Les mises au point de Nouzaret telles qu'écoutées par Pinto
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Pinto
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Les mises au point de Nouzaret telles qu'écoutées par Pinto
Léopards A : les mises au point de Nouzaret.
Exclusion de Mabiala, Mbokani et Mongongu.
La première mise au point que je vais vous donner, c’est que ce que je vais vous dire est la vérité. Il y a eu une exception à ce rassemblement : tous les joueurs ont été réunis en une fois, professionnels et locaux. On n’a pas eu de problèmes administratifs, matériels, financiers et humains. Tout se passait dans le meilleur du monde. A 5 minutes du dernier entraînement, tout se passait dans une ambiance saine, positive, agréable et que le seul souci qu’on a eu toute la semaine, c’est d’entraîner les joueurs, de voir comment ils se comportent et ensuite faire une équipe. On le (ndlr : comportement) voit soit en parlant aux joueurs, soit en distribuant les chasubles pour faire certaines oppositions pour un certain travail. Vous voyez tout de suite la réaction caractérielle de joueurs. Dans ce cas de figures, j’étais très surpris surtout sur 2 joueurs sur 3, en l’occurrence Mabiala et Mongongu. (Pour) Mbokani, je n’ai qu’à m’en prendre à moi-même. J’avais déjà dit, à la suite de sa première indiscipline après le match contre le Sénégal, je ne le prendrai plus. Comme je ne sais quelle est la personne qui l’a conseillé de me contacter, j’ai cru en sa démarche comme preuve de bonne volonté pour avoir compris. J’ai alors dit : « Je vais le reprendre à la première occasion, pas pour le mettre titulaire au départ mais pour le remettre dans le groupe et voir comment il allait réagir ». Déjà son comportement toute la semaine sur le plan intensité du travail à l’entraînement était à la limite par rapport à d’autres joueurs du groupe. Ce qui me confortait dans l’idée qu’il ne serait pas titulaire. Pour moi, le titulaire à ce poste, c’était Diba pour débuter ce match. Mais lorsqu’à la fin de l’entraînement, j’ai eu besoin non seulement de 11 titulaires mais aussi de 11 remplaçants pour faire une opposition à blanc, de travailler le placement sur des coups de pied arrêtés défensifs, j’ai eu l’étonnement de manquer des joueurs. Je me suis approché de la touche. C’est là que j’ai vu Mabiala couché, Mongongu se tenant le dos, Mbokani assis, chacun d’eux me disant : « Moi j’ai mal ici, moi j’ai mal là ». J’ai 67 piges (ndlr : ans). Je connais la musique. C’est simplement 3 joueurs qui se sont rendu compte qu’ils ne débuteraient pas le match, ils ont voulu faire preuve du caractère en répondant tout simplement et je dis tout simplement, les gens qui étaient à côté de moi confirmeront, : « Nous, nous sommes des professionnels et quand on vient, on doit jouer ». Je n’étais pas tout à fait d’accord avec cette citation. Pourtant, je défends envers et contre tout, la qualité des joueurs professionnels en Europe puisqu’ils sont en conflit avec certaines personnes par rapport aux locaux. Je dois défendre parce que je crois et j’estime que les professionnels et sur le terrain et en dehors du terrain doivent montrer autre chose grâce à leur expérience et la chance qu’ils ont eue de jouer dans des championnats beaucoup plus relevés, de gagner bien leur vie. Lorsqu’ils viennent en sélection, ils doivent montrer l’exemple. Dans ce cas-là, ils n’ont pas montré l’exemple. Donc ma décision a été radicale. Je leur ai dit : « Vous rentrez en France ce soir ». Je ne voulais plus de ces joueurs-là au groupe au risque de tout détériorer. Nous avons vécu une semaine tellement agréable au niveau de l’état d’esprit que je ne voulais pas que tout soit foutu en l’air, même quand on jouait contre une équipe faible telle que l’Ile Maurice. Il faut respecter l’adversaire, le travail que l’on fait et ses coéquipiers.
J’avais souhaité qu’ils quittent l’hôtel le soir même mais ils ne l’ont pas fait parce qu’on n’a pas pu matériellement les amener dans un autre hôtel. Ça s’est passé comme cela. C’est la stricte vérité. Tout ce qu’ils peuvent vous raconter, euh…surtout Mbokani, c’est un spécialiste du genre et qui connait la musique pour influencer les personnes. Il est revenu à l’hôtel après le match avec des complices pour nous menacer. Il a fallu faire venir la police pour arrêter le massacre qui aurait pu avoir de son côté ou de notre côté. Ça dénote d’un certain état d’esprit. Ça c’est de ma faute parce que jamais je n’aurais pas dû le faire revenir. J’ai cru à la bonne foi de ce joueur. Je n’ose même pas dire de cet homme parce qu’on doit faire la différence entre le joueur et l’homme.
Maintenant les deux autres, il y en a déjà un qui a fait beaucoup d’excuses. L’autre, je n’ai pas de nouvelles. Le directeur sportif a fait son travail. Il a demandé au comité exécutif et à l’occurrence au président (de la Fecofa) de prendre des sanctions vis-à-vis de ces trois joueurs qui ont montré un comportement indigne d’un international. J’espère que ces sanctions seront à la hauteur du préjudice qu’ils ont risqué causer à l’équipe.
Vous aviez écarté ces joueurs parce que nous jouions contre l’Ile Maurice. Qu’adviendrait-il si c’était contre le Cameroun ou le Sénégal.
Là vous vous mettez le droit dans l'oeil. Je ne viens pas prendre les joueurs en fonction de l’adversaire. Je ne suis pas hypocrite à ce point-là quand même. Je ne suis pas malin à ce point-là. A partir du moment où les joueurs me donnent le sentiment que je ne peux pas compter sur eux, quel que soit l’adversaire que l’on rencontre, je verrai la situation vis-à-vis des autres (ndlr : joueurs de la sélection ou coéquipiers) parce que dans ce cas de figure, ce n’est pas vis-à-vis de moi, de mes adjoints, de directeur sportif et autres, mais c’est vis-à-vis de leurs coéquipiers et du public. Après, le public pense ce qu’il veut. Je sais qu’il y a le fan club machin, le fan club truc. (Pour) Le fan club Mbokani, Nouzaret c’est un tueur, un méchant, un mauvais, un incompétent. (Je suis) bien d’accord. L’amour rend aveugle. Par contre, si je ne le fais pas et que vous apprenez la même chose, qu’est-ce que vous tous allez dire ? Vous allez tous me tomber dessus en disant : « ça c’est un entraîneur qui a peur de joueurs et qui se laisse marcher dessus ». Je n’ai même pas pensé à l’Ile Maurice lorsque j’ai pris la décision. J’ai pensé à tout ce que je vous ai dit là. Vous, ça ne vous fait rien qu’un joueur parce qu’il a la cote chez vous marche sur le maillot national ? C’est comme s’il marchait sur votre tête. Ça ne vous fait rien ça ? Vous n’auriez même pas lui permettre de parler à la télé.
Exclusion de Mabiala, Mbokani et Mongongu.
La première mise au point que je vais vous donner, c’est que ce que je vais vous dire est la vérité. Il y a eu une exception à ce rassemblement : tous les joueurs ont été réunis en une fois, professionnels et locaux. On n’a pas eu de problèmes administratifs, matériels, financiers et humains. Tout se passait dans le meilleur du monde. A 5 minutes du dernier entraînement, tout se passait dans une ambiance saine, positive, agréable et que le seul souci qu’on a eu toute la semaine, c’est d’entraîner les joueurs, de voir comment ils se comportent et ensuite faire une équipe. On le (ndlr : comportement) voit soit en parlant aux joueurs, soit en distribuant les chasubles pour faire certaines oppositions pour un certain travail. Vous voyez tout de suite la réaction caractérielle de joueurs. Dans ce cas de figures, j’étais très surpris surtout sur 2 joueurs sur 3, en l’occurrence Mabiala et Mongongu. (Pour) Mbokani, je n’ai qu’à m’en prendre à moi-même. J’avais déjà dit, à la suite de sa première indiscipline après le match contre le Sénégal, je ne le prendrai plus. Comme je ne sais quelle est la personne qui l’a conseillé de me contacter, j’ai cru en sa démarche comme preuve de bonne volonté pour avoir compris. J’ai alors dit : « Je vais le reprendre à la première occasion, pas pour le mettre titulaire au départ mais pour le remettre dans le groupe et voir comment il allait réagir ». Déjà son comportement toute la semaine sur le plan intensité du travail à l’entraînement était à la limite par rapport à d’autres joueurs du groupe. Ce qui me confortait dans l’idée qu’il ne serait pas titulaire. Pour moi, le titulaire à ce poste, c’était Diba pour débuter ce match. Mais lorsqu’à la fin de l’entraînement, j’ai eu besoin non seulement de 11 titulaires mais aussi de 11 remplaçants pour faire une opposition à blanc, de travailler le placement sur des coups de pied arrêtés défensifs, j’ai eu l’étonnement de manquer des joueurs. Je me suis approché de la touche. C’est là que j’ai vu Mabiala couché, Mongongu se tenant le dos, Mbokani assis, chacun d’eux me disant : « Moi j’ai mal ici, moi j’ai mal là ». J’ai 67 piges (ndlr : ans). Je connais la musique. C’est simplement 3 joueurs qui se sont rendu compte qu’ils ne débuteraient pas le match, ils ont voulu faire preuve du caractère en répondant tout simplement et je dis tout simplement, les gens qui étaient à côté de moi confirmeront, : « Nous, nous sommes des professionnels et quand on vient, on doit jouer ». Je n’étais pas tout à fait d’accord avec cette citation. Pourtant, je défends envers et contre tout, la qualité des joueurs professionnels en Europe puisqu’ils sont en conflit avec certaines personnes par rapport aux locaux. Je dois défendre parce que je crois et j’estime que les professionnels et sur le terrain et en dehors du terrain doivent montrer autre chose grâce à leur expérience et la chance qu’ils ont eue de jouer dans des championnats beaucoup plus relevés, de gagner bien leur vie. Lorsqu’ils viennent en sélection, ils doivent montrer l’exemple. Dans ce cas-là, ils n’ont pas montré l’exemple. Donc ma décision a été radicale. Je leur ai dit : « Vous rentrez en France ce soir ». Je ne voulais plus de ces joueurs-là au groupe au risque de tout détériorer. Nous avons vécu une semaine tellement agréable au niveau de l’état d’esprit que je ne voulais pas que tout soit foutu en l’air, même quand on jouait contre une équipe faible telle que l’Ile Maurice. Il faut respecter l’adversaire, le travail que l’on fait et ses coéquipiers.
J’avais souhaité qu’ils quittent l’hôtel le soir même mais ils ne l’ont pas fait parce qu’on n’a pas pu matériellement les amener dans un autre hôtel. Ça s’est passé comme cela. C’est la stricte vérité. Tout ce qu’ils peuvent vous raconter, euh…surtout Mbokani, c’est un spécialiste du genre et qui connait la musique pour influencer les personnes. Il est revenu à l’hôtel après le match avec des complices pour nous menacer. Il a fallu faire venir la police pour arrêter le massacre qui aurait pu avoir de son côté ou de notre côté. Ça dénote d’un certain état d’esprit. Ça c’est de ma faute parce que jamais je n’aurais pas dû le faire revenir. J’ai cru à la bonne foi de ce joueur. Je n’ose même pas dire de cet homme parce qu’on doit faire la différence entre le joueur et l’homme.
Maintenant les deux autres, il y en a déjà un qui a fait beaucoup d’excuses. L’autre, je n’ai pas de nouvelles. Le directeur sportif a fait son travail. Il a demandé au comité exécutif et à l’occurrence au président (de la Fecofa) de prendre des sanctions vis-à-vis de ces trois joueurs qui ont montré un comportement indigne d’un international. J’espère que ces sanctions seront à la hauteur du préjudice qu’ils ont risqué causer à l’équipe.
Vous aviez écarté ces joueurs parce que nous jouions contre l’Ile Maurice. Qu’adviendrait-il si c’était contre le Cameroun ou le Sénégal.
Là vous vous mettez le droit dans l'oeil. Je ne viens pas prendre les joueurs en fonction de l’adversaire. Je ne suis pas hypocrite à ce point-là quand même. Je ne suis pas malin à ce point-là. A partir du moment où les joueurs me donnent le sentiment que je ne peux pas compter sur eux, quel que soit l’adversaire que l’on rencontre, je verrai la situation vis-à-vis des autres (ndlr : joueurs de la sélection ou coéquipiers) parce que dans ce cas de figure, ce n’est pas vis-à-vis de moi, de mes adjoints, de directeur sportif et autres, mais c’est vis-à-vis de leurs coéquipiers et du public. Après, le public pense ce qu’il veut. Je sais qu’il y a le fan club machin, le fan club truc. (Pour) Le fan club Mbokani, Nouzaret c’est un tueur, un méchant, un mauvais, un incompétent. (Je suis) bien d’accord. L’amour rend aveugle. Par contre, si je ne le fais pas et que vous apprenez la même chose, qu’est-ce que vous tous allez dire ? Vous allez tous me tomber dessus en disant : « ça c’est un entraîneur qui a peur de joueurs et qui se laisse marcher dessus ». Je n’ai même pas pensé à l’Ile Maurice lorsque j’ai pris la décision. J’ai pensé à tout ce que je vous ai dit là. Vous, ça ne vous fait rien qu’un joueur parce qu’il a la cote chez vous marche sur le maillot national ? C’est comme s’il marchait sur votre tête. Ça ne vous fait rien ça ? Vous n’auriez même pas lui permettre de parler à la télé.
Modifié en dernier par Pinto le 09 avr. 2011, 10:30, modifié 1 fois.
Monsieur, vous n'êtes pas à votre place. Veuillez changer de travail, s'il vous plaît.
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Pinto
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Re: Les mises au point de Nouzaret telles qu'écoutées par Pinto
Le match
Vous avez écarté le staff local pour profiter seul de la victoire sur l’Ile Maurice. Nous, ce qui nous intéresse, c’est le Sénégal et le Cameroun.
Je ne me gargarise pas d’avoir battu l’Ile Maurice 3-0. Je me gargarise du sérieux avec lequel les joueurs se sont comportés. Notre objectif était de marquer beaucoup de buts mais rester organisé à tel point que je peux leur reprocher d’être resté trop organisé. Ce qui a empêché certains joueurs de se lâcher pour apporter un plus offensif. Malgré leur état d’esprit, ils ont fait leur métier contre une équipe qui n’a fait que défendre et qui gagnait du temps même quand elle était menée 3-0. Ce n’est pas toujours évident de jouer contre des équipes comme ça. Pour preuve, la première occasion du match sur la glissade de Mulemo, c’est eux qui l’ont. Le foot est ainsi fait, plein de surprises. Il faut respecter l’adversaire. Dans ce domaine, nous l’avons énormément respecté.
Dans le déroulement du match, il n’y a pas eu que des comportements positifs. Il y a eu un changement qui était prévu à la mi-temps que je n’ai pas pu faire parce qu’on était obligé de changer les deux latéraux, pour insolation, le cas de Mulemo, et pour blessure au genou, Tsholola. Je n’ai pas utilisé Alain (Kaluyitukadioko) parce qu’il était malade. Il ne devait même pas être sur le banc de touche. J’ai été obligé de le reprendre parce qu’il manquait trois joueurs. Un autre joueur qu’on n’a pas pu utiliser, c’est Mununga parce qu’il avait une blessure musculaire qu’il s’est fait lors des entrainements.
Les joueurs ont-ils respecté les consignes ou la stratégie ?
La stratégie, ce n’est pas celle que j’avais dit puisquej’avais envie de jouer avec deux numéros 10. Vu le comportement et les possibilités que j’ai faites à ce niveau-là, toute la semaine, m’a enlevé l’envie de jouer comme ça. Je suis resté dans la configuration qu’on utilise depuis le début sauf contre le Cameroun, (ndlr :celle de jouer avec deux milieux récupérateurs, un numéro 10 et trois attaquants), ça a pas mal marché. La seule chose que je regrette, en première mi-temps, à part Mulemo qui est allé souvent en duel, Tsholola moins souvent, les deux latéraux n’ont pas fait ce que je leur ai demandé de faire au niveau offensif. Les deux centraux ont été trop sérieux parce qu’ils avaient pour consigne à tour de rôle de sortir pour créer la supériorité numérique et des décalages. On a manqué énormément des mouvements. Est-ce dû à la chaleur, à leur trop grand sérieux par rapport à ce qu’on leur avait demandé ? Il était interdit de se faire contrer par ce genre d’équipes et que le seul souci qu’on devait avoir, c’est d’avoir des situations de but et d’avoir le ballon à 80% tout le match.
J’ai eu quand même des satisfactions de la part de Saddam (Ilongo Ngasanya) qui m’a confirmé tout le bien que l’on pense de lui, l’expérience de Mulumbu dans son rôle. Ce qui a manqué c’est de prises de risque offensif, beaucoup plus bouger et surtout
Faire peur à l’adversaire dans la surface de réparation où on n’était pas nombreux.
J’ai le sentiment d’avoir trouvé à 90% un groupe intéressant sur lequel on va bâtir.
Vous avez écarté le staff local pour profiter seul de la victoire sur l’Ile Maurice. Nous, ce qui nous intéresse, c’est le Sénégal et le Cameroun.
Je ne me gargarise pas d’avoir battu l’Ile Maurice 3-0. Je me gargarise du sérieux avec lequel les joueurs se sont comportés. Notre objectif était de marquer beaucoup de buts mais rester organisé à tel point que je peux leur reprocher d’être resté trop organisé. Ce qui a empêché certains joueurs de se lâcher pour apporter un plus offensif. Malgré leur état d’esprit, ils ont fait leur métier contre une équipe qui n’a fait que défendre et qui gagnait du temps même quand elle était menée 3-0. Ce n’est pas toujours évident de jouer contre des équipes comme ça. Pour preuve, la première occasion du match sur la glissade de Mulemo, c’est eux qui l’ont. Le foot est ainsi fait, plein de surprises. Il faut respecter l’adversaire. Dans ce domaine, nous l’avons énormément respecté.
Dans le déroulement du match, il n’y a pas eu que des comportements positifs. Il y a eu un changement qui était prévu à la mi-temps que je n’ai pas pu faire parce qu’on était obligé de changer les deux latéraux, pour insolation, le cas de Mulemo, et pour blessure au genou, Tsholola. Je n’ai pas utilisé Alain (Kaluyitukadioko) parce qu’il était malade. Il ne devait même pas être sur le banc de touche. J’ai été obligé de le reprendre parce qu’il manquait trois joueurs. Un autre joueur qu’on n’a pas pu utiliser, c’est Mununga parce qu’il avait une blessure musculaire qu’il s’est fait lors des entrainements.
Les joueurs ont-ils respecté les consignes ou la stratégie ?
La stratégie, ce n’est pas celle que j’avais dit puisquej’avais envie de jouer avec deux numéros 10. Vu le comportement et les possibilités que j’ai faites à ce niveau-là, toute la semaine, m’a enlevé l’envie de jouer comme ça. Je suis resté dans la configuration qu’on utilise depuis le début sauf contre le Cameroun, (ndlr :celle de jouer avec deux milieux récupérateurs, un numéro 10 et trois attaquants), ça a pas mal marché. La seule chose que je regrette, en première mi-temps, à part Mulemo qui est allé souvent en duel, Tsholola moins souvent, les deux latéraux n’ont pas fait ce que je leur ai demandé de faire au niveau offensif. Les deux centraux ont été trop sérieux parce qu’ils avaient pour consigne à tour de rôle de sortir pour créer la supériorité numérique et des décalages. On a manqué énormément des mouvements. Est-ce dû à la chaleur, à leur trop grand sérieux par rapport à ce qu’on leur avait demandé ? Il était interdit de se faire contrer par ce genre d’équipes et que le seul souci qu’on devait avoir, c’est d’avoir des situations de but et d’avoir le ballon à 80% tout le match.
J’ai eu quand même des satisfactions de la part de Saddam (Ilongo Ngasanya) qui m’a confirmé tout le bien que l’on pense de lui, l’expérience de Mulumbu dans son rôle. Ce qui a manqué c’est de prises de risque offensif, beaucoup plus bouger et surtout
Faire peur à l’adversaire dans la surface de réparation où on n’était pas nombreux.
J’ai le sentiment d’avoir trouvé à 90% un groupe intéressant sur lequel on va bâtir.
Monsieur, vous n'êtes pas à votre place. Veuillez changer de travail, s'il vous plaît.
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Re: Les mises au point de Nouzaret telles qu'écoutées par Pinto
Les prochaines échéances
Nouzaret croit-il encore à la qualification ?
Bien sûr que je crois encore à la qualification. Bien sûr que je sais que les matchs du Sénégal et du Cameroun seront autrement compliqués. Les Camerounais nous poseront beaucoup plus de problèmes sur le stade des Martyrs avec une pelouse synthétique super bonne, un terrain grand qui empêche de colmater tous les espaces. On va avoir des problèmes plus qu’on en a eu à Garoua. Mais, avant de penser au Sénégal et au Cameroun, on pense au match à l’Ile Maurice parce que c’est un match qu’on doit gagner. L’adversaire qui nous inquiète pas dans l’opposition mais dans la préparation, c’est l’Ile Maurice. Chaque chose à son temps. Si on gagne à l’Ile Maurice, on pensera au Sénégal.
Comment s’y prendre. C’est dans deux mois.
Nous avons un problème clair :il n’y aura plus de date FIFA jusqu’au match. Nous ne pouvons plus faire des matches amicaux. Nous ne pouvons que continuer à observer les joueurs locaux ou européens, d’abord pour avoir la confirmation de ceux qui ont déjà participé aux premiers matches et pour remplacer les trois joueurs que j’ai fait partir.
Quel est l’objectif ?
On a des objectifs : gagner les 3 prochains matchs, quelle que soit la valeur de l’adversaire. En football, tout est possible. Si on ne gagne pas au Sénégal par exemple, il ce n’est pas de ne pas perdre. Si on ne perd pas, c’est d’avoir la possibilité de faire partie de trois meilleurs deuxièmes. Toutes les possibilités sont à suivre à partir du moment où il reste 9 points à gagner.
Il y aura une présélection
Je vous avertis encore une fois qu’il y aura une liste de présélectionnés qui va être envoyée peut-être plus tôt que d’habitude. IL va avoir une liste de 22 qui va être envoyée plus tôt que d’habitude pour régler tous les problèmes administratifs. On va continuer à suivre. Moi j’allais souhaiter un moment donné faire quelque chose de spécial avec des locaux en Europe contre des adversaires plus expérimentés, comme Otis avait fait en Autriche. Si c’est pour s’occuper de locaux au stade de Martyrs, ça ne va rien nous apporter. Autant qu’ils travaillent dans leurs clubs (respectifs). Ils peuvent jouer des compétitions qu’ils ont entre les championnats et la coupe d’Afrique de champions et autre. Ca suffit à maintenir leur état de forme. Après, ils ont peut-être besoin d’une expérience supplémentaire acquise au niveau de joueurs étrangers. C’est pour cela qu’il faut aller en Europe. Mais il faut avoir des moyens de voyager, la possibilité de trouver des clubs, des nations qui puissent nous affronter dans des périodes où il n’y a pas de date FIFA. Ce n’est pas évident.
Sincèrement, au fond de moi-même, je pense qu’on a trouvé un groupe intéressant dans l’état d’esprit, la complémentarité et l’efficacité. Il faut que je fasse tout pour continuer avec ces joueurs, leur faire confiance, leur donner la possibilité de jouer ensemble et d’atteindre un niveau d’automatisme beaucoup plus performant.
La détection au niveau local à la Linafoot maintenant que tu ne voudrais plus collaborer avec Santos
Ça c’est un travail que je vais me partager avec Otis. Mais pour gérer les prochains matchs, je connais, à l’heure actuelle, à 99% tous les meilleurs joueurs locaux. Je vous l’ai dit un jour : « Je ne suis pas un détecteur de talents mais utilisateur de talents ». Le détecteur de talents ici c’est le DTN. Il n’est pas essentiellement à partir de l’équipe A mais à partir de U17. L’équipe olympique va jouer. Je vais aller voir le match. C’est l’organisation technique en dessous de l’équipe A qui doit faire tout ce travail de débroussaillage pour sortir l’élite qui doit être utilisée dans 2 ou 3 ans. Notre travail en Europe, ce n’est pas découvrir les meilleurs joueurs parce que là aussi on les connait, c’est de les convaincre de revenir. Même si j’ai envie d’aller voir deux joueurs dont j’ai besoin de voir leur situation en club que j’ai vus essentiellement dans la situation en équipe nationale et qui n’arrivent pas à me convaincre alors qu’ils sont des titulaires et jouent à haut niveau. J’aimerais les voir dans leur situation de clubs pour trouver ce qui me manque et faire un déclic dans ma tête pour savoir comment l’utiliser.
Nouzaret croit-il encore à la qualification ?
Bien sûr que je crois encore à la qualification. Bien sûr que je sais que les matchs du Sénégal et du Cameroun seront autrement compliqués. Les Camerounais nous poseront beaucoup plus de problèmes sur le stade des Martyrs avec une pelouse synthétique super bonne, un terrain grand qui empêche de colmater tous les espaces. On va avoir des problèmes plus qu’on en a eu à Garoua. Mais, avant de penser au Sénégal et au Cameroun, on pense au match à l’Ile Maurice parce que c’est un match qu’on doit gagner. L’adversaire qui nous inquiète pas dans l’opposition mais dans la préparation, c’est l’Ile Maurice. Chaque chose à son temps. Si on gagne à l’Ile Maurice, on pensera au Sénégal.
Comment s’y prendre. C’est dans deux mois.
Nous avons un problème clair :il n’y aura plus de date FIFA jusqu’au match. Nous ne pouvons plus faire des matches amicaux. Nous ne pouvons que continuer à observer les joueurs locaux ou européens, d’abord pour avoir la confirmation de ceux qui ont déjà participé aux premiers matches et pour remplacer les trois joueurs que j’ai fait partir.
Quel est l’objectif ?
On a des objectifs : gagner les 3 prochains matchs, quelle que soit la valeur de l’adversaire. En football, tout est possible. Si on ne gagne pas au Sénégal par exemple, il ce n’est pas de ne pas perdre. Si on ne perd pas, c’est d’avoir la possibilité de faire partie de trois meilleurs deuxièmes. Toutes les possibilités sont à suivre à partir du moment où il reste 9 points à gagner.
Il y aura une présélection
Je vous avertis encore une fois qu’il y aura une liste de présélectionnés qui va être envoyée peut-être plus tôt que d’habitude. IL va avoir une liste de 22 qui va être envoyée plus tôt que d’habitude pour régler tous les problèmes administratifs. On va continuer à suivre. Moi j’allais souhaiter un moment donné faire quelque chose de spécial avec des locaux en Europe contre des adversaires plus expérimentés, comme Otis avait fait en Autriche. Si c’est pour s’occuper de locaux au stade de Martyrs, ça ne va rien nous apporter. Autant qu’ils travaillent dans leurs clubs (respectifs). Ils peuvent jouer des compétitions qu’ils ont entre les championnats et la coupe d’Afrique de champions et autre. Ca suffit à maintenir leur état de forme. Après, ils ont peut-être besoin d’une expérience supplémentaire acquise au niveau de joueurs étrangers. C’est pour cela qu’il faut aller en Europe. Mais il faut avoir des moyens de voyager, la possibilité de trouver des clubs, des nations qui puissent nous affronter dans des périodes où il n’y a pas de date FIFA. Ce n’est pas évident.
Sincèrement, au fond de moi-même, je pense qu’on a trouvé un groupe intéressant dans l’état d’esprit, la complémentarité et l’efficacité. Il faut que je fasse tout pour continuer avec ces joueurs, leur faire confiance, leur donner la possibilité de jouer ensemble et d’atteindre un niveau d’automatisme beaucoup plus performant.
La détection au niveau local à la Linafoot maintenant que tu ne voudrais plus collaborer avec Santos
Ça c’est un travail que je vais me partager avec Otis. Mais pour gérer les prochains matchs, je connais, à l’heure actuelle, à 99% tous les meilleurs joueurs locaux. Je vous l’ai dit un jour : « Je ne suis pas un détecteur de talents mais utilisateur de talents ». Le détecteur de talents ici c’est le DTN. Il n’est pas essentiellement à partir de l’équipe A mais à partir de U17. L’équipe olympique va jouer. Je vais aller voir le match. C’est l’organisation technique en dessous de l’équipe A qui doit faire tout ce travail de débroussaillage pour sortir l’élite qui doit être utilisée dans 2 ou 3 ans. Notre travail en Europe, ce n’est pas découvrir les meilleurs joueurs parce que là aussi on les connait, c’est de les convaincre de revenir. Même si j’ai envie d’aller voir deux joueurs dont j’ai besoin de voir leur situation en club que j’ai vus essentiellement dans la situation en équipe nationale et qui n’arrivent pas à me convaincre alors qu’ils sont des titulaires et jouent à haut niveau. J’aimerais les voir dans leur situation de clubs pour trouver ce qui me manque et faire un déclic dans ma tête pour savoir comment l’utiliser.
Monsieur, vous n'êtes pas à votre place. Veuillez changer de travail, s'il vous plaît.
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Les techniciens que tu as amenés avec toi et inclus dans le staff au détriment du staff local
Depuis je suis dans des sélections, j’ai toujours demandé aux dirigeants la possibilité de faire venir mes adjoints français pour deux raisons : leur expérience et leur formation qu’ils peuvent apporter à d’autres. On l’a encore fait au match contre l’Ile Maurice avec l’ancien gardien de buts Bulayima qui a travaillé avec le coach de gardiens Da Costa. On l’a fait avec Léon Malé.
Et puis c’est pour sécuriser des joueurs. Quand je vous dis dans des conférences de presse lorsque vous faites venir des joueurs en sélection, je parle par exemple de TPM, quand vous voyez l’organisation de ce club à Lubumbashi, il faut que la sélection soit à ce niveau-là aussi. IL y a des entraineurs européens aussi dans ce club et quand ils sont habitués à travailler, à se faire soigner, à voyager ou à être dans l’organisation qu’ils ont, quand ils viennent en sélection il faut qu’ils retrouvent des conditions identiques. Il est hors de question de mettre à l’écart les entraineurs locaux sauf ceux qui me posent problème ou m’insultent.
Nouzaret a écarté le staff local en l’occurrence Santos pour profiter seul de la victoire sur l’Ile Maurice ?
J’ai dit au président (de la FECOFA), après la réunion du comité exécutif : « Président, si Santos veut continuer, moi je démissionne ». Là aussi, je prends mes responsabilités vis-à-vis de quelqu’un. Comment vous pouvez comprendre que moi je vais préparer des matchs importants pour la qualification avec un adjoint qui passe son temps à me mettre des peaux de banane. Il faut être réaliste quand même.
Lorsque je suis arrivé, j’ai vu à l’hôtel un diététicien. Moi je n’ai pas demandé un diététicien. Donc il n’est pas resté avec nous. Je lui ai permis de participer aux entrainements. J’avais (plutôt) besoin d’un intendant. J’ai vu arriver Léon Malé. Je lui ai demandé de ne pas rester à l’hôtel mais j’ai eu la gentillesse de lui permettre d’assister aux entrainements pour continuer sa formation avec le préparateur physique. J’ai vu une troisième personne qui n’était pas prévue. Je lui ai demandé de ne pas rester parce que premièrement ce n’était pas prévu et parce qu’il n’y avait plus de places. J’ai été mis devant un fait accompli. Je n’aime pas qu’on me mette devant un fait accompli. Mais il a participé aux entrainements avec l’entraineur de gardiens pour parfaire sa formation. J’ai pris certaines responsabilités vis-à-vis de certains encadreurs. Je ne veux pas que quand l’équipe nationale est rassemblée, soit entourée de gens qui risquent de mettre en péril l’état d’esprit qu’elle doit avoir pour préparer un match.
Depuis je suis dans des sélections, j’ai toujours demandé aux dirigeants la possibilité de faire venir mes adjoints français pour deux raisons : leur expérience et leur formation qu’ils peuvent apporter à d’autres. On l’a encore fait au match contre l’Ile Maurice avec l’ancien gardien de buts Bulayima qui a travaillé avec le coach de gardiens Da Costa. On l’a fait avec Léon Malé.
Et puis c’est pour sécuriser des joueurs. Quand je vous dis dans des conférences de presse lorsque vous faites venir des joueurs en sélection, je parle par exemple de TPM, quand vous voyez l’organisation de ce club à Lubumbashi, il faut que la sélection soit à ce niveau-là aussi. IL y a des entraineurs européens aussi dans ce club et quand ils sont habitués à travailler, à se faire soigner, à voyager ou à être dans l’organisation qu’ils ont, quand ils viennent en sélection il faut qu’ils retrouvent des conditions identiques. Il est hors de question de mettre à l’écart les entraineurs locaux sauf ceux qui me posent problème ou m’insultent.
Nouzaret a écarté le staff local en l’occurrence Santos pour profiter seul de la victoire sur l’Ile Maurice ?
J’ai dit au président (de la FECOFA), après la réunion du comité exécutif : « Président, si Santos veut continuer, moi je démissionne ». Là aussi, je prends mes responsabilités vis-à-vis de quelqu’un. Comment vous pouvez comprendre que moi je vais préparer des matchs importants pour la qualification avec un adjoint qui passe son temps à me mettre des peaux de banane. Il faut être réaliste quand même.
Lorsque je suis arrivé, j’ai vu à l’hôtel un diététicien. Moi je n’ai pas demandé un diététicien. Donc il n’est pas resté avec nous. Je lui ai permis de participer aux entrainements. J’avais (plutôt) besoin d’un intendant. J’ai vu arriver Léon Malé. Je lui ai demandé de ne pas rester à l’hôtel mais j’ai eu la gentillesse de lui permettre d’assister aux entrainements pour continuer sa formation avec le préparateur physique. J’ai vu une troisième personne qui n’était pas prévue. Je lui ai demandé de ne pas rester parce que premièrement ce n’était pas prévu et parce qu’il n’y avait plus de places. J’ai été mis devant un fait accompli. Je n’aime pas qu’on me mette devant un fait accompli. Mais il a participé aux entrainements avec l’entraineur de gardiens pour parfaire sa formation. J’ai pris certaines responsabilités vis-à-vis de certains encadreurs. Je ne veux pas que quand l’équipe nationale est rassemblée, soit entourée de gens qui risquent de mettre en péril l’état d’esprit qu’elle doit avoir pour préparer un match.
Monsieur, vous n'êtes pas à votre place. Veuillez changer de travail, s'il vous plaît.
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Re: Les mises au point de Nouzaret telles qu'écoutées par Pinto
À te lire Pinto, je ne comprends pas les reproches formulés contre Nouzaret par nombreux d'entre nous sur ce forum. 
Président du LUZOLA, association des Luvumbistes et des Distelistes convaincus
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Re: Les mises au point de Nouzaret telles qu'écoutées par Pinto
Et pourtant c'est simple à comprendre, ne remarquez-vous pas que tout ce que NOUZARET fait est beau?Erka a écrit :À te lire Pinto, je ne comprends pas les reproches formulés contre Nouzaret par nombreux d'entre nous sur ce forum.
Il trouve les entrainements de DMM moyens par rapport aux autres joueurs. LESQUELS?
Il refuse tous les congolais qu'on lui donne (avec des prétextes) PENDANT QUE LUI-MÊME EMMÈNE DES VACATAIRES qui CURIEUSEMENT ONT DE LA PLACE OU DORMIR mais pour les congolais il DIT QU'IL N Y EN A PLUS?
SANTOS LUI A MIS DES PEAUX DE BANANE EN REFUSANT QU'IL FASSE PARTIE DE LA DÉLÉGATION DU CHAN MOYENNANT 10.000$ Que les joueurs n'avaient même pas...
IL A TROUVE LE JEU DE MULUMBU (face à l'Ile Maurice) SUFFISANT?
IL FAIT JOUER MULUMBU Alors diminué normal mais MUNUNGA?
C'est très belle sa justification. Il n'y a rien à lui reproché. C'est le super BLANC DONT ON AVAIT BESOIN.
Pour l'Amour du Congo je ne me tairai point.
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Re: Les mises au point de Nouzaret telles qu'écoutées par Pinto
L'un des 2 joueurs que Nouzaret veut aller voir en club est Makiadi. A propos de Mulumbu qui ''séduit'' Nouzaret, il a marqué cet après-midi.
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Re: Les mises au point de Nouzaret telles qu'écoutées par Pinto
PINTO NA BISOOOOOEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
WAPI TSHIBUABUA ASI AKIMAKIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

NZAMBE AKOKUEYAKA TSEEEEE TOYEBA.... NZAMBE AKOLONGAKA KAKA
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Erick Ross
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Re: Les mises au point de Nouzaret telles qu'écoutées par Pinto
Pinto, figure-toi que j'ai eu des échos assez différents des tiens et de ceux de Nounou. Disons plutôt que ce que vous avez vu n'a pas totalement été confirmé par des personnes très bien placés. Apparemment, tout n'a pas été aussi rose qu'il vous a semblé 
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Erick Ross
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Re: Les mises au point de Nouzaret telles qu'écoutées par Pinto
Et le second doit être Kinkela.Erick Ross a écrit :L'un des 2 joueurs que Nouzaret veut aller voir en club est Makiadi. A propos de Mulumbu qui ''séduit'' Nouzaret, il a marqué cet après-midi.
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