BARCAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

YEBA NDE BALE

LELO TOZALAKI NA DEUX EQUIPE une équipe qui cherchait continuellement à se procurer des occasions pour essayer de marquer et une autre qui cherchait qu'a faire des fautes et à casser le jeu et à l'occasion de =jouer la contrez attaque. Moi je comprend pas Mourinho, il a des supers joueurs et I lcherche meme pas à faire jouer son équipe, il les fait défendre et casser le jeu adverse avec une grosse agréssivitée, il n'y avait aucune construction, c'est domage s'il arrivaient à jouer en équipe ils auraient surement une chance... mais avec ce genre de tactique il n'arrivera à rien et aura toujours des expulsés... bravo Barcelone en tout cas.

OLELI OLELI OLELA YO NA NANI

Vive le barca vive le beau jeu fé de passe et de dedoublemen et non de ballon envoyer devan pour des ?

Barca! Barca!Qui d'autre qu'un grand joueur prend la balle dans le rond central et s'en va crucifier le gardien?
Bon quel vont être les excuses de mourinho cet fois-ci
Enfin bref le footbal a gagner ,Visca barça I visca Catalunya!
Ba panzi sango ya ndembo ba peseli!
Pep Guardiola avait prévenu : si José Mourinho avait gagné le match en conférence de presse, l’opposition sur le pré serait tout autre. Et bien, le technicien du FC Barcelone a gagné son duel à distance avec The Special One, menant les siens à la victoire (0-2, 1/2 finale aller de C1). En restant fidèle à ses principes de jeu, l’Espagnol a remis les siens en confiance. Bien meilleurs que lors de leurs dernière sortie, les Blaugrana ont en effet dominé la rencontre sur le plan tactique.
Sur le plan mental, ils ont également répondu présents. Face à l’agressivité des pensionnaires de Santiago Bernabeu, Xavi et ses partenaires l’ont joué fine, encaissant les coups, se relevant sans cesse puis avant de mettre la pression sur l’arbitre. Pepe, lui, a craqué, expulsé pour une semelle sévère à l’heure de jeu sur Daniel Alves. Son entraîneur aussi terminait la rencontre en tribunes. Deux rouges qui laissaient le champ libre au Barça.
Sur le plan du jeu, le natif de Santpedor a également pu compter sur le meilleur de la planète à l’heure actuelle, Lionel Messi. L’international argentin s’est montré décisif en inscrivant les deux buts de la victoire (76e et 86e), le deuxième tout simplement remarquable après un slalom long de quarante mètres dans la défense merengue. Enfin, sur le plan du coaching, Guardiola a su débloquer la partie en faisant appel à son joker Ibrahim Affelay, le seul à avoir pu déstabiliser Marcelo - pourtant très solide ce soir - pour offrir le premier but à son n° 10. Que voulez-vous, Pep Guardiola avait prévenu...
L’homme du match : Lionel Messi (8) : perdu en début de match, l’Argentin s’est finalement repris en cours de match. En montant peu à peu en puissance, le double Ballon d’Or a apporté le danger devant les buts d’Iker Casillas et a finalement débloqué la situation sur un centre d’Afellay (70e). Avant le grand festival... Parti de son milieu de terrain balle aux pieds, il s’est joué de quatre Madrilènes avant de venir crucifier Casillas (87e). Une fin de match magique pour le meilleur joueur de la planète.
BARRRRRRRRRRRRRRRRCAAAAAAAAAAAAA
