire octroyer le pouvoir de certification des résultats des prochaines élections. Le flegmatique pasteur perd self-control comme pour donner raison à ceux qui se plaignent de son tempérament impulsif légendaire. Et ce qui sort de sa bouche, c'est presque du feu. «Pas question», répète-t-il de manière frénétique comme un forcené avant de lâcher la bombe «Ici, nous ne sommes pas en Côte d'Ivoire». Mulunda qui se lâche ainsi à N'Djili n'a pas, selon toute vraisemblance, conscience de la portée de ses propos. C'est le lendemain qu'il se repentira aux heures de midi lorsque les premiers JT actualisés de la journée sont diffusés. La veille, il avait parlé. Cette fois-ci, il s'entend parler, il reçoit ses propres déclarations au visage, des déclarations qui ont tout pour lui mettre à dos la communauté internationale.

Il n'y aura qu'une première diffusion avant que Mulunda demande expressément à services de négocier un black-out sur ce reportage.

Chez TVS1, cinq appels viendront, au total, de la CENI.

La France fâchée

Du service, de communication que dirige Brigitte Mopane, du cabinet du rapporteur Matthieu Mpita et de bien d'autres sources. Des précautions tardives là où le mal était déjà fait. Désormais, il se profile à l'horizon une confrontation quasi inévitable entre le régime de' Kinshasa peu disposé à la transparence dans le processus électoral et qui l'a fait savoir via Ngoy Mulunda et le Conseil de sécurité des Nations-Unies demandeur de la certification par le biais de sa mission en RD-Congo. C'est lui le Conseil de sécurité qui a décidé au lendemain de la dernière Assemblée générale des Nations-Unies. Il avait pourtant décliné de le faire alors que les opposants le lui avaient demandé il a quelques mois. Qu'il revienne sur sa décision signifie qu'il redoute la manipulation. Une crise de confiance s'est donc installée. Pourtant, au départ, les mêmes avaient donné leur satisfecit à Ngoy Mulunda. A l'époque, l'UDPS était presque seule à revendiquer l'audit du fichier électoral. Aujourd'hui, l'ambassadeur de France à Kinshasa a trouvé, lors d'une conférence de presse, cette revendication légitime et a demandé à la CENI d'y accéder. Déjà que les autres diplomates jugeaient déjà injustifiée la position de Ngoy Mulunda selon il ne pouvait pas ouvrir le fichier électoral à l'UDPS tant que la majorité n'en trouvait pas l'opportunité. Juste un peu de bon sens pour comprendre la réponse à la requête de l'UDPS ne peut être subordonnée aux caprices de l'autre partie. Il est question pour Ngoy Mulunda d'assurer la transparence des élections et si une partie demande à vérifier, il ne peut que s'y soumettre. Agir autrement laisse penser que la CENI a quelque chose à cacher. En tout état de cause, maintenant que le monde s'en est mêlé, Ngoy Mulunda n'a plus beaucoup de choix. S'il s'entête, il est à craindre que la RD-Congo s'achemine vers un dénouement à l'ivoirienne avec un candidat proclamé élu mais méconnu par la communauté internationale. Dans lequel cas de figure, il n'y aura que le rapport de force pour déterminer l'issue. Là-dessus, le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé a donné une position claire qui laisse entendre un choix de l'Occident pour un candidat comme cela a été le cas en faveur d'Alassane Dramane Ouattara. Paris n'avait pas de raison de porter Joseph Kabila, tous les investissements français entrepris durant les cinq dernières années n'ayant pas abouti. Il y a eu Lafarge pour une prise de participation majoritaire, dans la CINAT -Cimenterie nationale. Une affaire de commission à reverser à un ou des officiels a tout remis en question. L'opérateur Télécom français Orange n'a pas non plus été la bienvenue à Kinshasa alors qu'elle voulait reprendre la compagnie chinoise CCT. France Télécom avait proposé 500 millions d'euros pour installer et gérer le switch de l'ex-OCPT. La partie congolaise lui a préféré des Indiens pour 80 millions de dollars. D'ailleurs, Simon Bulupiy, alors vice-Premier chargé des Postes, Téléphones et Télécommunications, a cédé le marché, par la suite, à un autre client qui se le dispute depuis avec le premier. Nicolas Sarkozy avait lui-même intercédé pour Areva lors de sa visite à Kinshasa en 2009. Rien n'a tété conclu.

Matthieu KEPA


Source : CongoNews