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Vie des partis : Des exclusions en cascade à l'UDPS
VENDREDI, 13 AVRIL 2012 08:06


Timothée Nkombo Nkisi, Remy Massamba, Serge Mayamba, Alexis Mutanda et André Paluku sont notamment concernés par la décision de la présidence de leur formation politique.

Le parti d'Étienne Tshisekedi vient de se séparer d'une trentaine de ses membres élus députés nationaux lors des législatives du 28 novembre 2011 et siégeant à l'Assemblée nationale. La présidence de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), réunie en sa séance ordinaire du 10 avril à Kinshasa, préfère parler plutôt d'une auto-exclusion constatée à la suite du non-respect des consignes de l'organisation.

Trente-trois personnes sont au total concernées par la mesure de la présidence de l'UDPS, notamment l'ancien secrétaire général, Remy Massamba ; le conseiller juridique d'Étienne Tshisekedi, Serge Mayamba ; Alexis Mutanda et André Paluku. Il s'agit d'une énième « auto-exclusion » depuis le retour au pays du président national de l'UDPS et autant depuis le dialogue intercongolais de Sun City, en Afrique du Sud.

Cette « auto-exclusion » entraîne, par conséquent, la radiation du fichier des membres du parti de ces députés. Il leur est retiré le pouvoir de parler et d'écrire au nom de l'UDPS ni même la représenter. « ... les membres de l'UDPS retenus (suppléants députés nationaux) sur les listes de la Céni, qui viendraient à siéger à ce forum dit Assemblée nationale en lieu et place de leurs titulaires exclus ou pas, se verront automatiquement appliquer les mesures arrêtées dans la présente déclaration », a précisé la présidence du parti.

La participation des élus de l'UDPS à la chambre basse du Parlement est considérée comme un acte de trahison. Le parti estime leur acte inconcevable et contraire à la décision du président autoproclamé, Étienne Tshisekedi, portant annulation des élections législatives du 28 novembre 2011 pour de graves irrégularités et fraudes décriées tant par la communauté nationale que par les observateurs de la communauté internationale.

L'attitude des députés de l'UDPS est jugée comme « une caution au hold-up électoral opéré par la Céni » alors que chacun, devant sa conscience, devait tirer les conséquences la décision d'annulation des législatives du 28 novembre.

Jules Tambwe Itagali

La débandade des traitres au sein de l'UDPS s'amplifie face aux faits...






Sylvain 13/04/2012 05:08:33

Politique de la chaise vide?

Ceux qui avaient condamné YaTshitshi de pratiquer la politique de la chaise vide en décidant de sièger à l’assemblée nationale de la honte après les élections législatives qualifiées de " Lack credibility" par la fondation Carter et par un rapport des observateurs de l’UE ont quitté hier la séance plénière lors du vote du bureau définitif de la dite assemblée nationale made in Mulunda Ngoy.
Ils sont partis sièger,ils ont vu,ils ont vécu et ont quitté la salle convaincus que YaTshitshi avait raison
Pour moi,ils devaient boire la calice jusqu’à la lie et de porsuivre leur politique à vouloir changer les choses de l’intérieur du système.Ils étaient prévenus,,eux qui croyaient qu’ils avaient été élus par leurs électeurs.Ils se sont rendus compte de la réalité que leurs vrais électeurs avaient repris leurs suffrages..Décus,reviendront ils à la raison?
Bravo à YaTshitshi monoko na ye nganga. Le sujet Rwandais menacé par un mandat de la CPI pourrait être jugé en RDC à en croire Joka.Quid de Nkunda sujet Rwandais nommé général Fardc?Son compatriote est aussi général Fardc
Ceux qui avaient de doutes sur les origines de ce fake qui se trouve à la tête de cet Etat raté sont entrain de se mordre les doigts INGETA

Je désapprouve cette manie de procéder de la part de l’UDPS.
On se retrouve dans un Parti où seul compte la parole du leader Maximo.

Le conflit entre Roger Lumbala et Ya Tshis remonte au poste de députation à Mbuji-Maï.
Malgré la mise à disposition de sa télé et radio, Ya Tshis avait refusé de soutenir la candidature de Lumbala dans sa circonscription.
Lumbala a dû faire face à un candidat de l’UDPS alors qu’ils étaient alliés, allez y comprendre !

Que les gens qui font du boucan commencent tout d’abord par déloger Tshisekedi de sa résidence surveillée de Limité.

Même Alexi Mutanda est exclu.

Té pardon, UDPS ekufi.

Mon père m'a toujours dit ceci: "mon fils, tu soutiens l'UDPS sans bien connaître l'histoire de Tshisekedi, il est imbu de sa personne et saches le bien, ce monsieur ne sera jamais le Président de la RDC".

Santoss,


Cesse de divaguer...La décision de l'UDPS ne vient pas de Tshisekedi...Tu dis être membre de l'UDPS? J'en doute vraiment pcq tu ne connais manifestement pas le fonctionnement, l'idéologie, le règlement intérieur de ton parti...Oza léger...Va réviser la charte et le ROI de ton parti...

Et puis, un peu de cohérence Monsieur Santoss : comment peut-on affirmer que Tshisekedi a été élu et en même temps accepter d'aller siéger dans un "forum du PPRD" avec des députés issus de la tricherie de Ngoy Mulunda...Même étant en Europe, tu ne t'es tjrs pas affranchi de la pensée bâtarde?

Tshisekedi imbu de sa personne : je vois d'ici si tu étais désigné par Ngoy Mulunda, tu allais te précipiter d'aller siéger, attiré par les 6000 dollars et la jeep, au mépris du peuple...Mais, le temps seul donnera encore raison à Tshisekedi sur cette option et il a déjà commencé à lui donner raison pcq ces "nomminés" de Ngoy Mulunda, ex-udpsiens, se mordent déjà les doigts et commencent à regretter...C'est leur mort politique...

Tu parles de Roger LUMBALA et tu te demandes pourquoi l'UDPS a maintenu un candidat en concurrence à ce troubadour de Lumbala en la circonscription de Mbuji-Mayi...Sois sérieux ! Le temps montre ajd que l'UDPS a eu raison vu les insanités qui sortent de la bouche de ce "Idi Amin Dada", criminel et membre du RCD, assassin et collabo des rwandais à Bafwasende...Connais l'histoire de ce LUMBALA avant de défendre l'indéfendable...Comme tu ne connais pas l'histoire de ton propre parti...Je doute d'ailleurs que tu en ais été un jour membre..

Ilunga, on ne va pas laver notre linge sale en public.

L’UDPS court droit à la faillite.

Tous ces gens qui ont été élu, vous voudriez qu’il puisse renoncer? Alors que tout indique qu’il n’y aura pas de marche en arrière, si ce n'est par les armes pour chasser Kabila.

Il fallait dire non aux élections le jour où Kabila avait modifié la constitution, passage de deux tours à un.
Nous étions tellement aveuglés par le succès du retour du vieux au pays que personne ne voulait voir qu’en acceptant ses élections on courrait droit au mur.

Que font actuellement nos camarades pour lever l’état de siège de Limité ?

Pourquoi Jacquemin Shabani n’avait-il pas été soutenu par le chef au Mont-Amba ?

Quel est l’héritage politique que propose le Parti après Tshisekedi ?

Vous allez aujourd’hui me dire que les Massamba, Paluku, Mutanda, NGOYI SHABITANDA ROGER CLEMENT …sont tous devenu collabos ?
C’est triste chers combattants.

Je suis taxé de collabo au sein de l’UDPS parce que je n'accèpte pas tout.

En parlant de Lumbala: si l'UDPS savait qu'il était un traitre, pourquoi avoir accepté d'utiliser ses médias?

Santoss a écrit :

"Tous ces gens qui ont été élu, vous voudriez qu’il puisse renoncer? "







Rien que ton langage montre que tu n'y es plus..."élus"? Carrément ! "élus"...C'est vraiment n'avoir rien compris à ce qui a été fait ! C'est bien pour ça que je dis que qqn comme toi allait courir dès que Ngoy Mulunda te désignait "député"...

http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7232





Manifestation contre l’"assignation à résidence" d’Etienne Tshisekedi




Près de cinq mois après l’élection présidentielle et les législatives du 28 novembre 2011, Etienne Tshisekedi wa Mulumba que la grande majorité de la population congolaise considère, plus à raison qu’à tort, comme le véritable "président élu" est privé de liberté locomotrice. Depuis ce laps de temps, des éléments de la garde prétorienne de "Joseph Kabila" filtrent la circulation des personnes dans le périmètre du Quartier Limete où se trouve la résidence du leader de l’UDPS. Tout le monde regarde et laisse faire dans un Etat qui s’est affublé de l’épithète "démocratique". "Il ne faut pas dire que Monsieur Tshisekedi est placé en résidence surveillée, répètent comme un disque rayé les militaires de faction. Nous sommes là pour assurer la sécurité de Monsieur Tshisekedi". Où sont passés les Américains, les Belges et les Français lesquels prétendaient promouvoir l’Etat de droit dans ce qui s’appelait alors le Zaïre et s’étaient constitués en "Troïka"? Inutile de dire que la nébuleuse "communauté internationale" affiche un silence fracassant face au sort du leader de l’opposition qu’est "Tshitshi". Quelle duplicité! A Kinshasa, la classe politique se tait. Les diplomates étrangers mêmement. La population, elle, "rase" les murs depuis le massacre d’une vingtaine de militants de l’opposition. C’était le 26 novembre dernier. A Bruxelles, le mouvement de protestation contre le "hold-up électoral" du 16 décembre donne des signes de dissenssions - une guerre de chefs? - faute d’une véritable coordination. C’est dans cette ambiance que doit avoir lieu la manifestation de ce samedi 14 avril. Il faut espérer que les Congolais de Belgique pourront taire leurs divergences dérisoires en venant nombreux pour le triomphe d’une cause noble. A savoir: l’avènement au Congo-Kinshasa d’un Etat démocratique et respectueux de la vie et de la dignité de la personne humaine. La liberté d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba sera l’oeuvre des Congolais ou ne sera pas! B.A.W

Ci-après le communiqué publié par Joe Mbeka:

Fort du rapport final de l’Union Européenne qui déclare définitivement les élections en RDC comme non crédibles, la communauté Congolaise veut attirer l’attention sur le cas du Président Tshisekedi qui est le nouvel Aung San Suu Kyi de la Communauté Internationale car en résidence surveillée alors qu’il est le grand vainqueur des élections.

Le rapport final de l’Union Européenne légitime la lutte de toute une diaspora trop longtemps diabolisée par les médias surtout un que nous ne nommerons point, mais bien plus, il ôte à tout jamais toute caution morale à tout qui voudrait s’acoquiner avec le régime dictatorial, totalitaire et sanguinaire de Mr Kabila.

Nous vous invitons nombreux à assister à la célébration de ce que la diaspora considère comme sa victoire grâce à un rapport... fort tardif...

GRANDE MANIFESTATION-MEETING FREE TSHISEKEDI / FREE DEMOCRACY IN CONGO DRC. LE PRESIDENT EST EN RESIDENCE SURVEILLEE...

LIBEREZ TSHISEKEDI / LIBEREZ LA DEMOCRATIE ET RESPECTEZ LE RAPPORT DE L’UNION EUROPEENNE. LE TRICHEUR A LA CPI. KABILA DEGAGE ! REYNDERS DEMISSION !
TSHISEKEDI PRESIDENT

Samedi 14 avrilà 14h
Lieu : Métro Trône à Bruxelles

Rtbf télé s’abstenir svp.

Joseph Mbeka
Président Change in Congo / Nzakomba
+32486855392

http://www.congoindependant.com/article ... cleid=7231




Bruxelles : L’opposition tshisekediste continue «à se tâter»




C’est l’impression générale qui s’est dégagée lors d’un point de presse animé, mercredi 12 avril, à Bruxelles, par deux membres de l’opposition pro-Tshisekedi en l’occurrence le député national Alexis Mutanda et Tharcisse Loseke Nembalemba. Animateur-communicateur de la RLTV (Radio lisanga télévision), Babi Balukuna faisait partie des orateurs. A tort ou à raison, les trois conférenciers se sont attardés plus sur des "faits connus" - relatifs aux «fraudes massives» et «irrégularités» constatées lors des élections du 28 novembre - qu’à répondre notamment à une question : "Et maintenant ?" Alexis Mutanda a néanmoins lancé une phrase elliptique comme pour expliquer les déboires de l’opposition : «Il n’y a pas de mauvaises troupes…».

«S’examiner» ; «Hésiter avant de prendre une décision» ; «Etre indécis». Ce sont là les principales définitions du verbe «se tâter». Sous la modération de l’abbé Jean-Pierre Mbelu, Alexis Mutanda, Tharcisse Loseke Nembalemba et Babi Balukuna respectivement député national, «mandataire spécial» du «président élu» Etienne Tshisekedi wa Mulumba et animateur-communicateur ont animé un point de presse dans un café-restaurant situé dans la commune d’Ixelles. Un seul thème a dominé les interventions : les fraudes massives et irrégularités constatées lors du vote du 28 novembre 2011.

Devant un public avide de connaître le «plan B» prévu par les acteurs de l’opposition pro-Tshisekedi, les orateurs ont donné dans les moindres détails le déroulement de la fraude. Alexis Mutanda a assuré que le candidat Etienne Tshisekedi a réalisé un score de 49% de suffrage exprimé à la présidentielle avant de fustiger, au passage, les "bourrages des urnes", les "procès-verbaux falsifiés" et la comptabilisation des "bureaux de vote fictifs". «La fraude corrompt tout», s’est-il exclamé. Pour Mutanda, la mouvance kabiliste se prévaut d’une «majorité factice» à l’Assemblée nationale.

« Recommandations non-contraignantes »

Tharcisse Loseke d’enchaîner : «La fraude a eu lieu avant, pendant et après le processus électoral». Jetant un regard sur les conclusions du rapport de la Mission des observateurs de l’Union européenne, il ajoute : «Ce rapport a le mérite de souligner haut et fort que les résultats des élections du 28 novembre 2011 ne sont pas crédibles». Loseke dit regretter néanmoins que les "recommandations" des observateurs de l’UE ne soient "pas contraignantes". Evoquant le rapport du BCNDH (Bureau de coordination des Nations Unies sur les droits de l’Homme) axé sur les violations des droits humains, Loseke de s’interroger : «La communauté internationale représentée par la Monusco a donc observer passivement pendant qu’une dictature réprimait la population congolaise». L’orateur hausse le ton : «Joseph Kabila n’a jamais été élu, il se maintient au pouvoir par la force des armes». Il poursuit : «Il y a un «divorce» entre nous et nos camarades qui siègent dans une Assemblée nationale qui n’existe pas !»

Babi Balukuna a axé son intervention sur les «démêlés» qu’il a eu avec le fameux colonel de la police Kanyama Bilolo, alias «Esprit de mort». Selon "Babi", c’est sa présence dans la «cellule communication» du candidat Etienne Tshisekedi qui est au centre de ce harcèlement policier. Sans omettre une émission très critique pour le pouvoir qu’il animait. Commandant du district de la Lukunga, Kanyama l’a accusé de faire partie des «combattants» qui agressent les personnalités congolaises en séjour à l’étranger. Enfermé à la prison centrale de Makala, Balukuna a acquis la conviction que le Congo a «une justice à plusieurs vitesses». Une justice pour les puissants du moment et une autre pour les faibles. «La prison de Makala a une capacité de 1500 prisonniers, dit-il. Elle héberge aujourd’hui plus de 5.000 détenus. Il y a des personnes maintenues en détention sans avoir été présentées à un magistrat … ».

«Autocritique

Lors du jeu de questions-réponses, les trois orateurs ont peiné à donner des réponses précises à au moins trois questions. Primo : «Et maintenant ?». «Il faut donner à Etienne Tshisekedi son imperium», se risque Loseke qui invoque à l’appui l’article 64 de la Constitution en vigueur («Tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l’exerce en violation des dispositions de la présente Constitution»). Pour "Tharcisse", les Congolais ne doivent en aucun cas «accepter un pouvoir issu de la fraude». Quid du modus operandi ? «Nous n’allons pas étaler les stratégies envisagées sur la place publique», fait-il remarquer. Pour Babi Balukuna, Tshisekedi est sans conteste le vainqueur de la présidentielle du 28 novembre dernier. «Je ne vois pas la concession qu’il doit faire, ajoute-il. Il n’est pas question qu’il accepte d’être le vice-président de la République ou le Premier ministre d’un tricheur». Pour «Babi», "seule une nouvelle élection présidentielle, sous forme d’un deuxième tour", pourrait départager les deux prétendants. Dans une démarche pour le moins «cérébrale», Alexis Mutanda propose «d’identifier les soutiens extérieurs» de «Joseph Kabila». L’objectif, selon lui, est de «les neutraliser». Après avoir salué les manifestations organisées par les Congolais de la diaspora, Mutanda de proposer la mise sur pied des «lobbies» aux quatre coins du monde. Secundo : Le problème se pose-t-il au niveau de rapports de force? Selon Mutanda, «c’est un problème de leadership». Depuis quatre mois, Tshisekedi est placé en résidence surveillée de fait. Enfin : Que faire concrètement pour «faire bouger» la population kinoise? «Il n’y a pas de mauvaises troupes», murmure Alexis Mutanda. Le locuteur ne donne pas plus de précision. Selon lui, la répression sanglante des manifestations est à la base de la frilosité de la population. «Le pouvoir de Kinshasa est encouragé par des tireurs de ficelles, souligne-t-il. Nous devons identifier les tireurs de ficelles». «Le jour où Joseph Kabila laissera la population manifester vous verrez… », conclut-il.

Un intervenant en l’occurrence Faustin Kwakwa d’inviter les forces de l’opposition pro-Tshisekedi à procéder à une "auto-critique" pour prendre la mesure de «notre part de responsabilité». Prenant le contre-pied des tshisekedistes purs et durs, Kwakwa de clamer que «les députés élus doivent siéger à l’Assemblée nationale». Il argumente : «L’Assemblée nationale est une institution du peuple et non une institution du pouvoir». «En Tunisie, les gens sont morts, dit-il. Au Congo, dès qu’on tire un coup de feu les gens s’enfuient», déplore Abbé Faustin. Loseke d’enchaîner : « Il ne faut pas demander à Etienne Tshisekedi d’agir. Il faut lui donner des moyens». Une intervenante prend à partie l’opposition. Pour elle, l’opposition a fait preuve d’indolence au moment où le «clan kabiliste» se livrait à l’amendement de la Constitution en ramenant le scrutin présidentiel à un seul tour. «L’opposition n’a pas suffisamment dénoncé ce tripatouillage », s’enrage-t-elle.

En guise de conclusion, le modérateur Jean-Pierre Mbelu a invité les Congolais de Belgique à procéder à l’identification des associations de la communauté. L’objectif, selon lui, est d’instituer une "coordination" plus efficiente. En tous cas, l’assistance à ce point de presse a emporté le sentiment que l’opposition pro-Tshisekedi est indécise. Elle continue à se tâter. Est-ce par manque de moyens et d’imagination?

B.A.W
© Congoindépendant 2003-2012

#6 Antonio 13-04-2012 20:45
Ce qui s'est passé hier au cirque national par une partie de ses occupants en quittant la salle sera-t-elle considerée comme une politique de CHAISE RESERVEE, PARTAGEE, NEGLIGEE OU ABANDONNEE ou purement c'est une nouvelle manière de nous distraire car vous nous avez appris que la politique de la chaise vide ne paye pas.
Malheur a ces politichiens qui ne suivent les signes de temps.



#5 Xebo 13-04-2012 17:14
CETTE ASSEMBLEE ISSUE DES CENDRES DE LA MASCARADE ELECTORALE DU SIECLE NE POURRA JAMAIS SE LEGITIMISER NI DEVANT LE SOUVERAIN PRIMAIRE NI DEVANT LES PARTENAIRES ETRANGERS. LA MAJORITE MORIBONDE VA ALLER DE CRISE EN CRISE CAR ON NE PEUT PAS BATIR A PARTIR DU MAL. TOUT CE QUI SE PASSE LA BAS NE SERA QUE DISTRACTION DISTRACTION ET DISTRACTION...




#2 jmrdkbl 13-04-2012 15:38
Ils sont alles faire le meme boycott et la politique de la chaise vide dans la salle. Combien ridicule est-ce? Pourtant nous leur avons dit 'n'y allez pas'. Ils se croyaient malin et voila. Quelle honte! Ils denoncent la politique de la chaise vide de l'exterieur et ils vont le faire a l'interieur. Une difference? le salaire percu bien sur ... de quoi reflechir.





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Minaku élu sans l’opposition
VENDREDI, 13 AVRIL 2012 12:52 12 COMMENTAIRES ENVOYER




Aubin Minaku a été élu au perchoir de ‘Assemblée nationale. Et avec lui tout le ticket présenté par Joseph Kabila, à savoir Mwando Simba, premier vice-président, Timothée Kombo, deuxième vice-président, Jacques Ezadri, premier rapporteur, Jean-Pierre Tshimanga, rapporteur adjoint, Elysée Minembwe, questeur et Jean Bosco Kaboya, questeur adjoint. Le vote du bureau a été boycotté par les députés de l’opposition qui ont fait une déclaration dans laquelle ils dénoncent «la caporalisation de l’Assemblée nationale et des autres institutions». La même déclaration accuse Joseph Kabila de compromettre l’avenir de la RD-Congo, notamment avec «l’instrumentalisation de certaines communautés de l’Est» (Lire la déclaration intégrale à la page 11). Les opposants avaient présenté Samy Badibanga comme candidat deuxième vice-président et le MLC Milemba Bukasa rapporteur adjoint selon le compromis établi en vertu de la loi sur le statut de l’opposition qui ouvre le bureau de l’Assemblée nationale aux opposants. Ils avaient tenté d’abord de perturber le vote de l’intérieur en assiégeant la tribune de la salle de congrès avec des sifflets. La plénière avait été interrompue pour une heure. Et quand les députés sont revenus dans l’Hémicycle des dispositions avaient été prises pour neutraliser les perturbateurs.
Devant ce fait accompli, les députés de l’opposition ont vidé la salle. Ce qui fait tous les candidats ont fait presque le plein des voix. Minaku a obtenu 344 voix sur 349 votants. Tshimanga est celui qui a fait le moins de voix, soit 290. (Lire ci-dessous les portraits de Minaku et Mwando)
PAUL MULAND

-1 #11 aline 13-04-2012 18:25
que mutanda se moque des esprits faibles mais pas de l'UDPS.
comment pouvez-vous expliquer qu'il ait eu le temps de faire parvenir sa démission au forum du palais du peuple mais qu'il ne l'ait pas fait à sa hiérarchie (la gestion quotidienne du parti) qui l'a déjà radié, me laisse sceptique.
pour moi la radiation de mutanda de l'UDPS est un bon débarras.
il doit d'abord nous rendre des comptes de(385 candidats au lieu de 500, l'absence de la logistique éloctorale, les finances électorale....)
s'il n'a pas encore recu l'acte de sa radiation du parti qu'il le demande et il en sera édifié.
et qu'il arrête de dire qu'il est en europe en mission du parti alors qu'il était déjà indésirable chez le président car son nom figurait sur la liste des banis.
il a annoncé au SG SHABANI sa fidélité au parti par téléphone, c'est de la foutaise ca quand on a déjà été sg d'un parti.
mutanda:adieu......