Kembo Ekoko ..
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Ilunga
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Re: Kembo Ekoko ..
Tjrs entrain de se masturber avec Kembo Ekoko qui ne rêve que des bleus !
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Erick Ross
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Re: Kembo Ekoko ..
Kembo Ekoko sera au moins titulaire jusqu'à la trève :
Sylvain Marveaux a réalisé des examens complémentaires hier suite à sa blessure aux adducteurs droits durant le match face à Brest. Les résultats ont confirmé ce que la cellule médicale craignait, à savoir, une lésion musculaire importante. L’indisponibilité du milieu rennais sera donc plus importante que prévue (4 semaines initialement).
http://www.staderennais.com/breve.php?i ... &width=590
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Erick Ross
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Re: Kembo Ekoko ..
Résumé de Rennes-Brest : http://www.staderennais.com/index.php?rb=22&id=AT6197
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Re: Kembo Ekoko ..
La paix avec ce Ekoko ! Fais braire !
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Re: Kembo Ekoko ..
Tika muana a croire à saint Nicolas c'est pour le 6 décembre peut etre qu'en se reveillant il verra Ekoko avec le maillot de la RDC

« Quiconque en août s'endormira, en janvier s'en repentira ».
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Erick Ross
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Re: Kembo Ekoko ..
TUPAC MOUDJAHIDINE a écrit :Avec toi c'est toujours le même refrain,j'ai entendu ce refrain là avec Bokanga qui soi disant serait barré par les PIERONI, NONG etc... mais en fin de compte il est plus utilisé que PIERONI et DANILO a disparu du noyau A
idem pour KABANANGA
![]()
As tu lu la DH et la Capitale d'aujourd'hui ?
![]()
Il n'y a point de logique dans le choix des entraineurs. Eden Hazard est monstrueux en France mais en equipe nationale Belge il n'est que le remplaçant de LEGEAR.
Le Sporting d’Anderlecht va affronter le Sporting de Charleroi ce samedi soir pour le compte de la 17ème journée de Jupiler Pro League. L’entraîneur bruxellois, Ariel Jacobs, a sélectionné pour la première fois depuis son accident Marcin Wasesilewski.
Sélection anderlecht :
Badibanga, Barrios, Bernárdez, Chavarría, Cordier, De Sutter, Diandy, Garcia Calvete, Gillet, Juhász, Kabananga, Kabasele, Kanu, Kljestan, Lecjaks, Legear, Mazuch, Polák, Proto, Schollen, Suárez, Wasilewski.
http://www.footgoal.net/flashinfo_view. ... tion=61263
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Re: Kembo Ekoko ..
Interview du "lia" Christopher SAMBA à méditer par nos petits de l'Europe qui snobent l'EN...Le Congo/Brazza l'a sorti du trou alors que tout le monde l'avait jeté comme une chaussette pourrie en France après sa grave fracture du péroné...
http://www.lefigaro.fr/football-clubs-e ... ssette.php
http://www.lefigaro.fr/football-clubs-e ... ssette.php
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Re: Kembo Ekoko ..
eh oui...
Vous êtes né à Créteil, mais vous n'avez jamais percé en France…
Christopher Samba : Comme beaucoup d'autres joueurs français, je suis passé sous le radar. C'est dommage, car les clubs français ratent des joueurs comme ça et après on réussit ailleurs et ils se demandent comment c'est possible. On devrait plus protéger nos jeunes, ce qui protègerait aussi l'avenir des clubs français. Quand j'étais en France, on ne m'a pas trop donné ma chance. Alors je suis parti à l'étranger, où on a un peu plus cru en moi.
Pouvez-vous préciser dans quelles circonstances êtes-vous «passé sous le radar» des clubs français ?
Christopher Samba : J'étais à Sedan et trois mois avant la fin de ma formation, alors que j'attendais un contrat pro, je me suis cassé le péroné. Après ça, ils ont peut-être pensé que j'étais fini, que je n'allais pas réussir, donc ils m'ont laissé libre. Je suis resté sans jouer pendant très longtemps. Pendant six mois, j'ai dû me débrouiller tout seul pour m'entraîner. J'ai été voir plusieurs clubs comme Caen ou Rouen, mais ils ne m'ont même pas laissé la possibilité de m'entraîner. Ça a semé le doute dans mon esprit. Je me suis demandé : «Est-ce que je suis assez bon ?» Rouen, c'était mon club en jeunes, je connaissais des gens là-bas. A l'époque, c'était Jean-Guy Wallemme l'entraîneur, je lui avais demandé si c'était possible de m'entraîner, mais il m'avait dit que ce n'était pas possible. Aujourd'hui, je ne sais même pas s'il se rappelle de moi… Du coup, je me suis entraîné dans un club de DH avec des amis. Et c'est quand je pensais que tout était terminé que l'équipe nationale du Congo m'a proposé de jouer avec elle.
Est-ce pour cela que vous avez choisi de jouer pour le Congo ?
Christopher Samba : Sans eux, je ne sais pas où j'en serais aujourd'hui. Ils m'ont recueilli pour m'entraîner, pour me remettre sur pied et après ça, j'ai refais des matches officiels avec eux. Ça c'est bien passé et c'est de cette manière que le Hertha Berlin m'a repéré. C'est pour ça que je leur suis reconnaissant. Beaucoup de gens me demande pourquoi je n'ai pas la nationalité française pour avoir une chance de jouer avec l'équipe de France. Mais c'est l'équipe du Congo qui m'a donné l'opportunité de rejouer au foot quand j'en avais besoin.
Et c'est à partir de là que votre carrière a réellement démarré…
Christopher Samba : Oui. Après, ça a bien marché pour moi. A Berlin, j'ai recommencé en amateur mais au bout de deux-trois mois, j'étais avec les pros. Le problème que j'avais au Hertha, c'est qu'il me manquait du temps de jeu. J'ai donc cherché à partir. J'ai eu l'opportunité de faire un essai d'une semaine à Blackburn. Et ça a été concluant.
Au vu de votre histoire compliquée avec le football français, vous voyez-vous un jouer revenir jouer en France ?
Christopher Samba : C'est très dur à reconsidérer. Surtout pour moi pour qui ça s'est mal passé. J'ai été jeté presque comme une chaussette. Maintenant, on ne se sait jamais ce qui peut arriver.
Vous êtes né à Créteil, mais vous n'avez jamais percé en France…
Christopher Samba : Comme beaucoup d'autres joueurs français, je suis passé sous le radar. C'est dommage, car les clubs français ratent des joueurs comme ça et après on réussit ailleurs et ils se demandent comment c'est possible. On devrait plus protéger nos jeunes, ce qui protègerait aussi l'avenir des clubs français. Quand j'étais en France, on ne m'a pas trop donné ma chance. Alors je suis parti à l'étranger, où on a un peu plus cru en moi.
Pouvez-vous préciser dans quelles circonstances êtes-vous «passé sous le radar» des clubs français ?
Christopher Samba : J'étais à Sedan et trois mois avant la fin de ma formation, alors que j'attendais un contrat pro, je me suis cassé le péroné. Après ça, ils ont peut-être pensé que j'étais fini, que je n'allais pas réussir, donc ils m'ont laissé libre. Je suis resté sans jouer pendant très longtemps. Pendant six mois, j'ai dû me débrouiller tout seul pour m'entraîner. J'ai été voir plusieurs clubs comme Caen ou Rouen, mais ils ne m'ont même pas laissé la possibilité de m'entraîner. Ça a semé le doute dans mon esprit. Je me suis demandé : «Est-ce que je suis assez bon ?» Rouen, c'était mon club en jeunes, je connaissais des gens là-bas. A l'époque, c'était Jean-Guy Wallemme l'entraîneur, je lui avais demandé si c'était possible de m'entraîner, mais il m'avait dit que ce n'était pas possible. Aujourd'hui, je ne sais même pas s'il se rappelle de moi… Du coup, je me suis entraîné dans un club de DH avec des amis. Et c'est quand je pensais que tout était terminé que l'équipe nationale du Congo m'a proposé de jouer avec elle.
Est-ce pour cela que vous avez choisi de jouer pour le Congo ?
Christopher Samba : Sans eux, je ne sais pas où j'en serais aujourd'hui. Ils m'ont recueilli pour m'entraîner, pour me remettre sur pied et après ça, j'ai refais des matches officiels avec eux. Ça c'est bien passé et c'est de cette manière que le Hertha Berlin m'a repéré. C'est pour ça que je leur suis reconnaissant. Beaucoup de gens me demande pourquoi je n'ai pas la nationalité française pour avoir une chance de jouer avec l'équipe de France. Mais c'est l'équipe du Congo qui m'a donné l'opportunité de rejouer au foot quand j'en avais besoin.
Et c'est à partir de là que votre carrière a réellement démarré…
Christopher Samba : Oui. Après, ça a bien marché pour moi. A Berlin, j'ai recommencé en amateur mais au bout de deux-trois mois, j'étais avec les pros. Le problème que j'avais au Hertha, c'est qu'il me manquait du temps de jeu. J'ai donc cherché à partir. J'ai eu l'opportunité de faire un essai d'une semaine à Blackburn. Et ça a été concluant.
Au vu de votre histoire compliquée avec le football français, vous voyez-vous un jouer revenir jouer en France ?
Christopher Samba : C'est très dur à reconsidérer. Surtout pour moi pour qui ça s'est mal passé. J'ai été jeté presque comme une chaussette. Maintenant, on ne se sait jamais ce qui peut arriver.
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Re: Kembo Ekoko ..
Sauf que les équipes d'âges de France ont permis à Ekoko d'obtenir une revalorisation salariale et du temps de jeu conséquent à Rennes 
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