Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... :congonews
Kabila désavoue Mulunda devant témoins
MARDI, 04 SEPTEMBRE 2012 15:16
C'est connu presque de tous, du moins dans les milieux très informés, que Daniel Ngoy Mulunda a une langue très pendante. Un très vilain défaut qui a fini par précipiter le pasteur dans la tombe. L'imposteur homme de Dieu en a tellement raconté avec médisance sur ce qu'il a fait pour sauver le régime lors des élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011 que Joseph Kabila a décidé de lui faire rendre gorge lui-même.
Il y a quelques semaines que la scène s'est passée, à Lubumbashi, la capitale de la province du Katanga. Des dignitaires katangais, notamment Gabriel Kyungu wa Kumwanza, Moïse Katumbi Chapwe sont invités à se retrouver autour du Chef de l'Etat sans que le protocole leur en disent plus. Des spéculation en spéculation, il se dégage que le Raïs a piqué une sainte colère après avoir eu vent, à une fréquence très répétée, des jérémiades du président de la CENI qui se plaint partout que le chef cherche à le sacrifier alors qu'il a tout fait pour lui. A un interlocuteur qui lui avait rappelé la volonté de la communauté internationale de pousser pour le départ du bureau de la CENI, Mulunda avait rétorqué que s'il y a à restructurer, c'est le Président de la République et l'Assemblée nationale les premiers concernés puisque assis sur un résultat électoral contestable. A un autre, il a même promis de parler un jour. Qu'importe si cela prêtera à conséquence, un exil forcé par exemple. Lorsque maître de cérémonie lui donne la parole devant les autres notables de la province cuprifère, Ngoy Mulunda redit exactement ce que Joseph Kabila s'était fait rapporté plus d'une fois. La même rengaine sur l'intention du chef de le sacrifier, lui le serviteur dévoué qui a tout sacrifié pour le chef. Pour une réunion tenue en swahili entre frères de la même province, le mot “kujitowa” (se sacrifier) sonne très lourd aux oreilles de Kabila pour qu'il ne parle pas sur ce ton sec habituel chaque que lui prend l'envie de taper du poing sur la table. “Haiko mimi ndi ye nilikutuma ufanye buchafu ku CENI (entendez: ce n'est pas moi qui t'ai demandé de foutre le bordel à la CENI)”, aurait tranché le chef, selon des participants à la réunion. Sur ces entrafaîtes, le maître des céans a levé la séance. Ce qu'il a dit éclaire suffisamment sur le sort de Mulunda qu'il ne peut pas continuer à maintenir à la tête de la CENI après l'avoir désavoué devant témoins. Sinon, c'est se faire commanditaire ou complice. En tout cas bénéficiaire de la fraude dénoncée. Certaines sources rapportent que Joseph Kabila ne se pose plus des questions là-dessus. Il est déjà passé à l'autre étape, à savoir qui remplacera Mulunda. Parmi les remplaçants avancés, les mêmes sources citent le tristement célèbre abbé Apollinaire Malumalu, ancien président de la CEI, Albert Luamba, ancien président de la Cour suprême de justice. Mulunda ne s'était pas remis de la douche de Lubumbashi que sa dernière tournée euro-américaine lui a fait comprendre combien le monde éprouve de la désaffection pour lui. Ici et là-bas, dans toutes les capitales occidentales qu'il a visitées, les bailleurs lui ont témoigné un désintérêt total. Ce qui s'interprète que si c'est le même qui organisera les prochaines législatives provinciales, il ne faudra pas compter avec l'appui des partenaires extérieurs. En tête, la Belgique dont le ministre des Affaires étrangères, Didier Reynders, a fait de la restructuration de la CENI une conditionnalité, lors de son dernier passage à Kinshasa. Pour parler de Daniel Ngoy Mulunda Nyanga, Joseph Kabila s'est laissé abusé de la personnalité d'un homme qui n'a fait que tricher dans sa vie. Même son titre de pasteur est usurpé, selon des sources proches des milieux méthodistes à Kinshasa. Alors qu'il était à la tête de la PAREC, la gestion de Mulunda avait poussé les pasteurs de sa congrégation à lui demander des comptes. Exigence qu'il avait rejetée catégoriquement au motif que la PAREC était son affaire personnelle. Les autres avaient trouvé cette attitude pas conforme à l'éthique méthodiste pour se demander qui avait fait de Mulunda pasteur dans la respectable communauté. Une enquête a été initié en conséquence. A la conclusion, il ne s'est trouvé aucun pasteur pour reconnaître que c'est lui qui avait ordonné Ngoy Mulunda, ni moins encore un ancien pour témoigner sur la cérémonie d'ordination.
PAUL MULAND
Kabila désavoue Mulunda devant témoins
MARDI, 04 SEPTEMBRE 2012 15:16
C'est connu presque de tous, du moins dans les milieux très informés, que Daniel Ngoy Mulunda a une langue très pendante. Un très vilain défaut qui a fini par précipiter le pasteur dans la tombe. L'imposteur homme de Dieu en a tellement raconté avec médisance sur ce qu'il a fait pour sauver le régime lors des élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011 que Joseph Kabila a décidé de lui faire rendre gorge lui-même.
Il y a quelques semaines que la scène s'est passée, à Lubumbashi, la capitale de la province du Katanga. Des dignitaires katangais, notamment Gabriel Kyungu wa Kumwanza, Moïse Katumbi Chapwe sont invités à se retrouver autour du Chef de l'Etat sans que le protocole leur en disent plus. Des spéculation en spéculation, il se dégage que le Raïs a piqué une sainte colère après avoir eu vent, à une fréquence très répétée, des jérémiades du président de la CENI qui se plaint partout que le chef cherche à le sacrifier alors qu'il a tout fait pour lui. A un interlocuteur qui lui avait rappelé la volonté de la communauté internationale de pousser pour le départ du bureau de la CENI, Mulunda avait rétorqué que s'il y a à restructurer, c'est le Président de la République et l'Assemblée nationale les premiers concernés puisque assis sur un résultat électoral contestable. A un autre, il a même promis de parler un jour. Qu'importe si cela prêtera à conséquence, un exil forcé par exemple. Lorsque maître de cérémonie lui donne la parole devant les autres notables de la province cuprifère, Ngoy Mulunda redit exactement ce que Joseph Kabila s'était fait rapporté plus d'une fois. La même rengaine sur l'intention du chef de le sacrifier, lui le serviteur dévoué qui a tout sacrifié pour le chef. Pour une réunion tenue en swahili entre frères de la même province, le mot “kujitowa” (se sacrifier) sonne très lourd aux oreilles de Kabila pour qu'il ne parle pas sur ce ton sec habituel chaque que lui prend l'envie de taper du poing sur la table. “Haiko mimi ndi ye nilikutuma ufanye buchafu ku CENI (entendez: ce n'est pas moi qui t'ai demandé de foutre le bordel à la CENI)”, aurait tranché le chef, selon des participants à la réunion. Sur ces entrafaîtes, le maître des céans a levé la séance. Ce qu'il a dit éclaire suffisamment sur le sort de Mulunda qu'il ne peut pas continuer à maintenir à la tête de la CENI après l'avoir désavoué devant témoins. Sinon, c'est se faire commanditaire ou complice. En tout cas bénéficiaire de la fraude dénoncée. Certaines sources rapportent que Joseph Kabila ne se pose plus des questions là-dessus. Il est déjà passé à l'autre étape, à savoir qui remplacera Mulunda. Parmi les remplaçants avancés, les mêmes sources citent le tristement célèbre abbé Apollinaire Malumalu, ancien président de la CEI, Albert Luamba, ancien président de la Cour suprême de justice. Mulunda ne s'était pas remis de la douche de Lubumbashi que sa dernière tournée euro-américaine lui a fait comprendre combien le monde éprouve de la désaffection pour lui. Ici et là-bas, dans toutes les capitales occidentales qu'il a visitées, les bailleurs lui ont témoigné un désintérêt total. Ce qui s'interprète que si c'est le même qui organisera les prochaines législatives provinciales, il ne faudra pas compter avec l'appui des partenaires extérieurs. En tête, la Belgique dont le ministre des Affaires étrangères, Didier Reynders, a fait de la restructuration de la CENI une conditionnalité, lors de son dernier passage à Kinshasa. Pour parler de Daniel Ngoy Mulunda Nyanga, Joseph Kabila s'est laissé abusé de la personnalité d'un homme qui n'a fait que tricher dans sa vie. Même son titre de pasteur est usurpé, selon des sources proches des milieux méthodistes à Kinshasa. Alors qu'il était à la tête de la PAREC, la gestion de Mulunda avait poussé les pasteurs de sa congrégation à lui demander des comptes. Exigence qu'il avait rejetée catégoriquement au motif que la PAREC était son affaire personnelle. Les autres avaient trouvé cette attitude pas conforme à l'éthique méthodiste pour se demander qui avait fait de Mulunda pasteur dans la respectable communauté. Une enquête a été initié en conséquence. A la conclusion, il ne s'est trouvé aucun pasteur pour reconnaître que c'est lui qui avait ordonné Ngoy Mulunda, ni moins encore un ancien pour témoigner sur la cérémonie d'ordination.
PAUL MULAND
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.afriqueredaction.com/article ... 32479.html
Mardi 4 septembre 2012
Francophonie en RDC : Les cauchemars de François HOLLANDE sur la dure réalité et lois de la Realpolitik
Crée le 04-09-2012-13h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 04-09-2012 - 13h28 PAR :ARTV-NEWS
Lors de la diffusion d'une émission sur Arté hier soir vers 20 heures, les coulisses de l’Élysée sont assombries, dévoilées et les langues se délient..
Une vidéo des combattants était même à l'honneur pendant ce reportage sur la francophonie de la honte. Les Congolais dans leur action patriotique, sont écoutés et l'appareil médiatique se met en marche pour le renouveau de
la RDC.
François HOLLANDE vit les dures réalités et lois de la realpolitik, il dira à propos de la francophonie, qu'il était menacé par ce conglomérat et agglomérat des prédateurs, multinationales et des véreux présidents Africains qui avaient reçus les enveloppes de Kinshasa pour faire pression sur président Hollande...
Ils menaçaient de quitter cette organisation d'asservissement et d'aliénation à la française ! F.Hollande, s'est dévoyé en cédant aux pressions de ces malfaiteurs corrompus en col blanc....
Surtout le lobbying puissant de la compagnie ELF qui par ailleurs, vient de signer comme par hasard il y a deux semaine, un contrat d'exploitation des blocs pétroliers à Kisangani....Pauvre Congo et vive la maffia !
Joseph KABILA nom de scène, usurpateur, imposteur et tricheur a encore hypothéqué les richesses du Congo pour se faire grand parmi les grands. Jean de la fontaine nous fait rappeler par sa fable qui est aujourd'hui d'actualité que : " La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf " !
En conclusion, le président normal, n'est plus normal mais plutôt anormal qui au demeurant n'arrive même pas à gérer ses femmes et encore moins ses enfants.
Comment voulez-vous espérer de cet homme profondément changeant et peu crédible ?
Roger BONGOS
Mardi 4 septembre 2012
Francophonie en RDC : Les cauchemars de François HOLLANDE sur la dure réalité et lois de la Realpolitik
Crée le 04-09-2012-13h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 04-09-2012 - 13h28 PAR :ARTV-NEWS
Lors de la diffusion d'une émission sur Arté hier soir vers 20 heures, les coulisses de l’Élysée sont assombries, dévoilées et les langues se délient..
Une vidéo des combattants était même à l'honneur pendant ce reportage sur la francophonie de la honte. Les Congolais dans leur action patriotique, sont écoutés et l'appareil médiatique se met en marche pour le renouveau de
la RDC.
François HOLLANDE vit les dures réalités et lois de la realpolitik, il dira à propos de la francophonie, qu'il était menacé par ce conglomérat et agglomérat des prédateurs, multinationales et des véreux présidents Africains qui avaient reçus les enveloppes de Kinshasa pour faire pression sur président Hollande...
Ils menaçaient de quitter cette organisation d'asservissement et d'aliénation à la française ! F.Hollande, s'est dévoyé en cédant aux pressions de ces malfaiteurs corrompus en col blanc....
Surtout le lobbying puissant de la compagnie ELF qui par ailleurs, vient de signer comme par hasard il y a deux semaine, un contrat d'exploitation des blocs pétroliers à Kisangani....Pauvre Congo et vive la maffia !
Joseph KABILA nom de scène, usurpateur, imposteur et tricheur a encore hypothéqué les richesses du Congo pour se faire grand parmi les grands. Jean de la fontaine nous fait rappeler par sa fable qui est aujourd'hui d'actualité que : " La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf " !
En conclusion, le président normal, n'est plus normal mais plutôt anormal qui au demeurant n'arrive même pas à gérer ses femmes et encore moins ses enfants.
Comment voulez-vous espérer de cet homme profondément changeant et peu crédible ?
Roger BONGOS
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Steve Mbikayi préconise une branche armée dans l'opposition pour éviter le Tutsiland
http://www.youtube.com/watch?v=84XrPPO9 ... r_embedded
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7509
Armée :
«John Tshibangu n’est pas à la tête d’une nouvelle rébellion»
Le colonel John Tshibangu
C’est la déclaration faite samedi 1er septembre à Congo Indépendant par un officier proche de l’officier dissident. Plus de trois semaines après sa défection des Forces armées de la RD Congo, le colonel John Tshibangu est toujours «en cavale». Il se trouverait «quelque part» entre les deux provinces du Kasaï. « John » serait occupé à structurer son Mouvement par la mise en place d’une coordination. Ces informations émanent d’un de ses proches, un ancien officier de renseignements dans le Mouvement de libération du Congo. Cet interlocuteur qui a exigé l’anonymat assure que John Tshibangu n’est pas à la tête d’une nouvelle rébellion. «Il est à la tête d’un groupe de militaires congolais fatigués par la mauvaise gouvernance et la manière dont le monde extérieur traite notre pays, dit-il. Outre, l’exigence de la vérité des urnes, notre objectif est de contribuer à l’instauration de la démocratie et la réhabilitation de l’armée. L’homme de lancer un "appel pressant" à tous les "militaires en exil" de rejoindre ce mouvement. Il prévient : "Nous n’avons pas besoin d’aventuriers et des opportunistes".
A Mbuji-Mayi, le gouverneur de la Province du Kasaï Oriental, le négociant en diamant Ngoy Kasanji, a lancé un véritable «Wanted» à l’encontre du colonel John Tshibangu. Une «prime» de 20.000 $ US est promise à quiconque pourrait fournir des informations pour arrêter «le dissident ». Est-ce un aveu implicite de l’échec de la chasse à l’homme lancée contre Tshibangu ? Il y a quelques jours, le ministre provincial de l’Information, Mutombo Mobe, invitait la population «à la vigilance» et à «dénoncer à la police toute présence suspecte dans son environnement». Et d’ajouter que le colonel Tshibangu «est traqué» par les forces de sécurité «pour atteinte à la sécurité de l’Etat en composant avec les agresseurs rwandais». Cinq personnes ont été arrêtées «pour complicité» dont deux journalistes. On se demande bien qui de John Tshibangu et de "Joseph Kabila" est en intelligence avec les "agresseurs" après l’annonce surprise par le Rwanda du retrait de 280 militaires de ses forces spéciales qui se trouvaient - à l’insu du gouvernement et du Parlement - depuis trois ans à Rutshuru?
Le 16 août dernier, les Congolais apprenaient qu’un certain colonel John Tshibangu, 42 ans, commandant en second de la 4ème Région militaire (les deux Kasaï), était entré en dissidence quatre jours auparavant. Un cas sans précédent. La nouvelle a été plutôt bien accueillie dans le milieu des Congolais de l’étranger. Un milieu qui n’a jamais fait mystère de sa détestation de «Joseph Kabila». Le «déserteur» est en effet natif du Kasaï autrement dit un citoyen Congolais de souche. «Nous exigeons la vérité des urnes», déclarait Tshibangu dans une première déclaration faite à la presse. En réaction, le pouvoir politico-militaire a lancé trois cent militaires et policiers aux trousses du «fugitif» accusé d’être «en intelligence avec les agresseurs rwandais». Une attitude qui tranche avec l’impunité générale dont bénéficient les militaires déserteurs dans les provinces du Kivu et dans le district de l’Ituri (Province Orientale). Le cas du chef milicien «Cobra Matata» se passe de tout commentaire.
"Combattre un système d’oppression et d’injustice"
Au cours d’un entretien téléphonique samedi 1er septembre, le proche du colonel Tshibangu précité a donné quelques clarifications sur le l’organisation en gestation. Comment se porte le colonel Tshibangu ? «Il se porte bien et nos effectifs ne cessent d’augmenter». Que sont devenus les 300 militaires et policiers lancés à ses trousses ? «Quarante d’entre eux ont été tués au combat, cent quarante ont rejoint John Tshibangu et les autres se sont égayés dans la nature. Ils ont l’origine que vous savez… ». A en croire cet interlocuteur, quatre colonels et un général ont rejoint Tshibangu. Et que deux véhicules et une importante cargaison d’armes ont été récupérés. Disposent-ils d’une base arrière ? «Nous n’en avons pas besoin. Le Congo est notre pays, nous nous battrons ici. Il y a des pays qui cherchent à nouer de contacts avec nous. Par expérience, nous voulons compter d’abord sur nous-même». Quelle est la position du Mouvement en gestation à l’égard des pays tels que le Rwanda, l’Ouganda et l’Angola ? «Les pays que vous avez cités sont nos voisins. Nous n’avons rien contre eux. Nous voulons simplement que le Congo retrouve la respectabilité au niveau de sa souveraineté». Quid des militaires au service du régime de Kinshasa ? «Nous ne nous battons pas contre les militaires Congolais. Ils sont nos frères et doivent nous rejoindre. Nous nous battons contre un système politique qui a institutionnalisé l’oppression et l’injustice dans notre pays». «Le colonel Tshibangu n’entend pas prendre la tête d’une nouvelle rébellion. Les postes ministériels ne nous intéressent pas. Le commandant Tshibangu est à la tête des militaires décidés à changer le destin de leur pays par l’instauration de la démocratie et du respect de la personne humaine. Vous pouvez convenir que depuis les bouleversements intervenus dans l’ex-Zaïre en 1997, le militaire ex-Zaïrois a payé un lourd tribut».
Avant de clore l’entretien, l’officier de renseignement déciide de lancer un "appel" aux militaires Congolais en exil en les invitant à "rejoindre le mouvement". « Nous demandons à nos frères d’armes en exil de se souvenir qu’ils ont une mission sacrée qui consiste à défendre l’intégrité du territoire national. Nous leur demandons de ne plus porter des tenues militaires lors des marches parce que cette tenue est sacrée. Nous devons nous rassembler pour sauver le Congo. Nous sommes des militaires. Nous n’allons plus laisser les politiciens contrôler l’armée». Que doivent faire les militaires désireux de joindre le Mouvement ?
«Nous leur demandons de laisser leurs coordonnées dans leurs réactions à Congo Indépendant, conclut-il. Nous n’avons nullement besoin d’aventuriers ou d’opportunistes. Pour le moment, nous n’avons pas besoin de recevoir des contributions financières».
B.A.W
© Congoindépendant 2003-2012
Armée :
«John Tshibangu n’est pas à la tête d’une nouvelle rébellion»
Le colonel John Tshibangu
C’est la déclaration faite samedi 1er septembre à Congo Indépendant par un officier proche de l’officier dissident. Plus de trois semaines après sa défection des Forces armées de la RD Congo, le colonel John Tshibangu est toujours «en cavale». Il se trouverait «quelque part» entre les deux provinces du Kasaï. « John » serait occupé à structurer son Mouvement par la mise en place d’une coordination. Ces informations émanent d’un de ses proches, un ancien officier de renseignements dans le Mouvement de libération du Congo. Cet interlocuteur qui a exigé l’anonymat assure que John Tshibangu n’est pas à la tête d’une nouvelle rébellion. «Il est à la tête d’un groupe de militaires congolais fatigués par la mauvaise gouvernance et la manière dont le monde extérieur traite notre pays, dit-il. Outre, l’exigence de la vérité des urnes, notre objectif est de contribuer à l’instauration de la démocratie et la réhabilitation de l’armée. L’homme de lancer un "appel pressant" à tous les "militaires en exil" de rejoindre ce mouvement. Il prévient : "Nous n’avons pas besoin d’aventuriers et des opportunistes".
A Mbuji-Mayi, le gouverneur de la Province du Kasaï Oriental, le négociant en diamant Ngoy Kasanji, a lancé un véritable «Wanted» à l’encontre du colonel John Tshibangu. Une «prime» de 20.000 $ US est promise à quiconque pourrait fournir des informations pour arrêter «le dissident ». Est-ce un aveu implicite de l’échec de la chasse à l’homme lancée contre Tshibangu ? Il y a quelques jours, le ministre provincial de l’Information, Mutombo Mobe, invitait la population «à la vigilance» et à «dénoncer à la police toute présence suspecte dans son environnement». Et d’ajouter que le colonel Tshibangu «est traqué» par les forces de sécurité «pour atteinte à la sécurité de l’Etat en composant avec les agresseurs rwandais». Cinq personnes ont été arrêtées «pour complicité» dont deux journalistes. On se demande bien qui de John Tshibangu et de "Joseph Kabila" est en intelligence avec les "agresseurs" après l’annonce surprise par le Rwanda du retrait de 280 militaires de ses forces spéciales qui se trouvaient - à l’insu du gouvernement et du Parlement - depuis trois ans à Rutshuru?
Le 16 août dernier, les Congolais apprenaient qu’un certain colonel John Tshibangu, 42 ans, commandant en second de la 4ème Région militaire (les deux Kasaï), était entré en dissidence quatre jours auparavant. Un cas sans précédent. La nouvelle a été plutôt bien accueillie dans le milieu des Congolais de l’étranger. Un milieu qui n’a jamais fait mystère de sa détestation de «Joseph Kabila». Le «déserteur» est en effet natif du Kasaï autrement dit un citoyen Congolais de souche. «Nous exigeons la vérité des urnes», déclarait Tshibangu dans une première déclaration faite à la presse. En réaction, le pouvoir politico-militaire a lancé trois cent militaires et policiers aux trousses du «fugitif» accusé d’être «en intelligence avec les agresseurs rwandais». Une attitude qui tranche avec l’impunité générale dont bénéficient les militaires déserteurs dans les provinces du Kivu et dans le district de l’Ituri (Province Orientale). Le cas du chef milicien «Cobra Matata» se passe de tout commentaire.
"Combattre un système d’oppression et d’injustice"
Au cours d’un entretien téléphonique samedi 1er septembre, le proche du colonel Tshibangu précité a donné quelques clarifications sur le l’organisation en gestation. Comment se porte le colonel Tshibangu ? «Il se porte bien et nos effectifs ne cessent d’augmenter». Que sont devenus les 300 militaires et policiers lancés à ses trousses ? «Quarante d’entre eux ont été tués au combat, cent quarante ont rejoint John Tshibangu et les autres se sont égayés dans la nature. Ils ont l’origine que vous savez… ». A en croire cet interlocuteur, quatre colonels et un général ont rejoint Tshibangu. Et que deux véhicules et une importante cargaison d’armes ont été récupérés. Disposent-ils d’une base arrière ? «Nous n’en avons pas besoin. Le Congo est notre pays, nous nous battrons ici. Il y a des pays qui cherchent à nouer de contacts avec nous. Par expérience, nous voulons compter d’abord sur nous-même». Quelle est la position du Mouvement en gestation à l’égard des pays tels que le Rwanda, l’Ouganda et l’Angola ? «Les pays que vous avez cités sont nos voisins. Nous n’avons rien contre eux. Nous voulons simplement que le Congo retrouve la respectabilité au niveau de sa souveraineté». Quid des militaires au service du régime de Kinshasa ? «Nous ne nous battons pas contre les militaires Congolais. Ils sont nos frères et doivent nous rejoindre. Nous nous battons contre un système politique qui a institutionnalisé l’oppression et l’injustice dans notre pays». «Le colonel Tshibangu n’entend pas prendre la tête d’une nouvelle rébellion. Les postes ministériels ne nous intéressent pas. Le commandant Tshibangu est à la tête des militaires décidés à changer le destin de leur pays par l’instauration de la démocratie et du respect de la personne humaine. Vous pouvez convenir que depuis les bouleversements intervenus dans l’ex-Zaïre en 1997, le militaire ex-Zaïrois a payé un lourd tribut».
Avant de clore l’entretien, l’officier de renseignement déciide de lancer un "appel" aux militaires Congolais en exil en les invitant à "rejoindre le mouvement". « Nous demandons à nos frères d’armes en exil de se souvenir qu’ils ont une mission sacrée qui consiste à défendre l’intégrité du territoire national. Nous leur demandons de ne plus porter des tenues militaires lors des marches parce que cette tenue est sacrée. Nous devons nous rassembler pour sauver le Congo. Nous sommes des militaires. Nous n’allons plus laisser les politiciens contrôler l’armée». Que doivent faire les militaires désireux de joindre le Mouvement ?
«Nous leur demandons de laisser leurs coordonnées dans leurs réactions à Congo Indépendant, conclut-il. Nous n’avons nullement besoin d’aventuriers ou d’opportunistes. Pour le moment, nous n’avons pas besoin de recevoir des contributions financières».
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Me. Patrice Mutakatifu [patmut@msn.com] 04/09/2012 17:58:00
Nous exhortons notre compatriote-General John Tshibangu d’aller de l’avant. Les Congolais sont derriere ce digne fils du Pays et soutiennent nos dignes filles et fils qui continuent a repondre en masse a l’appel patriotique du General !
Les Congolais se rendent a l’evidence que leur Pays et l’avenir de leurs enfants sont en peril sous l’imposture au sommet !
Le moment de "saisir" le voyou Hypo Kanambe (alias "Joseph Kabila") ainsi que ses bandes de "M"-jouisseurs....... inclu les Mutond, Matata, Minaku, Masangu, Mende serait quand ils s’y attendent le moins !
Les Congolais apppauvris et meurtris par 11ans de voyoucracie sanguinaire que dirige cet incompetent, voleur, tueur - et par ailleurs ex-chauffeur de James Kabaerebe - en ont marre !
Comble d’humilation pour notre Pays, James Kaberebe, donc l’ex-patron de Hypo Kanambe au sein des Forces Patriotiques Rwandaises, vient de deballer son ex-caporal pour son "culot et ingratitude" dans une interview-fleuve que James vient d’accorder a la "kanambiste" Collette Braeckaman du Soir!
Quel Pays au Monde tolererait une telle HONTE au sommet ?
L’un des objectofs de l’action que pilote le General Tshibangu est justement la restauration du respect de notre Pays par nos voisins et le Monde; en plus du respect du choix des Congolais par l’imposition de la verite des urnes !
Nous exhortons notre compatriote-General John Tshibangu d’aller de l’avant. Les Congolais sont derriere ce digne fils du Pays et soutiennent nos dignes filles et fils qui continuent a repondre en masse a l’appel patriotique du General !
Les Congolais se rendent a l’evidence que leur Pays et l’avenir de leurs enfants sont en peril sous l’imposture au sommet !
Le moment de "saisir" le voyou Hypo Kanambe (alias "Joseph Kabila") ainsi que ses bandes de "M"-jouisseurs....... inclu les Mutond, Matata, Minaku, Masangu, Mende serait quand ils s’y attendent le moins !
Les Congolais apppauvris et meurtris par 11ans de voyoucracie sanguinaire que dirige cet incompetent, voleur, tueur - et par ailleurs ex-chauffeur de James Kabaerebe - en ont marre !
Comble d’humilation pour notre Pays, James Kaberebe, donc l’ex-patron de Hypo Kanambe au sein des Forces Patriotiques Rwandaises, vient de deballer son ex-caporal pour son "culot et ingratitude" dans une interview-fleuve que James vient d’accorder a la "kanambiste" Collette Braeckaman du Soir!
Quel Pays au Monde tolererait une telle HONTE au sommet ?
L’un des objectofs de l’action que pilote le General Tshibangu est justement la restauration du respect de notre Pays par nos voisins et le Monde; en plus du respect du choix des Congolais par l’imposition de la verite des urnes !
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Témoin de la Révolution [lumumba4congo@hotmail.com] 04/09/2012 19:24:11
Vive l’Armée Populaire pour le Changement et la Démocratie (APCD)!!!
Vive la Révolution Congolaise!!!
Pour en savoir plus sur la biographie du Lieutenant Général John Tshibangu, veuillez consulter le site: CONGO-LIBRE.BLOGSPOT.COM
Vive le Peuple!
Vive l’Armée Populaire pour le Changement et la Démocratie (APCD)!!!
Vive la Révolution Congolaise!!!
Pour en savoir plus sur la biographie du Lieutenant Général John Tshibangu, veuillez consulter le site: CONGO-LIBRE.BLOGSPOT.COM
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... razzaville
XIVe sommet de l'OIF : les ennuis judiciaires d'Abdou Diouf se font de plus en plus pressants
MERCREDI, 05 SEPTEMBRE 2012 13:13
Le secrétaire général de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF) est de nouveau attendu, le 9 septembre, devant la première chambre du tribunal de grande instance de Paris dans le cadre de l'assignation en référé déposée contre lui au mois d'août. La croisade judiciaire, amorcée en France par l'association Convergence pour l'émergence du Congo (CÉC) contre le secrétaire général de l'OIF en vue de la délocalisation du sommet prévu au mois d'octobre à Kinshasa, est loin de se terminer. La décision de François Hollande de prendre part à cette rencontre des peuples ayant en partage la langue française n'aura pas tempéré les ardeurs de cette association qui tient à en découdre avec l'ancien président sénégalais. La procédure judiciaire liée à l'assignation en référé déposée contre lui au mois d'août, par le responsable de la CÉC, Jean-Louis Tshimbalanga devant la première chambre du tribunal de grande instance de Paris (TGI) poursuit son cours. Une nouvelle audience est convoquée pour le 9 septembre après l'échec de la première qui a vu le secrétaire général de l'OIF briller par son absence. Des sources parisiennes, il appert qu'Abdou Diouf n'a pas jugé utile de déférer à une première convocation du TGI, le 16 août à 10h30. Non seulement qu'il ne s'est pas rendu au tribunal, il ne s'est pas fait non plus représenter. « Abdou Diouf a refusé de recevoir et de signer la copie de l'acte remis par le huissier », confirment certaines indiscrétions.
Le 16 août, à l'heure de l'audience, les juges ont eu simplement à constater l'absence d'une des parties. Seul Jean Louis Tshimbalanga s'est présenté en compagnie de ses deux avocats, Norbert Tricaud et Olivier de Boissieu, plus que jamais déterminés à plomber le sommet de Kinshasa. Pour la CÉC, il est inconcevable que le quatorzième sommet de la Francophonie se déroule dans un pays où les droits de l'homme sont bafoués. « En ne respectant pas les règles qu'elle a établies, la Francophonie se déshonore ! Or, elle défend des valeurs et réunit plusieurs pays autour de la langue française. Il y a une culture qui accompagne cette langue. Et c'est cette culture dont il faut faire la promotion. (...) Mais à quoi bon établir une charte et des règles si elles ne sont pas respectées », déclarait, il y a peu, Jean Louis Tshimbalanga sur un média congolais établi en France. D'après lui, les idéaux et les valeurs de la francophonie à travers la déclaration de Bamako notamment en matière de démocratie et des droits de l'Homme, n'étant pas pris en compte par les autorités congolaises, la seule manière de désapprouver cette méthode de gestion politique, consisterait à délocaliser le sommet.
La démarche de la CÉC est soutenue par une bonne frange des congolais de la diaspora en rupture de ban avec les autorités politiques de leur pays. Ce qui est sûr est qu'une nouvelle absence d'Abdou Diouf à l'audience du 9 septembre risquerait de l'exposer à ce que le TGI prenne une décision défavorable à son encontre, fait-on observer. Une situation qui risque d'entamer le moral des organisateurs du sommet de Kinshasa à la veille de la tenue de ces assises fiévreusement attendues par le peuple congolais.
Alain Diasso
XIVe sommet de l'OIF : les ennuis judiciaires d'Abdou Diouf se font de plus en plus pressants
MERCREDI, 05 SEPTEMBRE 2012 13:13
Le secrétaire général de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF) est de nouveau attendu, le 9 septembre, devant la première chambre du tribunal de grande instance de Paris dans le cadre de l'assignation en référé déposée contre lui au mois d'août. La croisade judiciaire, amorcée en France par l'association Convergence pour l'émergence du Congo (CÉC) contre le secrétaire général de l'OIF en vue de la délocalisation du sommet prévu au mois d'octobre à Kinshasa, est loin de se terminer. La décision de François Hollande de prendre part à cette rencontre des peuples ayant en partage la langue française n'aura pas tempéré les ardeurs de cette association qui tient à en découdre avec l'ancien président sénégalais. La procédure judiciaire liée à l'assignation en référé déposée contre lui au mois d'août, par le responsable de la CÉC, Jean-Louis Tshimbalanga devant la première chambre du tribunal de grande instance de Paris (TGI) poursuit son cours. Une nouvelle audience est convoquée pour le 9 septembre après l'échec de la première qui a vu le secrétaire général de l'OIF briller par son absence. Des sources parisiennes, il appert qu'Abdou Diouf n'a pas jugé utile de déférer à une première convocation du TGI, le 16 août à 10h30. Non seulement qu'il ne s'est pas rendu au tribunal, il ne s'est pas fait non plus représenter. « Abdou Diouf a refusé de recevoir et de signer la copie de l'acte remis par le huissier », confirment certaines indiscrétions.
Le 16 août, à l'heure de l'audience, les juges ont eu simplement à constater l'absence d'une des parties. Seul Jean Louis Tshimbalanga s'est présenté en compagnie de ses deux avocats, Norbert Tricaud et Olivier de Boissieu, plus que jamais déterminés à plomber le sommet de Kinshasa. Pour la CÉC, il est inconcevable que le quatorzième sommet de la Francophonie se déroule dans un pays où les droits de l'homme sont bafoués. « En ne respectant pas les règles qu'elle a établies, la Francophonie se déshonore ! Or, elle défend des valeurs et réunit plusieurs pays autour de la langue française. Il y a une culture qui accompagne cette langue. Et c'est cette culture dont il faut faire la promotion. (...) Mais à quoi bon établir une charte et des règles si elles ne sont pas respectées », déclarait, il y a peu, Jean Louis Tshimbalanga sur un média congolais établi en France. D'après lui, les idéaux et les valeurs de la francophonie à travers la déclaration de Bamako notamment en matière de démocratie et des droits de l'Homme, n'étant pas pris en compte par les autorités congolaises, la seule manière de désapprouver cette méthode de gestion politique, consisterait à délocaliser le sommet.
La démarche de la CÉC est soutenue par une bonne frange des congolais de la diaspora en rupture de ban avec les autorités politiques de leur pays. Ce qui est sûr est qu'une nouvelle absence d'Abdou Diouf à l'audience du 9 septembre risquerait de l'exposer à ce que le TGI prenne une décision défavorable à son encontre, fait-on observer. Une situation qui risque d'entamer le moral des organisateurs du sommet de Kinshasa à la veille de la tenue de ces assises fiévreusement attendues par le peuple congolais.
Alain Diasso
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
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Grands Lacs & barbouzes :
Bujumbura : Roger Lumbala échappe au chef barbouze Kalev Mutond
Député national proche d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Roger Lumbala, président du RCD-national, en séjour privé à Bujumbura, au Burundi, a été dépossédé de son passeport par des agents de l’immigration au moment où il s’apprêtait à quitter le pays. Craignant pour sa sécurité, il s’est réfugié dans une ambassade occidentale. Certaines sources parlent de l’ambassade de Grande-Bretagne. Il serait depuis ce mercredi 5 septembre à l’ambassade d’Afrique du Sud. Selon un proche, il attend de récupérer son passeport pour rentrer à Kinshasa. Lundi 3 septembre, le patron de l’ANR, Kalev Mutond, a attérri tard dans la soirée dans la capitale burundaise avant reprendre un vol spécial à destination de Lubumbashi.
C’est une histoire rocambolesque digne des aventures de James Bond que vit le député Roger Lumbala Tshitenge. En vacances parlementaires, Lumbala qui a fait ses études universitaires en France, a fait un «saut» à Paris. De la capitale française, il embarque dans un vol à destination de Bujumbura où il est arrivé le mardi 28 août. But du séjour : «visite privée». Après avoir accompli les formalités d’usage, le député congolais est descendu dans un hôtel de la place. Jusque là, il n’y a rien à fouetter un chat. «Roger n’a nullement été inquiété durant son séjour», raconte un proche.
Le jeudi 30 août, Lumbala reçoit la visite de quelques membres des «forces de sécurité» burundaises. Que veulent-ils ? Les "visiteurs" parlent de «contrôle de routine». A l’issue de "l’inspection", le parlementaire est délesté de quelques objets personnels non précisés. Le vendredi 31 août, Lumbala se rend à l’aéroport de Bujumbura afin de prend un vol à destination de Paris. A sa grande surprise, son passeport diplomatique est saisi par des fonctionnaires se présentant comme étant des «agents de renseignements». « Nous devons vous entendre», lui disent-ils. A quel sujet? Silence radio. Lumbala invoque son statut et s’y oppose. Il est autorisé à regagner son hôtel. Sans le passeport.
Selon un de ses proches joint au téléphone par la rédaction de Congo Indépendant, le dimanche 2 septembre, Kalev Mutond, administrateur directeur général de la Sûreté congolaise (ANR), est arrivé aux alentours de 23 heures dans la capitale burundaise. Quel était le but de sa mission ? Etait-il venu prendre réception d’un «colis» destiné à «Joseph Kabila» ? Alerté par des « amis », Lumbala quitte précipitament son hôtel pour se réfugier dans une ambassade occidentale. Il s’agirait de l’ambassade de Grande-Bretagne.
Depuis le déclenchement de la rébellion du M-23 dans la Province du Nord Kivu, il y a quatre mois, le pouvoir kabiliste est à la recherche de boucs émissaires. Le régime en place tente désespérément de divertir l’attention de l’opinion en accusant certains acteurs politiques d’«intelligence avec les agresseurs». La presse kabiliste s’est livrée récemment à un «lynchage médiatique» à l’encontre de Roger Lumbala et d’Antipas Mbusa Nyamwisi. Les deux politiciens étaient accusés d’avoir été à Kigali in tempore suspecto. S’agissant de Lumbala, certains journalistes sont allés jusqu’à «témoigner» que le répondeur de son téléphone débitait des messages en français, en anglais et… en kinyarwanda. Questions : Roger Lumbala a-t-il échappé à un enlèvement organisé par Kalev Mutond sur ordre de «Joseph Kabila» ? Les «services» burundais apporteraient-ils leur collaboration à l’ANR dans sa mission de répression des opposants congolais ?
A Kinshasa, le ministre des médias, Lambert Mende Omalanga, affirmait mardi 4 septembre, sans apporter le moindre début de preuve, que Roger Lumbala a été "interpellé" et "intérrogé" par les "services de sécurité" burundais. Que lui reproche-t-on? Mende n’a pas été capable de répondre à cette question. Il s’est contenté de dire que l’ambassadeur du Congo démocratique à Bujumbura "suit la situation". Mende a raté l’occasion de se taire en ajoutant qu’on se trouve "face à un cas de présomption de haute trahison". Selon lui, la justice congolaise espère bénéficier de la "coopération" de la justice burundaise dans ce "dossier".
Au moment où ces lignes sont bouclées, Lumbala se trouverait depuis ce mercredi à l’ambassade d’Afrique du Sud. "Il n’a rien à se reprocher, dit son proche. Il attend de reprendre possession de son passeport pour rejoindre Kinshasa". Sur un ton teinté d’amertume, l’homme ajoute : «Il est triste de voir les forces de sécurité burundaises se comporter comme des vouyous à l’image des agents de l’ANR au Congo. On se demande bien à quoi a servi la lutte pour l’avènement d’un Etat de droit au Burundi menée jadis par l’actuel président, Pierre Nkurunziza. En chaque opposant, armé ou non-armé, sommeille un futur despote…».
Issa Djema/B.A.W
© Congoindépendant 2003-2012
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Bujumbura : Roger Lumbala échappe au chef barbouze Kalev Mutond
Député national proche d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Roger Lumbala, président du RCD-national, en séjour privé à Bujumbura, au Burundi, a été dépossédé de son passeport par des agents de l’immigration au moment où il s’apprêtait à quitter le pays. Craignant pour sa sécurité, il s’est réfugié dans une ambassade occidentale. Certaines sources parlent de l’ambassade de Grande-Bretagne. Il serait depuis ce mercredi 5 septembre à l’ambassade d’Afrique du Sud. Selon un proche, il attend de récupérer son passeport pour rentrer à Kinshasa. Lundi 3 septembre, le patron de l’ANR, Kalev Mutond, a attérri tard dans la soirée dans la capitale burundaise avant reprendre un vol spécial à destination de Lubumbashi.
C’est une histoire rocambolesque digne des aventures de James Bond que vit le député Roger Lumbala Tshitenge. En vacances parlementaires, Lumbala qui a fait ses études universitaires en France, a fait un «saut» à Paris. De la capitale française, il embarque dans un vol à destination de Bujumbura où il est arrivé le mardi 28 août. But du séjour : «visite privée». Après avoir accompli les formalités d’usage, le député congolais est descendu dans un hôtel de la place. Jusque là, il n’y a rien à fouetter un chat. «Roger n’a nullement été inquiété durant son séjour», raconte un proche.
Le jeudi 30 août, Lumbala reçoit la visite de quelques membres des «forces de sécurité» burundaises. Que veulent-ils ? Les "visiteurs" parlent de «contrôle de routine». A l’issue de "l’inspection", le parlementaire est délesté de quelques objets personnels non précisés. Le vendredi 31 août, Lumbala se rend à l’aéroport de Bujumbura afin de prend un vol à destination de Paris. A sa grande surprise, son passeport diplomatique est saisi par des fonctionnaires se présentant comme étant des «agents de renseignements». « Nous devons vous entendre», lui disent-ils. A quel sujet? Silence radio. Lumbala invoque son statut et s’y oppose. Il est autorisé à regagner son hôtel. Sans le passeport.
Selon un de ses proches joint au téléphone par la rédaction de Congo Indépendant, le dimanche 2 septembre, Kalev Mutond, administrateur directeur général de la Sûreté congolaise (ANR), est arrivé aux alentours de 23 heures dans la capitale burundaise. Quel était le but de sa mission ? Etait-il venu prendre réception d’un «colis» destiné à «Joseph Kabila» ? Alerté par des « amis », Lumbala quitte précipitament son hôtel pour se réfugier dans une ambassade occidentale. Il s’agirait de l’ambassade de Grande-Bretagne.
Depuis le déclenchement de la rébellion du M-23 dans la Province du Nord Kivu, il y a quatre mois, le pouvoir kabiliste est à la recherche de boucs émissaires. Le régime en place tente désespérément de divertir l’attention de l’opinion en accusant certains acteurs politiques d’«intelligence avec les agresseurs». La presse kabiliste s’est livrée récemment à un «lynchage médiatique» à l’encontre de Roger Lumbala et d’Antipas Mbusa Nyamwisi. Les deux politiciens étaient accusés d’avoir été à Kigali in tempore suspecto. S’agissant de Lumbala, certains journalistes sont allés jusqu’à «témoigner» que le répondeur de son téléphone débitait des messages en français, en anglais et… en kinyarwanda. Questions : Roger Lumbala a-t-il échappé à un enlèvement organisé par Kalev Mutond sur ordre de «Joseph Kabila» ? Les «services» burundais apporteraient-ils leur collaboration à l’ANR dans sa mission de répression des opposants congolais ?
A Kinshasa, le ministre des médias, Lambert Mende Omalanga, affirmait mardi 4 septembre, sans apporter le moindre début de preuve, que Roger Lumbala a été "interpellé" et "intérrogé" par les "services de sécurité" burundais. Que lui reproche-t-on? Mende n’a pas été capable de répondre à cette question. Il s’est contenté de dire que l’ambassadeur du Congo démocratique à Bujumbura "suit la situation". Mende a raté l’occasion de se taire en ajoutant qu’on se trouve "face à un cas de présomption de haute trahison". Selon lui, la justice congolaise espère bénéficier de la "coopération" de la justice burundaise dans ce "dossier".
Au moment où ces lignes sont bouclées, Lumbala se trouverait depuis ce mercredi à l’ambassade d’Afrique du Sud. "Il n’a rien à se reprocher, dit son proche. Il attend de reprendre possession de son passeport pour rejoindre Kinshasa". Sur un ton teinté d’amertume, l’homme ajoute : «Il est triste de voir les forces de sécurité burundaises se comporter comme des vouyous à l’image des agents de l’ANR au Congo. On se demande bien à quoi a servi la lutte pour l’avènement d’un Etat de droit au Burundi menée jadis par l’actuel président, Pierre Nkurunziza. En chaque opposant, armé ou non-armé, sommeille un futur despote…».
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
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Mercredi 5 septembre 2012
Pour arrestation arbitraire et traitements inhumains - Le Secrétaire général adjoint de l’UDPS accuse la PIR et l’ANR
Crée le 5-09-2012-19h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 05-09-2012 - 19h28 PAR : ARTV-NEWS
Ma famille et moi-même avons été victimes à deux reprises des procédures extralégales opérées par des agences de l’Etat qui avaient effectué des descentes successives au domicile familial. «Nous sommes fondés à croire que notre sécurité physique et notre équilibre mental sont menacés par les forces de sécurité. J’ai été victime des perquisitions opérées sans mandat légal, d’arrestation arbitraire et séquestration, d’insultes et ma réputation a été gravement ternie ». Tels sont les motifs de la plainte déposée le 3 septembre au Parquet Général près la Cour d’Appel de Matete par Jean-Marie Vianney KABUKANYI, Secrétaire général adjoint de l’UDPS chargé des Questions Administratives.
Le plaignant relate les péripéties du calvaire que lui-même et son jeune frère ont subi dans la nuit du samedi 28 juillet dernier aux environs de 22 h. Des hommes en armes et en tenue de la Police Nationale ont escaladé les murs de la parcelle familiale pendant que d’autres frappaient violemment le portail. Ils ont pénétré dans la maison et se sont immédiatement mis à le frapper au moyen des crosses de leurs armes. L’un de leurs que l’on appelait « directeur » leur a donné l’ordre de procéder à la perquisition de toutes les pièces de la maison ainsi que les toilettes de l’extérieur et un « container» placé dans la parcelle.
Une heure après, son frère KABUKANYI Bomi Guy est arrivé et sans crier gare, ces agents se sont mis à le frapper avant de le ligoter et de le jeter par terre. Le secrétaire général adjoint de l’UDPS et son jeune frère ont alors été jetés sans ménagement dans une camionnette de la Police pour être acheminés jusqu’au siège de la légion de la Police d’intervention Rapide où Guy KABUKANYI Bomi a été jeté dans un cachot insalubre. La même camionnette a ensuite pris la direction de la direction générale de l’Agence Nationale des Renseignements où le secrétaire général adjoint de l’UDPS a été placé dans un cachot où se trouvaient une dizaine d’officiers militaires et des personnes refoulées d’Afrique du Sud.
Le dimanche matin, il est extrait du cachot pour subir un interrogatoire serré dirigé par le fameux « directeur ». Il est inculpé d’avoir préparé une insurrection armée dans la ville de Kinshasa en vue de renverser le régime. C’est là qu’il apprend que des agents du Conseil National de Sécurité avaient été perquisitionnés au domicile familial à la recherche des armes et munitions de guerre. A l’issue de cet interrogatoire, il est ramené à la légion de la Police d’Intervention Rapide où il retrouve son jeune frère. Il y rencontre ses avocats commis par le Parti pour sa défense, le secrétaire du Parti et chef du Département de la Justice et Droits de l’homme et ses adjoints. En l’absence de ses avocats, il est soumis à un interrogatoire sur la base des notes des gents du CNS et celles de l’interrogatoire effectué au quartier général de l’ANR. Le secrétaire général adjoint de l’UDPS et son jeune frère vont passer la nuit dans un cachot insalubre et seront remis en liberté le lundi par le fameux « directeur » qui va leur annoncer que les perquisitions n’ont rien donné. De retour au domicile familial, ils vont être surpris par l’irruption vers 17 heures 30 d’une dizaine de personnes en armes et en tenues de la Police qui vont leur signifier qu’ils sont en état d’arrestation. Sans mandat légal, ils vont procéder à la perquisition du domicile familial avant de menacer avec leurs armes deux visiteurs, notamment ILIBA Lisa Willy secrétaire de l’UDPS et chef de mission pour la Province Orientale et BAO Ebamu Guy, adjoint au chef du département de l’Organisation du parti. Ils vont ensuite emporter des matériels de bureau, à savoir deux ordinateurs portable P4, un mini-ordinateur portable Notebook, un adaptateur, quatre flash disk, un téléphone portable de marque BlackBerry, la carte d’électeur de KABUKANYI Jean-Marie Vianney, la carte de service de ILIBA Lisa Willy.
Ces objets n’ont jamais été restitués, a indiqué le secrétaire général adjoint de l’UDPS.
F.M.
Mercredi 5 septembre 2012
Pour arrestation arbitraire et traitements inhumains - Le Secrétaire général adjoint de l’UDPS accuse la PIR et l’ANR
Crée le 5-09-2012-19h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 05-09-2012 - 19h28 PAR : ARTV-NEWS
Ma famille et moi-même avons été victimes à deux reprises des procédures extralégales opérées par des agences de l’Etat qui avaient effectué des descentes successives au domicile familial. «Nous sommes fondés à croire que notre sécurité physique et notre équilibre mental sont menacés par les forces de sécurité. J’ai été victime des perquisitions opérées sans mandat légal, d’arrestation arbitraire et séquestration, d’insultes et ma réputation a été gravement ternie ». Tels sont les motifs de la plainte déposée le 3 septembre au Parquet Général près la Cour d’Appel de Matete par Jean-Marie Vianney KABUKANYI, Secrétaire général adjoint de l’UDPS chargé des Questions Administratives.
Le plaignant relate les péripéties du calvaire que lui-même et son jeune frère ont subi dans la nuit du samedi 28 juillet dernier aux environs de 22 h. Des hommes en armes et en tenue de la Police Nationale ont escaladé les murs de la parcelle familiale pendant que d’autres frappaient violemment le portail. Ils ont pénétré dans la maison et se sont immédiatement mis à le frapper au moyen des crosses de leurs armes. L’un de leurs que l’on appelait « directeur » leur a donné l’ordre de procéder à la perquisition de toutes les pièces de la maison ainsi que les toilettes de l’extérieur et un « container» placé dans la parcelle.
Une heure après, son frère KABUKANYI Bomi Guy est arrivé et sans crier gare, ces agents se sont mis à le frapper avant de le ligoter et de le jeter par terre. Le secrétaire général adjoint de l’UDPS et son jeune frère ont alors été jetés sans ménagement dans une camionnette de la Police pour être acheminés jusqu’au siège de la légion de la Police d’intervention Rapide où Guy KABUKANYI Bomi a été jeté dans un cachot insalubre. La même camionnette a ensuite pris la direction de la direction générale de l’Agence Nationale des Renseignements où le secrétaire général adjoint de l’UDPS a été placé dans un cachot où se trouvaient une dizaine d’officiers militaires et des personnes refoulées d’Afrique du Sud.
Le dimanche matin, il est extrait du cachot pour subir un interrogatoire serré dirigé par le fameux « directeur ». Il est inculpé d’avoir préparé une insurrection armée dans la ville de Kinshasa en vue de renverser le régime. C’est là qu’il apprend que des agents du Conseil National de Sécurité avaient été perquisitionnés au domicile familial à la recherche des armes et munitions de guerre. A l’issue de cet interrogatoire, il est ramené à la légion de la Police d’Intervention Rapide où il retrouve son jeune frère. Il y rencontre ses avocats commis par le Parti pour sa défense, le secrétaire du Parti et chef du Département de la Justice et Droits de l’homme et ses adjoints. En l’absence de ses avocats, il est soumis à un interrogatoire sur la base des notes des gents du CNS et celles de l’interrogatoire effectué au quartier général de l’ANR. Le secrétaire général adjoint de l’UDPS et son jeune frère vont passer la nuit dans un cachot insalubre et seront remis en liberté le lundi par le fameux « directeur » qui va leur annoncer que les perquisitions n’ont rien donné. De retour au domicile familial, ils vont être surpris par l’irruption vers 17 heures 30 d’une dizaine de personnes en armes et en tenues de la Police qui vont leur signifier qu’ils sont en état d’arrestation. Sans mandat légal, ils vont procéder à la perquisition du domicile familial avant de menacer avec leurs armes deux visiteurs, notamment ILIBA Lisa Willy secrétaire de l’UDPS et chef de mission pour la Province Orientale et BAO Ebamu Guy, adjoint au chef du département de l’Organisation du parti. Ils vont ensuite emporter des matériels de bureau, à savoir deux ordinateurs portable P4, un mini-ordinateur portable Notebook, un adaptateur, quatre flash disk, un téléphone portable de marque BlackBerry, la carte d’électeur de KABUKANYI Jean-Marie Vianney, la carte de service de ILIBA Lisa Willy.
Ces objets n’ont jamais été restitués, a indiqué le secrétaire général adjoint de l’UDPS.
F.M.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
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Mercredi 5 septembre 2012
Méthode Gestapiste : La diabolisation d'opposants pour les réduire au silence ! Hier, c'était DIOMI, aujourd'hui Roger LUMBALA...
Crée le 5-09-2012-13h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 05-09-2012 - 17h28 PAR :ARTV-NEW
Qui peut croire aux informations émanant de Lambert MENDE ? Qui ne le connait pas à propos de sa qualité de girouette ? Parce que, c'est lui qui est à l'origine de cette information..
En tout le cas il n'est pas arrêté, je l'ai eu téléphone...Cherchez autre chose !
Une information donnée par vos radios et télévisions de coupage, quelle crédit peut-on accorder à cette information ?
Ce que je conçois mal, c'est la façon dont certains " activistes " de la diaspora font le jeu du pouvoir sanguinaire érigé en moralisateur de la population. Qui trompe qui ?
Et on voit à travers cette cacophonie, une certaine immaturité dans le combat de plusieurs d'entre-nous, une tranche de personnes facilement malléables !
Le régime sanguinaire court derrière, le Colonel TSHIBANGU, Roger LUMBALA, Général MUNENE et pour NKUNDA BATWARE, Bosco NTANGANDA, MUTEBWUISI, JAMES KABAREBE, rien, silence radio et les congolais aident ce régime à diaboliser ces enfants de la patrie de leur bravoure ! Où se trouve la logique dans cette histoire ?
Roger LUMBALA fait peur, oui, il fait peur...Bientôt, il sera avec quelqu'un qui est congolais et trace sa route vers Kinshasa... La débandade s'annonce !
Roger BONGOS
Mercredi 5 septembre 2012
Méthode Gestapiste : La diabolisation d'opposants pour les réduire au silence ! Hier, c'était DIOMI, aujourd'hui Roger LUMBALA...
Crée le 5-09-2012-13h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 05-09-2012 - 17h28 PAR :ARTV-NEW
Qui peut croire aux informations émanant de Lambert MENDE ? Qui ne le connait pas à propos de sa qualité de girouette ? Parce que, c'est lui qui est à l'origine de cette information..
En tout le cas il n'est pas arrêté, je l'ai eu téléphone...Cherchez autre chose !
Une information donnée par vos radios et télévisions de coupage, quelle crédit peut-on accorder à cette information ?
Ce que je conçois mal, c'est la façon dont certains " activistes " de la diaspora font le jeu du pouvoir sanguinaire érigé en moralisateur de la population. Qui trompe qui ?
Et on voit à travers cette cacophonie, une certaine immaturité dans le combat de plusieurs d'entre-nous, une tranche de personnes facilement malléables !
Le régime sanguinaire court derrière, le Colonel TSHIBANGU, Roger LUMBALA, Général MUNENE et pour NKUNDA BATWARE, Bosco NTANGANDA, MUTEBWUISI, JAMES KABAREBE, rien, silence radio et les congolais aident ce régime à diaboliser ces enfants de la patrie de leur bravoure ! Où se trouve la logique dans cette histoire ?
Roger LUMBALA fait peur, oui, il fait peur...Bientôt, il sera avec quelqu'un qui est congolais et trace sa route vers Kinshasa... La débandade s'annonce !
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