ballondor2009 a écrit :Ceci me pousse à poser la question démocratique de savoir, d'où provient l'argent si cela s'averait vrai
Qu'on ne vienne pas me dire des recettes du stade, des produits dérivés inexistants, ou des sponsors

Un document intitulé « POUR HOMICIDES DES FRERES ET SOEURS KATANGAIS, UN JUGEMENT ATTEND TOUS LES TRAFIQUANT DE L’URANIUM » publié à Lubumbashi le 24 décembre 2007, par le Groupe de Prélats Protestants du Katanga fait des émules
les observateurs de constater que le « Governator » a versé dans une maffia à la sicilienne. L’uranium, le cuivre, le cobalt, le manganèse sont exportés frauduleusement. La machine de blanchiment d’argent sale tourne, tourne…A plein régime.
Face au pourrissement de la situation, un groupe de Prélats Protestants élève la voix et dénonce.
Aux dernières nouvelles, Pierre Honoré KAZADI LUKONDA son Président a été enlevé pour une destination inconnue.
Dopé par les avantages du pouvoir et boosté par des millions des dollars US gagnés irrégulièrement autour du gisement amodié de Kinsevere sur le dos de la Gécamines, Moïse Katumbi Chapwe, gouverneur de la riche province du Katanga se veut un Godfather.
Devenu gouverneur du Katanga grâce à l’encadrement des députés PPRD, sous la houlette de M. Vital Kamerhe, alors son Secrétaire Général, et de Richard Muyej, président provincial, et le soutien de l’homme d’affaires katangais George Arthur Forrest, ainsi que de celui, total, et actif, de Jean-Claude Muyambo, dont le désistement au poste de gouverneur du Katanga s’est révélé aujourd’hui être une erreur, Moïse Katumbi Chapwe a réservé à chacun une récompense tissée d’ingratitudes.
Et pour preuves ? Vital Kamerhe a été, le 30 juin 2007 à Lubumbashi, fortement tracassé, voire ridiculisé, tout Président du Parlement qu’il est.
Sur la longue liste des personnalités combattues par le gouverneur du Katanga, se retrouve le nom du Ministre Jean-Claude Muyambo, qui vient d’être indexé ennemi politique à détruire par tous les moyens, annoncé sans ménagement sur les antennes de « Nyota TV » appartenant à l’homme fort du Katanga, à la grande colère de l’Observatoire des Medias Congolais.
Moïse Katumbi Chapwe se considère désormais comme le seul caïman qui doit contrôler son marigot Katanga en manipulant, intoxiquant, et corrompant les pauvres en blanchissant de l’argent vraisemblablement mal acquis en Zambie (Emeraude) et dans les mines du Katanga, où il est de plus en plus cité dans le trafic illicite et frauduleux de l’Uranium.
Enrichissement illicite ...
Des observateurs avertis s’accordent que lors de son retour négocié de l’exil d’où il était en rébellion armée contre le pouvoir de Kabila père puis fils, le porte-monnaie de l’actuel gouverneur du Katanga ne pesait pas les millions de dollars américains dont il ne s’empêche pas d’étaler aujourd’hui au grand jour.
Selon cette déclaration, il est reproché au ministre Jean Claude Muyambo, Président national de la CODECO, d’avoir réclamé le départ du gouvernement provincial de Barthélemy Mumba Gama, ministre katangais des mines et joker très impliqué dans des combines maffieuses dont celle très compromettant de l’uranium de Likasi.
En effet, incapable de répondre aux exigences de l’amodiation obtenue sur des gisements, alors sous-évalués de Kinsevere, Moïse Katumbi Chapwe a violé délibérément les lois de la République en subrogeant MCK par la multinationale Anvil Mining pour laquelle il est sous-traitant à Dikulushi. Une opération dénoncée fin 2006 par la presse internationale et qui lui avait frauduleusement procuré plusieurs dizaines de millions de dollars américains. Certaines sources parlent de 60 millions. Ce pactole lui a permis d’acheter les consciences des gens, d’affermir ses velléités despotiques, de museler la presse libre et indépendante, de s’offrir une série des gros cylindrés, et de faire des affaires. Moise Katumbi Chapwe s’est acquis un jet aux origines complexes, se construit un château à Kashobwe. Où, rapporte-on l’homme caresserait ses faiblesses en émeraudes. La contrée, frontalière à la Zambie en regorgerait. (NDLR : nos envoyés et enquêteurs n’ont pu malheureusement s’y rendre).Depuis sa prise de pouvoir au Katanga il se veut la plaque tournante de l’économie provinciale. Ses associés australiens de Bell jouissent des faveurs de l’ami gouverneur et fournissent officiellement des engins à la province au nom du libéralisme économique. La société des transports « HAKUNA MATATA », officiellement propriété de son épouse et nouvellement née avec un charroi de plus de 200 trucks, et trop citée dans l’exportation frauduleuse des minerais bruts.