Des explosions à Brazzaville...dégâts à Kin...
Posté : 04 mars 2012, 19:18
http://bakolokongo.com/portail/2012/03/ ... esistance/
Explosions à Brazzaville : Joseph Kabila en fuite , les habitants de Kinshasa ont cru au débarquement des Forces de Resistance!
Publié le 04/03/2012 | Par bakolokongo
Avec cinq fortes explosions de munitions qui ont secoué Brazzaville, la capitale de la République du Congo, ce dimanche et dont les dégâts matériels ont été aussi enregistrés de l’autre rive du fleuve, les habitants de Kinshasa dont la plupart se trouvaient en plein culte du dimanche, les détonations entendues ce matin ont surpris tout le monde. Les déflagrations ont même été ressenties et fait des dégâts matériels à Kinshasa, la capitale de la RD Congo voisine, séparée de Brazzaville par le fleuve Congo.
Pris de panique, certains responsables de supermarchés ont dû fermer leurs établissements et pris la tangente. Les militaires de la garde prétorienne ont riposté aveuglement…au hasard sur ordre de Joseph Kabila en larguant des obus en directions de Brazzaville jusqu’à occasionner des pertes importantes en vie humaines de l’autre coté du fleuve, croyant que la RDC était attaquée par l’ARP du général Munene et les Forces de Résistance Patriotique. Le temps n’a pas permis de chercher ou d’identifier avec précision le vrai ennemi. Ce qui est certain, la panique avait pris le dessus… et envahi tout le mécanisme de défense de l’Etat, si bien que les militaires couraient de partout au centre ville sans contrôle et ne savaient pas comment opérer sur terrain, dépourvus de commandement. Les communications téléphoniques entre Kinshasa et Brazzaville, les deux capitales les plus rapprochées au monde, étaient très difficiles dans la matinée.
Sauve qui peut à Brazzaville, panique et scène des liesses à Kinshasa
A Kinshasa cependant les scènes de liesse étaient manifestement lisibles dans les visages de la population
Coïncidence des événements et paradoxe des sentiments. Pendant que Brazzaville était sous le feu et que les habitants étaient au sauve-qui-peut pour se mettre à l’abri, à Kinshasa cependant les scènes de liesse étaient manifestement lisibles dans les visages de la population. Les habitants de Kinshasa ont vite cru au débarquement triomphal tant annoncé et attendu des Forces de Resistance Patriotique pour libérer les institutions et la patrie prises en otage par le régime dictatorial criminel de Joseph Kabila, dont la violence et les armes constituent la méthode idéale pour gouverner.
Malheureusement pour les Kinois et les FARDC, cette scène de liesse populaire n’a duré que quelques heures ; mais la plupart n’hésitent pas de croire que c’est un signe avertisseur, d’autres s’aperçoivent même que la vérité se cache ailleurs, le temps le prouvera.
A Brazzaville les habitants étaient au sauve-qui-peut pour se mettre à l’abri
A Brazzaville, le bilan des explosions est très lourd d’après les premières indications : au moins 150 personnes ont été tuées et des centaines blessées dans une série d’explosions dimanche dans un dépôt de munitions à Brazzaville, la capitale du Congo, a indiqué une source diplomatique européenne à Brazzaville.
« On compte au moins 150 morts dans les hôpitaux militaires et environ 1.500 blessés dans un état plus ou moins grave », a indiqué cette source jointe par téléphone depuis Paris.
Toujours selon cette source, il y aurait également de nombreux blessés admis dans des hôpitaux civils de la capitale.
En effet, Cinq explosions très fortes et espacées se sont produites à partir de 08H00 locales (07H00 GMT) et jusqu’à 10H45, qui ont même secoué et fait des dégats matériels à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo voisine, séparée de Brazzaville par le fleuve Congo.
Des détonations plus légères et à intervalles irréguliers étaient encore perceptibles vers 13H00.
Un incendie dans deux magasins de munitions d’un dépôt de la caserne blindée Mpila, dans l’est de la ville, serait à l’origine de l’accident, ont indiqué des militaires congolais sous couvert d’anonymat.
Selon un diplomate base a Brazzaville, l’incident « n’a rien de politique, et le président Sassou Nguesso est avec l’état-major pour coordonner les opérations de secours.
Joseph Kabila en fuite a cru à l’ombre du général Munene et ordonné la riposte aveuglée
A Kinshasa, cependant, la rédaction de Bakolokongo.com apprend que Joseph Kabila a cru que l’ARP du général Munene et les Forces de Résistance Patriotique marchaient sur Kinshasa. Il s’est sauvé sans plus tarder pour aller se réfugier dans son bunker de Kingakati. D’après son entourage qui a livré l’information, le fameux chef de l’Etat congolais est sorti en cascade, sans prendre soin de sa famille, lui-même dans un état de panique jamais observé et n’a eu le temps que pour hisser son pantalon, sa chemise et son gilet anti-balles et les chaussures comme au macquis. Il n y avait pas du temps à perdre, surtout pas pour faire la toilette. Ce sont les explosions de Brazzaville qui l’ont brusquement réveillé.
Alors qu’il y a le téléphone, alors qu’il y a l’ambassadeur du Congo à Kinshasa, le surnommé Joseph Kabila, pris de panique, croyant que ce sont les forces de l’ARP du général Faustin Munene (à qui il a promis de réduire Kinshasa en poussière s’il veut prendre le pouvoir) qui investissent Kinshasa à partir de Brazzaville! Sans réfléchir et manquant de sang froid, il a pris la poudre d’escampette et a donné l’ordre à ses éléments de tirer sur la ville de Brazzaville où il a provoqué la mort des innocents et la désolation. Grâce à la sagesse du doyen, le Président Denis Sassou Ngessou, l’escalade a été évitée. Le surnommé Joseph Kabila est un psychopathe avéré qui vient de faire la démonstration de la stratégie de terre brulée mise en place dans le cas où il doit quitter le pouvoir et qu’il est dangereux pour la stabilité structurelle de la sous région d’Afrique Centrale. Joseph Kabila a cru que l’ARP et les Forces de Résistance Patriotique marchaient sur Kinshasa.
« Ça c’est l’œuvre du général Munene, cet homme est décidé de déstabiliser la République, c’est sans doute », s’est exclamé Joseph Kabila dans sa Jeep en swahili. C’est la première idée qui lui est passée en tête pendant qu’il se dirigeait vers son lieu de refuge, a confié un proche du président sortant de la RDC.
Toutesfois, la situation demeure encore confuse dans les deux rives du fleuve où la prudence et la méfiance règnent entre les deux capitales les plus rapprochées du monde depuis l’arrivée de Joseph Kabila aux affaires. A Brazzaville la situation semble être sous contrôle, pendant qu’à Kinshasa où les événements malheureux donnent naturellement rendez-vous depuis l’existence du sinistre Joseph Kabila, la panique a envahi le régime d’un côté, et de l’autre côté l’espoir nourrit la population qui espère enfin vivre les derniers moments du système diabolique d’un homme qui veut s’accrocher au pouvoir par défi, malgré les contestations nationales et internationales. La nuit risque d’être longue à Brazzaville et à Kinshasa.
Explosions à Brazzaville : Joseph Kabila en fuite , les habitants de Kinshasa ont cru au débarquement des Forces de Resistance!
Publié le 04/03/2012 | Par bakolokongo
Avec cinq fortes explosions de munitions qui ont secoué Brazzaville, la capitale de la République du Congo, ce dimanche et dont les dégâts matériels ont été aussi enregistrés de l’autre rive du fleuve, les habitants de Kinshasa dont la plupart se trouvaient en plein culte du dimanche, les détonations entendues ce matin ont surpris tout le monde. Les déflagrations ont même été ressenties et fait des dégâts matériels à Kinshasa, la capitale de la RD Congo voisine, séparée de Brazzaville par le fleuve Congo.
Pris de panique, certains responsables de supermarchés ont dû fermer leurs établissements et pris la tangente. Les militaires de la garde prétorienne ont riposté aveuglement…au hasard sur ordre de Joseph Kabila en larguant des obus en directions de Brazzaville jusqu’à occasionner des pertes importantes en vie humaines de l’autre coté du fleuve, croyant que la RDC était attaquée par l’ARP du général Munene et les Forces de Résistance Patriotique. Le temps n’a pas permis de chercher ou d’identifier avec précision le vrai ennemi. Ce qui est certain, la panique avait pris le dessus… et envahi tout le mécanisme de défense de l’Etat, si bien que les militaires couraient de partout au centre ville sans contrôle et ne savaient pas comment opérer sur terrain, dépourvus de commandement. Les communications téléphoniques entre Kinshasa et Brazzaville, les deux capitales les plus rapprochées au monde, étaient très difficiles dans la matinée.
Sauve qui peut à Brazzaville, panique et scène des liesses à Kinshasa
A Kinshasa cependant les scènes de liesse étaient manifestement lisibles dans les visages de la population
Coïncidence des événements et paradoxe des sentiments. Pendant que Brazzaville était sous le feu et que les habitants étaient au sauve-qui-peut pour se mettre à l’abri, à Kinshasa cependant les scènes de liesse étaient manifestement lisibles dans les visages de la population. Les habitants de Kinshasa ont vite cru au débarquement triomphal tant annoncé et attendu des Forces de Resistance Patriotique pour libérer les institutions et la patrie prises en otage par le régime dictatorial criminel de Joseph Kabila, dont la violence et les armes constituent la méthode idéale pour gouverner.
Malheureusement pour les Kinois et les FARDC, cette scène de liesse populaire n’a duré que quelques heures ; mais la plupart n’hésitent pas de croire que c’est un signe avertisseur, d’autres s’aperçoivent même que la vérité se cache ailleurs, le temps le prouvera.
A Brazzaville les habitants étaient au sauve-qui-peut pour se mettre à l’abri
A Brazzaville, le bilan des explosions est très lourd d’après les premières indications : au moins 150 personnes ont été tuées et des centaines blessées dans une série d’explosions dimanche dans un dépôt de munitions à Brazzaville, la capitale du Congo, a indiqué une source diplomatique européenne à Brazzaville.
« On compte au moins 150 morts dans les hôpitaux militaires et environ 1.500 blessés dans un état plus ou moins grave », a indiqué cette source jointe par téléphone depuis Paris.
Toujours selon cette source, il y aurait également de nombreux blessés admis dans des hôpitaux civils de la capitale.
En effet, Cinq explosions très fortes et espacées se sont produites à partir de 08H00 locales (07H00 GMT) et jusqu’à 10H45, qui ont même secoué et fait des dégats matériels à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo voisine, séparée de Brazzaville par le fleuve Congo.
Des détonations plus légères et à intervalles irréguliers étaient encore perceptibles vers 13H00.
Un incendie dans deux magasins de munitions d’un dépôt de la caserne blindée Mpila, dans l’est de la ville, serait à l’origine de l’accident, ont indiqué des militaires congolais sous couvert d’anonymat.
Selon un diplomate base a Brazzaville, l’incident « n’a rien de politique, et le président Sassou Nguesso est avec l’état-major pour coordonner les opérations de secours.
Joseph Kabila en fuite a cru à l’ombre du général Munene et ordonné la riposte aveuglée
A Kinshasa, cependant, la rédaction de Bakolokongo.com apprend que Joseph Kabila a cru que l’ARP du général Munene et les Forces de Résistance Patriotique marchaient sur Kinshasa. Il s’est sauvé sans plus tarder pour aller se réfugier dans son bunker de Kingakati. D’après son entourage qui a livré l’information, le fameux chef de l’Etat congolais est sorti en cascade, sans prendre soin de sa famille, lui-même dans un état de panique jamais observé et n’a eu le temps que pour hisser son pantalon, sa chemise et son gilet anti-balles et les chaussures comme au macquis. Il n y avait pas du temps à perdre, surtout pas pour faire la toilette. Ce sont les explosions de Brazzaville qui l’ont brusquement réveillé.
Alors qu’il y a le téléphone, alors qu’il y a l’ambassadeur du Congo à Kinshasa, le surnommé Joseph Kabila, pris de panique, croyant que ce sont les forces de l’ARP du général Faustin Munene (à qui il a promis de réduire Kinshasa en poussière s’il veut prendre le pouvoir) qui investissent Kinshasa à partir de Brazzaville! Sans réfléchir et manquant de sang froid, il a pris la poudre d’escampette et a donné l’ordre à ses éléments de tirer sur la ville de Brazzaville où il a provoqué la mort des innocents et la désolation. Grâce à la sagesse du doyen, le Président Denis Sassou Ngessou, l’escalade a été évitée. Le surnommé Joseph Kabila est un psychopathe avéré qui vient de faire la démonstration de la stratégie de terre brulée mise en place dans le cas où il doit quitter le pouvoir et qu’il est dangereux pour la stabilité structurelle de la sous région d’Afrique Centrale. Joseph Kabila a cru que l’ARP et les Forces de Résistance Patriotique marchaient sur Kinshasa.
« Ça c’est l’œuvre du général Munene, cet homme est décidé de déstabiliser la République, c’est sans doute », s’est exclamé Joseph Kabila dans sa Jeep en swahili. C’est la première idée qui lui est passée en tête pendant qu’il se dirigeait vers son lieu de refuge, a confié un proche du président sortant de la RDC.
Toutesfois, la situation demeure encore confuse dans les deux rives du fleuve où la prudence et la méfiance règnent entre les deux capitales les plus rapprochées du monde depuis l’arrivée de Joseph Kabila aux affaires. A Brazzaville la situation semble être sous contrôle, pendant qu’à Kinshasa où les événements malheureux donnent naturellement rendez-vous depuis l’existence du sinistre Joseph Kabila, la panique a envahi le régime d’un côté, et de l’autre côté l’espoir nourrit la population qui espère enfin vivre les derniers moments du système diabolique d’un homme qui veut s’accrocher au pouvoir par défi, malgré les contestations nationales et internationales. La nuit risque d’être longue à Brazzaville et à Kinshasa.