Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Guerre à l’ est du Congo : Conférence de presse des forces acquises au changement
http://www.congomikili.com/guerre-a-l-e ... hangement/
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
VIDEO:
Déclaration commune de l'UDPS APARECO ARP lue par le représentant de l'UDPS
& Interviews des intervenants
http://www.apareco-rdc.com/87-fil-info/ ... o-arp.html
Déclaration commune de l'UDPS APARECO ARP lue par le représentant de l'UDPS
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://afrique.kongotimes.info/rdc/dias ... o-arp.html
Libération de la RDC : Déclaration commune UDPS-APARECO-ARP
15/06/2012 07:03:00KongoTimes!
Edouard OLITO MALUDJI - le réprésentant de l'UDPS en France
Ainsi nous, UDPS, APARECO et ARP, au regard de l’ensemble de la situation préoccupante qui prévaut en République Démocratique du Congo, avons-nous décidé de conjuguer à partir de ce jour nos efforts et moyens en vue d’aboutir à l’objectif commun de libération de notre pays de l’occupation étrangère, de rétablissement de la souveraineté du peuple congolais et d’instauration d’une véritable démocratie en République démocratique du Congo.
Voici-ci dessous la Déclaration commune lue par le réprésentant de l'UDPS Monsieur Edo Olito Maloudji, ( remplaçant Mr Félix Tshisekedi empeché), ce jeudi 14 juin 2012 à Paris à l'Hotel Warwick-Champs Elysées, lors de la conférence de presse conjointe de l'UDPS APARECO ARP - Elle a été signée par les représentants de ces 3 partis.
Déclaration commune UDPS-APARECO-ARP
Nous, mouvements politiques et membres des forces vives, civiles et militaires, de la Résistance au processus d’occupation et de balkanisation de la République démocratique du Congo, réunis au sein de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), l’Alliance des Patriotes pour la Refondation du Congo (APARECO) et l’Armée de Résistance Populaire (A.R.P.), résolument engagés dans la lutte contre le pouvoir dictatorial d’occupation et sanguinaire de Kinshasa, défendant le respect de l’intangibilité des frontières et la souveraineté du peuple congolais, combattant contre les multiples violations des droits de l’Homme commises en République Démocratique du Congo, avons analysé et examiné les conséquences politiques et sécuritaires négatives découlant des élections présidentielles et législatives du 28 novembre 2011 en République Démocratique du Congo en particulier, et de l’occupation du pays par des forces étrangères en général :
I. Des élections présidentielles et législatives organisées le 28 novembre 2011 en République démocratique du Congo :
Considérant unanimement que ces élections ont été entachées de fraudes massives et de multiples violations des principes démocratiques élémentaires, orchestrées et planifiées par «Joseph Kabila» et son gouvernement, en sa faveur et au détriment des autres candidats dont particulièrement Monsieur Etienne Tshisekedi , Président de l’UDPS ;
Attendu que ces violations ont été constatées par la Communauté internationale et des organismes indépendants à travers notamment le Centre Carter, la Mission des Observateurs de l’Union Européenne , de l’Union Africaine, de la SADEC, du Bureau conjoint des Nations-Unies, ainsi que par le peuple congolais à travers notamment l’Eglise catholique, sans oublier les observateurs des différents partis politiques de l’opposition ayant pris part à ce scrutin ;
Après examen de tous ces faits, nous considérons que le peuple congolais dans son ensemble a été victime d’un hold-up électoral de la part de «Joseph Kabila» qui a détourné et confisqué illégalement et arbitrairement la volonté du peuple congolais, souverain primaire.
En conséquence :
1. Nous lançons un appel patriotique et solennel au peuple congolais de se mobiliser pour la défense de ses inaliénables droits fondamentaux bafoués et violés par «Joseph Kabila» et ses accolytes;
2. Nous demandons au peuple congolais de faire usage de l’article 64 de la constitution en vigueur qui lui confère le droit de recourir à tous les moyens lorsque ses droits fondamentaux sont violés;
3. Nous invitons tous les Congolais, où qu’ils se trouvent, à poursuivre le combat, à exercer leur droit à la légitime défense, en vue de mettre un terme définitif au régime fantoche et prédateur de l’imposteur « Joseph Kabila», pour redonner sa dignité au peuple congolais ;
II. De l’insécurité et de l’instabilité qui perdure dans les provinces martyrs du Nord-Kivu, Sud-Kivu, Maniema et Province orientale depuis 1996 à jusqu’à ce jour.
Attendu que depuis des années, plusieurs rapports de l’ONU et des ONG dont ceux très récents de l’ONG Human Rights Watch (HRW) et des experts de l’ONU, reconnaissent péremptoirement que les principales milices et «rébellions» qui sèment la mort, la désolation et participent activement au pillage des provinces du Nord-Kivu, Sud-Kivu, Maniema et Province orientale sont créées, organisées, soutenues et manipulées par certains pays voisins de la RDC avec la complicité des plus hautes autorités politiques et militaires de la République Démocratique du Congo;
Attendu qu’aujourd’hui, il n’y a plus de doute sur les intentions malveillantes de certains pays voisins sur la nature de leurs opérations de déstabilisation de la partie orientale de la RDC, visant l’accomplissement d’un projet secret de balkanisation et d’annexion de cette partie du territoire nationale;
Considérant que l’extermination massive et planifiée de notre population porte désormais les germes d’un véritable génocide et s’ajoute à la volonté évidente de mise à mort de l’Etat congolais ;
1. Nous réitérons toute notre solidarité aux populations meurtries de l’Est de la RDC et à toutes les forces qui combattent l’occupation dans cette partie de la République;
2. Nous nous engageons à user de tous les moyens pour sauver la nation congolaise en conjuguant nos efforts communs et en transcendant nos divergences;
3. Nous invitons par conséquent tous les congolais sans distinction d’appartenance politique, philosophique ou idéologique à nous rejoindre sans délais pour faire face efficacement au danger qui menace aujourd’hui notre destin commun et le devenir de la République démocratique du Congo.
4. Nous les appelons à l’unité et à la solidarité nationale, à bannir la peur et le doute, à surmonter leurs divergences internes pour affronter toutes les puissances obscures qui œuvrent pour la mise à mort de l’Etat congolais.
5. Nous demandons à tous les amis de la République Démocratique du Congo, ainsi qu’à la communauté internationale de cesser toute compromission avec la dictature en place et à apporter un soutien sincère au peuple congolais en désavouant et en sanctionnant les Etats et les réseaux maffieux qui participent aux violations massives des droits de l’Homme en RDC à travers leur soutien complice aux différents groupes armés qui sèment la désolation dans l’Est de la RDC.
III. Du Sommet de la Francophonie prévu en RDC du 12 au 14 octobre 2012
Aux vues des principes défendues par l’Organisation Internationale de la Francophonie nous attendons de celle-ci :
1. Une reconnaissance claire et publique de rupture de la démocratie en République dite démocratique du Congo et une condamnation ferme et non équivoque de la situation de privation de liberté de mouvement imposée à Monsieur Etienne Tshisekedi, véritable vainqueur du dernier scrutin électoral présidentiel organisé le 28 novembre 2011 en RDC.
2. L’annulation ou la délocalisation du XIVè Sommet de la Francophonie prévu en RDC du 12 au 14 octobre 2012 en guise de désapprobation des violations massives des droits de l’Homme en République Démocratique du Congo. Le cas du Sommet de la Baule en France en 1994 faisant jurisprudence en matière de délocalisation.
3. A défaut, au cas où l’OIF déciderait de maintenir la tenue de ce Sommet en République démocratique du Congo, en dépit des violations des droits du peuple congolais par «Joseph Kabila», et du refus justifié du peuple meurtri et souverain de la RDC, nous appellerons alors toutes les forces vives de la RDC à se mobiliser pour empêcher par tous les moyens le déroulement paisible des travaux de ce sommet à Kinshasa.
Ainsi nous, UDPS, APARECO et ARP, au regard de l’ensemble de la situation préoccupante qui prévaut en République Démocratique du Congo, avons-nous décidé de conjuguer à partir de ce jour nos efforts et moyens en vue d’aboutir à l’objectif commun de libération de notre pays de l’occupation étrangère, de rétablissement de la souveraineté du peuple congolais et d’instauration d’une véritable démocratie en République démocratique du Congo.
Que Dieu bénisse la République démocratique du Congo
Fait à Paris, le 14 Juin 2012
Pour l’UDPS, Félix TSHISEKEDI, Secrétaire national chargé des relations extérieures au sein de l’UDPS
Pour l’APARECO, Candide OKEKE, Directrice de cabinet du Président National de l’APARECO
Pour l’ARP, FANFAN LONGA FUAMBA, Secrétaire Général de l’ARP
Libération de la RDC : Déclaration commune UDPS-APARECO-ARP
15/06/2012 07:03:00KongoTimes!
Edouard OLITO MALUDJI - le réprésentant de l'UDPS en France
Ainsi nous, UDPS, APARECO et ARP, au regard de l’ensemble de la situation préoccupante qui prévaut en République Démocratique du Congo, avons-nous décidé de conjuguer à partir de ce jour nos efforts et moyens en vue d’aboutir à l’objectif commun de libération de notre pays de l’occupation étrangère, de rétablissement de la souveraineté du peuple congolais et d’instauration d’une véritable démocratie en République démocratique du Congo.
Voici-ci dessous la Déclaration commune lue par le réprésentant de l'UDPS Monsieur Edo Olito Maloudji, ( remplaçant Mr Félix Tshisekedi empeché), ce jeudi 14 juin 2012 à Paris à l'Hotel Warwick-Champs Elysées, lors de la conférence de presse conjointe de l'UDPS APARECO ARP - Elle a été signée par les représentants de ces 3 partis.
Déclaration commune UDPS-APARECO-ARP
Nous, mouvements politiques et membres des forces vives, civiles et militaires, de la Résistance au processus d’occupation et de balkanisation de la République démocratique du Congo, réunis au sein de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), l’Alliance des Patriotes pour la Refondation du Congo (APARECO) et l’Armée de Résistance Populaire (A.R.P.), résolument engagés dans la lutte contre le pouvoir dictatorial d’occupation et sanguinaire de Kinshasa, défendant le respect de l’intangibilité des frontières et la souveraineté du peuple congolais, combattant contre les multiples violations des droits de l’Homme commises en République Démocratique du Congo, avons analysé et examiné les conséquences politiques et sécuritaires négatives découlant des élections présidentielles et législatives du 28 novembre 2011 en République Démocratique du Congo en particulier, et de l’occupation du pays par des forces étrangères en général :
I. Des élections présidentielles et législatives organisées le 28 novembre 2011 en République démocratique du Congo :
Considérant unanimement que ces élections ont été entachées de fraudes massives et de multiples violations des principes démocratiques élémentaires, orchestrées et planifiées par «Joseph Kabila» et son gouvernement, en sa faveur et au détriment des autres candidats dont particulièrement Monsieur Etienne Tshisekedi , Président de l’UDPS ;
Attendu que ces violations ont été constatées par la Communauté internationale et des organismes indépendants à travers notamment le Centre Carter, la Mission des Observateurs de l’Union Européenne , de l’Union Africaine, de la SADEC, du Bureau conjoint des Nations-Unies, ainsi que par le peuple congolais à travers notamment l’Eglise catholique, sans oublier les observateurs des différents partis politiques de l’opposition ayant pris part à ce scrutin ;
Après examen de tous ces faits, nous considérons que le peuple congolais dans son ensemble a été victime d’un hold-up électoral de la part de «Joseph Kabila» qui a détourné et confisqué illégalement et arbitrairement la volonté du peuple congolais, souverain primaire.
En conséquence :
1. Nous lançons un appel patriotique et solennel au peuple congolais de se mobiliser pour la défense de ses inaliénables droits fondamentaux bafoués et violés par «Joseph Kabila» et ses accolytes;
2. Nous demandons au peuple congolais de faire usage de l’article 64 de la constitution en vigueur qui lui confère le droit de recourir à tous les moyens lorsque ses droits fondamentaux sont violés;
3. Nous invitons tous les Congolais, où qu’ils se trouvent, à poursuivre le combat, à exercer leur droit à la légitime défense, en vue de mettre un terme définitif au régime fantoche et prédateur de l’imposteur « Joseph Kabila», pour redonner sa dignité au peuple congolais ;
II. De l’insécurité et de l’instabilité qui perdure dans les provinces martyrs du Nord-Kivu, Sud-Kivu, Maniema et Province orientale depuis 1996 à jusqu’à ce jour.
Attendu que depuis des années, plusieurs rapports de l’ONU et des ONG dont ceux très récents de l’ONG Human Rights Watch (HRW) et des experts de l’ONU, reconnaissent péremptoirement que les principales milices et «rébellions» qui sèment la mort, la désolation et participent activement au pillage des provinces du Nord-Kivu, Sud-Kivu, Maniema et Province orientale sont créées, organisées, soutenues et manipulées par certains pays voisins de la RDC avec la complicité des plus hautes autorités politiques et militaires de la République Démocratique du Congo;
Attendu qu’aujourd’hui, il n’y a plus de doute sur les intentions malveillantes de certains pays voisins sur la nature de leurs opérations de déstabilisation de la partie orientale de la RDC, visant l’accomplissement d’un projet secret de balkanisation et d’annexion de cette partie du territoire nationale;
Considérant que l’extermination massive et planifiée de notre population porte désormais les germes d’un véritable génocide et s’ajoute à la volonté évidente de mise à mort de l’Etat congolais ;
1. Nous réitérons toute notre solidarité aux populations meurtries de l’Est de la RDC et à toutes les forces qui combattent l’occupation dans cette partie de la République;
2. Nous nous engageons à user de tous les moyens pour sauver la nation congolaise en conjuguant nos efforts communs et en transcendant nos divergences;
3. Nous invitons par conséquent tous les congolais sans distinction d’appartenance politique, philosophique ou idéologique à nous rejoindre sans délais pour faire face efficacement au danger qui menace aujourd’hui notre destin commun et le devenir de la République démocratique du Congo.
4. Nous les appelons à l’unité et à la solidarité nationale, à bannir la peur et le doute, à surmonter leurs divergences internes pour affronter toutes les puissances obscures qui œuvrent pour la mise à mort de l’Etat congolais.
5. Nous demandons à tous les amis de la République Démocratique du Congo, ainsi qu’à la communauté internationale de cesser toute compromission avec la dictature en place et à apporter un soutien sincère au peuple congolais en désavouant et en sanctionnant les Etats et les réseaux maffieux qui participent aux violations massives des droits de l’Homme en RDC à travers leur soutien complice aux différents groupes armés qui sèment la désolation dans l’Est de la RDC.
III. Du Sommet de la Francophonie prévu en RDC du 12 au 14 octobre 2012
Aux vues des principes défendues par l’Organisation Internationale de la Francophonie nous attendons de celle-ci :
1. Une reconnaissance claire et publique de rupture de la démocratie en République dite démocratique du Congo et une condamnation ferme et non équivoque de la situation de privation de liberté de mouvement imposée à Monsieur Etienne Tshisekedi, véritable vainqueur du dernier scrutin électoral présidentiel organisé le 28 novembre 2011 en RDC.
2. L’annulation ou la délocalisation du XIVè Sommet de la Francophonie prévu en RDC du 12 au 14 octobre 2012 en guise de désapprobation des violations massives des droits de l’Homme en République Démocratique du Congo. Le cas du Sommet de la Baule en France en 1994 faisant jurisprudence en matière de délocalisation.
3. A défaut, au cas où l’OIF déciderait de maintenir la tenue de ce Sommet en République démocratique du Congo, en dépit des violations des droits du peuple congolais par «Joseph Kabila», et du refus justifié du peuple meurtri et souverain de la RDC, nous appellerons alors toutes les forces vives de la RDC à se mobiliser pour empêcher par tous les moyens le déroulement paisible des travaux de ce sommet à Kinshasa.
Ainsi nous, UDPS, APARECO et ARP, au regard de l’ensemble de la situation préoccupante qui prévaut en République Démocratique du Congo, avons-nous décidé de conjuguer à partir de ce jour nos efforts et moyens en vue d’aboutir à l’objectif commun de libération de notre pays de l’occupation étrangère, de rétablissement de la souveraineté du peuple congolais et d’instauration d’une véritable démocratie en République démocratique du Congo.
Que Dieu bénisse la République démocratique du Congo
Fait à Paris, le 14 Juin 2012
Pour l’UDPS, Félix TSHISEKEDI, Secrétaire national chargé des relations extérieures au sein de l’UDPS
Pour l’APARECO, Candide OKEKE, Directrice de cabinet du Président National de l’APARECO
Pour l’ARP, FANFAN LONGA FUAMBA, Secrétaire Général de l’ARP
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://journalchretien.net/21344-rdc-tr ... eph-kabila
Etienne Tshisekedi, Honoré Ngdanda et le général Faustin Munene désormais ensemble
RDC : trois mouvements font alliance contre le régime du président Joseph Kabila
Un Front patriotique congolais en place
vendredi 15 juin 2012, par Jean Paul BWANA , pasteur évangéliste
S'INSCRIRE A CHRETIENS EN RESEAU
Pourquoi une synergie maintenant ? « Parce que l’heure est grave », affirme Edo Olito Maloudji, le représentant de l’UDPS à Paris. Le premier test pour cette mobilisation commune sera le sommet de la Francophonie prévu en octobre à Kinshasa. Edo Olito Maloudji s’en explique : « Au cas où l’Organisation internationale de la francophonie déciderait de maintenir la tenue de ce sommet en République démocratique du Congo, nous appellerons toutes les forces vives de la RDC à se mobiliser pour empêcher par tous les moyens le déroulement paisible de ce sommet à Kinshasa. »
Voir en ligne : Front commun patriotique congolais
Il se passe bien quelque chose en ce moment en rd CONGO, s’agissant de la recherche de voies et moyens pour faire aboutir le processus de la démocratisation de ce pays.
Ce n’est un secret de polichinelle, le pays de Lumumba a fait un pas en arrière dans sa marche vers la démocratisation. Le dernier tableau sombre est venu avec la vaste fraude électorale lors de la présidentielle du 28 novembre dernier et qui va demeurer une page sombre dans l’histoire politique de ce pays. Même le triste régime politique corrompu de feu maréchal Mobutu n’avait jamais procéder de la sorte, il a fallu d’un courage diabolique pour procéder de la sorte et faire fi à toutes ces critiques et dénonciations enregistrées à travers le monde.
Nul n’avait pensé que pareil scénario pouvait encore se passer dans ce pays. Et ajouter à cela tous ces assassinats politiques, la dévalorisation du mandat politique et le statut de hauts fonctionnaires de l’Etat, phénomène ayant conduit à l’émergence d’une classe dirigeante de mercenaires, sans foi ni loi, dépourvu du sens d’honneur et plus poussée vers le gain sordide, ce pays se retrouve quasi dans une médiocrité sans pareille. Aucune personne pensante ne peut désormais s’inspirer du modèle politique congolais, car il n’existe pas.
Avec autant d’intellectuels, il devenait au fait incompréhensible de voir ce grand pays être trainé passivement vers la faillite certaine et sa balkanisation pure et simple. Et en dépit de la poigne de ses opposants politiques, ça devenait comme une malédiction qu’ils n’arrivent pas à se mettre ensemble pour s’attaquer au vrai problème qui mine ce pays. Nul ne peut en effet contenter le leadership et l’excellence de la forme de lutte que certains opposants politiques ont eu à mener pour l’avènement de la démocratie dans ce pays.
Tout semblait perdu pour ce pays, jusqu’à cette déclaration de trois mouvements politiques rendue publique hier 14 juin à Paris et annonçant la constitution d’un front commun de l’opposition politique à l’ordre institutionnel établi à Kinshasa dans les circonstances que tout le monde connaît.
Et ces trois mouvements ne sont pas de moindres car ils présentent à bien des égards le meilleur de la forme de lutte, chacun avec sa particularité. Voilà ce qui avait manqué jusque là à ces opposants politiques, reconnaître le mérite de chacun et se mettre ensemble pour mener la lutte politique.
C’est une initiative inédite : trois mouvements unissent leurs forces contre le régime du président Joseph Kabila en République démocratique du Congo. Il s’agit de l’UDPS d’Etienne Tshisekhedi, l’Apareco, mouvement créé en exil par l’ex-ministre mobutiste Honoré Ngbanda, et l’ARP, l’Armée de résistance populaire de Faustin Munéné. Ils ont publié jeudi 14 juin 2012 à Paris une déclaration conjointe.
Et le régime politique de Joseph Kabila ne doit pas du tout voir du mauvais oie cette union car, cela relève de la stratégie normale dans la lutte de libération de tout peuple. Ils ne sont pas des ennemis, mais plutôt des adversaires politiques qu’il faille combattre en toute légalité et dans la forme républicaine.
Etienne Tshisekedi incarne la vraie opposition politique, Honoré Ngwanda quant à lui un gage pour corriger les tares mobutistes, et enfin Faustin Munene la poursuite de la lutte de libération entreprise par feu Laurent Désiré Kabila, mais qui a été déviée de sa trajectoire. Si les uns et les autres sont sincères et intègres, cette alliance ne peut que conduire à la victoire politique. A Joseph Kabila de donner à son tour le gage de ses qualités de démocrates en changeant la façon de gérer ce pays aujourd’hui malade. Ayant lui hérité du kabilisme, il doit revenir au bon sens en apportant les correctifs nécessaires à la lutte entreprise par feu Kabila. Les erreurs se corrigent, surtout quand on en a la volonté et prêt à servir son pays.
Etienne Tshisekedi, Honoré Ngdanda et le général Faustin Munene désormais ensemble
RDC : trois mouvements font alliance contre le régime du président Joseph Kabila
Un Front patriotique congolais en place
vendredi 15 juin 2012, par Jean Paul BWANA , pasteur évangéliste
S'INSCRIRE A CHRETIENS EN RESEAU
Pourquoi une synergie maintenant ? « Parce que l’heure est grave », affirme Edo Olito Maloudji, le représentant de l’UDPS à Paris. Le premier test pour cette mobilisation commune sera le sommet de la Francophonie prévu en octobre à Kinshasa. Edo Olito Maloudji s’en explique : « Au cas où l’Organisation internationale de la francophonie déciderait de maintenir la tenue de ce sommet en République démocratique du Congo, nous appellerons toutes les forces vives de la RDC à se mobiliser pour empêcher par tous les moyens le déroulement paisible de ce sommet à Kinshasa. »
Voir en ligne : Front commun patriotique congolais
Il se passe bien quelque chose en ce moment en rd CONGO, s’agissant de la recherche de voies et moyens pour faire aboutir le processus de la démocratisation de ce pays.
Ce n’est un secret de polichinelle, le pays de Lumumba a fait un pas en arrière dans sa marche vers la démocratisation. Le dernier tableau sombre est venu avec la vaste fraude électorale lors de la présidentielle du 28 novembre dernier et qui va demeurer une page sombre dans l’histoire politique de ce pays. Même le triste régime politique corrompu de feu maréchal Mobutu n’avait jamais procéder de la sorte, il a fallu d’un courage diabolique pour procéder de la sorte et faire fi à toutes ces critiques et dénonciations enregistrées à travers le monde.
Nul n’avait pensé que pareil scénario pouvait encore se passer dans ce pays. Et ajouter à cela tous ces assassinats politiques, la dévalorisation du mandat politique et le statut de hauts fonctionnaires de l’Etat, phénomène ayant conduit à l’émergence d’une classe dirigeante de mercenaires, sans foi ni loi, dépourvu du sens d’honneur et plus poussée vers le gain sordide, ce pays se retrouve quasi dans une médiocrité sans pareille. Aucune personne pensante ne peut désormais s’inspirer du modèle politique congolais, car il n’existe pas.
Avec autant d’intellectuels, il devenait au fait incompréhensible de voir ce grand pays être trainé passivement vers la faillite certaine et sa balkanisation pure et simple. Et en dépit de la poigne de ses opposants politiques, ça devenait comme une malédiction qu’ils n’arrivent pas à se mettre ensemble pour s’attaquer au vrai problème qui mine ce pays. Nul ne peut en effet contenter le leadership et l’excellence de la forme de lutte que certains opposants politiques ont eu à mener pour l’avènement de la démocratie dans ce pays.
Tout semblait perdu pour ce pays, jusqu’à cette déclaration de trois mouvements politiques rendue publique hier 14 juin à Paris et annonçant la constitution d’un front commun de l’opposition politique à l’ordre institutionnel établi à Kinshasa dans les circonstances que tout le monde connaît.
Et ces trois mouvements ne sont pas de moindres car ils présentent à bien des égards le meilleur de la forme de lutte, chacun avec sa particularité. Voilà ce qui avait manqué jusque là à ces opposants politiques, reconnaître le mérite de chacun et se mettre ensemble pour mener la lutte politique.
C’est une initiative inédite : trois mouvements unissent leurs forces contre le régime du président Joseph Kabila en République démocratique du Congo. Il s’agit de l’UDPS d’Etienne Tshisekhedi, l’Apareco, mouvement créé en exil par l’ex-ministre mobutiste Honoré Ngbanda, et l’ARP, l’Armée de résistance populaire de Faustin Munéné. Ils ont publié jeudi 14 juin 2012 à Paris une déclaration conjointe.
Et le régime politique de Joseph Kabila ne doit pas du tout voir du mauvais oie cette union car, cela relève de la stratégie normale dans la lutte de libération de tout peuple. Ils ne sont pas des ennemis, mais plutôt des adversaires politiques qu’il faille combattre en toute légalité et dans la forme républicaine.
Etienne Tshisekedi incarne la vraie opposition politique, Honoré Ngwanda quant à lui un gage pour corriger les tares mobutistes, et enfin Faustin Munene la poursuite de la lutte de libération entreprise par feu Laurent Désiré Kabila, mais qui a été déviée de sa trajectoire. Si les uns et les autres sont sincères et intègres, cette alliance ne peut que conduire à la victoire politique. A Joseph Kabila de donner à son tour le gage de ses qualités de démocrates en changeant la façon de gérer ce pays aujourd’hui malade. Ayant lui hérité du kabilisme, il doit revenir au bon sens en apportant les correctifs nécessaires à la lutte entreprise par feu Kabila. Les erreurs se corrigent, surtout quand on en a la volonté et prêt à servir son pays.
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vendredi, 15 juin 2012
RDC : L'UDPS, l'APARECO et l'ARP s'unissent à Paris
Le front anti-Kabila s'organise depuis la capitale parisienne. L'UDPS d'Etienne Tshisekedi, l'APARECO d'Honoré Nbganda et l'ARP du général Faustin Munene ont tenu pour la première fois une conférence de presse commune jeudi 14 juin 2012. Ces mouvements d'opposition, politiques et militaires, ont lancé un appel à la "libération du pays de l'occupation étrangère" et à "l'instauration d'une véritable démocratie" en RDC. Objectif annoncé : mobiliser les Congolais de l'intérieur.
Candide Okeke, la représentante de l'APARECO, prévient : "l'heure est grave". Après le "fiasco électoral" et "les fraudes massives" de novembre 2011, le constat est sans appel : "ce ne sont plus les élections qui vont libérer le pays aujourd'hui, alors nous devons créer une synergie pour la libération du Congo". Autour de l'APARECO, on trouve un représentant de l'UDPS France, le premier parti politique d'opposition en RDC et l'ARP, un mouvement armé insurrectionnel, dirigé par le général Faustin Munene qui a pris le maquis depuis 2010. A première vue, cette coalition peut paraître hétéroclite. Entre l'UDPS, le parti politique historique de l'opposition congolaise, plutôt "pacifique" et "fédéraliste" et l'APARECO tenu par l'ancien "monsieur sécurité" du Maréchal Mobutu (Honoré Nbganda), qui prône un Congo "fort et unitaire" et un général rebelle, ancien allié de Kabila père et de l'Angola… l'attelage peut surprendre.
Très rapidement, Candide Okeke met les choses au clair : "nous ne représentons pas l'opposition, nous représentons la Résistance. Nous sommes en dehors du système. Nous menons un combat de libération". Et de préciser : "nous avons des différences entre nous, mais nous n'avons qu'un seul pays !". Selon le secrétaire Général de l’ARP, Fanfan Longa Fuamba, "cette déclaration commune est un signal fort pour harmoniser nos différences". Les divergences balayées, la nouvelle coalition se focalise ensuite sur les convergences, avec un seul mot d'ordre : haro sur Joseph Kabila.
En trois points, la déclaration conjointe de l'UDPS, de l'APARECO et de l'ARP dénonce le "holdup électoral" de novembre 2011 et les élections "entachées de fraudes massives", de nombreuses irrégularités et "de multiples violation des droits de l'homme". L'alliance pointe ensuite l'insécurité à l'Est et les guerres à répétition au Nord et Sud Kivu et accuse l'ingérence rwandaise et "le projet secret de balkanisation et d'annexion" de la région. Troisième sujet de préoccupation : la tenue du Sommet de la Francophonie en RDC du 12 au 14 octobre 2012. Dans leur déclaration commune, l'UDPS l'APARECO et l'ARP demandent "l'annulation ou la délocalisation du Sommet" comme cela a été le cas en 1994 avec le Sommet de la Baule. Si le Sommet de tenait tout de même, le "groupe des trois" appellera "les forces vives de la RDC à se mobiliser pour empêcher par tous les moyens le déroulement paisible" du Sommet à Kinshasa. Candide Okeke espère que François Hollande ne se rendra pas à Kinshasa en octobre. Le président français vient d'ailleurs d'annuler sa présence en Ukraine lors de l'Euro de football pour dénoncer les violations des droits de l'homme dans le pays.
Conférence de presse commune UDPS-APARECO-ARP... par ChristopheRigaud
Les participants la conférence de presse commune UDPS, APARECO, ARP, ont tout fait pour axer leur discours sur les atouts de l'alliance : à l'UDPS le rôle politique et la mobilisation populaire, à l'APARECO la résistance, le renseignement et la diaspora, à l'ARP le rôle militaire… ils seraient donc complémentaires. Si la coalition APARECO/ARP semble naturelle, la présence de l'UDPS l'est moins. L'absence du propre fils d'Etienne Tshisekedi, Félix, pourtant annoncé à la conférence de presse, et l'embarras du représentant de l'UDPS aux questions liées à la l'utilisation de la force par l'ARP laissaient une drôle d'impression. Nouveau grand écart politique de l'UDPS ? Stratégie de la dernière chance ? Seule une prise de position d'Etienne Tshisekedi lui-même pourra dissiper tout ambiguité.
Christophe RIGAUD
Regardez les interviews de Candide Okeke de l'APARECO, Fanfan Longa Fuamba de l'ARP et d'Edouard Olito Maludji de l'UDPS France.
vendredi, 15 juin 2012
RDC : L'UDPS, l'APARECO et l'ARP s'unissent à Paris
Le front anti-Kabila s'organise depuis la capitale parisienne. L'UDPS d'Etienne Tshisekedi, l'APARECO d'Honoré Nbganda et l'ARP du général Faustin Munene ont tenu pour la première fois une conférence de presse commune jeudi 14 juin 2012. Ces mouvements d'opposition, politiques et militaires, ont lancé un appel à la "libération du pays de l'occupation étrangère" et à "l'instauration d'une véritable démocratie" en RDC. Objectif annoncé : mobiliser les Congolais de l'intérieur.
Candide Okeke, la représentante de l'APARECO, prévient : "l'heure est grave". Après le "fiasco électoral" et "les fraudes massives" de novembre 2011, le constat est sans appel : "ce ne sont plus les élections qui vont libérer le pays aujourd'hui, alors nous devons créer une synergie pour la libération du Congo". Autour de l'APARECO, on trouve un représentant de l'UDPS France, le premier parti politique d'opposition en RDC et l'ARP, un mouvement armé insurrectionnel, dirigé par le général Faustin Munene qui a pris le maquis depuis 2010. A première vue, cette coalition peut paraître hétéroclite. Entre l'UDPS, le parti politique historique de l'opposition congolaise, plutôt "pacifique" et "fédéraliste" et l'APARECO tenu par l'ancien "monsieur sécurité" du Maréchal Mobutu (Honoré Nbganda), qui prône un Congo "fort et unitaire" et un général rebelle, ancien allié de Kabila père et de l'Angola… l'attelage peut surprendre.
Très rapidement, Candide Okeke met les choses au clair : "nous ne représentons pas l'opposition, nous représentons la Résistance. Nous sommes en dehors du système. Nous menons un combat de libération". Et de préciser : "nous avons des différences entre nous, mais nous n'avons qu'un seul pays !". Selon le secrétaire Général de l’ARP, Fanfan Longa Fuamba, "cette déclaration commune est un signal fort pour harmoniser nos différences". Les divergences balayées, la nouvelle coalition se focalise ensuite sur les convergences, avec un seul mot d'ordre : haro sur Joseph Kabila.
En trois points, la déclaration conjointe de l'UDPS, de l'APARECO et de l'ARP dénonce le "holdup électoral" de novembre 2011 et les élections "entachées de fraudes massives", de nombreuses irrégularités et "de multiples violation des droits de l'homme". L'alliance pointe ensuite l'insécurité à l'Est et les guerres à répétition au Nord et Sud Kivu et accuse l'ingérence rwandaise et "le projet secret de balkanisation et d'annexion" de la région. Troisième sujet de préoccupation : la tenue du Sommet de la Francophonie en RDC du 12 au 14 octobre 2012. Dans leur déclaration commune, l'UDPS l'APARECO et l'ARP demandent "l'annulation ou la délocalisation du Sommet" comme cela a été le cas en 1994 avec le Sommet de la Baule. Si le Sommet de tenait tout de même, le "groupe des trois" appellera "les forces vives de la RDC à se mobiliser pour empêcher par tous les moyens le déroulement paisible" du Sommet à Kinshasa. Candide Okeke espère que François Hollande ne se rendra pas à Kinshasa en octobre. Le président français vient d'ailleurs d'annuler sa présence en Ukraine lors de l'Euro de football pour dénoncer les violations des droits de l'homme dans le pays.
Conférence de presse commune UDPS-APARECO-ARP... par ChristopheRigaud
Les participants la conférence de presse commune UDPS, APARECO, ARP, ont tout fait pour axer leur discours sur les atouts de l'alliance : à l'UDPS le rôle politique et la mobilisation populaire, à l'APARECO la résistance, le renseignement et la diaspora, à l'ARP le rôle militaire… ils seraient donc complémentaires. Si la coalition APARECO/ARP semble naturelle, la présence de l'UDPS l'est moins. L'absence du propre fils d'Etienne Tshisekedi, Félix, pourtant annoncé à la conférence de presse, et l'embarras du représentant de l'UDPS aux questions liées à la l'utilisation de la force par l'ARP laissaient une drôle d'impression. Nouveau grand écart politique de l'UDPS ? Stratégie de la dernière chance ? Seule une prise de position d'Etienne Tshisekedi lui-même pourra dissiper tout ambiguité.
Christophe RIGAUD
Regardez les interviews de Candide Okeke de l'APARECO, Fanfan Longa Fuamba de l'ARP et d'Edouard Olito Maludji de l'UDPS France.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
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RDC : Quand la nation est mise en péril par ses gouvernants, le peuple doit agir !
14/06/2012 16:54:00KongoTimes!
Joseph KABILA - President sortant de la RDC aux obseques de Katumba MWANKE
Le piège tendu à l’Armée nationale Congolaise ou ce qui en reste ainsi qu’aux militaires Congolais, gratuitement livrés à la mort actuellement dans le Rutshuru, après Pweto, Mushake, Rumagabo, etc., au travers de contre- offensives théâtrales trahies d’avance par « Joseph Kabila », nous incite à lancer un message d’interpellation à tous les Congolais pour un sursaut patriotique immédiat. Car, les exécutions systématiques des militaires congolais, l’irruption permanente depuis 1996 de fausses rebellions AFDL-RCD-Goma- FDLR -CNDP-M23, fabriquées par Kigali, qui ont préparé successivement le « mixage » des troupes étrangères dans l’Armée Congolaise, suite aux accords secrets entre « Joseph Kabila » et le gouvernement rwandais, ont favorisé ainsi l’infiltration massive des bataillons entiers des troupes rwandaises et leurs milices citées plus-haut au sein des FARDC et dans tout l’appareil de sécurité nationale (Police, Service de renseignements, immigration, douane…) depuis 2003. Ces intrusions systematiques des troupes rwandaises au sein des FARDC ont massivement fragilisé l’appareil de défense nationale. Ainsi, au Congo (RDC), c’est l’existence même de tout un peuple qui est fortement mis en péril par le régime d’occupation mortifère de celui que l’on appelle “Joseph Kabila “.
Sur base de quels principes “Joseph Kabila” prétendrait-il encore diriger la Rép. Démocratique du Congo ?
Lors d’une entrevue accordée à une source du Journal Le Millénaire le 8 Juin 2012, Bosco Ntaganda, le Terminator, déclare ouvertement ceci: «Je suis disposé à aller répondre au mandat de la CPI à condition que Kabila soit également convoqué, car je dispose d’éléments suffisants prouvant qu’il est impliqué dans les tueries, car étant le commanditaire des évènements en Ituri et dans le Nord-Kivu ». Qui dit mieux ? Nkundabatware en son temps avait fait les mêmes aveux a la presse. «Joseph Kabila» ne peut plus éluder son rôle de mercenaire rwandais même devant ceux-là qui refusaient encore de voir l’évidence des faits au sein de son « gouvernement » pour des intérêts personnels!
En effet, il a toujours prouvé par ses actes anti-patrie qu’il n’est pas le président des Congolais, malgré le titre farfelu du «président de la république» qui lui a été collé au truchement de l’imposture et de la fraude. Son régime d’occupation sert ouvertement à concrétiser les visées hégémonistes et annexionnistes du président rwandais Paul Kagame. Aujourd’hui, tous les Congolais se rendent compte qu’avec la complicité flagrante de « Joseph Kabila », secondé successivement depuis 2001 par d’autres mercenaires rwandais comme Mutebusi , Laurent Nkundabatware, Bosco Ntaganda, etc., le Rwanda se sert aujourd’hui de Sultani Makenga, de la même boite AFDL-RCD-PPRDCNDP-, toujours avec la complicité et l’appui de «Joseph Kabila» pour massacrer les Congolais et exploiter les richesses de la République Démocratique du Congo de façon illicite et illégale.
Sans ce pillage systématique des ressources du Congo, le gouvernement rwandais ne bénéficierait d’aucune considération substantielle sur le plan international
Selon Human Rights Watch et la MONUSCO, les résultats des auditions de déserteurs rwandais dans la guerre actuelle au Nord-Kivu à l’est de la RDC ne laissent en effet aucun doute sur le caractère systématique du recrutement et de l’envoi des troupes rwandaises avec armes et munitions, ainsi que d’autres ressortissants rwandais vers la RDC, où ils combattent l’Armée régulière aux côtés des « mutins » CNDP, issus du « mixage » des troupes et milices rwandaises dans les FARDC en 2009. Face à cette situation extrêmement grave, fortement médiatisée et dévoilée dans la Presse par les institutions internationales, d’une part, par la presse nationale, les Forces vives du changement et la Société Civile Congolaise, d’autre part, paradoxalement le « gouvernement » à Kinshasa se contente d’une timide déclaration. Pire encore, les gouvernants congolais ne condamnent pas l’agression rwandaise! Aucune mesure de sanction constitutionnelle ou diplomatique contre le Rwanda n’est envisagée jusqu’à ce jour. En revanche, «Kabila» a organisé au mois de mai 2012 la signature des accords secrets supplémentaires comme en 2009, sans l’aval de son “parlement”, pour faciliter la nouvelle invasion des troupes rwandaises en RDC sous prétexte d’une « opération conjointe» qui serait envisagée !
Tandis que la population congolaise dans le Kivu n’a pas encore surmonté les affres de précédentes «opérations conjointes» qui n’avaient pour le seul vrai but que l’infiltration des troupes rwandaises dans l’Armée Congolaise, suivies de massacres et les déplacements forcés de la population, aujourd’hui, la complicité de « Kabila » est totalement mise à nu ; le Rwanda est attrapé la main dans le sac par la MONUSCO lors de ses expéditions militaires très sanglantes en renfort a ses milices sous le commandement de de Ntaganda, contre l’Armée régulière congolaise au Nord-Kivu.
Le mercenariat de « Joseph Kabila » est un fait révoltant, le peuple doit agir !
L’organisation de tous ces accords secrets et des négociations piégées pour détruire le Congo et sa population par l’entremise d’une prétendue « coopération diplomatique » sans respect des préalables, dont entre autres, l’impératif du respect de l’intégrité territoriale de la RDC, celui de la justice-réparatrice et de garantie de paix réelle avec un pays agresseur qu’est le Rwanda, est un grave affront, un crime contre le Congo (RDC) et le peuple Congolais. Cet état des choses contraint « Kabila » maintenant de tirer toutes les conséquences. Il doit être contraint à démissionner de ses fonctions apparentes de président de la république et d’un peuple dont il est le principal ennemi. Nous prions les pays démocratiques et influents du système international de faire preuve de plus de responsabilité en refusant de soutenir et de reconnaitre ce gouvernement illégitime et criminel.
Les Congolais doivent poser la question aux responsables politiques à Kinshasa pour savoir: qu’en est-il du procès de véritables commanditaires et assassins de Floribert Chebeya et de Fidèle Bazana ? où est passé le mandat d’arrêt lancé contre NKundabatware pour crimes de guerre dans notre pays? Pourquoi « Joseph Kabila » tarde-t-il à l’arrestation de Bosco Ntaganda telle que l’exigent le peuple congolais et la CPI pour crimes de guerre et crimes contre l’Humanité commis en RDC? Pourquoi le « gouvernement congolais » ne condamne-t-il pas l’agression rwandaise avec des mesures diplomatiques fermes et efficaces conformément au droit international? La RDC doit arreter de subir passivement un leadership criminel. Il faut le stoper par la desobeissance populaire.
Chers compatriotes, la situation est extrêmement grave. Notre message est un cri d’alarme. Devant cette situation nationale à la fois dramatique et révoltante, nous voulons attirer l’attention de tous les Congolais sur ce qui suit :
Mettre ce régime d’occupation hors-jeu
1. Lorsqu’aujourd’hui, face à la vérité tenace des faits, le monde entier au travers des Nations Unies (MONUSCO), le gouvernement américain, les organisations internationales des droits de l’Homme, la Société Civile Congolaise ainsi que la Presse Congolaise et internationale, preuves à l’appui, interpellent, dévoilent, s’insurgent et désavouent fermement le comportement belliqueux barbare et irresponsable du gouvernement rwandais qui met ses alliés dans l’embarras total, une reaction vigoureuse des Forces Vives de la nations est attendue. Le peuple Congolais tant au pays que dans la Diaspora a le droit d’exiger des explications concrètes sur le laxisme, l’omerta; la complicité flagrante des gouvernants congolais qui se traduisent ouvertement par l’inaction réglementaire et constitutionnelle face à cette machination entretenue contre notre pays au travers de ces invasions rwandaises répétitives et toutes leurs conséquences désastreuses pour les Congolais et pour toute l’Afrique depuis plus d’une décennie. Des violations sans mesure du droit international qui, paradoxalement, ne sont JAMAIS fermement dénoncées ni condamnées et encore moins sanctionnées sévèrement par les gouvernants actuels à Kinshasa, conformément aux Lois et aux normes internationales en vigueur régissant les relations interétatiques.
2. Il n’y a pas de vraie rébellion au Congo. Car la vérité, encore une fois livrée en face du monde, sur la mainmise du Rwanda dans la guerre actuelle en RDC avec la complicité du mercenariat qu’incarne cruellement celui que l’on appelle «Joseph Kabila», placé à la tête du Congo dans un contexte de guerre d’invasion-occupation, dévoile non seulement l’embarras des acteurs de ce régime de la mort imposé à Kinshasa, mais explique aussi pourquoi « Joseph Kabila », avec son régime tortionnaire et illégitime, signe des accords secrets avec le Rwanda, pays agresseur qui saigne et pille le Congo depuis 1996; des accords qui violent massivement et systématiquement le respect de l’intégrité territoriale du Congo (RDC) avec des conséquences incommensurables sur tous les plans.
3. Par conséquent, le peuple Congolais a le droit d’exiger à ce que « Kabila » et la classe politique congolaise soit confrontés à la Constitution du pays, et en épinglant la culpabilité et la complicité de « Kabila » avec le pays agresseur. Sa complicité et son cynisme qui se traduisent dans son manque de volonté de sécuriser les Congolais et ce pays qu’il a pris en otage, ne lui permettent pas de prétendre être le garant de la nation. Il ne peut plus présider sur la destinée de ce peuple qu’il a meurtri et trahi à souhait.
4. Nous tenons fermement à attirer l’attention de la classe politique congolaise, de la Société Civile et de la population congolaise en général, de ne plus tolérer la distraction de la CENI : Les responsables actuelles de cette institution de la honte et de triste mémoire doivent démissionner. Cette institution doit d’abord être reconstituée selon des critères légaux acceptables au lieu de se précipiter à susciter la colère du peuple en présentant un calendrier farfelu d’une autre mascarade électorale. La question relative à la publication du calendrier « réaménagé » pour la prochaine mascarade électorale relatif aux élections législatives provinciales, sénatoriales, urbaines, municipales et locales avec l’équipe actuelle, est une provocation révoltante et irresponsable dans le contexte actuel. Toutes les Forces Vives de la nation devraient considérer cet acte de monsieur Ngoy Mulunda comme une insulte au peuple congolais. Elles doivent inviter l’actuelle équipe des dirigeants de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) à démissionner s’ils ont encore le sens de l’honneur patriotique en tant que Congolais. Cette provocation-distraction est une véritable fuite en avant irresponsable pour occulter les soupçons qui pèsent sur sa gestion de cet organe sensé d’être un appui à la démocratie. Il importe également de rappeler le dépôt de deux pétitions de la Société civile au bureau de l’Assemblée nationale réclamant le départ immédiat du bureau de la CENI. La publication de ce calendrier par monsieur Ngoy Mulunda 6 mois après avoir détourné les suffrages exprimés par le peuple congolais le 28 novembre 2011 n’est qu’une distraction de mauvais gout pour désorienter l’attention du peuple congolais face à la guerre déclenchée par le Rwanda au Nord-Kivu à l’est de la RDC et la complicité de « Kabila » qui protège Bosco Ntaganda et tous les autres mercenaires rwandais du CNDP-PPRD-M23 responsables des crimes contre l’Humanité en RDC.
5. Par ailleurs, Nous voulons attirer l’attention de tous les Congolais sur les agitations que nous observons actuellement autour d’un éventuel Sommet de la Francophonie à Kinshasa, la capitale d’un grand pays francophone mais avec un gouvernement illégitime issu de la fraude électorale de 2011, sous un régime tortionnaire dont la population est systématiquement livrée aux guerres d’invasion étrangère impunies; aux massacres systématiques, aux tortures, à la misère imposée d’une manière inextricable; aux viols systématiques des femmes et des enfants, avec des millions de victimes et de Déplacés de guerre rescapés sans assistance réelle.
Nous rappelons que la RDC est un pays francophone à cause de sa population qui a adopté le français comme langue administrative officielle. Alors, pourquoi la communauté des pays francophones sur le plan international n’a t – elle jamais haussé le ton, ni prévu des sanctions significatives contre ce régime à Kinshasa qui ne respecte ni les droits élémentaires de Humains, ni les règles démocratiques chères à l’Organisation Internationale de la Francophonie? Comment l’OIF peut-elle fréquenter les acteurs d’un régime qui excellent sans cesse dans le despotisme et le banditisme contre la population? Nous demandons à la communauté des pays francophones de soutenir les efforts du peuple congolais pour sanctionner sévèrement ce gouvernement, qui bafoue sans vergogne les droits de ses citoyens, en optant pour un changement de lieu de ce sommet de 2012. Car, le peuple congolais exige d’abord l’arrestation de Bosco Ntaganda et son transfert à la CPI ; des sanctions contre le Rwanda, conformément au droit international, et le retour effectif des déplacés internes dans leurs villages, avant d’envisager la tenue de ce sommet de la Francophonie à Kinshasa à une autre occasion dans des conditions plus confortables.
6. Nous saluons avec fierté la résistance du peuple congolais, son éveil patriotique et sa détermination à maintenir l’unité nationale face aux agressions du Rwanda. Nous apprécions à juste valeur les dernières déclarations courageuses des institutions et de la Presse internationales, des organisations des droits de l’Homme, notamment Human Rights Watch, condamnant et dénonçant unanimement les allures belliqueuses infernales du Rwanda. C’est avec une sincère gratitude que nous observons depuis au moins 2010 le soutien et les déclarations d’un grand nombre des Rabbins Juifs, des parlementaires britanniques et américains, et aussi certains belges, en faveur de la paix et la fin de l’impunité au Congo. En outre, la déclaration du nouveau président français Monsieur François Hollande tend à rassurer le peuple congolais sur son refus de cautionner l’imposture et la dictature en RDC. Notre interpellation va tout droit aux gouvernements des pays africains, au gouvernement américain et à l’Union Européenne afin de faire bon usage de leur force diplomatique pour faire pression sur le Rwanda, au président Paul Kagame et son « homme » à Kinshasa, « Joseph Kabila » à mettre fin aux guerres d’invasions et aux fausses rebellions entretenues par eux en RDC. La RDC doit jouer son rôle moteur dans le concert des nations via des relations harmonieuses avec tous ses partenaires.
7. Les Congolais ne sont pas responsables des conflits ethniques au Rwanda. Se basant sur les accords signés par le Rwanda et la République Démocratique du Congo et co-signés par l’ONU en 1996 sur le rapatriement des réfugiés rwandais dans leur pays, le Rwanda s’était engagé de garantir la sécurité de ses citoyens Hutu comme Tutsi à leur retour chez eux. C’est pourquoi, l’organisation du dialogue inter-rwandais ainsi que d’une conférence de paix et de réconciliation au Rwanda est un impératif incontournable pour couper court aux prétextes fallacieux et irresponsables du gouvernement rwandais.
8. Enfin, nos pensées vont vers nos compatriotes des provinces martyrs du Kivu et de la province orientale qui subissent des violences extrêmes par suite de la guerre de prédation internationale qui nous est imposée depuis 17 longues années; et par son intensification de ces derniers temps, avec son cortège de femmes et jeunes enfants sauvagement violées, de massacres et déplacement massifs et forcés des populations congolaises. Cet état de choses ne pourra prendre fin qu’avec une réaction vigoureuse et énergique des Congolais eux-mêmes par la désobéissance civile ferme; car le pays est pris en otage par des mercenaires étrangers qui, par la force terroriste, des chars et des canons, usurpent le pouvoir d’Etat en ce moment en RDC.
9. Ntaganda doit être arrêté et transféré a la CPI. Tous les Congolais sont appelés à un sursaut patriotique immédiat et responsable pour mettre fin au régime d’occupation en RDC. Un peuple averti en vaut 7 fois 77 milles générations.
10. Que Nzambe le Très Haut tout puissant bénisse, protège le Kongo et son peuple !
Jeanne-Marie Sindani
RDC : Quand la nation est mise en péril par ses gouvernants, le peuple doit agir !
14/06/2012 16:54:00KongoTimes!
Joseph KABILA - President sortant de la RDC aux obseques de Katumba MWANKE
Le piège tendu à l’Armée nationale Congolaise ou ce qui en reste ainsi qu’aux militaires Congolais, gratuitement livrés à la mort actuellement dans le Rutshuru, après Pweto, Mushake, Rumagabo, etc., au travers de contre- offensives théâtrales trahies d’avance par « Joseph Kabila », nous incite à lancer un message d’interpellation à tous les Congolais pour un sursaut patriotique immédiat. Car, les exécutions systématiques des militaires congolais, l’irruption permanente depuis 1996 de fausses rebellions AFDL-RCD-Goma- FDLR -CNDP-M23, fabriquées par Kigali, qui ont préparé successivement le « mixage » des troupes étrangères dans l’Armée Congolaise, suite aux accords secrets entre « Joseph Kabila » et le gouvernement rwandais, ont favorisé ainsi l’infiltration massive des bataillons entiers des troupes rwandaises et leurs milices citées plus-haut au sein des FARDC et dans tout l’appareil de sécurité nationale (Police, Service de renseignements, immigration, douane…) depuis 2003. Ces intrusions systematiques des troupes rwandaises au sein des FARDC ont massivement fragilisé l’appareil de défense nationale. Ainsi, au Congo (RDC), c’est l’existence même de tout un peuple qui est fortement mis en péril par le régime d’occupation mortifère de celui que l’on appelle “Joseph Kabila “.
Sur base de quels principes “Joseph Kabila” prétendrait-il encore diriger la Rép. Démocratique du Congo ?
Lors d’une entrevue accordée à une source du Journal Le Millénaire le 8 Juin 2012, Bosco Ntaganda, le Terminator, déclare ouvertement ceci: «Je suis disposé à aller répondre au mandat de la CPI à condition que Kabila soit également convoqué, car je dispose d’éléments suffisants prouvant qu’il est impliqué dans les tueries, car étant le commanditaire des évènements en Ituri et dans le Nord-Kivu ». Qui dit mieux ? Nkundabatware en son temps avait fait les mêmes aveux a la presse. «Joseph Kabila» ne peut plus éluder son rôle de mercenaire rwandais même devant ceux-là qui refusaient encore de voir l’évidence des faits au sein de son « gouvernement » pour des intérêts personnels!
En effet, il a toujours prouvé par ses actes anti-patrie qu’il n’est pas le président des Congolais, malgré le titre farfelu du «président de la république» qui lui a été collé au truchement de l’imposture et de la fraude. Son régime d’occupation sert ouvertement à concrétiser les visées hégémonistes et annexionnistes du président rwandais Paul Kagame. Aujourd’hui, tous les Congolais se rendent compte qu’avec la complicité flagrante de « Joseph Kabila », secondé successivement depuis 2001 par d’autres mercenaires rwandais comme Mutebusi , Laurent Nkundabatware, Bosco Ntaganda, etc., le Rwanda se sert aujourd’hui de Sultani Makenga, de la même boite AFDL-RCD-PPRDCNDP-, toujours avec la complicité et l’appui de «Joseph Kabila» pour massacrer les Congolais et exploiter les richesses de la République Démocratique du Congo de façon illicite et illégale.
Sans ce pillage systématique des ressources du Congo, le gouvernement rwandais ne bénéficierait d’aucune considération substantielle sur le plan international
Selon Human Rights Watch et la MONUSCO, les résultats des auditions de déserteurs rwandais dans la guerre actuelle au Nord-Kivu à l’est de la RDC ne laissent en effet aucun doute sur le caractère systématique du recrutement et de l’envoi des troupes rwandaises avec armes et munitions, ainsi que d’autres ressortissants rwandais vers la RDC, où ils combattent l’Armée régulière aux côtés des « mutins » CNDP, issus du « mixage » des troupes et milices rwandaises dans les FARDC en 2009. Face à cette situation extrêmement grave, fortement médiatisée et dévoilée dans la Presse par les institutions internationales, d’une part, par la presse nationale, les Forces vives du changement et la Société Civile Congolaise, d’autre part, paradoxalement le « gouvernement » à Kinshasa se contente d’une timide déclaration. Pire encore, les gouvernants congolais ne condamnent pas l’agression rwandaise! Aucune mesure de sanction constitutionnelle ou diplomatique contre le Rwanda n’est envisagée jusqu’à ce jour. En revanche, «Kabila» a organisé au mois de mai 2012 la signature des accords secrets supplémentaires comme en 2009, sans l’aval de son “parlement”, pour faciliter la nouvelle invasion des troupes rwandaises en RDC sous prétexte d’une « opération conjointe» qui serait envisagée !
Tandis que la population congolaise dans le Kivu n’a pas encore surmonté les affres de précédentes «opérations conjointes» qui n’avaient pour le seul vrai but que l’infiltration des troupes rwandaises dans l’Armée Congolaise, suivies de massacres et les déplacements forcés de la population, aujourd’hui, la complicité de « Kabila » est totalement mise à nu ; le Rwanda est attrapé la main dans le sac par la MONUSCO lors de ses expéditions militaires très sanglantes en renfort a ses milices sous le commandement de de Ntaganda, contre l’Armée régulière congolaise au Nord-Kivu.
Le mercenariat de « Joseph Kabila » est un fait révoltant, le peuple doit agir !
L’organisation de tous ces accords secrets et des négociations piégées pour détruire le Congo et sa population par l’entremise d’une prétendue « coopération diplomatique » sans respect des préalables, dont entre autres, l’impératif du respect de l’intégrité territoriale de la RDC, celui de la justice-réparatrice et de garantie de paix réelle avec un pays agresseur qu’est le Rwanda, est un grave affront, un crime contre le Congo (RDC) et le peuple Congolais. Cet état des choses contraint « Kabila » maintenant de tirer toutes les conséquences. Il doit être contraint à démissionner de ses fonctions apparentes de président de la république et d’un peuple dont il est le principal ennemi. Nous prions les pays démocratiques et influents du système international de faire preuve de plus de responsabilité en refusant de soutenir et de reconnaitre ce gouvernement illégitime et criminel.
Les Congolais doivent poser la question aux responsables politiques à Kinshasa pour savoir: qu’en est-il du procès de véritables commanditaires et assassins de Floribert Chebeya et de Fidèle Bazana ? où est passé le mandat d’arrêt lancé contre NKundabatware pour crimes de guerre dans notre pays? Pourquoi « Joseph Kabila » tarde-t-il à l’arrestation de Bosco Ntaganda telle que l’exigent le peuple congolais et la CPI pour crimes de guerre et crimes contre l’Humanité commis en RDC? Pourquoi le « gouvernement congolais » ne condamne-t-il pas l’agression rwandaise avec des mesures diplomatiques fermes et efficaces conformément au droit international? La RDC doit arreter de subir passivement un leadership criminel. Il faut le stoper par la desobeissance populaire.
Chers compatriotes, la situation est extrêmement grave. Notre message est un cri d’alarme. Devant cette situation nationale à la fois dramatique et révoltante, nous voulons attirer l’attention de tous les Congolais sur ce qui suit :
Mettre ce régime d’occupation hors-jeu
1. Lorsqu’aujourd’hui, face à la vérité tenace des faits, le monde entier au travers des Nations Unies (MONUSCO), le gouvernement américain, les organisations internationales des droits de l’Homme, la Société Civile Congolaise ainsi que la Presse Congolaise et internationale, preuves à l’appui, interpellent, dévoilent, s’insurgent et désavouent fermement le comportement belliqueux barbare et irresponsable du gouvernement rwandais qui met ses alliés dans l’embarras total, une reaction vigoureuse des Forces Vives de la nations est attendue. Le peuple Congolais tant au pays que dans la Diaspora a le droit d’exiger des explications concrètes sur le laxisme, l’omerta; la complicité flagrante des gouvernants congolais qui se traduisent ouvertement par l’inaction réglementaire et constitutionnelle face à cette machination entretenue contre notre pays au travers de ces invasions rwandaises répétitives et toutes leurs conséquences désastreuses pour les Congolais et pour toute l’Afrique depuis plus d’une décennie. Des violations sans mesure du droit international qui, paradoxalement, ne sont JAMAIS fermement dénoncées ni condamnées et encore moins sanctionnées sévèrement par les gouvernants actuels à Kinshasa, conformément aux Lois et aux normes internationales en vigueur régissant les relations interétatiques.
2. Il n’y a pas de vraie rébellion au Congo. Car la vérité, encore une fois livrée en face du monde, sur la mainmise du Rwanda dans la guerre actuelle en RDC avec la complicité du mercenariat qu’incarne cruellement celui que l’on appelle «Joseph Kabila», placé à la tête du Congo dans un contexte de guerre d’invasion-occupation, dévoile non seulement l’embarras des acteurs de ce régime de la mort imposé à Kinshasa, mais explique aussi pourquoi « Joseph Kabila », avec son régime tortionnaire et illégitime, signe des accords secrets avec le Rwanda, pays agresseur qui saigne et pille le Congo depuis 1996; des accords qui violent massivement et systématiquement le respect de l’intégrité territoriale du Congo (RDC) avec des conséquences incommensurables sur tous les plans.
3. Par conséquent, le peuple Congolais a le droit d’exiger à ce que « Kabila » et la classe politique congolaise soit confrontés à la Constitution du pays, et en épinglant la culpabilité et la complicité de « Kabila » avec le pays agresseur. Sa complicité et son cynisme qui se traduisent dans son manque de volonté de sécuriser les Congolais et ce pays qu’il a pris en otage, ne lui permettent pas de prétendre être le garant de la nation. Il ne peut plus présider sur la destinée de ce peuple qu’il a meurtri et trahi à souhait.
4. Nous tenons fermement à attirer l’attention de la classe politique congolaise, de la Société Civile et de la population congolaise en général, de ne plus tolérer la distraction de la CENI : Les responsables actuelles de cette institution de la honte et de triste mémoire doivent démissionner. Cette institution doit d’abord être reconstituée selon des critères légaux acceptables au lieu de se précipiter à susciter la colère du peuple en présentant un calendrier farfelu d’une autre mascarade électorale. La question relative à la publication du calendrier « réaménagé » pour la prochaine mascarade électorale relatif aux élections législatives provinciales, sénatoriales, urbaines, municipales et locales avec l’équipe actuelle, est une provocation révoltante et irresponsable dans le contexte actuel. Toutes les Forces Vives de la nation devraient considérer cet acte de monsieur Ngoy Mulunda comme une insulte au peuple congolais. Elles doivent inviter l’actuelle équipe des dirigeants de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) à démissionner s’ils ont encore le sens de l’honneur patriotique en tant que Congolais. Cette provocation-distraction est une véritable fuite en avant irresponsable pour occulter les soupçons qui pèsent sur sa gestion de cet organe sensé d’être un appui à la démocratie. Il importe également de rappeler le dépôt de deux pétitions de la Société civile au bureau de l’Assemblée nationale réclamant le départ immédiat du bureau de la CENI. La publication de ce calendrier par monsieur Ngoy Mulunda 6 mois après avoir détourné les suffrages exprimés par le peuple congolais le 28 novembre 2011 n’est qu’une distraction de mauvais gout pour désorienter l’attention du peuple congolais face à la guerre déclenchée par le Rwanda au Nord-Kivu à l’est de la RDC et la complicité de « Kabila » qui protège Bosco Ntaganda et tous les autres mercenaires rwandais du CNDP-PPRD-M23 responsables des crimes contre l’Humanité en RDC.
5. Par ailleurs, Nous voulons attirer l’attention de tous les Congolais sur les agitations que nous observons actuellement autour d’un éventuel Sommet de la Francophonie à Kinshasa, la capitale d’un grand pays francophone mais avec un gouvernement illégitime issu de la fraude électorale de 2011, sous un régime tortionnaire dont la population est systématiquement livrée aux guerres d’invasion étrangère impunies; aux massacres systématiques, aux tortures, à la misère imposée d’une manière inextricable; aux viols systématiques des femmes et des enfants, avec des millions de victimes et de Déplacés de guerre rescapés sans assistance réelle.
Nous rappelons que la RDC est un pays francophone à cause de sa population qui a adopté le français comme langue administrative officielle. Alors, pourquoi la communauté des pays francophones sur le plan international n’a t – elle jamais haussé le ton, ni prévu des sanctions significatives contre ce régime à Kinshasa qui ne respecte ni les droits élémentaires de Humains, ni les règles démocratiques chères à l’Organisation Internationale de la Francophonie? Comment l’OIF peut-elle fréquenter les acteurs d’un régime qui excellent sans cesse dans le despotisme et le banditisme contre la population? Nous demandons à la communauté des pays francophones de soutenir les efforts du peuple congolais pour sanctionner sévèrement ce gouvernement, qui bafoue sans vergogne les droits de ses citoyens, en optant pour un changement de lieu de ce sommet de 2012. Car, le peuple congolais exige d’abord l’arrestation de Bosco Ntaganda et son transfert à la CPI ; des sanctions contre le Rwanda, conformément au droit international, et le retour effectif des déplacés internes dans leurs villages, avant d’envisager la tenue de ce sommet de la Francophonie à Kinshasa à une autre occasion dans des conditions plus confortables.
6. Nous saluons avec fierté la résistance du peuple congolais, son éveil patriotique et sa détermination à maintenir l’unité nationale face aux agressions du Rwanda. Nous apprécions à juste valeur les dernières déclarations courageuses des institutions et de la Presse internationales, des organisations des droits de l’Homme, notamment Human Rights Watch, condamnant et dénonçant unanimement les allures belliqueuses infernales du Rwanda. C’est avec une sincère gratitude que nous observons depuis au moins 2010 le soutien et les déclarations d’un grand nombre des Rabbins Juifs, des parlementaires britanniques et américains, et aussi certains belges, en faveur de la paix et la fin de l’impunité au Congo. En outre, la déclaration du nouveau président français Monsieur François Hollande tend à rassurer le peuple congolais sur son refus de cautionner l’imposture et la dictature en RDC. Notre interpellation va tout droit aux gouvernements des pays africains, au gouvernement américain et à l’Union Européenne afin de faire bon usage de leur force diplomatique pour faire pression sur le Rwanda, au président Paul Kagame et son « homme » à Kinshasa, « Joseph Kabila » à mettre fin aux guerres d’invasions et aux fausses rebellions entretenues par eux en RDC. La RDC doit jouer son rôle moteur dans le concert des nations via des relations harmonieuses avec tous ses partenaires.
7. Les Congolais ne sont pas responsables des conflits ethniques au Rwanda. Se basant sur les accords signés par le Rwanda et la République Démocratique du Congo et co-signés par l’ONU en 1996 sur le rapatriement des réfugiés rwandais dans leur pays, le Rwanda s’était engagé de garantir la sécurité de ses citoyens Hutu comme Tutsi à leur retour chez eux. C’est pourquoi, l’organisation du dialogue inter-rwandais ainsi que d’une conférence de paix et de réconciliation au Rwanda est un impératif incontournable pour couper court aux prétextes fallacieux et irresponsables du gouvernement rwandais.
8. Enfin, nos pensées vont vers nos compatriotes des provinces martyrs du Kivu et de la province orientale qui subissent des violences extrêmes par suite de la guerre de prédation internationale qui nous est imposée depuis 17 longues années; et par son intensification de ces derniers temps, avec son cortège de femmes et jeunes enfants sauvagement violées, de massacres et déplacement massifs et forcés des populations congolaises. Cet état de choses ne pourra prendre fin qu’avec une réaction vigoureuse et énergique des Congolais eux-mêmes par la désobéissance civile ferme; car le pays est pris en otage par des mercenaires étrangers qui, par la force terroriste, des chars et des canons, usurpent le pouvoir d’Etat en ce moment en RDC.
9. Ntaganda doit être arrêté et transféré a la CPI. Tous les Congolais sont appelés à un sursaut patriotique immédiat et responsable pour mettre fin au régime d’occupation en RDC. Un peuple averti en vaut 7 fois 77 milles générations.
10. Que Nzambe le Très Haut tout puissant bénisse, protège le Kongo et son peuple !
Jeanne-Marie Sindani
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://7sur7.cd/index.php?option=com_co ... :barometre
Un complot contre Tshisekedi découvert ! *Les forces du changement doivent rester vigilantes
VENDREDI, 15 JUIN 2012 14:42
Cela passerait pour un canular, et pourtant le complot se trame bel et bien à Kinshasa, en Afrique du Sud et en Europe ; dans le but de faire un croc en jambe au Président du parti pour qu’il cède sa place à certaines personnes qui veulent prendre le parti et le bazarder à vil prix au profit de ceux qui souhaitent la disparition cors et biens de l’Udps.
Ce qui n’est encore que des rumeurs à Kinshasa, est entrain de prendre cors en Afrique du sud et dans certaines capitales d’Europe. Pour votre information, un influent membre du parti évoluant en Afrique du sud serait dans des capitales européennes avec ses amis bien connus entrain de concocter une cabale contre le leader maximo, le président considéré comme élu de la République et président de l’Udps.
Le complot en question, consiste en une convocation d’un congrès extraordinaire faisant fi des textes du parti fixant les conditions justifiant la nécessité d’un tel projet, et dont l’ordre du jour principal, serait la mise à l’écart du Président du parti au motif qu’il a été élu Président de la RDC et, de ce fait, il est frappé d’incompatibilité. Comme qui dirait, le charançon qui bouffe le haricot est dans le haricotPour la petite histoire, tenez que ce push a été rendu sans effet quand il était question de le réaliser au 1er congrès de l’Udps, le chef de bande de cette machination en connaît quelque chose et en a conscience. Ceci est une sévère mise en garde contre tous ces comploteurs impénitents qui, depuis toujours, et avec leurs amis, au service des forces obscures, ont cherché à noyer le parti.
Maintenant que leur jeu a été découvert, les combattants de tout bord qui ont été mis en alerte, sont vigilants et sur le qui vive pour faire échec à leur machination par tous les moyens imaginables et à leur portée. A cette occasion, ces fameux fils égarés sont invités à rivaliser d’imagination pour resserrer les rangs autour du président de l’Udps, au lieu de passer leur temps à comploter contre cet irréductible opposant. Ceci est très important, soulignent les fidèles membres de l’Udps qui sont d’avis que le reste n’est qu’affabulation e distraction téléguidées par les ennemis de la RDC qui ne veulent pas voir les congolaises et congolais avoir la maîtrise de leur pays, de l’aimer et de se mettre au travail pour son progrès politique, économique, social et culturel.
Au terme des textes du parti, c’est le président du parti qui a les prérogatives de convocation du congrès. Ainsi vouloir convoquer le congrès dans son dos pour le mettre devant un fait accompli, relève de la trahison et contre le parti et contre le président investi régulièrement par le congrès, organe suprême du parti.
Attention, les masques sont tombés.
Tony Kadiosha
Un complot contre Tshisekedi découvert ! *Les forces du changement doivent rester vigilantes
VENDREDI, 15 JUIN 2012 14:42
Cela passerait pour un canular, et pourtant le complot se trame bel et bien à Kinshasa, en Afrique du Sud et en Europe ; dans le but de faire un croc en jambe au Président du parti pour qu’il cède sa place à certaines personnes qui veulent prendre le parti et le bazarder à vil prix au profit de ceux qui souhaitent la disparition cors et biens de l’Udps.
Ce qui n’est encore que des rumeurs à Kinshasa, est entrain de prendre cors en Afrique du sud et dans certaines capitales d’Europe. Pour votre information, un influent membre du parti évoluant en Afrique du sud serait dans des capitales européennes avec ses amis bien connus entrain de concocter une cabale contre le leader maximo, le président considéré comme élu de la République et président de l’Udps.
Le complot en question, consiste en une convocation d’un congrès extraordinaire faisant fi des textes du parti fixant les conditions justifiant la nécessité d’un tel projet, et dont l’ordre du jour principal, serait la mise à l’écart du Président du parti au motif qu’il a été élu Président de la RDC et, de ce fait, il est frappé d’incompatibilité. Comme qui dirait, le charançon qui bouffe le haricot est dans le haricotPour la petite histoire, tenez que ce push a été rendu sans effet quand il était question de le réaliser au 1er congrès de l’Udps, le chef de bande de cette machination en connaît quelque chose et en a conscience. Ceci est une sévère mise en garde contre tous ces comploteurs impénitents qui, depuis toujours, et avec leurs amis, au service des forces obscures, ont cherché à noyer le parti.
Maintenant que leur jeu a été découvert, les combattants de tout bord qui ont été mis en alerte, sont vigilants et sur le qui vive pour faire échec à leur machination par tous les moyens imaginables et à leur portée. A cette occasion, ces fameux fils égarés sont invités à rivaliser d’imagination pour resserrer les rangs autour du président de l’Udps, au lieu de passer leur temps à comploter contre cet irréductible opposant. Ceci est très important, soulignent les fidèles membres de l’Udps qui sont d’avis que le reste n’est qu’affabulation e distraction téléguidées par les ennemis de la RDC qui ne veulent pas voir les congolaises et congolais avoir la maîtrise de leur pays, de l’aimer et de se mettre au travail pour son progrès politique, économique, social et culturel.
Au terme des textes du parti, c’est le président du parti qui a les prérogatives de convocation du congrès. Ainsi vouloir convoquer le congrès dans son dos pour le mettre devant un fait accompli, relève de la trahison et contre le parti et contre le président investi régulièrement par le congrès, organe suprême du parti.
Attention, les masques sont tombés.
Tony Kadiosha
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://www.rfi.fr/afrique/20120616-rebe ... our-rwanda
RDC / RWANDA / ONU - Article publié le : samedi 16 juin 2012 - Dernière modification le : samedi 16 juin 2012
Rébellion en RDC : le Conseil de sécurité demande une enquête sur les soutiens de l'étranger au M23
Deux hommes membres du mouvement rebelle M23 patrouillent dans une zone du Nord-Kivu, le 3 juin 2012.
AFP PHOTO / MELANIE GOUBY
Par RFI
Le Conseil de sécurité de l'ONU demande une enquête sur les soutiens extérieurs dont bénéficient les groupes armés dans l’est de la République démocratique du Congo. Un message à peine voilé à l’intention du Rwanda. Kigali nie toujours tout lien avec le mouvement rebelle M23 actif au Nord-Kivu.
Avec notre correspondant à New York, Karim Lebhour
Le texte adopté par le Conseil de sécurité de l’ONU est un message envoyé au Rwanda. Ce pays n’est pas mentionné nommément, mais les membres du Conseil jugent « crédibles » les informations sur l’implication de pays extérieurs dans le soutien aux groupes armés dans la région du Kivu.
Le défenseur des droits de l’homme congolais, Dimas Kitenge, estime que le Conseil de sécurité doit clairement condamner le Rwanda : « A partir du moment où nous avons de plus en plus de preuves que les soldats rwandais sont là, il est très important que la communauté internationale puisse avoir un langage clair et ferme vis-à-vis de tous ces pays, y compris le Rwanda qui veut encore troubler la paix. »
Cette enquête sur les soutiens aux groupes armés doit être menée par les services de l’ONU en RDC. Quelques dizaines de soldats se sont rendus à la Mission de l’organisation des Nations unies pour la stabilisation en RD Congo, la Monusco, à Goma. Mais Roger Meece, le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies, se refuse pour l’instant à dire s’ils sont ou non Rwandais : « Ce n’est pas à moi à le confirmer. Nous attendons toujours les résultats de ces vérifications. Mais je peux vous dire qu’effectivement, il y a certains qui disent qu’ils sont Rwandais, qu’ils se présentaient à nos bases, les autres qui étaient pris apparemment par les FARDC [Forces armées de la République démocratique du Congo]. »
De leur côté, les rebelles du M23 ont écrit à l’ONU pour demander l’arrêt du soutien de la Monusco aux forces armées congolaises qu’ils accusent de massacres.
RDC / RWANDA / ONU - Article publié le : samedi 16 juin 2012 - Dernière modification le : samedi 16 juin 2012
Rébellion en RDC : le Conseil de sécurité demande une enquête sur les soutiens de l'étranger au M23
Deux hommes membres du mouvement rebelle M23 patrouillent dans une zone du Nord-Kivu, le 3 juin 2012.
AFP PHOTO / MELANIE GOUBY
Par RFI
Le Conseil de sécurité de l'ONU demande une enquête sur les soutiens extérieurs dont bénéficient les groupes armés dans l’est de la République démocratique du Congo. Un message à peine voilé à l’intention du Rwanda. Kigali nie toujours tout lien avec le mouvement rebelle M23 actif au Nord-Kivu.
Avec notre correspondant à New York, Karim Lebhour
Le texte adopté par le Conseil de sécurité de l’ONU est un message envoyé au Rwanda. Ce pays n’est pas mentionné nommément, mais les membres du Conseil jugent « crédibles » les informations sur l’implication de pays extérieurs dans le soutien aux groupes armés dans la région du Kivu.
Le défenseur des droits de l’homme congolais, Dimas Kitenge, estime que le Conseil de sécurité doit clairement condamner le Rwanda : « A partir du moment où nous avons de plus en plus de preuves que les soldats rwandais sont là, il est très important que la communauté internationale puisse avoir un langage clair et ferme vis-à-vis de tous ces pays, y compris le Rwanda qui veut encore troubler la paix. »
Cette enquête sur les soutiens aux groupes armés doit être menée par les services de l’ONU en RDC. Quelques dizaines de soldats se sont rendus à la Mission de l’organisation des Nations unies pour la stabilisation en RD Congo, la Monusco, à Goma. Mais Roger Meece, le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies, se refuse pour l’instant à dire s’ils sont ou non Rwandais : « Ce n’est pas à moi à le confirmer. Nous attendons toujours les résultats de ces vérifications. Mais je peux vous dire qu’effectivement, il y a certains qui disent qu’ils sont Rwandais, qu’ils se présentaient à nos bases, les autres qui étaient pris apparemment par les FARDC [Forces armées de la République démocratique du Congo]. »
De leur côté, les rebelles du M23 ont écrit à l’ONU pour demander l’arrêt du soutien de la Monusco aux forces armées congolaises qu’ils accusent de massacres.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://radiookapi.net/actualite/2012/06 ... buji-mayi/
RDC : la police disperse deux manifestations de l’opposition à Mbuji-Mayi
publié il y a 1 heure, 58 minutes, | Denière mise à jour le 16 juin, 2012 à 3:05 | sous Actualité, Kasaï Oriental, La Une, Politique.
Le Boulevard Laurent Désiré Kabila dans la Commune de Diulu, ville de Mbuji-Mayi (Kasaï Oriental).
La police a dispersé deux manifestations de l’opposition ce samedi 16 juin dans la matinée à Mbuji-Mayi (Kasaï-Oriental). Ces manifestations ont été interdites, la veille, par le conseil provincial de sécurité. Les organisateurs qui affirment avoir informé les autorités municipales dénoncent une violation de la constitution. Un important dispositif policier reste déployé dans la ville.
La première manifestation a été organisée par la plateforme de l’opposition « Dynamique de soutien aux actions d’Etienne Tshisekedi » qui voulait réclamer des enquêtes sur l’enlèvement de son rapporteur.
Selon les responsables de la plateforme, leur camarade a été enlevé au mois de mai par les agents de l’Agence nationale de renseignements (ANR) sur ordre du procureur de la République.
Ce dernier reconnaît avoir convoqué le rapporteur de la Dynamique de soutien aux actions d’Etienne Tshisekedi à la suite de ses déclarations dans un média local sur les violations des droits de l’homme au Kasaï-Oriental pendant la période électorale. Mais il se serait enfui au moment d’une seconde convocation.
Mais la famille du responsable politique indique que leur parent a été arrêté par l’ANR et détenu dans un lieu gardé secret.
De son côté, la fédération des jeunes de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), parti de l’opposant Etienne Tshisekedi, projetait de fêter la sortie officielle du bulletin d’information de leur parti sur la grand place de la poste de Mbuji-Mayi.
Des dizaines des militants qui ont commencé à se rassembler ont aussitôt été dispersés par la police à coup de gaz lacrymogènes. Des témoins rapportent que des policiers ont arrêté quelques manifestants.
D’autres militants qui ont essayé de se rassembler sur les artères de la ville ont également été dispersés. Ceux qui étaient réunis au siège de l’UDPS ont connu le même sort.
Le maire de Mbuji-Mayi, Jean Paul Ntambwe Kasanzu qui reconnaît avoir été informé de la tenue de ces manifestations estime néanmoins qu’elles étaient « inopportunes ».
RDC : la police disperse deux manifestations de l’opposition à Mbuji-Mayi
publié il y a 1 heure, 58 minutes, | Denière mise à jour le 16 juin, 2012 à 3:05 | sous Actualité, Kasaï Oriental, La Une, Politique.
Le Boulevard Laurent Désiré Kabila dans la Commune de Diulu, ville de Mbuji-Mayi (Kasaï Oriental).
La police a dispersé deux manifestations de l’opposition ce samedi 16 juin dans la matinée à Mbuji-Mayi (Kasaï-Oriental). Ces manifestations ont été interdites, la veille, par le conseil provincial de sécurité. Les organisateurs qui affirment avoir informé les autorités municipales dénoncent une violation de la constitution. Un important dispositif policier reste déployé dans la ville.
La première manifestation a été organisée par la plateforme de l’opposition « Dynamique de soutien aux actions d’Etienne Tshisekedi » qui voulait réclamer des enquêtes sur l’enlèvement de son rapporteur.
Selon les responsables de la plateforme, leur camarade a été enlevé au mois de mai par les agents de l’Agence nationale de renseignements (ANR) sur ordre du procureur de la République.
Ce dernier reconnaît avoir convoqué le rapporteur de la Dynamique de soutien aux actions d’Etienne Tshisekedi à la suite de ses déclarations dans un média local sur les violations des droits de l’homme au Kasaï-Oriental pendant la période électorale. Mais il se serait enfui au moment d’une seconde convocation.
Mais la famille du responsable politique indique que leur parent a été arrêté par l’ANR et détenu dans un lieu gardé secret.
De son côté, la fédération des jeunes de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), parti de l’opposant Etienne Tshisekedi, projetait de fêter la sortie officielle du bulletin d’information de leur parti sur la grand place de la poste de Mbuji-Mayi.
Des dizaines des militants qui ont commencé à se rassembler ont aussitôt été dispersés par la police à coup de gaz lacrymogènes. Des témoins rapportent que des policiers ont arrêté quelques manifestants.
D’autres militants qui ont essayé de se rassembler sur les artères de la ville ont également été dispersés. Ceux qui étaient réunis au siège de l’UDPS ont connu le même sort.
Le maire de Mbuji-Mayi, Jean Paul Ntambwe Kasanzu qui reconnaît avoir été informé de la tenue de ces manifestations estime néanmoins qu’elles étaient « inopportunes ».
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Samedi 16 juin 2012
ALBERT MOLEKA AU JT D'AFRIQUE 24
http://www.cheikfitanews.net/article-al ... 21861.html
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