Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition

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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

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TSHISEKEDI PRESIDENT DU CONGO ET NON KABILA

http://www.youtube.com/watch?v=RMeQcuUvToc
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

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http://www.culturecongolaise.net/?p=10095



14e sommet de la Francophonie : Diouf lâché par Hollande ?
19 juin, 2012

François Hollande (photo, à droite) va-t-il mettre à exécution sa menace de boycotter la XIVe Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement ayant le français en partage, prévue à Kinshasa du 12 au 14 octobre ? Pour l’heure, le secrétariat général de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), présidé par le socialiste sénégalais Abdou Diouf (photo, à gauche), travaille comme si de rien n’était. Arrivée à Paris le 11 juin, une délégation du comité d’organisation s’attache, entre autres, à rédiger la trame de la déclaration finale du sommet. Une préparation « normale », qui cache mal une évidente fébrilité, la participation de la France étant un gage de réussite du rendez-vous.

Hollande souffle le chaud et le froid

Deux options s’offrent au président français. La première, fidèle à ses propos de campagne, résiderait dans la confirmation de sa non-participation pour mieux dénoncer les graves dérives du régime de Joseph Kabila observées au cours de la présidentielle de novembre 2011, puis des législatives de février. Ce choix entraînerait ipso facto le boycott du premier ministre canadien Stephen Harper. Autant dire que la posture adoptee par les deux « superpuissances » du monde francophone signerait l’acte de décès du sommet – ou, à tout le moins, son moindre intérêt. Les deux hommes devaient précisément s’entretenir de cette question lors de leur rencontre à Paris, le 13 juin. La seconde option serait la venue de François Hollande dans la capitale congolaise, pour une visite utilisée à bon escient. Certains de ses conseillers oeuvrent à ce que le chef d’Etat français profi te de cette tribune nichée au Coeur du plus grand Etat francophone d’Afrique (66 millions d’habitants) pour délivrer un discours fondateur sur sa politique à l’égard du continent. Une sorte de discours de Dakar version socialiste.

Pour l’heure, « tout reste encore possible », précise-t-on à l’Elysée. Le choix définitif devrait être arrêté courant juillet, à l’issue d’un entretien entre François Hollande et Abdou Diouf.

La Lettre du Continent
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http://www.jeuneafrique.com/Article/ART ... shasa.html





Nord-Kivu : la crise pourrait entraîner "la rupture de la paix" avec le Rwanda, selon Kinshasa


21/06/2012 à 10h:02 Par Jeune Afrique

"Le Conseil de sécurité doit rappeler le Rwanda à ses obligations internationales et exiger le retrait immédiat et sans conditions des membres des forces armées qui se dissimuleraient dans les rangs de la rébellion" qui sévit au Nord-Kivu, a déclaré la République démocratique du Congo dans un courrier adressé au Conseil sécurité de l’ONU
C’est une étrange partition que jouent la République démocratique du Congo (RDC) et son voisin rwandais. Quelques jours seulement après que les deux pays aient déclaré, le 19 juin, vouloir enquêter ensemble sur la présence de Rwandais aux côtés de rebelles dans l'est de la RDC, les autorités congolaises ont fortement mis en cause Kigali dans un courrier adressé mercredi 20 juin au Conseil sécurité de l’ONU.
Changement de ton
« Il ressort que le territoire rwandais a servi à la préparation et à la perpétration d'une conspiration qui, après avoir commencé comme une simple mutinerie, évolue dangereusement vers un schéma de rupture de la paix entre deux pays de la région des Grands Lacs », souligne dans ce courrier le ministre des Affaires étrangères de la RDC, Raymond Tshibanda. « Le Conseil de sécurité doit rappeler le Rwanda à ses obligations internationales et exiger le retrait immédiat et sans conditions des membres des forces armées qui se dissimuleraient dans les rangs de la rébellion », ajoute-t-il.
En début de semaine, lors de la visite à Kinshasa de la ministre rwandaise des Affaires étrangères Louise Mushikiwabo, qui a rencontré son homologue congolais Raymond Tshibanda, avant d'être reçue par le chef de l'État Joseph Kabila, le ton a semble-t-il été bien plus cordial. « Les deux voisins ont convenu de rendre opérationnelle la Commission conjointe de vérification chargée notamment d'enquêter sur les suspicions de soutien extérieur aux mutins (...) », indiquait le communiqué publié à l'issue des discussions entre les deux ministres.
Publication d'un rapport bloquée ?
La présence de présumés Rwandais parmi les mutins a été révélée après la fuite d'un rapport interne d'un groupe d'experts de l'ONU sur la RDC, puis confirmée par l'ONG Human Rights Watch. Rapport dont la publication a été décalée de deux semaines. Un diplomate du Conseil de sécurité a indiqué pour sa part qu’il sera bien rendu public et a justifié le délai par « les efforts déployés pour que le Rwanda et la RDC travaillent ensemble pour mettre fin à la menace des rebelles ».
L'ambassadeur de la RDC à l'ONU Ileka Atoki et Human Rights Watch se disent persuadés que les États-Unis ont bloqué la diffusion de ce rapport, ce que Washington nie. « Les États-Unis ne bloquent pas de rapport du groupe d'experts sur la RDC », a insisté dans un communiqué Payton Knopf, porte-parole adjoint de la mission des États-Unis à l'ONU. « Avec les autres membres de la commission nous étudions avec soin ces conclusions et nous continuerons à discuter de leurs implications une fois que le rapport sera rendu public », a-t-il ajouté.
(Avec AFP)
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

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Francophonie: le sommet de Kinshasa aura-t-il lieu?
Le prochain sommet de la Francophonie, prévu en octobre 2012 en République démocratique du Congo, ne cesse d’alimenter la polémique. Les appels répétés au boycott risquent d’amener à reporter le rendez-vous ou à le «délocaliser».

Kinshasa, by irene2005 via Flickr CC
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Christian Yodi et Jacques Matang



Le sommet de la Francophonie est le plus grand événement rassemblant les pays ayant en partage le français. Une sorte de grand-messe qui regroupe, tous les deux ans, pas moins de soixante-quinze pays.

Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo est sensée accueillir près de 3.000 invités, du 12 au 14 octobre 2012. Pourtant, des voix s’élèvent déjà pour appeler à boycotter la manifestation.

Le 2 juin à Paris, l’Alliance des patriotes pour la refondation du Congo (Apareco) et le Mouvement des patriotes résistants-combattants de la diaspora congolaise ont organisé une manifestation dans ce sens.

Des opposants en furie

«On ne veut pas que le prochain sommet de la Francophonie se tienne à Kinshasa. Et ce, en raison de la mascarade d'élections qui se sont tenues devant le monde entier en novembre, et des crimes et exactions qui ont lieu chaque jour en RDC», s'insurge Mena Rolain, président d'Apareco-Europe.

Malgré ces protestations, les préparatifs semblent aller bon train, sur place, à Kinshasa.

«Nous évoluons sereinement vers le sommet, affirme un commissaire, membre de l’organisation technique du sommet. Nous avons organisé Toseka, le Festival du rire, nous préparons le prochain colloque des écrivains universitaires à Lubumbashi, (province du Katanga ndlr). On chemine lentement, mais surement vers le sommet.»

Même son de cloche du côté des officiels au bureau de l’Organisation internationale de la Francophonie à Paris.

Un rêve jamais réalisé

Il faut dire que la RDC a toujours souhaité accueillir ce sommet de la Francophonie, depuis le temps où il s’appelait encore Zaïre, à l’époque de l’ancien président Mobutu Sese Seko. Alors que tout semblait bouclé, le quatrième sommet, qui devait se tenir à Kinshasa en 1991 est délocalisé.

En cause, le «massacre des étudiants de Lubumbashi en 1990». En raisons de critiques liées aux atteintes aux droits de l’homme, des bruits de délocalisation couraient déjà depuis 1989. Le sommet sera organisé en France.

Cette fois-ci encore, le prochain sommet annoncé à Kinshasa est menacé de délocalisation.

«Je pense qu’aucun discours officiel ne voudra assurer le fait d’annoncer cette éventualité, confie une source proche des milieux de la Francophonie. Il y a, en ce moment, un débat politique très fort là-dessus. Ce qui me paraît certain, c’est qu’il y a un plan B qui est entrain de se mettre en place sur l’île Maurice. Ça me paraît acquis. Mais, est-ce qu’il peut y avoir des retours en arrière? Est-ce qu’il y a des pressions politiques qui se font d’un côté ou de l’autre pour le maintenir à Kinshasa?»

Inquiétudes et incertitudes

Rarement la tenue d’un sommet aura été l’objet de tant d’incertitudes. Par exemple, les travaux de la route qui mène à l’aéroport, sur un tronçon de près de 16 kilomètres, n’avancent pas.

A l’aéroport international de Nd’jili, justement, il est attendu une rotation de près de quarante avions pour l’arrivée des chefs d’états et des délégations, en une journée.

Comment s’en sortira cet aéroport doté d’une seule piste servant à la fois pour les atterrissages et pour les décollages et d’une tour de contrôle qui est loin d’être aux normes? Pourtant, le budget pour l’organisation de ce sommet est estimé à 22,6 millions de dollars (un peu plus de 17 millions d’euros).

Rien n’est prêt

Il se pose aussi la question de la disponibilité du parc hôtelier de la capitale congolaise. Kinshasa ne dispose pas d’assez d’hôtels de standing et répondant à toutes les normes de sécurité.

A Paris lors de la manifestation devant le siège de l’OIF, Richard Tmondoni, un militant, s’insurgeait:

«Nous ne voulons pas que les pays occidentaux encouragent le régime du président Kabila. Aujourd'hui, la Francophonie n'apporte rien au peuple congolais. C'est une coquille vide. Si le sommet se tient à Kinshasa, on va parler d'intérêts économiques et miniers, pas du peuple.»

Une source proche de l’OIF fait par ailleur savoir qu’avec toutes les menaces persistantes de boycott, même si le sommet se tenait finalement à Kinshasa, «il y a aussi un risque que les chefs d’Etat ne viennent pas tous».


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http://www.slateafrique.com/89637/RDC-i ... e-kinshasa




Francophonie: le sommet de Kinshasa aura-t-il lieu?

Le prochain sommet de la Francophonie, prévu en octobre 2012 en République démocratique du Congo, ne cesse d’alimenter la polémique. Les appels répétés au boycott risquent d’amener à reporter le rendez-vous ou à le «délocaliser».

Kinshasa, by irene2005 via Flickr CC
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Le sommet de la Francophonie est le plus grand événement rassemblant les pays ayant en partage le français. Une sorte de grand-messe qui regroupe, tous les deux ans, pas moins de soixante-quinze pays.

Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo est sensée accueillir près de 3.000 invités, du 12 au 14 octobre 2012. Pourtant, des voix s’élèvent déjà pour appeler à boycotter la manifestation.

Le 2 juin à Paris, l’Alliance des patriotes pour la refondation du Congo (Apareco) et le Mouvement des patriotes résistants-combattants de la diaspora congolaise ont organisé une manifestation dans ce sens.

Des opposants en furie

«On ne veut pas que le prochain sommet de la Francophonie se tienne à Kinshasa. Et ce, en raison de la mascarade d'élections qui se sont tenues devant le monde entier en novembre, et des crimes et exactions qui ont lieu chaque jour en RDC», s'insurge Mena Rolain, président d'Apareco-Europe.

Malgré ces protestations, les préparatifs semblent aller bon train, sur place, à Kinshasa.

«Nous évoluons sereinement vers le sommet, affirme un commissaire, membre de l’organisation technique du sommet. Nous avons organisé Toseka, le Festival du rire, nous préparons le prochain colloque des écrivains universitaires à Lubumbashi, (province du Katanga ndlr). On chemine lentement, mais surement vers le sommet.»

Même son de cloche du côté des officiels au bureau de l’Organisation internationale de la Francophonie à Paris.

Un rêve jamais réalisé

Il faut dire que la RDC a toujours souhaité accueillir ce sommet de la Francophonie, depuis le temps où il s’appelait encore Zaïre, à l’époque de l’ancien président Mobutu Sese Seko. Alors que tout semblait bouclé, le quatrième sommet, qui devait se tenir à Kinshasa en 1991 est délocalisé.

En cause, le «massacre des étudiants de Lubumbashi en 1990». En raisons de critiques liées aux atteintes aux droits de l’homme, des bruits de délocalisation couraient déjà depuis 1989. Le sommet sera organisé en France.

Cette fois-ci encore, le prochain sommet annoncé à Kinshasa est menacé de délocalisation.

«Je pense qu’aucun discours officiel ne voudra assurer le fait d’annoncer cette éventualité, confie une source proche des milieux de la Francophonie. Il y a, en ce moment, un débat politique très fort là-dessus. Ce qui me paraît certain, c’est qu’il y a un plan B qui est entrain de se mettre en place sur l’île Maurice. Ça me paraît acquis. Mais, est-ce qu’il peut y avoir des retours en arrière? Est-ce qu’il y a des pressions politiques qui se font d’un côté ou de l’autre pour le maintenir à Kinshasa?»

Inquiétudes et incertitudes

Rarement la tenue d’un sommet aura été l’objet de tant d’incertitudes. Par exemple, les travaux de la route qui mène à l’aéroport, sur un tronçon de près de 16 kilomètres, n’avancent pas.

A l’aéroport international de Nd’jili, justement, il est attendu une rotation de près de quarante avions pour l’arrivée des chefs d’états et des délégations, en une journée.

Comment s’en sortira cet aéroport doté d’une seule piste servant à la fois pour les atterrissages et pour les décollages et d’une tour de contrôle qui est loin d’être aux normes? Pourtant, le budget pour l’organisation de ce sommet est estimé à 22,6 millions de dollars (un peu plus de 17 millions d’euros).

Rien n’est prêt

Il se pose aussi la question de la disponibilité du parc hôtelier de la capitale congolaise. Kinshasa ne dispose pas d’assez d’hôtels de standing et répondant à toutes les normes de sécurité.

A Paris lors de la manifestation devant le siège de l’OIF, Richard Tmondoni, un militant, s’insurgeait:

«Nous ne voulons pas que les pays occidentaux encouragent le régime du président Kabila. Aujourd'hui, la Francophonie n'apporte rien au peuple congolais. C'est une coquille vide. Si le sommet se tient à Kinshasa, on va parler d'intérêts économiques et miniers, pas du peuple.»

Une source proche de l’OIF fait par ailleur savoir qu’avec toutes les menaces persistantes de boycott, même si le sommet se tenait finalement à Kinshasa, «il y a aussi un risque que les chefs d’Etat ne viennent pas tous».


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http://www.apareco-rdc.com/89-diapo-onl ... taire.html






F L A S H

Une délégation de « Joseph Kabila » en Ouganda et en Angola à la recherche d’une aide militaire

Les cadavres des GR s’accumulent…

L’imposteur rwandais au pouvoir à Kinshasa est réellement aux abois. L’attaque « mystérieuse » de sa résidence de Goma l’a littéralement déboussolé. Après le transfert des six corps des officiers de la GR tués, quarante-huit corps des soldats GR tués sont arrivés à Kinshasa ce mardi. Mais on n’a toujours aucune nouvelle des autres éléments de la GR portés disparus. On croit savoir qu’ils ont rejoint le maquis. Pendant ce temps, «Kabila» et son entourage se demandent encore: pourquoi, comment? Bien malin qui saura y répondre !


Qui pis est, au moment où les dépouilles des éléments de la GR tués à Goma arrivent à Kinshasa, quatre autres éléments de la GR sont mystérieusement tués dans la commune de Masina. La panique gagne du terrain et « Joseph Kabila » ordonne le bouclage des lieux du crime. Mais l’homme n’est pas au bout de ses peines qui ne font que commencer. En effet, arrivés sur les lieux du crime à Masina, plusieurs éléments de la GR, au lieu de boucler le territoire, ont plutôt troqué leur uniforme et endossé celle de la Police nationale avant de disparaître dans la ville. Ils protestent contre leur maigre salaire par rapport à leurs collègues étrangers (rwandais et tanzaniens) payés gracieusement en dollars américains.

C’est cette atmosphère qui contraint encore plus le fils d’Adrien Kanambe à diligenter une mission auprès des présidents MUSEVENI de l’Ouganda et DOS SANTOS de l’Angola pour demander l’aide d’urgence en vue de sécuriser son pouvoir vacillant. Eh oui, n’étant pas congolais cet agent rwandais en mission en RDC ne peut surtout pas compter sur les forces de sécurité congolaises. Ceux des congolais qui avaient encore des doutes sur le véritable rôle de Kanambe dans notre pays peuvent donc constater par eux-mêmes comment leur « rais » apporte chaque jour lui-même les preuves de son imposture. Pendant que les militaires congolais sont transformés en semi-mendiants « Joseph Kabila » multiplie ses appels à toutes sortes de mercenaires étrangers qu’il est prêt à payer une fortune …au frais du contribuable congolais. Et ceci avec pour seul résultat :la montée de l’insécurité pour les congolais eux-mêmes !!

La mission conduite par Raymond TSHIBANDA, ministre des Affaires Etrangères, est composée du général Didier ETUMBA, Chef d’état-major général des FARDC, général Charles BISENGIMANA, chef de la Police nationale et du Colonel FINDA. L’Ouganda a donné une réponse négative à la démarche de « Kabila » tandis que la réponse de l’Angola a été réservée.

L’Angola devrait s’inspirer de l’exemple de l’Ouganda qui tente de prendre ses distances avec le pouvoir sanguinaire et dictatorial de « Kabila », pour ne pas s’interposer face à la montée du patriotisme congolais tant dans l’armée que dans toutes les couches de la population congolaise. Il est grand temps de laisser les Congolais régler le problème de leur souveraineté et de leur intégrité territorial et de ne pas hypothéquer l’avenir de nos relations en soutenant les ennemis du peuple congolais.

Paris , le 21 juin 2012

Candide OKEKE

L’ŒIL DU PATRIOTE
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José Makila, député MCL demande à la population de boycotter les nouveaux billets

http://banamikili.skyrock.com/309746759 ... r-les.html
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http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7362





«Joseph Kabila», un Président de pacotille





La prise du pouvoir par l’AFDL (Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo), il y a quinze ans, grâce au concours principalement des soldats des armées régulières de l’Ouganda et du Rwanda a transformé l’ex-Zaïre, rebaptisé Congo démocratique, en un «Etat sans frontières». Ces pays voisins ont pris la mauvaise habitude de violer impunément l’intégrité du territoire national congolais. Au gré de leurs caprices et intérêts.

Les auditeurs de radio Okapi ont suivi en ce jeudi 21 juin 2012 que des officiers de renseignements de l’armée ougandaise se trouvent depuis samedi 16 juin à Bunia, chef-lieu du District de l’Ituri (Province Orientale). But de leur mission : «traquer» des véhicules «volés» en Ouganda. En guise de documents officiels, ces pales copies de "James Bond" n’ont pu exhiber qu’une «liste» de véhicules «recherchés». C’est tout?

Cette étrange opération qui viole la souveraineté du Congo-Kinshasa n’a été "stoppée" que grâce à la vigilance et surtout à la compétence de quelques valeureux fonctionnaires du pays. Il y en a encore. Ceux-ci ont exigé aux «flics» de Museveni de produire les photocopies des titres de propriété de ces engins ainsi que l’avis de recherche émis par les autorités judiciaires ougandaises. «Je vais les chercher à l’hôtel», a bredouillé un des officiers ougandais qui a aussitôt disparu. Où étaient passés les agents de la DGM (Immigration) toujours prompts à tracasser les voyageurs congolais en provenance de l’étranger? Où étaient passés les agents de l’ANR (Sûreté) du tristement célèbre Kalev Mutond lesquels passent le clair de leur temps à fouler aux pieds les droits et libertés des paisibles citoyens et autres "contradicteurs" du "raïs" en lieu et place de rechercher et d’identifier les menaces qui planent sur la sécurité nationale?

Ce qui surprend par ailleurs dans cette histoire est que les autorités tant militaires que policières du District de l’Ituri – un territoire plus grand que la Belgique - n’étaient pas informées de la présence des fonctionnaires des "services" ougandais dans leur juridiction. Alors que ces agents étrangers «traquaient» déjà les véhicules «recherchés» avec l’aide… des policiers congolais chargés de la circulation. Inimaginable !

Depuis le déclenchement de la guerre dite des «Banyamulenge» en octobre 1996, le Rwanda de Paul Kagame et l’Ouganda de Yoweri Museveni n’éprouvent que le plus grand mépris pour les dirigeants congolais. Des dirigeants qu’ils ont contribué à installer au pouvoir à Kinshasa. C’était un certain 17 mai 1997. Porté au pouvoir grâce aux fusils de ces deux potentats, Laurent-Désiré Kabila a été le premier à subir la morgue de ses mentors. La suite est connue : la rupture. Successeur de «Mzee», «Joseph Kabila» est littéralement tiré par le bout du nez par l’homme fort de Kigali qui est en passe de transformer les provinces du Kivu en une «colonie rwandaise». Museveni et Kagame exerceraient sans doute du chantage sur «Joseph». Les Congolais ont ainsi tort de faire l’impasse sur les zones d’ombre qui parsèment le «CV» de leur Président de pacotille. Un homme qui a fourbi ses armes en Tanzanie, en Ouganda et au Rwanda.

Onze années après l’accession de «Joseph Kabila» à la tête de l’Etat, le Congo-Kinshasa ressemble de plus en plus en un Etat sans frontières. Un Etat qui n’est ni gouverné ni administré. Le pays manque gravement les facteurs nécessaires à l’exercice de la puissance publique. A savoir notamment une armée capable d’assurer la défense des frontières, une justice indépendante, une police chargée d’assurer la sécurité des personnes et des biens, une administration moderne et une diplomatie efficace.

Quelle est au jour d’aujourd’hui la place du Congo-Kinshasa en Afrique et dans le monde? Quelle est l’image que les Zaïro-Congolais ont d’eux-mêmes et comment sont-ils perçus par les autres peuples? «La politique étrangère d’un pays reflète toujours le caractère national», disent les «internationalistes. Par «caractère», il s’agit de la «personnalité» ou du «tempérament» de la population et des dirigeants. Le Congo-Kinshasa est perçu comme un Etat «malade» de l’irresponsabilité de ses gouvernants. Le peuple congolais - petit ou grand citoyen - est perçu en Afrique et dans le monde comme un peuple frivole. Superficiel. A tort ?

Cette image peu glorieuse risque de perdurer aussi longtemps que le destin de ce grand et beau pays sera pris en otage par un Président de pacotille. Un Président incapable de mobiliser les énergies endogènes pour redonner à la nation congolaise son unité à l’intérieur et sa respectabilité à l’extérieur. Un Président au service des intérêts étrangers...

Baudouin Amba Wetshi
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http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7363




Maîtriser le modus operandi du Rwanda, de ses alliés et autres «collabos» chez nous (suite et fin)




Il serait intéressant de chercher à maîtriser les procédures suivies par le Rwanda de Paul Kagame et ses parrains dans notre pays pour des actions efficaces de restructuration et de reconstruction. Ils se moquent de la justice internationale et se servent d’un même prétexte pour assassiner, massacrer, tuer les paisibles citoyennes et citoyennes du Congo (RD). Et cela pour servir un double objectif : occuper les terres congolaises et les piller. « Les collabos » font le jeu en comptant sur l’oubli des compatriotes et sur les moyens de répression dont ils disposent. Néanmoins l’édifice du mensonge et du déni de la réalité se fissure de plus en plus. Il est possible que nous avancions vers la fin d’une certaine histoire…

Les rébellions fomentées par Kigali gardent un contact permanent avec son maître, Paul Kagame. Elles conservent aussi la capacité de se démultiplier en changeant tout simplement de dénomination après avoir déversé une partie des « collabos » dans les institutions congolaises. Dans cet ordre d’idées, l’AFDL est devenue en partie le RCD (avec plusieurs branches) et le PPRD; le RCD est devenu en partie le CNDP ; et ce dernier est devenu en partie le M23. Cette démultiplication des rébellions démultiplie leur capacité de nuisance, d’occupation des institutions du pays et de l’espace vital congolais.

Un exemple de cette mutation est donné par Raymond Tshibanda dans la lettre qu’il a adressée dernièrement au Président du Conseil de sécurité. Il écrit : « En effet, le 30 avril 2012, une mutinerie a éclaté dans nos unités des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) au Nord et au Sud-Kivu. Conduits par leur ancien chef, Bosco Ntaganda, d’anciens membres du groupe armé CNDP, intégrés dans l’armée, suite aux Accords de Paix signé à Goma en 2009, venaient de déserter pour tenter une nouvelle rébellion armée.» Un paragraphe plus loin, il ajoute : « Dans une vaine tentative de donner un caractère politique à ce qui, en fait n’est qu’une fuite en avant devant l’étau de la justice qui commençait à se resserrer sur Bosco Ntaganda pour les crimes qu’il avait commis sous l’UPC en Ituri, les mutins tentent astucieusement de se donner une nouvelle identité en rebaptisant leur mouvement M23. » Bref, c’est le CNDP qui est devenu, en partie et astucieusement, le M23. Dans ce M23, 200 à 300 ( ?) éléments ont été recrutés sur le territoire Rwandais. (Avant le M23, plusieurs autres éléments recrutés sur le territoire Rwandais ont fait partie de l’AFDL, du RCD et du CNDP. Ils ont été intégrés dans l’armée et dans les partis politiques dont le PPRD et le RCD.) Parmi les éléments du M23 recrutés sur le territoire Rwandais figurent les FDLR. Raymond Tshibanda le mentionne dans sa lettre quand il écrit : « Des alliances contre nature se sont établies. A titre d’exemple, les FDLR dont certains avaient été rapatriés au Rwanda par la Monusco ont rejoint les rangs des mutins, comme témoigne leur capture sur le front. »

Lisons calmement et posément cette phrase : « A titre d’exemple, les FDLR dont certains (et certains autres ?) avaient été rapatriés au Rwanda par la Monusco ont rejoint les rangs des mutins, comme témoigne leur capture sur le front. »
D’une part, les mutins considérés comme forces négatives ont bénéficié du soutien d’ « un réseau actif dans ce pays voisin » ; et d’autre part, les FDLR considérées également comme des forces négatives, ont rejoint, à partir du Rwanda, les mutins. Où se trouvent alors « les véritables forces négatives » que Tshibanda et Mushikiwabo, ministre Rwandais des Affaires Etrangères s’apprêtent à traquer pour sécuriser l’est de notre pays ? L’argument de la traque des FDLR tombe face à l’usage qu’en fait le Rwanda…

Un petit effort de réflexion pour maîtriser le modus operandi du Rwanda de Paul Kagame peut conduire à la conclusion selon laquelle c’est (entre autres) le petit pays voisin et le gouvernement Congolais issu du coup d’Etat administratif des élections de novembre et décembre 2011 qui constituent « les véritables forces négatives » dans la sous-région des Grands-Lacs. Ils signent des Accords de paix bidon ; ils nouent des alliances contre nature et entretiennent le déni de la réalité, le mensonge, les assassinats, les meurtres et les autres massacres de paisibles citoyens. Travailler patiemment mais sûrement à déboulonner ce système de la mort entretenu par ces « véritables forces négatives » avec le soutien de leurs parrains est plus qu’une urgence. Ce travail pourrait être fondé sur une éthique de responsabilité tournée vers le passé et une éthique de réconciliation tournée vers l’avenir. Reconduire le travail d’une grande Commission Justice, Vérité et Réconciliation dans la sous-région et dans les différents pays impliqués dans la guerre d’agression que le Congo connaît depuis 1996 demeure une question d’actualité. Rien de consistant ne saura être créé dans cette sous-région sur fond de mensonge et de déni de la réalité.

De toutes les façons, cet édifice du mensonge et de déni de la réalité se fissure de plus en plus. Il est possible que nous avancions vers la fin d’une certaine histoire…

Mbelu Babanya Kabudi
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http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... -tropiques






Messe de solidarité en mémoire des martyrs de la guerre de l’Est - Tshisekedi aujourd’hui à l’Eglise Notre Dame du Congo
VENDREDI, 22 JUIN 2012 11:25




La MPP qui organise ce culte, dénonce l’implication rwandaise dans cette situation désastreuse au Nord-Kivu, et accuse Kinshasa de jouer le jeu de Kagame. La Majorité présidentielle populaire (MPP) organise ce vendredi 22 juin, à la cathédrale Notre Dame de Lingwala, une messe de « solidarité en mémoire des martyrs de la guerre de l’Est ».

Etienne Tshisekedi Wa Mulumba prendra personnellement part à cette messe, a-t-on appris des sources proches de la Majorité présidentielle populaire (MPP) dont le porte-parole n’est autre qu’Eugène Diomi Ndongala Nzomambu, président nationale de la Démocratie Chrétienne (DC).

Selon les organisateurs de ce culte en mémoire des Congolais de l’Est, principalement du Nord-Kivu, tués suite aux affrontements entre les Forces armées de la République démocratique du Congo et les rebelles de M23, il est question de défoncer le fait que cette guerre est imposée aux Congolais par les Rwandais, car l’implication de Kigali a déjà été mise à nu par la Mission d’Observation des Nations Unies au Congo (MONUSCO) et bien d’autres organisations nationales et internationales.

D’ailleurs, dernièrement, le Conseil de sécurité des Nations Unies venait lui aussi de condamner l’apport rwandais dans cette confusion qui déstabilise non seulement la partie-Est de la République démocratique du Congo, mais aussi toute la sous-région des Grands Lacs.

Mais au regard du comportement qu’affiche Kinshasa qui ne veut pas reconnaître de manière claire le concours néfaste de Kigali dans cette affaire, la Majorité présidentielle populaire accuse l’actuel pouvoir en place en RDC de complicité dans ce malheur qui frappe une fois de plus la population du Nord-Kivu.

Par exemple, la MPP a trouvé indécent qu’un membre du gouvernement du pays agresseur, ministre des Affaires étrangères soit-elle, puisse être reçue avec autant d’honneur par Joseph Kabila en début de cette semaine, après avoir tenu une importante séance de travail avec son homologue congolais Raymond Tshibanda Ntungamulongo, sanctionné par un communiqué final conjoint des deux parties qui prétendaient que le Rwanda est décidé à tout mettre en oeuvre pour mettre fin à la guerre qui sévit au Nord-Kivu. Du coup, le pyromane se métamorphose en sapeur-pompier.

LEFILS MATADY
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