Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
- Erka
- Léopard A
- Messages : 7263
- Enregistré le : 05 févr. 2008, 18:40
- Localisation : Ottawa/Ontario/Canada
- Contact :
Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Je retrouve ce cher Norbert Luyeye, plus radical que jamais meme si atika Papa.
http://www.youtube.com/watch?v=ccFU1VmC ... r_embedded
http://www.youtube.com/watch?v=ccFU1VmC ... r_embedded
Président du LUZOLA, association des Luvumbistes et des Distelistes convaincus
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Jean-Pierre Mbelu: "RDC: malgré tout des motifs de résister et de persévérer."
Publiée le 29 juin 2012 par etngandu
Jean-Pierre Mbelu, analyste politique congolais affirme "RDC: malgré tout des motifs de résister et de persévérer."
http://www.youtube.com/watch?v=AO4XJl2W ... r_embedded
Publiée le 29 juin 2012 par etngandu
Jean-Pierre Mbelu, analyste politique congolais affirme "RDC: malgré tout des motifs de résister et de persévérer."
http://www.youtube.com/watch?v=AO4XJl2W ... r_embedded
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.reveil-fm.com/index.php/2012 ... e-du-congo
Paul Kagamé et ses vingt neuf stratégies pour établir sa suprématie en République démocratie du Congo !
Par Freddy Mulongo, samedi 30 juin 2012 à 08:31 :: radio :: #2685 :: rss
« Ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent. »disait Edgar Faure. Il me semble qu'au Congo-Kinshasa le vent et les girouettes tournent. Faut-il en rire ou en pleurer lorsqu'on entend les Joséphistes Kanambistes collaborationnistes dénoncer le Rwanda comme pays agresseur et envahisseur de la République démocratique du Congo ? Et pourtant, c'est tous les jours que les Résistants-Patriotes-Combattants Congolais dénoncent cette situation. Fallait-il attendre, l'actuel rapport de l'ONU pour commencer ? On comprend que le carottes sont cuites quand on voit que des Mende et Tshibanda qui ont vecu pour et par le Rwanda viennent publiquement pointer leur bienfaiteur comme artisan des rebellions dites congolaises. Enfumage de plus, dans son intervention hier à la nation retransmisse par la RTNC, à aucun moment Joseph Kabila n’a cité le Rwanda, pourtant accusé jeudi par le porte-parole du gouvernement congolais Lambert Mende, à la suite de rapports de l’ONU et d’ONG, de soutenir la mutinerie du Mouvement du 23 mars (M23), constituée d’ex-rebelles qui affrontent l’armée congolaise depuis mai au Nord-Kivu (est). Des experts de l’ONU ont affirmé dans un récent rapport que des hauts gradés de l’armée rwandaise, dans l’exercice de leurs fonctions officielles, soutiennent les rebelles en leur fournissant des armes, du ravitaillement militaire et de nouvelles recrues. Selon le document des experts, ces officiers ont apporté une aide directe à la création du M23. Ils ont cité notamment le ministre rwandais de la Défense, le général James Kabarebe, et le chef d’état-major des armées rwandaises. A quel jeu joue Joseph Kabila ? Encore une ième haute trahison contre la République démocratique du Congo ! Paul Kagame s’est depuis longtemps permis de traverser la frontière rwandaise pour attaquer la République démocratique du Congo chaque fois qu’il le veut suite à l’impunité qui règne en Afrique et particulièrement dans la région des Grands Lacs.
Paul Kagamé et James Kabarebe
Le sang du peuple congolais cri !
Paul Kagamé se croit tout puissant et il n’est même pas reproché de tous les abus qu’il commet en République démocratique du Congo. Malgré les atrocités dans lesquelles il est toujours impliqué, il ne cesse de recevoir un appui des pays développés qui de bonne foi, observent tout ce qu’il fait. C’est aussi une complicité de leur part.
Paul Kagamé, l'Hitler de Kigali sème la mort au Congo !
Si la République démocratique du Congo pouvait faire de même au Rwanda, l’idée d’embargo et d’isolation économique serait une priorité. N’est-ce pas là une injustice? Quels que soient les rapports compilés sur le Rwanda qui ne cesse de violer les droits des Congolais, rien n’a été prévu comme sanctions et les atrocités continuent toujours à se répéter.
Considérant le Produit National Brut PNB du Rwanda, il est réellement difficile de croire que le Rwanda puisse engager un an de guerre contre un immense pays comme la République démocratique du Congo. Pour y parvenir, le Rwanda a toujours utilisé 29 stratégies pour mater les Congolais et par ricochet, cela l’aide à établir sa suprématie dans ce pays :
1. Corrompre les Congolais parce qu’ils sont encore aveugles, ils n’ont pas encore su que l’argent a sa fin, ils aiment une vie facile et rapide.
2. Créer une confusion entre les Congolais eux-mêmes parce qu’ils sont des assoiffés de pouvoir et sont encore immatures sur le plan politique. Ils ne peuvent pas penser plus loin que leur nez. Le régime de Mobutu a gravé dans leur mémoire la vie facile, celle du présent. Gérer l’avenir des Congolais puisqu’ils ont de difficultés à savoir où ils vont, à quoi aboutir dans tout ce qu’ils font: Voilà la raison de leur aveuglement.
3. Convaincre les Congolais de toujours refuser la voix du peuple parce que la population Congolaise ne veut pas de nous (les Rwandais) sur son territoire. Apprendre à diriger ce peuple sous le coup du canon imposé. Lorsqu’ils s’opposent, tuer certains d’eux et les restes pourront procéder à une involontaire reddition. Nous ne devons pas nous soucier de leurs libertés de choix ou de vouloir parce que nous ne sommes pas là pour ça mais pour un autre but.
4. Convaincre les Congolais toujours de ne pas penser à leur Nation, leur patrie. Lorsque nous leur parlons, leur montrer qu’à partir du projet que nous entreprenons ensemble, ils deviendront riches, ils achèteront des véhicules, maisons et ils seront bien. Ils oublieront qu’à partir de leur pays, ils ont plus que cela. Toujours les distraire avec la musique, les belles femmes et la bière. Pour nous, nous avions été en refuge et savons que tout cela est vanité de vanités si vous n’avez pas une nation ou une patrie. Pour eux, ils ne doivent pas savoir cela. Trouver toujours parmi eux des collaborateurs, marionnettes qui seront utilisés pour bafouer la souveraineté de leur propre pays.
5. Donner aux Congolais l’honneur éphémère et se rassurer qu’ils en soient aveuglés pour qu’ils ne puissent pas connaître nos buts, objectifs ou cibles. Trouvez quatre à cinq escortes militaires pour nos collaborateurs Congolais. Ils verront en cela l’honneur mais pour nous, nous le ferons dans le cadre de les priver de leurs libertés car l’escorte militaire sera donnée la tâche de les surveiller. En d’autres termes, il mènera une vie de prison sans le savoir.
6. Lorsqu’ils voudront se séparer de nous, trouvons tous les moyens possibles de les tuer parce qu’ils peuvent avoir maîtrisé un iota de nos stratégies ou tactiques.
7. Une fois que nous avions perdu l’un d’eux, nous n’allons toujours pas manquer quelqu’un d’autre à aveugler.
8. Toujours penser à utiliser les Congolais pour démentir toutes les accusations et dénonciations faites contre les forfaits que nous commettons sur leur territoire; les Congolais collaborateurs feront tout pour nier notre présence afin qu’eux-mêmes puissent endosser les responsabilité s car si nous portons un démenti nul ne va nous croire. Rassurons nous qu’enfin de compte nous puissions conclure en disant que ce problème n’engage que les Congolais eux-mêmes et manifestons qu’on a aucun souci, un quelconque intérêt dans ce qui se déroule en République démocratique du Congo.
9. Tuer ou assassiner tous ceux-là qui s’opposent à nos plans pour que d’autres vivent dans la terreur et stoppent de parler de nos affaires.
10. Appeler tous les Congolais qui ont de l’argent et ceux-là qui ont étudié et leur proposer le pouvoir ou l’argent. Comme le pouvoir est comme un gâteau sucré, personne ne va refuser. Utilisons surtout leurs études et leurs richesses pour détruire leur pays car à partir de leur ruine, nous bâtirons notre Rwanda et un jour nous leur donnerons des métiers d’enseignants et d’autres sales métiers surtout ceux là qui jadis étaient nos collaborateurs et surtout qu’en ce moment-là nous ne bénéficierons rien d’eux. Profitons de leur ignorance pour bâtir notre pays et détruire les leur.
11. Utiliser toujours la RD Congo comme notre champ de bataille car nous n’y avons aucun frère, sœur, bref aucun membre de famille. Cela pourra épargner notre pays contre toute destruction et contribuer à la destruction de la République démocratique du Congo comme c’est surtout notre objectif.
12. Les militaires Congolais que nous aurons convaincus, seront toujours placés sur la première ligne de front pour leur permettre de s’affronter contre leurs frères et de s’entretuer. Cela pourra nous permettre de sauver la vie de nos militaires car notre souci n’est que de les anéantir complètement et surtout de tuer d’autres sur le plan politique.
13. Créer toujours une zone de clivage entre les Banyamulenge et d’autres ethnies de la République démocratique du Congo afin d’avoir un champ permanent où nous devons perpétuer nos conflits qui constituent la matière première pour nous aider à atteindre nos buts. Montrer même à un paysan Banyamulenge qu’il devrait être ministre Congolais mais il a été discriminé et surtout lui montrer que si une fois, il reçoit un appui extérieur il peut y parvenir. Rassurez-vous qu’il ait bien compris le projet pour lui demander sa contribution comme il a ses vaches qu’il peut facilement vendre. Lorsque le projet tourne mal et que les autochtones Congolais se révoltent, donner aux Banyamulenge l’asile au Rwanda. Continuer toujours à leur parler de la République démocratique du Congo et non du Rwanda car ils doivent oublier le pouvoir du Rwanda qui ne doit être que l’apanage de quelques Rwandais. Cela fera des Banyamulenge un peuple instable, nomade, apatride que nous utiliserons à notre gré. S’ils devenaient stables, nous manquerons des alibis à avancer; c’est pourquoi nous devons toujours viser qu’ils demeurent instables et mener une vie de chauve-souris qui ne se reconnaît nulle part.
14. Passer tous les temps à montrer aux Banyamulenge en refuge au Rwanda et au Congo qu’ils doivent combattre et qu’ils en ont les droits, jusqu’à diriger la République démocratique Congo.
15. Chasser politiquement les Banyamulenge en refuge au Rwanda et qui veulent s’intégrer afin qu’ils ne commencent à faire des réclamations. Leur montrer que le Gouvernement Rwandais n’a pas de place pour eux. Une fois au Rwanda, les discriminer afin qu’ils rentrent au Congo où nous les aiderons à rentrer par les armes pour continuer toujours avec nos ambitions machiavéliques.
16. Comme nous sommes toujours peu nombreux et moins forts par rapport aux Congolais, utilisons toujours la ruse et non la logique afin de jouer sur l’intelligence des Congolais. S’assurer qu’ils sont toujours désunis pour qu’ils ne s’assemblent pas afin de nous avaler et démanteler complètement nos plans de bonheur pour nous, mais de malheur pour les Congolais. Travaillons jours et nuits pour qu’il n’y ait pas d’unité entre les Congolais. Chercher toujours à embourber ou salir leurs leaders en les ralliant à nous pour qu’ils deviennent impopulaires et finir leur carrière politique dans le vide. Quant à nous, nous serons toujours rassurés que l’arme est là pour les diriger par la force.
17. Rassurons-nous que les Congolais sont plus forts que nous mais ils manquent seulement l’unité. Leur Etat est bien connu comme riche en ressources naturelles et minérales mais faisons tout pour qu’ils ne puissent pas en bénéficier. Lorsqu’ils ont gagné un peu d’argent provenant de leur minerai, proposer le marché d’armes pour que nous puissions négocier avec des pays fournisseurs afin de voir comment y gagner des commissions dans la quantité à approvisionner. Une fois que le stock d’armes est disponible, leur montrer que nous avons des troupes à les aider et l’on discute le paiement pour envoyer les militaires au champ de bataille en leur inculquant une autre idéologie différente de motivations des Congolais. Placer toujours les militaires Congolais sur la ligne de front afin de ne pas perdre nos propres frères, pour qu’ils s’entretuent eux-mêmes. Cela réduira leur force et nous donnera un jour la chance de dominer complètement sur eux. Une fois sur le sol Congolais, diriger en maître absolu et oublier celui-là qui vous a appelé car il est d’avance faible militairement par rapport à vous.
18. Créer en eux la mentalité de guerre et leur montrer que nous sommes les mêmes mais nous nous rassurerons que tout ce que nous gagnons chez eux nous permettra de construire le Rwanda. Tout ce que les Congolais collaborateurs achèteront au Rwanda, laisser-les paisibles comme nous sommes encore dans les mêmes business mais une fois que nous n’avons rien de commun avec eux et qu’ils ne peuvent plus nous être utiles, montrer-les que leur biens achetés au Rwanda, entrent dans la catégorie des “biens mal acquis,” et d’office les confisquer. En ces moments-là, ils fuiront le Rwanda et voltigeront ou papillonneront ailleurs où ils seront démunis et se remémoreront de la gloire éphémère qu’ils ont eue avec les Rwandais.
19. Chaque fois que nous remarquons que la conscience des Congolais cherche à être éveillée, brandir toujours les problèmes aux yeux de la Communauté Internationale et montrer toujours le souci des Congolais de nous exterminer ou d’épuration ethnique et baser nos arguments sur la défense des droits de la minorité. Directement accepter d’entrer dans la phase de négociations et pendant cette période, nous profitons de nous réorganiser, d’étudier les faiblesses de l’adversaire afin d’en constituer notre force. Etudier les stratégies et tactiques de l’adversaire, l’attaquer immédiatement et dire à la Communauté Internationale qu’ils nous ont attaqués en premier lieu et quant à nous, ce n’était autre qu’un cas de légitime défense.
20. Utiliser même les Hutu qui sont au Congo pour les utiliser dans nos affaires et s’assurer qu’ils ne coalisent pas avec les Congolais car ce serait la fin pour nous. Leur montrer qu’ils sont aussi discriminés par les Congolais afin de susciter leur révolte et leur ralliement pour nous venir en aide.
21. Tous les Hutu qui fuiront les combats au Congo pour se réfugier au Rwanda, seront rassemblés dans des camps du Rwandais où ils auront à grincer leurs dents. Chaque fois qu’ils auront à réclamer leurs droits, il suffira de les appeler “Interahamwe” pour que vite ils cessent toute réclamation possible. Ce n’est qu’après qu’ils sauront qu’ils étaient dupés. Ils vont chercher à se racheter auprès des Congolais mais la Conscience des Congolais sera déjà souillée.
22. Tout Tutsi qui nous montrera que nos plans sont mauvais, macabres, ou bien que nous ne devons pas provoquer les Congolais, nous nous débarrasserons de lui.
23. Mettre toujours dans la mentalité des Congolais que c’est le Rwanda qui détient la clé de la paix pour la République démocratique du Congo. Cela permettra aux nombreux Congolais de chercher toujours de l’aide auprès du Rwanda et ceci permettra toujours l’essor du business que nous entreprenons.
24. Si les Congolais se battraient pendant 100 ans, c’est leur problème. Après ces 100 ans le Rwanda deviendra un paradis.
25. Servir proprement et nous assujettir auprès des pays développés qui nous appuient. S’assurer que nous n’avons aucun problème avec eux. Les gérer de sorte qu’ils ne puissent pas nous abandonner. Même si ce sont eux qui nous ont causé du tort, allez vite leur demander pardon pour ne pas susciter leur colère qui sera la fin pour notre entreprise machiavélique. S’ils veulent que nous puissions devenir leurs épouses, nous accepterons bonnement de le faire pour que nous puissions atteindre nos objectifs.
26. Se rassurer que dans tout ce que nous gagnons en République démocratique du Congo, ceux-là qui nous appuient, aient une portion à eux.
27. Montrer aux Congolais par nos déclarations que nous sommes très forts pour semer en eux la terreur et à ce moment-là, ils auront peur de nous affronter.
28. Tous nos collaborateurs Congolais n’auront d’arrangements qu’avec nous, ils ne devront pas savoir les relations qui nous lient avec ceux-là qui nous appuient. Une fois que nos collaborateurs Congolais deviennent plus liés à nous, ne pas leur permettre d’effectuer d’importants voyages dans des réunions importantes en rapport avec notre commerce de la guerre. Trouver pour eux une escorte militaire de partir avec eux. Instruire l’escorte qu’au cas où nos collaborateurs avançaient une idée, un argument contraire à notre philosophie, que l’on planifie autrement pour eux. S’agissant d’une déclaration à faire sur les événements en place, au niveau de l’échelon international, choisir un collaborateur pour défendre notre honneur et l’appeler pour le préparer afin de l’orienter pour ne pas aller en dehors de notre philosophie ou nos objectifs.
29. Utiliser tous les moyens possibles de mettre fin à la vie de quiconque s’opposera à nous. Si nous n’avons pas réussi à le faire par l’arme, chercher comment lui donner du poison en usant de la beauté de nos filles pour les attirer et les pousser à les aimer. Une fois ensemble, instruire nos filles de mettre fin à la vie de la personne.
« Il n’y a pas de politique sans risque, mais il y a des politiques sans chances. » disait encore Edgar Faure. Paul Kagamé et son complice, homme de main Joseph Kabila n'ont pas de chance au Congo. Le temps est entrain de donner raison aux Congolais qui n'ont jamais courbé l'échine devant l'Hitler de Kigali.
Paul Kagamé et ses vingt neuf stratégies pour établir sa suprématie en République démocratie du Congo !
Par Freddy Mulongo, samedi 30 juin 2012 à 08:31 :: radio :: #2685 :: rss
« Ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent. »disait Edgar Faure. Il me semble qu'au Congo-Kinshasa le vent et les girouettes tournent. Faut-il en rire ou en pleurer lorsqu'on entend les Joséphistes Kanambistes collaborationnistes dénoncer le Rwanda comme pays agresseur et envahisseur de la République démocratique du Congo ? Et pourtant, c'est tous les jours que les Résistants-Patriotes-Combattants Congolais dénoncent cette situation. Fallait-il attendre, l'actuel rapport de l'ONU pour commencer ? On comprend que le carottes sont cuites quand on voit que des Mende et Tshibanda qui ont vecu pour et par le Rwanda viennent publiquement pointer leur bienfaiteur comme artisan des rebellions dites congolaises. Enfumage de plus, dans son intervention hier à la nation retransmisse par la RTNC, à aucun moment Joseph Kabila n’a cité le Rwanda, pourtant accusé jeudi par le porte-parole du gouvernement congolais Lambert Mende, à la suite de rapports de l’ONU et d’ONG, de soutenir la mutinerie du Mouvement du 23 mars (M23), constituée d’ex-rebelles qui affrontent l’armée congolaise depuis mai au Nord-Kivu (est). Des experts de l’ONU ont affirmé dans un récent rapport que des hauts gradés de l’armée rwandaise, dans l’exercice de leurs fonctions officielles, soutiennent les rebelles en leur fournissant des armes, du ravitaillement militaire et de nouvelles recrues. Selon le document des experts, ces officiers ont apporté une aide directe à la création du M23. Ils ont cité notamment le ministre rwandais de la Défense, le général James Kabarebe, et le chef d’état-major des armées rwandaises. A quel jeu joue Joseph Kabila ? Encore une ième haute trahison contre la République démocratique du Congo ! Paul Kagame s’est depuis longtemps permis de traverser la frontière rwandaise pour attaquer la République démocratique du Congo chaque fois qu’il le veut suite à l’impunité qui règne en Afrique et particulièrement dans la région des Grands Lacs.
Paul Kagamé et James Kabarebe
Le sang du peuple congolais cri !
Paul Kagamé se croit tout puissant et il n’est même pas reproché de tous les abus qu’il commet en République démocratique du Congo. Malgré les atrocités dans lesquelles il est toujours impliqué, il ne cesse de recevoir un appui des pays développés qui de bonne foi, observent tout ce qu’il fait. C’est aussi une complicité de leur part.
Paul Kagamé, l'Hitler de Kigali sème la mort au Congo !
Si la République démocratique du Congo pouvait faire de même au Rwanda, l’idée d’embargo et d’isolation économique serait une priorité. N’est-ce pas là une injustice? Quels que soient les rapports compilés sur le Rwanda qui ne cesse de violer les droits des Congolais, rien n’a été prévu comme sanctions et les atrocités continuent toujours à se répéter.
Considérant le Produit National Brut PNB du Rwanda, il est réellement difficile de croire que le Rwanda puisse engager un an de guerre contre un immense pays comme la République démocratique du Congo. Pour y parvenir, le Rwanda a toujours utilisé 29 stratégies pour mater les Congolais et par ricochet, cela l’aide à établir sa suprématie dans ce pays :
1. Corrompre les Congolais parce qu’ils sont encore aveugles, ils n’ont pas encore su que l’argent a sa fin, ils aiment une vie facile et rapide.
2. Créer une confusion entre les Congolais eux-mêmes parce qu’ils sont des assoiffés de pouvoir et sont encore immatures sur le plan politique. Ils ne peuvent pas penser plus loin que leur nez. Le régime de Mobutu a gravé dans leur mémoire la vie facile, celle du présent. Gérer l’avenir des Congolais puisqu’ils ont de difficultés à savoir où ils vont, à quoi aboutir dans tout ce qu’ils font: Voilà la raison de leur aveuglement.
3. Convaincre les Congolais de toujours refuser la voix du peuple parce que la population Congolaise ne veut pas de nous (les Rwandais) sur son territoire. Apprendre à diriger ce peuple sous le coup du canon imposé. Lorsqu’ils s’opposent, tuer certains d’eux et les restes pourront procéder à une involontaire reddition. Nous ne devons pas nous soucier de leurs libertés de choix ou de vouloir parce que nous ne sommes pas là pour ça mais pour un autre but.
4. Convaincre les Congolais toujours de ne pas penser à leur Nation, leur patrie. Lorsque nous leur parlons, leur montrer qu’à partir du projet que nous entreprenons ensemble, ils deviendront riches, ils achèteront des véhicules, maisons et ils seront bien. Ils oublieront qu’à partir de leur pays, ils ont plus que cela. Toujours les distraire avec la musique, les belles femmes et la bière. Pour nous, nous avions été en refuge et savons que tout cela est vanité de vanités si vous n’avez pas une nation ou une patrie. Pour eux, ils ne doivent pas savoir cela. Trouver toujours parmi eux des collaborateurs, marionnettes qui seront utilisés pour bafouer la souveraineté de leur propre pays.
5. Donner aux Congolais l’honneur éphémère et se rassurer qu’ils en soient aveuglés pour qu’ils ne puissent pas connaître nos buts, objectifs ou cibles. Trouvez quatre à cinq escortes militaires pour nos collaborateurs Congolais. Ils verront en cela l’honneur mais pour nous, nous le ferons dans le cadre de les priver de leurs libertés car l’escorte militaire sera donnée la tâche de les surveiller. En d’autres termes, il mènera une vie de prison sans le savoir.
6. Lorsqu’ils voudront se séparer de nous, trouvons tous les moyens possibles de les tuer parce qu’ils peuvent avoir maîtrisé un iota de nos stratégies ou tactiques.
7. Une fois que nous avions perdu l’un d’eux, nous n’allons toujours pas manquer quelqu’un d’autre à aveugler.
8. Toujours penser à utiliser les Congolais pour démentir toutes les accusations et dénonciations faites contre les forfaits que nous commettons sur leur territoire; les Congolais collaborateurs feront tout pour nier notre présence afin qu’eux-mêmes puissent endosser les responsabilité s car si nous portons un démenti nul ne va nous croire. Rassurons nous qu’enfin de compte nous puissions conclure en disant que ce problème n’engage que les Congolais eux-mêmes et manifestons qu’on a aucun souci, un quelconque intérêt dans ce qui se déroule en République démocratique du Congo.
9. Tuer ou assassiner tous ceux-là qui s’opposent à nos plans pour que d’autres vivent dans la terreur et stoppent de parler de nos affaires.
10. Appeler tous les Congolais qui ont de l’argent et ceux-là qui ont étudié et leur proposer le pouvoir ou l’argent. Comme le pouvoir est comme un gâteau sucré, personne ne va refuser. Utilisons surtout leurs études et leurs richesses pour détruire leur pays car à partir de leur ruine, nous bâtirons notre Rwanda et un jour nous leur donnerons des métiers d’enseignants et d’autres sales métiers surtout ceux là qui jadis étaient nos collaborateurs et surtout qu’en ce moment-là nous ne bénéficierons rien d’eux. Profitons de leur ignorance pour bâtir notre pays et détruire les leur.
11. Utiliser toujours la RD Congo comme notre champ de bataille car nous n’y avons aucun frère, sœur, bref aucun membre de famille. Cela pourra épargner notre pays contre toute destruction et contribuer à la destruction de la République démocratique du Congo comme c’est surtout notre objectif.
12. Les militaires Congolais que nous aurons convaincus, seront toujours placés sur la première ligne de front pour leur permettre de s’affronter contre leurs frères et de s’entretuer. Cela pourra nous permettre de sauver la vie de nos militaires car notre souci n’est que de les anéantir complètement et surtout de tuer d’autres sur le plan politique.
13. Créer toujours une zone de clivage entre les Banyamulenge et d’autres ethnies de la République démocratique du Congo afin d’avoir un champ permanent où nous devons perpétuer nos conflits qui constituent la matière première pour nous aider à atteindre nos buts. Montrer même à un paysan Banyamulenge qu’il devrait être ministre Congolais mais il a été discriminé et surtout lui montrer que si une fois, il reçoit un appui extérieur il peut y parvenir. Rassurez-vous qu’il ait bien compris le projet pour lui demander sa contribution comme il a ses vaches qu’il peut facilement vendre. Lorsque le projet tourne mal et que les autochtones Congolais se révoltent, donner aux Banyamulenge l’asile au Rwanda. Continuer toujours à leur parler de la République démocratique du Congo et non du Rwanda car ils doivent oublier le pouvoir du Rwanda qui ne doit être que l’apanage de quelques Rwandais. Cela fera des Banyamulenge un peuple instable, nomade, apatride que nous utiliserons à notre gré. S’ils devenaient stables, nous manquerons des alibis à avancer; c’est pourquoi nous devons toujours viser qu’ils demeurent instables et mener une vie de chauve-souris qui ne se reconnaît nulle part.
14. Passer tous les temps à montrer aux Banyamulenge en refuge au Rwanda et au Congo qu’ils doivent combattre et qu’ils en ont les droits, jusqu’à diriger la République démocratique Congo.
15. Chasser politiquement les Banyamulenge en refuge au Rwanda et qui veulent s’intégrer afin qu’ils ne commencent à faire des réclamations. Leur montrer que le Gouvernement Rwandais n’a pas de place pour eux. Une fois au Rwanda, les discriminer afin qu’ils rentrent au Congo où nous les aiderons à rentrer par les armes pour continuer toujours avec nos ambitions machiavéliques.
16. Comme nous sommes toujours peu nombreux et moins forts par rapport aux Congolais, utilisons toujours la ruse et non la logique afin de jouer sur l’intelligence des Congolais. S’assurer qu’ils sont toujours désunis pour qu’ils ne s’assemblent pas afin de nous avaler et démanteler complètement nos plans de bonheur pour nous, mais de malheur pour les Congolais. Travaillons jours et nuits pour qu’il n’y ait pas d’unité entre les Congolais. Chercher toujours à embourber ou salir leurs leaders en les ralliant à nous pour qu’ils deviennent impopulaires et finir leur carrière politique dans le vide. Quant à nous, nous serons toujours rassurés que l’arme est là pour les diriger par la force.
17. Rassurons-nous que les Congolais sont plus forts que nous mais ils manquent seulement l’unité. Leur Etat est bien connu comme riche en ressources naturelles et minérales mais faisons tout pour qu’ils ne puissent pas en bénéficier. Lorsqu’ils ont gagné un peu d’argent provenant de leur minerai, proposer le marché d’armes pour que nous puissions négocier avec des pays fournisseurs afin de voir comment y gagner des commissions dans la quantité à approvisionner. Une fois que le stock d’armes est disponible, leur montrer que nous avons des troupes à les aider et l’on discute le paiement pour envoyer les militaires au champ de bataille en leur inculquant une autre idéologie différente de motivations des Congolais. Placer toujours les militaires Congolais sur la ligne de front afin de ne pas perdre nos propres frères, pour qu’ils s’entretuent eux-mêmes. Cela réduira leur force et nous donnera un jour la chance de dominer complètement sur eux. Une fois sur le sol Congolais, diriger en maître absolu et oublier celui-là qui vous a appelé car il est d’avance faible militairement par rapport à vous.
18. Créer en eux la mentalité de guerre et leur montrer que nous sommes les mêmes mais nous nous rassurerons que tout ce que nous gagnons chez eux nous permettra de construire le Rwanda. Tout ce que les Congolais collaborateurs achèteront au Rwanda, laisser-les paisibles comme nous sommes encore dans les mêmes business mais une fois que nous n’avons rien de commun avec eux et qu’ils ne peuvent plus nous être utiles, montrer-les que leur biens achetés au Rwanda, entrent dans la catégorie des “biens mal acquis,” et d’office les confisquer. En ces moments-là, ils fuiront le Rwanda et voltigeront ou papillonneront ailleurs où ils seront démunis et se remémoreront de la gloire éphémère qu’ils ont eue avec les Rwandais.
19. Chaque fois que nous remarquons que la conscience des Congolais cherche à être éveillée, brandir toujours les problèmes aux yeux de la Communauté Internationale et montrer toujours le souci des Congolais de nous exterminer ou d’épuration ethnique et baser nos arguments sur la défense des droits de la minorité. Directement accepter d’entrer dans la phase de négociations et pendant cette période, nous profitons de nous réorganiser, d’étudier les faiblesses de l’adversaire afin d’en constituer notre force. Etudier les stratégies et tactiques de l’adversaire, l’attaquer immédiatement et dire à la Communauté Internationale qu’ils nous ont attaqués en premier lieu et quant à nous, ce n’était autre qu’un cas de légitime défense.
20. Utiliser même les Hutu qui sont au Congo pour les utiliser dans nos affaires et s’assurer qu’ils ne coalisent pas avec les Congolais car ce serait la fin pour nous. Leur montrer qu’ils sont aussi discriminés par les Congolais afin de susciter leur révolte et leur ralliement pour nous venir en aide.
21. Tous les Hutu qui fuiront les combats au Congo pour se réfugier au Rwanda, seront rassemblés dans des camps du Rwandais où ils auront à grincer leurs dents. Chaque fois qu’ils auront à réclamer leurs droits, il suffira de les appeler “Interahamwe” pour que vite ils cessent toute réclamation possible. Ce n’est qu’après qu’ils sauront qu’ils étaient dupés. Ils vont chercher à se racheter auprès des Congolais mais la Conscience des Congolais sera déjà souillée.
22. Tout Tutsi qui nous montrera que nos plans sont mauvais, macabres, ou bien que nous ne devons pas provoquer les Congolais, nous nous débarrasserons de lui.
23. Mettre toujours dans la mentalité des Congolais que c’est le Rwanda qui détient la clé de la paix pour la République démocratique du Congo. Cela permettra aux nombreux Congolais de chercher toujours de l’aide auprès du Rwanda et ceci permettra toujours l’essor du business que nous entreprenons.
24. Si les Congolais se battraient pendant 100 ans, c’est leur problème. Après ces 100 ans le Rwanda deviendra un paradis.
25. Servir proprement et nous assujettir auprès des pays développés qui nous appuient. S’assurer que nous n’avons aucun problème avec eux. Les gérer de sorte qu’ils ne puissent pas nous abandonner. Même si ce sont eux qui nous ont causé du tort, allez vite leur demander pardon pour ne pas susciter leur colère qui sera la fin pour notre entreprise machiavélique. S’ils veulent que nous puissions devenir leurs épouses, nous accepterons bonnement de le faire pour que nous puissions atteindre nos objectifs.
26. Se rassurer que dans tout ce que nous gagnons en République démocratique du Congo, ceux-là qui nous appuient, aient une portion à eux.
27. Montrer aux Congolais par nos déclarations que nous sommes très forts pour semer en eux la terreur et à ce moment-là, ils auront peur de nous affronter.
28. Tous nos collaborateurs Congolais n’auront d’arrangements qu’avec nous, ils ne devront pas savoir les relations qui nous lient avec ceux-là qui nous appuient. Une fois que nos collaborateurs Congolais deviennent plus liés à nous, ne pas leur permettre d’effectuer d’importants voyages dans des réunions importantes en rapport avec notre commerce de la guerre. Trouver pour eux une escorte militaire de partir avec eux. Instruire l’escorte qu’au cas où nos collaborateurs avançaient une idée, un argument contraire à notre philosophie, que l’on planifie autrement pour eux. S’agissant d’une déclaration à faire sur les événements en place, au niveau de l’échelon international, choisir un collaborateur pour défendre notre honneur et l’appeler pour le préparer afin de l’orienter pour ne pas aller en dehors de notre philosophie ou nos objectifs.
29. Utiliser tous les moyens possibles de mettre fin à la vie de quiconque s’opposera à nous. Si nous n’avons pas réussi à le faire par l’arme, chercher comment lui donner du poison en usant de la beauté de nos filles pour les attirer et les pousser à les aimer. Une fois ensemble, instruire nos filles de mettre fin à la vie de la personne.
« Il n’y a pas de politique sans risque, mais il y a des politiques sans chances. » disait encore Edgar Faure. Paul Kagamé et son complice, homme de main Joseph Kabila n'ont pas de chance au Congo. Le temps est entrain de donner raison aux Congolais qui n'ont jamais courbé l'échine devant l'Hitler de Kigali.
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Des chars de combat à la messe du 30 juin, forte présence policière, en l'absence de Kabila
http://www.congomikili.com/des-chars-de ... la-absent/
http://www.congomikili.com/des-chars-de ... la-absent/
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://radiookapi.net/actualite/2012/06 ... -ndongala/
RDC: le président de l’Ecidé accuse le régime en place de vouloir déstabiliser Diomi Ndongala
publié il y a 1 heure, 8 minutes, | Denière mise à jour le 30 juin, 2012 à 7:23 | sous Actualité, Justice, Kinshasa, La Une, Politique.
Le président du parti de l’opposition, l’Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé), Martin Fayulu Madidi accuse le régime de Kinshasa de vouloir signer l’arrêt de mort politique de Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne (DC).«L’affaire de viol n’est qu’une cabale montée pour le déstabilise», a déclaré Martin Fayulu au cours d’un point de presse tenu samedi 30 juin à Kinshasa par la plate-forme politique, les Forces acquises au changement (FAC).
Pour le président de l’Ecidé, «Eugène Diomi Ndongala mérite un traitement digne et il doit bénéficier de la présomption d’innocence».
Martin Fayulu a indiqué qu’en réalité le régime en place reproche à Eugène Diomi d’avoir organisé, samedi 23 juin dernier en la Cathédrale Notre-Dame du Congo, la messe en mémoire des victimes de la guerre dans l’Est de la RDC.
«Diomi a organisé une messe en la Cathédrale Notre Dame du Congo où il a invité Etienne Tshisekedi et le pouvoir en place a vu comment les gens ont répondu et voilà la cause de cet arrêt de mort. Nous demandons à ce gens de nous dire la vérité, rien que la vérité parce qu’on nous présente un scénario qu’un enfant, même de sept ans, ne peut pas croire», a dénoncé Martin Fayulu.
Le président de l’Ecidé a, par ailleurs, qualifié l’affaire Diomi d’«un coup monté et manqué».
Le procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, a déjà lancé une action en justice contre l’opposant Eugène Diomi Ndongala qu’il accuse de viol sur des mineures dans ses bureaux de travail à la Gombe.
Selon le Parquet général de la République, qui instruit le dossier, les faits remontent à plus d’une semaine lorsque le président de la DC aurait invité dans ses bureaux dans la commune de la Gombe, les deux filles pour partager un verre. Il leur aurait donné des stimulants pour les violer ensuite, a indiqué la même source.
Le parti de Diomi, la Démocratie chretienne, avait publié un communiqué indiquant que son président est porté disparu depuis le mercredi 27 juin matin. Pour ce parti de l’opposition, Diomi Ndongala a tout simplement été enlevé par les services de sécurité.
RDC: le président de l’Ecidé accuse le régime en place de vouloir déstabiliser Diomi Ndongala
publié il y a 1 heure, 8 minutes, | Denière mise à jour le 30 juin, 2012 à 7:23 | sous Actualité, Justice, Kinshasa, La Une, Politique.
Le président du parti de l’opposition, l’Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé), Martin Fayulu Madidi accuse le régime de Kinshasa de vouloir signer l’arrêt de mort politique de Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne (DC).«L’affaire de viol n’est qu’une cabale montée pour le déstabilise», a déclaré Martin Fayulu au cours d’un point de presse tenu samedi 30 juin à Kinshasa par la plate-forme politique, les Forces acquises au changement (FAC).
Pour le président de l’Ecidé, «Eugène Diomi Ndongala mérite un traitement digne et il doit bénéficier de la présomption d’innocence».
Martin Fayulu a indiqué qu’en réalité le régime en place reproche à Eugène Diomi d’avoir organisé, samedi 23 juin dernier en la Cathédrale Notre-Dame du Congo, la messe en mémoire des victimes de la guerre dans l’Est de la RDC.
«Diomi a organisé une messe en la Cathédrale Notre Dame du Congo où il a invité Etienne Tshisekedi et le pouvoir en place a vu comment les gens ont répondu et voilà la cause de cet arrêt de mort. Nous demandons à ce gens de nous dire la vérité, rien que la vérité parce qu’on nous présente un scénario qu’un enfant, même de sept ans, ne peut pas croire», a dénoncé Martin Fayulu.
Le président de l’Ecidé a, par ailleurs, qualifié l’affaire Diomi d’«un coup monté et manqué».
Le procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, a déjà lancé une action en justice contre l’opposant Eugène Diomi Ndongala qu’il accuse de viol sur des mineures dans ses bureaux de travail à la Gombe.
Selon le Parquet général de la République, qui instruit le dossier, les faits remontent à plus d’une semaine lorsque le président de la DC aurait invité dans ses bureaux dans la commune de la Gombe, les deux filles pour partager un verre. Il leur aurait donné des stimulants pour les violer ensuite, a indiqué la même source.
Le parti de Diomi, la Démocratie chretienne, avait publié un communiqué indiquant que son président est porté disparu depuis le mercredi 27 juin matin. Pour ce parti de l’opposition, Diomi Ndongala a tout simplement été enlevé par les services de sécurité.
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
"La mutinerie est l'oeuvre des inciviques manipulés par des forces obscures", a déclaré le président Jospeh Kabila
La mutinerie dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), que le Rwanda est accusé de soutenir, est l'oeuvre d'inciviques manipulés par des forces obscures nationales et étrangères, a déclaré vendredi le président congolais Joseph Kabila à la télévision nationale.
La date anniversaire de l'indépendance de l'ex-Congo belge, le 30 juin 1960, donne généralement lieu à des réjouissance populaires. Tel ne pourra pas cependant être le cas cette année, car des inciviques manipulés par des forces obscures nationales et étrangères ont plongé une fois de plus la province du Nord-Kivu dans le sang, forçant de nouveau des milliers de nos concitoyens à l'errance et les replongeant dans la précarité, a dit le chef de l'Etat dans un court discours.
En ma qualité de garant de la Nation, je leur dis que leur sécurité n'a pas de prix, qu'elle demeure la priorité de nos priorités, et que, quoiqu'il arrive, quoiqu'il en coûte, unis et déterminés nous défendrons notre pays et nous en ferons un havre de paix, a-t-il ajouté.
Les actions militaires, politiques et diplomatiques en cours seront poursuivies, a assuré le chef de l'Etat en appelant à la vigilance et au patriotisme de tous.
A aucun moment Joseph Kabila n'a cité le Rwanda, pourtant accusé jeudi par le porte-parole du gouvernement congolais Lambert Mende, à la suite de rapports de l'ONU et d'ONG, de soutenir la mutinerie du Mouvement du 23 mars (M23), constituée d'ex-rebelles qui affrontent l'armée congolaise depuis mai dans une partie du Nord-Kivu (est), frontalière avec le Rwanda et l'Ouganda.
Des experts de l'ONU ont affirmé dans un récent rapport que des hauts gradés de l'armée rwandaise, dans l'exercice de leurs fonctions officielles, ont apporté une aide directe à la création du M23, en fournissant aux mutins des armes, du ravitaillement militaire et de nouvelles recrues.
Parmi les noms cités par ces experts figurent ceux du ministre rwandais de la Défense, le général James Kabarebe, du chef d'état-major des armées, le général Charles Kayonga, et aussi du général Jack Nziza, secrétaire permanent du ministre de la Défense et ancien patron du DMI (Department of Military Intelligence), les services de renseignements militaires.
Kigali, qui a toujours nié tout soutien à la mutinerie, a rejeté ce rapport par la voix de sa ministre des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, qui l'a qualifié de document préliminaire partial fondé sur des conclusions partielles qui doit encore être vérifié.
Le président Kabila a rendu un hommage mérité aux forces de défense et de sécurité pour leur bravoure et pour le sacrifice qu'elles consentent afin de mettre hors d'état de nuire des ennemis de notre pays.
Les troubles actuels (...) et les obstacles qu'on ne cesse de dresser sur notre chemin ne nous détourneront pas de nos obligations, encore moins de l'objectif majeur que vous et moi nous nous sommes fixés, celui de l'émergence du Congo, a-t-il conclu.
Les mutins sont des ex-membres de la rébellion tutsi-congolaise du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), intégrés dans l'armée congolaise dans le cadre d'un accord de paix avec Kinshasa signé le 23 mars 2009, dont ils réclament la pleine application. Le CNDP était soutenu par le Rwanda.
Jeudi, Lambert Mende avait exigé que les autorités rwandaises arrêtent, cessent de laisser leurs officiers continuer à alimenter la guerre au Congo.
Peu avant, Kigali avait accusé la RDC de relancer la coopération entre son armée et les rebelles hutus des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), actives dans l'est de la RDC, en vue de lancer des attaques contre le Rwanda. Kinshasa avait démenti.
Certains membres des FDLR sont soupçonnés de participation au génocide contre les Tutsi au Rwanda en 1994.
Kinshasa, 30/06/2012 (AFP / MCN, via mediacongo.net)
La mutinerie dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), que le Rwanda est accusé de soutenir, est l'oeuvre d'inciviques manipulés par des forces obscures nationales et étrangères, a déclaré vendredi le président congolais Joseph Kabila à la télévision nationale.
La date anniversaire de l'indépendance de l'ex-Congo belge, le 30 juin 1960, donne généralement lieu à des réjouissance populaires. Tel ne pourra pas cependant être le cas cette année, car des inciviques manipulés par des forces obscures nationales et étrangères ont plongé une fois de plus la province du Nord-Kivu dans le sang, forçant de nouveau des milliers de nos concitoyens à l'errance et les replongeant dans la précarité, a dit le chef de l'Etat dans un court discours.
En ma qualité de garant de la Nation, je leur dis que leur sécurité n'a pas de prix, qu'elle demeure la priorité de nos priorités, et que, quoiqu'il arrive, quoiqu'il en coûte, unis et déterminés nous défendrons notre pays et nous en ferons un havre de paix, a-t-il ajouté.
Les actions militaires, politiques et diplomatiques en cours seront poursuivies, a assuré le chef de l'Etat en appelant à la vigilance et au patriotisme de tous.
A aucun moment Joseph Kabila n'a cité le Rwanda, pourtant accusé jeudi par le porte-parole du gouvernement congolais Lambert Mende, à la suite de rapports de l'ONU et d'ONG, de soutenir la mutinerie du Mouvement du 23 mars (M23), constituée d'ex-rebelles qui affrontent l'armée congolaise depuis mai dans une partie du Nord-Kivu (est), frontalière avec le Rwanda et l'Ouganda.
Des experts de l'ONU ont affirmé dans un récent rapport que des hauts gradés de l'armée rwandaise, dans l'exercice de leurs fonctions officielles, ont apporté une aide directe à la création du M23, en fournissant aux mutins des armes, du ravitaillement militaire et de nouvelles recrues.
Parmi les noms cités par ces experts figurent ceux du ministre rwandais de la Défense, le général James Kabarebe, du chef d'état-major des armées, le général Charles Kayonga, et aussi du général Jack Nziza, secrétaire permanent du ministre de la Défense et ancien patron du DMI (Department of Military Intelligence), les services de renseignements militaires.
Kigali, qui a toujours nié tout soutien à la mutinerie, a rejeté ce rapport par la voix de sa ministre des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, qui l'a qualifié de document préliminaire partial fondé sur des conclusions partielles qui doit encore être vérifié.
Le président Kabila a rendu un hommage mérité aux forces de défense et de sécurité pour leur bravoure et pour le sacrifice qu'elles consentent afin de mettre hors d'état de nuire des ennemis de notre pays.
Les troubles actuels (...) et les obstacles qu'on ne cesse de dresser sur notre chemin ne nous détourneront pas de nos obligations, encore moins de l'objectif majeur que vous et moi nous nous sommes fixés, celui de l'émergence du Congo, a-t-il conclu.
Les mutins sont des ex-membres de la rébellion tutsi-congolaise du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), intégrés dans l'armée congolaise dans le cadre d'un accord de paix avec Kinshasa signé le 23 mars 2009, dont ils réclament la pleine application. Le CNDP était soutenu par le Rwanda.
Jeudi, Lambert Mende avait exigé que les autorités rwandaises arrêtent, cessent de laisser leurs officiers continuer à alimenter la guerre au Congo.
Peu avant, Kigali avait accusé la RDC de relancer la coopération entre son armée et les rebelles hutus des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), actives dans l'est de la RDC, en vue de lancer des attaques contre le Rwanda. Kinshasa avait démenti.
Certains membres des FDLR sont soupçonnés de participation au génocide contre les Tutsi au Rwanda en 1994.
Kinshasa, 30/06/2012 (AFP / MCN, via mediacongo.net)
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
LE 30 JUIN A BRUXELLES : LA MARCHE FELIX TSHISEKEDI PARLE DE DIOMI ET L'IMPOSTEUR KABILA
http://banamikili.skyrock.com/309957351 ... -ET-L.html
http://banamikili.skyrock.com/309957351 ... -ET-L.html
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.apareco-rdc.com/a-la-une/act ... iques.html
Marche pacifique des congolais à Cotonou
contre le XIVème Sommet de la Francophonie :
« Joseph Kabila » menace les autorités béninoises de rupture des relations diplomatiques !
L’organisation du XIVème Sommet de la Francophonie prévu à Kinshasa pour la fin de cette année tourne véritablement au bras de fer entre le pouvoir d’occupation installé en RDC et les patriotes résistants congolais de l’intérieur et de l’extérieur du pays. Après le fiasco de sa cérémonie d’investiture du mois de décembre 2011, « Joseph Kabila» et les siens continuent de rêver de ce fameux Sommet, non pour la promotion des valeurs prônées par l’OIF et dont ils n’ont que faire, mais plutôt pour sortir leur régime vacillant de la situation inconfortable de bannissement international dans lequel il se trouve depuis le hold-up électoral du 28 novembre 2011. Eh oui ! le Titanic piloté par le fils de Kanambe sous la supervision de Paul Kagame prend l’eau de toute part et lorgne vers l’OIF comme sa dernière bouée de sauvetage avant le naufrage.
Mais le peuple congolais, première victime de la bande de« kuluna » en cravate qui s’est accaparé de ses institutions congolaises, est bel et bien décidé à ne plus se laisser faire. Désormais, rien ne sera plus comme avant. Et ceux qui en doutent risquent fort de l’apprendre à leurs dépens.
Ainsi, réagissant au mot d’ordre de mobilisation du Comité national contre la tenue prochaine du Sommet de l’OIF en RDC, plusieurs comités de l’APARECO en Afrique (Benin, Nigeria, Togo, Sénégal, Maroc, Algérie) et principalement au Bénin avaient décidé d’organiser une marche pacifique à Cotonou afin d’interpeler les peuples africains et particulièrement le Président béninois, Monsieur YAYI BONI, en sa qualité de président en exercice de l’Union Africaine. Ayant préalablement et dument obtenu l’autorisation officielle du maire de Cotonou, la capitale béninoise, ces compatriotes se sont donc attelés à la mobilisation tous azimuts tant des congolais vivant au Bénin, des différents médias que de plusieurs associations béninoises de défense des droits de l’homme dont plusieurs ont réagi positivement à leur invitation. Mais, depuis l’annonce de cette manifestation pacifique qui entre dans la logique normale de tous les peuples qui vivent dans de véritables démocraties, le pouvoir sanguinaire d’occupation en RDC est sorti de ses gonds et monté sur ses grands chevaux, déployant toutes ses manœuvres pour saboter et empêcher le déroulement de cette manifestation citoyenne loin de Kinshasa à Cotonou. L’ŒIL DU PATRIOTE a pu recueillir les témoignages de certaines autorités béninoises qui n’en reviennent pas de «l’acharnement hystérique» (sic) dont « Joseph Kabila » et ses collabos ont fait preuve pour empêcher une simple marche pacifique à des milliers de kilomètres de Kinshasa. Kabila a ainsi confirmé à ceux des béninois qui l’ignoraient que dans la République bananière où il règne en maître absolue, une marche pacifique est considérée comme un crime de lèse-majesté ! C’est ainsi que 2 jours avant la manifestation cette simple marche organisé par l’APARECO-Afrique a pris des allures d’affaire…d’Etat !
« Désolés, nous sommes sous pression Kinshasa
ne veut pas de cette marche ….pacifique ! »
Au moins trois ministères béninois ont reçu la veille instructions d’annuler et d’empêcher par tous les moyens la marche autorisée de l’APARECO: le Ministère de la défense, le Ministère de l’intérieur et celui des affaires étrangères! L’annonce par la radio Africa N°1 ….(date) de l’organisation de cette marche a encore exaspéré la présidence en RDC, avons-nous appris à Kinshasa. Une source proche de l’imposteur rwandais a confirmé à L’ŒIL DU PATRIOTE, qu’à la veille de la manifestation et suite à l’appel conjoint lancé au peuple congolais le 28 juin 2012 par le Président de l’APARECO et le Général Munene, la réaction de «Joseph Kabila» a frôlé l’hystérie. L’imposteur a menacé les autorités béninoises de rupture de relations diplomatiques au cas où cette marche avait lieu, et si la tenue du Sommet de la Francophonie à Kinshasa était compromise ! Comme si la médiocrité dont sont frappés « Kabila » et ses collabos congolais ne suffisait pas déjà à compromettre la tenue de ce Sommet !
Mises sous pression, les autorités béninoises qui avaient pourtant déjà délivré l’autorisation de la marche ont tenté de dissuader les résistants congolais de maintenir leur projet. La veille de la manifestation en effet, soit le jeudi 28 juin 2012 de 15H à 17H, les responsables de l’APARECO-Benin et APARECO-Afrique ont été convoqués d’urgence à la mairie de Cotonou pour s’entendre dire qu’il fallait au moins qu’ils modifient l’itinéraire de la manifestation qui prévoyait de passer par l’ambassade de France avant de finir à l’Ambassade de la RDC à Cotonou. Mais , les congolais ont clairement fait comprendre à leurs interlocuteurs qu’ils leur étaient impossible d’envisager un tel changement à quelques heures de l’événement , alors que cela fait des semaines qu’ils mobilisent les gens pour l’itinéraire convenu précédemment et agréé par la mairie de Cotonou.
Quelques heures plus tard, les organisateurs ont cependant été priés de se présenter au Commissariat à 19H30, où on les a informés que, les pressions de Kinshasa ayant fortement augmenté, sur décision des autorités politiques béninoises, la manifestation était désormais purement et simplement annulée ! Après des vives discussions, les patriotes résistants congolais sont sortis du Commissariat en précisant à leurs interlocuteurs médusés qu’ils marcheraient quand même puisqu’ils détenaient une lettre officielle de la mairie de Cotonou les autorisant à manifester! Quelques instants plus tard, aux alentours de 21H00 , les responsables de l’APARECO-Bénin et Afrique ont alors reçu un coup de fil du Ministère béninois de l’intérieur leur confirmant l’annulation de la marche suite aux pressions de Kinshasa qui « menaçait le Bénin de représailles au cas où cette manifestation serait maintenue». Cet appel a mis les feux aux poudres au sein des patriotes congolais décidés à en découdre avec la police s’il le fallait, ils ont annoncé qu’ils marcheraient quand même advienne que pourra!
L’ŒIL DU PATRIOTE a ainsi appris que sur ordre de Kinshasa, Monsieur MAVAMBU NSAKALA (Tél : 00229 95 28 51 41), chargé d’affaires de l’Ambassade de la RDC au Bénin n’avait cessé de s’activer depuis des semaines pour obtenir l’annulation de cette manifestation. Mais il ne s’est pas arrêté là, ce collabos congolais a tenté par tous les moyens de corrompre ça et là quelques fonctionnaires de police béninois afin que ceux-ci trouvent des «mobiles» pouvant amener à l’arrestation des responsables de l’APARECO se trouvant sur place, en particulier Monsieur FREDERICK BATUAFE, le Président Régional de l’APARECO-Afrique.
Monsieur Mavambu Nsakala que L’ŒIL DU PATRIOTE compte garder particulièrement à l’œil s’en est même pris violemment au correspondant de la radio Africa N°1 à qui il reprochait d’avoir évoqué l’organisation de cette marche des congolais dans l’une de leurs éditions! Comme on peut le voir, les kanambistes joséphistes, même diplomates, ne savent pas que la liberté de presse existe dans le monde , en dehors de la RDC.
Mission accomplie pour l’APARECO-Afrique !
C’est donc dans ce contexte très tendu qu’informé par son cabinet, le Président national de l’APARECO Monsieur Honoré NGBANDA est lui-même intervenu aux alentours de 23H à la veille de la manifestation, pour calmer les congolais qui s’apprêtaient à aller en découdre avec la police béninoise le lendemain. Il les a exhortés à rester calmes en leur certifiant que le message que l’APARECO souhaitait faire passer au travers de cette action à Cotonou était déjà bel et bien parvenu à destination. En plus l’agitation du gouvernement congolais était une très bonne donne, car elle apportait des preuves irréfutables des thèses défendues par l’APARECO concernant l’état d’esprit de l’imposteur« Kabila » et les siens. Il a donc été décidé que pour éviter tout débordement, seul un comité restreint des membres de l’APARECO serait présent à l’heure convenue initialement pour la manifestation afin de gérer la présence des médias (notamment RFI et AfricaN°1) qui avaient déjà annoncé leurs présences, et pour calmer les manifestants qui n’auraient pas eu l’information à temps au sujet de l’annulation de la marche. Les représentants de l’APARECO se sont donc rendus au lieu de rassemblement pour la manifestation dont le départ était prévu à 10H00 le vendredi 29 Juin 2012.
Ils y ont trouvé un nombre impressionnant de policiers qui avaient pour ordre d’empêcher la marche des congolais. Mais ceux-ci leur ont en plus arraché l’une des cartes mémoires des photos qu’ils prenaient.
Compte tenu du mot d’ordre du Président national nos compatriotes ont gardé leur calme. Et c’est seulement vers 11H00 que la police a remis aux responsables de l’APARECO, une lettre officielle de la Mairie de Cotonou confirmant l’annulation de l’autorisation initialement accordée. Nous reproduisons ci-dessous ladite lettre que les membres de l’APARECO ont pu exhiber devant les médias présents (« Africa N°1 », « RFI », « Golf TV &Radio », «Canal3 TV &Radio », et pour la presse écrite: « Fraternité », « Matinal », « le Progres ») comme preuve concrète de la manière dont «Joseph Kabila » tente d’exporter sa dictature jusqu’en dehors des frontières congolaises. Ils en ont également profité pour confirmer à juste titre le refus du peuple congolais de voir se tenir le XIVème Sommet de la Francophonie à Kinshasa en guise de prime à « Joseph Kabila » pour ses crimes en RDC. Ils ont une fois de plus appelé le peuple africain à les soutenir contre les enfants indignes de notre continent qui mettent le pays de Lumumba à feu et à sang depuis plus d’une décennie.
Paris, le 30 juin 2012
Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE
Marche pacifique des congolais à Cotonou
contre le XIVème Sommet de la Francophonie :
« Joseph Kabila » menace les autorités béninoises de rupture des relations diplomatiques !
L’organisation du XIVème Sommet de la Francophonie prévu à Kinshasa pour la fin de cette année tourne véritablement au bras de fer entre le pouvoir d’occupation installé en RDC et les patriotes résistants congolais de l’intérieur et de l’extérieur du pays. Après le fiasco de sa cérémonie d’investiture du mois de décembre 2011, « Joseph Kabila» et les siens continuent de rêver de ce fameux Sommet, non pour la promotion des valeurs prônées par l’OIF et dont ils n’ont que faire, mais plutôt pour sortir leur régime vacillant de la situation inconfortable de bannissement international dans lequel il se trouve depuis le hold-up électoral du 28 novembre 2011. Eh oui ! le Titanic piloté par le fils de Kanambe sous la supervision de Paul Kagame prend l’eau de toute part et lorgne vers l’OIF comme sa dernière bouée de sauvetage avant le naufrage.
Mais le peuple congolais, première victime de la bande de« kuluna » en cravate qui s’est accaparé de ses institutions congolaises, est bel et bien décidé à ne plus se laisser faire. Désormais, rien ne sera plus comme avant. Et ceux qui en doutent risquent fort de l’apprendre à leurs dépens.
Ainsi, réagissant au mot d’ordre de mobilisation du Comité national contre la tenue prochaine du Sommet de l’OIF en RDC, plusieurs comités de l’APARECO en Afrique (Benin, Nigeria, Togo, Sénégal, Maroc, Algérie) et principalement au Bénin avaient décidé d’organiser une marche pacifique à Cotonou afin d’interpeler les peuples africains et particulièrement le Président béninois, Monsieur YAYI BONI, en sa qualité de président en exercice de l’Union Africaine. Ayant préalablement et dument obtenu l’autorisation officielle du maire de Cotonou, la capitale béninoise, ces compatriotes se sont donc attelés à la mobilisation tous azimuts tant des congolais vivant au Bénin, des différents médias que de plusieurs associations béninoises de défense des droits de l’homme dont plusieurs ont réagi positivement à leur invitation. Mais, depuis l’annonce de cette manifestation pacifique qui entre dans la logique normale de tous les peuples qui vivent dans de véritables démocraties, le pouvoir sanguinaire d’occupation en RDC est sorti de ses gonds et monté sur ses grands chevaux, déployant toutes ses manœuvres pour saboter et empêcher le déroulement de cette manifestation citoyenne loin de Kinshasa à Cotonou. L’ŒIL DU PATRIOTE a pu recueillir les témoignages de certaines autorités béninoises qui n’en reviennent pas de «l’acharnement hystérique» (sic) dont « Joseph Kabila » et ses collabos ont fait preuve pour empêcher une simple marche pacifique à des milliers de kilomètres de Kinshasa. Kabila a ainsi confirmé à ceux des béninois qui l’ignoraient que dans la République bananière où il règne en maître absolue, une marche pacifique est considérée comme un crime de lèse-majesté ! C’est ainsi que 2 jours avant la manifestation cette simple marche organisé par l’APARECO-Afrique a pris des allures d’affaire…d’Etat !
« Désolés, nous sommes sous pression Kinshasa
ne veut pas de cette marche ….pacifique ! »
Au moins trois ministères béninois ont reçu la veille instructions d’annuler et d’empêcher par tous les moyens la marche autorisée de l’APARECO: le Ministère de la défense, le Ministère de l’intérieur et celui des affaires étrangères! L’annonce par la radio Africa N°1 ….(date) de l’organisation de cette marche a encore exaspéré la présidence en RDC, avons-nous appris à Kinshasa. Une source proche de l’imposteur rwandais a confirmé à L’ŒIL DU PATRIOTE, qu’à la veille de la manifestation et suite à l’appel conjoint lancé au peuple congolais le 28 juin 2012 par le Président de l’APARECO et le Général Munene, la réaction de «Joseph Kabila» a frôlé l’hystérie. L’imposteur a menacé les autorités béninoises de rupture de relations diplomatiques au cas où cette marche avait lieu, et si la tenue du Sommet de la Francophonie à Kinshasa était compromise ! Comme si la médiocrité dont sont frappés « Kabila » et ses collabos congolais ne suffisait pas déjà à compromettre la tenue de ce Sommet !
Mises sous pression, les autorités béninoises qui avaient pourtant déjà délivré l’autorisation de la marche ont tenté de dissuader les résistants congolais de maintenir leur projet. La veille de la manifestation en effet, soit le jeudi 28 juin 2012 de 15H à 17H, les responsables de l’APARECO-Benin et APARECO-Afrique ont été convoqués d’urgence à la mairie de Cotonou pour s’entendre dire qu’il fallait au moins qu’ils modifient l’itinéraire de la manifestation qui prévoyait de passer par l’ambassade de France avant de finir à l’Ambassade de la RDC à Cotonou. Mais , les congolais ont clairement fait comprendre à leurs interlocuteurs qu’ils leur étaient impossible d’envisager un tel changement à quelques heures de l’événement , alors que cela fait des semaines qu’ils mobilisent les gens pour l’itinéraire convenu précédemment et agréé par la mairie de Cotonou.
Quelques heures plus tard, les organisateurs ont cependant été priés de se présenter au Commissariat à 19H30, où on les a informés que, les pressions de Kinshasa ayant fortement augmenté, sur décision des autorités politiques béninoises, la manifestation était désormais purement et simplement annulée ! Après des vives discussions, les patriotes résistants congolais sont sortis du Commissariat en précisant à leurs interlocuteurs médusés qu’ils marcheraient quand même puisqu’ils détenaient une lettre officielle de la mairie de Cotonou les autorisant à manifester! Quelques instants plus tard, aux alentours de 21H00 , les responsables de l’APARECO-Bénin et Afrique ont alors reçu un coup de fil du Ministère béninois de l’intérieur leur confirmant l’annulation de la marche suite aux pressions de Kinshasa qui « menaçait le Bénin de représailles au cas où cette manifestation serait maintenue». Cet appel a mis les feux aux poudres au sein des patriotes congolais décidés à en découdre avec la police s’il le fallait, ils ont annoncé qu’ils marcheraient quand même advienne que pourra!
L’ŒIL DU PATRIOTE a ainsi appris que sur ordre de Kinshasa, Monsieur MAVAMBU NSAKALA (Tél : 00229 95 28 51 41), chargé d’affaires de l’Ambassade de la RDC au Bénin n’avait cessé de s’activer depuis des semaines pour obtenir l’annulation de cette manifestation. Mais il ne s’est pas arrêté là, ce collabos congolais a tenté par tous les moyens de corrompre ça et là quelques fonctionnaires de police béninois afin que ceux-ci trouvent des «mobiles» pouvant amener à l’arrestation des responsables de l’APARECO se trouvant sur place, en particulier Monsieur FREDERICK BATUAFE, le Président Régional de l’APARECO-Afrique.
Monsieur Mavambu Nsakala que L’ŒIL DU PATRIOTE compte garder particulièrement à l’œil s’en est même pris violemment au correspondant de la radio Africa N°1 à qui il reprochait d’avoir évoqué l’organisation de cette marche des congolais dans l’une de leurs éditions! Comme on peut le voir, les kanambistes joséphistes, même diplomates, ne savent pas que la liberté de presse existe dans le monde , en dehors de la RDC.
Mission accomplie pour l’APARECO-Afrique !
C’est donc dans ce contexte très tendu qu’informé par son cabinet, le Président national de l’APARECO Monsieur Honoré NGBANDA est lui-même intervenu aux alentours de 23H à la veille de la manifestation, pour calmer les congolais qui s’apprêtaient à aller en découdre avec la police béninoise le lendemain. Il les a exhortés à rester calmes en leur certifiant que le message que l’APARECO souhaitait faire passer au travers de cette action à Cotonou était déjà bel et bien parvenu à destination. En plus l’agitation du gouvernement congolais était une très bonne donne, car elle apportait des preuves irréfutables des thèses défendues par l’APARECO concernant l’état d’esprit de l’imposteur« Kabila » et les siens. Il a donc été décidé que pour éviter tout débordement, seul un comité restreint des membres de l’APARECO serait présent à l’heure convenue initialement pour la manifestation afin de gérer la présence des médias (notamment RFI et AfricaN°1) qui avaient déjà annoncé leurs présences, et pour calmer les manifestants qui n’auraient pas eu l’information à temps au sujet de l’annulation de la marche. Les représentants de l’APARECO se sont donc rendus au lieu de rassemblement pour la manifestation dont le départ était prévu à 10H00 le vendredi 29 Juin 2012.
Ils y ont trouvé un nombre impressionnant de policiers qui avaient pour ordre d’empêcher la marche des congolais. Mais ceux-ci leur ont en plus arraché l’une des cartes mémoires des photos qu’ils prenaient.
Compte tenu du mot d’ordre du Président national nos compatriotes ont gardé leur calme. Et c’est seulement vers 11H00 que la police a remis aux responsables de l’APARECO, une lettre officielle de la Mairie de Cotonou confirmant l’annulation de l’autorisation initialement accordée. Nous reproduisons ci-dessous ladite lettre que les membres de l’APARECO ont pu exhiber devant les médias présents (« Africa N°1 », « RFI », « Golf TV &Radio », «Canal3 TV &Radio », et pour la presse écrite: « Fraternité », « Matinal », « le Progres ») comme preuve concrète de la manière dont «Joseph Kabila » tente d’exporter sa dictature jusqu’en dehors des frontières congolaises. Ils en ont également profité pour confirmer à juste titre le refus du peuple congolais de voir se tenir le XIVème Sommet de la Francophonie à Kinshasa en guise de prime à « Joseph Kabila » pour ses crimes en RDC. Ils ont une fois de plus appelé le peuple africain à les soutenir contre les enfants indignes de notre continent qui mettent le pays de Lumumba à feu et à sang depuis plus d’une décennie.
Paris, le 30 juin 2012
Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Par Anonyme (non vérifié), le dim, 2012-07-01 10:55.
C'est dans ce contexte qu'on veut inviter la FRANCE par le truchement de son président HOLLANDE à participer au sommet de la francophonie.Je doute fort que la France,nation éprise des valeurs universelles de liberté,de justice,d'égalité de fraternité ne cautionne le régime du bourreau joseph KABILA qui pend chaque jour les congolais aux crocs du boucher.
http://www.rfi.fr/afrique/20120701-rdc- ... ya-lukunga
RDC - Article publié le : dimanche 01 juillet 2012 - Dernière modification le : dimanche 01 juillet 2012RDC: la disparition de Diomi Ndongala suscite des interrogations
Eugène Diomi Ndongala (G) aux côtés du leader du principal parti d'opposition Etienne Tshisekedi, en l'église Notre-Dame de Kinshasa, le 22 juin 2012.
Par RFI
Où est passé Diomi Ndongala, le président de la Démocratie chrétienne et porte-parole de l'opposition tshisekediste ? L'opposant est recherché tant par les siens que par la police. Il est poursuivi pour viol sur des mineures. Une frange de l'opposition institutionnelle, les Forces acquises au changement, a animé une conférence de presse au cours de laquelle la situation de Diomi a été évoquée. Selon elles, les méthodes utilisées contre le président de la DC ne diffèrent en rien des stratagèmes qui avaient servi, en 2010, à maquiller l'assassinat de l'activiste des droits de l'homme, Floribert Chebeya.
Il a disparu de la circulation depuis quelques jours, en cavale selon la police, enlevé par les services de sécurité, rétorquent ses proches.
En tout cas, Eugène Diomi Ndongala est au centre d’une polémique. Pour les forces acquises au changement, le président de la Démocratie chrétienne et porte-parole de la mouvance tshisekediste, est victime d’une cavale politique.
« Il dérange et il faut le museler », explique le député Martin Fayulu, pour qui les méthodes du pouvoir sont connues : « Le pouvoir en place est en train de traquer Eugène Diomi. Je suis député comme Diomi, et Diomi étant député, nous voulons une enquête parlementaire. Le monsieur qui prétend être le père des filles – et ces filles-là – qui sont-elles réellement ? Chebeya, on a trouvé un condom et des cheveux dans sa voiture. Diomi (…), on dit qu’on a trouvé des capotes chez lui ».
« Il n’y a pas de montage », a réagi le colonel Kadiama. Le commandant de la police territoriale de la Lukunga a déclaré s’en remettre à la police scientifique, pour des analyses qui devront être effectuées sur des prélèvements faits sur les préservatifs trouvés sur les lieux.
C'est dans ce contexte qu'on veut inviter la FRANCE par le truchement de son président HOLLANDE à participer au sommet de la francophonie.Je doute fort que la France,nation éprise des valeurs universelles de liberté,de justice,d'égalité de fraternité ne cautionne le régime du bourreau joseph KABILA qui pend chaque jour les congolais aux crocs du boucher.
http://www.rfi.fr/afrique/20120701-rdc- ... ya-lukunga
RDC - Article publié le : dimanche 01 juillet 2012 - Dernière modification le : dimanche 01 juillet 2012RDC: la disparition de Diomi Ndongala suscite des interrogations
Eugène Diomi Ndongala (G) aux côtés du leader du principal parti d'opposition Etienne Tshisekedi, en l'église Notre-Dame de Kinshasa, le 22 juin 2012.
Par RFI
Où est passé Diomi Ndongala, le président de la Démocratie chrétienne et porte-parole de l'opposition tshisekediste ? L'opposant est recherché tant par les siens que par la police. Il est poursuivi pour viol sur des mineures. Une frange de l'opposition institutionnelle, les Forces acquises au changement, a animé une conférence de presse au cours de laquelle la situation de Diomi a été évoquée. Selon elles, les méthodes utilisées contre le président de la DC ne diffèrent en rien des stratagèmes qui avaient servi, en 2010, à maquiller l'assassinat de l'activiste des droits de l'homme, Floribert Chebeya.
Il a disparu de la circulation depuis quelques jours, en cavale selon la police, enlevé par les services de sécurité, rétorquent ses proches.
En tout cas, Eugène Diomi Ndongala est au centre d’une polémique. Pour les forces acquises au changement, le président de la Démocratie chrétienne et porte-parole de la mouvance tshisekediste, est victime d’une cavale politique.
« Il dérange et il faut le museler », explique le député Martin Fayulu, pour qui les méthodes du pouvoir sont connues : « Le pouvoir en place est en train de traquer Eugène Diomi. Je suis député comme Diomi, et Diomi étant député, nous voulons une enquête parlementaire. Le monsieur qui prétend être le père des filles – et ces filles-là – qui sont-elles réellement ? Chebeya, on a trouvé un condom et des cheveux dans sa voiture. Diomi (…), on dit qu’on a trouvé des capotes chez lui ».
« Il n’y a pas de montage », a réagi le colonel Kadiama. Le commandant de la police territoriale de la Lukunga a déclaré s’en remettre à la police scientifique, pour des analyses qui devront être effectuées sur des prélèvements faits sur les préservatifs trouvés sur les lieux.
-
- Entraîneur
- Messages : 17941
- Enregistré le : 14 janv. 2008, 11:03
- Contact :
Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://afrique.kongotimes.info/rdc/just ... shasa.html
Pour l’enlèvement de DIOMI : Colonel KANYAMA recherché à Kinshasa
01/07/2012 08:40:00KongoTimes!
Kanyama - Colonel et tortionnaire de Joseph KABILA
Des services de renseignement affirment que la résidence du colonel Kanyama a été encerclé par les éléments de la DEMIAP (Détection des Militaires Anti Patrie). On reproche à ce dernier le cambriolage, l’enlèvement et la disparition de l’honorable député Diomi Ndongala.
Des services de renseignement affirment que la résidence du colonel Kanyama a été encerclé par les éléments de la DEMIAP (Détection des Militaires Anti Patrie) hier samedi 30 juin vers 16 h30’. Deux des éléments du commandant de district de la Lukunga ont été arrêtés. Par ailleurs le très célèbre colonel s’est retranché dans sa résidence de Kintambo.
On reproche à c e dernier le cambriolage, l’enlèvement et la disparition de l’honorable député Diomi Ndongala. Le colonel Kanyama doit expliquer aux Congolais par quel réflexe, a-t-il su l’action en flagrance de l’honorable Diomi afin d’obtenir le mandat de perquisition de sa résidence auprès du procureur. Alors que le prétendu parent des jeunes filles confirme qu’il était en discussion avec la sentinelle quant il a aperçu une Jeep de patrouille de la police.
« C’es trop amateur, il faut laisser ce genre de mise en scène aux professionnels de théâtre » a dit un député de la majorité.
Par quelle magie, cet officier chargé de perquisition a pu convaincre le procureur de délivrer le mandat pour une action postérieure. Il est également impérieux de comprendre que « les droits de chacun constituent les devoirs de tous ». Si les dirigeants ont tendance, pour des raisons politiciennes égoïstes, à oublier cette valeur-base, les citoyens au contraire ont le devoir de la leur rappeler et de la défendre. La loi est au-dessus de tous et égale pour tous…le citoyen n’obéit à personne en particulier mais à la loi, et la loi vaut également pour tous.
« Pour tous car cela suppose aussi que les pouvoirs soient soumis à la loi et aient à rendre compte devant elle de leur gestion, de toute décision estimée injuste devant le système de droit.
Par conséquent, le colonel Kanyama « esprit de mort » qui est omniscient doit éclairer notre lanterne sur le pouvoir qu’il détient de séquestrer un citoyen après l’avoir arrêté.
Diomi Ndongala au centre d’une polémique
Une frange de l'opposition institutionnelle, les Forces acquises au changement, a animé une conférence de presse au cours de laquelle la situation de Diomi a été évoquée. Selon elles, les méthodes utilisées contre le président de la DC ne diffèrent en rien des stratagèmes qui avaient servi, en 2010, à maquiller l'assassinat de l'activiste des droits de l'homme, Floribert Chebeya.
Eugène Diomi Ndongala est au centre d’une polémique. Pour les forces acquises au changement, le président de la Démocratie chrétienne et porte-parole de la mouvance tshisekediste, est victime d’une cavale politique.
« Il dérange et il faut le museler », explique le député Martin Fayulu, pour qui les méthodes du pouvoir sont connues : « Le pouvoir en place est en train de traquer Eugène Diomi. Je suis député comme Diomi, et Diomi étant député, nous voulons une enquête parlementaire. Le monsieur qui prétend être le père des filles – et ces filles-là – qui sont-elles réellement ? Chebeya, on a trouvé un condom et des cheveux dans sa voiture. Diomi (…), on dit qu’on a trouvé des capotes chez lui ».
[avec Y.KONGOLO]
Pour l’enlèvement de DIOMI : Colonel KANYAMA recherché à Kinshasa
01/07/2012 08:40:00KongoTimes!
Kanyama - Colonel et tortionnaire de Joseph KABILA
Des services de renseignement affirment que la résidence du colonel Kanyama a été encerclé par les éléments de la DEMIAP (Détection des Militaires Anti Patrie). On reproche à ce dernier le cambriolage, l’enlèvement et la disparition de l’honorable député Diomi Ndongala.
Des services de renseignement affirment que la résidence du colonel Kanyama a été encerclé par les éléments de la DEMIAP (Détection des Militaires Anti Patrie) hier samedi 30 juin vers 16 h30’. Deux des éléments du commandant de district de la Lukunga ont été arrêtés. Par ailleurs le très célèbre colonel s’est retranché dans sa résidence de Kintambo.
On reproche à c e dernier le cambriolage, l’enlèvement et la disparition de l’honorable député Diomi Ndongala. Le colonel Kanyama doit expliquer aux Congolais par quel réflexe, a-t-il su l’action en flagrance de l’honorable Diomi afin d’obtenir le mandat de perquisition de sa résidence auprès du procureur. Alors que le prétendu parent des jeunes filles confirme qu’il était en discussion avec la sentinelle quant il a aperçu une Jeep de patrouille de la police.
« C’es trop amateur, il faut laisser ce genre de mise en scène aux professionnels de théâtre » a dit un député de la majorité.
Par quelle magie, cet officier chargé de perquisition a pu convaincre le procureur de délivrer le mandat pour une action postérieure. Il est également impérieux de comprendre que « les droits de chacun constituent les devoirs de tous ». Si les dirigeants ont tendance, pour des raisons politiciennes égoïstes, à oublier cette valeur-base, les citoyens au contraire ont le devoir de la leur rappeler et de la défendre. La loi est au-dessus de tous et égale pour tous…le citoyen n’obéit à personne en particulier mais à la loi, et la loi vaut également pour tous.
« Pour tous car cela suppose aussi que les pouvoirs soient soumis à la loi et aient à rendre compte devant elle de leur gestion, de toute décision estimée injuste devant le système de droit.
Par conséquent, le colonel Kanyama « esprit de mort » qui est omniscient doit éclairer notre lanterne sur le pouvoir qu’il détient de séquestrer un citoyen après l’avoir arrêté.
Diomi Ndongala au centre d’une polémique
Une frange de l'opposition institutionnelle, les Forces acquises au changement, a animé une conférence de presse au cours de laquelle la situation de Diomi a été évoquée. Selon elles, les méthodes utilisées contre le président de la DC ne diffèrent en rien des stratagèmes qui avaient servi, en 2010, à maquiller l'assassinat de l'activiste des droits de l'homme, Floribert Chebeya.
Eugène Diomi Ndongala est au centre d’une polémique. Pour les forces acquises au changement, le président de la Démocratie chrétienne et porte-parole de la mouvance tshisekediste, est victime d’une cavale politique.
« Il dérange et il faut le museler », explique le député Martin Fayulu, pour qui les méthodes du pouvoir sont connues : « Le pouvoir en place est en train de traquer Eugène Diomi. Je suis député comme Diomi, et Diomi étant député, nous voulons une enquête parlementaire. Le monsieur qui prétend être le père des filles – et ces filles-là – qui sont-elles réellement ? Chebeya, on a trouvé un condom et des cheveux dans sa voiture. Diomi (…), on dit qu’on a trouvé des capotes chez lui ».
[avec Y.KONGOLO]
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 0 invité