Football-Tunisie-RD Congo: Avant EST-TP Mazembe
Actualités - Sport
Les appréhensions de Bennett - " J'anticipe la recherche d'un penalty d'un côté et une perte de temps de l'autre ...", a affirmé Daniel Bennett. Qui ne connaît pas Daniel Bennett, l'un des meilleurs arbitres de la Ligue sud-africaine de football. International depuis la saison 2000-2001, l'homme en noir dispose de certaines qualités de détachement de soi qui lui permettent de supporter la pression imputable aux coulisses des grandes joutes continentales où il a été appelé à officier.
Choisi pour arbitrer la manche retour de la finale de la Ligue des champions entre l'Espérance Sportive de Tunis et le Tout-Puissant Mazembe, Daniel Bennett, selon plusieurs analystes, constitue l'un des meilleurs choix dans ce cas d'espèce précis.
Antérieurement, et selon le Sunday Times relayé par le site vanguard (on line édition), il aurait reçu des menaces de mort après le match qu'il a dirigé au Nigeria ayant opposé l'équipe de Heartland à la JS Kabylie (après un score de parité, 1-1 en match comptant pour la Ligue des champions).
L'arbitre sud-africain aurait été attaqué par sept supporters déchaînés du club nigérian lorsqu'il était au vestiaire : "On m'avait dit d'appeler les membres de ma famille pour leur dire que je ne vais plus les voir. J'ai gardé mon calme parce qu'au Nigeria, il ne faut pas prendre ces choses à la légère ", ambiance !
Qualité d'anticipation et de gestion...
Interrogé à propos de la rencontre de Radès, devant opposer les "Sang et Or " aux " Corbeaux ", Bennett semble prêt à gérer la situation : " Je pense que les Espérantistes vont très probablement chercher à obtenir un penalty dès les premières minutes.
Quant aux Congolais, ils chercheraient à perdre beaucoup de temps. Je connais bien les deux équipes et je compte beaucoup sur mes assistants et sur le 4e arbitre pour m'aider à bien finir le match. "
Si la diffamation et le procès d'intention sont des concepts qui ont traversé les âges et les modes de communication et qui ne cessent de prospérer, l'arbitrage se trouve au coeur du débat sur une véritable présomption de responsabilité , dont il pourra toutefois se libérer, tout en restant débiteur du respect de certaines obligations.
K.k.
* Africa News
Avant match EST - TPM 13/11/2010
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Re: Avant match EST - TPM 13/11/2010
Mazembe veut réécrire son histoire
(FIFA.com) Mardi 9 novembre 2010
A l'approche de la finale retour de la Ligue des champions de la CAF, rien ne semble plus pouvoir empêcher le TP Mazembe de conserver son titre continental, un exploit qu'il avait déjà réalisé il y a 42 ans de cela.
Le géant congolais avait signé deux victoires consécutives en Coupe d'Afrique des Clubs Champions en 1967 et 1968. Un quatrième sacre dans la plus prestigieuse des compétitions ne ferait que confirmer le retour au premier plan de l'un des plus grands noms du football africain. Seuls Ah Ahly et le Zamalek compteraient alors davantage de titres, respectivement 6 et 5, que les Corbeaux.
Mazembe aborde son prochain déplacement à Rades, dans la banlieue de Tunis, avec une confortable avance de cinq buts. Toutefois, les Congolais n'ignorent pas que l'Espérance entend bien profiter de la moindre faute d'inattention de leur part pour tenter d'insinuer le doute dans les esprits. "Nos adversaires sont très forts et nous ne commettrons pas l'erreur de les sous-estimer. Il va falloir préparer ce match très sérieusement. La qualité est là dans le camp adverse mais nous sommes déterminés", prévient Lamine N'Diaye, l'entraîneur sénégalais de Mazembe. De fait, le club de Lubumbashi a toujours pu s'appuyer sur un état d'esprit irréprochable pour bâtir ses succès.
Un second souffle
Longtemps victime de l'instabilité politique qui a régné au pays, le TP Mazembe a su renaître de ses cendres. Contre toute attente, le club a réussi à bouleverser l'ordre établi pour renouer avec les hautes sphères du football africain. Dans un pays ravagé par la guerre civile, le succès des Corbeaux a redonné le sourire à tout un peuple.
Mazembe s'est taillé la réputation d'une équipe audacieuse et particulièrement habile en contre. Cependant, les joueurs de N'Diaye ont récemment prouvé qu'ils savaient aussi défendre avec abnégation. Eliminée en demi-finale après avoir concédé un match nul et vierge sur son terrain, la JS Kabylie peut en témoigner. Les récents résultats donnent en outre raison au technicien sénégalais, ébranlé par sa triste expérience à la tête des Lions de la Teranga en 2008.
Recruté deux mois plus tôt pour succéder au Français Diego Garzitto, le nouvel homme fort du club a parfaitement rempli la mission qui lui avait été confiée. Sous son impulsion, l'équipe s'est stabilisée au plus haut niveau, après avoir traversé une période d'incertitude. Chahutés pendant la phase de poules, les Corbeaux n'ont jamais réussi à retrouver la qualité de jeu, malgré une indéniable solidité défensive.
A sa décharge, Mazembe a dû composer avec l'absence de deux joueurs majeurs, Trésor Mputu et Guy Lusadisu, suspendus en début d'année suite à leur implication dans une échauffourée survenue dans une compétition régionale. En contrepartie, le club a pu compter sur le soutien de son indéfectible président Moise Katumbi. Sous sa direction, Mazembe a retrouvé son lustre d'antan. La réussite de N'Diaye vient donc s'ajouter à une longue liste de paris gagnés par l'homme d'affaire et politicien. L'ancien attaquant sénégalais, auteur d'un passage remarqué à Coton Sport, au Cameroun, devra cependant faire appel à toutes ses qualités d'entraîneur pour préparer au mieux le déplacement en Tunisie. Selon toute vraisemblance, le secteur offensif ne devrait pas lui causer trop de soucis.
Faire taire les détracteurs
Ces derniers temps, le Zambien Given Singuluma affiche une forme éblouissante. L'attaquant fut l'un des grands artisans du succès des Corbeaux sur l'Espérance, inscrivant notamment un doublé. Son compteur personnel en Ligue des champions affiche cinq unités, ce qui fait de lui le deuxième meilleur réalisateur de l'équipe derrière Alain Dioko Kaluyituka, lui aussi buteur en finale aller. Les deux autres buts sont l'œuvre du milieu de terrain Ngandu Kasongo, qui s'était déjà illustré en trouvant le chemin des filets en demi-finale contre la JSK (3:1).
Les trois hommes ont su faire oublier l'absence de Mputu. Longtemps considéré comme quantité négligeable sur la scène africaine, Mazembe continue donc à faire mentir ses détracteurs. L'année dernière, certains observateurs avaient vu dans le triomphe des Congolais un simple coup de chance. De fait, force est de reconnaître que les Corbeaux n'avaient atteint ce stade de la compétition qu'une seule fois sur les 37 dernières années. Très discrets lors des tours préliminaires, ils n'avaient pas davantage brillé en phase de poules. Opposé aux Soudanais d'Al Hilal en demi-finale, Mazembe avait soutenu un véritable siège pendant plus d'une heure, pour finalement s'imposer 5:4 sur l'ensemble des deux manches. En finale, le représentant de la RD Congo n'avait dû son sacre face au club nigérian d'Heartland qu'à un but marqué à l'extérieur contre son camp par un malheureux défenseur adverse.
L'édition 2010 a donc confirmé le retour au plus haut niveau du club de Lubumbashi, qui semble désormais en mesure de mettre un terme à la domination des équipes nord-africaines sur la scène continentale. En écrasant l'Espérance 5:0 à l'aller, le TP Mazembe a égalé son plus large succès en finale d'une compétition africaine. En 1968, les Congolais avaient battu l'Etoile Filante du Togo sur le même score. A l'époque, les Corbeaux étaient pourtant passés tout près d'une bien mauvaise surprise, puisqu'ils s'étaient inclinés 1:4 au retour. N'Diaye espère sans doute vivre un match beaucoup plus tranquille ce week-end. En attendant, il assure à qui veut l'entendre que ses joueurs sont concentrés sur l'objectif. "Ce que j'aime dans cette équipe, c'est qu'il y a une forte volonté de réussir. Ici, il n'y a pas de poseurs, juste des travailleurs."
On peut s'étonner qu'un club de la stature de Mazembe doive encore lutter pour gagner le respect de ses pairs. Quoi qu'il en soit, la longue traversée du désert d'un monument du football en Afrique semble enfin terminée. Désormais, une nouvelle génération de Corbeaux a l'occasion d'entrer dans l'histoire et, à en juger par les paroles de Singuluma, personne au club ne veut laisser passer sa chance : "Ce qui a été fait peut être refait. Mazembe sera de nouveau une référence."
(FIFA.com) Mardi 9 novembre 2010
A l'approche de la finale retour de la Ligue des champions de la CAF, rien ne semble plus pouvoir empêcher le TP Mazembe de conserver son titre continental, un exploit qu'il avait déjà réalisé il y a 42 ans de cela.
Le géant congolais avait signé deux victoires consécutives en Coupe d'Afrique des Clubs Champions en 1967 et 1968. Un quatrième sacre dans la plus prestigieuse des compétitions ne ferait que confirmer le retour au premier plan de l'un des plus grands noms du football africain. Seuls Ah Ahly et le Zamalek compteraient alors davantage de titres, respectivement 6 et 5, que les Corbeaux.
Mazembe aborde son prochain déplacement à Rades, dans la banlieue de Tunis, avec une confortable avance de cinq buts. Toutefois, les Congolais n'ignorent pas que l'Espérance entend bien profiter de la moindre faute d'inattention de leur part pour tenter d'insinuer le doute dans les esprits. "Nos adversaires sont très forts et nous ne commettrons pas l'erreur de les sous-estimer. Il va falloir préparer ce match très sérieusement. La qualité est là dans le camp adverse mais nous sommes déterminés", prévient Lamine N'Diaye, l'entraîneur sénégalais de Mazembe. De fait, le club de Lubumbashi a toujours pu s'appuyer sur un état d'esprit irréprochable pour bâtir ses succès.
Un second souffle
Longtemps victime de l'instabilité politique qui a régné au pays, le TP Mazembe a su renaître de ses cendres. Contre toute attente, le club a réussi à bouleverser l'ordre établi pour renouer avec les hautes sphères du football africain. Dans un pays ravagé par la guerre civile, le succès des Corbeaux a redonné le sourire à tout un peuple.
Mazembe s'est taillé la réputation d'une équipe audacieuse et particulièrement habile en contre. Cependant, les joueurs de N'Diaye ont récemment prouvé qu'ils savaient aussi défendre avec abnégation. Eliminée en demi-finale après avoir concédé un match nul et vierge sur son terrain, la JS Kabylie peut en témoigner. Les récents résultats donnent en outre raison au technicien sénégalais, ébranlé par sa triste expérience à la tête des Lions de la Teranga en 2008.
Recruté deux mois plus tôt pour succéder au Français Diego Garzitto, le nouvel homme fort du club a parfaitement rempli la mission qui lui avait été confiée. Sous son impulsion, l'équipe s'est stabilisée au plus haut niveau, après avoir traversé une période d'incertitude. Chahutés pendant la phase de poules, les Corbeaux n'ont jamais réussi à retrouver la qualité de jeu, malgré une indéniable solidité défensive.
A sa décharge, Mazembe a dû composer avec l'absence de deux joueurs majeurs, Trésor Mputu et Guy Lusadisu, suspendus en début d'année suite à leur implication dans une échauffourée survenue dans une compétition régionale. En contrepartie, le club a pu compter sur le soutien de son indéfectible président Moise Katumbi. Sous sa direction, Mazembe a retrouvé son lustre d'antan. La réussite de N'Diaye vient donc s'ajouter à une longue liste de paris gagnés par l'homme d'affaire et politicien. L'ancien attaquant sénégalais, auteur d'un passage remarqué à Coton Sport, au Cameroun, devra cependant faire appel à toutes ses qualités d'entraîneur pour préparer au mieux le déplacement en Tunisie. Selon toute vraisemblance, le secteur offensif ne devrait pas lui causer trop de soucis.
Faire taire les détracteurs
Ces derniers temps, le Zambien Given Singuluma affiche une forme éblouissante. L'attaquant fut l'un des grands artisans du succès des Corbeaux sur l'Espérance, inscrivant notamment un doublé. Son compteur personnel en Ligue des champions affiche cinq unités, ce qui fait de lui le deuxième meilleur réalisateur de l'équipe derrière Alain Dioko Kaluyituka, lui aussi buteur en finale aller. Les deux autres buts sont l'œuvre du milieu de terrain Ngandu Kasongo, qui s'était déjà illustré en trouvant le chemin des filets en demi-finale contre la JSK (3:1).
Les trois hommes ont su faire oublier l'absence de Mputu. Longtemps considéré comme quantité négligeable sur la scène africaine, Mazembe continue donc à faire mentir ses détracteurs. L'année dernière, certains observateurs avaient vu dans le triomphe des Congolais un simple coup de chance. De fait, force est de reconnaître que les Corbeaux n'avaient atteint ce stade de la compétition qu'une seule fois sur les 37 dernières années. Très discrets lors des tours préliminaires, ils n'avaient pas davantage brillé en phase de poules. Opposé aux Soudanais d'Al Hilal en demi-finale, Mazembe avait soutenu un véritable siège pendant plus d'une heure, pour finalement s'imposer 5:4 sur l'ensemble des deux manches. En finale, le représentant de la RD Congo n'avait dû son sacre face au club nigérian d'Heartland qu'à un but marqué à l'extérieur contre son camp par un malheureux défenseur adverse.
L'édition 2010 a donc confirmé le retour au plus haut niveau du club de Lubumbashi, qui semble désormais en mesure de mettre un terme à la domination des équipes nord-africaines sur la scène continentale. En écrasant l'Espérance 5:0 à l'aller, le TP Mazembe a égalé son plus large succès en finale d'une compétition africaine. En 1968, les Congolais avaient battu l'Etoile Filante du Togo sur le même score. A l'époque, les Corbeaux étaient pourtant passés tout près d'une bien mauvaise surprise, puisqu'ils s'étaient inclinés 1:4 au retour. N'Diaye espère sans doute vivre un match beaucoup plus tranquille ce week-end. En attendant, il assure à qui veut l'entendre que ses joueurs sont concentrés sur l'objectif. "Ce que j'aime dans cette équipe, c'est qu'il y a une forte volonté de réussir. Ici, il n'y a pas de poseurs, juste des travailleurs."
On peut s'étonner qu'un club de la stature de Mazembe doive encore lutter pour gagner le respect de ses pairs. Quoi qu'il en soit, la longue traversée du désert d'un monument du football en Afrique semble enfin terminée. Désormais, une nouvelle génération de Corbeaux a l'occasion d'entrer dans l'histoire et, à en juger par les paroles de Singuluma, personne au club ne veut laisser passer sa chance : "Ce qui a été fait peut être refait. Mazembe sera de nouveau une référence."
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Re: Avant match EST - TPM 13/11/2010
Mazembe guard against complacency
By Piers Edwards
BBC Sport
Moise Katumbi
Katumbi is the wealthy governor of Mazembe's Katanga province
TP Mazembe chairman Moise Katumbi is not taking victory for granted ahead of the second leg of the African Champions League final on Saturday.
The reigning title-holders travel to face Esperance of Tunisia holding a 5-0 lead from the first leg.
But a wary Katumbi has been drilling the importance of not being over-confident into his squad ahead of the Tunis clash.
"Anything can happen in the return leg," he warned. "It all depends on the players so we are there to prepare them."
"We don't want to lose this title and must win it back with our sweat."
The Congolese are taking the second leg so seriously, despite their large lead, that the Lubumbashi club has spent the last week preparing in Belgium prior to leaving for Tunis in the next 48 hours.
The Mazembe chairman has also credited the arrival in September of former Senegal coach Lamin Ndiaye with instilling a sense of freedom in his team.
Defending this trophy would be really good for the Democratic Republic of Congo
TP Mazembe chairman Moise Katumbi
"Lamin's influence on the team has been very good as he's made all the players feel free," the 45-year-old told BBC Sport.
"He's a good teacher who briefs the squad well and has a very good relationship with the players, which wasn't the case before.
"He has proved himself and you can see how the team has responded to him and is a different team now.
"All the players want to play, fight and win - Lamin has instilled a fighting spirit."
Ndiaye, who came in after Champions League-winning coach Diego Garzitto surprisingly absconded, is set to be offered a new contract.
Should Mazembe lift the trophy at the Rades Stadium on Saturday, they would become the first side to defend the trophy on two separate occasions.
Having been the first club to do so in 1967 and 1968, it took nearly four decades before the feat was repeated by Nigeria's Enyimba (2003 and 2004) and then Egypt's Al Ahly (2005 and 2006).
"To defend this trophy again would be really good for DR Congo, for the province of Katanga and for myself as Mazembe chairman," Katumbia added.
And while he believes success would improve relationships with European clubs, with some players set to leave Mazembe this year, it would also signify a return to the Fifa Club World Cup.
"Last year, we showed the world how Mazembe can play but we didn't prepare well as the players had been on leave until just five days before," he said.
"Should we win this weekend, we'll prepare properly this time around and try not to deceive the African continent."
Whoever wins the African Champions League on Saturday is set to meet Mexican outfit Pachuca on 12 December in Abu Dhabi.
By Piers Edwards
BBC Sport
Moise Katumbi
Katumbi is the wealthy governor of Mazembe's Katanga province
TP Mazembe chairman Moise Katumbi is not taking victory for granted ahead of the second leg of the African Champions League final on Saturday.
The reigning title-holders travel to face Esperance of Tunisia holding a 5-0 lead from the first leg.
But a wary Katumbi has been drilling the importance of not being over-confident into his squad ahead of the Tunis clash.
"Anything can happen in the return leg," he warned. "It all depends on the players so we are there to prepare them."
"We don't want to lose this title and must win it back with our sweat."
The Congolese are taking the second leg so seriously, despite their large lead, that the Lubumbashi club has spent the last week preparing in Belgium prior to leaving for Tunis in the next 48 hours.
The Mazembe chairman has also credited the arrival in September of former Senegal coach Lamin Ndiaye with instilling a sense of freedom in his team.
Defending this trophy would be really good for the Democratic Republic of Congo
TP Mazembe chairman Moise Katumbi
"Lamin's influence on the team has been very good as he's made all the players feel free," the 45-year-old told BBC Sport.
"He's a good teacher who briefs the squad well and has a very good relationship with the players, which wasn't the case before.
"He has proved himself and you can see how the team has responded to him and is a different team now.
"All the players want to play, fight and win - Lamin has instilled a fighting spirit."
Ndiaye, who came in after Champions League-winning coach Diego Garzitto surprisingly absconded, is set to be offered a new contract.
Should Mazembe lift the trophy at the Rades Stadium on Saturday, they would become the first side to defend the trophy on two separate occasions.
Having been the first club to do so in 1967 and 1968, it took nearly four decades before the feat was repeated by Nigeria's Enyimba (2003 and 2004) and then Egypt's Al Ahly (2005 and 2006).
"To defend this trophy again would be really good for DR Congo, for the province of Katanga and for myself as Mazembe chairman," Katumbia added.
And while he believes success would improve relationships with European clubs, with some players set to leave Mazembe this year, it would also signify a return to the Fifa Club World Cup.
"Last year, we showed the world how Mazembe can play but we didn't prepare well as the players had been on leave until just five days before," he said.
"Should we win this weekend, we'll prepare properly this time around and try not to deceive the African continent."
Whoever wins the African Champions League on Saturday is set to meet Mexican outfit Pachuca on 12 December in Abu Dhabi.
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Erick Ross
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Re: Avant match EST - TPM 13/11/2010
Le milieu offensif de l'Espérance de Tunis, Youssef Msakni, s’est blessé à l’entrainement. L'international tunisien souffre d’une élongation à la cuisse. Si l'on en croit Mosaïque FM, sa participation à la finale retour de la Ligue des Champions Orange, samedi face au TP Mazembe serait très compromise.
http://www.footafrica365.fr/article_468 ... kni-.shtml
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Ilunga
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Re: Avant match EST - TPM 13/11/2010
Voilà comment déstabiliser l'EST avant la finale retour : ENERAMO au TP Mazembe? ça court ça court la rumeur...
http://www.facebook.com/photo.php?pid=5 ... 7301337905
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Erka
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Re: Avant match EST - TPM 13/11/2010
Président du LUZOLA, association des Luvumbistes et des Distelistes convaincus
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Ilunga
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Re: Avant match EST - TPM 13/11/2010
Franchement, le mec maitrise sa com...Y a rien à dire : tout est visiblement et rondement mené...de A à Z...
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yougaga
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Re: Avant match EST - TPM 13/11/2010
moïse commente même la séance vidéo 
ekozala somo le samedi, dès demain je veux déjà simuler la maladie pour vivre la finale le samedi 
ekozala somo le samedi, dès demain je veux déjà simuler la maladie pour vivre la finale le samedi Gros lard de 42 ans qui est au CPAS. Continue à nettoyer les rues du pays avec ton employeur qu'est Bruxelles propreté. Immature de luxe.
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