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Bureau d’Etudes, Expertise et Stratégies
BEES
Le signification réelle de la signature du Code de bonne conduite
BEES 130
Réf. : UDPS/BEES/130/23/08/2011
Il n’y a que deux Camps au Congo/Kinshasa :
- Le Camp des forces d’occupation étrangère et leurs complices congolais esclaves consenntants. Ces forces d’occupation et leurs complices congolais sont des ennemis de notre Pays et de notre Peuple. Ce Camp est constitué par une minorité d’individus (imposteurs, mercenaires étrangers et congolais collabos, traîtres, complices, médiocres, pervers, opportunistes et aventuriers), mais trompe l’opinion en s’appelant « Majorité Présidentielle ». Il s’agit d’une majorité artificielle, virtuelle et fausse. Le périple de notre Leader Etienne Tshisekedi au sein de la Diapora congolaise, à Kinshasa et à l’intérieur de notre Pays est en train de démontrer cette Vérité. Ce Camp de minorités a changé plusieurs fois de noms (AFDL/CPP/PPRD/AMP/MP...), de formes et d’apparences mais sans changer de nature et de fond : c’est une pure créature dees étrangers par les étrangers. Ce Camp reçoit ses ordres, ses instructions et ses directives de ses génitauers, tuteurs et parrains étrangers. Sr place au Congo/Kinshasa ces étrangers ont placé à la tête de Camp un administrateur général. Celui-ci et les autres qui occupent des postes dans ce Camp sont des exécutants fidèles et serviles de ces instructions, directives et ordres reçus de l’Etranger. Dans ce Camp, les autres occupent les postes les plus importants de direction et de commandement, les postes stratégiques et névralgiques. Les congolais complices y sont des figurants, des paravents, des boucliers humains. Même s’ils occupent des postes de responsabilité, ils sont surveilles et tenus à l’oeil par leurs subalernes étrangers. L’actuel chef de file de ce Camp (Arido Hyppolite Kanambe, alias « joseph kabila ») est un imposteur, un tyran et un monstre qui a été parachuté - les mains toutes tachetées de sang de Laurent-Désiré Kabila et de tant d’autres victimes - dans le Palais Présidentiel par un trou dans le Toit du Palais ( janvier 2001), par la fenêtre (après le Dialogue Intercongolais, 2002-2003) et par la porte de derrière (la parodie électorale de 2006). Ce Camp a imposé dans notre Pays un système de pouvoir tyrannique, esclavagiste, arbitraire, génocidaire et prédateur .
- Le Camp du Peuple et des Serviteurs du Peuple qui sont les forces de progrès, les Fils du pays, les patriotes, les hommes d’Etat, les démocrates et les humanistes. C’est le Camp de la Vraie Majorité. Ce Camp lutte pour instaurer dans notre Pays un Etat de droit démocratique, pluraliste, moderne et prospère géré par les Meilleurs Fils de notre Pays démocratiquement élus et capables de gérer la Nation selon les règles de la bonne gouvernance, les principes démocratiques, l’économie du marché et préserver les intérêts partagés de notre Population et de nos Partenaires. Ce Camp compte plusieurs Martyrs de l’Indépendance et de la Démocratie. est marqué par de nombreux Martyrssa lutte dans un long processus choisi M. Etienne Tshisekedi en tant que l’Unique Candidat à l’Election Présidentielle du 28 novembre 2011. Ce Camp n’est pas divisé. Il est marqué et façonné par une longue histoire de lutte âpre qui forme la trame du long processus démocratique national ; il vit en symbiose et en osmose constantes avec notre Peuple ; il vit en communion de coeur, d’esprit, d’idéal et de valeur avec notre Peuple ; il est uni autour des idéaux et valeurs démocratiques et humanistes et autour du Leader Etienne Tshisekedi Wa Mulumba.
- Le 3ème Camp est est virtuel et factice : il est occupé par les enfants siamois et agents masqués du 1er Camp. Ce Camp est créé par la stratégie qui consiste à tromper l’opinion que les forces de progrès sont divisées afin de justifier la fraude électorale préprogrammée, pour novembre prochain, en faveur de l’imposteur Arido Hyppolite Kanambe, alias « joseph kabila ». Dans ce Camp se trouvent les mêmes organisations et individus qui sont des appendices du conglomérat AFDL/CPP/PPRD/AMP/MP, c’est-à-dire des forces d’occupation étrangère qui ont mis notre Pays à feu et à sang. Les « leaders » qui occupent ce Camp sont des leaders virtuels. Il n’y pas longtemps, nous avons vu certains des soit-disants leaders, comme Kamerhe, sur la 1ère ligne du front du conglomérat AFDL/CPP/PPRD/AMP/MP, épée à la main, sourire aux lèvres, en train de faire le lobbying de son frère siamois imposteur lors de la parodie électorale de 2006, d’égorger nos Martyrs de l’Indépendance et de la Démocratie et de trancher impitoyablement la tête des Combattants de liberté Membres du Camp des Forces de progrès.
Le fait que les forces d’occupation et leurs complices congolais esclaves consentants (entassés parmi les gouvernants congolais et à la CENI) veulent faire signer le Code de bonne conduite à l’UDPS et à toutes les forces en présence est la preuve qu’ils (ces gouvernants et la CENI) savent qu’ils sont vomis et haïs par le Peuple ; qu’ils vont frauder aux élections et publier de faux résultats ; que le Peuple va rejeter ces faux résultats, se révolter contre eux et les chasser du pouvoir à partir de la rue; que le Peuple est aux côtés de l’UDPS et des autres forces de progrès.
Et le fait de vouloir faire signer le Code de bonne conduite à l’UDPS et aux autres forces est une ruse et une stratégie pour lier l’UDPS et les autres forces de progrès par un texte et prévenir que l’UDPS et les autres forces de progrès ne provoquent la révolution populaire de la rue pour chasser du pouvoir les gouvernants actuels comme le Printemps arabe. Et dès que ce « momentum » aura passé, ces gouvernants resteront au pouvoir, ils vont intensifier la tyrannie et parachever la mission leur confiée par leurs géniteurs, tuteurs et parrains étrangers, à savoir conduire le Congo vers le Désastre total, le Génocide complet et le Chaos final.
C’est beaucoup plus la signature de l’UDPS – Force de Progrès qui a la majorité du Peuple derrière elle - qui est recherchée dans ce Code de bonne conduite car en 2006 où l’UDPS n’a pas participé à la parodie électorale, il n’a pas été question d’un quelconque code de bonne conduite. Le pouvoir, le MLC et le PALU ont signé seuls un texte d’alliance pour le partage des postes du pouvoir. Ce alliance est à la base de tous les malheurs actuels de M. Jean-Pierre Bemba.
Les paléo-révolutionnaires du conglomérat AFDL/CPP/PPRD/AMP/MP n’ont pas la culture du respect des textes et n’en respectent aucun tant qu’ils ne sont pas forcés par des pressions.
Violation de leur propre constitution
Ils l’ont révisée à quelques mois des élections sans respecter les conditions constitutionnelles prescrites pour sa révision. Ils se sont moqués de la position de l’Opposition dite institutionnelle qui a quitté la Salle du Palais du Peuple en signe de protestation. Ils n’ont pas consulté l’avis du Peuple par un référendum.
Violation des Résolutions de la Conférence Nationale Souveraine
Ils ont jeté dans la poubelle de l’histoire les Résolutions de la Conférence Nationale Souveraine et craché sur tous les acquis positifs du processus démocratique obtenus au prix du sang par notre Peuple.
En effet, à leur arrivée au pouvoir le 17 Mai 1997, ils ont voulu créer une nouvelle société au Congo ex tabula rasa, ex nihilo, à partir de rien, comme une génération spontanée, un surgissement pur en balayant d’un revers de la main tout ce qui avait été acquis grâce au sang des Martyrs versé depuis le 30 Juin 1960 et qui avait permis d’initier le processus démocratique dans notre Pays après la colonisation ; aux sacrifices consentis et à tous les efforts déployés par notre Peuple contre la tyrannie du régime de Mobutu et qui avaient acculé ce dernier, sous la pression interne conduite par l’UDPS et la pression extérieure venant du Vent de l’Est de la Perestroïka, à organiser les consultations populaires de janvier-février 1990 à l’issue desquelles lui-même, tous les organes du Parti-Etat MPR et ses animateurs perdirent la légitimité populaire ; à prononcer le 24 Avril 1990 le Discours historique au cours duquel Mobutu perdit la légitimité juridique par rapport à sa propre constitution ; et à convoquer la Conférence Nationale Souveraine (7 Août 1991-6 Décembre 1992) au cours de laquelle, pendant 16 mois, les 2850 Délégués représentatifs de toute la Société Congolaise firent la relecture de l’histoire nationale, diagnostiquèrent la nature et la cause profonde de la crise congolaise et balisèrent l’avenir de la Nation en prenant la Solution adéquate et appropriée à la crise : les Actes historiques de la CNS qui étaient les Fondements d’un Etat de droit démocratique pluraliste, moderne et prospère.
A Suivre
Fait à Bruxelles, le 27 Août 2011.
Pour le BEES
Dr François Tshipamba Mpuila
Coordonnateur
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