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Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 26 août 2011, 10:41
par EricBy
EricBy a écrit :MASOLO YA SERVEUR YA CENI TOKO TIKA YANGO TE...
LA VICTOIRE NOUS APPARTIENT LE PEUPLES CONGOLAISE.

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 26 août 2011, 12:05
par Ilunga
Élection 2011 : Fraude confirmée, match éza mabé, Albitre corrompu !‏

Congomikili.com le site qui vous informe à la source, a réçu pour vous deux experts qui après enquête , preuves à l’appui nous démontre comment les élections prévu pour novembre 2011 sont déjà truqués à l’ avance avec la complicité des organismes internationaux qui ne veulent pas le changement dans notre cher pays le Congo. Contactez : Eugène BAKAMA président du CAD au 0032 474 607 198 et BENJAMIN KALOMBO Président de L’APRODEC au 0032 484 925 836. Congomikili.com boulot nde !

http://congomikili.com/election-2011-fr ... 80%8F.html

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 26 août 2011, 13:44
par tony yave
Ilunga a écrit :Élection 2011 : Fraude confirmée, match éza mabé, Albitre corrompu !‏

Congomikili.com le site qui vous informe à la source, a réçu pour vous deux experts qui après enquête , preuves à l’appui nous démontre comment les élections prévu pour novembre 2011 sont déjà truqués à l’ avance avec la complicité des organismes internationaux qui ne veulent pas le changement dans notre cher pays le Congo. Contactez : Eugène BAKAMA président du CAD au 0032 474 607 198 et BENJAMIN KALOMBO Président de L’APRODEC au 0032 484 925 836. Congomikili.com boulot nde !

http://congomikili.com/election-2011-fr ... 80%8F.html

:haha: :haha: :haha: :haha: des aventuriers, venez sur place au Congo vous faite l'opposition loin du pays et les autres qui payent souvent.

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 28 août 2011, 16:12
par Ilunga
Eh ben ! Ces gens seront arrêtés...Y aura pas de "révolution-pardon"...C'est criminel tout ça !






KATUMBA MUANKE le masque de la tricherie tombe.

par Congolias Limbembeyayi, lundi 22 août 2011, 17:27

voici l'intégralité de l'article,

Des sources proches d’une institution financière internationale sérieuse à Washington nous laisse entendre qu’ il ya plus d’un mois que la Banque Centrale Sud africaine a saisi des centaines de millions de dollars (350 millions) en provenance de la Chine. Cet argent proviendrait des différentes entreprises chinoises de constructions œuvrant à Kinshasa dans le cadre de 5 chantiers de la République. Cet argent était viré vers un compte de monsieur Katumba Muanke .
N’étant pas fatigué d’emmagasiner des millions de dollars sur ses comptes dans plusieurs pays (Israël, Angola, Chine) pour son propre compte et celui de son chef, de l’argent sale provenant de la corruption, Katumba Muanke a voulu une fois de plus gérer ce qui ne lui appartient pas.
L’indépendance de la Banque central sud africaine a beaucoup joué dans le blocage de cet argent, une Banque dirigé par une femme de poigne issue de l’ANC.
Mais cette fois-ci toute tentative de déblocage à échoué, des sources surs nous indique que cet argent devait servir à la corruption aux élections de Novembre 2011. Katumba Muanke qui a séjourné récemment en Afrique du Sud pour tenter de débloquer cette situation avec l’appui de l’ambassadeur sud africain à Kinshasa Ntsiki Mashimbye, acheté à coup des millions par Katumba Muanke pour ses fins, et l’ambassadeur Congolais à Pretoria monsieur Mpoko. Le tarif proposé par Katumba Muanke pour celui qui serait en mesure de débloquer cet argent s’élève entre 5 à 15 millions de dollars. Ceci n’a pas ébranlé la moralité des responsables de la Banque Sud africaine, qui soupçonnent le blanchissement de l’argent sale. Le motif évoqué par M. Katumba, prétendant que cet argent servirait à la réfection du Grand hôtel Kinshasa n’a pas convaincus les autorités de la Banque ni les autorités politiques qu’il a essayé de manipuler.
Cependant, il sied de souligner que Katumba essaye d’entrer par infraction dans le milieu du président sud africaine Jacob Zuma par le biais de l’ambassadeur sud africaine à Kinshasa citer ci haut, venu à Kinshasa, terre de prédilection des corrupteurs pour se remplir le poche.
Qui ne sais pas que Katumba à financer le dissident de l’ANC vers le parti Cope dans un passé récent ? Tous les services occidentaux opérant en Afrique du Sud ont dénoncé cette affaire ; une tentative de déstabilisation vieux de plus de 100ans aujourd’hui.
Tout celui qui rencontrera sur son chemin Kabila, Katumba et Katumbi (congloméra des corrompus), doit savoir que la machine qui a rendu cette nation pauvre et son peuple c’est eux les artisans et ils doivent payer très chère, il en est de même pour leur familles aux USA, en Afrique du Sud, Angleterre Belgique, France etc. nous donnons à ces rayons une dernière date le 28 octobre pour qu’ils quittent le pouvoir. Ces plus de 350 millions de dollars qui constituent les opérations retour des surfacturations faites par les entreprises chinoises aux pourvoyeurs (KABILA et KATUMBE MUANKE,BOSHAB) le cas du boulevard Lumumba 5 à 6 km facturé à 80 millions au lieu de 20 au maximum 24 millions. Ce dossier est suivi par toute la communauté internationale.

Et maintenant que le secret est dévoilé, le peuple congolais doit se prendre en charge pour suivre pas à pas cette affaire rocambolesque. Au moment où toutes les maladies éradiquées à travers le monde envahissent la RDC. C’est le cas à Kinshasa depuis près de 2 mois, la peste, la polio, le choléra etc.

Et au moment où les hôpitaux enterrent tous les prématurés faute du courant dans les fosses communes, au moment où la ville de Kinshasa connaît des délestages en eau et en électricité que ce scandale arrive. Une très grande marche doit être faite le jour du dépôt de candidature de Kabila à la Ceni devant l’ambassade sud africaine et à Pretoria devant le siège de l’ambassade sud africaine. Une marche qui doit se terminer à l’ambassade de la RDC à Pretoria. Le 4 à Kinshasa et le 5 en Afrique du sud. Pour un Congo uni !!!!!!!!!!!!!!!!

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 30 août 2011, 12:12
par Ilunga
Sur le site Beni-Lubero Online, Oscar Kambale Masimengo, un Congolais du Canada, publie un long « papier » explicatif : « Pourquoi la CENI fait-elle de l’audit du fichier électoral un tabou? » (Il était assez logique que ‘info, dans ce domaine, vienne d’outre-Atlantique, où le vote électronique, mais aussi la fraude subséquente, sont plus développés que dans l’Ancien Monde. NdlR)

« Les experts en informatique sont formels : A cet âge de l’informatique, le programmateur du serveur électoral, gère les élections. Ainsi, par exemple, avec la programmation informatique un vote pour Mr X dans un bureau de vote peut se transformer en vote pour Mme Y sur le serveur. Tout dépend de la programmation du serveur. Autrement dit, celui qui programme le serveur électoral d’un pays est en mesure de programmer le gagnant et le perdant, pendant que sur terrain les candidats et leurs supporteurs se laissent distraire par lequel d’entre eux fait le plein du Stade des Martyrs.
Pour minimiser cette possibilité de fraude informatique, la commission électorale doit être indépendante de tout parti politique pour inspirer confiance aux uns et aux autres. Elle doit se mettre à l’écoute de toutes les parties aux élections, répondre dans la clarté aux différents griefs, être transparente dans le pilotage du processus électoral, etc.
Dans le cas de la RDC, le constat est que sa Commission Electorale Nationale Indépendante (en sigle CENI) n’inspire pas confiance à tous les électeurs et partis politiques. Souvent toute prise de position de la CENI est considérée comme celle de la majorité au pouvoir à cause de l’appartenance de son président au parti au pouvoir, le PPRD. En d’autres termes, l’indépendance de la CENI est mise en doute par plus d’un congolais.
C’est ainsi que plusieurs partis d’opposition pensent que la CENI refuse l’audit et la gestion concertée du fichier électoral parce que c’est là que se trouve son secret, notamment les bureaux et les électeurs fictifs, les électeurs non-congolais, l’enrôlement des enfants et des militaires, etc.
D’autres opposants vont jusqu'à prédire que les élections du 28 novembre 2011 se gagneront plus dans le serveur électoral made in China que dans les urnes. »


Qu’en est-il de la situation en 2011 ?
Plusieurs observateurs pensent que la programmation du serveur électoral de 2011 a été faite ou est en cours de montage dans une firme chinoise. Sachant que l’octroi d’un tel marché stratégique relève de la discrétion du pouvoir organisateur des élections et du Président de la CENI, les partis politiques de l’opposition congolaise ne devraient pas se cramponner seulement sur l’intégration de leurs agents techniques dans l’équipe technique de la CENI. En effet, les agents techniques congolais, qu’ils soient de l’opposition ou du pouvoir, peuvent être réduits en des simples agents de saisie ou des manœuvriers, dans la mesure où ils n’auraient pas participé à la programmation du serveur électoral.

Ainsi donc, pour se rassurer de la véracité des résultats des urnes, le peuple congolais dans son ensemble doit exiger qu’un outil de souveraineté comme le serveur électoral soit réalisé par des experts congolais de confiance. La RDC regorge d’experts en informatique capables de monter un serveur électoral. Il faudrait ainsi voter une loi qui interdit tout recourt à des experts étrangers (qui par ailleurs coûtent très chers) dans un domaine de souveraineté nationale où la RDC possède ses propres experts.
Que faut-il faire maintenant qu’il ne reste plus que deux mois avant la tenue des élections dont le serveur viendra de Chine ?
En attendant que la RDC monte son propre serveur électoral sous la supervision des partis politiques toutes tendances confondues, plusieurs voix s’élèvent pour exiger immédiatement le comptage manuel des bulletins des votes sur toute l’étendue de la République. Cette pratique que même les USA avait utilisée pour départager George W. Bush du candidat malheureux Al Gore, est ce qui peut faire échec aujourd’hui à d’éventuelles fraudes ou manipulations des votes programmées d’avance. Bien que longue, cette méthode aurait l’avantage d’être fiable, moins couteuse, plus pratique et démocratique dans une RDC où l’internet n’est pas une tasse de thé pour tous. La RDC ne devrait plus jamais organiser des élections dont elle ne sait concevoir longtemps en avance l’organisation, le pilotage, le financement, la securité, etc. Le calendrier électoral doit être connu cinq ans à l’avance et rester le même pour toutes les élections pour éviter que les hommes au pouvoir ne s’en servent pour maximiser leur avantage ».
On peut prendre connaissance du texte complet sur BLO ou sur http://www.congoforum.be/fr/analysedeta ... e=selected



(Les conclusions de Mr. Kambale Masimengo appellent, à notre avis, deux commentaires. Le calendrier électoral – au moins la date d’échéance - était connu à l’avance. C’est dans l’installation de la CENI et des modifications législatives de dernière minute que l’on a pris du retard. En outre, obnubilé par le comptage électronique des résultats, il perd de ve que les voix que l’on compte ne seront pas fiables, tant que la mise à jour par le RAPTA ne s’appuiera pas sr un recensement préalable de la population.
D’autre part, il semble partir du principe qu’un technicien étranger serait forcément malhonnête, alors qu’un technicien congolais serait pas définition un modèle de vertu civique. Sans doute serait-il surtout essentiel que la rémunération de ces techniciens – quelle que soit leur origine – ainsi que le payement du matériel soient assurés par une caisse qui soit politiquement neutre, qu’elle soit congolaise u internationale. On est loin du compte ! Les politiciens congolais confondent volontiers l’intérêt du pays avec le leur propre, et les bailleurs de fonds étrangers sont en général « bien disposés » dans la mesure de leur implication dans le pillage du Congo ! NdlR)

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 30 août 2011, 12:38
par Ilunga

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 30 août 2011, 17:13
par Ilunga
L’UDPS envisage d’organiser une marche pacifique le 1er septembre prochain


Jacquemain Shabani Lukoo, secrétaire général de l’UDPS. Photo CIC

Le secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), M. Jacquemain Shabani, a annoncé lundi 29 août, au cours d’un point de presse, au siège de ce parti, l’organisation, le 1er septembre prochain, d’une marche pacifique pour réclamer la fiabilité et la crédibilité du processus électoral.

M. Shabani a souligné que son parti entend maintenir la pression sur la Commission électorale nationale indépendante (CENI) en vue d’obtenir l’accès des experts indépendants au serveur central, à la base de données des électeurs enrôlés en 2006 et en 2009 ainsi qu’à l’actuel fichier électoral qui doivent être mis, selon l’UDPS, à la disposition de ces experts pour assurer la transparence du processus électoral.

L’UDPS tient également à la publication par la CENI de la liste et de la cartographie de 73.000 bureaux de vote par province et par circonscription électorale. Le bureau de la CENI, rappelle-t-on, est composé de 4 délégués de la majorité au pouvoir et 3 de l’opposition qui ne cessent d’assurer la classe politique congolaise de leur détermination d’organiser des élections démocratiques et transparentes et de demander aux acteurs politiques de préserver les valeurs démocratiques pour des élections apaisées.

(ACP)
© Congoindépendant 2003-2011

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 31 août 2011, 11:22
par Ilunga
L'UDPS dans la rue ce jeudi

Mercredi, 31 Août 2011 11:03



Jacquemain Shabani Lukoo a au cours d'un point de presse réuni lundi 29 août à la permanence de l'UDPS à Limete déclaré, que son parti exigeait la publication à l'immédiat par la CENI de la liste et la cartographie des 73.000 bureaux de vote, province par province, circonscription électorale, en précisant le numéro de code, de la commune, du territoire, de la collectivité et l'adresse.

L'UDPS exige également selon le secrétaire général du parti tshisekediste la publication de la liste des électeurs retenus bureau de vote par bureau de vote, en indiquant pour chacun des électeurs les données mentionnées sur la carte d'électeur (photo, noms, post-noms, date et lieu de naissance, adresse). Jacquemain Shabani a fait remarquer que l'aboutissement apaisé du processus électoral en cours exige que la transparence et la crédibilité ne soient pas hypothéquées. A cet effet, l'UDPS appelle dans une déclaration politique, tout le peuple rdcongolais à descendre dans la rue le jeudi 1er septembre à l'intérieur comme à l'extérieur du pays, à se tenir débout comme un seul homme et à marcher pour demander à la CENI et son bureau de ne pas sacrifier et hypothéquer l'avenir de la nation congolaise en confisquant le processus électoral de cette année. Selon Shabani, la CENI veut à travers ces élections favoriser le pouvoir en place. Quant à la candidature unique de l'opposition, le secrétaire général de l'UDPS a fait remarquer que la majorité de l'opposition a déjà plébiscité Etienne Tshisekedi. Pas question de revenir en arrière. Ceux qui s'opposent à cette candidature privilégient en premier lieu leurs intérêts égoïstes en lieu et place de l'intérêt général de la nation.

John TSHINGOMBE


Source : CongoNews

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 01 sept. 2011, 00:33
par Ilunga
http://www.cheikfitanews.net/article-br ... 92874.html





Mercredi 31 août 2011 3 31 /08 /Août /2011 17:20
BRUXELLES. CREATION D’UN OBSERVATOIRE DES ELECTIONS RD CONGO 2011

Cheikfitanews-urne.jpg





La coordination du Congrès mondial des Congolais vivant à l’étranger porte à la connaissance de tous les Congolais en général, et des Congolais vivant à l’étranger en particulier, qu’elle vient de mettre sur pied à Bruxelles, un observatoire des élections en RD Congo 2011.

Pourquoi cette création ?

Comment fonctionnera cet observatoire ?

Comment y adhérer ou y contribuer ?

MOMENT PARTICULIER

Durant les quatre derniers mois de 2011, la RD Congo va vivre une période électorale avec un enjeu majeur : la reconduction du pouvoir en place ou l’alternance : présidence, parlement, gouvernement.

Pour que les passions ne supplantent la raison, il sera impérieux :

- Que les électeurs soient de vrais électeurs, identifiables.

- Qu’aucune voix exprimée ne disparaisse ou ne soit détournée.

- Que les résultats soient diffusés et portés à la connaissance des électeurs dans les délais les plus brefs.

- Que les gagnants soient proclamés et que les perdants reconnaissent leur défaite et s’inclinent.

L’observatoire des élections RD Congo 2011 se donne pour mission la collecte et la diffusion d’informations crédibles sur le processus électoral. Et le jour du vote, dans chaque bureau de vote.



FONCTIONNEMENT DE L’OBSERVATOIRE

Au niveau de l’extérieur

1. Une coordination nationale

La coordination nationale de l’observatoire a pour mission la conception de la politique générale de l’observatoire, la centralisation de différentes données électorales et enfin leur diffusion :

Fichier électoral à tous les niveaux,

Campagne électorale,

Déroulement du vote,

Comptage des voix dans chaque bureau de vote

Proclamation des résultats de chaque bureau de vote, de chaque candidat de chaque circonscription.

Cette coordination est assurée par la coordination du congrès mondial des Congolais vivant à l’étranger, depuis Bruxelles avec la collaboration de plusieurs experts congolais : statisticiens, informaticiens, communicateurs...

Existant depuis 2005, la coordination du congrès mondial des congolais vivant à l’étranger a organisé quatre congrès dont le tout dernier au mois de mai 2011. Cette coordination dispose d’un très grand réseau de contacts et de diffusion dans la communauté congolaise vivant à l’étranger.

2. Coordination provinciale

Une coordination provinciale fonctionnera au niveau de onze pays étrangers où vivent de grandes communautés congolaises. Chaque coordination provinciale correspondra à l’une des onze provinces de la RD Congo dont elle assura l’observation.

3. Bureaux territoriaux et communaux

4. Bureaux de vote.

Le bureau de vote étant la pièce maitresse des élections, l’observatoire a conçu un mode de fonctionnement spécial pour l’observation de la journée électorale, de l’ouverture à la clôture, après proclamation et affichage des résultats locaux.

5. Observateurs particuliers.

Plusieurs Congolaises et Congolais à titre personnel peuvent collaborer avec l’observatoire pour un bureau de vote bien déterminé où ils ont un intérêt ou une facilité d’accès à l’information électorale.

b) En RD Congo

Un réseau d’associations servira de contacts.



NOUS REAPPROPRIER NOTRE DESTIN

Il existe certes une commission électorale nationale indépendante, mais cela n’enlève pas aux citoyens congolais le droit de s’organiser parallèlement pour le triomphe de la vérité des urnes.



APPEL

La coordination du congrès mondial des Congolais vivant à l’étranger lance un appel :

a) A tous les Congolais vivant à l’étranger, afin de s’impliquer dans les actions de l’observatoire.

b) Aux différentes communautés et associations de congolais de l’étranger d’entrer en contact avec l’observatoire pour les dispositions pratiques.

c) A la société civile en RD Congo, de s’impliquer pour le jumelage avec des organisations de Congolais vivant à l’étranger.

d) Aux partis politiques engagés dans le processus, d’accréditer à l’observatoire leurs plusieurs représentants.

e) Aux candidats, de mettre leurs observateurs en contact avec l’observatoire.

f) Aux organismes internationaux (ONU, Union Européenne…), de collaborer avec l’observatoire.



INFORMATIONS, INSCRIPTIONS, CONTACT

E-mail : congolaisvivantaletranger@gmail.com



Fait à Bruxelles, le 31 août 2011

Pour la coordination

Cheik FITA

Chargé de l’action politique et média

Marcel Nzundu

Chargé des relations avec les institutions

Marice Kabemba

Chargée des inscriptions

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 01 sept. 2011, 21:56
par Ilunga
La pression doit être maintenue...JMPR MISO GAAAAAAAAAAAAAAAAAAHH !!





Exigeant la transparence du processus électoral

La marche de l’UDPS réprimée par la police

Par Le Potentiel

L’absence supposée de transparence du processus électoral, particulièrement en ce qui concerne la gestion du serveur central de la CENI, a poussé l’UDPS et ses alliés de l’opposition à descendre dans la rue hier jeudi 1er septembre à Kinshasa. Sans surprise, la marche a été réprimée par les forces de l’ordre à coups de feu et de gaz lacrymogène. Une partie remise, soutient l’UDPS qui annonce une nouvelle marche le 8 novembre prochain

Armés de pierres et de cocktails Molotov, les manifestants se montraient déterminés et loin de se lasser après le long parcours depuis le quartier général de l’UDPS à la 10ème rue Limete. Ils sortaient par groupes des artères comprises entre la Gare centrale et le bâtiment de la Poste pour prendre d’assaut le boulevard du 30 Juin. Là, une force musclée de la police les attendait.

Le choc frontal a eu lieu, perturbant la circulation et paralysant toutes les activités commerciales dans le centre-ville. Pendant plus de deux heures, l’on a assisté à un véritable branle-bas entre les militants de l’UDPS et les policiers qui n’ont pas hésité de faire usage de gaz lacrymogène avant de tirer en l’air à balles réelles quand ils se sont sentis débordés.

On dénombre des casses, des blessés tant du côté des manifestants que des éléments de la police. Joint au téléphone pendant la dispersion, le secrétaire général de l’UDPS, Jacquemain Shabani, n’était pas en mesure de fournir un bilan. Toutefois, il a confirmé l’arrestation en cascade de plusieurs combattants de son parti.

La confusion ainsi créée n’a pas permis aux leaders des partis politiques ayant manifesté de remettre, comme prévu, le mémorandum adressé au président de la CENI. Quand bien même le président de la CENI aurait invité l’UDPS et ses alliés quelques heures plus tard de venir le rencontrer à son office. Un rendez-vous manqué pour raison de sécurité, a encore confié le secrétaire général de l’UDPS en qualifiant l’intervention de la police de « méconduite ». D’autant plus que les forces de l’ordre assiégeaient les installations de la CENI.

Selon Jacquemain Shabani, l’UDPS est loin de lâcher prise. Avec ses alliés, elle va à nouveau manifester jusqu’à l’obtention des « réponses satisfaisantes » aux préalables posés pour la tenue des élections transparentes, libres et apaisées en République démocratique du Congo. « L’UDPS projette une autre marche pour le jeudi 8 septembre prochain », a annoncé Me Jacquemain Shabani.

Le fond du problème c’est que l’Udps et ses alliés attendent de la CENI la publication des listes électorales. Ils réitèrent ce qu’ils qualifient de « préalable des préalables », à savoir l’audit du fichier électoral, pour « éviter toute tricherie ».

Dans la foulée, Doris Nzumbu, cameraman de la chaine de télévision Canal Kin est passé au tabac par les forces de l’ordre au niveau du restaurant Vit-Net sur le boulevard du 30 Juin. Sa camera a été confisquée et emportée. Son péché a été d’avoir pris les images des éléments de la police qui ripostaient aux manifestants en usant également des jets de pierre, tout en se repliant derrière le bâtiment du SCPT ex-OCPT.

Parcours des manifestants

Partis aux alentours de 10h30, de la 10ème rue Limete au siège de l’Union pour la démocratie et le progrès social, les manifestants avec banderoles, effigies du sphinx de Limete, casquettes et tee-shirts aux couleurs du parti, branches de palmiers en mains, ont emprunté l’avenue Université pour déboucher sur l’avenue Victoire jusqu’au rond point Victoire où un noyau initial les attendait.

Ceux qui ont emprunté l’avenue Kasa-Vubu se sont vu stopper net, après plus d’une heure de parcours, par une barrière policière à la hauteur de l’avenue du Commerce. Le couac n’a pas tardé. Jets de pierre, et en réponse, lancement dans tous les sens du gaz lacrymogène.

Dispersés, les manifestants se sont reconstitués plus loin en petits groupes et ont emprunté toutes les voies qui mènent vers le boulevard du 30 Juin où est situé le siège de la CENI, point de chute de la marche.

Ce qui n’arrivera pas car, le périmètre a été fortifié par une présence impressionnante des éléments de la police d’intervention rapide, qui en contrôlaient toutes les issues. Entre 12 heures et 14 heures, des heurts ont eu lieu dans différents coins du boulevard du 30 juin. Un nouveau rendez-vous est pris le 8 novembre prochain et, partant de nouveaux affrontements entre manifestants et forces de l’ordre. Wait and see.

Par ailleurs, il nous revient que la CENI vient de lancer une invitation à tous les partis politiques légalement reconnus pour discuter, le jeudi 8 novembre 2011, de l’évolution du processus électoral.