www.leopardsfoot.com

L'Inter était trop puissant

Pour la quatrième année de suite, la Coupe du monde des clubs reste en Europe, après la victoire nette et sans bavure de l'Inter Milan devant le Tout Puissant Mazembe en finale, sur le même score qu'en demi-finales face à Seongnam (3-0). Rapidement mis sur orbite par deux buts de Milito et Eto'o, les champions d'Europe n'ont laissé aucune chance à des Africains émoussés.

Samuel Eto'o et ses mystérieux sacs sont portés en triomphe, l'Inter est champion du monde des clubs (Reuters). Samuel Eto'o et ses mystérieux sacs sont portés en triomphe, l'Inter est champion du monde des clubs (Reuters).
C'en était trop pour le Tout Puissant. Déjà auteurs d'un double exploit authentique en éliminant successivement Pachuca (1-0) en quarts de finale, puis l'Internacional Porto Alegre (2-0) en demies, les doubles champions d'Afrique en titre ont pris l'eau face à l'Inter, qui l'a emporté sans l'ombre d'un doute en finale à Abou Dhabi et conclut sa magnifique semaine comme il l'avait commencé mercredi face à Seongnam, c'est-à-dire par une victoire 3-0. Rafael Benitez avait besoin de ce titre suprême pour continuer à exercer ses fonctions à la tête des Nerazzurri, l'Espagnol se l'était fait notifier assez clairement par son président Massimo Moratti, qui avait déclaré dans la presse qu'il ferait un bilan à l'issue de ce Mondial des clubs. Et ce bilan est incontestablement bon, même si l'opposition était bien trop émoussée à tous les niveaux pour se montrer à la hauteur d'une telle échéance.

Malgré une première frappe largement au-dessus de Nkulukuta (10e), Milito douche rapidement les espoirs congolais en ouvrant la marque de près face à Kidiaba, profitant d'une belle ouverture d'Eto'o et d'une intervention manquée de Mihayo au marquage (1-0, 13e). De quoi décrisper un peu le visage de Massimo Moratti en tribune, et le président intériste ne va pas devoir attendre beaucoup plus pour se relâcher complètement. Réalistes à défaut d'être magnifiques dans le jeu, les champions d'Europe doublent la mise quasiment dans la foulée, grâce à Eto'o qui reprend de demi-volée à l'entrée de la surface après un centre en retrait de Zanetti (2-0, 17e). Comme un symbole, le buteur camerounais de l'Inter crucifie ses camarades africains et s'en va soulever des sacs apportés par Materazzi sur le bord du terrain. Sans que l'on sache ce qu'ils contiennent...

Biabiany succède à Anelka

Milito manque le doublé par deux fois, seul devant Kidiaba (24e, 42e), et permet au Tout Puissant de rester à peu près dans le match. Mais la différence de niveau et de concentration est telle que l'Inter ne tremblera jamais. Kimwaki et Kasusula, sur les deux occasions de l'Argentin, sont très mal alignés et ne doivent qu'à leur gardien de ne pas porter le chapeau d'un score encore plus lourd. Manquant de concentration derrière et de punch devant, les hommes du Sénégalais Lamine N'Diaye ne démontrent pas le même sérieux tactique que lors de leurs deux matches précédents.

Malgré les prières sur leur ligne de but au retour des vestiaires, les joueurs du premier club africain à atteindre la finale du Mondial des clubs ne parviendront pas à refaire leur retard. L'Inter se contente de gérer et ne se procure qu'une mini-occasion avant le dernier quart d'heure, par l'intermédiaire de Maicon - de retour à l'occasion de cette finale - qui cherche un centre-tir compliqué au lieu de servir Stankovic seul au centre (60e). Singuluma aurait pu se procurer la première occasion du Tout Puissant, mais manque son contrôle au moment de reprendre après une sortie manquée de Julio César (64e). Kaluyituka, par deux fois, ne fait pas mieux en poussant trop son dribble et en tombant beaucoup trop tard devant Julio César pour jouer le penalty (75e), avant de voir sa reprise contrariée par le portier intériste (80e).

Alors qu'Eto'o bute sur Kidiaba (78e), le seul Français de ce Mondial va mettre fin au très léger doute qui pouvait encore subsister. Sur une magnifique ouverture par-dessus la défense de Stankovic, Biabiany s'en va dribbler le portier congolais avant de pousser au fond (3-0, 85e). L'ancien Parmesan devient ainsi le premier joueur tricolore à marquer lors de la Coupe du monde des clubs depuis Nicolas Anelka, auteur de trois buts en 2000 avec le Real Madrid, lors de la première édition (la seule à avoir comporté une phase de poules). Et l'Inter poursuit sereinement la série européenne, succédant à Milan en 2007, à Manchester en 2008 et à Barcelone en 2009. Rafael Benitez n'en sera pas le moins ravi.

http://www.rfi.fr/afrique-foot/20101218 ... ubs-declas




Football/Mondial des clubs -
Article publié le : dimanche 19 décembre 2010 - Dernière modification le : dimanche 19 décembre 2010

Mondial des clubs: Le TP Mazembe a payé cher ses maladresses

Par RFI

Après la défaite 3-0 face à l'Inter Milan en finale du Mondial des clubs, les joueurs du Tout Puissant Mazembe ne voulaient pas se montrer trop déçus. Conscients de leurs maladresses sur les deux premiers buts de l'Inter, ils pensent avoir beaucoup appris dans cette compétition qui les a révélés au monde.

propos recueillis à Abu Dhabi par Christophe Jousset

Lamine Ndiaye (entraîneur du TP Mazembe)
Ca a été difficile. C’est ce que je craignais. L’enjeu était énorme pour les joueurs d’une part. Et la fraîcheur physique aussi nous a manqué. L’Inter était peut-être craintive au début mais elle a joué à fond sur nos erreurs et puis voilà: ils ont marqué deux buts sur leurs deux premières occasions. Après, c’était difficile de revenir. Quand on regarde les statistiques du match contre les Coréens, ils ont frappé deux fois au but en première mi-temps et ils ont marqué deux buts. On le savait: ils sont réalistes, c’est comme cela qu’ils jouent. On a commis trop de maladresses pour bousculer cette équipe-là.

Narcisse Ekanga (milieu de terrain camerounais du TP Mazembe)
La différence s’est faite au niveau de la maturité, au niveau de l’envie et au niveau aussi du respect. On les a trop respectés au début du match. Il y a eu des moments où on les a laissé faire et ça s’est joué à ce niveau-là. On a fait deux erreurs qui nous ont coûté deux buts, surtout le deuxième but où notre latéral n’arrive pas à dégager le ballon et du coup ils le récupèrent. C’est juste la maturité: ce qui compte c’est les détails. Eux ont su utiliser les détails en leur faveur et pas nous. Je crois que c’est ce qui a payé pour eux et c’est ce qui nous a fait perdre le match aujourd’hui. Mais on s’en remettra. On a perdu la finale mais on n’a pas perdu la compétition. Honnêtement, si quelqu’un est sorti vainqueur de cette compétition, c’est nous, c’est Tout Puissant Mazembe, c’est toute l’Afrique en général. On a perdu le match mais on a gagné beaucoup en enseignements. Je crois que c’est nous qui sortons vraiment gagnants de cette compétition.

Maila Nkulukuta (arrière droit TP Mazembe)
On a joué la finale, c’est déjà bien. On est content, on est vice-champions et c’est pas mal. Malheureusement, on a fait des petites erreurs dont ils ont profité pour marquer. On a souffert derrière car l’Inter est une grande équipe mais c’était pas mal, ce que l’on a fait. On est allés dans le vestiaire de l’Inter, on s’est un peu amusé avec eux. On s’est salué, l’ambiance était bonne. Le foot, c’est sur le terrain mais après on est amis.

Jonathan Biabiany (attaquant français de l’Inter Milan)
C‘est un grand moment de pouvoir ramener ce trophée à la maison et d’avoir marqué mon premier but dans cette compétition très importante. Sur le coup, je n’y croyais pas et après j’ai réalisé que j’avais marqué et j’étais très content. Je suis parti voir l’un de mes coéquipiers qui m’avait dit que j’allais marquer en entrant. On va fêter ce trophée mais après on va penser reprendre des points en championnat et aussi à la Ligue des champions. C’est vrai que les choses vont vite pour moi en ce moment mais il faut montrer que j’ai envie de rester et de bien faire sous ce maillot. Petit à petit, je suis en train de faire ma place et je montre à l’entraîneur que je suis présent quand il a besoin de moi. Mazembe est une bonne équipe mais aujourd’hui on était vraiment au-dessus, on était tous en forme et on voulait vraiment ce trophée. On aurait joué contre n’importe quelle équipe, on aurait gagné quand même.

Mondial des clubs, Mazembe - N'Diaye :"L'Inter était plus fort et ils méritaient de gagner."
Défait en finale de la Coupe du Monde des Clubs par l'inter (3-0), l'entraîneur du TP Mazembe, Lamine N'Diaye revient sur la performance de ses joueurs.
18 déc. 2010 23:02:00

Le coach du TP Mazembe, Lamine N'Diaye relate que l'Inter se sont montré dignes d'être couronnés champions de la Coupe du Monde des Clubs après une victoire facile contre son équipe 3-0 ce soir. L'équipe africaine n'a jamais été en mesure de tenir tête et de peser sur l'Inter. Des buts de Goran Pandev, Samuel Eto'o et Jonathan Biabiany ont vu les Italiens s'éblouir et finir par brandir le trophée comme signe d'apothéose.

"Honneur à l'Inter ", a dit N'Diaye à la presse après le match."L'Inter était plus fort et ils méritaient de gagner. Nous avons fait trop d'erreurs en défense et nous avons payé le prix. De plus, nous nous sommes sentis fatigués après les matches contre Pachuca et Internacional.Mais,cette défaite ne vas pas annuler toutes les bonnes choses que nous avons fait . Je suis fierdemon équipe et l'ensemble de l'Afrique est fière de nous."

Erick Ross a écrit :

nieno a écrit :May comment peut tu affirmer que techniquement ils ont été egal à l'inter si dans ta meme analyse tu ecris que ils ont des problemes de relance ........ne sais tu pas qu'une bonne relance depend largement de la technique de base.
Si mazembe veut revenir plsu fort l'année prochaine ils doivent absolument corriger leur defauts ou au moins les rendre moins evident...

L'Inter a surclassé le TPM. Et encore, ils ont joué avec le frein à main après les cadeaux offerts par la défense des corbeaux. Kidiaba et Kabangu ont fait un bon match. Alain Carré a manqué trop d'occasions. Le reste, ce n'était VRAIMENT pas çà. Sinon le petit Ndonga là, il promet. Et que N'Diaye cesse avec ses fétiches. Singuluma est sur le terrain alors qu'il n'a rien fait de bon et n'arrive pas à la cheville de Kanda, qui est meilleur sur les ailes et non en 10. Il aurait pu faire tourner son effectif. 3 matches en 8 jours avec 13 ou 14 joueurs. Et faut qu'il explique pourquoi l'absence de Sunzu

Que eux dire cette phrase?
Oui Alain manque assez d'occasion. Un renard de surface bien huilé devrait convertir deux ou trois de ses nombreuses occasions hier. Je pense aussi que la baraka n'a pas été de notre coté. Il y a des jours comme ça. En plus Inter defend en grand nombre. C'était compact derrière. Créer ces rares occasions franches de la part de Mazembe mérite aussi d'etre souligné.
Quant à Given, je crois qu'il a de qualiés techniques et une certaine expérience que Deo qui monte aussi en puissane. Je l'ai vu defier Maicon.
L'arbitre a été impartial. Il a gaché la finale.
Après avoir visionné le match, est ce que Mazembe avait la possibilité de remporter cette rencontre?

http://www.congoplanete.com/news/3098/t ... s-unis.jsp




Inter de Milan bat TP Mazembe en finale de la Coupe du Monde des Clubs

Article précédant


Fifa.com - 18 décembre 2010

TP Mazembe vs Inter
Le FC Internazionale Milano a remporté la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA, E.A.U. 2010 en s’imposant devant le TP Mazembe Englebert en finale ce samedi 18 décembre 2010 à Abou Dabi. Après le championnat, la Coupe et la Supercoupe d’Italie et la Ligue des champions de l’UEFA, c’est le cinquième titre des Milanais cette année.

Logiquement annoncé comme le Petit Poucet de cette rencontre, Mazembe ne semble pourtant pas perdu dans le grand jardin du Zayed Sports City. Au contraire, les Corbeaux balisent le chemin vers la gloire lorsque Miala Nkulukuta frappe depuis l’aile droite, mais au-dessus (10’). Malheureusement pour les champions d’Afrique, ce ne sera que l’arbre qui cache la forêt. Car un autre Africain joue dans le camp d’en face, un certain Samuel Eto’o, qui adresse une passe lobée parfaite à Goran Pandev. Le Macédonien remporte son face à face avec Muteba Kidiaba d’un petit extérieur du gauche (13’, 0:1). La première graine de la victoire est plantée.

Elle devient rapidement une belle plante lorsqu’Eto’o se trouve à la conclusion d’un centre en retrait de Javier Zanetti. Son tir à ras de terre bat Kidiaba pour la deuxième fois en quatre minutes, alors qu’il n’avait encaissé aucun but en deux matches (17’, 0:2). Il se montre en revanche impérial devant Diego Milito, parti à la limite du hors jeu (24’). Ce sauvetage redonne du courage aux Congolais et Dioko Kaluyituka donne un coup de hache pour tenter d’entailler la confiance de l’Inter. Mais Julio Cesar se couche sur sa frappe à ras de terre (32’). Deuxième encoche lorsque le centre de Mulota Kabangu file devant les bois italiens sans que Kaluyituka ne puisse réagir (36’). Heureusement pour les Corbeaux, Milito entretient le suspense malgré lui en mangeant la feuille lors d’un deuxième face-à-face avec Kidiaba (43’).

L’Inter termine sa récolte
Après avoir repris des forces, les Congolais reviennent décidés à montrer de quel bois ils se chauffent, mais le coup franc direct de Kabangu est renvoyé par le mur intériste (49’). Comme en première période, l’Inter se montre patient, prend le temps de construire ses actions et en récolte presque les fruits. Maicon déborde côté droit mais touche du bois (60’) tandis que Milito continue sa vendange personnelle en ratant une tête à bout portant (61’). Mazembe répond par une frappe du capitaine Kazembe Mihayo, mais Julio Cesar veille au grain (62’). Le TP remet ça peu après et c’est cette fois Mukok Kanda, entré à la pause, qui parvient à frapper dans une forêt de jambes, mais Lucio écarte le danger (64’).

Les bruyants supporters congolais s’enflamment encore Kaluyituka hérite d’un bon ballon, mais il manque son dribble devant le portier brésilien (75’). L’attaquant des Corbeaux se met encore en évidence à la réception d’un centre de Kabangu, mais Julio Cesar a encore le bon réflexe, avant d’être suppléé par Ivan Cordoba (80’). Ce qui devait arriver arrive, le roseau milanais plie sans rompre, et Mazembe reçoit le retour de bâton. A peine entré en jeu, le Français Jonathan Biabiany hérite d’un ballon de Dejan Stankovic par-dessus la défense, élimine Kidiaba et finit le travail (85’, 0:3).

La moisson milanaise est terminée et Javier Zanetti peut tranquillement aller soulever son cinquième trophée de l’année. Après deux Coupes intercontinentales en 1964 et 1965, les Nerazzurri montent sur le toit du monde pour la troisième fois et succèdent au FC Barcelone.

http://www.rfi.fr/afrique-foot/20101217 ... e-est-reve




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Football/Mondial des Clubs FIFA -
Article publié le : vendredi 17 décembre 2010 - Dernière modification le : vendredi 17 décembre 2010

Alain Kaluyituka : « Cette finale, c’est un rêve »
Le Congolais Alain Kaluyituka.
Le Congolais Alain Kaluyituka.
Reuters
Par RFI

En l’absence de Trésor Mputu, suspendu un an par la FIFA, Alain Kaluyituka est l’attaquant vedette de Tout Puissant Mazembe. Le meilleur buteur de la Ligue des champions d’Afrique 2010 espère désormais remporter la Coupe du monde des clubs FIFA face à l’Inter Milan avant, pourquoi pas, de jouer en Europe.

Une finale de Coupe du monde des clubs, ce n’est pas un match comme les autres. Comment l’abordez-vous ?
Pour moi, c’est un rêve. Un joueur Congolais qui joue la Coupe du monde des clubs, ce n’est pas donné à tout le monde. On sait qu’on va jouer contre une grande équipe avec l’Inter Milan. Mais nous sommes venus chercher ici quelque chose. Je pense que l’on a déjà fait l’essentiel. Maintenant, c’est la Coupe. Moi, je serai relax, comme si de rien n’était. Celui qui jouera le mieux sur le terrain remportera le match.

Vous avez disputé et gagné la finale de la Ligue des champions d’Afrique. Pensiez-vous pouvoir atteindre la finale de ce Mondial des Clubs ?
Nous sommes arrivés ici très concentrés. On n’a pas voulu trop parler mais c’était dans notre cœur. On s’est dit, "cette fois-ci, on vient pour jouer la finale". L’an dernier, nous avions perdu nos deux matchs et cela nous avait vraiment fait mal au cœur.

Vous aviez affiché beaucoup de respect envers l’Inter Porto Alegre en demi-finale. Risquez-vous de faire la même erreur face à l’Inter Milan, en finale ?
Je ne pense pas. Ce qui compte c’est d’observer son adversaire, voir comment il joue. Nous allons aborder cette finale relax et sans pression.

Par rapport à l’Inter Milan qui compte beaucoup de joueurs étrangers, Tout Puissant Mazembe se compose d’une majorité de Congolais. Est-ce une force ?
Oui. Ça fait six ans qu’on joue ensemble, on se connaît très bien.

Cette finale est une occasion unique de rencontre l’Inter Milan et toutes ses stars, dont le Camerounais Samuel Eto’o…
On ne va pas regarder l’Inter jouer, on sera présent dès le coup d’envoi. C’est très rare pour nous les joueurs africains d’affronter des stars comme celles de l'Inter de Milan et c’est une occasion rêvée de prouver que l’on peut être des stars comme eux.

En tant qu’attaquant, est-ce que Samuel Eto’o est un modèle ?
Oui, c’est un modèle pour moi et pas juste parce qu’il est Africain, mais parce que c’est un grand attaquant. Ça me plait de jouer contre lui.

Vous faites partie de la liste des nominés pour le titre de meilleur joueur évoluant en Afrique. Le parcours du Tout Puissant Mazembe en Coupe du monde des clubs est un atout.
J’ai confiance avec ce que j’ai réalisé cette année et l’année dernière. J’ai démontré ce dont j’étais capable en Afrique. C’est le moment ou jamais de remporter ce trophée. Je pense que je le mérite et j’attends donc le 20 décembre. Ce serait en tout cas une immense fierté.

Avez-vous envie de jouer ailleurs, en Europe notamment ?
J’y pense, bien sûr. Nous, les Africains, visons souvent l’Europe. Cette année pourraît être la bonne.

Vous aviez déjà fait un essai en France, à Arles-Avignon…
Oui, mais ça ne s'était pas passé comme prévu là-bas pour le transfert. Et puis, le président (de Tout Puissant Mazembe) ne pouvait pas me libérer avec toutes les compétitions et l’absence de Trésor Mputu (suspendu un an par la FIFA). Il avait besoin de moi. Et puis, les résultats du club lui ont donné raison. J’ai bien fait de rester.

La suspension de Trésor Mputu a accru vos responsabilités dans le groupe…
Oui et non. C’est vrai que Trésor est notre star, mais on a toujours été là aussi. Beaucoup de personnes pensaient que sans Trésor, Mazembe jouerait mal. Nous avons donc prouvé qu’il ne fallait pas parler d’un seul joueur mais de tout un groupe, toute une équipe. D’ailleurs, Trésor est toujours avec nous, on s’appelle tout le temps. On fera la fête ensemble à notre retour.

Tous propos recueillis par Christophe Jousset à Abou Dhabi (retranscription par C.C. et D.K.)

8.12.2010 : A l’Afrique l’honneur, aux Européens le trophée de la coupe du monde des clubs

L’international Milano s’est montré réaliste face au TP Mazembe en s’imposant 3-0 en finale. Les Corbeaux ont succombé parce que sans arguments offensifs devant les Nerazzuris qui profiteront d’une passivité défensive des champions d’Afrique à la 13e, 19e et 85e minute pour inscrire les trois buts.

Se butant à l’Inter de Milan à la recherche d’un succès en vue de sortir de la crise, le TP Mazembe aura face à lui deux adversaires les Nerazzuris et l’arbitre japonais,Yuichi NISHIMURA, qui a réussit son record en brandissant 13 cartons jaunes au TP Mazembe dont un rouge dans l’ensemble de deux matches des Corbeaux qu’il a officié. Du moins pour la finale, il sortira six cartons jaunes pour faire peur aux Corbeaux anéantissant par conséquent l’agressivité offensive d’une équipe de Mazembe auteur d’une démonstration de jeu en deuxième période cela sans marquer.

Dans le lot, le TP Mazembe à travers Alain KALUYITUKA DIOKO a reçu le palme d'argent du meilleur joueur de la compétition derrière Samuel ETO’O Fils élu ballon d’or 2010 et devant l’attaquant brésilien de l’Internacional Porto Alegre, Andres D ALESSANDRO qui est en troisième position avec le ballon de bronze. Quant à l’équipe fair-play, la palme est revenue à l’International Milano.

Ilunga a écrit :8.12.2010 : A l’Afrique l’honneur, aux Européens le trophée de la coupe du monde des clubs

L’international Milano s’est montré réaliste face au TP Mazembe en s’imposant 3-0 en finale. Les Corbeaux ont succombé parce que sans arguments offensifs devant les Nerazzuris qui profiteront d’une passivité défensive des champions d’Afrique à la 13e, 19e et 85e minute pour inscrire les trois buts.

Se butant à l’Inter de Milan à la recherche d’un succès en vue de sortir de la crise, le TP Mazembe aura face à lui deux adversaires les Nerazzuris et l’arbitre japonais,Yuichi NISHIMURA, qui a réussit son record en brandissant 13 cartons jaunes au TP Mazembe dont un rouge dans l’ensemble de deux matches des Corbeaux qu’il a officié. Du moins pour la finale, il sortira six cartons jaunes pour faire peur aux Corbeaux anéantissant par conséquent l’agressivité offensive d’une équipe de Mazembe auteur d’une démonstration de jeu en deuxième période cela sans marquer.

Dans le lot, le TP Mazembe à travers Alain KALUYITUKA DIOKO a reçu le palme d'argent du meilleur joueur de la compétition derrière Samuel ETO’O Fils élu ballon d’or 2010 et devant l’attaquant brésilien de l’Internacional Porto Alegre, Andres D ALESSANDRO qui est en troisième position avec le ballon de bronze. Quant à l’équipe fair-play, la palme est revenue à l’International Milano.

Félicitation à TPM aux dirigeants et à tout les joueurs, si le gd Barça a fléchi face à cette défense intériste que pouvait faire TPM?
Mazembe a joué face à une équipe partie favori du tournoi et le salaud d'arbirtre en a profité pour les affaiblir.
Les joueurs sont des plus en plus matures, la sanction de Mputu et Lusadisu sert de leçon.
TPM a perdu mais n'a pas démérité on a mis en difficulté Inter, par manque d'expérience on a pas marqué.
Kabangu est largement meilleur qu'un Sidney Govou, à l'heure Domenech il aurait sa place dans les 11 de départ.