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« A LA RECHERCHE D’UN CLUB »©

Rédaction Football365.fr / FootSud

dimanche 23 septembre 2012 - 19h23

Formé au PSV Eindhoven, passé par Anderlecht et Chelsea avant de faire les beaux jours d’Hibernian, Yves Ma-Kalambay (26 ans) est aujourd’hui en quête d’un nouveau défi. Pour Footafrica365.fr, le grand (1m98, 95 kg) gardien international congolais fait le point sur son avenir.
Yves Ma-Kalambay, la première question est simple : que devenez-vous aujourd’hui ?
Je suis un joueur libre, à la recherche d’un club. Je m’entraîne avec Lieven Maesschalk, qui est le préparateur physique de l’équipe nationale belge.

Quel bilan faites-vous de vos dernières expériences à Swansea City et au FC Malines ?
A Swansea, ce fut une très bonne expérience, même si j’avais peu de temps de jeu. Mais j’étais dans le groupe de la première équipe galloise à accéder à la Premier League. En tant que joueur, on veut toujours jouer. Malines s’est proposé. Ils savaient que je voulais me relancer. Ils sont venus me voir avec des promesses. Leur gardien (O.Renard) devait partir ; mais il n’est jamais parti ! Et j’ai eu très peu de temps de jeu. Après trois saisons en Ecosse où j’étais titulaire, avec Hibernian, le contraste était important et pas facile à vivre. C’est pour cela que mon prochain choix sera déterminant.

Etes-vous prêt à faire des sacrifices sur le niveau de votre futur club en échange de l’assurance d’avoir du temps de jeu. En clair, à repartir de plus bas, de deuxième division ?
Oui, j’y suis prêt. Quand je regarde mon début de carrière, je m’aperçois que j’ai eu beaucoup de chance. Je n’ai évolué que dans des clubs qui visent le titre dans leur pays : le PSV, Anderlecht et Chelsea, où j’ai fait quelques bancs en Champions League. J’ai vécu de belles choses avec Chelsea, je ne regrette pas… Je suis arrivé sous Ranieri, puis ai été conservé par Mourinho. Etre conservé par Mourinho, l’entendre te dire « J’ai besoin de gardiens, montre-moi ce que tu vaux », ça fait quelque chose…

Justement, quel regard portez-vous sur l’évolution du club, avec la victoire en Ligue des Champions ?
C’est une victoire méritée, qui aurait pu intervenir plus tôt, sans l’injustice de 2009. C’est un grand club, où le travail est le maître mot. Travailler, transpirer et transpirer encore, il n’y a que cela qui marche en football.

Vous avez évolué à Chelsea entre 2003 et 2007. Avec le recul, ne regrettez-vous pas de ne pas avoir eu la chance de montrer votre talent ?
J’étais déjà surclassé très jeune, au PSV, parce que j’étais très grand. Ils voulaient me garder, puis Chelsea est venu me chercher. Je pense qu’ensuite, j’ai été un peu trop gentil. J’aurais sans doute dû demander à être prêté, à l’image de ce qu’a fait Thibault Courtois (jeune gardien belge prêté par Chelsea à l’Atletico Madrid, ndlr).

D’un autre côté, c’est un avantage d’avoir suivi sa formation dans des grands clubs…
Et dans trois pays. Aux Pays-Bas, on travaille beaucoup le jeu au pied, on aime les gardiens capables de faire remonter le bloc grâce à leur sûreté au pied. En Angleterre, avec mes quatre ans et mes deux renouvellements à Chelsea, j’ai perfectionné mon jeu aérien et mes prises de balle.

Quel type de gardien êtes-vous ?
Je me vois comme un gardien qui sait s’imposer, capable de rassurer et de coacher ses défenseurs. Je joue assez haut, j’ai une grande confiance en mon jeu au pied. Ma grande taille et l’envergure qui va avec m’aident à rassurer ma défense. Je pense avoir de bons réflexes pour un gardien grand de taille.

Le fait de parler plusieurs langues est également un atout…
Oui, cela me rend plus adaptable. Je parle français, néerlandais et anglais, cela me permet de toucher beaucoup de joueurs…

Parlons maintenant de la RD Congo, pour laquelle vous avez opté après avoir été international belge dans les catégories de jeunes. Regrettez-vous ce choix ?
Non. C’était un choix réfléchi. J’ai fait toutes mes classes avec la Belgique, j’appartenais au groupe qui a fait les JO de Pékin en 2008. En 2010, j’ai choisi le pays de mes parents, car il y a une histoire et des talents à valoriser, parce que je voulais les y aider.

Les Léopards sont pratiquement assurés de disputer la prochaine CAN. Avez-vous des contacts avec le sélectionneur, Claude Le Roy ?
Je n’ai pas trop de contacts. Mais j’ai toujours dans un coin de la tête l’idée de retrouver l’équipe nationale.

Plusieurs joueurs africains en quête d’un club en Europe ont choisi de se relancer dans leur pays d’origine, on pense à Daniel Cousin au Gabon. Y avez-vous pensé ?
Je n’ai pas encore envisagé cette possibilité. Quand on est un joueur libre, aucune hypothèse n’est à exclure.

Propos recueillis par Patrick Juillard (Rédaction Football365/FootSud)

TUPAC MOUDJAHIDINE a écrit :Trinita tika makelele, AZA MUZOMBO né na Makela do Zombo et je remercie WILMOT de mettre fin aux rêves de certains. Naza très Xénophobe envers les Bazombo et les Mitu Songè.

TUPAC MOUDJAHIDINE a écrit :Ba Dikando ( Mulumbu, Makiadi, Mbokani, Mputu, Roum, Mongongu etc....) ba souffrir po tokende Can et vous voulez ajouter un Muzombo oyo kutu abotama soki wapi

Landry Mulemo, né le 17 septembre 1986 à Kinshasa Dikando toujours

brejnev7 a écrit :
du TP Gouvernator peut bien lui offrir une fauteuil

Tabu a écrit :

TUPAC MOUDJAHIDINE a écrit :Ba Dikando ( Mulumbu, Makiadi, Mbokani, Mputu, Roum, Mongongu etc....) ba souffrir po tokende Can et vous voulez ajouter un Muzombo oyo kutu abotama soki wapi

Landry Mulemo, né le 17 septembre 1986 à Kinshasa Dikando toujours

tika makambo wana, tika tika zala mokolo
respect ebele po na bango , ba Mbala covo, Mpasi etc .... ba pesa biso pe plaisir na 20 mai
ko finga muana batu te

kompany a écrit :Blaise Matuidi aussi est muzombo.Mais celà n'empèche pas d'être imprégné de la culture congolaise.Il est d'ailleurs très pote avec shétani gola .soki a ndimi rdc boko boya .Ne comparons pas des joueurs qui chaque semaine,cotoie le gratin mondial,à des joueurs qui se distinguent face au fc nkoy ou tp mulunge