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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Posté : 11 févr. 2012, 10:26
par Ilunga
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RDC- Qui a tué L.D.Kabila : Révélations accablantes qui provoquent des insomnies

Publié le 23/01/2012 | Par bakolokongo

L’ancien rebelle Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila, obsédé par la peur d’un jugement devant le peuple et les médias et alors, en accord avec des extrémistes militaires tutsi de Paul Kagame qui contrôlent la République Démocratique du Congo occupée, a fraudé et triché les élections du 28 novembre 2011 que son gouvernement sortant ne voulait pas organiser au départ.

Que dit Mr le représentant du M17, Mr. Emile Kalema ?
Pourquoi la justice militaire a fait arrêter plusieurs fois Joseph Kabila qui a failli même être abattu par arme par Laurent Désiré Kabila, un jour de décembre 2000 vers 3H du matin? Pourquoi cette manipulation de la prophétie de Simon Kimbangu pour la propagande de l’ancien rebelle Joseph Kabila? Pourquoi ni Joseph ni ses gens ne méritent pas d’être appelés des Kabilistes? Pourquoi l’infiltration des extrémistes tutsi rwandais de Joseph Kabila a réussi au Congo-Brazzaville grâce à la famille biologique du président Denis Sassou N’guesso? Comment sont morts des hauts officiers congolais dont Mabila à la suite de l’occupation de la République Démocratique du Congo par les renseignements militaires rwandais?

« Pourquoi Joseph Kabila a-t-il été arrêté plusieurs fois sous Laurent-Désiré Kabila?

Des Révélations accablantes de monsieur Emile Kalema, représentant du M17-Europe qui provoquent des insomnies

Monsieur Emile Kalema, représentant du M17(NB: parti politique crée après la victoire en RDC contre les envahisseurs militaires et politiques tutsi rwandais de Paul Kagame): « Je dois éclaircir que trois jours avant Noêl de l’année 2000, avant d’entrer en 2001, c’est-à-dire 19 jours avant l’assassinat de Mzee Laurent-Désiré Kabila, des informations sur un mouvement appélé «FRONT NATIONAL CONTRE L’OCCUPATION TUTSI», basé en Tanzanie. Le sommet de l’Etat congolais voulait savoir qui était le chef de ce mouvement ? Et comment ce mouvement au lieu de lutter contre les extrémistes tutsi rwandais de Kagame à Kinshasa , va s’installer en Tanzanie pour se livrer à certaines activités contre les intérêts supérieurs de la République Démocratique du Congo (RDC).

« Mzee » Laurent-Désiré Kabila, en sa qualité de président de la République et chef des armées avait instruit le général congolais Luetsha( NDLR: il est mort) de mener des investigations . Le général Luetsha avait envoyé une mission en Tanzanie. Cet agent est encore en vie. Et au moment opportun, il se découvrira pour témoigner lui-même. Il est parti en tanzanie, Dar-El Salam et dans la ville de Kigoma. en infiltration. Il a découvert ce mouvement et a réussi à y adhérer en tant que membre pour mener sa mission. Lors de séances de travail et des autres activités, les responsables lui ont dit que le président de ce mouvement est Joseph Kabila qui est à Kinshasa.

Cet agent rentré à Kinshasa vers la fin de l’année 2000. C’était une nuit. Et cette même nuit, il est parti remettre son rapport au général Luetsha. C’était 3 jours avant la fin de l’année 2000. Le rapport était » somo »( qui fait peur et donne des frissons terribles). Sur le champ, le général a téléphone au président Laurent-Désiré Kabila. Il est parti le voir immédiatement au palais de Marbre, la résidence présidentielle. Et Mzee kabila a ordonné une réunion dans la même nuit à la résidence du général Luetsha, située près de la Clinique Ngaliema. Cette réunion a commencé à 5 heures du matin. A cette rencontre pour la connaissance de ce rapport, il y avait le président de la République Laurent-Désiré Kabila, le général Luetsha, le doyen Mukalayi, le général François Olenga, Mr Masengezi et Mr.Obenga.

Joseph Kabila a été appelé à y assister. Et « Mzee » Laurent-Désiré Kabila lui pose la question de savoir. Quelle heure fait-il?Joseph répond: « 5H du matin ». Et Mzee Laurent Désiré Kabila demande à l’agent de présenter le rapport à l’assemblée qui était là. Il a lu le compte rendu de son rapport qui révélait que Joseph Kabila était bel et bien le chef de ce mouvement;Laurent désiré Kabila dit à Joseph. » il est 5 H du matin .est ce que cet agent a bu ou est entrain de mentir.Joseph répondu que tout ce qu’il dit est vrai et qu’il na pas bu.Le président lui pose la question où se trouve à Kinshasa le bureau de son mouvement. Joseph avoue que ce bureau est à l’hôtel intercontinental (Grand Hôtel). On fait venir en toute urgence le responsable de l’hôtel, monsieur Mundabi.

Et Laurent-Désiré Kabila se retourne et dit au général Luetsha: « tu as vu ce serpent que l’on a élevé à Hewa Bora. Tu vois la gravité du problème qu’il nous a cherché ? » Et brusquement Mzee Laurent-Désiré Kabila sort une arme et veut achever Joseph. Et le colonel Mulanga qui était là, a réussi à toucher le bras du président de la République Laurent-Désiré Kabila. Et les balles ont dévié et ont atteint le plafond. Des ordres ont été alors donnés au général Mabila. il est venu pour procéder à l’arrestation de Joseph Kabila. Il a été arrêté et remis aux mains de Myrha NDjoku (qui deviendra plus tard ambassadeur à Paris où il mourra) qui l’amena au CNS ( Conseil national de Sécurité). Là , il a été mis dans un cachot. Le président Robert Mugabe a alors téléphoné au président congolais Laurent-Désiré Kabila. Le président zimbabwéen l’a imploré pour que l’on lâche Joseph Kabila. Personnellement, je ne comprenais pas pourquoi le chef d’Etat du Zimbabwe Mugabe intervenait à chaque arrestation de Joseph Kabila. Au fur et à mesure des événements, on peut essayer de comprendre les mobiles.






Mzee" Kabila Laurent-Désiré et son sinistre fils adoptif Joseph
Et quelques jours après sa libération, Joseph Kabila dans sa jeep en provenance du quartier de l’ISP (Institut Supérieur Pédagogique de la ville de Kinshasa) et est venu de lui-même sans RDV pour voir Mzee Laurent Désiré Kabila. Le chef d’Etat qui avait instruit le protocole de fouiller tous les visiteurs, demanda aux gardes de le fouiller. Ce qui fait que Joseph, arrivé à la barrière des gardes, il a été fouillé. Ils ont découvert en bas de son pantalon dissimulée une arme minuscule « bactériologique ». Un soldat « Kadogo » en voulant décharger, désamorcer et ouvrir cette arme, des bactéries ont attaqué sa main. On l’a amena à la clinique Ngaliema pour que les médecins amputent sa main. Dans la foulée de cet incident, on l’emmena devant Mzee Laurent-Désiré Kabila qui lui demande la raison de sa visite brusque. Joseph ne dira rien de particulier sinon : »je tenais seulement à vous voir, comme ça ».

Vu cet incident très grave avec une arme bactériologique, il a été mis en arrestation et placé au cachot. Voilà, comme toujours le président Mugabe qui fait encore une intervention pour que l’on relâche Joseph. Et on le libèrera. Toujours en fin décembre 2000 et début janvier 2001, le même Joseph Kabila vient au camp militaire Tshatshi et ordonne que l’on désarme les militaires. C’est la veille de la mort de « Mzee » Laurent Désiré Kabila. C’est pas clair ».

Déjà la veille, Joseph avait fait exécuter des soldats d’une unité spéciale de la garde présidentielle .Il les remplace par ceux qui viennent des Forces Terrestres qu’il coiffait. Quand ils ont créé cette nouvelle unité avec des forces venues des forces terrestres armées qu’il coiffait, ils ont cassé la sécurité, les services de sécurité du pays. Lui-même Joseph et les Masasu connaissaient cela. Il connait la mort de Masasu. Et quand il est parti dans la ville de Pueto pour achever Masasu, avec le concours d’Alamba (NDLR:un officier supérieur mis en prison plus tard). Ces gardes commis à la protection de « Mzee » Kabila , sont ceux qui ont été formés et recrutés par Masasu. Il fallait qu’on change ces gardes car ce sont des gens de Masasu. Et Masasu venait d’être tué.

Joseph et les siens ont laissé ces gardes fidèles à Masasu et ont fait pourrir les choses par ce qu’il savait quelque chose qu’il préparait .

Tenez, je soulève le problème de Rachidi. Des gens ne le savent pas. Rachidi était un chauffeur de camions poids lours.au Burundi. Rachidi est venu au Congo après la prise du pouvoir par l’AFDL. Et quand il est venu, donc après, il est devenu le chauffeur de Joseph (entendez Joseph Kabila). Après Joseph l’a imposé à la garde présidentielle. Cet élément n’existe pas dans l’enquête sur l’assassinat de Laurent Désiré Kabila. Pourquoi a-t-on liquidé sur le champ Rachidi, le chauffeur de Joseph, que Joseph avait imposé à la garde présidentielle; et qui est celui qui avait tiré sur « Mzee » Laurent Désiré Kabila. Est-ce que c’est clair !

Tous ces gens… Je dois vous dire avant la mort de « Mzee » Kabila, avant son voyage programmé pour le Sommet du Cameroun… Il y avait 14 noms de ces gens. Dès son retour de ce voyage, il a été statué qu’ils devaient être arrêtés. J’ai certains éléments que je vous communique pour ces 14 noms. il y avait les noms de l’officier Eddy Kapend, Bangasa, major Ebe, commandant Tabumbuka, Joseph Kabila, le directeur des opérations du CNS Lumbu et le colonel Mutindo. Ils étaient sur la liste des gens à arrêter dès le retour de Cameroun de « Mzee » Laurent Désiré Kabila. Réfléchissons donc. Dans la liste de ces gens comme on dit qu’il a été abattu dans le bureau, il y a le nom d’Eddy Kapend. Mais que faisait le nom Joseph Kabila de la famille de Mzee Kabila dans cette liste des arrestations ».

Assassinat de Laurent-Désiré Kabila et exécution des Libanais.

» Je vous parle aussi de l’affaire du général Yav qui est parti faire exécuter les Libanais. C’est sa cupidité. C’est une histoire de cupidité d’argent. La mort de ces Libanais est le résultat de cette cupidité. Leur mort n’a rien avoir avec cette tragédie politique de l’assassinat du Président de la République.

Tenez une chronologie de cette cupidité. Quand la présidence de la République de « Mzee » Laurent Désiré Kabila avait accordé l’exclusivité d’exploitation des diamants à une société d’Israéliens, des Libanais étaient gênés.

A Kinshasa, il y avait un Libanais qui résidait à l’Hôtel Intercontinental. Il avait son comptoir en face de l’hôtel Memling. Son nom est Shaudi Abad. Il s’est réuni avec les autres Libanais. Ils ont cotisé un montant de 20 millions de dollars pour remettre au président Laurent-Désiré Kabila afin qu’il allége cette mesure d’exclusivité des diamants accordée aux Israéliens.

Mais « Mzee » Kabila avait déjà modifié cette loi vu son esprit patriotique et les intérêts du pays. Or, ces Libanais avaient cru que c’est grâce à leur 20 millions de dollars que le Président de la République « Mzee » Kabila-Laurent Désiré avait modifié cette loi. Et ils avaient demandé alors une audience à la Présidence.

Reçus , ces Libanais se sont mis à remercier « Mzee » Laurent-Désiré Kabila. Le président, très étonné, leur a dit qu’il avait changé cette réglémentation à cause uniquement de son esprit et sa vision politique du chef d’Etat pour la patrie Congo ; pour que tout le monde participe au développement du Congo. Et qu’il ne savait rien de cette histoire de leur argent. Il leur posa la question de savoir à qui ils avaient remis ces 20 millions de dollars.Les Libanais ont donné le nom du général Yav.

Entretemps, je tiens à vous préciser que le nom de Yav, le général, était dans la liste des gens à arrêter après le sommet prévu au Cameroun. En ce moment-là, la priorité était de préparer ce sommet, vu la guerre en RDC, et non de procéder aux arrestations. En attendant, » Mzee » Laurent-Désiré Kabila sera assassiné. Yav, pris de panique pour empêcher que cette affaire de cupidité sorte en public dans cette atmosphère de l’assassinat du président, procéda à l’arrestation et exécution de ces Libanais.

Les Congolais qui ont mené cette opération pour achever ces Libanais, sont connus. Il y avait un major chef des opérations à la DEMIAP*, il s’agit du major Lukombo (en prison actuellement), le colonel Papi Lukobeka qui est un des hommes de confiance de Joseph (NDLR: Joseph Kabila). Il est toujours en fonction dans un service de sécurité de l’Etat congolais. Il y a aussi le soldat Molimbi qui doit être encore à la DEMIAP*( NDLR: DEMIAP, c’est le service de Renseignements militaires de la RDC). Tous ces officiers étaient sous tutelle du général Yav; ils avaient mené cette opération pour exécuter ces Libanais pour étouffer cette histoire d’argent. Il se fait que l’on va se saisir d’eux après la mort de ces Libanais. Cela n’a rien avoir avec l’assassinat politique du chef d’Etat.

Joseph Kabila a peur, il a activé et a participé à cette tricherie et fraude des élections car il redoute d’être entendu par une justice issue du vote sanction contre lui. Ne perdez pas de vue par rapport à ces élections que notre pays est sous occupation des renseignements militaires rwandais de Paul Kagame ».

Joseph Kabila doit répondre devant la justice.

» Comment se fait-il qu’il avait fait enlever des gardes fidèles à Mzee pour mettre des gardes de Masasu qui venait d’être condamné et tué. Pourquoi est-il allé au camp Tshatshi pour désarmer les militaires, la veille de la mort de « Mzee ». Ce jour-là, il y avait des affrontements armés à partir de cet acte de Joseph.

» Mzee » Laurent-Désiré Kabila, mis au courant de ces troubles, était même venu jusqu’au camp militaire. Il était très furieux de voir ce qui se passait comme trouble et désordre. Des balles ont tué des soldats congolais à cause de ce désarmement ordonné par Joseph. Celui-ci avait amené des gens armés, des militaires inconnus, à partir de la ville de Lubumbashi. Donc, c’est pour dire que la mort de « Mzee » se préparait aussi en Zambie. Le président zambien Chiluba, l’homme d’affaires belge Georges Forrest, Paul Kagame le Rwandais ,Katumba Mwanke, Museveni l’Ougandais en savaient des choses ».

« Que personne ne se voile la face. Il faut entendre Joseph dans un tribunal où des juges sont indépendants. Il doit parler.

La jonction Joseph-Rashidi-Olive Lembe

Le peuple congolais a le droit de savoir la vérité. Que la justice soit rendue.Que Joseph dise comment son chauffeur Rashidi qui allait avec lui chez une dame dans le quartier Righini de la ville de Kinshasa , Maman Tshatshi, femme du colonel Tshatshi. Olive Lembe (son actuelle épouse) habitait là-bas. Et dans cette maison, l’homme de confiance de Joseph Kabila, Rashidi avait aussi une amante, Onokoko qui avait été aussi jugée ».

» Vous voyez ces pistes. Il faut entendre Joseph. On connait qui est Laurent-Désiré Kabila par rapport à Joseph Kabila. Il doit s’expliquer sur le comment de son chauffeur Rashidi et homme de confiance a pu tirer et assassiner le père Laurent-Désiré Kabila, chef de l’Etat de la RDC. C’est Joseph qui avait imposé Rashidi à la garde présidentielle. Pourquoi l’avait-il imposé? Ouvrons les yeux sur la vraie version de l’assassinat de « Mzee » Kabila Laurent-Désiré. Ces élections du 28 novembre 2011 devaient donner une suite à ce procès et à ces questions, si ces élections n’étaient pas transformées en fraude et tricherie ».

Témoignage d’Emile Kalema, le Représentant de M17-Europe et Union Européenne. Propos recueillis par Lilo Miango (rédaction de Paris) et Nkumu (rédaction de France). Photos à Paris/janvier 2012:Magazine Ngambo Na Ngambo.

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Posté : 11 févr. 2012, 10:34
par Ilunga
http://bakolokongo.com/portail/2012/01/ ... re-kabila/



RDC : Qui a réellement tué Laurent-Désiré Kabila ?

Publié le 16/01/2012 | Par bakolokongo

Grand reportage sur le mystère de cet assassinat et hommage au soldat du peuple.

Dix ans après l’assassinat de Kabila père, 50 suspects, condamnés au terme d’un procès expéditif, croupissent toujours en prison. Mais qui sont les commanditaires du crime ? Un film belge soulève un coin du voile.
Le 16 janvier 2001, vers 13 h 30, Laurent-Désiré Kabila est abattu de trois balles dans son bureau présidentiel du palais de Marbre, situé sur les hauteurs de Kinshasa.

L’assassin, un certain Rachidi, grand garçon au crâne rasé, est l’un de ses gardes rapprochés. Le chef de l’Etat est déjà cliniquement mort quand un hélicoptère l’évacue vers un hôpital. Entre-temps, les plus fidèles compagnons de route du « Mzee » se réunissent autour du colonel Eddy Kapend, aide de camp du président, qui se rend ensuite à la télévision nationale pour annoncer le bouclage des frontières et ordonner à la hiérarchie militaire de « maintenir les troupes au calme ».
Au pouvoir depuis quatre ans, le tombeur de Mobutu s’était fait beaucoup d’ennemis et se savait menacé. Sa mort ne sera reconnue officiellement par Kinshasa que le surlendemain du crime, afin de donner au régime le temps de se ressaisir. Joseph Kabila, jusque-là chef de l’armée de terre, est rappelé de Lubumbashi pour succéder à son père. Des Zimbabwéens assurent sa protection dès son arrivée à Kinshasa, tandis que des unités congolaises sont désarmées.


Une statue de Laurent-Désiré Kabila à Kinshasa. © EPA
De toute évidence, le geste de Rachidi, un ex-kadogo (enfant soldat) venu du Kivu, n’est pas un acte isolé. L’assassinat est le fruit d’un complot encore recouvert, dix ans après les faits, de nombreuses zones d’ombre. Le lendemain de l’assassinat, le colonel Sandursky, attachée militaire à l’ambassade des Etats-Unis, quitte la RDC sans autres formalités. Plus tard, les enquêteurs congolais retrouveront sa carte de visite dans le sac de Rachidi. On apprendra aussi qu’elle a « bu des bières » avec les gardes du corps du chef de l’Etat. Ces kadogos n’avaient pas pardonné à Kabila l’élimination physique de leur véritable chef, le commandant Anselme Masasu, et étaient découragés par l’attitude du président, resté sourd à leurs demandes d’argent.
En 2002, quelque 115 prévenus accusés d’être impliqués dans la mort de « LDK » sont jugés devant la Cour d’ordre militaire, une juridiction d’exception. Trente d’entre eux sont condamnés à mort (peine non exécutée) et 26 à perpétuité. Aujourd’hui, 50 Congolais sont encore enfermés à la prison centrale de Makala, réputée pour ses terribles conditions de détention. Parmi ces prisonniers, des membres de l’entourage de l’ex-président, Nelly (sa secrétaire particulière), des agents des services de renseignement… Arrêté fin février 2001, le colonel katangais Kapend a fait figure, pendant le procès, de principal inculpé. C’est lui qui, d’une rafale de kalachnikovs, a achevé Rachidi, alors que l’assassin de Kabila avait déjà été neutralisé par un garde.
Persuadés, comme beaucoup, que Kapend et les autres détenus de Makala n’ont rien à voir avec l’assassinat, Marlène Rabaud et Arnaud Zajtman, ex-correspondant de la BBC à Kinshasa, ont mené une enquête approfondie sur les commanditaires du crime. Leur film, diffusé le 19 janvier à 22 heures sur la Une, retrace les événements et remonte les pistes une à une. Avec, pour fil rouge, le témoignage, filmé clandestinement dans sa geôle, de l’un des condamnés à mort, Antoine Vumilia Muhindo, ex-agent de renseignement, qui s’est évadé récemment.

La filière chiite libanaise est notamment évoquée. Les kadogos désargentés de la présidence étaient en contact avec Elal Baki, alias Héritier, impliqué, d’après l’enquête congolaise, dans le transit de l’argent du complot. « Onze Libanais, membres de la famille d’Héritier, ont été exécutés dès le lendemain de l’assassinat, et cela sur ordre de Joseph Kabila, assure Zajtman. Héritier, lui, a réussi à fuir Kinshasa pour rejoindre, dans l’est du pays, ses amis rebelles du RDC-Goma, soutenus par le Rwanda. »
De nombreuses voix, dont celle de Mgr Monsengwo, ont réclamé la libération des détenus de Makala. En vain. Dix ans après l’assassinat de son père, le président Joseph Kabila ne semble toujours pas disposé à permettre la réouverture du dossier. L’impact du film le conduira-t-il à changer d’avis ?
Meurtre à Kinshasa. Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ? est diffusé sur la Une le 19 janvier.
OLIVIER ROGEAU

Grand reportage d’investigation pour répondre sur le mystère de cet assassinat et rendre hommage au soldat du peuple pour :

Laurent-Désiré Kabila passant les troupes en revue
Meurtre à Kinshasa : Qui a tué Laurent Désiré Kabila – Video/Reportage de Marlène Rabaud et Arnaud Zajtman Diffusé sur France Ô le mercredi 27 avril 2011 à 20 20h35


Laurent-Désiré Kabila et son sinistre fils adoptif Joseph
RDC- «Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ?» Joseph Kabila pointé du doigt


Léonard Mulopwe et Laurent-Désiré Kabila(Photo montage Apareco)
Qui a tué Laurent-Désiré Kabila ? Leonard Mulopo éventre le Boa


Joseph Kabila(gauche) et Faustin Munene(droite)
RDC- Voilà pourquoi Joseph Kabila redoute-t-il le général Faustin Munene?



Jean-kalama Ilunga déshabille Joseph Kabila et le pointe du doigt sur l’assassinat de M’zée Laurent-Désiré Kabila !


Laurent-Désiré Kabila et Mwenze Kongolo
Assassinat de Laurent-Désiré Kabila: Mwenze Kongolo réclame la réouverture du procès



LES DERNIERS MOTS DE M’zee KABILA – YouTube
LES DERNIERS MOTS DE M’zee KABILA (SUITE) – YouTube

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Posté : 12 févr. 2012, 00:54
par Ilunga
La marche des chrétiens est maintenue au 16 février 2012...

INGETAAAAAAA !!!

http://www.apareco-rdc.com/component/co ... vrier.html

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Posté : 12 févr. 2012, 00:57
par Ilunga
Les combattants de France en colère contre les agresseurs de Shabani

http://congomikili.com/les-combattants- ... abani.html

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Posté : 12 févr. 2012, 01:00
par Ilunga
Exclusivité, Agression du S.G Shabani: La réaction des congolais

http://congomikili.com/agression-du-s-g ... olere.html

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Posté : 12 févr. 2012, 01:05
par Ilunga
http://www.culturecongolaise.net/?p=9393



La protestation ne faiblit pas

11 février, 2012

Ils étaient un millier des Congolais à braver le froid (-5°) samedi 11 février à Bruxelles pour protester dans le calme contre le hold up électoral du 28 novembre dernier. La Belgique comme l’Europe enregistre une vague de froid sans précédent depuis une dizaine de jours. Le thermomètre rivalise avec des températures négatives. Qu’à cela ne tienne. Dénonçant la réélection frauduleuse de Joseph Kabila, les Congolais sont décidés à faire respecter la vérité des urnes quelle que soit la météo. Partis à 14 h30 locales de la gare du Nord, les protestataires ont arpenté les artères bruxelloises jusqu’au rond-point Schuman où est situé le siège de l’Union européenne. Là, Mr. Alhongo, un des organisateurs de la marche, a prononcé un discours pour inviter ses compatriotes à se mobiliser jusqu’à l’installation au pouvoir du président légitime Etienne Tshisekedi. Pendant la marche, les manifestants ont dénoncé le flirt entre le gouvernement Di Rupo et Kabila. Le gouvernement belge est le seul exécutif occidental à féliciter Kabila qui s’accroche au pouvoir après avoir grossièrement triché à l’élection présidentielle. Les marcheurs ont eu des mots assez durs pour condamner l’absence des libertés d’expression et de rassemblement en RDC. Ils ont dénoncé les tueries et les arrestations arbitraires du régime sortant. Le cortège a arboré des calicots où l’on pouvait voir des images des corps sans vie et des personnes mutilées, victimes de la barbarie. L’arrestation à la hussarde mardi 7 février dernier du secrétaire général de l’UDPS, Jacquemain Shabani Lukoo, et son passage à tabac dans une cellule de service de sûreté, est l’illustration de la négation de la vie humaine du régime de Kabila. Présentement l’état de santé du SG est préoccupant. Tout au long du parcours, les marcheurs ont scandé des slogans hostiles à Kabila et ont entonné à tue-tête des chansons populaires dont celle qui exonère une vipère mais condamne Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila.

Aucun incident ou interpellation n’a été constaté. « Tout s’est déroulé dans le calme », a indiqué le porte-parole de la police de la zone Bruxelles-Nord Johan Verleije.

Ali Kalonga

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Posté : 12 févr. 2012, 01:07
par Ilunga
http://www.cheikfitanews.net/article-bi ... 01858.html


Samedi 11 février 2012

Billet. DES HORS-LA-LOI POUR LEGIFERER EN RD CONGO


Le 28 novembre 2011, Il y a eu en RD Congo, des élections législatives, et une élection présidentielle toutes, caractérisées par une fraude à très grande échelle : De tous les quatre coins de la république, des dénonciations de fraude ont fusé: bourrage des urnes, corruption, falsifications des procès-verbaux à tous les niveaux.
Après le scandale de la présidentielle avec ses containers de bulletins de votes pré-cochés au profit de monsieur Joseph Kabila le président sortant, voici la honte des législatives.
Des près de 500 personnes proclamées élues par la CENI, commission électorale nationale indépendante, la majorité l’a été par des voies malhonnêtes. Preuve, le nombre de contestations introduites auprès de la cour suprême de justice : 168 circonscriptions sur 169 concernées … 340 candidats élus contestés sur 500. Au stade actuel, les portes du parlement sont largement ouvertes à des tricheurs, des magouilleurs… De véritables hors-la-loi.
Trois préoccupations apparaissent:
a) Quel visage la CENI se prépare-t-elle à donner au pouvoir législatif ?
b) Quelles en seraient les conséquences ?
c) Est-ce profitable pour le pays? Si non, quelle issue souhaitable ou envisageable ?
Le parlement
La cour suprême de justice va entrer dans la danse. Après sa complaisance lors du recours contre les résultats de la présidentielle, à quoi pourrait-on s’attendre pour les législatives ?
Dans les meilleurs des cas, à moins mauvais, et encore.
La raison ?
Depuis belle lurette :
1. Monsieur Joseph Kabila avait intériorisé et planifié son maintien au pouvoir, quoiqu’il arrive, quoiqu’il en coûte.
2. Par d’innombrables signaux, monsieur Joseph Kabila a prouvé qu’il était tout sauf un démocrate. Le plus fort de ces signaux est celui-ci : la phobie de la contradiction. Elle lui semble politiquement mortelle, au point qu’elle est souvent évitée, écartée d’office.
Des exemples : deux campagnes électorales présidentielles sans débat télévisé contradictoire, pas de meeting au mythique stade des martyrs, véritable thermomètre d’ancrage dans l’opinion, attaque armée contre son challenger de 2006, monsieur Jean-Pierre Bemba Gombo, séquestration et privation de mouvement de monsieur Tshisekedi, son challenger de 2011, confiscation des médias publics et même plasticage de quelques rares médias pro-opposition… Sans compter le tripatouillage constitutionnel.
Le visage de la législature 2011 générée par la CENI apparaît comme ayant été commanditée par Monsieur Joseph Kabila afin de disposer d’un parlement à sa solde.
« Majorité Présidentielle »
Dans le plan de fraude généralisée, hormis les partis satellites de la législature écoulée, un nouvel élément est apparu sans attirer beaucoup d’attention : la création d’un parti politique dénommé PPPD, véritable clone du PPRD, parti présidentiel. Tapis dans l’ombre, il sera actionné le moment venu. Créé quelques semaines avant la campagne électorale, inconnu jusqu’à ce jour, il a placé plus de candidats et dans plus de circonscriptions que l’UDPS, le plus grand parti de l’opposition. Et au final, le PPPD a obtenu 29 députés, devenant ainsi le troisième parti du pays ! Avec quelles ressources ? Puisées dans la caisse de l’état ou pas ?
Un détail à surveiller: Tapis dans l’ombre de ce parti clone, une grosse pointure du PPRD, monsieur She Okitundu. Hasard ? Quand avait-il claqué la porte du PPRD ? Calcul planifié de longue date ?
Voilà la « majorité présidentielle » en voie de construction.
Que peut-on attendre de pareils législateurs ?
Dans tous les pays du monde, la tricherie est toujours sanctionnée : à l’école, dans la circulation routière, par le fisc, dans le sport, au travail.
Tricher c’est être hors-la-loi.
Voilà donc en RD Congo des hors-la-loi se préparant à légiférer !
Ayant été parachutés au parlement par la volonté de celui qui a financé leur pseudo-campagne, et surtout qui leur aura fourni les moyens pour bourrer les urnes et acheter les agents locaux de la CENI, ces « élus » seront sans plus ni moins une caisse de résonance.
Quelle destination ?
En contrepartie des services rendus, les complices et usufruitiers de la fraude électorale aux législatives s’emploieront à se répartir les postes du gouvernement ainsi que la direction d’autres institutions de la république et mettre en coupe réglée le pays.
Le pouvoir sortant tend inexorablement à installer en RD Congo des institutions illégitimes, en porte-à-faux avec les aspirations profondes du peuple souverain… Pourvu que Joseph Kabila reste au pouvoir !
Cela est préjudiciable au plus grand nombre, cela est préjudiciable à la république.
Quelle sortie de crise ?
Le hold-up électoral vient d’installer en RD Congo une profonde crise politique.
D’un côté, une bande de hors-la loi et prédateurs ayant confisqué la machine de l’état, d’un autre, des millions d’électeurs réduits à l’ignorance et à la misère, floués, une opposition roulée dans la farine, des centaines de milliers de congolais vivant à l’étranger révoltés par l’imposture, et une société civile au pays dont le rôle étant le recadrage du sens de l’état à savoir: la justice, l’équité sociale. Société civile qui tarde à émerger.
La sortie de la crise, c’est la vérité des urnes. Qui en a intérêt, le pouvoir sortant ? Non.
La population et les forces de l’opposition ? Oui.
Comment obtenir cette vérité des urnes ?
Par de nouvelles stratégies postélectorales. Et dans le lot :
- Une forte mobilisation des moyens humains et financiers ainsi que la mise en place d’un véritable réseau international d’amis du peuple congolais.
- Une implication de la population via une éducation civique minimum ainsi que la participation à des actions de masse non-violentes de rejet de l’imposture, de la fraude et de la prédation.
Véritable danger pour la république, les hors-la-loi qui cherchent à devenir législateurs sont près à tout pour s'installer.

Cheik Fita
Bruxelles, le 11 février 2011

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Posté : 12 févr. 2012, 01:13
par Ilunga
http://afrique.kongotimes.info/rdc/poli ... honte.html



Francophonie 2012 à Kinshasa : Sommet de la honte !

11/02/2012 15:06:00KongoTimes!

Francophonie - Logo sommet de kinshasa

Nous ne sommes ni naïfs ni dupes, c'est pourquoi nous posons tout de suite la question : XIVe Sommet de la Francophonie à Kinshasa 2012, dans quelles conditions ? Avec la crise politique qui y sévit ou sans elle. L'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) a tout intérêt à réfléchir mille fois avant de minimiser la réalité politique en République démocratique du Congo (RDC). Un gouvernement responsable ne sort pas des chars contre son peuple soit disant qu'il a élu. Et au 21ème siècle, on ne peut pas continuer à diriger par défi contre le souverain primaire. Si «Joseph KABILA» a été véritablement élu pourquoi aucun quartier de la République démocratique du Congo n'a fêté cette victoire ?

Lorsqu'on aime son pays, on voudrait bien que les choses se fassent dans le respect des régles démocratiques connues et respectables par tous. Nous qui sommes francophones, francophiles et dont la Fance est la seconde patrie, puisque le Congo demeure notre terre, nous souhaitons que le XIVe Sommet de la Francophonie se tienne à Kinshasa. Mais nous ne sommes ni naïfs ni dupes, c'est pourquoi nous posons tout de suite la question: dans quelles conditions ? Avec la crise politique qui y sévit ou sans elle.

La République démocratique du Congo a deux présidents de la République, Joseph Kabila, élu de la CENI et de la Cour Suprême de Justice (CSJ) pas par des Congolais. Parachuté au pouvoir comme un ovni par des prédateurs internationaux, il trône depuis 10 ans, sur le Congo sans aucune légitimité et sans résultats probants. Les contrats léonins, l'enrichissement personnel-15 milliards de $ dans les îles britanniques, les jeux de Nintendo et les poules, coqs, cochons et canards de la ferme de Kingakati sont passés en premiers en lieu et place des préoccupations de congolais. Depuis sa fameuse prestation dans un bunker à la cité de l'Union africaine, seul le dictateur Robert Mugabé avait répondu présent et on aurait que dû que c'étaient des chars qui avaient élu le fermier de Kingakati. L'usurpateur est devenu un président fantôme.

On ne le voit pas ! Etienne Tshisekedi est pour la majorité de Congolais, le président de la République démocratique du Congo, lors du scrutin du 28 novembre dernier. Les Congolais opulation sont ulcérée par l’ampleur de la tricherie électorale mais aussi par le fait que Etienne Tshisekedi est placé en résidence surveillée, comme Patrice Emery Lumumba l'avait été par les colons et esclavagistes belges en 1960: Ya Tshitshi est porté dans le coeur des Congolais. Il a la légitimité !

La crise politique sera-t-elle réglée avant la sommet de la Francophonie prévue en octobre prochain. Si la Francophone défend la démocratie acceptera-t-elle que son le Sommet se fasse dans une ville quadrillée par des chars, des avions qui survolent et des jeeps des policiers armés jusqu'aux dents qui protègent les Chefs d'Etat et délégués contre les manifestants ? Les délégués auront-ils la liberté de parler librement avec des congolais ? Si les Congolais manifestaient comme l'armée congolaise est infiltrée des mercénaires Tanzaniens, Sud-Africains, Zimbabwéens et Angolais qui tirent sur tout ce qui bouge, les délégués de la Francophonie accepteront-ils ces morts dans la conscience ? Si certains délégués de la Francophonie étaient "Tungulusés" blessés par des jets de pierres, quelle serait la réaction de l'OIF ? Certains diraient que nous avons une imagination fértile et catastrophique. Mieux vaudrait prévoir que guérir. Ne faudrait-il pas trouver une solution rapide à la crise politque au lieu d'encourager et maintenir par défi des fraudeurs et usurpateurs ?

L'OIF a tout intérêt à réfléchir mille fois avant de minimiser la réalité politique en République démocratique du Congo. Un gouvernement responsable ne sort pas des chars contre son peuple soit disant qu'il a élu. Et au 21ème siècle, on ne peut pas continuer à diriger par défi contre le souverain primaire. Si Joseph Kabila a été véritablement élu pourquoi aucun quartier de la République démocratique du Congo n'a fêté cette victoire ? Sauf des Joséphistes ventripotents qui sont sabré le champagne dans un pays classé 187è à l'échelle du développement humain malgré toutes les ressources que régorce le Congo. On ne peut pas diriger un peuple contre sa volonté et c'est le cas du peuple congolais aujourd'hui qui est déterminé à prendre son destin en main.

Une délégation de l’OIF s'était rendue à Kinshasa du 6 au 10 mars dernier, en vue d’amorcer les préparatifs du XIVe Sommet de la Francophonie, qui devra se tenir dans la capitale de la République démocratique du Congo du 12 au 14 octobre 2012. Croisons donc les doigts et touchons du bois. Conduite par Ousmane Paye, Conseiller spécial d’Abdou Diouf, la délégation a visité les différents sites susceptibles d’abriter les activités du Sommet et constaté le plein engagement des autorités congolaises, au plus haut niveau, comme en témoigne la signature, le 11 mars, de l’ordonnance présidentielle portant création du Comité national chargé de la préparation et de l’organisation du Sommet de Kinshasa.

Ce Comité national comprend trois structures : le Comité de pilotage, le Comité exécutif et plusieurs commissions thématiques (administration, finances, logistique, commission scientifique...). La coordination du Comité de pilotage, l’organe décisionnaire, a été confiée à Raymond Tshibanda, ministre en charge de la Coopération internationale et régionale.

Dossier à suivre !

Freddy Mulongo

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Posté : 12 févr. 2012, 10:57
par Ilunga
EMMANUEL KABILA VOL.3 DANS AFFAIRE ALAIN 12/02/2012 10:21:53

EMMANUEL KABILA VOL.3 DANS AFFAIRE ALAIN BARRACUDA ET LES

http://www.youtube.com/watch?v=Y3CsuME3mCo

Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi

Posté : 12 févr. 2012, 11:01
par Ilunga
Appel à la marche du 16 février 2012 12/02/2012 10:32:36

Le comité organisateur de la marche des chrétiens l’a maintenue au 16 février.
Bonne lecture de l’Appel.