Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Posté : 02 avr. 2012, 13:19
http://www.7sur7.cd/index.php?option=co ... 4:le-phare
Pour irresponsabilité grave et abus de pouvoir Les responsables de la Ceni méritent d'être jugés
LUNDI, 02 AVRIL 2012 14:28
Même si certains acteurs politiques, notamment ceux de la majorité, ne veulent pas l'admettre officiellement, sauf en aparté, la crise de légitimité existe bel et bien après les élections du 28 novembre 2011.
Son existence est confirmée par les différents rapports des missions d'observation électorale tant nationale qu'internationale. Notamment les rapports du Centre Carter, de la Mission d'observation de l'UE, de l'Eglise catholique congolaise, ainsi que ceux de diverses Ong nationales.
Tous ces rapports épinglent bien la CENI (Commission électorale nationale indépendante) comme responsable de toutes, les irrégularités, et fraudes massives enregistrées lors des élections. Lesquelles ont sérieusement entamé la crédibilité de tous les résultats (de la présidentielle et des législatives) proclamés par la même Ceni et confirmés par la Cour suprême de justice.
Les rapports indiquent clairement comment la Ceni s'est aventurée dans la violation de la loi électorale et de la Constitution à falsifier les vrais résultats des urnes dans plusieurs circonscriptions électorales, voire des contrées entières, pour favoriser tel ou tel autre candidat.
L'intention de nuire était préméditée !
A l'analyse de la situation, on constate que tout ce qui est arrivé a été intentionnellement préparé par la Ceni qui est allée au-delà de sa mission légale.
Institution d'appui à la démocratie dont la mission se, veut de préparer, organiser et publier les résultats des élections tels qu'ils ont été affichés dans les différents bureaux de vote après dépouillement, la Ceni s'est arrogée des, pouvoirs qu'elle n'a pas au regard de la loi.
En effet, tout est parti des opérations d'enrôlement ou enregistrement des électeurs où on a remarqué qu'il n'y avait pas d'égalité dans la réalisation de cette tâche. Plus de jours et de matériels suffisants, personnels en nombre approprié, distance écourtée... pour certaines provinces. Tandis qu'autour des autres, c'était l'empressement, l'insuffisance de matériels, l'amateurisme des agents commis, de longues distances à parcourir pour atteindre un centre d'enrôlement, etc.
Malgré les revendications de la population et de leaders politiques, la Ceni a fait lourde oreille refusant catégoriquement de revoir les choses !
Les membres du bureau, ont affiché la même attitude tout au long, du processus: C'est le cas du refus aux opposants d'accéder au serveur central ou encore d'auditer le fichier électoral, pourtant des préalables légaux avant toute élection voulue démocratique et transparente !
De même, les dirigeants de la Ceni ont procédé, au nettoyage dudit fichier en toute opacité. Aucun rapport de cette opération (nettoyage du fichier électoral) n'a jamais été fait aux Congolais jusqu'au jour des élections. Ni personne parmi les acteurs au processus, encore des experts étrangers ou membres de la société civile, n'était associé au fameux nettoyage vrai ou supposé !
Le jour des élections, tous les coups étaient permis par la Ceni pourvu qu'ils soient dirigés en direction de l'opposition. Des agents électoraux attrapés la main dans le sac dans des opérations proscrites par la loi, notamment la falsification des données, bourrages des urnes avec des bulletins de vote pré cochés, ont jamais été inquiétés. Ce, en dépit de l'annonce faite avec pompe par Ngoy Mutunda et Cie de leur faire subir la rigueur de la loi !
Que dire des policiers et militaires qui se sont compromis sous l'oeil complaisant du pouvoir organisateur des élections ? Idem pour l'arrivé au lendemain du jour des élections de plusieurs tonnes de bulletins de vote, tout comme la prolongation de vote dans certains endroits jusqu'au 5 décembre 2011 comme le dénonce le rapport de la Mission de l'UE.
La même Ceni s'est encore permise de réduire sensiblement parfois du double au simple le score des candidats qu'elle tenait à tout prix à couler. Ou encore réduire le taux de participation dans des provinces ou circonscriptions électorales défavorables à ses protégés !
Conséquence de ce comportement irresponsable d'extrême légèreté dont les membres du bureau de la Ceni ont fait montre, sans le moindre souci de l'avenir de la nation et de son peuple, le pays se trouve aujourd'hui replongé dans une grave crise de légitimité de pouvoir.
La majorité des Congolais ne se reconnaissent pas dans les résultats publiés par la Ceni et confirmés par la CSJ. Elle croit que la plupart des dirigeants proclamés vainqueurs des élections du 28 novembre ne sont pas issus de la volonté populaire ou de la vérité des urnes, mais ils auraient été fabriqués par la Ceni.
Nécessité de sanctionner
Personne n'étant au-dessus de la loi, on ne peut pas laisser des gens s'amuser de la vie de la nation comme ils veulent.
La crise de légitimité que connaît le pays à ce jour étant provoquée par les membres du bureau de la Ceni, ceux-ci doivent répondre de leurs actes devant la loi. La Tolérance zéro oblige.
Ne pas le faire serait accorder une prime à quiconque pourrait se permettre n'importe quoi dans l'avenir au point de verser dans la haute trahison, sans qu'il ne soit inquiété !
Dom
Pour irresponsabilité grave et abus de pouvoir Les responsables de la Ceni méritent d'être jugés
LUNDI, 02 AVRIL 2012 14:28
Même si certains acteurs politiques, notamment ceux de la majorité, ne veulent pas l'admettre officiellement, sauf en aparté, la crise de légitimité existe bel et bien après les élections du 28 novembre 2011.
Son existence est confirmée par les différents rapports des missions d'observation électorale tant nationale qu'internationale. Notamment les rapports du Centre Carter, de la Mission d'observation de l'UE, de l'Eglise catholique congolaise, ainsi que ceux de diverses Ong nationales.
Tous ces rapports épinglent bien la CENI (Commission électorale nationale indépendante) comme responsable de toutes, les irrégularités, et fraudes massives enregistrées lors des élections. Lesquelles ont sérieusement entamé la crédibilité de tous les résultats (de la présidentielle et des législatives) proclamés par la même Ceni et confirmés par la Cour suprême de justice.
Les rapports indiquent clairement comment la Ceni s'est aventurée dans la violation de la loi électorale et de la Constitution à falsifier les vrais résultats des urnes dans plusieurs circonscriptions électorales, voire des contrées entières, pour favoriser tel ou tel autre candidat.
L'intention de nuire était préméditée !
A l'analyse de la situation, on constate que tout ce qui est arrivé a été intentionnellement préparé par la Ceni qui est allée au-delà de sa mission légale.
Institution d'appui à la démocratie dont la mission se, veut de préparer, organiser et publier les résultats des élections tels qu'ils ont été affichés dans les différents bureaux de vote après dépouillement, la Ceni s'est arrogée des, pouvoirs qu'elle n'a pas au regard de la loi.
En effet, tout est parti des opérations d'enrôlement ou enregistrement des électeurs où on a remarqué qu'il n'y avait pas d'égalité dans la réalisation de cette tâche. Plus de jours et de matériels suffisants, personnels en nombre approprié, distance écourtée... pour certaines provinces. Tandis qu'autour des autres, c'était l'empressement, l'insuffisance de matériels, l'amateurisme des agents commis, de longues distances à parcourir pour atteindre un centre d'enrôlement, etc.
Malgré les revendications de la population et de leaders politiques, la Ceni a fait lourde oreille refusant catégoriquement de revoir les choses !
Les membres du bureau, ont affiché la même attitude tout au long, du processus: C'est le cas du refus aux opposants d'accéder au serveur central ou encore d'auditer le fichier électoral, pourtant des préalables légaux avant toute élection voulue démocratique et transparente !
De même, les dirigeants de la Ceni ont procédé, au nettoyage dudit fichier en toute opacité. Aucun rapport de cette opération (nettoyage du fichier électoral) n'a jamais été fait aux Congolais jusqu'au jour des élections. Ni personne parmi les acteurs au processus, encore des experts étrangers ou membres de la société civile, n'était associé au fameux nettoyage vrai ou supposé !
Le jour des élections, tous les coups étaient permis par la Ceni pourvu qu'ils soient dirigés en direction de l'opposition. Des agents électoraux attrapés la main dans le sac dans des opérations proscrites par la loi, notamment la falsification des données, bourrages des urnes avec des bulletins de vote pré cochés, ont jamais été inquiétés. Ce, en dépit de l'annonce faite avec pompe par Ngoy Mutunda et Cie de leur faire subir la rigueur de la loi !
Que dire des policiers et militaires qui se sont compromis sous l'oeil complaisant du pouvoir organisateur des élections ? Idem pour l'arrivé au lendemain du jour des élections de plusieurs tonnes de bulletins de vote, tout comme la prolongation de vote dans certains endroits jusqu'au 5 décembre 2011 comme le dénonce le rapport de la Mission de l'UE.
La même Ceni s'est encore permise de réduire sensiblement parfois du double au simple le score des candidats qu'elle tenait à tout prix à couler. Ou encore réduire le taux de participation dans des provinces ou circonscriptions électorales défavorables à ses protégés !
Conséquence de ce comportement irresponsable d'extrême légèreté dont les membres du bureau de la Ceni ont fait montre, sans le moindre souci de l'avenir de la nation et de son peuple, le pays se trouve aujourd'hui replongé dans une grave crise de légitimité de pouvoir.
La majorité des Congolais ne se reconnaissent pas dans les résultats publiés par la Ceni et confirmés par la CSJ. Elle croit que la plupart des dirigeants proclamés vainqueurs des élections du 28 novembre ne sont pas issus de la volonté populaire ou de la vérité des urnes, mais ils auraient été fabriqués par la Ceni.
Nécessité de sanctionner
Personne n'étant au-dessus de la loi, on ne peut pas laisser des gens s'amuser de la vie de la nation comme ils veulent.
La crise de légitimité que connaît le pays à ce jour étant provoquée par les membres du bureau de la Ceni, ceux-ci doivent répondre de leurs actes devant la loi. La Tolérance zéro oblige.
Ne pas le faire serait accorder une prime à quiconque pourrait se permettre n'importe quoi dans l'avenir au point de verser dans la haute trahison, sans qu'il ne soit inquiété !
Dom