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Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 13 oct. 2011, 22:36
par Ilunga
L'étau se resserre de plus en plus autour de "Kabila", Ngoy Mulunda et la CENI...C'est bientôt la fin des haricots...et la fuite au Rwanda...




Processus électoral et droits de l’Homme

Le Sous-secrétaire d’Etat américain aux Affaires africaines ce week-end à Kinshasa
Par Le Potentiel

Après Maria Oteko, sous-secrétaire d’Etat américaine à la Démocratie et aux relations internationales, c’est le tour de son collègue Johnnie Carson de fouler le sol congolais. Chargé des Affaires africaines, il effectue ce week-end une visite officielle en République démocratique du Congo pour évaluer, avec le gouvernement congolais, le processus électoral et la question des droits de l’Homme dans la région des Grands Lacs.

Mme Maria Oteko, sous-secrétaire d’Etat américaine à la Démocratie et aux Relations internationales, vient de séjourner à Kinshasa. Elle était porteuse d’un message spécial de la Secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton, en ce qui concerne le déroulement des élections en République démocratique du Congo. Message qui soulignait la volonté politique du gouvernement américain d’accompagner le peuple congolais dans sa volonté de «libre choix» de ses dirigeants.

Faisant d’une pierre deux coups, Maria Oteko s’est rendue au Kivu afin d’évaluer et de procéder à la mise en place d’une structure devant veiller à la « commercialisation responsable » des minerais de la République démocratique du Congo. Il s’agit d’une alliance public-privé. C'est-à-dire, Public-private alliance, PPA, de manière à neutraliser les réseaux maffieux qui commercialisent les minerais de la RDC.

Comme si cela ne suffisait pas, les Etats-Unis ont décidé d’envoyer «Monsieur l’Afrique» du cabinet Obama. Il s’agit de Johnnie Carson, sous-secrétaire d’Etat américain aux Affaires africaines. Il est attendu à Kinshasa ce dimanche 16 octobre à en croire certaines sources, pour avoir des entretiens avec les autorités congolaises. Seulement voilà ! Outre la coopération bilatérale entre la RDC et les Etats-Unis et les droits de l’Homme qui seront évoqués, les entretiens de Kinshasa porteront sur le déroulement des élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011 et la gestion dans le secteur minier.

ELECTIONS 2011 : DES CRAINTES

Il nous revient, des sources crédibles, que les Etats-Unis demeurent sceptiques quant au déroulement, comme prévu, des élections le 28 novembre 2011. Lors de son dernier séjour américain, la délégation du bureau de la CENI, composée du Ngoy Mulunda, et Jacques Djoli, respectivement président et vice-président de la CENI, avait eu des séances de travail avec des responsables américains. A en croire les plénipotentiaires de la CENI, des explications ont été fournies aux interlocuteurs américains ainsi que des assurances quant au déroulement des élections le 28 novembre 2011. Un état des lieux sur le processus électoral a été dressé pour apprécier le travail accompli jusque-là.

Les interlocuteurs américains ne se sont pas limités à écouter les responsables de la CENI. Ils se sont entretenus également avec des leaders congolais de passage aux Etats-Unis, de manière à confronter les considérations des uns et des autres. Sans oublier bien sûr, les propres canaux américains d’où ils reçoivent des informations de toutes tendances sur leurs partenaires.

A en croire les premiers éléments d’information qui nous parviennent de Washington, les Etats-Unis ne sont pas encore convaincus de la tenue des élections à la date convenue. Leur scepticisme se fonde sur la logistique qui devrait être déployée dans des délais raisonnables et acceptables. Ce qui semble ne pas être le cas, selon des éléments en leur possession. Il ne restait plus qu’à descendre sur le terrain et vérifier les faits. Ce que Johnnie Carson compte faire ce dimanche 16 octobre.

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 13 oct. 2011, 22:52
par Ilunga
Mbamba kaka...jusqu'à la fuite de l'imposteur au Rwanda !





Transparence du processus électoral : la manifestation de l’UDPS dispersée
Par Le Potentiel

En vue d’obtenir la transparence du processus électoral, l’Union pour la démocratie et le progrès social, parti cher à Etienne Tshisekedi et les alliés qui soutiennent sa candidature à la présidentielle de novembre prochain maintiennent la pression sur la CENI par des manifestations chaque jeudi. Hier encore, ils étaient au rendez-vous sur le boulevard du 30 Juin à Gombe.

La manifestation de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et alliés, a, une fois de plus, été dispersée hier jeudi 13 octobre à coups de gaz lacrymogènes. Les manifestants étaient stoppés net au niveau de l’Hôtel de poste sur le boulevard du 30 Juin à Gombe. L’on dénombre quelques blessés et des arrestations du côté UDPS et alliés, selon Jacquemain Shabani, secrétaire général de l’UDPS joint au téléphone. « Il y a eu quelques blessés dont le secrétaire national en charge de la communication de l’UDPS, Raphaël Kapambu», a-t-il expliqué.

Tout s’est passé aux environs de 11 heures locales avec l’arrivée sur le lieu du secrétaire général de l’UDPS et des autres leaders de l’Opposition.

Tôt le matin, un important dispositif policier avait pris place le long du boulevard du 30 Juin, et principalement au niveau du siège national de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) en face de l’immeuble de l’Onatra, et du Bureau de réception et de traitement des candidatures (BRTC) à la place Royal. Inévitablement, des heurts contre militants et policiers s’en sont suivis. Jets de pierres contre bombes lacrymogènes, circulation momentanément perturbée sur le tronçon concerné, l’habitude prend place.

Ces militants du parti cher à Etienne Tshisekedi sont loin de désarmer, ils projettent d’organiser, selon le secrétaire général Jacquemain Shabani, ce qu’ils appellent déjà «grand rassemblement populaire» à la place de l’Hôtel de poste. Objectif, le même qu’hier : insister et exiger la transparence, la démocratie et l’équité du processus électoral 2011.

Aussi le parti d’Etienne Tshisekedi et les alliés soutenant sa candidature à la présidentielle de novembre prochain, tenaient, à la lumière de la correspondance de l’UDPS signée par son secrétaire général datée du 11 octobre 2011, adressée au gouverneur de la ville pour l’informer de ce rassemblement populaire, à dénoncer et condamner ce qu’ils qualifient d’«intolérance politique, d’insécurité et violations intempestives des droits et libertés de l’Homme, entretenues par le pouvoir, durant ledit processus».

L’UDPS n’entend pas désarmer, a rassuré Me Jacquemain Shabani. « Nous serons encore là le jeudi prochain, parce que nous sommes appelés à atteindre notre objectif, qui est celui d’obtenir la transparence du processus électoral», a dit le secrétaire général de l’UDPS.

Pitchou Mulumba

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 13 oct. 2011, 22:57
par Ilunga
lobeso330 on 13/10/2011 17:21:09

Voila la democratie qui reigne au CONGO RD,
kabila tu vas fuire ce pays de nos ancetre.
VOIYONS VOIR!!

http://afrique.kongotimes.info/rdc/rdc_ ... abila.html

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 13 oct. 2011, 23:01
par Ilunga
jeudi 13 octobre 2011
Elections : des femmes opposées à l’utilisation des jeunes sportifs dans les manifestations

Une centaine de femmes membres de la Dynamique des femmes pour le changement (Dyfac) ont marché, mercredi 12 octobre, dans les rues de la ville de Kinshasa pour demander aux partis politiques de ne pas utiliser des jeunes sportifs dans les manifestations électorales ainsi que la sécurisation et la transparence du processus électoral.

Parties des environs des locaux de la Radio Lisanga Télévision dans la commune de la Gombe, ces femmes, encadrées par les forces de police, se sont rendues au ministère de l’Intérieur pour déposer un mémorandum contenant leurs revendications.

Une manifestante, Marie – Jeanne Vungo du bureau de la Dyfac, explique que les femmes sont opposées à l’utilisation des jeunes gens lors des affrontements entre militants des partis politiques.

Des partisans de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) accusent le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) d’utiliser des jeunes sportifs lors de ses manifestations pour intimider ses militants.

Le ministre de l’Intérieur, Adolphe Lumanu, s’est dit satisfait de la démarche des manifestantes et les a assurées de la détermination du gouvernement à garantir la paix et la sécurité pendant la période électorale.

L’Avenir/radiookapi.net

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 13 oct. 2011, 23:04
par Ilunga
La Dynamique des femmes acquises au changement pour des élections transparentes

13 octobre, 2011

femmes acquises changement RDCLa Dynamique des femmes acquises au changement (Dyfac) a marché, mercredi 12 octobre, à Kinshasa, de la station de « Radio Lisanga Télévision » (RLTV) au ministère de l’Intérieur, de la sécurité et de la décentralisation pour déposer un mémorandum appelant à des élections « transparentes, apaisées et démocratiques ». Les manifestantes, estimées à plusieurs centaines de femmes et appartenant à l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et alliés, avaient en main soit une bougie, soit une lampe ou encore des légumes et des ustensiles de ménage, pour exprimer le ras-le-bol du peuple. Elles se sont insurgées contre certains politiciens qui s’illustrent par l’encadrement de jeunes sportifs, communément appelés « pomba ou hommes forts », à des fins de vandalisme, au lieu d’en faire des futurs médaillés dans diverses disciplines sportives. Après s’être entretenu avec la délégation de cette dynamique, le Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur, Adolphe Lumanu Mulenda Bwana N’Sefu, a loué cette initiative, promettant que toutes les dispositions seront prises pour répondre favorablement aux désidérata de ses interlocutrices.

Cette marche a été encadrée par des éléments de la Police nationale congolaise, a-t-on noté.

ACP/CCN

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 13 oct. 2011, 23:07
par Ilunga
Une nouvelle manifestation de l’UDPS dispersée par la police à Kinshasa

13 octobre, 2011

manifestation udpsLes éléments de la police ont dispersé le rassemblement des militants de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) organisé, jeudi 13 octobre à la place de la Poste dans la commune de la Gombe à Kinshasa. Quatre personnes ont été blessées, trois militants de l’UDPS arrêtés et des journalistes violentés.

A 9h45 locales, près d’une centaine des policiers munis de gourdins et boucliers étaient déjà déployés sur la place de la poste. Les piétons étaient interdits de passage et les journalistes qui essayaient de s’approcher du lieu étaient sommés de s’éloigner, a constaté un témoin.

L’officier supérieur de la police présent sur le lieu a affirmé avoir exhorté ses troupes à ne pas céder à la provocation mais a ajouté n’avoir pas reçu l’ordre d’encadrer une quelconque manifestation.

Les militants de l’UDPS dissimulés aux alentours attendaient l’arrivée des cadres du parti pour se regrouper. Le secrétaire général de ce parti, Jacquemin Shabani, est arrivé sur le lieu à 11h30, accompagné des cadres des partis alliés. Les militants qui commençaient à se rassembler ont tout de suite été dispersés à coups de matraque.

Le secrétaire général de l’UDPS a déclaré que les policiers ont brutalisé, arrêté et tabassé les militants de son parti. Il a déploré cette répression et a accusé le gouvernement d’intolérance politique. Il a expliqué que son parti manifestait pour réclamer la transparence et l’équité du processus électoral et dénoncer l’intolérance politique ainsi que les violations des droits et libertés des citoyens. Jacquemin Shabani a en outre annoncé que l’UDPS allait maintenir la pression sur la Ceni jusqu’à obtenir l’audit du fichier électoral et la cartographie des bureaux de vote.

Le jeudi 6 octobre, des échauffourées avaient opposé les militants du parti d’Etienne Tshisekedi aux policiers, à la suite d’une marche organisée par ce parti pour exiger de la Ceni la transparence du processus électoral. Une autre marche de l’UDPS a été dispersée le 29 septembre. La voix des sans voix (VSV), L’œuvre pour la santé et le développement (OSD) et les Amis de Nelson Mandela ont condamné, mercredi 12 octobre, la répression brutale des manifestations publiques par la police et le silence des autorités face à ces violences.

Radio Okapi/CCN

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 15 oct. 2011, 13:23
par Ilunga
Ngoy Mulunda et sa pagaille...Mais le 06 décembre, lui et son chef rwandais seront en exil...

http://radiookapi.net/actualite/2011/10 ... sceptique/






RDC-Elections: organisation des scrutins du 28 novembre, la société civile sceptique
publié il y a 1 heure, 47 minutes,


Les organisations de la société civile de la République démocratique du Congo (RDC) regroupées au sein de la plate forme «Agir pour des élections transparentes et apaisées» (AETA) estiment que la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) ne pourra pas organiser les scrutins présidentiel et législatifs dans le respect du calendrier électoral. Au cours d’une matinée politique organisée vendredi 14 octobre à Kinshasa, elles évoquent les difficultés logistique, technique, politique et sécuritaire auxquelles cette institution est confrontée.Ces ONG ont indiqué que l’exécution «tâtonnante et non transparente» des opérations électorales pourrait avoir des conséquences négatives sur la tenue des élections «dans le délai et dans les conditions acceptables».

Le secrétaire permanent d’AETA, Jérôme Bonso, déclare que le report des élections n’appelle pas forcément à la formation d’un nouveau gouvernement.

«On peut dégager un consensus pour dire combien de temps faudrait-il à la Ceni pour organiser des élections dans un environnement apaisé», a-t-il proposé.


Pour le président de la coordination Synergie Congo, Christopher Mutamba, il faut un consensus entre la Ceni, les partis politiques et la société civile.

Le professeur Biyoya, analyste politique, appelle l’Etat congolais « à garantir la paix à tout le monde.»

«On doit cesser de donner l’impression qu’il n’y a aucun responsable dans la république. L’Etat existe, il y a des appareils de l’Etat», dit-il.

Le rapporteur de la Ceni, Matthieu Pita, a rassuré vendredi 7 octobre qu’«aucun obstacle tant politique que technique ne peut empêcher d’organiser les élections présidentielle et législatives à la date du 28 novembre 2011.
Eviter les conflits électoraux
La plate forme AETA a aussi initié une campagne de vulgarisation de la constitution et de la loi électorale. Cette campagne a pour objectif d’éviter les conflits préélectoraux et électoraux, selon Jérôme Bonso.
«Nous avons constaté que ce qui est à la base des conflits préélectoraux et électoraux c’est la méconnaissance des règles des jeux établis par les législateurs», a-t-il affirmé.
Il invite la société congolaise qui, selon lui, accuse un déficit d’éducation civique s’approprier de ces deux textes.

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 17 oct. 2011, 17:36
par Ilunga
Affaire serveur central, voici comment la tricherie peut se faire

Encore un sujet sur les élections 2011 au Congo; Un groupe d'informaticiens congolais d’Afrique du sud nous ont envoyé cette video pour démontrer comment très facilement la tricherie peut se faire à partir même du serveur central en modifiant les données sur les ordinateurs clients. Na temps, suivez ces images !

http://congomikili.com/affaire-serveur- ... faire.html

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 18 oct. 2011, 09:11
par Ilunga
Ngoy Mulunda, si le ridicule pouvait tuer !






Calendrier biaisé

Mardi, 18 Octobre 2011 08:27




Beaucoup de partis politiques et de candidats aux élections législatives nationales du 28 novembre 2011 accusent la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de «violation à répétition du calendrier électoral». Le premier accroc est survenu à l’occasion du raccourcissement de la durée de la période de dépôt des candidatures de 30 jours à deux semaines. «Quand bien même une modification quelconque devrait intervenir dans le timing initial, il aurait été de bon aloi que le révérend-président Daniel Ngoy Mulunda et son bureau prennent langue avec les acteurs politiques au lieu de publier des décisions unilatérales d’une telle importance. D’autant que le délai de dépôt des candidatures influe de manière considérable sur le processus électoral», avaient-ils réagi. Sous pression, la CENI avait ajouté une semaine de rallonge, soit moins des 30 jours prévus.

La seconde, et la plus récente, c’est la publication «hors calendrier» de la liste définitive des 18.386 candidats à la députation nationale, le 14 octobre 2011. Soit 18 jours après la date «officielle» et à 14 jours de l’ouverture officielle (28 octobre) de la campagne électorale. «Le nombre de candidats ayant régressé de 19.010 sur la liste provisoire à 18.386 sur la liste définitive après les correctifs de la CENI aux erreurs dénoncées et les arrêts de la Cour suprême de justice sur les contentieux préélectoraux, la CENI est encore hors calendrier», déplorent les partis politiques.

Pourtant, le chronogramme publié le 18 août 2011 par le pasteur-président Daniel Ngoy Mulunda fixe au «27 septembre 2011, la publication de la liste définitive des candidats par le Bureau de la CENI». Il précise que, «du 18 septembre au 25 novembre 2011: commande, impression et déploiement des bulletins de vote pour l’élection présidentielle et la députation nationale. Du 28 octobre au 26 novembre 2011 : campagne électorale pour l’élection présidentielle et la députation nationale».

A l’évidence et en s’octroyant 70 jours pour la commande, l’impression et le déploiement de ses bulletins de vote, la CENI avait à l’esprit - toutes choses étant égales par ailleurs - que chacun des candidats aux législatives et à la présidentielle devrait avoir droit à au moins trente jours pour effectuer les mêmes opérations.

Mais, maintenant qu’elle restreint très sensiblement ce timing, la CENI les contraint à réaliser des miracles pour faire imprimer leur matériel électoral (banderoles, dépliants, calicots, notamment) et le déployer sur l’ensemble des 169 circonscriptions électorales en si peu de temps.

Et plutôt que d’évoluer dans un calendrier biaisé, la CENI doit évacuer «la grande menace contre le cycle électoral» qu’est, de son point de vue, «le faible consensus politique sur les règles de jeu». En entretenant un dialogue visant à «aller au-delà d’un climat permanent de suspicion, du droit de la force, d’abus de la majorité et ou déni de démocratie dans le chef de l’opposition afin d’avoir une démocratie apaisée».


Source : Le Potentiel

Re: La gestion du serveur de la CENI

Posté : 18 oct. 2011, 10:32
par tony yave
j'ai l'impression de lire un gamin :lol: :lol: