TUPAC, tu es defois trop poli, dis plutôt na loba, parce que je sais que c'est moi qui ai dit celà.mais comme eza libanga obwaki na molili ezui ngayi alorsTUPAC MOUDJAHIDINE a écrit :C'est une question d'organisation Kokende avant ko s'acclimater efuti![]()
TOLOBA OOOO il fallait baya na europe
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F.C. Internazionale-Tout Puissant Mazembe : Avant match
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chidap
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Re: F.C. Internazionale-Tout Puissant Mazembe : Avant match
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chidap
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Re: F.C. Internazionale-Tout Puissant Mazembe : Avant match
L'ARGENT DE MOISE??? ILS EN BAVENT A MOURIR CES CHAROGNARDSsigne a écrit :En tant que Congolais, ils ont le droit de se rejouir mais e même temps, ils doivent être interpellés de voir MAZEMBE percé et l'EN s'enfoncer à cause de leur mauvaise foi, ce qui est regrettable c'est qu'ils se trompent en se félicitant de la victoire de MAZEMBE comme s'ils étaient pour qlq chose, TOUT LE MONDE SAIT QU'ILS N'ONT RIEN AVOIR LA DEDANS...wantanshi a écrit :C'est vraiment rageant de voir tous ces petits opportunistes autour de MAZEMBE comme des hyènes ! Celui qui excelle le plus d'entre eux n'est autre que Constant Omari ! Si vous regardez la Video, le mec qu'on entend prier à haute voix à côté de la caméra dans les vestiaires c'est le ministre provinciale des sports du Katanga: Dr Félix KABANGE, fondateur de la radio phoenix Université (de l'UNILU).Erka a écrit :Francis Kalombo est dirigeant de Mazembe maintenant ou il joue à l'Abdoulaye Traoré Ben Badi?
http://www.youtube.com/watch?v=HfagKK0VZ1U![]()
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LE MINISTRE DES SPORTS QUI FAIT SON BILAN ET DIT SOUS MON REGNE: J'AI RAMENE DEUX TITRES AVEC TPM ET..... QUELLE HONTE...
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Re: F.C. Internazionale-Tout Puissant Mazembe : Avant match
"Muntari pour l'Afrique et Inter"
Aujourd'hui, au terme de l'entraînement au Ground Pitch Army, Sulley Muntari a répondu aux questions des journalistes présents, inévitablement concentrées sur la formation que l'Inter affrontera en finale, les africains de Mazembe.
Internazionale.fr vous livre les déclarations du milieu Nerazzurro.
"Nous les avons vu jouer, tous ensemble, et c'est un match difficile qui nous attend, mais nous pensons à nous, à notre jeu. Ils ont tout, leur football a changé : ce n'est pas parce que nous sommes une équipe qui joue dans un championnat européen que nous sommes meilleurs. Il ne faut pas avoir peur, mais il faut les respecter et être humble. Ils jouent tête baissée, ils courent toujours et il faut les affronter avec patience."
Muntari est fier de faire partie de ce peuple dans lequel le football devient moteur et qui a l'occasion de s'améliorer toujours plus.
"Pour moi, c'est motif de satisfaction d'être africain. Ce sport évolue beaucoup en Afrique, mais je dois penser à l'Inter et à gagner pour le président Moratti et pour nos supporters. Nous nous devons de jouer de la même façon contre n'importe qui."
Aujourd'hui, au terme de l'entraînement au Ground Pitch Army, Sulley Muntari a répondu aux questions des journalistes présents, inévitablement concentrées sur la formation que l'Inter affrontera en finale, les africains de Mazembe.
Internazionale.fr vous livre les déclarations du milieu Nerazzurro.
"Nous les avons vu jouer, tous ensemble, et c'est un match difficile qui nous attend, mais nous pensons à nous, à notre jeu. Ils ont tout, leur football a changé : ce n'est pas parce que nous sommes une équipe qui joue dans un championnat européen que nous sommes meilleurs. Il ne faut pas avoir peur, mais il faut les respecter et être humble. Ils jouent tête baissée, ils courent toujours et il faut les affronter avec patience."
Muntari est fier de faire partie de ce peuple dans lequel le football devient moteur et qui a l'occasion de s'améliorer toujours plus.
"Pour moi, c'est motif de satisfaction d'être africain. Ce sport évolue beaucoup en Afrique, mais je dois penser à l'Inter et à gagner pour le président Moratti et pour nos supporters. Nous nous devons de jouer de la même façon contre n'importe qui."
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Re: F.C. Internazionale-Tout Puissant Mazembe : Avant match
Le gardien brésilien de l'Inter, Julio Cesar, s'en prend à Kidiaba et son "kidibouake", danse populaire ajd au Brésil pour "chambrer" les joueurs de l'International Porto Alegre...kie kie kie kie kie ...Kidiaba, superstar mondial après Higuita, le gardien fantasque colombien...
Kidiaba, un gardien "Tout Puissant"Actualité - Le Monde découvre le gardien du Mazembele 16/12/2010 à 11:21
Il est une des sensations de cette Coupe du Monde des Clubs 2010. Robert Muteba Kidiaba, 34 ans, garde en effet avec talent et excentricité les cages du Tout Puissant Mazembe, club congolais qualifié pour la finale ce samedi face à l'Inter Milan.
Inviolé dans ses cages depuis le début de la compétition, ce fantasque portier est connu pour ses interventions spectaculaires, ses sorties aériennes, mais aussi, et surtout, pour sa célébration de but pour le moins originale (voir vidéo ci-dessous). Mais si l'international congolais régale les spectateurs et les supporters du Mazembe, il ne semble pas se faire que des amis actuellement.
Julio César, qui défendra samedi les buts de l'Inter, reproche ainsi ce jeudi l'attitude de Kidiaba lors des buts du vainqueur de la Ligue des Champions de la CAF 2009 et 2010 : "Sincèrement, je ne connais pas les raisons de cette célébration. Peut-être que ça vient de sa culture, que c'est une petite tradition qu'il a, ou alors que c'est quelque chose qu'il aime bien faire chez lui avec ses enfants. Après, je n'ai pas à juger. Mais quand je l'ai entendu dire qu'il faisait ça pour travailler ses abdominaux, je me suis dit : "Quelle blague !". Je ne pense pas que c'est bien de faire ça en match. Si j'étais un joueur de l'Internacional (Porto Alegre, qui a perdu 2-0 contre le Tout Puissant Mazembe en demi-finale), je n'aurais pas trop apprécié. C'est un très bon gardien, mais je crois qu'il fait surtout ça pour se montrer aux yeux du monde, et il y arrive bien pour le moment", a ainsi déclaré Julio César sur Globoesporte.
On attend avec impatience la réaction du gardien brésilien s'il venait à encaisser un but samedi face au Tout Puissant Mazembe.
Kidiaba, un gardien "Tout Puissant"Actualité - Le Monde découvre le gardien du Mazembele 16/12/2010 à 11:21
Il est une des sensations de cette Coupe du Monde des Clubs 2010. Robert Muteba Kidiaba, 34 ans, garde en effet avec talent et excentricité les cages du Tout Puissant Mazembe, club congolais qualifié pour la finale ce samedi face à l'Inter Milan.
Inviolé dans ses cages depuis le début de la compétition, ce fantasque portier est connu pour ses interventions spectaculaires, ses sorties aériennes, mais aussi, et surtout, pour sa célébration de but pour le moins originale (voir vidéo ci-dessous). Mais si l'international congolais régale les spectateurs et les supporters du Mazembe, il ne semble pas se faire que des amis actuellement.
Julio César, qui défendra samedi les buts de l'Inter, reproche ainsi ce jeudi l'attitude de Kidiaba lors des buts du vainqueur de la Ligue des Champions de la CAF 2009 et 2010 : "Sincèrement, je ne connais pas les raisons de cette célébration. Peut-être que ça vient de sa culture, que c'est une petite tradition qu'il a, ou alors que c'est quelque chose qu'il aime bien faire chez lui avec ses enfants. Après, je n'ai pas à juger. Mais quand je l'ai entendu dire qu'il faisait ça pour travailler ses abdominaux, je me suis dit : "Quelle blague !". Je ne pense pas que c'est bien de faire ça en match. Si j'étais un joueur de l'Internacional (Porto Alegre, qui a perdu 2-0 contre le Tout Puissant Mazembe en demi-finale), je n'aurais pas trop apprécié. C'est un très bon gardien, mais je crois qu'il fait surtout ça pour se montrer aux yeux du monde, et il y arrive bien pour le moment", a ainsi déclaré Julio César sur Globoesporte.
On attend avec impatience la réaction du gardien brésilien s'il venait à encaisser un but samedi face au Tout Puissant Mazembe.
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Re: F.C. Internazionale-Tout Puissant Mazembe : Avant match
Coupe du monde des clubs : Tp Mazembe, si près du but Jeudi, 16 Décembre 2010 08:33 J-B. T. (source foot367)
Index de l'article
Coupe du monde des clubs : Tp Mazembe, si près du but
Narcisse Ekanga : « Tp Mazembé est dans la cour des grands »
Toutes les pages
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Il n’y a pas jusqu’au ministre camerounais des Sports qui n’a été impressionné par la qualification inédite du Tout Puissant Mazembé de Lubumbashi pour la finale de la Coupe du Monde des clubs qui se déroule en ce moment au Qatar.
Le club congolais a écarté l’Internacional Porto Alegre du Brésil (2-0) mardi. Hier au cours d’une cérémonie au ministère, le ministre s’est laissé aller à cet exploit, le tout premier d’une équipe africaine en coupe du monde des clubs. « Je salue la performance de Tp Mazembé, a dit Michel Zoah, les yeux luisant d’admiration et d’envie. Lorsqu’on voit cela, on se dit pourquoi pas une équipe camerounaise ? Un tel succès arrive a un club bien structuré et qui a des moyens. » Et comme à son habitude depuis un certain temps, Michel Zoah en profite pour redire quelques mots sur les Lions Indomptables l’irréversible renouvellement de l’effectif.
L’exploit du TPM est historique. Les Corbeaux savouraient leur réussite au Qatar. A commencer par leur gardien Robert Kidiaba, auteur de plusieurs parades déterminantes en première période du match, alors que le score était encore nul et vierge. Et dire que l'international congolais avait décidé de raccrocher les gants l’an passé à pareille époque, après son expulsion face à Auckland City. Mais le grand Robert a finalement rempilé pour le plus grand bonheur du Tout Puissant, et du public, qui a pu admirer sa célébration spectaculaire des buts de son équipe.
« Je voulais effacer ce mauvais souvenir et aider mon équipe plutôt que la pénaliser. Mais il ne faut pas retenir les performances d’un joueur. C’est une équipe soudée et bien préparée qui a réalisé cet exploit. Nous sommes fiers de porter haut les couleurs de l’Afrique », a déclaré Kidiaba àFIFA.com après la rencontre. « On imagine que tout le peuple congolais, et j’espère africain, est derrière nous, comme tout le continent a soutenu le Ghana en Afrique du Sud. L’Afrique devait vivre une grande année 2010, mais la Coupe du monde a été un peu décevante pour les équipes africaines. Mais le Ghana nous a montré la voie. Nous sommes désormais en finale et la Coupe nous tend les bras. On espère avoir le bras assez long pour l’attraper », a conclu le portier.
Sans sombrer dans le triomphalisme, son entraîneur, Lamine Ndiaye, ne disait pas autre chose. Arrivé en septembre dernier pour remplacer Diego Garzitto, le technicien sénégalais a transformé un club poussif en phase de poules de la C1 en machine de guerre. « C'est quelque chose de spécial pour nous. Nous sommes ici pour représenter l'Afrique. Par conséquent, je suis sûr que toute l'Afrique sera fière de notre travail. Nous avons cru en nos chances. En remportant cette demi-finale, nous avons démontré que nos joueurs avaient un niveau très élevé. C'est une victoire formidable. C'est magnifique pour les joueurs, pour le peuple congolais et pour l'Afrique. Tout le continent peut être fier de cette équipe », a déclaré l’ancien sélectionneur des Lions de la Teranga après la rencontre.
Tp Mazembé affrontera samedi en finale, l’Inter Milan de Samuel Eto’o.
J-B. T. (source foot367)
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Narcisse Ekanga : « Tp Mazembé est dans la cour des grands »
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Il n’y a pas jusqu’au ministre camerounais des Sports qui n’a été impressionné par la qualification inédite du Tout Puissant Mazembé de Lubumbashi pour la finale de la Coupe du Monde des clubs qui se déroule en ce moment au Qatar.
Le club congolais a écarté l’Internacional Porto Alegre du Brésil (2-0) mardi. Hier au cours d’une cérémonie au ministère, le ministre s’est laissé aller à cet exploit, le tout premier d’une équipe africaine en coupe du monde des clubs. « Je salue la performance de Tp Mazembé, a dit Michel Zoah, les yeux luisant d’admiration et d’envie. Lorsqu’on voit cela, on se dit pourquoi pas une équipe camerounaise ? Un tel succès arrive a un club bien structuré et qui a des moyens. » Et comme à son habitude depuis un certain temps, Michel Zoah en profite pour redire quelques mots sur les Lions Indomptables l’irréversible renouvellement de l’effectif.
L’exploit du TPM est historique. Les Corbeaux savouraient leur réussite au Qatar. A commencer par leur gardien Robert Kidiaba, auteur de plusieurs parades déterminantes en première période du match, alors que le score était encore nul et vierge. Et dire que l'international congolais avait décidé de raccrocher les gants l’an passé à pareille époque, après son expulsion face à Auckland City. Mais le grand Robert a finalement rempilé pour le plus grand bonheur du Tout Puissant, et du public, qui a pu admirer sa célébration spectaculaire des buts de son équipe.
« Je voulais effacer ce mauvais souvenir et aider mon équipe plutôt que la pénaliser. Mais il ne faut pas retenir les performances d’un joueur. C’est une équipe soudée et bien préparée qui a réalisé cet exploit. Nous sommes fiers de porter haut les couleurs de l’Afrique », a déclaré Kidiaba àFIFA.com après la rencontre. « On imagine que tout le peuple congolais, et j’espère africain, est derrière nous, comme tout le continent a soutenu le Ghana en Afrique du Sud. L’Afrique devait vivre une grande année 2010, mais la Coupe du monde a été un peu décevante pour les équipes africaines. Mais le Ghana nous a montré la voie. Nous sommes désormais en finale et la Coupe nous tend les bras. On espère avoir le bras assez long pour l’attraper », a conclu le portier.
Sans sombrer dans le triomphalisme, son entraîneur, Lamine Ndiaye, ne disait pas autre chose. Arrivé en septembre dernier pour remplacer Diego Garzitto, le technicien sénégalais a transformé un club poussif en phase de poules de la C1 en machine de guerre. « C'est quelque chose de spécial pour nous. Nous sommes ici pour représenter l'Afrique. Par conséquent, je suis sûr que toute l'Afrique sera fière de notre travail. Nous avons cru en nos chances. En remportant cette demi-finale, nous avons démontré que nos joueurs avaient un niveau très élevé. C'est une victoire formidable. C'est magnifique pour les joueurs, pour le peuple congolais et pour l'Afrique. Tout le continent peut être fier de cette équipe », a déclaré l’ancien sélectionneur des Lions de la Teranga après la rencontre.
Tp Mazembé affrontera samedi en finale, l’Inter Milan de Samuel Eto’o.
J-B. T. (source foot367)
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Re: F.C. Internazionale-Tout Puissant Mazembe : Avant match
Narcisse EKANGA interrogé par un journal camerounais...Alors, EKANGA enfin avec les Lions indomptables du Cameroun après cet exploit du TP Mazembe? Ce ne serait que mérité pour un gars qui a su tenir le coup et s'expatrier dans un pays d'Afrique noire pour vendre ses talents...
Coupe du monde des clubs : Tp Mazembe, si près du but - Narcisse Ekanga : « Tp Mazembé est dans la cour des grands » Jeudi, 16
Décembre 2010 08:33 J-B. T. (source foot367)
Narcisse Ekanga : « Tp Mazembé est dans la cour des grands »
Entretien avec le Camerounais du Tpm, qualifié pour la finale de la Coupe du Monde des clubs.
Vous venez de vous qualifier pour la finale de la Coupe du Monde des clubs avec le Tp Mazembé. C’est inédit pour une équipe africaine…
Tout à fait. Je ne peux qu’apprécier ce succès. Ça n’a pas été facile. La coupe du monde des clubs regroupe les champions de tous les continents. Donc, le niveau est tout à fait relevé. C’est du très haut niveau. Tout puissant Maembé est désormais dans la cour des grands. Je savoure cette réussite et j’en profite pour remercier tous ceux qui me soutiennent de près ou de loin, particulièrement ma famille.
Vous êtes aussi double champion d’Afrique en titre. Cela va-t-il changer quelque chose pour vous ?
Oui absolument. Ce n’est pas donné à tout le monde de remporter deux fois de suite le trophée de la Ligue des champions d’Afrique. Mais, je garde les pieds sur terre. Je considère simplement que j’ai franchi un pallié et que le plus dur est à venir. Il y a encore beaucoup de boulot.
Les Lions Indomptables du Cameroun sont en pleine reconstruction. Pensez-vous que vous pouvez y apporter quelque chose?
En ce qui concerne les Lions Indomptables du Cameroun je crois que pour l'instant ce n'est pas à moi de dire si je peux apporter quoi que ce soit. Il y a des gens dont le rôle est de le faire. Je crois que jusqu'ici ils le font bien, sinon ils ne seraient plus là. Donc, pour ma part, chacun doit rester à sa place et le reste suivra. Même si parfois il faut bousculer pour que les choses avancent.
Propos recueillis via Internet par
J-B. T.
Coupe du monde des clubs : Tp Mazembe, si près du but - Narcisse Ekanga : « Tp Mazembé est dans la cour des grands » Jeudi, 16
Décembre 2010 08:33 J-B. T. (source foot367)
Narcisse Ekanga : « Tp Mazembé est dans la cour des grands »
Entretien avec le Camerounais du Tpm, qualifié pour la finale de la Coupe du Monde des clubs.
Vous venez de vous qualifier pour la finale de la Coupe du Monde des clubs avec le Tp Mazembé. C’est inédit pour une équipe africaine…
Tout à fait. Je ne peux qu’apprécier ce succès. Ça n’a pas été facile. La coupe du monde des clubs regroupe les champions de tous les continents. Donc, le niveau est tout à fait relevé. C’est du très haut niveau. Tout puissant Maembé est désormais dans la cour des grands. Je savoure cette réussite et j’en profite pour remercier tous ceux qui me soutiennent de près ou de loin, particulièrement ma famille.
Vous êtes aussi double champion d’Afrique en titre. Cela va-t-il changer quelque chose pour vous ?
Oui absolument. Ce n’est pas donné à tout le monde de remporter deux fois de suite le trophée de la Ligue des champions d’Afrique. Mais, je garde les pieds sur terre. Je considère simplement que j’ai franchi un pallié et que le plus dur est à venir. Il y a encore beaucoup de boulot.
Les Lions Indomptables du Cameroun sont en pleine reconstruction. Pensez-vous que vous pouvez y apporter quelque chose?
En ce qui concerne les Lions Indomptables du Cameroun je crois que pour l'instant ce n'est pas à moi de dire si je peux apporter quoi que ce soit. Il y a des gens dont le rôle est de le faire. Je crois que jusqu'ici ils le font bien, sinon ils ne seraient plus là. Donc, pour ma part, chacun doit rester à sa place et le reste suivra. Même si parfois il faut bousculer pour que les choses avancent.
Propos recueillis via Internet par
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Re: F.C. Internazionale-Tout Puissant Mazembe : Avant match
Encore EKANGA interrogé par un journal camerounais...Il gagne en visibilité...
Narcisse Ekanga: «Nous avons réussi une grande première pour l’Afrique»
Par Etienne Fréjus Tchana - 16/12/2010
Le camerounais du T P Mazembé qui s’apprête à disputer la finale du Mondial des clubs affiche ses ambitions. Entretien.
Quelles sont les clés du succès du T P Mazembé au Mondial des clubs?
Les clés du succès sont: Le travail, le respect des consignes du coach et surtout la discipline. L’an passé nous avons échoué dans cette même compétition à cause de notre inexpérience. Cette année, avec quelques renforts et en plus du métier, nous sommes plus appliqués tactiquement. Face à Pachuca, les mexicains ont fait un bon début de match, nous avons su tenir bon et sortir la tête de l'eau au bon moment, pour remporter la partie (1-0). Contre les brésiliens de l'International, ils se sont créés plusieurs grosses occasions, sans trouver la faille, grâce surtout à notre portier. Le fait d’être aller à la mi-temps sans prendre de but nous a beaucoup motivé. En jouant avec plus d'audace en deuxième mi-temps, nous avons inscrit deux buts.
Comment allez-vous aborder la finale?
Nous allons préparer très sereinement ce match pour jouer sans pression, dans l’optique de gagner, ce qui sera une grande première pour l’Afrique. En deux matches, nous n’avons pas pris de but ce qui est un grand signe. Pour l'instant, place d'abord aux entrainements. Nous sommes en train de réussir quelque chose de très fort et je suis content d`y contribuer.
© Journalducameroun.com
Narcisse Ekanga lors du match contre les mexicains de Pachuca
Comment êtes-vous arrivé dans le championnat congolais?
Mon parcours au Cameroun est assez long puisque j'ai joué dans de nombreux clubs dont les plus connus sont: Dynamo de Douala, en 2002/2003 et Les Astres de Douala, (2004-2007). Je suis arrivé dans le TP Mazembe à la faveur d’un match de coupe de la CAF en 2007 face aux Astres. Grâce à mes prestations, j'avais été contacté par les dirigeants du TP Mazembe par l'entremise du Pr Joseph Guekam que je salue au passage. Pour l’instant, je suis bien au Congo même si j’attends des lendemains encore meilleurs.
Quelles différences fondamentales y a-t-il entre le championnat du Cameroun et celui de la RDC?
Je ne crois pas qu'il y a une grosse différence de niveau, excepté le fait qu’en RDC le football est comme une religion. Tout le monde se sent concerné, les entreprises et les mécènes mettent suffisant d’argent dans le football. Certes, tous les clubs ne sont pas riches mais la majorité a de quoi payer convenablement les joueurs. Pour que nos clubs retrouvent les sommets du football africain, il faut mettre les moyens et pas seulement la Fécafoot. Il faudrait aussi que les mécènes et les sponsors entre en jeu. Un accent doit être mis sur la formation et les infrastructures. Hors-mis le stade de la Kenga, le FC Lupopo et TP Mazembé, les deux grands clubs de Lubumbashi ont chacun un stade et des terrains d’entraînements. Mieux, il faut être aussi patient car le succès n’arrive pas du jour au lendemain. Il a fallu par exemple plus de 10 ans au TP Mazembe pour atteindre ce niveau et ceci parce qu’on a gardé la même ossature pendant quatre ans.
Est-ce que, quand on est deux fois champion d’Afrique et finaliste de la Coupe du monde des clubs, on a encore des rêves?
Je suis loin d’avoir accompli tous mes rêves. Je n’ai pas encore été international camerounais chez les A (rire). Je suis au service de mon club et disposé à répondre à une quelconque convocation chez les Lions. Mon ambition, c’est de remporter ce Mondial des clubs et, à titre personnel, j’envisage d’embrasser une carrière professionnelle.
Narcisse Ekanga: «Nous avons réussi une grande première pour l’Afrique»
Par Etienne Fréjus Tchana - 16/12/2010
Le camerounais du T P Mazembé qui s’apprête à disputer la finale du Mondial des clubs affiche ses ambitions. Entretien.
Quelles sont les clés du succès du T P Mazembé au Mondial des clubs?
Les clés du succès sont: Le travail, le respect des consignes du coach et surtout la discipline. L’an passé nous avons échoué dans cette même compétition à cause de notre inexpérience. Cette année, avec quelques renforts et en plus du métier, nous sommes plus appliqués tactiquement. Face à Pachuca, les mexicains ont fait un bon début de match, nous avons su tenir bon et sortir la tête de l'eau au bon moment, pour remporter la partie (1-0). Contre les brésiliens de l'International, ils se sont créés plusieurs grosses occasions, sans trouver la faille, grâce surtout à notre portier. Le fait d’être aller à la mi-temps sans prendre de but nous a beaucoup motivé. En jouant avec plus d'audace en deuxième mi-temps, nous avons inscrit deux buts.
Comment allez-vous aborder la finale?
Nous allons préparer très sereinement ce match pour jouer sans pression, dans l’optique de gagner, ce qui sera une grande première pour l’Afrique. En deux matches, nous n’avons pas pris de but ce qui est un grand signe. Pour l'instant, place d'abord aux entrainements. Nous sommes en train de réussir quelque chose de très fort et je suis content d`y contribuer.
© Journalducameroun.com
Narcisse Ekanga lors du match contre les mexicains de Pachuca
Comment êtes-vous arrivé dans le championnat congolais?
Mon parcours au Cameroun est assez long puisque j'ai joué dans de nombreux clubs dont les plus connus sont: Dynamo de Douala, en 2002/2003 et Les Astres de Douala, (2004-2007). Je suis arrivé dans le TP Mazembe à la faveur d’un match de coupe de la CAF en 2007 face aux Astres. Grâce à mes prestations, j'avais été contacté par les dirigeants du TP Mazembe par l'entremise du Pr Joseph Guekam que je salue au passage. Pour l’instant, je suis bien au Congo même si j’attends des lendemains encore meilleurs.
Quelles différences fondamentales y a-t-il entre le championnat du Cameroun et celui de la RDC?
Je ne crois pas qu'il y a une grosse différence de niveau, excepté le fait qu’en RDC le football est comme une religion. Tout le monde se sent concerné, les entreprises et les mécènes mettent suffisant d’argent dans le football. Certes, tous les clubs ne sont pas riches mais la majorité a de quoi payer convenablement les joueurs. Pour que nos clubs retrouvent les sommets du football africain, il faut mettre les moyens et pas seulement la Fécafoot. Il faudrait aussi que les mécènes et les sponsors entre en jeu. Un accent doit être mis sur la formation et les infrastructures. Hors-mis le stade de la Kenga, le FC Lupopo et TP Mazembé, les deux grands clubs de Lubumbashi ont chacun un stade et des terrains d’entraînements. Mieux, il faut être aussi patient car le succès n’arrive pas du jour au lendemain. Il a fallu par exemple plus de 10 ans au TP Mazembe pour atteindre ce niveau et ceci parce qu’on a gardé la même ossature pendant quatre ans.
Est-ce que, quand on est deux fois champion d’Afrique et finaliste de la Coupe du monde des clubs, on a encore des rêves?
Je suis loin d’avoir accompli tous mes rêves. Je n’ai pas encore été international camerounais chez les A (rire). Je suis au service de mon club et disposé à répondre à une quelconque convocation chez les Lions. Mon ambition, c’est de remporter ce Mondial des clubs et, à titre personnel, j’envisage d’embrasser une carrière professionnelle.
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Re: F.C. Internazionale-Tout Puissant Mazembe : Avant match
http://www.bbc.co.uk/blogs/piersedwards ... _bert.html
Crowning moment for African club football
Post categories: Football
Piers Edwards | 10:06 UK time, Thursday, 16 December 2010
TP Mazembe's place in Saturday's final of the 2010 Fifa Club World Cup is not just a huge success for African football but also a personal triumph for the club's philanthropic chairman Moise Katumbi.
His hard work and huge financial investment has now been rewarded by a dream match-up against European champions Inter Milan, replete with one of Africa's finest sons, Samuel Eto'o.
"Beating [Brazilians] Internacional [2-0 in Tuesday's semi-final] has made me forget all the effort I've ever invested into the team," Katumbi laughed after his club sealed their spot in the final.
For when the businessman and governor of mineral-rich Katanga province took charge of Mazembe in the mid-1990s, the Democratic Republic of Congo's most popular club was struggling.
They had won only two league championships in a quarter of a century, meaning their African club titles of 1967 and 1968 had become indelible reminders of just how far the Lubumbashi club had fallen.
Now though, Mazembe will become the first team from outside Europe or South America to contest the Club World Cup final, with the defeat of Internacional all the more remarkable given how seriously South American sides take the tournament.
Katumbi has invested so much in Mazembe's success
"My vision when I joined this club was to make Mazembe one of Africa's strongest teams and that's why I've worked so hard to make it happen," Katumbi, 46, has previously told the BBC. "I grew up in a big business family in the province, so learned the challenge of making something work early on."
Although he has said his vision still will not be realised even if Mazembe defeat Inter, Katumbi has already put the club - thanks to a triumph that spelt humiliation for their Brazilian foes and fans - on the map.
Like many a sleeping giant, the story of Mazembe's return to the top, and then beyond, is one of an incredibly wealthy childhood fan who is happy to plough his millions into the club.
Earlier this year, Katumbi and his board announced a budget of US$10m for the team - a massive sum for an African club even when taking into account the chairman's untold riches.
"People can call me mad but if they do, they are going to have to call plenty of people mad," he explained. "Those who love cars spend millions of dollars on them, those who love women spend millions on them and holidays, while others are dazzled by gold, diamonds, etc.
"Football is my hobby so I try to budget all the money I make so I can put it into Mazembe - you have to love the game because you can't do this if you don't. I've even got my little boy, who is 17 months old, singing Mazembe songs."
The chairman's largesse does not just extend to the team but its fans as well and if you have seen Mazembe in Abu Dhabi, you cannot have failed to notice or hear their colourful band of 150-odd trumpet-wielding fans - whose entire stay (flights, visas, hotel etc.) is funded by Katumbi.
And under his control, Mazembe have flourished, winning five league titles in the last decade as well as the last two editions of the African Champions League.
He is a man who leaves few things to chance. Even after winning the opening leg of this year's final against Tunisia's Esperance by a whopping five-goal margin, Katumbi still took the team on an extended camp to Europe to focus while also stressing the need for his players to avoid complacency.
Behind this lay an intense desire to make amends at the Club World Cup following their ignominious debut in 2009, when the 'Crows' felt they had let Africa down by losing to both South Koreans Pohang Steelers and then New Zealand's Auckland City.
Then, there had been expectations that many players, especially talented captain Tresor Mputu Mabi, would be leaving the club earlier in 2010 but the floodgates have yet to open. Will they now after this year's impressive displays?
Kidiaba has made a name for himself with his extraordinary bottom-bouncing celebrations
Mazembe, who have a youth academy preparing for such an eventuality, still had to defend their African crown without their star player anyway - after Mputu earned a one-year ban, along with team-mate Guy Lisadisu, after the duo fiercely abused a referee during a tournament in Rwanda in May.
The 'Crows' also had to achieve success without their coach from last year after Argentine Diego Garzitto surprisingly left the club in September, meaning former Senegal coach Lamine Ndiaye came in and he has been credited with emphasising the need for hard work and total concentration.
The sub-Saharans, who feel the weight of African support behind them, have learnt from last year's Club World Cup experience and their own mistakes, which included sending the players on leave until only five days before their opening match.
And now they are ensuring that Africa is finishing 2010 on a high after the continent's theoretically-stellar year was dimmed by the attack on the Togolese bus at the Nations Cup and then the poor African performances - Ghana aside - at the World Cup in South Africa.
Against Inter, it will be fascinating to see how dangerman Alain Dioko Kaluyituka, who stretched the Brazilian defence with his speed when given the chance, and goalkeeper Muteba Kidiaba, who was in inspired form against Internacional (thankfully so given Mazembe's often-porous defence), fare.
Kidiaba is famed for his smile-inducing bottom-bouncing celebrations, and one wonders how he might react on Saturday should the African club be crowned the world's best - and whether he might just find Katumbi shuffling alongside him.
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Crowning moment for African club football
Post categories: Football
Piers Edwards | 10:06 UK time, Thursday, 16 December 2010
TP Mazembe's place in Saturday's final of the 2010 Fifa Club World Cup is not just a huge success for African football but also a personal triumph for the club's philanthropic chairman Moise Katumbi.
His hard work and huge financial investment has now been rewarded by a dream match-up against European champions Inter Milan, replete with one of Africa's finest sons, Samuel Eto'o.
"Beating [Brazilians] Internacional [2-0 in Tuesday's semi-final] has made me forget all the effort I've ever invested into the team," Katumbi laughed after his club sealed their spot in the final.
For when the businessman and governor of mineral-rich Katanga province took charge of Mazembe in the mid-1990s, the Democratic Republic of Congo's most popular club was struggling.
They had won only two league championships in a quarter of a century, meaning their African club titles of 1967 and 1968 had become indelible reminders of just how far the Lubumbashi club had fallen.
Now though, Mazembe will become the first team from outside Europe or South America to contest the Club World Cup final, with the defeat of Internacional all the more remarkable given how seriously South American sides take the tournament.
Katumbi has invested so much in Mazembe's success
"My vision when I joined this club was to make Mazembe one of Africa's strongest teams and that's why I've worked so hard to make it happen," Katumbi, 46, has previously told the BBC. "I grew up in a big business family in the province, so learned the challenge of making something work early on."
Although he has said his vision still will not be realised even if Mazembe defeat Inter, Katumbi has already put the club - thanks to a triumph that spelt humiliation for their Brazilian foes and fans - on the map.
Like many a sleeping giant, the story of Mazembe's return to the top, and then beyond, is one of an incredibly wealthy childhood fan who is happy to plough his millions into the club.
Earlier this year, Katumbi and his board announced a budget of US$10m for the team - a massive sum for an African club even when taking into account the chairman's untold riches.
"People can call me mad but if they do, they are going to have to call plenty of people mad," he explained. "Those who love cars spend millions of dollars on them, those who love women spend millions on them and holidays, while others are dazzled by gold, diamonds, etc.
"Football is my hobby so I try to budget all the money I make so I can put it into Mazembe - you have to love the game because you can't do this if you don't. I've even got my little boy, who is 17 months old, singing Mazembe songs."
The chairman's largesse does not just extend to the team but its fans as well and if you have seen Mazembe in Abu Dhabi, you cannot have failed to notice or hear their colourful band of 150-odd trumpet-wielding fans - whose entire stay (flights, visas, hotel etc.) is funded by Katumbi.
And under his control, Mazembe have flourished, winning five league titles in the last decade as well as the last two editions of the African Champions League.
He is a man who leaves few things to chance. Even after winning the opening leg of this year's final against Tunisia's Esperance by a whopping five-goal margin, Katumbi still took the team on an extended camp to Europe to focus while also stressing the need for his players to avoid complacency.
Behind this lay an intense desire to make amends at the Club World Cup following their ignominious debut in 2009, when the 'Crows' felt they had let Africa down by losing to both South Koreans Pohang Steelers and then New Zealand's Auckland City.
Then, there had been expectations that many players, especially talented captain Tresor Mputu Mabi, would be leaving the club earlier in 2010 but the floodgates have yet to open. Will they now after this year's impressive displays?
Kidiaba has made a name for himself with his extraordinary bottom-bouncing celebrations
Mazembe, who have a youth academy preparing for such an eventuality, still had to defend their African crown without their star player anyway - after Mputu earned a one-year ban, along with team-mate Guy Lisadisu, after the duo fiercely abused a referee during a tournament in Rwanda in May.
The 'Crows' also had to achieve success without their coach from last year after Argentine Diego Garzitto surprisingly left the club in September, meaning former Senegal coach Lamine Ndiaye came in and he has been credited with emphasising the need for hard work and total concentration.
The sub-Saharans, who feel the weight of African support behind them, have learnt from last year's Club World Cup experience and their own mistakes, which included sending the players on leave until only five days before their opening match.
And now they are ensuring that Africa is finishing 2010 on a high after the continent's theoretically-stellar year was dimmed by the attack on the Togolese bus at the Nations Cup and then the poor African performances - Ghana aside - at the World Cup in South Africa.
Against Inter, it will be fascinating to see how dangerman Alain Dioko Kaluyituka, who stretched the Brazilian defence with his speed when given the chance, and goalkeeper Muteba Kidiaba, who was in inspired form against Internacional (thankfully so given Mazembe's often-porous defence), fare.
Kidiaba is famed for his smile-inducing bottom-bouncing celebrations, and one wonders how he might react on Saturday should the African club be crowned the world's best - and whether he might just find Katumbi shuffling alongside him.
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- Joshua Bellini
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Re: F.C. Internazionale-Tout Puissant Mazembe : Avant match
LA GRANDE DIFFERENCE DANS LE FOOTBALL, VOILÀ L'IMPORTANCE DES ECOLES DE FOOTBALL!!!Tartampion a écrit :"Muntari pour l'Afrique et Inter"
Aujourd'hui, au terme de l'entraînement au Ground Pitch Army, Sulley Muntari a répondu aux questions des journalistes présents, inévitablement concentrées sur la formation que l'Inter affrontera en finale, les africains de Mazembe.
Internazionale.fr vous livre les déclarations du milieu Nerazzurro.
"Nous les avons vu jouer, tous ensemble, et c'est un match difficile qui nous attend, mais nous pensons à nous, à notre jeu. Ils ont tout, leur football a changé : ce n'est pas parce que nous sommes une équipe qui joue dans un championnat européen que nous sommes meilleurs. Il ne faut pas avoir peur, mais il faut les respecter et être humble. Ils jouent tête baissée, ils courent toujours et il faut les affronter avec patience."
Muntari est fier de faire partie de ce peuple dans lequel le football devient moteur et qui a l'occasion de s'améliorer toujours plus.
"Pour moi, c'est motif de satisfaction d'être africain. Ce sport évolue beaucoup en Afrique, mais je dois penser à l'Inter et à gagner pour le président Moratti et pour nos supporters. Nous nous devons de jouer de la même façon contre n'importe qui."
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Re: F.C. Internazionale-Tout Puissant Mazembe : Avant match
The Cup is within touching distance, says Mazembe keeper
Mahmoud Mohammed, Thursday 16 Dec 2010
TP Mazembe keeper says his side is a serious contender for the FIFA Club World Cup title after stunning everyone on their way to the final
Kidiaba of Congo's TP Mazembe celebrates after their Club World Cup semi-final match against Brazil's InternacionalTP Mazembe keeper Muteba Kidiaba believes his side is a serious contender for the FIFA Club World Cup title after stunning everyone on their way to the final.
“This was always going to be a great year for African football, but it must be said that overall the World Cup was a little disappointing for our confederation’s teams,” the Congolese shot-stopper told FIFA website.
“But Ghana showed us the way. We’re now in the final and the cup is within touching distance. We’re confident we can put in a performance that will enable us to lay our hands on it.”
TP Mazembe made history when they beat Brazilian giants Internacional to become the first African team to play in final of the 10-year-old competition.
“We’re so proud to be flying the flag for Africa. We’d like to think that the Congolese nation, as well as people all across the continent, is behind us, just as they were for Ghana in the World Cup in South Africa,” he added.
Kidiabe had a major part in the achievement as he put on some heroic displays to keep his sheet clean in the semi-final showdown.
If TP Mazembe were to emerge victorious on Saturday, it would be no surprise to see Kidiaba’s gloved hands among the first to clutch the trophy.
The 34-year-old keeper had also revealed that the key to the team's unprecedented success was the guidance of Senegalese tactician Lamine N’Diaye.
“During our pre-match preparations, he placed a special emphasis on two things.
“Hard work, because without that, talent is useless, and total concentration, because, without that hard work is pointless. Our other strength is team spirit. It’s as if we’re ready to die for each other out on the pitch.”
TP Mazembe will take on Italian and European Champions Inter Milan on Saturday.
Inter and Cameroon ace Samuel Eto’o had predicted that the two teams would indeed meet in the final, explaining that he wished to face the African giants on the field.
Source : journal egytien Ahram online
Mahmoud Mohammed, Thursday 16 Dec 2010
TP Mazembe keeper says his side is a serious contender for the FIFA Club World Cup title after stunning everyone on their way to the final
Kidiaba of Congo's TP Mazembe celebrates after their Club World Cup semi-final match against Brazil's InternacionalTP Mazembe keeper Muteba Kidiaba believes his side is a serious contender for the FIFA Club World Cup title after stunning everyone on their way to the final.
“This was always going to be a great year for African football, but it must be said that overall the World Cup was a little disappointing for our confederation’s teams,” the Congolese shot-stopper told FIFA website.
“But Ghana showed us the way. We’re now in the final and the cup is within touching distance. We’re confident we can put in a performance that will enable us to lay our hands on it.”
TP Mazembe made history when they beat Brazilian giants Internacional to become the first African team to play in final of the 10-year-old competition.
“We’re so proud to be flying the flag for Africa. We’d like to think that the Congolese nation, as well as people all across the continent, is behind us, just as they were for Ghana in the World Cup in South Africa,” he added.
Kidiabe had a major part in the achievement as he put on some heroic displays to keep his sheet clean in the semi-final showdown.
If TP Mazembe were to emerge victorious on Saturday, it would be no surprise to see Kidiaba’s gloved hands among the first to clutch the trophy.
The 34-year-old keeper had also revealed that the key to the team's unprecedented success was the guidance of Senegalese tactician Lamine N’Diaye.
“During our pre-match preparations, he placed a special emphasis on two things.
“Hard work, because without that, talent is useless, and total concentration, because, without that hard work is pointless. Our other strength is team spirit. It’s as if we’re ready to die for each other out on the pitch.”
TP Mazembe will take on Italian and European Champions Inter Milan on Saturday.
Inter and Cameroon ace Samuel Eto’o had predicted that the two teams would indeed meet in the final, explaining that he wished to face the African giants on the field.
Source : journal egytien Ahram online
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