yougaga a écrit :je ne comprends rien du site de mazembe joel kimuaki est né en 1990 mais chez mazembe c'est 1986 et sunzu stopila j'ai vu 1987 mais chez mazembe c'est 1977, deo kanda 1992 ou 1993 chez mazembe 1989
Sur le site de la FIFA, sunzu est né en 1989, Déo kanda en 1989, Papala 1983, Kimuaki en 1986, kidiaba en 1976. De ce fait, Déo est contraint à garder son âge ainsi que Kimuaki ! Impossible de les revoir à la baisse !
Sur le TPNaze.com, Il doit y avoir eu une erreur de frappe parce que le père n'avait pas encore d'enfant quand il avait commencé au TP Mazembe (1983-1984), semble - t -il.
Deo Kanda, bon les kinois eux mêmes qui le connaissent affirmaient en 2008 qu'il avait entre 16 et 17 ans...
Papala, d'après mes sources, est soit de la serie 70 vers la fin, soit de 1980 (ce qui confirme les affirmations de Face Of).
Pour ceux qui ne l'ont pas remarqué, je suis gaucher.
"La forteresse des tyrans, c'est l'inertie des peuples"...
wantanshi a écrit :Est pris qui croyait prendre ! En fait on a voulu nous démontrer avec ce classement que MAZEMBe était un petit club mais au contraire on l'a propulsé en premier league anglaise... kié kié kié...
wantanshi a écrit :Est pris qui croyait prendre ! En fait on a voulu nous démontrer avec ce classement que MAZEMBe était un petit club mais au contraire on l'a propulsé en premier league anglaise... kié kié kié...
Mayloshi-forever a écrit :
Sur le TPNaze.com, Il doit y avoir eu une erreur de frappe parce que le père n'avait pas encore d'enfant quand il avait commencé au TP Mazembe (1983-1984), semble - t -il.
Deo Kanda, bon les kinois eux mêmes qui le connaissent affirmaient en 2008 qu'il avait entre 16 et 17 ans...
Papala, d'après mes sources, est soit de la serie 70 vers la fin, soit de 1980 (ce qui confirme les affirmations de Face Of).
Franchement ! Il y a beaucoup d'erreurs sur ce site ! Que dire des fautes d'orthographe dans tous les articles !
Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. [Albert Einstein]
Luc Mangala qui a 36 ans m'a dit que Papala est son ami d'enfance, ils jouait au foot ensemble sur un terrain vers RIGINI mais il ne connait pas l'age exacte de papala mais estime que ça doit tourner entre 33 et 34 ans.
« Quiconque en août s'endormira, en janvier s'en repentira ».
Un seul être vous manque… Et alors ?
(FIFA.com) Jeudi 9 décembre 2010
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La Côte d’Ivoire a Didier Drogba et le Cameroun, Samuel Eto’o. La RD Congo a elle aussi son génie : Trésor Mabi Mputu. A la seule différence que lui résiste encore aux sirènes de l’Europe pour continuer à briller sur le Continent Mère. Si le TP Mazembe Englebert est remonté sur le toit de l’Afrique en 2009, il le doit en grande partie à son attaquant.
Mais chaque génie possède une part de mystère. Celle de Mputu s’est malheureusement révélée sombre lorsque, lors d’un match face aux Rwandais de l’APR FC, il sort de ses gonds et agresse l’arbitre qui lui refuse un but. Suspendu 12 mois par la FIFA en août 2010, il n’est évidemment pas du voyage aux Emirats Arabes Unis pour la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA 2010. "C’est une erreur de jeunesse qu’il est en train de payer très cher, et nous aussi", regrette son entraîneur, le Sénégalais Lamine N’Diaye, à quelques jours de l’entrée en lice du TP face à Pachuca. "Bien sûr qu’on aimerait pouvoir compter sur un joueur de classe mondiale dans son équipe. Mais quand on ne l’a pas, il faut trouver d’autres solutions. J’ai la chance d’en avoir une : ma star, c’est mon équipe."
Car au lieu de démoraliser les Corbeaux, la mésaventure d capitaine semble avoir décuplé leurs forces. Alors qu’il semblait dans une passe difficile, après une lourde défaite (0:3) devant l’Espérance de Tunis en Ligue des champions de la CAF, la suspension de Mputu et le départ de l’entraîneur Diego Garzitto, le Tout Puissant est devenu une machine à gagner, enchaînant les succès jusqu’à coiffer la couronne d’Afrique pour la quatrième fois.
Paradoxalement, sans leur attaquant vedette, les Congolais semblent plus libérés. "Après ce coup dur, il fallait que chacun fasse des efforts à son niveau et apporte sa pierre à l’édifice pour réagir", confirme l’ancien sélectionneur du Sénégal, arrivé à Lubumbashi en septembre. "Que chacun donne le meilleur de lui-même, et le donne toujours. Ils ont bien compris ça et depuis mon arrivée, à chaque match, ils m’ont surpris."
Quelque chose de bien
L’entraîneur des rois d’Afrique espère bien que l’effet de surprise se prolongera durant le rendez-vous des champions à Abou Dabi. "Je ne cesse de dire qu’ici, encore plus qu’ailleurs en raison du nombre de grands joueurs dans le tournoi, notre star c’est notre collectif", martèle-t-il. "Chacun se bat pour l’autre. Et comme ce sont des joueurs de talent, à l’arrivée ça peut donner quelque chose de bien..."
Mieux que l’an dernier en tout cas, espèrent les supporters du TP qui seront encore en nombre dans les tribunes. Si N’Diaye n’était pas du premier voyage aux Emirats en 2009, 17 de ses joueurs dont le nouveau capitaine Kazembe Mihayo y ont beaucoup appris. "Nous savons que n’avons pas réussi notre tournoi et nous voulons absolument mieux faire. C’est l’objectif minimum", annonce le milieu de terrain, avant d’ajouter que son équipe est impatiente d’en découdre. "Tout joueur doit être prêt dès qu’il entre sur un terrain. Nous connaissons déjà un peu notre adversaire et nous allons encore l’étudier pour savoir sur quoi il faut insister, comment jouer et le contrer. Ce qui est sûr, c’est que nous ne priverons pas pour attaquer."
Et même privée de son joyau, l’attaue a prouvé qu’elle n’était pas démunie. Kaluyituka Dioko et Given Singuluma ont d’ailleurs terminé respectivement premier ex-æquo et deuxième ex-æquo du classement des buteurs de la Ligue des champions.
Qui a dit que lorsqu’un seul être vous manque, tout est dépeuplé ?
Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. [Albert Einstein]
Pachuca parie sur son attaque
(FIFA.com) Jeudi 9 décembre 2010
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C’est avec l’espoir d’améliorer un bilan un peu gris en Coupe du Monde des Clubs de la FIFA que Pachuca se mobilise depuis son sacre en Ligue des champions de la CONCACAF, au mois d’avril dernier. Malgré la douloureuse défaite en quart de finale du tournoi d'Ouverture mexicain, l’équipe aborde l’épreuve en toute confiance, grâce aux statistiques engrangées en attaque au cours des derniers mois.
Particulièrement gâté dans ce secteur tout au long de la saison, l’entraîneur Pablo Marini pourra même compter sur Franco Arizala, auteur de quatre buts lors du double affrontement contre Monterrey. Le voilà donc confronté à un affreux dilemme avant le match contre TP Mazembe de vendredi. D’après les derniers entraînements, c’est Arizala qui tient la corde pour débuter la rencontre aux côtés de Darío Cvitanich et Édgar Benítez, alors que l'Américain Hérculez Gómez devrait démarrer sur le banc.
"Nous avons de très bons attaquants dans le groupe. En plus de Cvitanich et Arizala, il y a Benítez, qui a disputé la Coupe du Monde avec le Paraguay, et puis Gómez, qui a déjà porté le maillot des États-Unis. Sur ces quatre là, trois seront dans le onze", explique Marini lors d’un entretien exclusif avec FIFA.com. "Ce sont de très bons joueurs et nous savons que dans tous les cas, nous ferons le bon choix."
Offensifs et attentifs
Lors du dernier tournoi d’Ouverture, l’Argentin Cvitanich, qui quittera le club au terme de la compétition, a inscrit huit buts. Le Paraguayen Benítez s’est arrêté à six, tandis que le Colombien Arizala a fait trembler les filets à cinq reprises. Tous trois ont joué un rôle décisif dans le parcours de Pachuca, même si le club a attendu les dernières journées pour assurer sa qualification pour la Liguilla.
Si le compartiment offensif de la formation mexicaine impressionne tous les observateurs, l’entraîneur est conscient que son attaque ne lui permettra pas de tout gagner. "Ce n’est pas parce que nous pratiquons un jeu offensif que nous gagnons à chaque fois. Nous avons besoin d’être très attentifs en défense et au milieu, pour que le ballon parvienne aux attaquants dans les meilleures conditions"souligne le stratège. "La possession joue aussi un rôle fondamental. Nous avons beaucoup travaillé dans ce secteur et j’espère que nous pourrons faire la différence."
L’entrejeu recèle justement deux éléments qui abordent l’épreuve de clubs la plus prestigieuse du calendrier avec beaucoup plus de responsabilités. En plus de veiller à la bonne circulation du cuir, Alejandro Manso, qui avait disputé la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA en 2008 avec La Liga de Quito, et Braulio Luna seront, avec le gardien Miguel Calero, les deux relais de Marini sur le terrain. "Je suis ravi de pouvoir compter sur des joueurs comme eux, qui ont énormément d’expérience et qui vont aider les plus jeunes à réaliser un bon tournoi", signale l’entraîneur.
Parole à la défense
Si l’attaque a le vent en poupe, la défense de Pachuca ne jouit pas du même prestige. Les quatre buts encaissés contre Monterrey, ainsi que les 28 concédés en 17 matches de championnat, traduisent toute la friabilité des protégés de Marini, un défaut qu’il devra corriger avant d’affronter le champion d’Afrique.
"Nous avons commis quelques erreurs qui nous ont coûté cher, mais nous avons travaillé pour effacer ces problèmes", explique Paul Aguilar à FIFA.com. "Comme le dit l’entraîneur, nous devons travailler pour assurer la possession. Il faut absolument mettre les joueurs de Mazembe sous pression. Ils sont puissants et nous allons devoir nous en méfier."
C’est peu de le dire pour une équipe qui cumule les expériences négatives dans cette compétition (sixième en 2007 et quatrième en 2008), mais qui déborde d’envie de changer l’histoire. "C’est un tournoi qui suscite beaucoup d’intérêt au Mexique. Dès qu’une équipe ou une sélection dispute une épreuve internationale, les attentes sont énormes. Nous voulons réaliser une performance historique, à la fois pour notre club et pour notre pays", conclut le défenseur Leobardo Lopez.
Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. [Albert Einstein]
Un seul être vous manque… Et alors ?
Jeudi 9 décembre 2010
La Côte d’Ivoire a Didier Drogba et le Cameroun, Samuel Eto’o. La RD Congo a elle aussi son génie : Trésor Mabi Mputu. A la seule différence que lui résiste encore aux sirènes de l’Europe pour continuer à briller sur le Continent Mère. Si le TP Mazembe Englebert est remonté sur le toit de l’Afrique en 2009, il le doit en grande partie à son attaquant.
Mais chaque génie possède une part de mystère. Celle de Mputu s’est malheureusement révélée sombre lorsque, lors d’un match face aux Rwandais de l’APR FC, il sort de ses gonds et agresse l’arbitre qui lui refuse un but. Suspendu 12 mois par la FIFA en août 2010, il n’est évidemment pas du voyage aux Emirats Arabes Unis pour la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA 2010. "C’est une erreur de jeunesse qu’il est en train de payer très cher, et nous aussi", regrette son entraîneur, le Sénégalais Lamine N’Diaye, à quelques jours de l’entrée en lice du TP face à Pachuca. "Bien sûr qu’on aimerait pouvoir compter sur un joueur de classe mondiale dans son équipe. Mais quand on ne l’a pas, il faut trouver d’autres solutions. J’ai la chance d’en avoir une : ma star, c’est mon équipe."
Car au lieu de démoraliser les Corbeaux, la mésaventure d capitaine semble avoir décuplé leurs forces. Alors qu’il semblait dans une passe difficile, après une lourde défaite (0:3) devant l’Espérance de Tunis en Ligue des champions de la CAF, la suspension de Mputu et le départ de l’entraîneur Diego Garzitto, le Tout Puissant est devenu une machine à gagner, enchaînant les succès jusqu’à coiffer la couronne d’Afrique pour la quatrième fois.
Paradoxalement, sans leur attaquant vedette, les Congolais semblent plus libérés. "Après ce coup dur, il fallait que chacun fasse des efforts à son niveau et apporte sa pierre à l’édifice pour réagir", confirme l’ancien sélectionneur du Sénégal, arrivé à Lubumbashi en septembre. "Que chacun donne le meilleur de lui-même, et le donne toujours. Ils ont bien compris ça et depuis mon arrivée, à chaque match, ils m’ont surpris."
Quelque chose de bien
L’entraîneur des rois d’Afrique espère bien que l’effet de surprise se prolongera durant le rendez-vous des champions à Abou Dabi. "Je ne cesse de dire qu’ici, encore plus qu’ailleurs en raison du nombre de grands joueurs dans le tournoi, notre star c’est notre collectif", martèle-t-il. "Chacun se bat pour l’autre. Et comme ce sont des joueurs de talent, à l’arrivée ça peut donner quelque chose de bien..."
Mieux que l’an dernier en tout cas, espèrent les supporters du TP qui seront encore en nombre dans les tribunes. Si N’Diaye n’était pas du premier voyage aux Emirats en 2009, 17 de ses joueurs dont le nouveau capitaine Kazembe Mihayo y ont beaucoup appris. "Nous savons que n’avons pas réussi notre tournoi et nous voulons absolument mieux faire. C’est l’objectif minimum", annonce le milieu de terrain, avant d’ajouter que son équipe est impatiente d’en découdre. "Tout joueur doit être prêt dès qu’il entre sur un terrain. Nous connaissons déjà un peu notre adversaire et nous allons encore l’étudier pour savoir sur quoi il faut insister, comment jouer et le contrer. Ce qui est sûr, c’est que nous ne priverons pas pour attaquer."
Et même privée de son joyau, l’attaue a prouvé qu’elle n’était pas démunie. Kaluyituka Dioko et Given Singuluma ont d’ailleurs terminé respectivement premier ex-æquo et deuxième ex-æquo du classement des buteurs de la Ligue des champions.
Qui a dit que lorsqu’un seul être vous manque, tout est dépeuplé ?
