Re: Candidat No 11 – Tshisekedi
Posté : 27 nov. 2011, 19:33
INGETAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !! Qu'il en soit ainsi...Vigilance vigilance...Ba ndoki balalaka te...Dormir? oui...Mais tout en ouvrant l'oeil et le bon...
Tshisekedi gagne haut la main la présidentielle 2011
Le candidat N
O
11 plébiscité unanimement président de la RDC
Par Joël Asher Lévy
Accoutumé à la tricherie, le camp de Joseph Kabila Kabange était véritablement sûr de remporter haut la
main l’élection présidentielle. Son régime politique despotique, axé nécessairement sur la corruption en
tant que mode de gestion des affaires de l’État, était tellement sûr de son coup électoral qu’il avait pris la
précaution de placer, au sein de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), des hommes
de paille. Tel le révérend pasteur Daniel Ngoy Mulunda Nyanga, dans le but d’assurer une victoire,
pourtant, incertaine et, à tous points de vue, impensable. Malgré les sondages d’opinion très largement
défavorables, son parti de godillots gardait tout de même espoir de renverser la vapeur.
Toutefois, c’est un écran de fumée épaisse qui a fortement incommodé le camp politique et électoral de
Joseph Kabila Kabange qui n’a rien vu et rien compris de cette défaite pourtant logiquement annoncée,
manifestement inscrite dans le ciel. Donc, la surprise tant espérée et tant attendue n’est malheureusement
jamais arrivée. Même comme un voleur dans la nuit. À vrai dire, la campagne électorale a été éprouvante
pour le fameux candidat N0
3 [Joseph Kabila Kabange]. En effet, la magie n’opérait pas tout à fait. La
mayonnaise ne prenait pas à chaque sortie. Le miracle avait en effet bouché toutes ses oreilles et obstrué
sa vue à la moindre supplication du principal intéressé dans la mesure où il n’y avait pratiquement pas
[eu] de chimie et d’osmose entre lui et l’électorat, de synergie et d’interaction entre lui et la population.
D’ailleurs, lors de plusieurs rassemblements politiques, animés cependant sans passion et sans conviction
par Kabila, seuls se déplaçaient massivement de jeunes enfants
i
, ainsi que des badauds, qui ne bénéficient
malheureusement pas du droit de vote. Les images étaient à ce point sans pitié. Elles trahissaient, sans la
moindre retenue, la réalité ambiante. Sans parti pris. Comme quoi l’histoire peut être à la fois cynique et
juste. Seuls se déplaçaient comme des moutons à l’abattoir, la corde au coup, des fonctionnaires impayés
depuis des lustres et réquisitionnés par des affidés du pouvoir pour une cause perdue d’avance. Ironie du
sort, en vue d’obtenir leur soumission, le versement de plusieurs arriérés était promis en échange de leur
présence obligée sur le lieu desdites manifestations.
En effet, la population adulte jouissant en réalité des droits civiques et politiques avait déjà nettement
boycotté Joseph Kabila Kabange. Elle avait déjà scellé – irréversiblement – son sort politique, celui de sa
famille biologique et de toute son équipe, d’ailleurs, activement impliquée dans le pillage des ressources
nationales et des richesses étatiques. Celle-ci avait déjà arrêté son choix définitif sur le président national
de l’UDPS Étienne Tshisekedi wa Mulumba depuis la véritable Conférence nationale souveraine (CNS)
de 1992. Comme disent les Ivoiriens dans un français tropicalisé mais oh ! Combien fort imagé, ‘‘y a pas
match !’ ’ Tout ce qui restait à faire sans doute sur le terrain, dans le but de briser l’attente éternelle des
citoyens, c’était la proclamation effective et sans protocole de la victoire électorale non pas d’un vieil
homme résolument engagé en faveur du changement politique et du progrès démocratique mais de tout
un Peuple meurtri contre son élite, de toute une Nation asservie par ses propres dirigeants politiques et
gouvernementaux.
Tshisekedi gagne haut la main la présidentielle 2011
Le candidat N
O
11 plébiscité unanimement président de la RDC
Par Joël Asher Lévy
Accoutumé à la tricherie, le camp de Joseph Kabila Kabange était véritablement sûr de remporter haut la
main l’élection présidentielle. Son régime politique despotique, axé nécessairement sur la corruption en
tant que mode de gestion des affaires de l’État, était tellement sûr de son coup électoral qu’il avait pris la
précaution de placer, au sein de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), des hommes
de paille. Tel le révérend pasteur Daniel Ngoy Mulunda Nyanga, dans le but d’assurer une victoire,
pourtant, incertaine et, à tous points de vue, impensable. Malgré les sondages d’opinion très largement
défavorables, son parti de godillots gardait tout de même espoir de renverser la vapeur.
Toutefois, c’est un écran de fumée épaisse qui a fortement incommodé le camp politique et électoral de
Joseph Kabila Kabange qui n’a rien vu et rien compris de cette défaite pourtant logiquement annoncée,
manifestement inscrite dans le ciel. Donc, la surprise tant espérée et tant attendue n’est malheureusement
jamais arrivée. Même comme un voleur dans la nuit. À vrai dire, la campagne électorale a été éprouvante
pour le fameux candidat N0
3 [Joseph Kabila Kabange]. En effet, la magie n’opérait pas tout à fait. La
mayonnaise ne prenait pas à chaque sortie. Le miracle avait en effet bouché toutes ses oreilles et obstrué
sa vue à la moindre supplication du principal intéressé dans la mesure où il n’y avait pratiquement pas
[eu] de chimie et d’osmose entre lui et l’électorat, de synergie et d’interaction entre lui et la population.
D’ailleurs, lors de plusieurs rassemblements politiques, animés cependant sans passion et sans conviction
par Kabila, seuls se déplaçaient massivement de jeunes enfants
i
, ainsi que des badauds, qui ne bénéficient
malheureusement pas du droit de vote. Les images étaient à ce point sans pitié. Elles trahissaient, sans la
moindre retenue, la réalité ambiante. Sans parti pris. Comme quoi l’histoire peut être à la fois cynique et
juste. Seuls se déplaçaient comme des moutons à l’abattoir, la corde au coup, des fonctionnaires impayés
depuis des lustres et réquisitionnés par des affidés du pouvoir pour une cause perdue d’avance. Ironie du
sort, en vue d’obtenir leur soumission, le versement de plusieurs arriérés était promis en échange de leur
présence obligée sur le lieu desdites manifestations.
En effet, la population adulte jouissant en réalité des droits civiques et politiques avait déjà nettement
boycotté Joseph Kabila Kabange. Elle avait déjà scellé – irréversiblement – son sort politique, celui de sa
famille biologique et de toute son équipe, d’ailleurs, activement impliquée dans le pillage des ressources
nationales et des richesses étatiques. Celle-ci avait déjà arrêté son choix définitif sur le président national
de l’UDPS Étienne Tshisekedi wa Mulumba depuis la véritable Conférence nationale souveraine (CNS)
de 1992. Comme disent les Ivoiriens dans un français tropicalisé mais oh ! Combien fort imagé, ‘‘y a pas
match !’ ’ Tout ce qui restait à faire sans doute sur le terrain, dans le but de briser l’attente éternelle des
citoyens, c’était la proclamation effective et sans protocole de la victoire électorale non pas d’un vieil
homme résolument engagé en faveur du changement politique et du progrès démocratique mais de tout
un Peuple meurtri contre son élite, de toute une Nation asservie par ses propres dirigeants politiques et
gouvernementaux.