Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposition
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lola ghislain
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Quant est ce que toko zongela fierté ya kozala KONGOLAIS (ZAIROIS) comme c fût le cas dans les années 60 jusqu'au début 90?
Tokoma la risée du monde
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Ilunga
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
http://afrique.kongotimes.info/rdc/rdc_ ... uvoir.html
RDC : « Joseph KABILA » tente désespérément de s’accrocher au pouvoir
05/12/2011 14:54:00KongoTimes!
Joseph KABILA - l’imposteur tutsi rwandais au pouvoir à Kinshasa
Les tripatouillages commis actuellement par la Ceni sur les résultats du vote exprimé lors de l’élection présidentielle du 28 novembre semblent confirmer que le président sortant et ses affidés ont pris conscience du rejet.
«On ne peut gouverner un Etat sans avoir l’opinion avec soi». Napoléon serait l’auteur de cette pensée. Une pensée qui n’a pas pris la moindre ride près de deux cent ans après. Les sondages d’opinion réalisés périodiquement dans les démocraties occidentales témoignent sans conteste que cette idée a été transmise de génération à génération. Les politiciens occidentaux sont plus que jamais soucieux de prendre, de temps en temps, la «température sociale». Histoire de voir si les affaires de la Cité sont gérées au mieux des profondes aspirations de la population. Ici la «légitimité populaire» issue des urnes n’est pas considérée comme un acquis. Mais bien, une conquête de chaque jour. Un mandataire public - un vrai - est en définitive en «campagne électorale» permanente pour rester "en phase" avec ses électeurs.
Schématiquement, gouverner n’est rien d’autre que la recherche au quotidien des solutions aux problèmes touchant à la vie collective. Objectif : mettre en place un cadre de vie où il fait bon vivre pour chacun et pour tous. Un homme politique ressemble un peu à ce médecin appelé à ausculter le patient avant de prescrire la thérapie adaptée à la maladie.
Le 6 décembre 2006, «Joseph Kabila» est investi président de la République à l’issue d’une élection présidentielle chahutée. «Je vous annonce la fin de la recréation», déclarait le "président élu" avec une certaine grandiloquence. Nombreux sont les Congolais qui avaient applaudi. Ils croyaient que le nouveau chef de l’Etat était porteur d’espérance; porteur d’un "nouveau rêve" à proposer. Cinq années après, la désillusion est totale. Au lieu de mettre sa «victoire» au service du progrès économique et social, le successeur de Mzee a réussi le tour de force de restaurer le système dictatorial vomi par les Zaïrois d’alors au début des années 90.
Au cours de ces cinq dernières années, «Kabila» a privilégié les «infrastructures» pendant que le Congolais moyen, lui, éprouvait toutes les peines du monde à satisfaire ses besoins vitaux : la sécurité des personnes et des biens, l’approvisionnement en eau et électricité, l’assainissement du cadre de vie notamment par la collecte et le traitement des ordures ménagères, l’emploi, une justice indépendante, des soins de santé et un enseignement de qualité. Sans omettre les transports publics. La liste n’est pas exhaustive. La frustration est à la hauteur des besoins inassouvis.
N’en déplaise aux zélateurs du "kabilisme", l’élection présidentielle du 28 novembre 2011 a mis à nu l’impopularité croissante du président sortant «Joseph Kabila». A l’intérieur du pays comme à l’étranger, les «kabilistes» rasent les murs. Ils se font discrets. Et pour cause ? Leur «champion» n’a pas été proche des gens. Il a dirigé le Congo-Kinshasa au cours de ces onze dernières années sans prendre la peine d’aller à la rencontre de ses "concitoyens". «Joseph» n’a pas osé descendre de son piédestal pour parler avec la population et écouter leurs sentiments sur l’état de la collectivité.
Au cours ses onze années passées à la tête du pays, le "raïs" s’est intéressé aux aspects frivoles de l’imperium tout en renforçant un pouvoir personnel au détriment du Parlement et du pouvoir judiciaire, transformés en coquilles vides. Ce pouvoir fort a été usé et abusé tel un rouleau compresseur. Des droits et les libertés ont été littéralement laminés par la multitude des services dits de sécurité. Des vies humaines ont été broyées. Le 26 novembre dernier, tel un chant de cygne, 14 citoyens ont été abattus comme des vulgaires lapins par des éléments de la garde présidentielle, les fameux «Bana Moura» qui relèvent d’un seul homme : «Joseph Kabila». Des juristes prépareraient une suite judiciaire à ce massacre qui a fait près de cent blessés.
Le retour d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba dans le jeu politique congolais a redonné un brin d’espérance à un peuple qui attend depuis deux décennies l’avènement d’un «Congo nouveau». Un Congo nouveau rassemblé à l’intérieur et jouissant de toute sa respectabilité à l’extérieur. Un Congo nouveau dirigé par des gouvernants pétris des valeurs de justice et de paix pour inciter les différents peuples du pays à réapprendre à «vivre ensemble» dans la tolérance et le respect mutuel. Demain, l’esprit revanchard, comme ce fut le cas lors de l’entrée des troupes de l’AFDL le 17 mai 1997, ne sera toléré. En lieu et place d’instaurer l’Etat de droit et la démocratie, les "libérateurs" du 17 mai se sont illustrés par des exécutions extrajudiciaires et des spoliations. Le système mis en place par "Joseph Kabila" n’a été que le prolongement des moeurs de l’Etat-AFDL.
Les tripatouillages commis actuellement par la Ceni (Commission électorale nationale indépendante) sur les résultats du vote exprimé lors de l’élection présidentielle du 28 novembre semblent confirmer que le président sortant et ses affidés ont pris conscience du rejet. Le "sortant" a compris qu’un fossé de méfiance le sépare désormais du reste de la population. A-t-il compris qu’il a perdu l’opinion congolaise? La réponse est : non! Il tente désespérément de s’accrocher au pouvoir par la force des armes. Et pourtant, rien ne sera plus comme avant après le 28 novembre 2011…
Peut-on franchement diriger un Etat sans avoir l’opinion avec soi?
Baudouin Amba Wetshi
RDC : « Joseph KABILA » tente désespérément de s’accrocher au pouvoir
05/12/2011 14:54:00KongoTimes!
Joseph KABILA - l’imposteur tutsi rwandais au pouvoir à Kinshasa
Les tripatouillages commis actuellement par la Ceni sur les résultats du vote exprimé lors de l’élection présidentielle du 28 novembre semblent confirmer que le président sortant et ses affidés ont pris conscience du rejet.
«On ne peut gouverner un Etat sans avoir l’opinion avec soi». Napoléon serait l’auteur de cette pensée. Une pensée qui n’a pas pris la moindre ride près de deux cent ans après. Les sondages d’opinion réalisés périodiquement dans les démocraties occidentales témoignent sans conteste que cette idée a été transmise de génération à génération. Les politiciens occidentaux sont plus que jamais soucieux de prendre, de temps en temps, la «température sociale». Histoire de voir si les affaires de la Cité sont gérées au mieux des profondes aspirations de la population. Ici la «légitimité populaire» issue des urnes n’est pas considérée comme un acquis. Mais bien, une conquête de chaque jour. Un mandataire public - un vrai - est en définitive en «campagne électorale» permanente pour rester "en phase" avec ses électeurs.
Schématiquement, gouverner n’est rien d’autre que la recherche au quotidien des solutions aux problèmes touchant à la vie collective. Objectif : mettre en place un cadre de vie où il fait bon vivre pour chacun et pour tous. Un homme politique ressemble un peu à ce médecin appelé à ausculter le patient avant de prescrire la thérapie adaptée à la maladie.
Le 6 décembre 2006, «Joseph Kabila» est investi président de la République à l’issue d’une élection présidentielle chahutée. «Je vous annonce la fin de la recréation», déclarait le "président élu" avec une certaine grandiloquence. Nombreux sont les Congolais qui avaient applaudi. Ils croyaient que le nouveau chef de l’Etat était porteur d’espérance; porteur d’un "nouveau rêve" à proposer. Cinq années après, la désillusion est totale. Au lieu de mettre sa «victoire» au service du progrès économique et social, le successeur de Mzee a réussi le tour de force de restaurer le système dictatorial vomi par les Zaïrois d’alors au début des années 90.
Au cours de ces cinq dernières années, «Kabila» a privilégié les «infrastructures» pendant que le Congolais moyen, lui, éprouvait toutes les peines du monde à satisfaire ses besoins vitaux : la sécurité des personnes et des biens, l’approvisionnement en eau et électricité, l’assainissement du cadre de vie notamment par la collecte et le traitement des ordures ménagères, l’emploi, une justice indépendante, des soins de santé et un enseignement de qualité. Sans omettre les transports publics. La liste n’est pas exhaustive. La frustration est à la hauteur des besoins inassouvis.
N’en déplaise aux zélateurs du "kabilisme", l’élection présidentielle du 28 novembre 2011 a mis à nu l’impopularité croissante du président sortant «Joseph Kabila». A l’intérieur du pays comme à l’étranger, les «kabilistes» rasent les murs. Ils se font discrets. Et pour cause ? Leur «champion» n’a pas été proche des gens. Il a dirigé le Congo-Kinshasa au cours de ces onze dernières années sans prendre la peine d’aller à la rencontre de ses "concitoyens". «Joseph» n’a pas osé descendre de son piédestal pour parler avec la population et écouter leurs sentiments sur l’état de la collectivité.
Au cours ses onze années passées à la tête du pays, le "raïs" s’est intéressé aux aspects frivoles de l’imperium tout en renforçant un pouvoir personnel au détriment du Parlement et du pouvoir judiciaire, transformés en coquilles vides. Ce pouvoir fort a été usé et abusé tel un rouleau compresseur. Des droits et les libertés ont été littéralement laminés par la multitude des services dits de sécurité. Des vies humaines ont été broyées. Le 26 novembre dernier, tel un chant de cygne, 14 citoyens ont été abattus comme des vulgaires lapins par des éléments de la garde présidentielle, les fameux «Bana Moura» qui relèvent d’un seul homme : «Joseph Kabila». Des juristes prépareraient une suite judiciaire à ce massacre qui a fait près de cent blessés.
Le retour d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba dans le jeu politique congolais a redonné un brin d’espérance à un peuple qui attend depuis deux décennies l’avènement d’un «Congo nouveau». Un Congo nouveau rassemblé à l’intérieur et jouissant de toute sa respectabilité à l’extérieur. Un Congo nouveau dirigé par des gouvernants pétris des valeurs de justice et de paix pour inciter les différents peuples du pays à réapprendre à «vivre ensemble» dans la tolérance et le respect mutuel. Demain, l’esprit revanchard, comme ce fut le cas lors de l’entrée des troupes de l’AFDL le 17 mai 1997, ne sera toléré. En lieu et place d’instaurer l’Etat de droit et la démocratie, les "libérateurs" du 17 mai se sont illustrés par des exécutions extrajudiciaires et des spoliations. Le système mis en place par "Joseph Kabila" n’a été que le prolongement des moeurs de l’Etat-AFDL.
Les tripatouillages commis actuellement par la Ceni (Commission électorale nationale indépendante) sur les résultats du vote exprimé lors de l’élection présidentielle du 28 novembre semblent confirmer que le président sortant et ses affidés ont pris conscience du rejet. Le "sortant" a compris qu’un fossé de méfiance le sépare désormais du reste de la population. A-t-il compris qu’il a perdu l’opinion congolaise? La réponse est : non! Il tente désespérément de s’accrocher au pouvoir par la force des armes. Et pourtant, rien ne sera plus comme avant après le 28 novembre 2011…
Peut-on franchement diriger un Etat sans avoir l’opinion avec soi?
Baudouin Amba Wetshi
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
kie kie kie kie kie kie kie...
Gaston Médard on 05/12/2011 20:22:04
Reply
Oh ce taximan travesti en fermier amateur. ça n'improvise pas le métier d'agriculteur: dit-on en occident. De même, ça ne s'improvise pas de passer du taximan au président de la République. On nous dit qu'il tient à devenir "journaliste" ou "journaleu" ! "Une pierre qui roule n'amasse pas mousse": dit un adage. Rentre dans tes bottes plastiques tu amasseras mousse ! Tu seras l'un de meilleurs chauffeurs de la République. Et personne ne te contestera cette qualité; même pas Defao ton patron.
Gaston Médard on 05/12/2011 20:22:04
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Oh ce taximan travesti en fermier amateur. ça n'improvise pas le métier d'agriculteur: dit-on en occident. De même, ça ne s'improvise pas de passer du taximan au président de la République. On nous dit qu'il tient à devenir "journaliste" ou "journaleu" ! "Une pierre qui roule n'amasse pas mousse": dit un adage. Rentre dans tes bottes plastiques tu amasseras mousse ! Tu seras l'un de meilleurs chauffeurs de la République. Et personne ne te contestera cette qualité; même pas Defao ton patron.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
maman bana on 05/12/2011 17:20:29
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Pas de negociation avec Kabila . Les urnes ont parlé KABILA DOIT PARTIR . Mindele balingaka biso te , peuple congolais prenons notre déstiné en main , avec DIEU nous vaincrons.
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Pas de negociation avec Kabila . Les urnes ont parlé KABILA DOIT PARTIR . Mindele balingaka biso te , peuple congolais prenons notre déstiné en main , avec DIEU nous vaincrons.
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Information ya sur na ngiri ngiri ba combattants bawuti kobeta policier moko ba botoli ye munduki. source sur mutu awuti kosolola sikoyo na kin.
Peuple de Dieu, il en est peu qui nous exhortent à ne pas perdre de vue l'Essentiel et cet Essentiel n'est pas une chose, ce n'est pas une doctrine, ce n'est pas une méthode, c'est une Personne: Le Seigneur Jésus-Christ.
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moko moko
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
N'IMPORTE QUOI,BETISE,DESOLEtony yave a écrit :http://www.digitalcongo.net/article/80056
Selon les observateurs de la Cenco, les résultats publiés sont à 97,6% exacts
Kinshasa, 06/12/2011 / Politique
La Cenco invite instamment le peuple congolais, les acteurs politiques et la Ceni à s’en tenir impérativement à la vérité des urnes telle qu’exprimée et affichée au niveau des bureaux de vote.
La Conférence épiscopale nationale de la Rdc (Cenco) a partagé avec la presse nationale et internationale, hier dimanche 4 décembre 2011, les conclusions des observateurs de l’Eglise catholique sur les élections du 28 novembre dernier. On sait que, pour accompagner le processus électoral, l’Eglise catholique a déployé quelque 30 mille observateurs sur l’ensemble des 169 circonscriptions électorales. Des observateurs à qui l’église avait pris soin d’assurer une formation conséquente bien avant d’être envoyés sur le terrain. C’est donc le résultat d’un travail de fourmi réalisé par cette armée citoyenne que la Cenco a tenu à rendre public hier dimanche 4 décembre 2011.
Il ressort de ce rapport que les témoins de l’Eglise catholique sont à 97,6 % d’accord avec les résultats publiés jusque-là par la Commission électorale nationale indépendante. La précision est indispensable, car « ce n’est pas la hiérarchie de l’église qui livre ces conclusions, mais les observateurs déployés sur le terrain », a affirmé l’abbé Alain Lomandjo, de la Commission Justice et Paix de l’église catholique. Selon les statistiques apportées, 93 % des isoloirs étaient placés dans les bureaux de vote, dans une position susceptible de garantir la sécurité du vote. Evidemment, on a noté des endroits où, faute d’isoloirs Ceni, des bancs ou pupitres étaient entassés de manière à pallier cette carence. La Cenco a insisté sur le fait que l’on se retrouvait face aux statistiques et non dans le domaine des sentiments.
Sur le même registre, 97,9 % des observateurs ont reconnu que les urnes ont été exhibées vides à 6 heures du matin, avant que ne commençait le vote. Mieux encore, ils reconnaissent à 91,3 % que tous les témoins ont contresigné les résultats dégagés des urnes au niveau des bureaux de vote. Au sujet des résultats du scrutin présidentiel publié progressivement, les observateurs offrent la configuration suivante : Oui : 97,6 % ; Non : 2 % L’Eglise considère que ces éléments sont d’une importance dans la considération d’une élection transparente. Ce faisant, la Cenco invite instamment le peuple congolais, les acteurs politiques et la Ceni à s’en tenir impérativement à la vérité des urnes telle qu’exprimée et affichée au niveau des bureaux de vote. Pour garantir la sérénité et la crédibilité des résultats, comme le stipule la loi électorale à son article 63, la publication partielle devrait mentionner le nombre d’enrôlés, de votants, de bulletins nuls et des voix obtenues par chaque candidat. La Cenco demande que les cas de fraudes avérés soient sévèrement punis et qu’une réparation équitable soit exigée des auteurs.
La Cenco invite celui qui aura effectivement remporté le scrutin selon la vérité des urnes à éviter tout triomphalisme, dans une démarche inclusive, privilégiant les vertus du dialogue au service du bien commun et de l’intérêt supérieur de toute la nation congolaise, qu’il gouverne la RD Congo de manière à consolider la démocratie et à permettre à notre pays de s’atteler à l’amélioration des conditions de vie et de travail de tous ses habitants. Au perdant des élections du 28 novembre 2011, la Cenco demande de tirer les leçons de son échec. Accepter le verdict des urnes est un signe éloquent du patriotisme. En cas de contestation, qu’il emprunte la voie légale pour régler le contentieux électoral. En menant une opposition constructive conformément à notre Constitution, il servira d’aiguillon à ceux qui vont nous gouverner.
En liminaire, le président de la Cenco, Monseigneur Nicolas Djomo a précisé que les Evêques n’avaient pas une position commune à communiquer quant à la question des élections. « Ce n’était pas notre objectif », a souligné l’évêque de Tshumbe, avant de précisé que la mission de l’église se résume dans la moralisation pour la formation de la conscience, afin que les citoyens, au nom de la parole de Jésus, puisse changer la société. L’abbé Alain Lomandjo, de la commission Justice et Paix, a précisé que l’église avait déployé deux types d’observateurs. Le premier groupe qui avait travaillé de manière participative, comprenait 24.000 observateurs ; ceux-ci n’étaient pas équipés de moyens suffisants. Le 2ème groupe comportait 6000 observateurs ; l’équipe avait travaillé sur un échantillon de 3000 bureaux de vote pour plus d’opérationnalité, la commission avait élaboré un check-list, mieux une fiche type que devaient remplir tous les observateurs sur leurs sites de travail. C’est ainsi que la commission se targue d’être si pas la seule, l’une des rares missions à fonder leurs conclusions sur des statistiques établies à partir des bureaux de vote.
Runy Mesambo & Jacques Famba / La République
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Santoss
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Le vrai vainqueur des élections est et reste le PN Tshisekedi.
Les résultats du Bandundu, Equateur, Province Orientales et dans la moindre mesure au Katanga sont faux.
Au Katanga, les bulletins de vote étaient cochés d’avance au nom de Kabila, il y a eu deux rotations des gros porteurs en provenance d’Afrique du Sud dans la nuit du 29 au 30 novembre.
Au maximum, dans le Katanga, Kabila peut être crédité de 60 % de préférence.
En Equateur, vous n’allez pas me dire que Kengo est beaucoup plus populaire que Nzanga Mobutu?
Le Ruandais Kengo a fait le jeu de son maître Kabira, les urnes ont été bourrées par le gouverneur Bayende, la diversion a bien été orchestr
Dans le Bandundu, Kabila n’a pas dépassé les 200.000 vois, c’est encore du n’importe quoi.
Les résultats du Bandundu, Equateur, Province Orientales et dans la moindre mesure au Katanga sont faux.
Au Katanga, les bulletins de vote étaient cochés d’avance au nom de Kabila, il y a eu deux rotations des gros porteurs en provenance d’Afrique du Sud dans la nuit du 29 au 30 novembre.
Au maximum, dans le Katanga, Kabila peut être crédité de 60 % de préférence.
En Equateur, vous n’allez pas me dire que Kengo est beaucoup plus populaire que Nzanga Mobutu?
Le Ruandais Kengo a fait le jeu de son maître Kabira, les urnes ont été bourrées par le gouverneur Bayende, la diversion a bien été orchestr
Dans le Bandundu, Kabila n’a pas dépassé les 200.000 vois, c’est encore du n’importe quoi.
Peuple Congolais: soyez vigilant et ne choisissez plus le premier venu pour nous diriger.
- tony yave
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Ilunga a écrit :maman bana on 05/12/2011 17:20:29
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Pas de negociation avec Kabila . Les urnes ont parlé KABILA DOIT PARTIR . Mindele balingaka biso te , peuple congolais prenons notre déstiné en main , avec DIEU nous vaincrons.
Ca c'est le comportement des irresponsables tous les
résultats ne sont même pas encore publier tu commence
a dire n'importe quoi et laisse Dieu dans votre désordre
Que vous voulais organiser tu pense que tous les Congolais
sont avec toi, de toute façon les opposants en Afrique n'est
perd jamais les élections et passe leurs temps a accuser
le parti au pouvoir de frode mais ont connais la suite après
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Entre 800-1000 manifestants Congolais dans les rues du centre ville d’Ottawa en ce moment destination finale …… 
Président du LUZOLA, association des Luvumbistes et des Distelistes convaincus
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Re: Etienne Tshisekedi désigné "candidat unique" de l'opposi
Tony Yave,
Pourquoi le PPRD a triché alors qu'il a tous les pouvoirs? Pourquoi tricher si l'on est sûr de gagner? Pourquoi supporte-tu des tricheurs, serais-tu comme eux?
Pourquoi le PPRD a triché alors qu'il a tous les pouvoirs? Pourquoi tricher si l'on est sûr de gagner? Pourquoi supporte-tu des tricheurs, serais-tu comme eux?
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