Alain la chèvre...
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Erick Ross
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Re: Alain la chèvre...
Vive le caméléon qui injuriait Alain Carré hier. KIE KIE KIE KIE 
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Ilunga
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Re: Alain la chèvre...
Alain "la chèvre", au fait qui l'a surnommé comme ça? C'est pas le "vuvuzélateur" des mbodila mikiliste?
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Erick Ross
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Re: Alain la chèvre...
Les archives sont là. Sois calme où je vais les ressortir 
- kompany
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Re: Alain la chèvre...
ce gars a fait un match de ouf face aux brésiliens
seul en pointe,il a été un danger permanent,pour la défense brésilienne.sur son but il s'est même permis de faire des passsements de jambe
nieno,je sais que tu as regardé ce match
,je veux juste ton avis non pas sur les qualités de dioko,mais de son match d'hier 
nieno,je sais que tu as regardé ce match
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chidap
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Re: Alain la chèvre...
alain carré,
moi qui disait que t'avais l'air trés fatigué et qu'on devrait te laisser en repos,
encore une fois,

moi qui disait que t'avais l'air trés fatigué et qu'on devrait te laisser en repos,
encore une fois,
- yougaga
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Re: Alain la chèvre...
alain la chèvre aza vrai fouteur

Gros lard de 42 ans qui est au CPAS. Continue à nettoyer les rues du pays avec ton employeur qu'est Bruxelles propreté. Immature de luxe.
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Re: Alain la chèvre...
Eza système ya pesa mokongo ba tanga numero na yo
Passement des jambes, Brésilien apesi mokongo
bongo but Patou brésilien azalaki ko s'attendre qu'il allait tirer du droit mais Comme Patou aza Droitier exclusif, il a amorti le cuir et avant que le ballon ne touche le sol une seconde fois il le plaça hors de portée du portier Brésilien un temps ba Fan Ya GREMIO na Bresil ba gangi GOOOOOOOOOL

« Quiconque en août s'endormira, en janvier s'en repentira ».
- kompany
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Re: Alain la chèvre...
dons la chevre qui n'a pas su battre les pecheurs zeelandais,va affronter lucho ,chivu et eto'o samedi
na minute oyo soki o tuni milito a citer joueur moko congolais ako pesa kombo ya joueur ya mazembe
ko yeba balle té,esalaka pasi moko boye
ko yeba balle té,esalaka pasi moko boye
- Yanne
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Re: Alain la chèvre...
Dioko, des buts et des objectifs
Si vous entendez ce nom pour la première fois, il doit vous sembler difficile à prononcer. En revanche, si vous suivez de près le football africain, vos oreilles ont dû s’y habituer après avoir entendu les commentateurs narrer ses exploits lors de chaque sortie du TP Mazembe Englebert. Mais qu’il vous soit familier ou non, le nom de l’attaquant du Tout Puissant pourrait être bientôt sur toutes les lèvres.
Meilleur buteur ex-aequo de la Ligue des champions de la CAF, Dioko a ouvert son compteur en Coupe du Monde des Clubs de la FIFA 2010 lors de la demi-finale victorieuse contre l’Internacional. "Il fallait que je marque, je ne pensais qu’à ça depuis notre arrivée", avoue l’heureux auteur du deuxième but, scellant le sort de la rencontre (2:0). "Le bonheur du groupe passe avant tout. Mais n’empêche que j’avais envie de marquer ! Je marque beaucoup en Afrique et je savais que ce serait plus dur ici. Mais je voulais me prouver que je pouvais y arriver et laisser une trace dans l’histoire. En plus c’était un beau but !"
Effectivement, une échappée sur l’aile gauche, conclue par une puissante frappe entre Renan, le gardien colorado, et son premier poteau, et les Corbeaux s’ouvraient le chemin de l’exploit. "On est conscient du côté historique de notre performance", admet-il en référence au fait que jamais une équipe non européenne ou sud-américaine n’avait atteint la finale. "Je pense que personne, y compris notre adversaire, ne croyait vraiment en nous. Peut-être qu’inconsciemment, comme Pachuca au tour précédent, ils nous ont pris comme une petite équipe qu’ils allaient battre facilement. Maintenant la petite équipe est en finale…"
Faire changer les mentalités
Un stade que le TP a atteint presque sans savoir comment, mais sans aucun doute sur le pourquoi. "En arrivant, nous voulions avancer étape par étape. La première était de se dire ‘gagnons le premier match pour faire mieux que l’an dernier’", explique le double champion d’Afrique. "Puis on s’est tenu le même discours pour le deuxième match. Et on fera de même pour la finale, même si ce sera sans doute beaucoup plus difficile."
Car l’adversaire s’appelle Inter Milan, "l’une des meilleures équipes du monde", selon Dioko. Et battre un géant offrirait à Mazembe bien plus que le titre de champion du monde. "Nous avons l’impression que le football africain n’est pas encore assez considéré. Peut-être que notre parcours fera changer les mentalités, pour que l’Afrique aille de l’avant", espère l’international congolais de 23 ans. "On ne participe pas à une Coupe du Monde par hasard. On a mérité cette place en étant les meilleurs d’Afrique. L’année passée, nous l’avions déjà été, mais on n’était pas prêt pour l’étape supérieure. Cette année, on s’est était dit que si on revenait, ce serait pour gagner."
Le modèle Eto'o
Autre objectif inavoué, celui de crever l’écran pour éventuellement s’ouvrir les portes de l’Europe. "Je suis bien à Mazembe, mais j’espère un jour faire carrière en Europe", confie Kaluyituka, qui a déjà fait un essai à Arles-Avignon cet été. "Ça s’était bien passé, mais le transfert n’a pas pu se faire pour des conditions financières, et parce que la suspension de Mabi Mputu a changé la situation. L’entraîneur et le président m’ont demandé de rester. Quand je vois qu’aujourd’hui, je suis en finale de la Coupe du Monde et qu’Arles-Avignon est dernier de Ligue 1, je crois que j’ai fait le bon choix !"
Samedi, Dioko aura justement face à lui un Africain qui a réussi à conquérir l’Europe. De quoi donner des idées. "Samuel Eto’o est un exemple pour nous. Il a réussi à s’imposer au meilleur niveau, tout en restant proche de l’Afrique. Pour tous les attaquants africains, il est le modèle à suivre", assure-t-il, en précisant que lui rêve d’Angleterre. "Ce sera un honneur de jouer contre lui et son équipe. Contre l’Inter, chacun voudra montrer que maintenant que nous jouons dans la cour des grands, nous somme capables d’être des grands nous aussi. Si on est à la hauteur, on sera la fierté de l’Afrique."
Et le nom de Dioko Kaluyituka ne sera plus un secret pour personne
Si vous entendez ce nom pour la première fois, il doit vous sembler difficile à prononcer. En revanche, si vous suivez de près le football africain, vos oreilles ont dû s’y habituer après avoir entendu les commentateurs narrer ses exploits lors de chaque sortie du TP Mazembe Englebert. Mais qu’il vous soit familier ou non, le nom de l’attaquant du Tout Puissant pourrait être bientôt sur toutes les lèvres.
Meilleur buteur ex-aequo de la Ligue des champions de la CAF, Dioko a ouvert son compteur en Coupe du Monde des Clubs de la FIFA 2010 lors de la demi-finale victorieuse contre l’Internacional. "Il fallait que je marque, je ne pensais qu’à ça depuis notre arrivée", avoue l’heureux auteur du deuxième but, scellant le sort de la rencontre (2:0). "Le bonheur du groupe passe avant tout. Mais n’empêche que j’avais envie de marquer ! Je marque beaucoup en Afrique et je savais que ce serait plus dur ici. Mais je voulais me prouver que je pouvais y arriver et laisser une trace dans l’histoire. En plus c’était un beau but !"
Effectivement, une échappée sur l’aile gauche, conclue par une puissante frappe entre Renan, le gardien colorado, et son premier poteau, et les Corbeaux s’ouvraient le chemin de l’exploit. "On est conscient du côté historique de notre performance", admet-il en référence au fait que jamais une équipe non européenne ou sud-américaine n’avait atteint la finale. "Je pense que personne, y compris notre adversaire, ne croyait vraiment en nous. Peut-être qu’inconsciemment, comme Pachuca au tour précédent, ils nous ont pris comme une petite équipe qu’ils allaient battre facilement. Maintenant la petite équipe est en finale…"
Faire changer les mentalités
Un stade que le TP a atteint presque sans savoir comment, mais sans aucun doute sur le pourquoi. "En arrivant, nous voulions avancer étape par étape. La première était de se dire ‘gagnons le premier match pour faire mieux que l’an dernier’", explique le double champion d’Afrique. "Puis on s’est tenu le même discours pour le deuxième match. Et on fera de même pour la finale, même si ce sera sans doute beaucoup plus difficile."
Car l’adversaire s’appelle Inter Milan, "l’une des meilleures équipes du monde", selon Dioko. Et battre un géant offrirait à Mazembe bien plus que le titre de champion du monde. "Nous avons l’impression que le football africain n’est pas encore assez considéré. Peut-être que notre parcours fera changer les mentalités, pour que l’Afrique aille de l’avant", espère l’international congolais de 23 ans. "On ne participe pas à une Coupe du Monde par hasard. On a mérité cette place en étant les meilleurs d’Afrique. L’année passée, nous l’avions déjà été, mais on n’était pas prêt pour l’étape supérieure. Cette année, on s’est était dit que si on revenait, ce serait pour gagner."
Le modèle Eto'o
Autre objectif inavoué, celui de crever l’écran pour éventuellement s’ouvrir les portes de l’Europe. "Je suis bien à Mazembe, mais j’espère un jour faire carrière en Europe", confie Kaluyituka, qui a déjà fait un essai à Arles-Avignon cet été. "Ça s’était bien passé, mais le transfert n’a pas pu se faire pour des conditions financières, et parce que la suspension de Mabi Mputu a changé la situation. L’entraîneur et le président m’ont demandé de rester. Quand je vois qu’aujourd’hui, je suis en finale de la Coupe du Monde et qu’Arles-Avignon est dernier de Ligue 1, je crois que j’ai fait le bon choix !"
Samedi, Dioko aura justement face à lui un Africain qui a réussi à conquérir l’Europe. De quoi donner des idées. "Samuel Eto’o est un exemple pour nous. Il a réussi à s’imposer au meilleur niveau, tout en restant proche de l’Afrique. Pour tous les attaquants africains, il est le modèle à suivre", assure-t-il, en précisant que lui rêve d’Angleterre. "Ce sera un honneur de jouer contre lui et son équipe. Contre l’Inter, chacun voudra montrer que maintenant que nous jouons dans la cour des grands, nous somme capables d’être des grands nous aussi. Si on est à la hauteur, on sera la fierté de l’Afrique."
Et le nom de Dioko Kaluyituka ne sera plus un secret pour personne
- TUPAC MOUDJAHIDINE
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Re: Alain la chèvre...
TOLOBA TOLOBA TE si NONDA était venu renforcer Mazembe, on allait lui attribuer cette reussiteQuand je vois qu’aujourd’hui, je suis en finale de la Coupe du Monde et qu’Arles-Avignon est dernier de Ligue 1, je crois que j’ai fait le bon choix !"
« Quiconque en août s'endormira, en janvier s'en repentira ».
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