EPKIN: de la pelouse synthetique au sable synthetique

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Pinto
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EPKIN: de la pelouse synthetique au sable synthetique

Message par Pinto »

Gouverner, c'est prevoir. Mais a la Fecofa, gouverner, c'est diriger au jour le jour, selon la courte vision du jour. Comme le pouvoir est de l'ordre divin pour eux (apres tout, vote a 100%), ils n'ont de compte a rendre a personne.

Ailleurs, on sais quand un championnat commence et quand il va finir. Les aleas entre les deux temps sont geres de telle maniere que cela ne puisse porter prejudice.

Chez nous, on ne sait ni quand ca va commencer ni quand ca finira. Les aleas ne sont geres avec prejudice sur le reste de la competition. Les reglements emis au debut du championnat ne sont pas ceux qui regissent le championnat a sa cloture.

Voulez-vous une preuve? L'EPFKIN de cette saison. Arretee puis relancee. Personne n'avait prevu que ce championnat debutera sur la pelouse synthetique pour finir sur le sable synthetique, que dis-je, naturel.

Nos confreres ont ecrit:

Quelle image du championnat d’élite ?
Publié le 29 juillet 2010

‘‘Dieu merci, le championnat de l’EPFKIN touche presque à la fin, faute de quoi, cela aurait été catastrophique pour les équipes engagées cette saison’’, s’est exclamé un amoureux du ballon rond présent au terrain de Shark club mercredi 28 juillet au cours de rencontre V Club-Shark XI FC (2-1).

Pour un étranger qui participe à une telle rencontre pour sa première fois, il sera plongé dans un imbroglio, étant donné que le terrain de reflète pas l’image du championnat d’élite de la capitale. L’expatrier croirait que c’est l’un des championnats de la division inférieure de la capitale. Pourtant, c’est bel et bien le championnat d’élite de Kinshasa auquel prennent part DCMP et V Club, deux grands clubs habitués aux grandes compétitions continentales.

L’état du terrain a causé préjudice aux vingt-deux acteurs durant les 90 minutes de la partie, quand bien même que les joueurs de Shark sont habitués à leur terrain d’entraînement. Difficile de développer un bon style de jeu de part et d’autre, rien à faire, il suffisait de disputer les 90 minutes du match dans la mesure où l’organisatrice est dépourvue de ses propres stades. A la mi-temps, pas des vestiaires appropriés, les hommes de Shungu préfèrent se retirer derrière le poteau avant de regagner l’aire de jeu 15 minutes après. Le terrain du Shark club n’était pas retenu par les organisateurs avant le début du championnat, mais contre toute attente, il servira de cadre à quelques matches du championnat d’élite. Encore une violation de texte par les décideurs (LIFKIN et EPFKIN). Finalement, quousque tandem ?

Incapable de s’acheter le billet fixé à DCF 4 500, soit USD 5, d’autres supporters ont préféré de suivre frauduleusement sur le mur, et cela sans être inquiétés par les agents de l’ordre commis pour la circonstance.
Monsieur, vous n'êtes pas à votre place. Veuillez changer de travail, s'il vous plaît.
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Yanne
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Re: EPKIN: de la pelouse synthetique au sable synthetique

Message par Yanne »

Et moi qui pensait que ce terrain de SHARK était couvert d'une pelouse naturel. Parce que lors de la présentation de cette dans le site des leopards, ce terrain était encore en très bon état. AH CONGO !!
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kompany
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Re: EPKIN: de la pelouse synthetique au sable synthetique

Message par kompany »

La Ligue 1 a vécu une petite révolution ce samedi avec les deux premières rencontres de l'histoire disputées sur des pelouses synthétiques. Le FC Lorient et l'AS Nancy Lorraine pourraient bien inspirer d'autres clubs français à l'avenir. Alors quels sont les avantages et les inconvénients de cette surface ? Eléments de réponse.

Pour la première fois en compétition officielle, des formations de Ligue 1 ont pu tester ce samedi des pelouses synthétiques sur le sol français. L'histoire retiendra que le FC Lorient et l'AS Nancy Lorraine n'ont pas profité de l'effet de surprise en s'inclinant à domicile respectivement devant Nice (2-1) et Rennes (3-0). Les mauvaises langues avaient pourtant annoncé un avantage certain pour ces deux équipes.

Un plus pour les techniciens

Alors le jeu a-t-il été révolutionné sur ces pelouses synthétiques ? Pas vraiment. Néanmoins, il semble évident que certains détails devront être pris en considération à l'avenir par les équipes qui évolueront au Moustoir comme au stade Marcel-Picot. Sur synthétique, le jeu au sol est légèrement ralenti alors que sur les balles aériennes le ballon fuse et prend de la vitesse après un rebond. Un paramètre qui pourrait favoriser les équipes composées de fins techniciens et dont la philosophie de jeu est portée vers l'attaque.


Si les terrains synthétiques du passé étaient redoutés pour leur dureté qui favorisait les appuis incertains, la nouvelle génération de pelouses artificielles présente une qualité de fibres et de souplesse se rapprochant du gazon naturel. Même si aucune étude sérieuse n'est venue confirmer cette thèse, il semble que les risques de blessures soient identiques sur les deux surfaces.

Un avenir tout tracé ?

Que l'on ne s'en cache pas, l'intérêt économique aura été la principale motivation du FC Lorient et l'AS Nancy Lorraine dans la décision d'opter pour une pelouse synthétique. Pour se doter de leur nouvelle surface, les deux clubs ont déboursé respectivement 900 000 et 1,5 millions d'euros. Un investissement important mais qui pourrait vite s'avérer très rentable. En effet, l'entretien d'une telle pelouse coûterait entre 10 000 et 30 000 euros chaque année, alors qu'une surface naturelle engendre 200 000 euros de frais annuels en moyenne. La durée de vie d'un synthétique est quant à elle estimée à dix ans.

Une chose est sûre, cet argument économique pourrait bien faire les beaux jours du synthétique dans les années à venir. A l'heure où les clubs français peinent financièrement, aucune économie n'est à négliger. De là à affirmer que les formations de Ligue 1 vont en majorité opter pour ce type de surface à l'avenir, le fossé est encore grand. L'entraîneur de l'AJ Auxerre, Jean Fernandez, est d'ailleurs formel. «Vous verrez, les clubs qui ont fait ce pari reviendront prochainement aux pelouses naturelles» , confiait récemment le technicien bourguignon. Le débat reste ouvert.
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TUPAC MOUDJAHIDINE
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Re: EPKIN: de la pelouse synthetique au sable synthetique

Message par TUPAC MOUDJAHIDINE »

Sur synthétique, le jeu au sol est légèrement ralenti alors que sur les balles aériennes le ballon fuse et prend de la vitesse après un rebond. Un paramètre qui pourrait favoriser les équipes composées de fins techniciens et dont la philosophie de jeu est portée vers l'attaque.
Fins techniciens et dont la philosophie de jeu....... :shock: :shock: :roll: :roll: autrement dit ???? :?: :?: :idea: ART :o :o
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