Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition

[Ilunga]

On brode bcp dans cet article...On brode et on brode encore...Katebe Katoto serait devenu le "faiseur" de rois au Congo...Ah ! les journaux coupagistes...






POUSSE PAR DES MILIEUX OCCIDENTAUX Katebe Katoto finance l'élection de Tshisekedi

Mardi, 04 Octobre 2011 15:04


Les choses s'éclaircissent maintenant au sujet de l'engagement à fond d'Etienne Tshisekedi dans le marathon électoral ; lui qui vilipendait l'organisation des élections générales de 2006 affirmant qu'elles étaient un simulacre d'élections dont le vainqueur était connu d'avance.
En se lançant pour la présidentielle de 2011, le leader de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) le fait assurer de son élection à la magistrature suprême, étant soutenu par les milieux conservateurs occidentaux, eux aussi convaincu du fait que seul Etienne Tshisekedi a le profil requis parmi les leaders congolais le plus en vue. A en croire des informations recoupées et croisées, le leader de l'UDPS est flirté, outre par les milieux conservateurs occidentaux (notamment les Belges, Allemands, Anglais, Français et Néerlandais), mais aussi par des puissants groupes financiers canadiens, sud-africains et … des institutions chinoises. Mais, l'appui le plus sérieux et actif lui est apporté par le richissime katangais d'origine belge Katebe Katoto, le frère aîné de Moïse Katumbi Chapwe, gouverneur du Katanga. Celui-ci ne jure que par l'élection d'Etienne Tshisekedi; il est même le missi dominici du leader de l'UDPS à l'occident. Il utilise en plein régime son carnet d'adresses et ses puissantes relations d'affaires pour arriver à ses fins au profit de son «poulain». L'on se rappelle qu'en 2006 déjà, les deux personnalités politiques étaient très rapprochées ; leur collaboration politique avait suscité bien des inquiétudes au gouvernement 1+4. A cette époque, ils avaient formé un gouvernement de transition en vue de combler la vacance créée par la fin de la première tranche de la période de transition instaurée par le Dialogue intercongolais de Sun City. Dans la formation gouvernementale qu'ils avaient formée, Tshisekedi était désigné président de la République et Katebe Katoto, premier ministre mais c'était sans compter sur JP Bemba, Azarias Ruberwa et d'autres détenteurs du pouvoir qui avaient tôt fait d'étouffer leurs velléités. Il y a eu par la suite une sorte de chasse aux sorcières par la traque de tout partisan de cette équipée ; des journalistes avaient même fait les frais de cette intolérance politique (NDLR: notamment l'éditeur de Les Finances, à l'époque reporter au journal Forum des As, et l'éditeur du journal Alerte-Plus étaient assignés à comparution par l'avocat de la République à la demande du gouvernement 1+4, pour avoir publié des articles de presse à ce sujet). Le refus de Tshisekedi de s'aligner au processus électoral de 2006 avait marqué la fin du flirt entre les deux personnalités. En 2011, les deux politiciens ont décidemment senti que l'occasion est bonne pour prendre démocratiquement le pouvoir. Et la stabilité du climat politique renforcé par l'appui des Nations Unies est un gage de sécurité et de transparence du scrutin (le clergé catholique lui aussi vient d'ajouter une énième garantie pour la transparence avec le déploiement, au moment opportun, des 30.000 observateurs dans les 62.000 bureaux de vote). Rassuré par la garantie de transparence et d'élections crédibles, le Katangais Katebe Katoto entre avec assurance dans l'arène politique ; il le fait après avoir évalué mûrement la situation. Il n'est pas stupide pour prendre des décisions irréfléchies.

KATEBE KATOTO TRACTE TSHISEKEDI

Les pas effectués par Katebe Katoto dans cette arène sont aussi éclairés comme un lampadaire au milieu de la nuit. Le premier acte est relatif à la tournée de Tshisekedi au Katanga le mois de juillet dernier. Les leaders locaux qui attendaient rendre gorge au président de l'UDPS lors de son arrivée se sont étonnamment assagis, aucune action de contrer l'événement, aucun discours hostile : Tshisekedi est entré et sorti de Katanga et de Lubumbashi, la ville la plus tribale du pays, comme Daniel dans la fosse aux lions. Deuxième acte signé Katebe Katoto l'accueil à Lubumbashi le leader de l'UDPS a reçu un bain de foules comme nul autre avant lui. Et ce n'était pas factice puisque la mobilisation s'était faite par téléphone arabe, de bouche à l'oreille. Et de la manière où cette mobilisation s'était opérée, il faut être aveugle pour ne pas voir qu'elle a été l'oeuvre d'une personne ou des personnes respectées et écoutées de la ville. Depuis cet accueil, l'on comprend l'éloignement de la scène politique de certains leaders politiques katangais qui semblent vouloir ne plus ouvertement s'afficher, craignant l'éventualité du changement du pouvoir après le 28 novembre prochain. Leur logique est simple : ne faisant aucun bruit, on est oublié ; et mieux cela vaudra.

Troisième acte de Katebe Katoto, les fréquents voyages de Tshisekedi en Europe. D'aucun mal inspiré s'imagine que c'est pour villégiaturer. Qu'on se détrompe : Tshisekedi y renforce ses appuis extérieurs. Et c'est dans ce contexte et dans les perspectives de partage des responsabilités dans le futur gouvernement, une fois leur candidat élu, que Vital Kamerhe, JP Bemba, Léon Kengo wa Dondo et les autres acceptent finalement de cautionner Etienne Tshisekedi comme le candidat commun et unique de l'opposition. Là encore, les sources soutiennent que ce changement subit de position de ces leaders politiques réfractaires au début est le résultat des efforts croisés de Katebe Katoto et des milieux occidentaux ; les mêmes efforts qui ont aussi poussé Etienne Tshisekedi à développer depuis le début du processus électoral un discours rassembleur et fédérateur, un discours qui tranche avec sa personnalité jadis acariâtre et vindicative. Tout cela a un coût, payé rubis su l'ongle par le richissime katangais. Cependant, le soutien des milieux affairistes occidentaux affiché en faveur d'Etienne Tshisekedi porté par les milieux belges, est une entorse aux tractations politiques fort engagées avec les Anglo-saxons qui eux lui préféraient Léon Kengo wa Dondo. Cet ancien procureur générai de la République et actuel président du Sénat est perçu comme élément régulateur des situations structurelles de la RDC.

HA



Source : Les Finances

[Erka]

Canada, Montréal: Etienne Tshisekedi à l 'Eglise catholique des congolais

http://congomikili.com/canada-montreal- ... olais.html

Prof Kiringa lunettes, veste claire, chemise blanche sans cravate à gauche de Tatu Tshikas un brillantissime informaticien! Ravi de revoir quelques visages de Montréal : Lutonga, Tutu Lievain, Tutu Bukasa, J. Musenga, Abbé Zoloshi, Tutu Tshibasu Mukunze, Tutu Tshibuyi, Joseph Luamba, etc. Ah Montréal!!! Souvenirs, souvenirs…salutations de la part de votre ex-trésorier!!

[Ilunga]

Etienne Tshisekedi 2011

http://www.youtube.com/watch?v=WfzEQu2Gdgg

[Ilunga]

VIVEMENT LES ÉLECTIONS.

Ces grands électeurs que sont nos partenaires

MISE EN LIGNE LE 3 OCTOBRE 2011 | LE SOFT INTERNATIONAL N° 1128 DATÉ 3 OCTOBRE 2011.

Si le Député est élu au suffrage direct - par le peuple souverain -, dans nos pays, le Président de la République n’a jamais été élu par le seul peuple... souverain! A ce niveau d’enjeu, il faut se rendre à l’évidence, il existe un grand électeur: l’étranger qui a son mot à dire et le revendique sans s’en cacher la face...

Mille dollars en jeu! Pourquoi les candidats à la Présidence de la République parcourent le monde - Afrique, Europe, Amériques - au lieu d’arpenter l’arrière-pays à la recherche de voix de leurs concitoyens à ce stade d’une pré campagne légalement tolérée? Pourquoi les Députés qui iront solliciter le 28 novembre, à la même date que les candidats à la Présidentielle, les suffrages des Citoyens ne lèvent pas le pied de leurs électeurs avec la bénédiction du bureau de l’Assemblée nationale qui en l’espèce les a compris - une fois n’est pas coutume - au lieu d’user le fond de leurs pantalons sur les strapontins du Palais du peuple déserté le jour même de l’ouverture de l’actuelle session, le 15 septembre?

Réponse: si l’élection d’un Député n’a au fond aucun enjeu - il s’agit de 500 Députés -, celle d’un Président de la République comporte des enjeux qui peuvent être - nous n’exagérons rien! - planétaires!

En clair, qu’un candidat Député soit élu ou battu peut ne rien dire à personne. Il en va en revanche autrement lorsqu’il s’agit d’un candidat Président de la République. Ici, il faut faire un distinguo: il y a candidat Président et candidat Président.

Que Kashala ou Kakesse soit battu c’est comme Tartempion ou... Cela importe peu! Il n’y a rien de tel quand il s’agit de l’un ou l’autre gros format, de l’opposition ou de la majorité! C’est vers ces formats qu’accourt la CÉNI qui veut régler tout avant les scrutins: obtenir de chacun d’eux qu’il signe le code de bonne conduite en souffrance...

En clair, que chacun s’engage à respecter le verdict des urnes. Qu’est-ce que cela cache-t-il?

DANS NOS PAYS, L’ÉTRANGER A TOUJOURS SON MOT A DIRE...
Derrière chacun de ces gros gabarits se cachent des intérêts... financiers parfois énormes! On a beau être une République bananière, la R-dC ne peut pas se rendre aux élections sans que cela n’intéresse le monde, sans que cela n’intéresse la Haute Finance Internationale.

Du coup, nul ne peut avoir le toupet de se présenter s’il n’a le go head de ces grands argentiers. Ceux-ci peuvent être des voisins comme des pays lointains. Mais pour être efficace, aucun appui ne saurait exister s’il ne transite par un voisin, nouvelle géopolitique oblige! Souvent, ce sont des mentors voisins qui se chargent de prendre des rendez-vous et guident dans ce dédale... Hors ce schéma, point de salut!

On comprend pourquoi trois de nos gros formats se trouvent paradoxalement présentement à l’étranger. Par ordre alphabétique: Kamerhe, Kengo, Tshisekedi.

Qu’une rencontre inattendue entre ces deux derniers ait eu lieu en fin de semaine dernière à Bruxelles est un signal envoyé. «Nous les Belges, nous, la Communauté internationale, voulons favoriser cette rencontre...».

Une telle rencontre - entre le chef de l’opposition r-dcongolaise et le deuxième personnage de l’État r-dcongolais qui, dans le passé se sont farouchement opposés et affrontés - ne pouvait se tenir loin des chancelleries! Pour qui surtout connaît le mode opératoire d’un Kengo! Elles seules ont pu rendre cela possible! Tout comme l’annonce faite par Kamerhe - en tournée aux États-Unis - de rencontrer en terre étatsunienne Étienne Tshisekedi. A ce niveau de responsabilités, une telle rencontre ne peut être un fait du hasard...

Morale de l’histoire? Si le Député est élu au suffrage direct - par le peuple souverain -, dans nos pays, le Président de la République n’a jamais été élu par le seul peuple... souverain! A ce niveau d’enjeu, il faut se rendre à l’évidence, il existe un grand électeur: l’étranger qui a son mot à dire et le revendique sans s’en cacher la face...

D’où les va-et-vient de nos hommes politiques! Ils veulent expliquer, ils doivent convaincre. Ils doivent écouter ces grands électeurs que sont les pays étrangers qui parfois, souvent, interviennent directement, financièrement, politiquement, en amont comme en aval!

Quand Tshisekedi annonce hic et nunc qu’il a clos les débats - sur le candidat commun -, il est le premier à demander à rencontrer - à Bruxelles - Léon Kengo wa Dondo. Tout comme il est le premier à demander à rencontrer Vital Kamerhe! Croire que l’initiative vient du Sphinx de Limete serait tout faux. Tout comme les va-et-vient de La Haye. Tshisekedi vient d'y séjourner par deux fois, tout comme Kengo, tout comme... Kamerhe! Quand Tshisekedi déclare qu’il ne signera jamais le code de bonne conduite des candidats, on sait - depuis peu - qu’il a changé d’avis. Croire que ce changement vient de lui serait tout faux...

Reste à trouver ce candidat commun pour affronter Kabila. Face à Kabila, jamais l’opposition n’en trouvera un! Sauf si les grands électeurs viennent à lui imposer ce schéma et à lui en imposer un. Dans ce cas, l’étranger aura jeté son dévolu et pèsera de tout son poids pour... C’est à cela que rêvent les opposants pour qui le ticket gagnant est déjà en poche!

C’est oublier qu’à ce stade rien n’est jamais définitivement joué. La Majorité détient encore son Code. A elle de jouer!

TRYPHON KIN-KIEY MULUMBA.


Source : Le Soft

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Rencontre TSHISEKEDI - KENGO : Vers une candidature commune?

http://www.youtube.com/watch?v=VABzeq-78kk

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L'UNITE DE L'OPPOSITION ACQUISE La DTP salue le rapprochement entre Tshisekedi, Kamerhe, Bemba et Kengo

MERCREDI, 05 OCTOBRE 2011 11:46




La démarche de la Dynamique Tshisekedi président, DTP, vient de payer. La DTP ne tenait qu'à l'unité de l'opposition depuis sa création. Elle a été la première plate-forme électorale créée pour soutenir la candidature de l'historique opposant président de l'UDPS, Etienne Tshisekedi wa Mulumba à la magistrature suprême du lundi 28 novembre prochain. Les tenants de la DTP n'avaient rien exigé en contrepartie pour leur soutien au président de l'UDPS. Au départ, personne n'avait pris au sérieux la démarche de la DTP. Au jour d'aujourd'hui, l'ensemble de la classe politique r-dcongolaise -de l'opposition tout comme de la majorité- épouse la dynamique des fondateurs de la DTP. En réalité, l'idée de la DTP consistait donc à rapprocher ses pairs de l'opposition autour du candidat unique -seul moyen- avec lequel l'opposition pourrait en toute facilité battre Kabila et sa majorité.

Voilà qu'aujourd'hui, l'ensemble de cette opposition s'accorde autour de la candidature commune à la magistrature suprême. Selon le rapporteur général de la DTP, Fortuna Kandanda Muele - secrétaire général de l'ANALCO- les leaders de la DTP ont salué les avancées dans les discussions qui concourent à la désignation finale du candidat commun de l'opposition. «L'opposition n'a jamais été divisé. Il n'y a jamais eu des ailes au sein de l'opposition. Nous avons toujours travaillé ensemble. L'aile de Fatima ou celle de Sultani n'ont été que l'expression de la démocratie», explique le rapporteur général de la DTP. La preuve Tshisekedi s'est embrassé avec le président du Sénat Léon Kengo wa Dondo à Bruxelles ; il parle de temps en temps avec le président Kamerhe au téléphone. D'ailleurs, rapporte Kandanda, Tshisekedi et Kamerhe vont se rencontrer au Canada, selon une interview du Journal le Soir. A la création de la DTP les leaders de cette plate-forme (Franck Diongo, Martin Fayulu, Fortuna Kandanda, Auguste Mampuya, Tacher Lusamba et Steve Mbikayi) envisageaient de faire de Tshisekedi le candidat unique de l'opposition. Pour y parvenir, ils avaient entrepris des contacts auprès des chefs de différents partis de l'opposition, pour les assurer sur le bien fondé de la candidature unique de Tshisekedi. Et cela a fini par donner un bon résultat. Aujourd'hui, c'est chose faite, affirme Kandanda Muele, puisque toute l'opposition réunie a fini par amender le texte de la DTP pour passer de la candidature unique, à la candidature commune. «Donc l'opposition est et reste unique et unie», a souligné le rapporteur général de la DTP. Avant de renseigner que sur les dix candidats présidents de la République restant en lice, certains sont prêts à e retirer au profit de Tshisekedi. «Il n'y a jamais eu une barrière entre Tshisekedi, Kengo, Kamerhe et Kashala. Nous avons toujours travaillé ensemble», insistait le professeur Kandanda lors d'un entretien avec l'équipe de CONGONEWS dans son cabinet au siège national de son parti l'ANALCO, 2ième niveau galerie présidentielle. Par ailleurs, Fortuna Kandanda Muele a fait remarquer que pour ces élections législatives, la DTP va présenter sa cartographie électorale qui avoisine 1.000 candidats à travers la République. A ceux-ci, dit-il : «il faut y ajouter les candidats des partis alliés de l'opposition notamment, l'UDPS, l'UNC, le MLC, le SET, l'UFC, ... nous allons d'office donner une majorité écrasante à notre président de la République à la chambre basse». Entre temps, le rapporteur général annonce que la DTP procédera dans quelques jours à la formation de ses témoins qui seront déployés dans les 62.000 bureaux de vote de la CENI.

La DTP continue à réclamer l'audit du fichier électoral, tout en maintenant la pression sur la CENI.

John TSHINGOMBE


Source : CongoNews

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UDPS, la ligue des jeunes de Lukunga se remobilise à Fatima

MERCREDI, 05 OCTOBRE 2011 11:46




En pleine fièvre préélectorale, les partis ainsi que les différents regroupements politiques se rangent en ordre de la bataille. La ligue des jeunes de l'UDPS, fédération lukunga, se réchauffe.
Son président Clément Baruti a conscientisé les membres, militants et cadres du parti cher à Etienne Tshisekedi, le samedi 1 octobre dernier dans la salle le Chapiteau de la Cathédrale Notre Dame de Fatima à la Gombe. Un seul point était à l'ordre du jour notamment l'élection d'Etienne Tshisekedi à la prochaine présidentielle. Quelques grosses pointures du parti d'Etienne Tshisekedi ont affiché présents à la manif. Le directeur de cabinet adjoint d'Etienne Tshisekedi, Eboma Mambu Jean Robert, lui-même candidat député à la circonscription de Lukunga, le président national de la ligue des jeunes, Freddy Pindi. Dans son discours, le président fédéral de la ligue des jeunes UDPS lukunga, Clément Baruti, a insisté sur l'importance de l'élection d'Etienne Tshisekedi à la magistrature suprême. « Plébiscité comme candidat unique de la vraie opposition, Etienne Tshisekedi est le choix de Dieu. C'est lui le messie et sauveur qui va libérer la Rd-Congo de l'emprise du régime en place. Saisissons cette opportunité que Dieu nous offre. Si non, nous serons jugés par l'histoire à cause du mauvais choix opéré devant les générations futures », conscientise Clément Baruti.

La victoire d'Etienne Tshisekedi conduira au bien-être des jeunes. Le président Tshisekedi, dit-il, compte sur les potentialités et l'énergie de la jeunesse. Et de poursuivre que le changement qui pointe à l'horizon proviendra des jeunes de l'UDPS.

« Ne soyons pas distraits et ne prêtons pas oreille à des politiciens fabriqués », dit-il. Pour Clément Baruti, «Kabila et compagnies ont un carton rouge bien avant les élections».

Le président national de la ligue des jeunes, Freddy Pindi, a remercié ses collègues du parti pour cette initiative. « Soyons forts, unis et courageux car la victoire est proche. Kabila et compagnies vont plier bagage dans les jours à venir», lançait le meneur de la ligue des jeunes de l'UDPS. Le choix de la salle polyvalente de Notre Dame de Fatima n'est fortuit. C'est en ces lieux que les opposants aile Fatima avaient porté leur choix sur la candidature unique de Tshisekedi. La ligue des jeunes de l'UDPS a le moral au zénith pour une nouvelle marche le 6 octobre jeudi prochain. Les jeunes de l'Udps promettent d'assiéger la CENI dans la stratégie de pression en vue des élections transparentes.

Yves BUYA


Source : CongoNews

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Diomi Ndongala prêche Tshisekedi à Ngiri-Ngiri

MERCREDI, 05 OCTOBRE 2011 11:46




Le meeting du leader du parti politique Démocratie Chrétienne, DC, Eugène Diomi Ndongala, a fait vibrer ses militants de Ngiri Ngiri le samedi 30 septembre dernier. Une communion parfaite avec sa base précisément au terrain Bondo. Question d'oublier l'ajournement du même événement le dimanche 17 septembre suite à l'empêchement de Diomi engagé, ce jour là, aux côtés de ses paires de l'opposition pour peaufiner des stratégies électorales.

Dans son speech, Diomi donne un seul mot d'ordre sur la participation massive des électeurs en faveur du candidat commun de l'opposition, Etienne Tshisekedi. « Le Sphinx de Limété, est le choix du peuple et de Dieu, pour sortir les rd-congolais du gouffre économique et social qui sévit au pays.

Il est le joker qui va battre Kabila à la présidentielle de novembre prochain », explique le meneur de la DC. A Diomi de poursuivre : « soyons unis et forts pour réaliser ce rêve. Ne cédons pas aux grimasses de M. Kabila, et consorts »

A en croire le chef du parti des opprimés, « Kabila a d'emblée perdu les élections avec son discours bilan que l'opposition juge extrêmement négatif ». Diomi revient en force sur ce qu'il qualifie de supercherie de Kabila lorsqu'il attribue un salaire imaginaire aux magistrats. « Les mille six dollars américains évoqués par le chef de l'Etat proviennent d'où ? S'interroge le patron de la Démocratie Chrétienne. Pour qui l'heure est venue pour que le peuple rd-congolais tire le meilleur jugement pour sa destinée. « Vous ne méritez pas de vivre dans une misère infernale. Une fois l'UDPS et les partis alliés aux affaires, nous ferons mieux », argumente-t-il. Dans les mois à venir, le pays va traverser une période cruciale avec les élections.

Les élections, estime-t-il, sont la seule façon de bouter dehors Kabila et son écurie. « Notre choix doit être porté sur Tshisekedi comme Président de la République et sur Diomi Ndongala en qualité de candidat député national dans la circonscription de la Funa», précise-t-il.

Diomi croit à la victoire de l'opposition le 20 décembre prochain. « Entre vous et moi, c'est le mariage dorénavant. Tous vos problèmes seront les miens. C'est pour toute la vie, aussi longtemps que je serais en vie », promet Diomi Ndongala à sa base.

Yves Buya


Source : CongoNews

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CANDIDATURE COMMUNE DE L'OPPOSITION A LA PRESIDENTIELLE E.Tshisekedi, Mbusa et V.Kamerhe à Washington

MERCREDI, 05 OCTOBRE 2011 13:50




Contrairement à l'annonce parue dans notre dernière livraison, Etienne Tshisekedi, président national de l'UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) n'a pu atteindre Washington qu'hier mardi 04 octobre. 2011 en début de soirée, en provenance de Montréal, au Canada. Il est prévu q'il se rende aussi, pour deux jours, à Raleigh, en Caroline du Nord, pour y rencontrer la communauté congolaise et des officiels américains, pour des échanges liés à son plan de campagne électorale et à son projet de société pour le Congo de 2011 à 2016. L'étape de la capitale fédérale américaine a subitement pris un relief tout particulier, en raison de la double présence, presque certaine, d'Antipas Mbusa Nyamwisi président national du RCD/K-ML (Rassemblement Congolais pour la Démocratie /Kisangani-Mouvement de Libération), fraîchement parti du bateau de la Majorité Présidentielle (MP), et de Vital Kamerhe, président de l'UNC (Union pour a Nation Congolaise), membre démissionnaire du PPRD (Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie) et de l'Assemblée Nationale il y a bientôt une année.

Tous deux se sont affichés comme opposants aussit6t après avoir formalisé leur rupture avec, la famille politique du Chef de l'Etat, Joseph Kabila. Ils sont également présents sur la ligne de départ, pour la course à la magistrature suprême du pays. La multitude des candidatures de l'Opposition à la présidentielle fait un peu désordre, d'autant que l'option la plus partagée est celle de candidature commune ou unique.

Après avoir donné l'impression d'évoluer en ordre dispersé, cette plateforme politique semble se ressaisir et privilégier la voie de l'unité. Le premier signal fort, dans ce sens, est parti, il y a deux semaines, du centre pénitencier de La Haye, où Jean-Pierre Bemba, président national du MLC (Mouvement de Libération du Congo) a assuré Etienne Tshisekedi, qui était passé lui rendre une visite de courtoisie et de réconfort, du soutien de son parti et de ses militants à sa candidature.

Le second déclic est venu de Bruxelles, où Léon Kengo wa Dondo, candidat déclaré à l'élection présidentielle du 28 novembre 2011, s'est présenté à la résidence de Tshisekedi en milieu de semaine dernière, pour explorer, avec ce dernier, les voies et moyens susceptibles de conduire à un consensus autour d'une candidature unique, que les observateurs pensent être celle du Sphinx de Limete.

Washington pourrait constituer le grand tournant dans le cheminement de l'opposition vers le soutien total à Etienne Tshisekedi, dans ce qui serait son face à face, le lundi 28 novembre 2011, avec Joseph Kabila, candidat unique de la Majorité Présidentielle. D'ores et déjà, Antipas Mbusa Nyamwisi a 'mis de l'eau à la bouche de plusieurs analystes politiques en faisant état de la nécessité d'un schéma d'union derrière Etienne Tshisekedi. On apprend que dans son fief électoral de Beni et Butembo, au Nord-Kivu, il fait passer, de bouche à oreille, le mot d'ordre du vote en faveur du président national de l'UDPS. Ceux qui connaissent la discipline des Nande, l'ethnie, majoritaire dans le « Grand Nord », assurant que ceux-ci obéiraient à Mbusa Nyamwisi comme un seul homme et se présenteraient aux urnes dans cet état d'esprit.

L'UDPS de nouveau dans la rue ce jeudi à Kinshasa

Après la marche avortée du jeudi 29 septembre, étouffée par la police et les « Pomba » du PPRD à Limete même, 'UDPS (Union pour la Démocratie. et le Progrès Social) revient à la charge et annonce une nouvelle manifestation contre les irrégularités du fichier électoral ce jeudi 06 octobre 2011. A cet effet, son Secrétaire Général, Jacquemain Shabani, a adressé une lettre d'information au Gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta. Datée du 02 octobre 2011, elle a été réceptionnée au Secrétariat de l'Hôtel de Ville hier mardi 04 octobre, On peut lire notamment ce qui suit : « L'UDPS organise le jeudi 06/10/2011 à partir de 9h00 une marche pacifique pour dénoncer l'obstruction de la CENI à l'effectivité de l'audit du fichier électoral, au détriment des principes de transparence, démocratie et de justice, seuls gages d'un processus, apaisé. Cette grande marche populaire aura comme point de départ la 10me Rue Liméte et point de chute le siège de la CENI sur le Boulevard du 30 Juin à la Gombe. La marche suivra l'itinéraire ci-après : Boulevard Lumumba, 7me Rue, Avenues Université et Huileries. Recevez, Monsieur le Gouverneur, nos civilités. Sé/Me Shabani Lukoo ».

A l'instar de celle du jeudi 29 septembre, il ne s'agit donc pas d'une manifestation pirate puisque l'autorité urbaine en est pleinement informée. On rappelle que pour la marche d'il y a une semaine, l'unique objection faite par Kimbuta concernait le point de chute, qu'il a délocalisé vers le terrain de football de l'Hôpital Général de Référence de Kinshasa. L'on cherche à savoir dès lors de quoi s'étaient mêlés la police et les « Pomba » du PPRD, qui avaient tout mis en moule à partir de Limete.

Kimp


Source : Le Phare

[Ilunga]

Après Kengo wa Dondo, Vital Kamerhe et Mbusa Nyamwisi courent derrière E.Tshisekedi Antipas Mbusa Nyamwisi propose un schéma d'union derrière Tshisekedi

MERCREDI, 05 OCTOBRE 2011 14:16



Dans moins de deux mois environ, le peuple congolais va reprendre, comme en 2006, le chemin des urnes soit pour reconduire Joseph Kabila au pouvoir, soit pour élire un nouveau chef de l'Etat, en l'occurrence Etienne Tshisekedi wa Mulumba, candidat unique de l'opposition.
Pour ce faire, des stratégies se font et se défont dans les deux camps en compétition. Même si le futur vainqueur sera celui qui se sera livré à une parfaite campagne électorale.

L'opposition politique, cible Fatima, n'avait pas tergiversé pour désigner E. Tshisekedi, comme candidat unique et commun à la présidentielle.

L'autre groupe évoluant à l'hôtel Sultani n'a pas pu se ranger sur un candidat consensuel conséquence, tout le monde s'est fit candidat là bas.

Aujourd'hui, fort heureusement les yeux de ces candidats s'étant dessillés, ils ont compris que le Joker a pour nom, Etienne Tshisekedi et que par conséquent, il faut prendre langue avec lui.

Lundi dernier, c'est Kengo wa Dondo qui a rencontré E. Tshisekedi dans la capitale belge. Dans les prochaines heures alors qu'il va atterrir à Washington en route vers Montréal au Canada, le leader de l'opposition Congolaise va rencontrer le président de l'Union pour la Nation Congolaise (UNL) Vital kamerhe ainsi que le président du RCDK/ML Mbusa Nyamwisi sur place au pays de l'Oncle Sam.

En attendant ces rencontres au sommet et selon Radio Franco internationale captée hier à Kinshasa, Mbusa Nyamwisi, ancien chef rebelle puis ministre de Kabila a proposé un schéma d'union derrière Tshisekedi.

Selon le commentaire de RFI, Mbusa Nyamwisi est l'homme fort de la Région de Beni il était ministre dans l'équipe Kabila jusqu'il y a trois semaines il a jeté l'éponge et s'est porté candidat pour l'opposition Jean de Dieu Paluku Kisaka, maire de Beni est un de ses fidèles partisans.

Le changement est nécessaire, a-t-il déclaré, il y a certaines choses qui doivent changer, la bonne gouvernance, la transparence, l'état de droit … Cette majorité n'a plus les mêmes chances qu'elle avait en 2006, a conclu le maire de Beni.

En 2006 poursuit RFI, Mbusa Nyamwisi s'était désisté pour Joseph Kabila lequel avait récolté plus de 90% des voix, ici, la communauté ethnique Nande a une réputation de discipline.

Elle voterait comme un seul homme. Mais, si Mbusa Nyamwisi en visage maintenant un désistement pour Etienne Tshisekedi, ce ne sera pas gagné d'avance reconnaît Jean de Dieu Paluku Kisaka “ s'il se désistait, ce serait trop difficile à expliquer, parce qu'il l'a fait en 2006, et la population sait maintenant là où ça l'a menée... devra suivre une explication bien motivée...

Dans l'Est comme ailleurs, le développement, l'emploi, la santé, les infrastructures sont; les enjeux de la campagne, ici, il faut placer en premier la sécurité.

Si la paix est officielle sur le papier, la région reste infestée d'hommes en armes.

G.OSCAR


Source : La Tempête des tropiques