faceof africa a écrit :MON CHER SANTOS, AVEC DES " SI "CARREon peut faire tout. LE TRAIN EST DEJA PASSE ET LA GENERATION ACTUELLE EST BEL ET BIEN ENTRAIN DE FAIRE UNE TRANSITION CAR MULUMBU, MONGONGU, KIDIABA ET KIMUAKI, KASUSULA, MBOKANI ONT EXACTEMENT JOUER CE ROLE LA. MAINTENANT. UNE JEUNE EQUPE A TOUJOURS DES DIFFICULTES CAR LES JEUNES PEUVENT AUSSI ETRE ETOUFFES PAR LES VIEUX. C est pourquoi aime jacquet avat prefere les Desailly, karembeu, zidane, djorkaeff,deschamps,Thierry Henry et trezeguet(qui sont venus meme plutard),etc.... Ginola et Cantona auraient etouffe le jeune zidane d antan. Dioko est bon au qatar mais pour l Equipe nationale on fait une croix, il en est de meme pour mputu et d ici peu mbokani et kasusula.
Face, tout d’abord, je te demande de me faire une faveur: j’ai du mal à bien te lire parce que tu écrits en majuscules et pour cela je rate beaucoup des informations que tu donnes et des arguments que tu avances. Pourrais-tu penser à écrire en minuscules. D’avance merci.
En second lieu, je vois que tu suis bien le football et que tu connais les joueurs et l’environnement de ce sport. On n’en doute plus.
Maintenant, la question du jour. Faut-il considérer à prendre Alain ou doit-on l’oublier quelle que soit sa forme ? Je pense qu’il faut être prudent et prendre chaque cas individuellement. Dans notre situation, nous avons deux objectifs : bâtir une jeune équipe et nous qualifier pour les prochaines échéances continentale et internationale.
Dans l’état actuel notre équipe est en train de se mettre en place, disons qu’elle n’existe pas encore en tant que collectif. Et c’est sur cela que le coach en train de travailler. Alain pourrait, je dis bien « pourrait » servir non seulement à encadrer les jeunes qui n’ont pas encore l’expérience du niveau international mais aussi à les aider à se qualifier s’ils veulent être présents aux deux prochaines échéances. Peut-être suggères-tu que l’on se concentre sur la formation sans se soucier de la CAN et du Mundial ? C’est un point de vue mais ce n’est pas le seul objectif de la FECOFA. Tu as cité beaucoup de noms, mais tu as pris soin de ne pas mentionner Drobga qui continue à jouer au très haut niveau malgré ses 36 ans (ou plus), ou Roger Miller qui a joué le Mondial et marqué l’unique but de son équipe à l’âge 41 ans (dans une équipe ou il y a avait des joueurs de moins de 25 ans), etc. Xavi de Barcelone, quel âge a-t-il ?
Voici un article que j’ai trouvé internet et qui pourrait te faire changer d’opinion :
Les vieux footballeurs font de la résistance
Dans le football du XXIe siècle, l'exil lointain fait office de fontaines de jouvence pour les joueurs de plus de 35 ans. Les vieux briscards des grands championnats européens profitent de l'émergence de nouvelles ligues aux confins du monde, notamment en Chine et en Inde (voir ci-dessous), pour repousser l'heure la retraite. Le phénomène de mondialisation du foot, qui s'est d'abord matérialisé par la prise de contrôle par des actionnaires venus des puissances économiques émergentes ou des États-Unis de quelques fleurons parmi les clubs européens, amorcent désormais la phase de délocalisation du spectacle sportif. À l'image de la décision deSamuel Eto'o de quitter l'Inter Milan cet été pour rejoindre le Anzhi Makhatchkala - la capitale du Daguestan - contre 20,5 millions d'euros par an.
Transhumance
La décision de la Fifa de confier les Coupes du monde 2018 et 2022 à la Russie et au Qatar - en attendant sans doute la Chine en 2026 - a modifié en profondeur le centre de gravité du pouvoir footbalistique. La Super Ligue chinoise nourrit l'ambition d'attirer des champions reconnus dans l'empire du Milieu en leur offrant des émoluments mirobolants. Avec un salaire de 11,40 M€ annuels, Nicolas Anelka (32 ans) s'est facilement laissé convaincre de quitter Chelsea pour rejoindre Shanghaï. D'autres stars, dont Didier Drogba, sont courtisés par les clubs chinois.
Si la MSL américaine est considérée depuis quelques années comme un terrain de jeu pour vieilles gloires sur le retour (Beckham, 37 ans), d'autres destinations exotiques s'ouvrent pour les joueurs soucieux de signer un dernier gros contrat avant de raccrocher les crampons. C'est le cas de l'ancien Ballon d'or brésilien Rivaldo (39 ans), qui vient de céder aux sirènes des pétrodollars angolais. Mais c'est l'expérience indienne qui devrait provoquer la plus grande transhumance de vieux grognards du rectangle vert. Une attractivité comparable à celle du championnat du Qatar, il y a dix ans. Desailly, Leboeuf, Dugarry, Anderson, Romario ou Guardiola avaient alors répondu à l'appel de Doha. Un effet de mode similaire à celui qui poussaient les grands joueurs sur le déclin vers la Japan League à la fin des années 1990 ou des montres sacrés comme Pelé, Cruyff, Beckenbauer ou Best à embrasser l'aventure de la NASL américaine au mitan des années 1970.
Mais, à l'instar de Giggs (MU), Zanetti (Inter), Raul (Schalke), Del Piero (Juventus) Seedorf, Nesta et Inzigahi (AC Milan), de nombreux joueurs ayant entre 35 et 40 ans brillent toujours dans les meilleurs clubs européens. De quoi donner des idées à Thierry Henry (34 ans) - qui relève le défi d'Arsenal pour les deux prochains mois - et tirer Paul Scholes (37 ans) de sa retraite. Comme si la longévité était aussi l'apanage des grands joueurs.
Cruyff, qui réalisa le doublé avec Feyenoord lors de sa dernière saison à 37 ans, Di Stefano, sacré champion d'Europe avec le Real à 40 ans, Roger Milla, plus vieux joueur de l'histoire de la Coupe du monde à 42 ans, Romario jouant jusqu'à 43 ans pour marquer 1000 buts comme Pelé, ou sir Stanley Matthews, qui joua jusqu'à 50 ans et remporta le ballon d'or à 41 ans, l'ont prouvé en leur temps.
LIRE AUSSI:
» Inde: anciennes gloires pour nouveau marché