Après match 14/12 : TPM 2 Vs 0 Inter Porto-Alegre

[Ilunga]

Ba vérités na ba vérités ezo bima kaka :








Hier 20:46

Tex
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Re : Coupe du monde des clubs de la FIFA - Abu Dhabi 8 - 18 décembre 2010
UltraSlan a écrit :

TPM prépare une équipe depuis 10ans, comme résultat : final coupe de monde des clubs.
TPM donne l'exemple d'une équipe qui n'a pas une défense solide mais par contre une attaque terrible, comme résultat : final coupe de monde des clubs.
J'espère que notre équipe fait de même pour CL2011

+ un goal qui rassure ses défenseurs.
la victoire de l EST par 3/0 a joué un grand role puisque c est la cause de l avènement de ce grand entraineur qu est ndiaye. l équipe joue à l européene ( puissance physique et tactique) .
c est pour cela que les brésiliens en chute libre depuis des mois n ont rien pu faire vu que les congolais leur étaient techniquement supérieurs.

[Ilunga]

Hier 21:00

UltraSlan
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Re : Coupe du monde des clubs de la FIFA - Abu Dhabi 8 - 18 décembre 2010
Tex a écrit :

.....congolais leur étaient techniquement supérieurs.

ça résume tout, ils ont des joueurs talentueux avec un style de jeu à l'européenne, à toi d'imaginer le reste

[BXL]

RIEN SUR L'EXPLOIT DE MAZEMBE DANS LES JOURNAUX BELGES .
NA PESI JB RAISON
JB Mpiana : « Les Belges s’occupent trop de la politique de la Rdc mais, pas de la promotion de notre culture »

[Ilunga]

Eh oui...





Hier 21:20

Tex
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Re : Coupe du monde des clubs de la FIFA - Abu Dhabi 8 - 18 décembre 2010

ANIS
imaginons que nous ayions gagné la cl 2010 , crois tu que nous serions arrivés en finale de coupe du monde des clubs ?
avec le recul , les choix tactiques de benzarti ont une place non negligeable dans ce qui s est passé . déjà , ce que n a pas réussi al ahly en 2éme mi temps au caire , les congolais l ont fait.

à mon avis , il faut batir une solide équipe pour l afrique et pour le mondial. c est ainsi qu on devient invincibles.

[Ilunga]

BXL a écrit :

"JB Mpiana : « Les Belges s’occupent trop de la politique de la Rdc mais, pas de la promotion de notre culture »





C'est si bien senti comme remarque !

[Santoss]

Quelque soit l’issue de cette coupe du monde des clubs, le TP Mazembe restera le vrai champion.
L’équipe Lushoise a remportée deux matches face à des adversaires coriaces (Amérique du Nord/sud).
Les Congolais n’ont pas concédés des buts lors de leur deux premières sorties.

C’est une grosse fierté pour l’Afrique Noire et surtout pour la RDC.

En finale face à l’Inter que j’espère, ça ne sera que du bonus et sur un seul match, tout peut arriver.

Chapeau bas au TP Mazembe et à Moïse Katumbi.
Moïse a démontré par A+B que seul le travail est la clé de toute réussite.
L’équipe actuelle des Corbeaux est le fruit d’un long travail de 10 ans.
Il ne faut jamais sous-estimés nos frères du pays, donnons leurs des véritables cadres pour s’exprimer et vous verrez que des Mazembe on pourrait en avoir plus de 10.
Imaginons un seul instant l’organisation d’un véritable championnat national ?

Arrêtons d’opposer pros-locaux, ils sont avant tout Congolais.
Je reste convaincu que l’apport des expatriés sera toujours nécessaire, mais à condition qu’il y ait derrière une politique capable de subvenir aux besoins du professionnalisme.
En 12 ans de suivi assidu des Léopards, je ne pense pas qu’il y aura des changements de si tôt, d’où faisons avec le TP Mazembe auquel on associerait 5 à 10 pros au maximum !!!
Ne cherchons plus midi à 14.00.

[BXL]

Mondiale, miracolo Mazembe
Internacional, sconfitta storica
Clamoroso nella prima semifinale ad Abu Dhabi: gli africani battono 2-0 gli strafavoriti brasiliani grazie alle reti di Kabungu e Kaluyituka nella ripresa. E' la prima volta che una squadra europea o sudamericana non disputerà la finale della massima competizione per club
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L'esultanza di Kabungu, autore del gol dell'1-0. Ap ABU DHABI (Emirati Arabi), 14 dicembre 2010 - Tout Puissant Mazembe. L’onnipotente Mazembe, anche se suona un po’ blasfemo. Il Mazembe può tutto. Anche dare un senso a questa formula del Mondiale per club, che fino a quest’anno aveva sprecato partite per riproporre la solita finale dell’Intercontinentale: Europa contro Sudamerica. Invece, this time is for Africa, come canta da troppo tempo Shakira. I congolesi del Mazembe si guadagnano la finale: ma quale Inter contro Inter, il continente nero si prende un posto in finale. Dopo aver fatto fuori il Pachuca messicano, piazza un 2-0 ai maestri brasiliani dell’Internacional, calati ad Abu Dhabi con un seguito di tifosi enorme e con legittime aspettative.

IL MAZEMBE PUO’ TUTTO — Ekanga, Nkulukuta, Kabangu, Kaluyituka: gli interisti inizino a studiare questi nomi, sono loro gli avversari di sabato, sudcoreani permettendo. Rafa Benitez, oggi in tribuna, avrà già iniziato a farlo, tutti gli altri si adeguino. Altro che D’Alessandro, qui brillano le stelle congolesi che hanno una marca di pnematici come sponsor (Englebert), un senegalese come allenatore (N’Diaye) e un governatore del Katanga (la loro regione) come presidente. Intanto, il Mondiale ha già trovato un personaggio assoluto: è il portiere Muteba Kidiaba, protagonista di un'esultanza che farà il giro del mondo e farà scuola, con buona pace dei fondoschiena, nei cinque continenti. Un saltello da seduto che richiede parecchi addominali e una buona dose di follia: provatelo, diventerà un must.


La festa dei giocatori del Mazembe. Reuters I GOL — Il gol del Mazembe arriva come un fulmine all’8’ della ripresa: Ekanga colpisce di testa come viene una palla al limite dell’area dell’Internacional. Diventa un assist per l’ossigenato Kabangu, che la doma alla grande e poi mentre scende la colpisce con un destro a giro sul secondo palo: 1-0. L’Internacional preme, Kidiaba respinge tutto al mittente, e quando non c’è lui, manca la mira. Dai e dai, pareggeranno, si pensa. Invece a 5’ dalla fine Kidiaba rinvia coi piedi e pesca nella metà campo avversaria Kaluyituka: doppi passi, uno contro uno contro Bolivar e poi tiro secco sul primo palo: 2-0 e finale raggiunta. Il Mazembe può tutto.

SQUADRA SOLIDA — Prima del fischio d’inizio il Mazembe assolve ai doveri folkloristici, piazzandosi con undici uomini sulla linea di porta, in ginocchio, per una preghiera guidata dal portiere Kidiaba. Durante la gara, però, gli africani non fanno barricate: ok, stanno chiusi dietro, ma puntano a ripartire in velocità col 4-3-3 che ha in Kaluyituka il vertice offensivo. Il centravanti è pericoloso soprattutto quando si sposta a sinistra: se ne va sempre in velocità, Nei lo soffre, ma poi entra in area e non trova l’ultimo passaggio o la conclusione vincente. Kabangu mostra presto un bel tiro, Nkulukuta oltre a una pettinatura "coraggiosa" ha corsa e interdizione, Ekanga sa passare la palla, gli altri corrono, tengono le posizioni e rompono il gioco. Basta questo, e non è poco, per il miracolo Mazembe.

Vuoi ricevere tutte le notizie sull' inter direttamente sul tuo cellulare? Clicca qui ! BRASILIANI TRISTI — L’Internacional torna a casa. O meglio, non potrà nemmeno tornare a casa, dovrà giocare il terzo posto e piangere per giorni l’occasione buttata via, a cui peraltro ha sacrificato gli ultimi sei mesi. La squadra di Roth imbastisce spesso una fitta rete di passaggi, fa salire molto i terzini Nei e Kleber. Tinga e D’Alessandro incrociano per non dare punti di riferimento, ma raramente trovano spazi. In realtà Sobis avrebbe la palla buona già all’11’, su cross basso di Nei, ma Kidiaba non è tutto chiacchere e treccine. La punta, ex oggetto del desiderio sul mercato, ha altre due occasioni enormi: solo davanti a Kidiaba lo centra (60’), poi manda alto di testa (64’). Nel corso del secondo tempo Roth cambia tutto l’attacco, Giuliano cambia marcia, ma anche il suo tiro a botta sicura è parato. A occasioni create, non c’è gara, ma il calcio è così. This time is for Africa. La finale è già un’impresa, ma la storia potrebbe non essere finita.

dal nostro inviato
Valerio Clari
© RIPRODUZIONE RISERVATA

[BXL]

Quelque soit l’issue de cette coupe du monde des clubs, le TP Mazembe restera le vrai champion.
L’équipe Lushoise a remportée deux matches face à des adversaires coriaces (Amérique du Nord/sud).
Les Congolais n’ont pas concédés des buts lors de leur deux premières sorties.
C’est une grosse fierté pour l’Afrique Noire et surtout pour la RDC.
En finale face à l’Inter que j’espère, ça ne sera que du bonus et sur un seul match, tout peut arriver.
Chapeau bas au TP Mazembe et à Moïse Katumbi.
Moïse a démontré par A+B que seul le travail est la clé de toute réussite.
L’équipe actuelle des Corbeaux est le fruit d’un long travail de 10 ans.
Il ne faut jamais sous-estimés nos frères du pays, donnons leurs des véritables cadres pour s’exprimer et vous verrez que des Mazembe on pourrait en avoir plus de 10.
Imaginons un seul instant l’organisation d’un véritable championnat national ?
Arrêtons d’opposer pros-locaux, ils sont avant tout Congolais.
Je reste convaincu que l’apport des expatriés sera toujours nécessaire, mais à condition qu’il y ait derrière une politique capable de subvenir aux besoins du professionnalisme.
En 12 ans de suivi assidu des Léopards, je ne pense pas qu’il y aura des changements de si tôt, d’où faisons avec le TP Mazembe auquel on associerait 5 à 10 pros au maximum !!!
Ne cherchons plus midi à 14.00.

ERKA, PRIERE DE TRANSFERER CE POSTING AU GRAND MUSWAHILI OMARI

[kobolifronti]

Je vois que les esperantistes commencent a revenir a la raison, certains en tout cas. Ils sont maintenant edifies sur la solidite de Mazembe. Ehhh bazo teyama

[BXL]

Lamine N’Diaye : «Les Brésiliens se voyaient déjà en finale»

L'entraîneur sénégalais du Tout Puissant Mazembe, Lamine N'Diaye.
ReutersPar RFI
Lamine N’Diaye, l’entraîneur sénégalais du Tout Puissant Mazembe, était heureux de la qualification historique de son équipe pour la finale de la Coupe du monde des clubs FIFA 2010. Tout le contraire du vaincu en demi-finale, Celso Roth, le coach du club brésilien Inter Porto Alegre. Réactions à la fin du match.
Lamine N’Diaye, entraîneur du Tout Puissant Mazembe :
« Je suis très content, comme toute l’équipe. Je suis fier des joueurs car ce qu’ils ont réalisé est énorme. On rencontrait un ancien vainqueur de la Coupe du monde des clubs. Tout le monde donnait Porto Alegre vainqueur, mais un match de football, ça ne se gagne pas avec la bouche. Les Brésiliens se pensaient déjà en finale. Ça a motivé mes joueurs même si on a été crispé par l’enjeu durant les premières minutes. Ils sont rentrés avec beaucoup de respect vis-à-vis de l’adversaire puis ont commencé à se lâcher au bout de 20 minutes. Et en deuxième période, ils se sont complètement libérés.

Déo Kanda, attaquant du Tout Puissant Mazembe :
« Le Brésil n’est pas un petit pays de football. Ça n’a pas été facile d’affronter une équipe brésilienne. Mais c’est aussi ça la réalité du football et nous voilà en finale. C’est un rêve qui est devenu réalité. J’ai toujours voulu jouer un jour contre l’Inter Milan. J’espère que les Milanais seront nos adversaires ! »

Pamphile Miyaho, milieu de terrain du Tout Puissant Mazembe :
« Lorsque nous sommes rentrés au vestiaire à la fin de la première mi-temps, nous nous sommes dit que tout était possible. Après le premier but, nous nous sommes libérés et avons pensé que nous allions ‘manger’ notre adversaire ce soir. […] Notre adversaire en finale n’est pas encore connu mais nous sommes désormais dans l’obligation de remporter la Coupe. »

Celso Roth, entraîneur de Porto Alegre :
« Nous nous sommes créé plusieurs occasions de but. Nous semblions meilleurs mais ne pouvions rien faire. Mazembe a très bien défendu et a su concrétiser ses deux occasions. C'est le football. C'est pour cela que nous sommes très déçus. Les supporteurs comptaient sur nous pour remporter ce Mondial, nous aussi. Comme Pachuca (battu 1-0 par Mazembe en quart de finale), nous avons produit un meilleur jeu (que notre adversaire), nous avions les meilleures occasions, mais avons perdu à la fin. Ce sont des choses qui arrivent en football. »

Fabian Bolivar, capitaine de Porto Alegre :
« Je suis très triste. C'est difficile d'exprimer ce que nous ressentons. Nous avons eu des occasions mais Mazembe a pu profiter de nos erreurs et sa rapidité (en contre) a fait la différence. En seconde période, nous avons aussi tenté (de marquer) mais son deuxième but a fini par dérégler totalement notre jeu. »

Tous propos recueillis par Kabulo Mwana Kabulo (sauf Roth et Bolivar)

tags: Football - RDC - Sports