www.leopardsfoot.com

chidap a écrit :

Santoss a écrit :C'est triste mais cela risque d'arriver, le pétrodollar aidant, Leroy trouvera peut-être ce qui lui a manqué en RDC.

J'ai peur que les Granddi Ngoyi, Junior Kabananga, N'sikulu, N'sakala, Kumbela, Bijiminé, Herman Kabaselé, Manzala, Tisserand, Kitambala optent pour le Congo Brazza.

Omari l'a montré plus d'une fois, il n'a pas d'ambitions, à l'image de la classe politique RDCongolaise, avec un peu de volonté, la RDC devrait au minimum se retrouver au niveau des Burkinabés finalistes de la CAN...nous avions faits jeu égal avec le Ghana et le Cameroun, pourquoi ces nations là réussissent et pas nous? Est-ce un problème de niveau? Je ne le pense pas, puisque lorsque nous prenons les choses au sérieux, nous arrivons à concurrencer les meilleur d'Afrique.

Katumbi a tué l'équipe nationale en voulant forcer la présence des joueurs du très machin Mazembe, les aigris de Vclub ont appuyés la bêtises (comment imaginez un Issama relégué Chancel Mbemba sur le banc ) et le résultat est là: nous n'avons plus d'équipe nationale du moins pas de perspective à court terme.

Pourquoi ne pas dire un Zakuani ou encore un Mabiala ??????????
Qu'on le veille ou pas, avec le football moderne les arrières latéraux doivent apporter de la vitesse et percussions.
à ce jeu là, Mbemba ne vaut pas grand chose.

Il est meilleur à son poste !
je ne vois pas en quoi les Vclubiens sont aigris !

Koko le roi décide seul, il n'a jamais été influencé par nous les bayaka ....

Claude Le Roy: «Continuer l’aventure» avec le Congo-Brazzaville

Par RFI

Claude Le Roy s’est engagé pour deux ans avec l’équipe nationale du Congo-Brazzaville. Le Français, ex-coach du Sénégal, du Cameroun, de la RDC ou du Ghana, s’explique sur ce choix et sur ses objectifs, pour RFI.



RFI : Claude Le Roy, comment êtes-vous devenu sélectionneur de l’équipe du Congo-Brazzaville ?
Claude Le Roy : On m’a sollicité. On m’a demandé si le poste m’intéressait. Mon agent a ensuite négocié avec les responsables. J’avais plein d’autres propositions, dont une qui pourrait surprendre avec la Hongrie (ce qui est rare pour un Français). J’avais envie d’aller à Brazzaville parce que c’est comme ça que j’ai découvert l’Afrique, en 1971. J’étais lié à l’Afrique centrale et à la Coupe d’Afrique des nations. Avec Ajaccio, quand j’étais un tout jeune joueur professionnel, on avait permis à l’équipe des Diables rouges de se préparer pour la Coupe d’Afrique des nations en 1972 au Cameroun. Une compétition que les Congolais allaient gagner.

Qu’est-ce qui vous a séduit dans ce nouveau projet ?
L’idée que le président de la fédération est un ancien grand footballeur ; qu’il veut s’appuyer sur les joueurs locaux, développer la formation des jeunes. Avec une ambition : retrouver la Coupe d’Afrique des nations après quinze années d’absences (depuis la CAN 2000, Ndlr). Et une échéance importante : aller le plus loin possible lors des Jeux africains de 2015 que les Congolais organisent à Brazzaville et qui est une énorme compétition. Il y a un vrai projet, avec un travail déjà effectué auprès des jeunes dans des académies. Il s’agit donc de continuer l’aventure.

Quel est le potentiel de cette équipe congolaise ?
Il y a beaucoup de bons joueurs locaux. Ceux de Dolisie ont tout de même gagné la Coupe de la Confédération, la saison passée, et sont allés en quarts de finale de la Ligue des champions, cette année. Les Congolais auront quatre équipes qui participeront aux prochaines compétitions interclubs, la saison prochaine. Et puis il y a de bons joueurs expatriés comme Delvin Ndinga ou Prince Oniangue. Il y a aussi Ladislas Douniama de Guingamp. Plus des jeunes joueurs un petit peu partout. Ça veut dire qu’il y a de quoi faire quelque chose de bien. Maintenant, il va falloir bosser. Les résultats dans le football s’obtiennent avec de la discipline et du travail. Après, il faut peaufiner les choses techniquement et tactiquement.

Propos recueillis par Eric Mamruth et retranscrits par rfi.fr

wantanshi a écrit :

Claude Le Roy: «Continuer l’aventure» avec le Congo-Brazzaville

Par RFI

Claude Le Roy s’est engagé pour deux ans avec l’équipe nationale du Congo-Brazzaville. Le Français, ex-coach du Sénégal, du Cameroun, de la RDC ou du Ghana, s’explique sur ce choix et sur ses objectifs, pour RFI.



RFI : Claude Le Roy, comment êtes-vous devenu sélectionneur de l’équipe du Congo-Brazzaville ?
Claude Le Roy : On m’a sollicité. On m’a demandé si le poste m’intéressait. Mon agent a ensuite négocié avec les responsables. J’avais plein d’autres propositions, dont une qui pourrait surprendre avec la Hongrie (ce qui est rare pour un Français). J’avais envie d’aller à Brazzaville parce que c’est comme ça que j’ai découvert l’Afrique, en 1971. J’étais lié à l’Afrique centrale et à la Coupe d’Afrique des nations. Avec Ajaccio, quand j’étais un tout jeune joueur professionnel, on avait permis à l’équipe des Diables rouges de se préparer pour la Coupe d’Afrique des nations en 1972 au Cameroun. Une compétition que les Congolais allaient gagner.

Qu’est-ce qui vous a séduit dans ce nouveau projet ?
L’idée que le président de la fédération est un ancien grand footballeur ; qu’il veut s’appuyer sur les joueurs locaux, développer la formation des jeunes. Avec une ambition : retrouver la Coupe d’Afrique des nations après quinze années d’absences (depuis la CAN 2000, Ndlr). Et une échéance importante : aller le plus loin possible lors des Jeux africains de 2015 que les Congolais organisent à Brazzaville et qui est une énorme compétition. Il y a un vrai projet, avec un travail déjà effectué auprès des jeunes dans des académies. Il s’agit donc de continuer l’aventure.

Quel est le potentiel de cette équipe congolaise ?
Il y a beaucoup de bons joueurs locaux. Ceux de Dolisie ont tout de même gagné la Coupe de la Confédération, la saison passée, et sont allés en quarts de finale de la Ligue des champions, cette année. Les Congolais auront quatre équipes qui participeront aux prochaines compétitions interclubs, la saison prochaine. Et puis il y a de bons joueurs expatriés comme Delvin Ndinga ou Prince Oniangue. Il y a aussi Ladislas Douniama de Guingamp. Plus des jeunes joueurs un petit peu partout. Ça veut dire qu’il y a de quoi faire quelque chose de bien. Maintenant, il va falloir bosser. Les résultats dans le football s’obtiennent avec de la discipline et du travail. Après, il faut peaufiner les choses techniquement et tactiquement.

Propos recueillis par Eric Mamruth et retranscrits par rfi.fr

Nkambo Yo yo yo yo yo !!!

Claude Le Roy: «Continuer l’aventure» avec le Congo-Brazzaville

Par RFI

Claude Le Roy s’est engagé pour deux ans avec l’équipe nationale du Congo-Brazzaville. Le Français, ex-coach du Sénégal, du Cameroun, de la RDC ou du Ghana, s’explique sur ce choix et sur ses objectifs, pour RFI.



RFI : Claude Le Roy, comment êtes-vous devenu sélectionneur de l’équipe du Congo-Brazzaville ?
Claude Le Roy : On m’a sollicité. On m’a demandé si le poste m’intéressait. Mon agent a ensuite négocié avec les responsables. J’avais plein d’autres propositions, dont une qui pourrait surprendre avec la Hongrie (ce qui est rare pour un Français). J’avais envie d’aller à Brazzaville parce que c’est comme ça que j’ai découvert l’Afrique, en 1971. J’étais lié à l’Afrique centrale et à la Coupe d’Afrique des nations. Avec Ajaccio, quand j’étais un tout jeune joueur professionnel, on avait permis à l’équipe des Diables rouges de se préparer pour la Coupe d’Afrique des nations en 1972 au Cameroun. Une compétition que les Congolais allaient gagner.

Qu’est-ce qui vous a séduit dans ce nouveau projet ?
L’idée que le président de la fédération est un ancien grand footballeur ; qu’il veut s’appuyer sur les joueurs locaux, développer la formation des jeunes. Avec une ambition : retrouver la Coupe d’Afrique des nations après quinze années d’absences (depuis la CAN 2000, Ndlr). Et une échéance importante : aller le plus loin possible lors des Jeux africains de 2015 que les Congolais organisent à Brazzaville et qui est une énorme compétition. Il y a un vrai projet, avec un travail déjà effectué auprès des jeunes dans des académies. Il s’agit donc de continuer l’aventure.

Quel est le potentiel de cette équipe congolaise ?
Il y a beaucoup de bons joueurs locaux. Ceux de Dolisie ont tout de même gagné la Coupe de la Confédération, la saison passée, et sont allés en quarts de finale de la Ligue des champions, cette année. Les Congolais auront quatre équipes qui participeront aux prochaines compétitions interclubs, la saison prochaine. Et puis il y a de bons joueurs expatriés comme Delvin Ndinga ou Prince Oniangue. Il y a aussi Ladislas Douniama de Guingamp. Plus des jeunes joueurs un petit peu partout. Ça veut dire qu’il y a de quoi faire quelque chose de bien. Maintenant, il va falloir bosser. Les résultats dans le football s’obtiennent avec de la discipline et du travail. Après, il faut peaufiner les choses techniquement et tactiquement.

Propos recueillis par Eric Mamruth et retranscrits par rfi.fr

Les facteurs d’intégration dans un groupe

"La langue est un outil essentiel d’intégration dans le groupe. En RD Congo, si tout le monde parle français en sélection, c’est le lingala qui a permis de former un noyau au sein de l’équipe. L’intégration a été plus compliquée pour les joueurs binationaux, qui n’ont pas grandi en RDC et qui ont eu la barrière de la langue en revenant sur le sol africain. Ce langage nous a permis de souder les joueurs entre eux."

- Les contacts infructueux avec le Maroc

"Visiblement je ne devais pas être assez cher pour qu’ils décident de prendre Gerets (sourire). J’ai été en contact récemment avec le Maroc, mais la Fédération marocaine n’a pas pris de décision à cause de ses soucis administratifs avec l’élection du nouveau président. La Hongrie s’est manifestée, mais le Congo est arrivé avec un beau projet sportif, mais aussi éducatif.

J’aurais pu aller dans le Golfe, où on me proposait des sommes trois fois supérieures à mon salaire à Brazzaville. Mais ce n’était pas mon projet. J’ai accepté de prendre les rênes du Congo en leur ramenant un sponsor majeur qui est Orange. Je me bats désormais pour ma Fédération et mon prochain objectif est de trouver un équipementier officiel. Ça fait aussi partie du rôle du sélectionneur...."

Claude Le Roy succède au franco-algérien Kamel Djabour, dont le contrat avait pris fin le 30 septembre 2013. Le nouveau coach des Diables Rouges, qui prendra ses fonctions le 3 janvier prochain et aura pour mission de qualifier sa nouvelle équipe pour la CAN 2015 au Maroc, sera assisté de Sébastien Migné (41 ans), son dauphin avec qui il avait déjà travaillé, notamment en RDC. Il ne dirigera cependant pas l'équipe au Championnat d'Afrique des Nations (CHAN), du 11 au 31 janvier en Afrique du Sud.

chidap a écrit :

Claude Le Roy succède au franco-algérien Kamel Djabour, dont le contrat avait pris fin le 30 septembre 2013. Le nouveau coach des Diables Rouges, qui prendra ses fonctions le 3 janvier prochain et aura pour mission de qualifier sa nouvelle équipe pour la CAN 2015 au Maroc, sera assisté de Sébastien Migné (41 ans), son dauphin avec qui il avait déjà travaillé, notamment en RDC. Il ne dirigera cependant pas l'équipe au Championnat d'Afrique des Nations (CHAN), du 11 au 31 janvier en Afrique du Sud.

Patshoosket a écrit :

chidap a écrit :

Claude Le Roy succède au franco-algérien Kamel Djabour, dont le contrat avait pris fin le 30 septembre 2013. Le nouveau coach des Diables Rouges, qui prendra ses fonctions le 3 janvier prochain et aura pour mission de qualifier sa nouvelle équipe pour la CAN 2015 au Maroc, sera assisté de Sébastien Migné (41 ans), son dauphin avec qui il avait déjà travaillé, notamment en RDC. Il ne dirigera cependant pas l'équipe au Championnat d'Afrique des Nations (CHAN), du 11 au 31 janvier en Afrique du Sud.

Patshoosket a écrit :

chidap a écrit :

Claude Le Roy succède au franco-algérien Kamel Djabour, dont le contrat avait pris fin le 30 septembre 2013. Le nouveau coach des Diables Rouges, qui prendra ses fonctions le 3 janvier prochain et aura pour mission de qualifier sa nouvelle équipe pour la CAN 2015 au Maroc, sera assisté de Sébastien Migné (41 ans), son dauphin avec qui il avait déjà travaillé, notamment en RDC. Il ne dirigera cependant pas l'équipe au Championnat d'Afrique des Nations (CHAN), du 11 au 31 janvier en Afrique du Sud.

Ou moins les blancs sont organisés: Il a son successeur à se côté question de l'habituer aux caprices du foot africain!