Forum des supporters des Léopards de la RD Congo football
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TUPAC MOUDJAHIDINE a écrit :Mela ndambo tika ndambo
mais ye amelaka nionsooo.. heurezmnt soupou na tolo pe lotoko na poto ezalaka tsééé mais sukaaaa
courage na ye.. nayebi yo na kompany bozali lokola ba avocats ya DSK donc afaire oyo ekosimbaaTUPAC MOUDJAHIDINE a écrit :Tika, Mbokani aza courageux, tala ndenge bazo attaquer ye de partout, lelo bakomi même kobakisa episode ya conflit na ye n'equipe national na dossier na ye. C'était l'objectif que Nouzaret recherchait. Et si c'était Mbokani qui avait envoyé un texto pour dire que akoya te, affaire oyo ti na Onu balingaki ba zala au courant n'ango
Baloba te que bayebaki ROMARIO te, le gars ne parlait pas à ces coéquipiers en dehors du terrain, azalaki koloba que baza ba collègues ya boulot, soki boulot e vider, chaque dans son coin 
Kobenga Mbokani Ingérable eza kozanga koyeba balle.Sur le terrain
Romário est un attaquant pas comme les autres, plus personne n'en doute. Il est identifié par son envie de faire ce qu'il sait faire de mieux : marquer des buts, et par son côté imprévisible. Malgré son âge, il reste le renard de surface que les amateurs du football ont connu et apprécié. Sa technique d'orfèvre et son explosivité de sprinteur le rendent pratiquement irrésistible pour les défenseurs. Prompt à se défaire du marquage et capable de se créer d'improbables espaces dans la surface de réparation (caractéristique qu'il conserve encore aujourd'hui), Romario devient le pion essentiel d'une Seleção qui a reconquis le titre mondial en 1994 après 24 ans d'attente.
L'image d'un « violent »
Après le mondial 1994, son retour est marqué par autant de titres que de polémiques, l'homme ayant maille à partir avec des joueurs, des supporters et des entraîneurs.
Pendant les matchs de qualification du Mondial 1994, la rivalité entre lui et Bebeto est à son paroxysme. Au moment de prendre un avion, Romário se voit proposer une place aux côtés de... Bebeto. Il a menacé de quitter l'avion en déclarant " je ne m'assiérai pas à côté de ce mec ! "
Il se bat avec son ex-ami Edmundo
Il gifle Andrei, son coéquipier à Fluminense, au cours d'une rencontre perdue 0-6
Il frappe, avec l'aide d'un vigile, un supporter qui protestait pendant les entraînements
Il contraint le technicien Vanderlei Luxemburgo à quitter Flamengo
Il se sent trahi par Zico et Mário Zagallo, qui ne le convoquent pas pour la Coupe du monde 1998 en raison d'une légère blessure qui n'aurait pourtant pas justifié une mise à l'écart.(en représailles, il fait peindre des caricatures des deux entraîneurs assis sur les WC dans une discothèque de sa propriété)
Il se fâche avec Luiz Felipe Scolari, qui l'avait initialement convoqué dans le groupe brésilien et lui avait confié le brassard de capitaine, avant de se passer définitivement de lui pour former l'équipe qui remportera la coupe du monde en 2002. Ces péripéties sont entrecoupées de deux expériences à l'étranger. Il séjourne ainsi quelque temps à Valence, avant d'effectuer un passage très bref à Al-Sadd (Qatar), où il ne joue quasiment pas
TUPAC MOUDJAHIDINE a écrit :Verité eza que mindele wana ba ndimaki te que africain moko boye ako tenir bango tête yango wana bazoloba qu'il est ingérable.
A propos de ROMARIO
Sur le terrain
Romário est un attaquant pas comme les autres, plus personne n'en doute. Il est identifié par son envie de faire ce qu'il sait faire de mieux : marquer des buts, et par son côté imprévisible. Malgré son âge, il reste le renard de surface que les amateurs du football ont connu et apprécié. Sa technique d'orfèvre et son explosivité de sprinteur le rendent pratiquement irrésistible pour les défenseurs. Prompt à se défaire du marquage et capable de se créer d'improbables espaces dans la surface de réparation (caractéristique qu'il conserve encore aujourd'hui), Romario devient le pion essentiel d'une Seleção qui a reconquis le titre mondial en 1994 après 24 ans d'attente.
L'image d'un « violent »
Après le mondial 1994, son retour est marqué par autant de titres que de polémiques, l'homme ayant maille à partir avec des joueurs, des supporters et des entraîneurs.
Pendant les matchs de qualification du Mondial 1994, la rivalité entre lui et Bebeto est à son paroxysme. Au moment de prendre un avion, Romário se voit proposer une place aux côtés de... Bebeto. Il a menacé de quitter l'avion en déclarant " je ne m'assiérai pas à côté de ce mec ! "
Il se bat avec son ex-ami Edmundo
Il gifle Andrei, son coéquipier à Fluminense, au cours d'une rencontre perdue 0-6
Il frappe, avec l'aide d'un vigile, un supporter qui protestait pendant les entraînements
Il contraint le technicien Vanderlei Luxemburgo à quitter Flamengo
Il se sent trahi par Zico et Mário Zagallo, qui ne le convoquent pas pour la Coupe du monde 1998 en raison d'une légère blessure qui n'aurait pourtant pas justifié une mise à l'écart.(en représailles, il fait peindre des caricatures des deux entraîneurs assis sur les WC dans une discothèque de sa propriété)
Il se fâche avec Luiz Felipe Scolari, qui l'avait initialement convoqué dans le groupe brésilien et lui avait confié le brassard de capitaine, avant de se passer définitivement de lui pour former l'équipe qui remportera la coupe du monde en 2002. Ces péripéties sont entrecoupées de deux expériences à l'étranger. Il séjourne ainsi quelque temps à Valence, avant d'effectuer un passage très bref à Al-Sadd (Qatar), où il ne joue quasiment pas
mais tupac oyo ezali buzoba ozali ko comparé romario na mbokaniart?? romario asala ya troop pona bazua coupe du monde apesa brezil coupe.. coupe nini mbokaniart apesa congo? GOOGLE ELENGI FC CHIANT
En goal: Coupet
En défense: R.Ferdinand, Avery John
Au milieu: Best, Keane , Gattuso, Robben
En attaque: Mido, Kezman, Cantona
Qu'en pensez vous ?
BOFINA AWA 
http://footnostalgie.free.fr/forum/view ... f=2&t=2102 DJALMA, peu importe où il va aller mais de grace, cette fois ci qu'il soit fixé avant la reprise des entrainements, je pense que tu comprends où je veux en venirSantoss a écrit :Le grand danger que court Mbokani est de se faire des ennemis du côté de Liège.
A Anderlecht aussi, il sera attendu au tournant, à la moindre faille, les ultras mauves ne vont pas le louper.
Si j'étais Mbokani, je ne me précipiterai pas, il faut prendre le temps d'étudier chaque propositions.