Kinshasa dans le Noir

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Erka
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Re: Kinshasa dans le Noir

Message par Erka »

Le niveau du fleuve pourra remonter maintenant que Tokwaulu est partie, j’aimerais bien avoir ses bottes. Ils nous prennent pour des vrais imbéciles ce Kabila et toute sa bande!
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wantanshi
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Message par wantanshi »

Au moins notre argent aura servi à quelque chose :lol: :mrgreen: :D :) :P :| :( :cry: :cry: :cry: :oops: :x :evil: :twisted:
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Re: Kinshasa dans le Noir

Message par Ilunga »

http://www.groupelavenir.cd/spip.php?article41798


lundi 22 août 2011

Le Comité de gestion de la SNEL limogé : Une décision tardive

* La corruption, la politisation, le tribalisme et le clientélisme sont autant de maux qui rongent la SNEL et qui font qu’elle ne soit pas à même de fournir de l’électricité aux Congolais. Ces maux, pratique courante dans cette entreprise, ont fait mourir tout un éléphant. Il fallait donc frapper plutôt, surtout que gouverner, c’est prévoir.

* Le problème qui se pose à Inga n’est pas dû à l’étiage du fleuve, mais plutôt au manque de dragage du canal d’amenée pendant plus de 3 ans. Et la solution à ce problème ne sera pas trouvée par le retour de dame la pluie, mais plutôt avec un dragage intensif. La SNEL doit donc cesser de sacrifier toute une nation pour des intérêts égoïstes de quelques individus.

* Les Congolais exigent les comptes et veulent savoir pourquoi avoir attendu trop longtemps pour frapper, pendant que la situation ne faisait que s’empirer. La conséquence est simple : le réseau sud (Katanga), avec tous les besoins des miniers, n’a plus aucun apport en énergie d’Inga et est obligé d’importer 130 MW du réseau zambien.

C’est depuis samedi dernier que le Chef de l’Etat Joseph Kabila Kabange a démis le comité de gestion de la Société nationale d’électricité, jadis dirigé par Daniel Yengo Massampu. Cela, à cause de beaucoup de manquements leur reprochés. Comme si cela ne suffisait pas, c’est aux méthodes du régime de la deuxième République, que l’ancien comité de gestion de la SNEL s’était inspiré pour gérer.

Ainsi, la corruption, la politisation et le tribalisme étaient-ils devenus les maîtres-mots d’une gestion qui a contraint tout un éléphant à perdre toute son essence, mieux son poids et sa graisse. Mais la question qui reste pendante sur toutes les lèvres est celle de savoir ce qui suivra cette décision, qui vient si tard, hélas ; et comment sera réparé le préjudice causé à la nation, par des prédateurs toujours inassouvis.

En effet, pour justifier la situation très catastrophique que traverse le barrage d’Inga, due au manque d’eau criant pour faire tourner ses quelques turbines, le comité de gestion a développé un mensonge. Il s’agit de l’étiage exceptionnel qui du reste prévisible, a été annoncé par les autorités congolaises chargées de la météorologie. Et toutes les entreprises concernées, dont la SNEL, devaient prendre les dispositions utiles quant à ce. Et pourtant, selon plusieurs experts du domaine, le problème qui se pose à Inga n’est pas dû à l’étiage du fleuve, mais plutôt au manque de dragage du canal d’amenée pendant plus de 3 ans. Si ce projet n’a jamais eu lieu, c’est à cause de la corruption instaurée comme mode de gestion à la SNEL.

La drague existe depuis 3 ans

En effet, c’est depuis 2005 que la SNEL avait acquis, sur fonds propres, une drague à installer au canal d’amenée du complexe hydroélectrique d’Inga pour une valeur de 3.900.000 dollars Us. Et depuis son acquisition, cette drague n’a jamais été mise en service suite à certains malentendus entre la SNEL et la Société Marine Trading Engineering, fournisseur de la drague. Ce qui est vrai, l’ancien comité de gestion de la SNEL avait déjà empoché une commission de 10%. En dépit de cette commission, la drague n’a jamais été installée. Cette situation a bloqué la mise en service de cette drague durant plus de 3 ans et le sable s’est accumulé dans le canal d’amenée qui a une capacité d’environ 5.000 m3/seconde. De son côté, l’ancien comité de gestion dont Daniel Yengo était ADG, exigera aussi sa commission qui lui a été versée. Mais la drague ne sera toujours pas installée.

Dans trois ans, si cette drague avait été installée et si elle avait commencé son travail à temps, il est fort probable que le pays n’ait pas connu cette situation, qui est à la limite de l’humiliation. Est-ce que tous ceux qui ont dansé au stade des Martyrs lors du congrès du PPRD se rendent-il compte de l’Etat dans lequel on a laissé le pays, surtout dans son chantier Electricité ? C’est ici qu’il faut dire que la solution à ce problème ne sera pas trouvée avec le retour de la pluie, mais plutôt avec un dragage intensif. Ainsi, la SNEL doit-elle cesser de sacrifier une nation tout entière pour des intérêts égoïstes de quelques individus.

Il faut souligner qu’à ce jour, le complexe d’Inga qui est censé produire environ 1400 MW ne donne plus qu’environ 300 MW, dont plus ou moins 100 MW sont mis à la disposition de la province au Bas-Congo ; et plus ou moins 200 MW seulement arrivent à Kinshasa, une ville qui a besoin de plus de 900 MW ! Et ceci, sans oublier que Inga I n’a plus que 3 machines en marche, mais qu’on ne sait plus faire fonctionner à leur capacité de 58 MW, mais à 4 MW, soit au total 12 MW au lieu de 174 MW.

Une destination malheureuse

Un autre mot qui a rongé la SNEL, c’est la politisation de l’entreprise. A ce niveau, la haute direction de cette entreprise du portefeuille de l’Etat considérait qu’elle n’était pas au service d’une nation, mais d’un parti politique. Toutes ses actions concouraient beaucoup plus à l’implantation du parti, qu’à l’amélioration du taux de desserte en électricité. Dans cette entreprise, pour être engagé ou pour occuper un poste de responsabilité, il fallait prouver son appartenance au parti de l’ADG. Sinon, vous êtes remercié, même si vous avez des compétences dont cette société avait tant besoin. C’est ici qu’il faut aussi condamner certaines pratiques dans les entreprises publiques au Katanga et à Kinshasa où l’on trouve leurs drapeaux respectifs posés ensemble, avec ceux des partis politiques. Toujours à Kinshasa, certaines entreprises ont créé des cellules pour tel ou tel autre parti, pendant qu’il fallait dissocier la gestion de l’entreprise à celle d’un parti politique. Vraiment si on n’arrête pas ce cycle, c’est tout le patrimoine de ces entreprises qui risquent d’être bradé.

Un autre fait, non des moindres, c’est le tribalisme dont les dégâts ne sont pas à négliger. A la SNEL, la plupart des directions fonctionnaient dans la langue du DG. Donc si vous parlez une langue contraire, vous êtes considéré comme traite et votre place n’était plus dans cette entreprise, peu importe vos compétences. Avec cette façon de faire les choses, l’ancienne équipe à la tête de la SNEL recourait à la méthode de travail léguée par le feu président Mobutu. Il est même arrivé des cas où le DG se permettait de demander à ses subordonnés ‘’de quel parti politique êtes-vous’’ ?

Ce qui est grave, c’est lorsqu’on sait qu’il s’agit des entreprises publiques où il est permis de retrouver les travailleurs provenant de tous les partis politiques de la République. Pour sa part, le processus de transformation de toutes les entreprises publiques qui étaient devenues des canards boiteux n’a pas produit des résultats escomptés. Ce processus n’est pas allé jusqu’au bout, c’est-à-dire, la restructuration n’a pas suivi la transformation. Et pourtant, après le processus de transformation, il y avait la nécessité de restructurer l’entreprise afin de lui donner un nouveau souffle. La conséquence est visible aux yeux de tout le monde : l’entreprise est devenue incapable de fournir de l’électricité aux Congolais qui en ont besoin.

Les hôpitaux, les morgues, les maternités ne savent plus fonctionner faute d’électricité. Les petites et moyennes entreprises qui fonctionnaient grâce au courant électrique, ont toutes fermé et mêmes les grandes entreprises voient leurs coûts d’exploitation augmenter, pendant que la clientèle n’a pas du tout varié. Toujours pour la même raison, les miniers de Lubumbashi (Katanga) n’ont pas trouvé mieux que d’acheter le courant à la Zambie, au préjudice de toute une nation. Il s’agit donc des capitaux qui s’envolent jour et nuit vers un pays étranger, mais qui auraient pu servir à l’amélioration du service rendu à la population. Sur le plan macroéconomique, il faut s’attendre à une croissance trop faible, au regard du manque d’énergie électrique. Les générateurs ne peuvent pas, à eux seuls, produire toute l’énergie dont les entreprises ont besoin ; un facteur qui risque de compliquer la conclusion de la 4ème revue pour laquelle une mission du FMI doit arriver en Rd Congo.

Quid du programme d’extrême urgence

Dans un climat caractérisé par la corruption, la politisation de l’administration, le tribalisme et autres, comment un tel programme qui avait nourri les ambitions des Congolais pouvait-il récolter du succès ? Pourquoi se moque-t-on de la population ? A ce jour, la situation s’est empirée plus qu’auparavant. On a importé les transformateurs, sans pour autant résoudre l’épineuse question du délestage journalier. Et au lieu de continuer à dire à la population le niveau de l’implantation des transformateurs, on change de langage pour parler de l’eau du fleuve qui, semble-t-il, a baissé, comme si la Rdc traversait, pour la première fois, une période de saison sèche. Et c’est ici qu’apparait le grand mensonge, car la drague était disponible, les commissions payées, mais le dragage tant attendu n’avait jamais commencé. C’est du saupoudrage !

Westcor, un projet mort-né

Maintenant que le dragage du fleuve a échoué, suite à une corruption devenue mode de gestion. Les Congolais sont en droit de se demander où est-ce qu’on en est avec le projet Westcor, qui promettait de verser 500 millions Usd annuellement à la RDC, dans la phase de production de l’électricité par le barrage d’Inga 3. Le projet piloté par Westcor, un consortium créé par les Etats de la Sadc, 5 au total, ayant versé chacun 100 millions Usd pour la constitution du capital, a été proposé. Et ce, dans l’éventualité de la construction du barrage d’Inga III sous la bannière de Westcor, en plus des dividendes que tirerait la RDC comme actionnaire au sein de cette structure sous régionale.

L’avantage à tirer de cet ensemble réside dans la capacité de mobilisation des fonds pour la construction du barrage. Des estimations oscillent aux alentours de 8 millions Usd pour la construction de ce barrage de 16 turbines de près de 260 mégawatts de puissance. Malheureusement, certains analystes considèrent que la répartition égalitaire des parts au sein du consortium joue en défaveur de la RDC. Pour ces analystes, un rééquilibrage est nécessaire afin de prendre en compte l’emplacement du site sur le territoire congolais. Seulement, la RDC qui avait accepté de travailler avec d’autres Etats de la sous-région dans ce cadre, a l’obligation de respecter sa signature. Agir autrement, c’est faire preuve de manque de respect de sa propre signature.

Hélas, les dirigeants congolais n’ont pas voulu franchir si allégrement la ligne, explorant d’autres pistes pour atteindre le même résultat. Constat, le projet n’évolue pas comme souhaité au départ, avec comme conséquence le retard dans l’exécution du projet. Tout compte fait, les reports successifs des échéances occasionnent sans aucun doute un manque à gagner pour la RDC.

L’Avenir
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Message par Ilunga »

Monsieur WANTANSHI, tu as lu la même chose que moi, tiré du journal extrémiste kabiliste-joséphiste...On dirait que ce journal se rend de plus en plus compte que les carottes sont cuites pour le "pantin" qui se fait appeler "Kabila"...Je rappelle la phrase qui m'a fait tiquer là-haut :



"Dans trois ans, si cette drague avait été installée et si elle avait commencé son travail à temps, il est fort probable que le pays n’ait pas connu cette situation, qui est à la limite de l’humiliation. Est-ce que tous ceux qui ont dansé au stade des Martyrs lors du congrès du PPRD se rendent-il compte de l’Etat dans lequel on a laissé le pays, surtout dans son chantier Electricité ?"







ça veut dire que les écailles sont entrain de tomber de leurs yeux...Y a plus match, le peuple voit l'échec patent, il n'a plus de courant ni d'eau, c'est le bouquet ! Quel bilan "Kabila" va-t-il défendre au cours de cette campagne?
D'ailleurs, son absence, son silence et son manque de réaction à ce méga-concert-Congrès de son parti veut tout dire : le mec n'a plus envie, il veut tailler au Rwanda mais les "cupides" à l'appétit "gargantuèsque" du PPRD le prennent en otage...Que vont-ils devenir, eux qui sont agrippés à la mamelle des Finances publiques, s'il raccrochait?
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Re: Kinshasa dans le Noir

Message par Ilunga »

Encore le journal "L'Avenir", extrémiste Kabiliste qui le dit ci-haut, je cite :


"Un autre mot qui a rongé la SNEL, c’est la politisation de l’entreprise. A ce niveau, la haute direction de cette entreprise du portefeuille de l’Etat considérait qu’elle n’était pas au service d’une nation, mais d’un parti politique. Toutes ses actions concouraient beaucoup plus à l’implantation du parti, qu’à l’amélioration du taux de desserte en électricité. Dans cette entreprise, pour être engagé ou pour occuper un poste de responsabilité, il fallait prouver son appartenance au parti de l’ADG. Sinon, vous êtes remercié, même si vous avez des compétences dont cette société avait tant besoin. C’est ici qu’il faut aussi condamner certaines pratiques dans les entreprises publiques au Katanga et à Kinshasa où l’on trouve leurs drapeaux respectifs posés ensemble, avec ceux des partis politiques. Toujours à Kinshasa, certaines entreprises ont créé des cellules pour tel ou tel autre parti, pendant qu’il fallait dissocier la gestion de l’entreprise à celle d’un parti politique. Vraiment si on n’arrête pas ce cycle, c’est tout le patrimoine de ces entreprises qui risquent d’être bradé."





Question : L'AVENIR SERAIT-IL ENTRAIN DE FAIRE UN VIRAGE A 180°?

Seuls les imbéciles s'obstinerait face à une telle catastrophe !!!
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Re: Kinshasa dans le Noir

Message par Ilunga »

Une méga-catastrophe en somme...Les "5 chantiers" n'ont été qu'un slogan vide de contenu, c'est "l'Avenir" qui le dit :


"Les hôpitaux, les morgues, les maternités ne savent plus fonctionner faute d’électricité. Les petites et moyennes entreprises qui fonctionnaient grâce au courant électrique, ont toutes fermé et mêmes les grandes entreprises voient leurs coûts d’exploitation augmenter, pendant que la clientèle n’a pas du tout varié. Toujours pour la même raison, les miniers de Lubumbashi (Katanga) n’ont pas trouvé mieux que d’acheter le courant à la Zambie, au préjudice de toute une nation. Il s’agit donc des capitaux qui s’envolent jour et nuit vers un pays étranger, mais qui auraient pu servir à l’amélioration du service rendu à la population. Sur le plan macroéconomique, il faut s’attendre à une croissance trop faible, au regard du manque d’énergie électrique. Les générateurs ne peuvent pas, à eux seuls, produire toute l’énergie dont les entreprises ont besoin ; un facteur qui risque de compliquer la conclusion de la 4ème revue pour laquelle une mission du FMI doit arriver en Rd Congo."
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Re: Kinshasa dans le Noir

Message par Ilunga »

L'Avenir dit encore :

"Dans un climat caractérisé par la corruption, la politisation de l’administration, le tribalisme et autres, comment un tel programme qui avait nourri les ambitions des Congolais pouvait-il récolter du succès ? Pourquoi se moque-t-on de la population ? A ce jour, la situation s’est empirée plus qu’auparavant. "






Quelqu'un avait pourtant dit que "les congolais vivaient mieux qu'il y a 15 ans !" dixit Kabila, le 1er des "joséphistes"...On comprend que face à ce constat de néant généralisé, le mec ne bronche pas pour le Congrès du PPRD, un ramassis de profiteurs, d'allumés par le fric, qui "se vautrent dans la luxure et le sexe"...
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Re: Kinshasa dans le Noir

Message par Ilunga »

Et cette conclusion de "L'Avenir", en guise de cerise sur le gâteau ou de feu d'artifice, c'est selon :



"Hélas, les dirigeants congolais n’ont pas voulu franchir si allégrement la ligne, explorant d’autres pistes pour atteindre le même résultat. Constat, le projet n’évolue pas comme souhaité au départ, avec comme conséquence le retard dans l’exécution du projet. Tout compte fait, les reports successifs des échéances occasionnent sans aucun doute un manque à gagner pour la RDC."







kie kie kie kie kie kie kie kie...C'est bon, on a compris : "Pesa munu passage!"
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Re: Kinshasa dans le Noir

Message par Ilunga »

Un internaute dit ceci :



"QUE KABILA DEMANDE A TOUX CEUX QUI ONT DETOURNE LES 42 MILLIONS DE DOLLARS VENUS DE BRAZZAVILLE DE LES RENDRE. IL S'AGIT DE JANET, BOSHAB ETC
COMME DISAIT UN ETUDIANT DE LA FAC DE DROIT CONTEMPLATIF DEVANT LES ENSEIGNEMENTS DU PROF BOSHAB: "OYEBI KOTANGISA MAIS OZA MOYIBI"







kie kie kie kie kie kie kie
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Re: Kinshasa dans le Noir

Message par Ilunga »

Un autre écrit ceci :

"Même à l'époque du feu marechal MOBUTU, Kinshsa n'a jamias veçu ces derniers jours comme pour le moment. c'est l'Apocalypse. je viens d'arriver ce soir dans à kinshasa, j'ai parcouru aux moins 15 hotels pour trouver ou se loger maiis tous les hotels visités étaient plein raison ce sont les membres de PPRD qui y sont logés . Mon Dieu je me suis posé mille et unième question d'où vient cet argent???? Les derniers publics sont volés et utilisés pour des fins personnes de KANAMBE. Deuxièment chose plus grave. L'obscurité comme si nous étions dans la grande forêt équatoriale. quelques groupes électrogènes fonctionnent pour éclairer les debut de boisson et terrase. Ce qui est plus grave KINSHASA RESSEMBLE A UN VILLOGE DESSERTE PAR LES OCCUPANTS MALGRE LA PRESENCE DES HABITANTS. Kinshasa ressemble à l'enfer.
Ca ne sert à rien de limoger le comité de gestion KANAMBE. limoge toi toi même et la suite va suivre. KANAMBE OBOMI MBOKA NA BISO. ZONGA RWANDA. UN JOUR CPI EKOYAMBA YO. C'est mon souhait ardent que tu sois traduit en justice à cause de tes crimes au CONGO."
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